L'ex futur copain de ma pote
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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L'ex futur copain de ma pote
Je ne parle pas souvent des filles que je connais, mais j'en ai connu quand même et particulièrement une, Océane du même âge que moi, et on se connait depuis la maternelle jusqu'en terminale! C'est dire si on s'est vu évoluer. J'ai essayé de la draguer mais elle n'a jamais voulu, préférant que l'on reste de vrais amis et c'est ce qui s'est passé!
C'est elle la première qui a appris que je préférais les garçons aux filles cela n'a pas eu l'air de l'étonner.
Elle vient soulager ses peines de cœur à la maison, me racontant que les mecs sont des cons aucun sentiment. Ils ne pensent qu'à baiser et après ils se tirent.
Si bien qu'on était au courant chacun de nos coups! et en fin de compte cela nous faisait rire.
Je l'avais croisé il y a trois semaines en faisant les courses. On s'était charrié comme d'habitude et avait fini par me dire qu'elle était tombée sur un beau mec, tendre, charmant qui lui faisait des cadeaux et ça faisait même pas une semaine qu'elle le connaissait.
-et coté sexe ? il assure ?
-vous êtes cons vous les pédés… y'a pas 5 minutes que vous vous connaissez que déjà vous connaissez la longueur de la bite! non il préfère prendre son temps m'a t-il dit.
-ah dis je pensif, c'est bizarre, une belle nana comme toi qui a l'air de s'offrir et le mec n'en profite pas… bizarre bizarre!
Durant ces trois semaines je n'ai pas eu de ses nouvelles, et je pensais que le mec avait accéléré et qu'il faisait vivre de bons moments à ma pote!
Elle habite dans un hameau isolé, où elle élève quelques poules et lapins et j'ai l'habitude lui amener le pain dur et autres déchets.
Elle m'a appelé pour me demander de passer, qu'elle voulait mon avis sur son nouveau mec qui n'avait toujours pas conclu, que des bisous et des caresses mais le reste, rien! Elle semblait un peu énervée la copine…
Je lui promet de passer samedi en début d'après-midi, avant d'aller faire mes courses.
C'est vrai que j'étais un peu curieux, et j'avais hâte de voir, de rencontrer ce mec qui ne profitait pas de ma copine comme il fallait, ça m'intriguait quand même.
Quand je suis arrivé, ils finissaient de déjeuner, et buvaient le café à table.
On s'est fait la bise et j'ai tendu la main à ce "fameux mec" et j'en suis resté interdit devant la beauté de ce phénomène.
Il devait avoir notre âge, châtain clair, les cheveux mi longs, de grands yeux marrons très clairs entourés de longs cils, un visage viril, avenant. Assis sur la chaise, il semblait bien bâti.
Quand on s'est serré la main, nos regards se sont croisés et, c'est vrai que face à un beau mec, je me fais toujours des illusions mais j'ai "cru" voir dans ses yeux de l'intérêt.
J'ai bu un café avec eux, en papotant de tout et de rien. Il ne parlait pas beaucoup, mais à chaque fois que je le regardais, il me fixait, cela en devenait presque gênant.
-dis Océane, le week-end prochain je voudrais faire de la peinture à la maison alors si t'es libre j'ai un pinceau pour toi!
Elle a rigolé, en me disant qu'elle ne savait pas ce qu'elle faisait exactement le week-end prochain en regardant son mec qui se prénomme Joris.
Il n'a fait aucun commentaire.
Je ne savais vraiment pas quoi penser de ce beau mec en partant de chez ma copine, sûr que si je l'avais rencontré en boite et s'il m'avait regardé de la même façon j'aurais tenté quelque chose avec lui.
Je suis allé faire mes courses au supermarché du coin et, en ce samedi après midi il y avait du monde. J'ai galéré dans les rayons. Cela faisait bien une demie heure que je tournais avec mon caddy, quand j'ai remarqué Joris qui trainait dans les rayons, cherchant manifestement quelque chose ou quelqu'un. Alors je me suis rapproché de lui, comme si je ne l'avais pas vu.
Quand il m'a vu il est devenu tout rouge, m'a regardé, baissé la tête.
Mais putain! c'est quoi ce mec! j'ai pensé, pourquoi il rougit comme ça en me voyant.
-ah t'avais des courses à faire ? t'es avec Océane ?
Il balbutiait dans sa réponse.
-je suis venu chercher un truc et y'en a plus dit-il devenant encore plus rouge.
Il devait avoir chaud le garçon! je voyais la sueur couler de son front sur ses tempes.
J'ai souri intérieurement, en pensant que ce mec était du même bord que moi et qu'il était venu me chercher alors il allait me trouver. J'ai continué mes courses, il me suivait.
-alors? comment ça va avec Océane ? c'est une fille magnifique et super sympa!
-oui tout va bien, c'est vrai qu'elle est super gentille, je l'aime beaucoup.
-et sexuellement tout va bien aussi ?
Le homard aurait été jaloux de la couleur prise par Joris.
-euh... ben toi t'es direct non! c'est à dire…
-ben on est entre mecs non!
Et il a changé de conversation, mais c'est pas pour ça qu'il m'a lâché.
Je ne pouvais pas trop l'observer, il ne cessait de me regarder, de me fixer de ses beaux yeux. Plusieurs fois j'ai pu voir son petit cul emballé dans son jean serré et une belle bosse devant qui ne demandait qu'à se développer.
Je le laissais parler et moi, je me demandais comment j'allais l'amener jusqu'à la maison. J'avais envie de ce mec! il me le fallait et maintenant j'étais sûr que c'est ce qu'il voulait ou me baiser… ben on verra bien.
Il m'a aidé à ranger mes courses dans la voiture.
-t'es en voiture je suppose ?
-oui dit il.
-alors on se retrouve au bar du centre ville, on va boire une bière ?
Ses yeux pétillaient avant qu'il donne sa réponse affirmative, et il était arrivé au bar avant moi, m'attendant devant!
Mon pote Alain, barman proprio pédé, était là et est venu me faire la bise tendant sa main à Joris en lui faisant les doux yeux qui ont encore fait rougir le beau mec!
Je me demandais s'il rougissait de tout le corps comme ça!
Alain a payé sa tournée, me demandant des yeux qui, était ce beau mec avec moi? j'ai haussé les épaules en souriant.
Joris m'a posé des questions, sur moi… sans gêne le mec! et il me fixait toujours j'avais l'impression qu'on n'était plus que deux au monde!
Je lui ai parlé de ma maison, de mon jardin, du verger. Il a fait le mec intéressé et je le voyais venir.
-si tu as le temps, je te fais visiter mon verger j'en suis très fier dis je en le fixant.
La réponse est arrivée pratiquement avant que je finisse ma phrase! là j'avais vraiment envie de rire.
Toi mec! tu veux vraiment un coup de bite! j'ai pensé.
Je suis allé faire la bise à Alain, en disant qu'on allait visiter mon verger.
-il a de très belles noix a dit Alain sans rire.
