L'expérience du 15.06.2000
Récit érotique écrit par Cher Tamis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'expérience du 15.06.2000
Bonjour,
Une petite précision à faire... J’ai toujours gardé pour moi, mes expériences que nous avons vécu, ma femme et moi, tout au fond de ma bulle (mon carnet intime), ou du moins je ne les ai pas exposé au grand jour, mais avec les années qui passent et surtout avec ou grâce à l’autorisation de la principale actrice de nos jeux, qui n'est autre que ma femme, je mets noir sur blanc quelques unes de nos histoires de sexe.
Au début je voulais vous exposer nos aventures par ordre chronologique, car ou parce que j'avais déjà noté nos aventures sur mon/mes journal(aux) intime et avec cette envie de vous exposer mes-nos aventures vécues, j'ai commencé à les romancer. J'en commence à rédiger une de nos histoires vécues et avant de finir je commence à romancer une autre histoire, que je redécouvre en feuilletant négligement mes carnets, et qui me paraît alors interessante à vous faire lire mais qui a eu lieu plus tard dans le temps. Une fois que je fini d'écrire pour une raison ou une autre que je ne publie pas, voulant respecter la chronologie des aventures, et donc je perds les pédales et l'histoire que j'avais commencé à écrire je n'arrive plus à la finir ou bien je la bâcle... Et je tarde alors à publier!
Bref,
Jusqu'à maintenant j'ai respecter la chronologie de nos histoires vécues et là, j'ai résolu que je vais à partir d'ici ne plus trop suivre la chronologie de mes aventures mais qu'à partir du 01.01.2025 je vais écrire mon journal intime (coquin) sur ce site... Vous serez alors aux premières loges, si je puis dire !
Voilà une première précision !
La deuxième toute aussi importante est :
Rappel important :
Tous nos rapports ont été réalisé sous la haute protection de monsieur CONDOM.
Pour des raisons ďéconomie de temps, je n'ai pas pris la peine de préciser que tous les acteurs masculins ont respecté le port de Mon seigneur CONDOM moi y compris car il n'est pas présent que pour nous protéger du SIDA et MST, mais aussi de protéger la partenaire de ma vie, de tomber enceinte.
Les seules fois où je n'ai pas eu à porter ce manteau en plastique, étaient lors de la conception de nos 2 enfants. Et bien sûr je ne l'ai plus utilisé le préservatif avec MA FEMME quand elle a eu sa ménopause.
Dernier point : il va sans dire, que même maintenant lors de nos parties de baises, Mr CONDOM est là.
Protégez vous car c'est trop stupide de courir un risque rien que pour satisfaire un plaisir !
Maintenant voici l'histoire :
Jeudi 15.06.2000
En cette période de notre histoire de couple "parfait", ou du moins, la bonne entente que nous partagions, a fait que la principale occupation de nos journées était de partir à l’aventure et d'essayer réaliser l'un de nos fantasmes du moment, sans que pour autant cela soit programmé.
Notre désir et le plaisir de vivre des situations insolites se joignent et se rejoignent et Caline, en toute confiance, ne se prive plus de m'avouer que j'ai su réveiller la petite salope qui sommeillait au fond de ses tripes
Ce jeudi soir, nous avons décidé de se faire une soirée ciné. Arrivés dans la salle, on a eu une petite déception car elle est pratiquement vide, qu'a cela ne tienne, nous choisissons une place au fond, éloignée de l’allée centrale.
Caline, comme d'habitude, est vétue, très sexy, comme du moins à yeux (si les autres ne voient pas qu'elle est sexy... Je ne veux pas venir leurs enlever la m... qu'ils ont devant leurs yeux). Elle a enroulé ses hanches dans une jupe courte évasée. Ses seins ("superbes" qu'ils sont, me dois-je de vous le dire en passant et qui font son charme et... la fierté de son mec) sont nus sous un chemisier largement échancré.
Candauliste que je me plait à être, j’aime autant qu’elle : l'exhiber et surprendre les hommes la déshabiller du regard, et elle fait tout pour que cela soit une obligation pour ces messieurs (et ses dames aussi).
Quelques minutes après le début de la projection, je suis penché sur elle et me mets à la caresser. J’ai ouvert son chemisier jusqu'en dessous de sa poitrine et je me mets à tèter ses bonbons roses. Ma main pelote à travers le slip imaginaire, sa petite chatte déjà toute gonflée et son clito qui bande méchament. Elle est tellement excitée par notre envie de vivre un fantasme, qu’elle démarre au quart de tour.
À la lueur de l’écran, nous apercevons deux ombres se glisser dans notre rangée, à quelques sièges de nous.
