l'étrange Marine - histoire érotique

Comme souvent quand cela m’étais possible je me promenais du côté de la forêt se trouvant derrière chez moi. Je ne fus pas surpris de trouver la jeune Marine. Nous avions sympathisé lors de nos précédentes ballades. Elle était du genre solitaire, renfermée sur elle-même, sans être pour autant déficient mentalement. Primitive, n’ayant quasiment pas de connaissance. Je lui fis la bise avant de la questionner sur l’absence de ses chiens.
Elle m’a regardé avec surprise puis me dit : - Ah oui ! Ils sont avec maman. Elle est rassurée de les avoir avec elle quand elle doit se rendre à la banque avec la recette de la semaine.
- Elle fait bien. Surtout avec tout ce qu’en entends.
- Oui. Répondit-elle.
Je n’ai jamais vraiment trop su ce qu’elle pensait réellement de nos promenades communes. Puisque il fallait que je lui dire les vers du nez. Malgré que ces deniers temps elle se lâchait un peu plus avec moi.
- Tu as passé une bonne semaine ?
- Comme-ci, comme-ça !
- Je vois !
Elle se bidonna.
- Et toi ?
- Surcharger de travail. Tu ne peux pas savoir le bien que cela me fait de me promener avec toi.
- Merci… c’est gentil… Au bout de quelques kilomètres elle posa son derrière sur une souche.
- Et la danse ?
- J’ai une représentation prévu dans quinze jours.
- C’est bien ça.
- Tu viendras ? Me fit-elle en posant son cul sur une souche.
- Fatigué, lui dis-je.
- Oui… un peu… - Alors tu viendras me voir danser.
- Si je n’ai rien d’autre de prévus. Pourquoi pas.
Je pris ma bouteille d’eau et en bus une gorgée. Puis lui tendis.
- Tu en veux.
- Je veux bien… merci. Répondit-elle en se saisissant de la bouteille.
Alors qu’elle s’envoyait quelques gorgées dans son gosier, elle gesticulait. Frottant son derrière contre la souche.
- Dis Alain ça fait combien de temps qu’on se connaît ?
- Je ne sais pas moi. Pourquoi cette question.
- Pour voir si je peux te faire confiance.
- Et tu crois par ce que tu connais une personne de longue date que tu peux lui faire confiance ?
- Je pense… oui !
- Et bien pas moi.
Elle prit le temps de réflexion avant d’ajouter : - Tu as sans doute raison. Tu as quel âge Alain ? fit-elle en me tendant la bouteille.
- Trente trois ans.
- Waouh ! Je t’en donne cinq de moins.
- Merci Marine. Bon on y va… - Attends encore un peu. Tu as déjà trompé ta femme.
- En quoi cela peu t’intéresser.
- Comme ça. Je veux savoir.
- Si je te dis non ! Tu vas me croire ?
- Non !
- Et bien tu as raison de pas me croire.
- Beaucoup de fois ?
- Après cinq fois je ne compte plus. Mais dis-moi, pourquoi toutes ses questions. Ma femme t’a payé ou quoi ?
- Pas du tout. D’ailleurs on se salue même pas.
- Et toi tu as déjà eu un copain ?
- Non… jamais… J’en suis réduit à des fantasmes pour me soulager si tu veux savoir.
Je lus dans ses yeux de la surprise que je puisse m’intéresser à elle. À cet instant j’ai lu une intense gratitude. Elle s’est levée et nous avons repris notre ballade.
- T’inquiète tu vas trouvé chaussure à ton pied.
- Oh ! Je ne suis pas pressé. Je n’ai que vingt ans. J’ai encore le temps.
- Oui, tu as l’avenir devant toi.
- Mais il faut que tu sache que je ne suis plus vierge.
Là j’ai eu du mal à comprendre ce qui venait de sortir de sa bouche.
- Là tu vois, je ne te suis pas.
- C’est simple.
- A bon ! Tu crois !
- Bien sûr je me suis auto-défloré.
- Cela t’ennui de t’expliquer ?
- J’y arrive. Lors de mes stages sur Paris je me suis arrêté un soir en sortant du boulot dans un sex-shop. J’en suis ressorti avec une culotte en vinyle dont deux godes y étaient fixé. Je pense que tu as pigé la suite.
- Oui. Parfaitement. Mais pourquoi avoir fait ça si je peux me le permettre.
- Tout bonnement par ce que j’en avais envie et je n’ai pas trouvé un partenaire idéal.
- C’est pas les mecs qui manque dans le patelin.
- Que des cons. Cela t’ennui que je pose mon cul de nouveau.
- Non vas-y.
Elle se posa sur un tronc et lâchait un cri aigu.
- Tu t’es fait mal ?
- Non ! fit-elle en se bidonnant de nouveau. C’est à la faute de ma culotte. Tu penses que je peux la retirer ?
- Si cela te gêne.
- Oui, je pense moi aussi.
- Tiens tu peux te plaquer derrière les trois arbres.
Elle tourna la tête vers la direction indiquée.
- Bien. J’y vais. Tu me préviens si il y a quelqu’un.
- Compte sur moi.