-c'est pas la saison Alain! t'y connais vraiment rien!
On a ri en partant.
Arrivés à la maison, il m'avait suivi en voiture et il ne craignait pas de me perdre, il m'a aidé à rentrer les courses que j'ai déballé dans la cuisine prenant mon temps. Il était debout près de moi.
Je me suis redressé lentement, le fixant. J'ai fait un pas vers lui, il n'a pas bougé. Mes yeux rivés aux siens, j'ai passé ma main sur sa nuque, remontant sur sa tête, pour me saisir de ses cheveux, les serrer et approcher sa tête de la mienne.
La rougeur est revenue d'un coup, la sueur coulait encore de ses tempes.
-tu cherches quoi Joris ? un coup de bite ? parce que t'es au bon endroit mon pote!
Ses yeux se sont embués, ses lèvres tressautaient sans qu'un mot sorte.
-alors répond! t'es pédé ou pas ?
Les larmes coulaient de ses yeux mais il me fixait toujours. Je serrais les cheveux encore plus fort, je sais que ça fait mal à cet endroit mais il ne disait rien, la sueur coulait toujours sur ses tempes.
Il ne disait toujours rien.
J'ai approché mes lèvres à toucher les siennes, nos nez se frôlaient et je sentais son souffle sortir de sa bouche entrouverte.
Je bandais, enfin ma queue essayait de bouger dans mon boxer serré.
J'ai soufflé dans sa bouche, ses yeux avaient arrêté les larmes et brillaient maintenant.
J'ai frotté mes lèvres contre les siennes, doucement, lentement, appréciant la douceur, la chaleur. Ses yeux se sont fermés, clos par ses beaux longs cils, sa bouche s'est ouverte un peu plus, il attendait mon beau Joris.
J'ai bloqué sa tête en l'écrasant sur la mienne, nos bouches ont fait ventouses et ma langue est partie à l'aventure. Oh pas loin car la sienne est venue à sa rencontre. Une belle langue chaude et agile, aimant jouer, donner sa salive et le beau Joris s'est mis à gémir.
J'ai desserré l'étreinte sur ses cheveux, pour l'entourer de mes bras et le serrer contre moi.
On aurait dit qu'il n'attendait que ça. Son corps s'est collé au mien, ondulant. Ses bras m'ont entouré la taille, je crois qu'il n'osait pas me caresser.
On a joué aux jeux de la langue et des lèvres un bon moment il avait l'air d'aimer ça!
On était toujours dans la cuisine je l'ai emmené dans le salon.
Je l'ai pris par le menton, le fixant.
-t'as fait quoi avec un mec ?
-rien! dit il dans un souffle.
-et avec une fille ?
-rien non plus ! dit il en baissant les yeux.
-et tu veux vraiment baiser avec moi ?
-oui j'en ai envie, j'ai envie que tu m'apprennes.
-pourquoi ?
-je sais pas quand je t'ai vu chez Océane j'ai su qu'avec toi je pourrais le faire, que tu sauras me le faire, m'apprendre!
-mais alors pourquoi tu es avec Océane ?
-j'ose pas lui dire. Je n'étais pas sûr d'aimer les garçons. Quand je suis avec elle je suis bien, l'embrasser, la caresser mais allez plus loin j'ai pas envie avec elle.
-mais avec moi oui!
-oui, il baissait les yeux et des larmes coulaient encore.
-et tu voudrais faire quoi alors avec moi ?
Et il a dit cette phrase qu'il ne faut jamais dire à un mec qu'on connait pas!
-tout! je veux tout faire avec toi! d'ailleurs tu peux faire ce que tu veux de moi je t'obéirais.
Il est venu se pelotonner contre moi, sa tête dans mon cou!
C'était mignon tout plein tout ça! mais j'étais d'humeur à m'amuser ce jour là et j'aime bien les puceaux. C'est tendre, c'est obéissant et en général ça en veut!
J'ai vraiment pas été déçu avec Joris.
On a oublié Océane.
J'ai fait le tendre pour commencer.
-allez déshabille toi complètement Joris.
Il s'est mis nu et j'admirais ce beau mec au fur et à mesure que je découvrais son corps. Une belle queue qui bandait déjà, excité le Loulou! et un cul! putain je l'avais bien deviné au supermarché, haut, de belles fesses bien dures, avec une raie qui les départageait, un corps pratiquement imberbe, lisse. Il m'a regardé, l'air inquiet, rougissant encore. Je l'ai attiré à moi, pour l'embrasser tendrement, amoureusement et profiter de lui caresser le dos, ses fesses. Je bandais à fond!
-déshabille moi Joris, je serais le premier mec que tu vas déshabiller.
Le sourire aux lèvres, il m'a enlevé mes vêtements un à un, découvrant mon beau corps et quand j'ai été en boxer, qu'il voyait ma grosse tige coincée, ses mains ont hésité à l'enlever.
Je me suis assis dans le canapé, j'ai tendu ma jambe.
-enlève mes chaussettes Joris.
Il a obéi, l'air étonné.
-caresse mes pieds, sent les… je ne pue pas des pieds Joris.
J'adore me faire caresser les pieds… et lécher!
Il était dans la position que je voulais, sans lui avoir demandé à genoux devant moi assis dans le canapé.
Il a pris un pied dans ses mains, le caressant maladroitement, reniflant les orteils un à un. Je bougeais les orteils sur ses lèvres comme s'ils voulaient entrer.
Ses lèvres les ont laissé faire. Je bougeais le gros orteil dans l'entrée de sa bouche, il me fixait, étonné… je souriais.
-suce le Joris! dis je en bougeant le gros orteil
Quand j'ai senti ses lèvres entourer le gros orteil et sa langue qui léchait j'ai su qu'il ferait tout ce que je voudrais.
Il s'est appliqué, je lui ai fait lécher tous les orteils, passer sa langue entre, lécher la plante et je voyais sa queue bander, pas décalottée mais qui coulait à terre.
Avec mon autre pied, je lui ai caressé la poitrine, passant mon gros orteil sur ses tétons qui grossissaient et durcissaient.
-Enlève mon boxer Joris.
J'ai soulevé mes fesses pour le laisser passer et ma queue s'est détendue, grandissant d'un seul coup, le gland bien décalotté, retombe sur ma cuisse et le méat laisse couler la mouille.
Il avait les mains sur mes cuisses et regardait ma bite et il attendait les ordres le garçon!
-alors t'as jamais touché de bite Joris ?
-non dit il tout bas.
-je t'offre la mienne fais ce que tu veux.
-euh... c'est à dire…
-viens m'embrasser Joris.
Il se redresse et son long corps vient sur le mien, je l'attire à moi, nos corps se collent, nos bites se pressent l'une sur l'autre.