Nous constatons vite qu’il s’agit d’un couple, et que leur occupation, à peine assis, est assez similaire à la notre. À vrai dire on le souhaîte vivement.
Ils s’embrassent à pleine bouche et l’on devine la main du garçon se promener des cuisses aux seins de sa compagne, qui est assise sur le siège le plus proche de nous.
A priori cette main ne cherche pas encore à s’immiscer sous les vêtements de la dame. Je fais remarquer au bout de quelques temps à ma compagne :
— Ils ont l’air plutôt sage ! Tu crois que notre présence les intimide ? Ils n’ont pas dû nous voir en arrivant.
— Mon œil... Tu le vois bien ?
— Oui... Petite coquine... Et si c'était vraiment le cas ?
— Demandes-leur ! Me dit-elle en riant.
— Je vais plutôt les mettre à l’aise !
Tandis que nous échangeons un baiser passionné, j’entreprends de défaire un à un les derniers boutons de son chemisier. Caline comprend bien ma manœuvre, et se contente d’enfoncer sa langue dans ma bouche. J’écarte largement le pan de son vêtement et le maintien de ma main passée derrière ses épaules. Je masse les jolis seins découverts.
Je remarque que le jeune homme, bien qu’il n'a point cessé d’embrasser sa compagne, s’est positionné de façon à mieux nous observer, et que son regard ne puisse plus quitter ma charmante salope. Je sais que ce sein, que je pince, pelote, vu de profil, est superbe, et le gars doit se rincer les yeux.
Ma compagne, loin de s’offenser de mon manège, lance de fréquents coups d’œil à son admirateur. Je caresse et soupèse sa poitrine, comme un melon, et de l’autre main, pelote sa cuisse, en remontant sa jupe. L’accoudoir doit en partie cacher mon geste, mais le garçon ne peut pas ignorer que je branle ma douce compagne.
La position de ses jambes, très écartées, ne prête à aucune confusion !
Il a dû en faire la remarque à son amie, car elle aussi se tourne et retourne souvent vers nous, mais nous la voyons réagir "négativement" quand il cherche à s’immiscer sous sa jupe.
Elle n’est visiblement pas prête à s’exhiber ou à ce que d'autres personnes puisse la voir prendre son pied, et je remercie à nouveau le bon Dieu qui m’a permis de rencontrer Caline.
D’une pression de la main, j’invite ma douce à écarter plus grand encore ses cuisses, repoussant sa jambe jusqu’à la poser sur l’accoudoir de son fauteuil, c'est vrai que cela n'est pas très commode mais quand on se retrouve dans une euphorie similaire on fait abstraction de toutes commodités. Ainsi ouverte, offerte, légèrement tournée vers ses voisins, sa position est totalement soumise, indécente et ô combien excitante. J’en profite pour glisser la main dans son slip et branler cette zone érogène d'où se dresse son bouton qui allume ses jouissances. La tête au creux de mon épaule, elle se laisse branler (elle n'apasvraimenttrop le choix hihihi). Son sillon est humide, et quand je plonge un doigt dans son vagin gluant, elle gémit et se cabre un peu plus.
Nos deux voyeurs ne nous quittent plus du regard. S'ils avaient estimé que la situation est gênante, je pense qu’ils auraient changé de place !
Je caresse ma chienne de plus en plus profondément... J'ai maintenant deux doigts qui s’agitent au fond de sa cramouille en produisant un bruit de clapet tout à fait obscène, mais très excitant. Je ne crois pas qu’ils puissent l’entendre, pourtant ils doivent percevoir les gémissements de ma petite pute. Elle me caresse à travers mon pantalon, et je sens ses doigts s’attaquer à ma ceinture. Je l’aide à me dégrafer, et durant de longues minutes, nous nous masturbons réciproquement. La situation est très excitante et on ne se prive plus à aller plus loin. D’autant que nous sentons leurs regards sur nous, et apercevons que la fille, a écarté ses jambes, autorisant son compagnon à la trousser et se laisse visiblement se faire branler. Caline est à la limite de l’explosion. Elle mouille comme la fontaine de "Sainte Marie Jus-d'amour". Elle se tortille de son bassin à la rencontre de mes doigts qui n'hésitent pas à plonger dans puits à cyprine. Je comprend en entendant ses soupirs, que notre voisine apprécie particulièrement le traitement que lui inflige son compagnon, et que le film que nous jouons en ce moment est à 90% responsable de cet air excitant qui nous entour.
Je demande... J'intime l'ordre à Caline :
— Enlèves ton slip et viens t’asseoir sur mon zob !