Je profitais de son absence pour prendre une gorgée d’eau. Elle revint quelques instants plus tard tenant en main un slip en vinyle. Elle fut toute fière de l’exhiber à ma vue.
-J’adore cette matière. Lâchait-elle.
-Je peux l’avoir. Laissais-je tomber.
Sous sa surprise, je dus lui avouer que je faisais la collection.
Et très vite à son tour elle me confia une chose incroyable : -Un après-midi, me fit-elle, je somnolais dans mon jardin en plein soleil. Tout en rêvassant, je me caressais l’entrecuisse, bien décidé à me faire parvenir à la jouissance. Quand mes chiens se sont approchés du bain de soleil où je me trouvais. J’ai bien tenté de les chasser. Mais l’un deux est venu me sentir le bas-ventre et tout d’un coup se mit à me lécher la chatte. Bien sûr j’ai eu un mouvement, mais cette langue râpeuse sur mon sexe m’excitait follement et je me laissais faire. Le chien se mit à bander, sa langue pénétrait mon vagin et il essayait de me grimper. Je n’ai jamais pratiqué ce genre de relation, mais là je suis déboussolée par ce qui arrivait et prête à tout. Je me retournais et en position de levrette, je m’offrais à l’animal qui immédiatement me sauta dessus, et me pénétra le vagin. J’étais en transes. Je me suis agitée follement, baissée à grands coups et j’ai joui très vite en criant pendant qu’il continuait à m’enfiler de plus belle. Et ça jusqu’au moment où je le sens se cabrer pour éjaculer et j’ai jouis une nouvelle fois. Je suis resté pâmée pendant qu’il débandait lentement et se séparait de moi. J’étais à peine libéré que son compagnon le remplaça, me ceintura à la taille de ses pattes de devant et me voilà encornée à nouveau. Mon excitation renaissante montait dans mon ventre, j’ai jouis à nouveau jusqu’à ce que, à son tour, il se libère de son sperme, me laissant lasse et comblée par cette double saillie imprévue. J’ai pris goût à la chose et mes amis à quatre pattes ne se faisaient pas prier pour me monter chaque fois que je suis seule et que je me livre à eux.
-Je te remercie de ta confiance. Lui lâchais-je. Mais pourquoi me dire cela ?
- Bien tu sais, continua-t-elle, je ne serais pas contre de recevoir une verge, celle d’un mec.
- Très bien, et moi, que puis-je faire ? Te trouver un partenaire ?
- Pas besoin, je l’ai déjà trouvé, lança-t-elle du tac au tac tout en me fixant.
Silence. J’eus un léger malaise. J’avais comme le sentiment que tout ce projet me concernait maintenant très directement.
- Bon et bien, je vais y aller moi, lui dis-je. Allez, à peut-être demain.
- Mais attends, je t’en prie. Après je ne t’embête plus.
Je déglutis avec difficulté. Plein de choses se bousculèrent dans ma tête.
- Si j‘ai bien compris, tu veux qu’on baise ensemble ?
- S‘il te plaît ! J’aimerais que tout ça reste mécanique, rien d’émotif. Seulement un voisin qui rend un grand service à une jeune voisine. Je sais que ce n’est peut-être pas le contexte idéal, mais je n’ai pas beaucoup d’options qui s’offrent à moi.
- Tu permets que je réfléchisse ?
- Oui bien sûr.
J’avais de la difficulté à réaliser ce qu’il m’arrivait. Mais je dois l’admettre, cette situation commençait drôlement à m’émoustiller. Sans attendre ma réponse, la voilà qui décida de baisser son jeans. Cet effeuillage improvisé fit pulser un jet de sang dans mon artère principale. Cul nu, elle se mit à quatre pattes sur la souche. Je perçus un petit sourire sur le visage de la jeune fille qui avait tourné la tête pour me voir m‘approcher de sa croupe. Je fus en présence d’une magnifique chatte lisse, bien entretenue. Un sexe de jeune fille. J’ai glissais mes doigts le long de sa raie. Elle se pencha tant qu’elle le pouvait, en cambrant volontairement sa croupe.
J’enfonçais directement mes doigts dans ma chatte. Elle était trempée. Je pincçais son clitoris, le malaxais, le titillais. Au point de non-retour, j‘empoignais mon sexe pour me guider entre les lèvres intimes, m’enfonçant en elle. Ma queue glissa sans difficulté.
Lentement, très lentement, j’amorçais un mouvement de va-et-vient, tout en douceur. Ressortant presque à chaque fois et m’enfonçant le plus loin possible. C’était carrément divin. Puis je l’avais saisis délicatement par les hanches, pour augmenter un peu la cadence. Allant toujours en va-et-vient aussi profonds, mais un peu plus secs. Chaque fois que j’entrais en elle, elle accompagnait mes mouvements d’une expiration sonore. Elle se trémoussait sous moi. Riens cambrés et nuque ployée elle se laissa secouer par l’orgasme. Moi-même ne pus retenir longtemps et déchargeai entre ses fesses.
A plusieurs reprises avec Marine nous nous sommes revus. Et à chaque fois nous avions baisé avec fougue.