-tu vois les queues vont faire connaissance d'abord puis tu vas la goûter, la prendre dans ta bouche, la lécher, la sucer en prendre soin car après elle va te visiter l'intérieur. La bouche d'abord et ton beau petit cul ensuite. Je vais te baiser Joris, te dépuceler ta bouche et ton petit cul, faire de toi ma salope! car je suis sûr que tu vas aimer ça faire la salope! hein Joris ?
-je crois oui… tu sais, quand je me branle en regardant un film porno, je m'imagine toujours dans la position du mec dominé ça me fait bander et je jute beaucoup après.
-alors ta première leçon on va la faire sur mon lit on sera mieux quand même!
On s'est relevé, les bites bandaient et coulaient, je l'ai pris par la main et nous sommes allés dans la chambre s'allonger sur le lit. Il est venu se serrer contre moi.
-alors ça va être mon moment de vérité ?
-comment ça ? dis je.
-ben je vais enfin savoir si j'aime les mecs!
-ben je crois que t'as déjà bien commencé non ?
Il fallait qu'il aime, et j'allais tout faire pour.
Au lieu de le faire s'occuper de moi je me suis intéressé à lui, à son corps chaud et lisse collé au mien. Je l'ai repoussé doucement sur le dos et j'ai commencé mes caresses.
Il ne me quittait pas des yeux. Je lui ai mis les mains derrière la tête faisant voir ses aisselles légèrement poilues de beaux poils châtains clairs, j'ai reniflé ses aisselles, léché les poils pour avoir son goût sur ma bouche. Il a rigolé, ça le chatouillait. Un beau sourire sur ses belles lèvres. Les miennes sont venues sur ses tétons qui pointaient durs! Je n'avais jamais vu des tétons si durs, les aréoles étaient emplies de petits piquants, comme quand on frémit mais là ça restait.
J'ai juste donné un coup de langue sur le premier téton qui se présentait et, aussitôt j'ai entendu un râle suivi d'un gémissement. J'ai léché, il gémissait de plus en plus, il essayait de bouger son corps, bloqué par le mien. Alors je me suis amusé avec ses tétons les suçant, les aspirant tout ça pour l'entendre gémir et le voir le faire en fermant ses beaux yeux et quand j'ai mordillé son premier téton il a poussé un petit cri. J'ai continué de mordiller un téton pendant que l'autre je le prenais entre le pouce et l'index et le serrais doucement en tournant.
Son corps a sursauté sous les caresses, il gémissait toujours de plus en plus fort, criant même des fois. Il bombait le torse pour offrir ses tétons tant à mes doigts qu'à ma bouche.
Puis ma bouche est descendue sur son torse, léchant le ventre, de beaux abdos bien durs qu'on ne voyait pas mais qu'on sentait au toucher.
J'ai inondé son nombril en le léchant copieusement.
Je voyais sa bite, sa belle queue arriver presqu'au nombril, le gland pas encore complètement décalotté, juste un peu et le méat ouvert laissait couler la mouille qui glissait sur son ventre vers le lit.
J'ai observé ce bel engin. Je savais qu'un puceau devait jouir de plaisir la première fois et je devais ne m'occuper que de son plaisir avant le mien.
Les couilles reposaient sur les cuisses serrées. J'ai reniflé tout le long de la hampe, sentir cette bonne odeur de queue excitée qui palpitait presque de se sentir observer de si près.
Mon souffle chaud l'a enveloppé. J'avais envie de la prendre en bouche, de la mordre, de la bouffer et j'ai commencé par les couilles.
Deux beaux œufs, bien durs et poilus. J'ai passé ma langue dessus, pour les tâter et j'ai léché ses belles couilles. Quand une a basculé dans ma bouche, roulant entre mon palais et ma langue il a poussé un long gémissement, son corps s'est tendu. Mes mains sont revenus sur les tétons.
Lui bouffant une couille, j'ai maltraité doucement ses tétons et le moteur à gémissements, râles a repris. Il n'arrêtait plus, son corps bougeait sur les draps. Ses mains se sont posées sur les miennes, juste pour les tenir, me laissant pincer avec douceur ses beaux tétons.
J'ai changé de couille les gémissements ont repris et ses jambes se sont écartées. D'une main j'ai mis la deuxième couille dans ma bouche et je les ai faites rouler l'une sur l'autre, dans ma salive chaude. Il fallait l'entendre pousser de petits cris. J'avais sous les yeux sa belle queue qui bougeait sur son ventre laissant une trace de mouille. J'aimais son odeur de bite, ça sentait la bite bien sûr, mais le frais, le neuf. J'étais heureux d'être le premier à goûter à sa bite!
Quand j'ai lâché ses couilles, les laissant sortir de ma bouche il a poussé un grand soupir et ma langue a suivi la queue. Mes lèvres dessus goûtaient la peau chaude, lisse, dure et douce. Je me rapprochais du gland encore partiellement couvert par le prépuce et la mouille coulait encore.
Ah il était excité le Joris!
Tenant toujours un téton d'une main, j'ai soulevé sa queue de l'autre. Un filet de mouille tombait sur son ventre. J'ai fini de décalotter ce bel engin chaud, le tenant à pleine main pour bien ressentir la dureté et voir apparaitre devant mes yeux, ce gland turgescent, brillant de mouille le frein étiré au maximum. Je jetais un œil à Joris.
Il tenait toujours ma main sur son téton et l'autre serrait le drap.
J'ai juste donné un coup de langue sur le frein, il a sursauté comme s'il avait reçu une décharge électrique en criant "ohhh", j'avais envie de rire. J'ai continué mes coups de langues c'était chaud, tendre, humide, pour lécher le frein et remonter sur le gland.
Il a lâché ma main pour venir serrer les draps se raidissant de tout le corps, son petit cul presque soulevé comme s'il voulait bien dégager sa queue.
Le premier coup de langue sur le méat l'a fait encore crier, de petits cris de surprise et mes lèvres sont venues envelopper le beau gland, je tenais maintenant fermement sa queue dans ma main laissant dépasser le gland uniquement que je me suis mis à lécher, caresser avec mes lèvres et ma langue. Il criait de plus en plus fort, soulevant encore ses fesses, sa queue serait entrée entièrement dans ma bouche si ma main n'avait pas été là.
Ses jeux de bouche et de langue sur son gland n'arrêtaient pas de le faire gémir, crier en essayant de se tortiller.
J'ai lâché sa queue, pour prendre ses couilles en main et avaler toute sa belle queue dans ma bouche.
En gueulant un grand coup, ses mains sont venues se poser sur ma tête.
-je vais juter crie t-il en le faisant.
J'ai juste eu le temps de bien fermer mes lèvres sur la tige qui avait des soubresauts dans ma bouche et les giclées se sont succédées en même temps qu'il râlait, disait des mots sans suite… "ah oui" "ah putain" tout y est passé et moi j'avalais ce bon jus de puceau.
Son corps faisait un arc de cercle. J'ai pris ses fesses en mains pour le soutenir et finir de lécher sa queue prenant bien soin de ne laisser aucune trace et le faire tressaillir encore quand ma langue touchait son gland.