Sans rien dire et en fixant du regard ce couple qui suit la progression de notre film érotique (pour le moment), Caline se lève, se courbe en avant toujours en soutenant son regard pervers, soulève sa jupe et baisse enfin sa culotte lentement, assez lentement pour que l'on puisse voir le grand étonnement dans les yeux de nos voyeurs du soir. Elle jette enfin ce petit bout de tissu sur le siège qu’elle occupait, m’enjambe et vient écraser sa chatte ruisselante sur ma queue, bien raide, que je maintiens bien droite. Bien emprisonné entre les lèvres de son sexe, je la laisse me branler dans ce four des plaisirs. Pour l'honorer comme il se doit, de ma main gauche, je lui masse les seins libres de toute entrave et lui titille son bouton d'amour.
Notre voisin de cette salle, où on s'est autorisé de projeter un autre film que celui affiché, a l’air de peloter sa compagne avec autant de vigueur que moi. On voit qu'elle s'est enfoncée dans son siège, ouvrant les cuisses au maximum. Caline se soulève et se laisse tomber sur ma verge lentement, glissant avec délice mon bâton, dans son trou chaud et gluant. Le léger balancement de ses hanches est bien visible, et nos voisins ne peuvent ignorer que nous baisons devant eux et que ma petite pute a la moule bien remplie. Caline en parfaite coquine, sait faire durer ce genre de pénétration, et me procure un extraordinaire massage de ses muscles intimes.
Je bloque ses fesses dès que je sens que je vais décharger. Je lui glisse à l’oreille :
— Tu es bien ?
— Oh oui, je te sens bien, et toi ?
— Je voudrai que nous restions comme ça jusqu’à la fin du film. Tu veux ?
— Oui, mais je vais pas tarder à jouir.
Je la sens qu'elle se tend, se crispe, tout en restant pratiquement immobile, bien qu'elle soit toute tremblante.
Bien enconnée qu'elle est, elle va chercher jusqu’au fond de ses reins un orgasme qui la secoue et noie ma queue dans son jus de moule. Elle s'affale sur moi me coupant presque le souffle. Ne perdant pas de vu mes obligations de dompteur de félines, je lui gratte doucement le clitoris de mon index droit et lui pince le téton de son sein gauche de mon autre serre-mains. Je ne sais pas par quel miracle j’ai réussi à contrôler mon plaisir, mais la sentant peser de tout son poids, sentant la vibration de ses jambes tremblantes et l'entendant reprendre son souffle, je sens mon éjaculation monter, et n’y tenant plus, je la lime de 2, 3 coups de reins que je suis vite obligé de ralentir tant mon fauteuil grince.
Caline reprend son mouvement et sa grotte aspire littéralement ma queue. Les yeux fixés dans ceux de ma voisine, qui semble-t-il, est aussi proche de l’orgasme sous l'effet des doigts de son compagnon, et tout en pétrissant les seins de ma cavalière, j’explose dans son vagin. Je crois qu’elle aussi a encore jouit. Je me sens tellement bien dans son ventre que je n’arrive pas à débander, et cela n’a pas l’air de lui déplaire. Nous observons nos voisins pour constater que l'autre actrice semble au bord du plaisir. Elle ouvre et ferme convulsivement les cuisses, et soudain se tend dans un soupir.
C’est très excitant, mais Caline m'indique que ses jambes ne la soutiennent plus. Je la pousse alors à reprendre son siège.
Je lui glisse à l’oreille :
— Tu as été super... Divine que tu es Ô ma déesse ! Nos voyeurs ont l’air d’avoir apprécié, mais je ne sais pas s’ils oseront nous offrir le même spectacle !
— Tu peux pas leur demander de te faire ce cadeau à un voyeur comme toi ?
— Oui chui un voyeur pervers mais toi, tu aimes bien qu’on te regarde te faire mettre, ma petite salope !
— Oui, j’aime ça ! Et... Tu t'en prive pas pour le faire... De m'exhiber !
À peine di son derner mot qu’elle se penche sur zob mi-tendu pour le sucer. Je n’en peux plus, mais la situation est tellement excitante et sa bouche tellement accueillante que je ne tarde pas à retrouver un semblant de rigidité, mes yeux fixés dans ceux de la fille pour lui faire comprendre que je voudrai moi aussi la voir.
J'entends rien, mais grâce à la lumière projeter par le film qui se joue sur le grand écran, j'arrive à voir que le garçon parle à l’oreille de sa copine, qui se retourne pour nous regarder, mais elle a l’air d'hésiter.
Je leurs fais signe de s’approcher. Visiblement, assez excité par cette expérience inattendue, le garçon n'hésite même pas, prend la main de ia partenaire de sa vie intime moment et essaye de la convaincre de le suivre.
Tandis qu’elle me fixe, elle remet un semblant d'ordre dans sa jupe. Je lui souris en réitérant mon geste. Elle bouge enfin, et presque poussée par Jules, ils se rapprochent de nous, laissant malgré tout un fauteuil vide entre nous. Elle est assez jolie et semble très émue. Son compagnon ne détache pas ses yeux du visage de Caline qui joue, aspire, expire, et bise ma queue, pour replonger sa main sous la jupe de sa dulcinée qui ouvre à peine les cuisses.
Je ne fais aucun geste pour ne pas la brusquer, mais mon sexe a retrouvé toute sa rigidité, et malgré l'obscurité de la salle, j’aperçois, j'imagine, entre les jambes de la fille, l’étoffe claire de son slip sous lequel son amoureux du moment a inséré ses doigts fouilleurs. Je me penche légèrement vers eux :
— Ça vous a excité de voir quelqu’un faire l’amour ?
— On s'y attend pas quand on va voir un film ! Me répond-il.
— Et qu'est-ce qu'il raconte ce film ?
— Il parle d'un couple de jeunes amoureux qui surprennent un autre couple qui font l'amour dans une salle de ciné ! Répond-elle avec une pointe d'ironie.
— Vous savez... Vous êtes très jolie quand vous voulez faire la nana choquée ! Lui lance ai-je.
Elle me sourit. Les yeux dans les yeux, j'invite Caline à reprendre sa place sur mes genoux, en lui assurant l'équilibre en lui saisissant la taille tandis qu’elle m’enjambe. Sitôt qu’elle s'est empalée sur ma verge, j’écarte son chemisier pour permettre à nos jeunes voyeurs de découvrir de près les seins que Caline est fière d'exposer. Je suis heureux de constater que notre jeune homme est plus que fasciné par cette poitrine que se secoue sous son regard stupéfaite.
Cela est toujours le cas pour les personnes envieuses, qui n'ont pas la même chose... Dans leur garage ou leur table ou leur lit...
Je n'arrive pas à être objective, mais sa nana a visiblement une poitrine plus... Moins généreuse que celle de Caline (90C) et peut-être pas aussi ferme.
La jeune voyeuse, l'eau à la bouche, se soulève enfin pour permettre à son mec de lui baisser sa culotte de jeune ado. Puis il dégrafe son futal nous dévoilant une belle érection. Il oblige sa compagne à lui laisser la place pour se mettre comme moi.
Elle se laisse guider. Il lui soulève la jupe, me révélant un très joli cul, tout rond, bien fendu, et il l’assied sur son dard. Elle se cabre lorsqu’il s'engouffre dans son nid à zboubs.
Les deux nanas, jambe l’une contre l’autre, courbées en avant, les mains en appuis sur les sièges de devant, se font baiser, se laissent baiser.
Le fauteuil vide entre nous me gène un peu, mais je hasarde ma main gauche sur la cuisse de ma voisine qui ne se dérobe pas. J’avance jusqu’à son sexe très poilu, et je déniche son clito que je caresse du bout des doigts, sentant le sexe de son partenaire quelques centimètres plus bas. Elle a la fente bien mouillée et les lèvres gonflées.
De l’autre main je palpe les seins de ma douce Caline, essayant de maintenir son chemisier ouvert pour satisfaire mon voisin qui semble très attiré vers cette poitrine et se contorsionne pour l’apercevoir dès que je laisse retomber le pan du vêtement.
Alors d’un geste je l’invite à mesurer par lui-même la consistance de ces belles mamelles, ce qu’il fait à pleine main, pendant que je continue faire jouir mes sens en branlant les deux clitoris que j’ai sous les doigts. J’essaye de caler mon plaisir sur celui de la tigresse qui se trémousse de plus en plus violemment sur ma bite. Mon plaisir et celui de ma Caline montent à l’unisson, tant elle me chevauche bien. La nana d'à côté jouit dans une crispation presque imperceptible, alors que je décharge à nouveau en sentant Caline me masser les couilles pendant que je lui chatouille le bonbon et lui défonce la chatte à coups de reins bien profonds. Nous mettons quelques instants à retrouver un rythme cardiaque normal, puis brusquement, ma voisine se lève, entraînant vers la sortie son compagnon sans même lui laisser le temps de se rajuster correctement. Tant pis, mais nous voyons que ce jeune garçon se retourne avant de disparaître pour tout jamais. Nous avons trouvé cette expérience très sympa et mega excitante.
À suivre...
Une petite précision à faire... J’ai toujours gardé pour moi, mes expériences que nous avons vécu, ma femme et moi, tout au fond de ma bulle (mon carnet intime), ou du moins je ne les ai pas exposé au grand jour, mais avec les années qui passent et surtout avec ou grâce à l’autorisation de la principale actrice de nos jeux, qui n'est autre que ma femme, je mets noir sur blanc quelques unes de nos histoires de sexe.