Il s'est écroulé sur le lit tel un pantin désarticulé, les bras en croix sans lâcher sa queue qui bandait encore, je suis venu me coller à lui, lui faisant sentir que moi aussi je bandais et j'ai posé ma tête dans son cou.
Ses bras se sont refermés sur moi, ses lèvres sur les miennes, sa langue est entrée en moi, juste à l'entrée pour se faire sucer. Mes mains parcouraient son corps doux et chaud, il frémissait.
-je n'aurais jamais cru que c'était si bon de se faire sucer! tu m'as vidé!!
-ah ah c'est le but dis je en riant.
-tu veux que je te le fasse ?
-tu vas me le faire Joris t'inquiète! mais avant je veux m'occuper de ton petit cul… j'adore les petits culs de puceau.
Il a rigolé en m'embrassant.
Ma main est passée entre ses jambes qu'il a bien écarté docilement, les relevant sur son torse. Ma main caresse les belles fesses, un doigt passe dans la raie c'est chaud, humide, doux. Il ne doit pas y avoir de poils, sa langue n'arrête pas de voyager dans ma bouche quand mon index appuie sur l'anus c'est pour avoir la surprise de sentir qu'il entre facilement. Je suis un peu étonné pour un petit cul de puceau!
-dis donc petit coquin de Joris quand tu te branles, tu te godes en même temps ?
Là j'ai vu que la rougeur de son visage descendait jusqu'à ses épaules.
-tu sens ça avec ton doigt ? dit il rouge comme une pivoine en pleine floraison.
-quand on dit "c'est mon petit doigt qui me l'a dit", moi c'est mon index dis je en rigolant alors raconte moi petit vicieux.
-ben oui j'ai un gode et c'est vrai que j'aime me goder en même temps que je me branle je jouis plus encore! Il avait baissé les yeux en disant cela, toujours aussi rouge.
J'ai rien répondu, mais mon index est devenu plus fureteur, s'enfonçant maintenant sans ménagement et ce petit cul s'ouvrait facilement même quand j'ai mis deux doigts. Il prenait bien, alors je l'ai doigté avec force pour l'entendre encore gémir en m'offrant sa langue.
-quand tu mets ton gode, tu mets une crème avant pour l'enfoncer ?
-non je préfère avec force, le sentir entrer en moi ça me fait plein de sensations.
Mais c'est qu'il m'excitait le puceau!!
Continuant de le doigter avec fermeté et profondeur, je lui ai demandé de se mettre légèrement sur le côté, de lever sa jambe. J'ai attrapé ma queue dure comme de l'acier, bandante à fond et très coulante et j'ai passé le gland dans la raie cherchant l'entrée.
J'ai su que je l'avais trouvé quand Joris a gémi, poussant son petit cul dessus. J'ai tenu sa cuisse et j'ai forcé, poussé. Sentir son gland ouvrir un cul, se faire envelopper par le sphincter, voir Joris, les yeux fermés, mordre l'oreiller au fur et à mesure de mon avancée et pousser une gueulante quand mon gland est passé d'un seul coup. Mais il n'a pas cherché à se retirer au contraire, sa main est venue ouvrir encore plus sa jambe et ma queue a pu continuer sa progression.
J'étais bien dans ce petit cul vierge de vraie bite. Son boyau se refermait bien sur ma queue et l'enveloppait avec force. Je lui ai fait replier sa jambe, ouvrant encore plus son cul et d'un coup de reins je m'enfonçais entièrement en lui. Il a crié mais c'était plutôt en gémissant et il a tendu son cul. Je faisais de lents vas et viens au rythme de ses petits cris et gémissements.
Il a tourné la tête pour me regarder et me sourire. Il avait l'air heureux d'avoir une bite au cul Joris!
J'ai accéléré mes vas et viens ça coulissait pas trop mal. J'ai passé ma main sur sa bite, il bandait comme un chef Joris. Je l'ai fait se tourner, à plat ventre, m'entrainant sur lui, lui écartant ses jambes avec les miennes et je donnais de petits coups de reins comme si je voulais encore aller plus loin.
Il râlait sous mes coups de reins, je pouvais lui faire des bisous sur la nuque. Je l'ai fait mettre à quatre pattes pour le final!
Le tenant aux hanches, j'ai sorti entièrement ma queue pour voir son petit trou rester ouvert et je l'ai renfoncé entièrement d'un seul coup! ça pour gueuler il gueulait et j'ai recommencé jusqu'à ce qu'il ne gueule plus mais râle, gémisse sa tête dans le traversin, il mordait le drap, sa main passée entre ses jambes venait me toucher les couilles et se branler!
Je voulais jouir en lui, lui donner le meilleur de l'homme!
J'ai senti le plaisir arriver, cette chose qui vous envahie au moment où l'on s'y attend le moins, ne sachant pas exactement d'où elle vient mais sachant très bien où cela va arriver.
J'ai serré ses hanches fortement, me bloquant bien au fond de lui et les saccades de giclées se sont succédées, moi aussi je râlais et grognais déversant tout mon plaisir dans ce petit cul de puceau qui venait de ne plus l'être. Sentant son cul se refermer sur ma bite quand il a joui sur le lit.
Je suis sorti délicatement de lui pour l'entendre soupirer sûrement de contentement de ne plus l'avoir en lui et voir ce petit trou rester ouvert, voir son jus sortir et couler le long d'une jambe. Le voir s'allonger sur le ventre respirant profondément, tendant la main vers moi comme pour m'inviter à le rejoindre.
Je me suis allongé près de lui, collé à lui.
-ça va Joris ?
-oui dit il avec un grand sourire mais ça fait mal quand même, rien à voir avec mon gode.
-tu préfères quoi ?
-toi dit il en se tournant et m'embrassant à pleine bouche.
On est resté un long moment dans les bras l'un de l'autre reprenant des forces et c'est lui qui a repris les choses en main..
-t'avais dit qu'il fallait que je te suce je ne l'ai pas fait! dit il de son air coquin.
-t'es si pressé que ça ?
-ben non.
-et si tu restais ce soir pour la suite de la leçon ?
Il a roulé sur moi en m'embrassant sans répondre.
Il n'est parti que le dimanche soir. Il avait pris plusieurs leçons et je dirais que c'est un très bon élève.
Il fera une très belle salope obéissante née pour se prendre une bite dans le cul. Un vrai vorace quand il a eu goûté à ma queue, mon sperme. je n'ai jamais vu un puceau avaler le jus comme ça!
C'est Océane qui m'a appelé le dimanche soir.
-alors t'as passé un bon week-end avec mon ex futur mec ?
J'ai rigolé.
-comment tu le sais ? il t'a appelé ?
-non pas encore et je sais pas s'il va le faire. Mais quand hier après midi il est parti cinq minutes après toi disant qu'il avait oublié de faire une course et qu'il me rappelait! J'ai compris que s'il te retrouvait tu saurais avant moi s'il a une belle bite! dit elle en éclatant de rire.