Au début je voulais vous exposer nos aventures par ordre chronologique, car ou parce que j'avais déjà noté nos aventures sur mon/mes journal(aux) intime et avec cette envie de vous exposer mes-nos aventures vécues, j'ai commencé à les romancer. J'en commence à rédiger une de nos histoires vécues et avant de finir je commence à romancer une autre histoire, que je redécouvre en feuilletant négligement mes carnets, et qui me paraît alors interessante à vous faire lire mais qui a eu lieu plus tard dans le temps. Une fois que je fini d'écrire pour une raison ou une autre que je ne publie pas, voulant respecter la chronologie des aventures, et donc je perds les pédales et l'histoire que j'avais commencé à écrire je n'arrive plus à la finir ou bien je la bâcle... Et je tarde alors à publier!
Bref,
Jusqu'à maintenant j'ai respecter la chronologie de nos histoires vécues et là, j'ai résolu que je vais à partir d'ici ne plus trop suivre la chronologie de mes aventures mais qu'à partir du 01.01.2025 je vais écrire mon journal intime (coquin) sur ce site... Vous serez alors aux premières loges, si je puis dire !
Voilà une première précision !
La deuxième toute aussi importante est :
Rappel important :
Tous nos rapports ont été réalisé sous la haute protection de monsieur CONDOM.
Pour des raisons ďéconomie de temps, je n'ai pas pris la peine de préciser que tous les acteurs masculins ont respecté le port de Mon seigneur CONDOM moi y compris car il n'est pas présent que pour nous protéger du SIDA et MST, mais aussi de protéger la partenaire de ma vie, de tomber enceinte.
Les seules fois où je n'ai pas eu à porter ce manteau en plastique, étaient lors de la conception de nos 2 enfants. Et bien sûr je ne l'ai plus utilisé le préservatif avec MA FEMME quand elle a eu sa ménopause.
Dernier point : il va sans dire, que même maintenant lors de nos parties de baises, Mr CONDOM est là.
Protégez vous car c'est trop stupide de courir un risque rien que pour satisfaire un plaisir !
Maintenant voici l'histoire :
Jeudi 15.06.2000
En cette période de notre histoire de couple "parfait", ou du moins, la bonne entente que nous partagions, a fait que la principale occupation de nos journées était de partir à l’aventure et d'essayer réaliser l'un de nos fantasmes du moment, sans que pour autant cela soit programmé.
Notre désir et le plaisir de vivre des situations insolites se joignent et se rejoignent et Caline, en toute confiance, ne se prive plus de m'avouer que j'ai su réveiller la petite salope qui sommeillait au fond de ses tripes
Ce jeudi soir, nous avons décidé de se faire une soirée ciné. Arrivés dans la salle, on a eu une petite déception car elle est pratiquement vide, qu'a cela ne tienne, nous choisissons une place au fond, éloignée de l’allée centrale.
Caline, comme d'habitude, est vétue, très sexy, comme du moins à yeux (si les autres ne voient pas qu'elle est sexy... Je ne veux pas venir leurs enlever la m... qu'ils ont devant leurs yeux). Elle a enroulé ses hanches dans une jupe courte évasée. Ses seins ("superbes" qu'ils sont, me dois-je de vous le dire en passant et qui font son charme et... la fierté de son mec) sont nus sous un chemisier largement échancré.
Candauliste que je me plait à être, j’aime autant qu’elle : l'exhiber et surprendre les hommes la déshabiller du regard, et elle fait tout pour que cela soit une obligation pour ces messieurs (et ses dames aussi).
Quelques minutes après le début de la projection, je suis penché sur elle et me mets à la caresser. J’ai ouvert son chemisier jusqu'en dessous de sa poitrine et je me mets à tèter ses bonbons roses. Ma main pelote à travers le slip imaginaire, sa petite chatte déjà toute gonflée et son clito qui bande méchament. Elle est tellement excitée par notre envie de vivre un fantasme, qu’elle démarre au quart de tour.
À la lueur de l’écran, nous apercevons deux ombres se glisser dans notre rangée, à quelques sièges de nous.
Nous constatons vite qu’il s’agit d’un couple, et que leur occupation, à peine assis, est assez similaire à la notre. À vrai dire on le souhaîte vivement.
Ils s’embrassent à pleine bouche et l’on devine la main du garçon se promener des cuisses aux seins de sa compagne, qui est assise sur le siège le plus proche de nous.
A priori cette main ne cherche pas encore à s’immiscer sous les vêtements de la dame. Je fais remarquer au bout de quelques temps à ma compagne :
— Ils ont l’air plutôt sage ! Tu crois que notre présence les intimide ? Ils n’ont pas dû nous voir en arrivant.
— Mon œil... Tu le vois bien ?
— Oui... Petite coquine... Et si c'était vraiment le cas ?
— Demandes-leur ! Me dit-elle en riant.
— Je vais plutôt les mettre à l’aise !
Tandis que nous échangeons un baiser passionné, j’entreprends de défaire un à un les derniers boutons de son chemisier. Caline comprend bien ma manœuvre, et se contente d’enfoncer sa langue dans ma bouche. J’écarte largement le pan de son vêtement et le maintien de ma main passée derrière ses épaules. Je masse les jolis seins découverts.
Je remarque que le jeune homme, bien qu’il n'a point cessé d’embrasser sa compagne, s’est positionné de façon à mieux nous observer, et que son regard ne puisse plus quitter ma charmante salope. Je sais que ce sein, que je pince, pelote, vu de profil, est superbe, et le gars doit se rincer les yeux.
Ma compagne, loin de s’offenser de mon manège, lance de fréquents coups d’œil à son admirateur. Je caresse et soupèse sa poitrine, comme un melon, et de l’autre main, pelote sa cuisse, en remontant sa jupe. L’accoudoir doit en partie cacher mon geste, mais le garçon ne peut pas ignorer que je branle ma douce compagne.
La position de ses jambes, très écartées, ne prête à aucune confusion !
Il a dû en faire la remarque à son amie, car elle aussi se tourne et retourne souvent vers nous, mais nous la voyons réagir "négativement" quand il cherche à s’immiscer sous sa jupe.
Elle n’est visiblement pas prête à s’exhiber ou à ce que d'autres personnes puisse la voir prendre son pied, et je remercie à nouveau le bon Dieu qui m’a permis de rencontrer Caline.
D’une pression de la main, j’invite ma douce à écarter plus grand encore ses cuisses, repoussant sa jambe jusqu’à la poser sur l’accoudoir de son fauteuil, c'est vrai que cela n'est pas très commode mais quand on se retrouve dans une euphorie similaire on fait abstraction de toutes commodités. Ainsi ouverte, offerte, légèrement tournée vers ses voisins, sa position est totalement soumise, indécente et ô combien excitante. J’en profite pour glisser la main dans son slip et branler cette zone érogène d'où se dresse son bouton qui allume ses jouissances. La tête au creux de mon épaule, elle se laisse branler (elle n'apasvraimenttrop le choix hihihi). Son sillon est humide, et quand je plonge un doigt dans son vagin gluant, elle gémit et se cabre un peu plus.
Nos deux voyeurs ne nous quittent plus du regard. S'ils avaient estimé que la situation est gênante, je pense qu’ils auraient changé de place !
Je caresse ma chienne de plus en plus profondément... J'ai maintenant deux doigts qui s’agitent au fond de sa cramouille en produisant un bruit de clapet tout à fait obscène, mais très excitant. Je ne crois pas qu’ils puissent l’entendre, pourtant ils doivent percevoir les gémissements de ma petite pute. Elle me caresse à travers mon pantalon, et je sens ses doigts s’attaquer à ma ceinture. Je l’aide à me dégrafer, et durant de longues minutes, nous nous masturbons réciproquement. La situation est très excitante et on ne se prive plus à aller plus loin. D’autant que nous sentons leurs regards sur nous, et apercevons que la fille, a écarté ses jambes, autorisant son compagnon à la trousser et se laisse visiblement se faire branler. Caline est à la limite de l’explosion. Elle mouille comme la fontaine de "Sainte Marie Jus-d'amour". Elle se tortille de son bassin à la rencontre de mes doigts qui n'hésitent pas à plonger dans puits à cyprine. Je comprend en entendant ses soupirs, que notre voisine apprécie particulièrement le traitement que lui inflige son compagnon, et que le film que nous jouons en ce moment est à 90% responsable de cet air excitant qui nous entour.
Je demande... J'intime l'ordre à Caline :
— Enlèves ton slip et viens t’asseoir sur mon zob !
Sans rien dire et en fixant du regard ce couple qui suit la progression de notre film érotique (pour le moment), Caline se lève, se courbe en avant toujours en soutenant son regard pervers, soulève sa jupe et baisse enfin sa culotte lentement, assez lentement pour que l'on puisse voir le grand étonnement dans les yeux de nos voyeurs du soir. Elle jette enfin ce petit bout de tissu sur le siège qu’elle occupait, m’enjambe et vient écraser sa chatte ruisselante sur ma queue, bien raide, que je maintiens bien droite. Bien emprisonné entre les lèvres de son sexe, je la laisse me branler dans ce four des plaisirs. Pour l'honorer comme il se doit, de ma main gauche, je lui masse les seins libres de toute entrave et lui titille son bouton d'amour.