-et un bon cul Océane t'as le chic pour te faire des potes qui sont pédés, pour le prochain si t'as des doutes surtout tu m'appelles!
-salaud! dit elle en rigolant.
C'est elle la première qui a appris que je préférais les garçons aux filles cela n'a pas eu l'air de l'étonner.
Elle vient soulager ses peines de cœur à la maison, me racontant que les mecs sont des cons aucun sentiment. Ils ne pensent qu'à baiser et après ils se tirent.
Si bien qu'on était au courant chacun de nos coups! et en fin de compte cela nous faisait rire.
Je l'avais croisé il y a trois semaines en faisant les courses. On s'était charrié comme d'habitude et avait fini par me dire qu'elle était tombée sur un beau mec, tendre, charmant qui lui faisait des cadeaux et ça faisait même pas une semaine qu'elle le connaissait.
-et coté sexe ? il assure ?
-vous êtes cons vous les pédés… y'a pas 5 minutes que vous vous connaissez que déjà vous connaissez la longueur de la bite! non il préfère prendre son temps m'a t-il dit.
-ah dis je pensif, c'est bizarre, une belle nana comme toi qui a l'air de s'offrir et le mec n'en profite pas… bizarre bizarre!
Durant ces trois semaines je n'ai pas eu de ses nouvelles, et je pensais que le mec avait accéléré et qu'il faisait vivre de bons moments à ma pote!
Elle habite dans un hameau isolé, où elle élève quelques poules et lapins et j'ai l'habitude lui amener le pain dur et autres déchets.
Elle m'a appelé pour me demander de passer, qu'elle voulait mon avis sur son nouveau mec qui n'avait toujours pas conclu, que des bisous et des caresses mais le reste, rien! Elle semblait un peu énervée la copine…
Je lui promet de passer samedi en début d'après-midi, avant d'aller faire mes courses.
C'est vrai que j'étais un peu curieux, et j'avais hâte de voir, de rencontrer ce mec qui ne profitait pas de ma copine comme il fallait, ça m'intriguait quand même.
Quand je suis arrivé, ils finissaient de déjeuner, et buvaient le café à table.
On s'est fait la bise et j'ai tendu la main à ce "fameux mec" et j'en suis resté interdit devant la beauté de ce phénomène.
Il devait avoir notre âge, châtain clair, les cheveux mi longs, de grands yeux marrons très clairs entourés de longs cils, un visage viril, avenant. Assis sur la chaise, il semblait bien bâti.
Quand on s'est serré la main, nos regards se sont croisés et, c'est vrai que face à un beau mec, je me fais toujours des illusions mais j'ai "cru" voir dans ses yeux de l'intérêt.
J'ai bu un café avec eux, en papotant de tout et de rien. Il ne parlait pas beaucoup, mais à chaque fois que je le regardais, il me fixait, cela en devenait presque gênant.
-dis Océane, le week-end prochain je voudrais faire de la peinture à la maison alors si t'es libre j'ai un pinceau pour toi!
Elle a rigolé, en me disant qu'elle ne savait pas ce qu'elle faisait exactement le week-end prochain en regardant son mec qui se prénomme Joris.
Il n'a fait aucun commentaire.
Je ne savais vraiment pas quoi penser de ce beau mec en partant de chez ma copine, sûr que si je l'avais rencontré en boite et s'il m'avait regardé de la même façon j'aurais tenté quelque chose avec lui.
Je suis allé faire mes courses au supermarché du coin et, en ce samedi après midi il y avait du monde. J'ai galéré dans les rayons. Cela faisait bien une demie heure que je tournais avec mon caddy, quand j'ai remarqué Joris qui trainait dans les rayons, cherchant manifestement quelque chose ou quelqu'un. Alors je me suis rapproché de lui, comme si je ne l'avais pas vu.
Quand il m'a vu il est devenu tout rouge, m'a regardé, baissé la tête.
Mais putain! c'est quoi ce mec! j'ai pensé, pourquoi il rougit comme ça en me voyant.
-ah t'avais des courses à faire ? t'es avec Océane ?
Il balbutiait dans sa réponse.
-je suis venu chercher un truc et y'en a plus dit-il devenant encore plus rouge.
Il devait avoir chaud le garçon! je voyais la sueur couler de son front sur ses tempes.
J'ai souri intérieurement, en pensant que ce mec était du même bord que moi et qu'il était venu me chercher alors il allait me trouver. J'ai continué mes courses, il me suivait.
-alors? comment ça va avec Océane ? c'est une fille magnifique et super sympa!
-oui tout va bien, c'est vrai qu'elle est super gentille, je l'aime beaucoup.
-et sexuellement tout va bien aussi ?
Le homard aurait été jaloux de la couleur prise par Joris.
-euh... ben toi t'es direct non! c'est à dire…
-ben on est entre mecs non!
Et il a changé de conversation, mais c'est pas pour ça qu'il m'a lâché.
Je ne pouvais pas trop l'observer, il ne cessait de me regarder, de me fixer de ses beaux yeux. Plusieurs fois j'ai pu voir son petit cul emballé dans son jean serré et une belle bosse devant qui ne demandait qu'à se développer.
Je le laissais parler et moi, je me demandais comment j'allais l'amener jusqu'à la maison. J'avais envie de ce mec! il me le fallait et maintenant j'étais sûr que c'est ce qu'il voulait ou me baiser… ben on verra bien.
Il m'a aidé à ranger mes courses dans la voiture.
-t'es en voiture je suppose ?
-oui dit il.
-alors on se retrouve au bar du centre ville, on va boire une bière ?
Ses yeux pétillaient avant qu'il donne sa réponse affirmative, et il était arrivé au bar avant moi, m'attendant devant!
Mon pote Alain, barman proprio pédé, était là et est venu me faire la bise tendant sa main à Joris en lui faisant les doux yeux qui ont encore fait rougir le beau mec!
Je me demandais s'il rougissait de tout le corps comme ça!
Alain a payé sa tournée, me demandant des yeux qui, était ce beau mec avec moi? j'ai haussé les épaules en souriant.
Joris m'a posé des questions, sur moi… sans gêne le mec! et il me fixait toujours j'avais l'impression qu'on n'était plus que deux au monde!
Je lui ai parlé de ma maison, de mon jardin, du verger. Il a fait le mec intéressé et je le voyais venir.
-si tu as le temps, je te fais visiter mon verger j'en suis très fier dis je en le fixant.
La réponse est arrivée pratiquement avant que je finisse ma phrase! là j'avais vraiment envie de rire.
Toi mec! tu veux vraiment un coup de bite! j'ai pensé.
Je suis allé faire la bise à Alain, en disant qu'on allait visiter mon verger.
-il a de très belles noix a dit Alain sans rire.
-c'est pas la saison Alain! t'y connais vraiment rien!
On a ri en partant.
Arrivés à la maison, il m'avait suivi en voiture et il ne craignait pas de me perdre, il m'a aidé à rentrer les courses que j'ai déballé dans la cuisine prenant mon temps. Il était debout près de moi.