Notre voisin de cette salle, où on s'est autorisé de projeter un autre film que celui affiché, a l’air de peloter sa compagne avec autant de vigueur que moi. On voit qu'elle s'est enfoncée dans son siège, ouvrant les cuisses au maximum. Caline se soulève et se laisse tomber sur ma verge lentement, glissant avec délice mon bâton, dans son trou chaud et gluant. Le léger balancement de ses hanches est bien visible, et nos voisins ne peuvent ignorer que nous baisons devant eux et que ma petite pute a la moule bien remplie. Caline en parfaite coquine, sait faire durer ce genre de pénétration, et me procure un extraordinaire massage de ses muscles intimes.
Je bloque ses fesses dès que je sens que je vais décharger. Je lui glisse à l’oreille :
— Tu es bien ?
— Oh oui, je te sens bien, et toi ?
— Je voudrai que nous restions comme ça jusqu’à la fin du film. Tu veux ?
— Oui, mais je vais pas tarder à jouir.
Je la sens qu'elle se tend, se crispe, tout en restant pratiquement immobile, bien qu'elle soit toute tremblante.
Bien enconnée qu'elle est, elle va chercher jusqu’au fond de ses reins un orgasme qui la secoue et noie ma queue dans son jus de moule. Elle s'affale sur moi me coupant presque le souffle. Ne perdant pas de vu mes obligations de dompteur de félines, je lui gratte doucement le clitoris de mon index droit et lui pince le téton de son sein gauche de mon autre serre-mains. Je ne sais pas par quel miracle j’ai réussi à contrôler mon plaisir, mais la sentant peser de tout son poids, sentant la vibration de ses jambes tremblantes et l'entendant reprendre son souffle, je sens mon éjaculation monter, et n’y tenant plus, je la lime de 2, 3 coups de reins que je suis vite obligé de ralentir tant mon fauteuil grince.
Caline reprend son mouvement et sa grotte aspire littéralement ma queue. Les yeux fixés dans ceux de ma voisine, qui semble-t-il, est aussi proche de l’orgasme sous l'effet des doigts de son compagnon, et tout en pétrissant les seins de ma cavalière, j’explose dans son vagin. Je crois qu’elle aussi a encore jouit. Je me sens tellement bien dans son ventre que je n’arrive pas à débander, et cela n’a pas l’air de lui déplaire. Nous observons nos voisins pour constater que l'autre actrice semble au bord du plaisir. Elle ouvre et ferme convulsivement les cuisses, et soudain se tend dans un soupir.
C’est très excitant, mais Caline m'indique que ses jambes ne la soutiennent plus. Je la pousse alors à reprendre son siège.
Je lui glisse à l’oreille :
— Tu as été super... Divine que tu es Ô ma déesse ! Nos voyeurs ont l’air d’avoir apprécié, mais je ne sais pas s’ils oseront nous offrir le même spectacle !
— Tu peux pas leur demander de te faire ce cadeau à un voyeur comme toi ?
— Oui chui un voyeur pervers mais toi, tu aimes bien qu’on te regarde te faire mettre, ma petite salope !
— Oui, j’aime ça ! Et... Tu t'en prive pas pour le faire... De m'exhiber !
À peine di son derner mot qu’elle se penche sur zob mi-tendu pour le sucer. Je n’en peux plus, mais la situation est tellement excitante et sa bouche tellement accueillante que je ne tarde pas à retrouver un semblant de rigidité, mes yeux fixés dans ceux de la fille pour lui faire comprendre que je voudrai moi aussi la voir.
J'entends rien, mais grâce à la lumière projeter par le film qui se joue sur le grand écran, j'arrive à voir que le garçon parle à l’oreille de sa copine, qui se retourne pour nous regarder, mais elle a l’air d'hésiter.
Je leurs fais signe de s’approcher. Visiblement, assez excité par cette expérience inattendue, le garçon n'hésite même pas, prend la main de ia partenaire de sa vie intime moment et essaye de la convaincre de le suivre.
Tandis qu’elle me fixe, elle remet un semblant d'ordre dans sa jupe. Je lui souris en réitérant mon geste. Elle bouge enfin, et presque poussée par Jules, ils se rapprochent de nous, laissant malgré tout un fauteuil vide entre nous. Elle est assez jolie et semble très émue. Son compagnon ne détache pas ses yeux du visage de Caline qui joue, aspire, expire, et bise ma queue, pour replonger sa main sous la jupe de sa dulcinée qui ouvre à peine les cuisses.