Je me suis redressé lentement, le fixant. J'ai fait un pas vers lui, il n'a pas bougé. Mes yeux rivés aux siens, j'ai passé ma main sur sa nuque, remontant sur sa tête, pour me saisir de ses cheveux, les serrer et approcher sa tête de la mienne.
La rougeur est revenue d'un coup, la sueur coulait encore de ses tempes.
-tu cherches quoi Joris ? un coup de bite ? parce que t'es au bon endroit mon pote!
Ses yeux se sont embués, ses lèvres tressautaient sans qu'un mot sorte.
-alors répond! t'es pédé ou pas ?
Les larmes coulaient de ses yeux mais il me fixait toujours. Je serrais les cheveux encore plus fort, je sais que ça fait mal à cet endroit mais il ne disait rien, la sueur coulait toujours sur ses tempes.
Il ne disait toujours rien.
J'ai approché mes lèvres à toucher les siennes, nos nez se frôlaient et je sentais son souffle sortir de sa bouche entrouverte.
Je bandais, enfin ma queue essayait de bouger dans mon boxer serré.
J'ai soufflé dans sa bouche, ses yeux avaient arrêté les larmes et brillaient maintenant.
J'ai frotté mes lèvres contre les siennes, doucement, lentement, appréciant la douceur, la chaleur. Ses yeux se sont fermés, clos par ses beaux longs cils, sa bouche s'est ouverte un peu plus, il attendait mon beau Joris.
J'ai bloqué sa tête en l'écrasant sur la mienne, nos bouches ont fait ventouses et ma langue est partie à l'aventure. Oh pas loin car la sienne est venue à sa rencontre. Une belle langue chaude et agile, aimant jouer, donner sa salive et le beau Joris s'est mis à gémir.
J'ai desserré l'étreinte sur ses cheveux, pour l'entourer de mes bras et le serrer contre moi.
On aurait dit qu'il n'attendait que ça. Son corps s'est collé au mien, ondulant. Ses bras m'ont entouré la taille, je crois qu'il n'osait pas me caresser.
On a joué aux jeux de la langue et des lèvres un bon moment il avait l'air d'aimer ça!
On était toujours dans la cuisine je l'ai emmené dans le salon.
Je l'ai pris par le menton, le fixant.
-t'as fait quoi avec un mec ?
-rien! dit il dans un souffle.
-et avec une fille ?
-rien non plus ! dit il en baissant les yeux.
-et tu veux vraiment baiser avec moi ?
-oui j'en ai envie, j'ai envie que tu m'apprennes.
-pourquoi ?
-je sais pas quand je t'ai vu chez Océane j'ai su qu'avec toi je pourrais le faire, que tu sauras me le faire, m'apprendre!
-mais alors pourquoi tu es avec Océane ?
-j'ose pas lui dire. Je n'étais pas sûr d'aimer les garçons. Quand je suis avec elle je suis bien, l'embrasser, la caresser mais allez plus loin j'ai pas envie avec elle.
-mais avec moi oui!
-oui, il baissait les yeux et des larmes coulaient encore.
-et tu voudrais faire quoi alors avec moi ?
Et il a dit cette phrase qu'il ne faut jamais dire à un mec qu'on connait pas!
-tout! je veux tout faire avec toi! d'ailleurs tu peux faire ce que tu veux de moi je t'obéirais.
Il est venu se pelotonner contre moi, sa tête dans mon cou!
C'était mignon tout plein tout ça! mais j'étais d'humeur à m'amuser ce jour là et j'aime bien les puceaux. C'est tendre, c'est obéissant et en général ça en veut!
J'ai vraiment pas été déçu avec Joris.
On a oublié Océane.
J'ai fait le tendre pour commencer.
-allez déshabille toi complètement Joris.
Il s'est mis nu et j'admirais ce beau mec au fur et à mesure que je découvrais son corps. Une belle queue qui bandait déjà, excité le Loulou! et un cul! putain je l'avais bien deviné au supermarché, haut, de belles fesses bien dures, avec une raie qui les départageait, un corps pratiquement imberbe, lisse. Il m'a regardé, l'air inquiet, rougissant encore. Je l'ai attiré à moi, pour l'embrasser tendrement, amoureusement et profiter de lui caresser le dos, ses fesses. Je bandais à fond!
-déshabille moi Joris, je serais le premier mec que tu vas déshabiller.
Le sourire aux lèvres, il m'a enlevé mes vêtements un à un, découvrant mon beau corps et quand j'ai été en boxer, qu'il voyait ma grosse tige coincée, ses mains ont hésité à l'enlever.
Je me suis assis dans le canapé, j'ai tendu ma jambe.
-enlève mes chaussettes Joris.
Il a obéi, l'air étonné.
-caresse mes pieds, sent les… je ne pue pas des pieds Joris.
J'adore me faire caresser les pieds… et lécher!
Il était dans la position que je voulais, sans lui avoir demandé à genoux devant moi assis dans le canapé.
Il a pris un pied dans ses mains, le caressant maladroitement, reniflant les orteils un à un. Je bougeais les orteils sur ses lèvres comme s'ils voulaient entrer.
Ses lèvres les ont laissé faire. Je bougeais le gros orteil dans l'entrée de sa bouche, il me fixait, étonné… je souriais.
-suce le Joris! dis je en bougeant le gros orteil
Quand j'ai senti ses lèvres entourer le gros orteil et sa langue qui léchait j'ai su qu'il ferait tout ce que je voudrais.
Il s'est appliqué, je lui ai fait lécher tous les orteils, passer sa langue entre, lécher la plante et je voyais sa queue bander, pas décalottée mais qui coulait à terre.
Avec mon autre pied, je lui ai caressé la poitrine, passant mon gros orteil sur ses tétons qui grossissaient et durcissaient.
-Enlève mon boxer Joris.
J'ai soulevé mes fesses pour le laisser passer et ma queue s'est détendue, grandissant d'un seul coup, le gland bien décalotté, retombe sur ma cuisse et le méat laisse couler la mouille.
Il avait les mains sur mes cuisses et regardait ma bite et il attendait les ordres le garçon!
-alors t'as jamais touché de bite Joris ?
-non dit il tout bas.
-je t'offre la mienne fais ce que tu veux.
-euh... c'est à dire…
-viens m'embrasser Joris.
Il se redresse et son long corps vient sur le mien, je l'attire à moi, nos corps se collent, nos bites se pressent l'une sur l'autre.
-tu vois les queues vont faire connaissance d'abord puis tu vas la goûter, la prendre dans ta bouche, la lécher, la sucer en prendre soin car après elle va te visiter l'intérieur. La bouche d'abord et ton beau petit cul ensuite. Je vais te baiser Joris, te dépuceler ta bouche et ton petit cul, faire de toi ma salope! car je suis sûr que tu vas aimer ça faire la salope! hein Joris ?
-je crois oui… tu sais, quand je me branle en regardant un film porno, je m'imagine toujours dans la position du mec dominé ça me fait bander et je jute beaucoup après.
-alors ta première leçon on va la faire sur mon lit on sera mieux quand même!
On s'est relevé, les bites bandaient et coulaient, je l'ai pris par la main et nous sommes allés dans la chambre s'allonger sur le lit. Il est venu se serrer contre moi.
-alors ça va être mon moment de vérité ?
-comment ça ? dis je.
-ben je vais enfin savoir si j'aime les mecs!
-ben je crois que t'as déjà bien commencé non ?
Il fallait qu'il aime, et j'allais tout faire pour.
Au lieu de le faire s'occuper de moi je me suis intéressé à lui, à son corps chaud et lisse collé au mien. Je l'ai repoussé doucement sur le dos et j'ai commencé mes caresses.
Il ne me quittait pas des yeux. Je lui ai mis les mains derrière la tête faisant voir ses aisselles légèrement poilues de beaux poils châtains clairs, j'ai reniflé ses aisselles, léché les poils pour avoir son goût sur ma bouche. Il a rigolé, ça le chatouillait. Un beau sourire sur ses belles lèvres. Les miennes sont venues sur ses tétons qui pointaient durs! Je n'avais jamais vu des tétons si durs, les aréoles étaient emplies de petits piquants, comme quand on frémit mais là ça restait.
J'ai juste donné un coup de langue sur le premier téton qui se présentait et, aussitôt j'ai entendu un râle suivi d'un gémissement. J'ai léché, il gémissait de plus en plus, il essayait de bouger son corps, bloqué par le mien. Alors je me suis amusé avec ses tétons les suçant, les aspirant tout ça pour l'entendre gémir et le voir le faire en fermant ses beaux yeux et quand j'ai mordillé son premier téton il a poussé un petit cri. J'ai continué de mordiller un téton pendant que l'autre je le prenais entre le pouce et l'index et le serrais doucement en tournant.
Son corps a sursauté sous les caresses, il gémissait toujours de plus en plus fort, criant même des fois. Il bombait le torse pour offrir ses tétons tant à mes doigts qu'à ma bouche.
Puis ma bouche est descendue sur son torse, léchant le ventre, de beaux abdos bien durs qu'on ne voyait pas mais qu'on sentait au toucher.
J'ai inondé son nombril en le léchant copieusement.
Je voyais sa bite, sa belle queue arriver presqu'au nombril, le gland pas encore complètement décalotté, juste un peu et le méat ouvert laissait couler la mouille qui glissait sur son ventre vers le lit.
J'ai observé ce bel engin. Je savais qu'un puceau devait jouir de plaisir la première fois et je devais ne m'occuper que de son plaisir avant le mien.
Les couilles reposaient sur les cuisses serrées. J'ai reniflé tout le long de la hampe, sentir cette bonne odeur de queue excitée qui palpitait presque de se sentir observer de si près.
Mon souffle chaud l'a enveloppé. J'avais envie de la prendre en bouche, de la mordre, de la bouffer et j'ai commencé par les couilles.
Deux beaux œufs, bien durs et poilus. J'ai passé ma langue dessus, pour les tâter et j'ai léché ses belles couilles. Quand une a basculé dans ma bouche, roulant entre mon palais et ma langue il a poussé un long gémissement, son corps s'est tendu. Mes mains sont revenus sur les tétons.
Lui bouffant une couille, j'ai maltraité doucement ses tétons et le moteur à gémissements, râles a repris. Il n'arrêtait plus, son corps bougeait sur les draps. Ses mains se sont posées sur les miennes, juste pour les tenir, me laissant pincer avec douceur ses beaux tétons.
J'ai changé de couille les gémissements ont repris et ses jambes se sont écartées. D'une main j'ai mis la deuxième couille dans ma bouche et je les ai faites rouler l'une sur l'autre, dans ma salive chaude. Il fallait l'entendre pousser de petits cris. J'avais sous les yeux sa belle queue qui bougeait sur son ventre laissant une trace de mouille. J'aimais son odeur de bite, ça sentait la bite bien sûr, mais le frais, le neuf. J'étais heureux d'être le premier à goûter à sa bite!
Quand j'ai lâché ses couilles, les laissant sortir de ma bouche il a poussé un grand soupir et ma langue a suivi la queue. Mes lèvres dessus goûtaient la peau chaude, lisse, dure et douce. Je me rapprochais du gland encore partiellement couvert par le prépuce et la mouille coulait encore.
Ah il était excité le Joris!
Tenant toujours un téton d'une main, j'ai soulevé sa queue de l'autre. Un filet de mouille tombait sur son ventre. J'ai fini de décalotter ce bel engin chaud, le tenant à pleine main pour bien ressentir la dureté et voir apparaitre devant mes yeux, ce gland turgescent, brillant de mouille le frein étiré au maximum. Je jetais un œil à Joris.
Il tenait toujours ma main sur son téton et l'autre serrait le drap.
J'ai juste donné un coup de langue sur le frein, il a sursauté comme s'il avait reçu une décharge électrique en criant "ohhh", j'avais envie de rire. J'ai continué mes coups de langues c'était chaud, tendre, humide, pour lécher le frein et remonter sur le gland.
Il a lâché ma main pour venir serrer les draps se raidissant de tout le corps, son petit cul presque soulevé comme s'il voulait bien dégager sa queue.
Le premier coup de langue sur le méat l'a fait encore crier, de petits cris de surprise et mes lèvres sont venues envelopper le beau gland, je tenais maintenant fermement sa queue dans ma main laissant dépasser le gland uniquement que je me suis mis à lécher, caresser avec mes lèvres et ma langue. Il criait de plus en plus fort, soulevant encore ses fesses, sa queue serait entrée entièrement dans ma bouche si ma main n'avait pas été là.
Ses jeux de bouche et de langue sur son gland n'arrêtaient pas de le faire gémir, crier en essayant de se tortiller.
J'ai lâché sa queue, pour prendre ses couilles en main et avaler toute sa belle queue dans ma bouche.
En gueulant un grand coup, ses mains sont venues se poser sur ma tête.
-je vais juter crie t-il en le faisant.
J'ai juste eu le temps de bien fermer mes lèvres sur la tige qui avait des soubresauts dans ma bouche et les giclées se sont succédées en même temps qu'il râlait, disait des mots sans suite… "ah oui" "ah putain" tout y est passé et moi j'avalais ce bon jus de puceau.
Son corps faisait un arc de cercle. J'ai pris ses fesses en mains pour le soutenir et finir de lécher sa queue prenant bien soin de ne laisser aucune trace et le faire tressaillir encore quand ma langue touchait son gland.
Il s'est écroulé sur le lit tel un pantin désarticulé, les bras en croix sans lâcher sa queue qui bandait encore, je suis venu me coller à lui, lui faisant sentir que moi aussi je bandais et j'ai posé ma tête dans son cou.
Ses bras se sont refermés sur moi, ses lèvres sur les miennes, sa langue est entrée en moi, juste à l'entrée pour se faire sucer. Mes mains parcouraient son corps doux et chaud, il frémissait.
-je n'aurais jamais cru que c'était si bon de se faire sucer! tu m'as vidé!!
-ah ah c'est le but dis je en riant.
-tu veux que je te le fasse ?
-tu vas me le faire Joris t'inquiète! mais avant je veux m'occuper de ton petit cul… j'adore les petits culs de puceau.
Il a rigolé en m'embrassant.
Ma main est passée entre ses jambes qu'il a bien écarté docilement, les relevant sur son torse. Ma main caresse les belles fesses, un doigt passe dans la raie c'est chaud, humide, doux. Il ne doit pas y avoir de poils, sa langue n'arrête pas de voyager dans ma bouche quand mon index appuie sur l'anus c'est pour avoir la surprise de sentir qu'il entre facilement. Je suis un peu étonné pour un petit cul de puceau!
-dis donc petit coquin de Joris quand tu te branles, tu te godes en même temps ?
Là j'ai vu que la rougeur de son visage descendait jusqu'à ses épaules.
-tu sens ça avec ton doigt ? dit il rouge comme une pivoine en pleine floraison.
-quand on dit "c'est mon petit doigt qui me l'a dit", moi c'est mon index dis je en rigolant alors raconte moi petit vicieux.
-ben oui j'ai un gode et c'est vrai que j'aime me goder en même temps que je me branle je jouis plus encore! Il avait baissé les yeux en disant cela, toujours aussi rouge.
J'ai rien répondu, mais mon index est devenu plus fureteur, s'enfonçant maintenant sans ménagement et ce petit cul s'ouvrait facilement même quand j'ai mis deux doigts. Il prenait bien, alors je l'ai doigté avec force pour l'entendre encore gémir en m'offrant sa langue.
-quand tu mets ton gode, tu mets une crème avant pour l'enfoncer ?
-non je préfère avec force, le sentir entrer en moi ça me fait plein de sensations.
Mais c'est qu'il m'excitait le puceau!!
Continuant de le doigter avec fermeté et profondeur, je lui ai demandé de se mettre légèrement sur le côté, de lever sa jambe. J'ai attrapé ma queue dure comme de l'acier, bandante à fond et très coulante et j'ai passé le gland dans la raie cherchant l'entrée.
J'ai su que je l'avais trouvé quand Joris a gémi, poussant son petit cul dessus. J'ai tenu sa cuisse et j'ai forcé, poussé. Sentir son gland ouvrir un cul, se faire envelopper par le sphincter, voir Joris, les yeux fermés, mordre l'oreiller au fur et à mesure de mon avancée et pousser une gueulante quand mon gland est passé d'un seul coup. Mais il n'a pas cherché à se retirer au contraire, sa main est venue ouvrir encore plus sa jambe et ma queue a pu continuer sa progression.
J'étais bien dans ce petit cul vierge de vraie bite. Son boyau se refermait bien sur ma queue et l'enveloppait avec force. Je lui ai fait replier sa jambe, ouvrant encore plus son cul et d'un coup de reins je m'enfonçais entièrement en lui. Il a crié mais c'était plutôt en gémissant et il a tendu son cul. Je faisais de lents vas et viens au rythme de ses petits cris et gémissements.
Il a tourné la tête pour me regarder et me sourire. Il avait l'air heureux d'avoir une bite au cul Joris!
J'ai accéléré mes vas et viens ça coulissait pas trop mal. J'ai passé ma main sur sa bite, il bandait comme un chef Joris. Je l'ai fait se tourner, à plat ventre, m'entrainant sur lui, lui écartant ses jambes avec les miennes et je donnais de petits coups de reins comme si je voulais encore aller plus loin.
Il râlait sous mes coups de reins, je pouvais lui faire des bisous sur la nuque. Je l'ai fait mettre à quatre pattes pour le final!
Le tenant aux hanches, j'ai sorti entièrement ma queue pour voir son petit trou rester ouvert et je l'ai renfoncé entièrement d'un seul coup! ça pour gueuler il gueulait et j'ai recommencé jusqu'à ce qu'il ne gueule plus mais râle, gémisse sa tête dans le traversin, il mordait le drap, sa main passée entre ses jambes venait me toucher les couilles et se branler!
Je voulais jouir en lui, lui donner le meilleur de l'homme!
J'ai senti le plaisir arriver, cette chose qui vous envahie au moment où l'on s'y attend le moins, ne sachant pas exactement d'où elle vient mais sachant très bien où cela va arriver.
J'ai serré ses hanches fortement, me bloquant bien au fond de lui et les saccades de giclées se sont succédées, moi aussi je râlais et grognais déversant tout mon plaisir dans ce petit cul de puceau qui venait de ne plus l'être. Sentant son cul se refermer sur ma bite quand il a joui sur le lit.
Je suis sorti délicatement de lui pour l'entendre soupirer sûrement de contentement de ne plus l'avoir en lui et voir ce petit trou rester ouvert, voir son jus sortir et couler le long d'une jambe. Le voir s'allonger sur le ventre respirant profondément, tendant la main vers moi comme pour m'inviter à le rejoindre.
Je me suis allongé près de lui, collé à lui.
-ça va Joris ?
-oui dit il avec un grand sourire mais ça fait mal quand même, rien à voir avec mon gode.
-tu préfères quoi ?
-toi dit il en se tournant et m'embrassant à pleine bouche.
On est resté un long moment dans les bras l'un de l'autre reprenant des forces et c'est lui qui a repris les choses en main..
-t'avais dit qu'il fallait que je te suce je ne l'ai pas fait! dit il de son air coquin.
-t'es si pressé que ça ?
-ben non.
-et si tu restais ce soir pour la suite de la leçon ?
Il a roulé sur moi en m'embrassant sans répondre.
Il n'est parti que le dimanche soir. Il avait pris plusieurs leçons et je dirais que c'est un très bon élève.
Il fera une très belle salope obéissante née pour se prendre une bite dans le cul. Un vrai vorace quand il a eu goûté à ma queue, mon sperme. je n'ai jamais vu un puceau avaler le jus comme ça!
C'est Océane qui m'a appelé le dimanche soir.
-alors t'as passé un bon week-end avec mon ex futur mec ?
J'ai rigolé.
-comment tu le sais ? il t'a appelé ?
-non pas encore et je sais pas s'il va le faire. Mais quand hier après midi il est parti cinq minutes après toi disant qu'il avait oublié de faire une course et qu'il me rappelait! J'ai compris que s'il te retrouvait tu saurais avant moi s'il a une belle bite! dit elle en éclatant de rire.
-et un bon cul Océane t'as le chic pour te faire des potes qui sont pédés, pour le prochain si t'as des doutes surtout tu m'appelles!
-salaud! dit elle en rigolant.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
merci cher couple!
Trop bien cette histoire ! Toujours très bandantes les premières fois... Des moments de tendresse aussi. Bravo !