Je ne fais aucun geste pour ne pas la brusquer, mais mon sexe a retrouvé toute sa rigidité, et malgré l'obscurité de la salle, j’aperçois, j'imagine, entre les jambes de la fille, l’étoffe claire de son slip sous lequel son amoureux du moment a inséré ses doigts fouilleurs. Je me penche légèrement vers eux :
— Ça vous a excité de voir quelqu’un faire l’amour ?
— On s'y attend pas quand on va voir un film ! Me répond-il.
— Et qu'est-ce qu'il raconte ce film ?
— Il parle d'un couple de jeunes amoureux qui surprennent un autre couple qui font l'amour dans une salle de ciné ! Répond-elle avec une pointe d'ironie.
— Vous savez... Vous êtes très jolie quand vous voulez faire la nana choquée ! Lui lance ai-je.
Elle me sourit. Les yeux dans les yeux, j'invite Caline à reprendre sa place sur mes genoux, en lui assurant l'équilibre en lui saisissant la taille tandis qu’elle m’enjambe. Sitôt qu’elle s'est empalée sur ma verge, j’écarte son chemisier pour permettre à nos jeunes voyeurs de découvrir de près les seins que Caline est fière d'exposer. Je suis heureux de constater que notre jeune homme est plus que fasciné par cette poitrine que se secoue sous son regard stupéfaite.
Cela est toujours le cas pour les personnes envieuses, qui n'ont pas la même chose... Dans leur garage ou leur table ou leur lit...
Je n'arrive pas à être objective, mais sa nana a visiblement une poitrine plus... Moins généreuse que celle de Caline (90C) et peut-être pas aussi ferme.
La jeune voyeuse, l'eau à la bouche, se soulève enfin pour permettre à son mec de lui baisser sa culotte de jeune ado. Puis il dégrafe son futal nous dévoilant une belle érection. Il oblige sa compagne à lui laisser la place pour se mettre comme moi.
Elle se laisse guider. Il lui soulève la jupe, me révélant un très joli cul, tout rond, bien fendu, et il l’assied sur son dard. Elle se cabre lorsqu’il s'engouffre dans son nid à zboubs.
Les deux nanas, jambe l’une contre l’autre, courbées en avant, les mains en appuis sur les sièges de devant, se font baiser, se laissent baiser.
Le fauteuil vide entre nous me gène un peu, mais je hasarde ma main gauche sur la cuisse de ma voisine qui ne se dérobe pas. J’avance jusqu’à son sexe très poilu, et je déniche son clito que je caresse du bout des doigts, sentant le sexe de son partenaire quelques centimètres plus bas. Elle a la fente bien mouillée et les lèvres gonflées.
De l’autre main je palpe les seins de ma douce Caline, essayant de maintenir son chemisier ouvert pour satisfaire mon voisin qui semble très attiré vers cette poitrine et se contorsionne pour l’apercevoir dès que je laisse retomber le pan du vêtement.
Alors d’un geste je l’invite à mesurer par lui-même la consistance de ces belles mamelles, ce qu’il fait à pleine main, pendant que je continue faire jouir mes sens en branlant les deux clitoris que j’ai sous les doigts. J’essaye de caler mon plaisir sur celui de la tigresse qui se trémousse de plus en plus violemment sur ma bite. Mon plaisir et celui de ma Caline montent à l’unisson, tant elle me chevauche bien. La nana d'à côté jouit dans une crispation presque imperceptible, alors que je décharge à nouveau en sentant Caline me masser les couilles pendant que je lui chatouille le bonbon et lui défonce la chatte à coups de reins bien profonds. Nous mettons quelques instants à retrouver un rythme cardiaque normal, puis brusquement, ma voisine se lève, entraînant vers la sortie son compagnon sans même lui laisser le temps de se rajuster correctement. Tant pis, mais nous voyons que ce jeune garçon se retourne avant de disparaître pour tout jamais. Nous avons trouvé cette expérience très sympa et mega excitante.
À suivre...
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C'est pour vivre des moments comme ça, ô cher mari à Karen, que mon épouse et moi nous nous interdisons rien, ou du moins, peu de choses nous sont interdites... Et comme le dit le proverbe "On ne vit qu'une fois !"
Donc on ne doit pas regretter de vivre sa vie à fond !
Et bon si maintenant on se met à parler croyance et tout ce qui va avec, surtout pour nous qui sommes (supposés être) arabes musulmans et patate et patataaa... j'en aurai pour 30 millions d'années à débattre alors que là, j'ai plutôt envie de... SEXXXXE
:))
Donc on ne doit pas regretter de vivre sa vie à fond !
Et bon si maintenant on se met à parler croyance et tout ce qui va avec, surtout pour nous qui sommes (supposés être) arabes musulmans et patate et patataaa... j'en aurai pour 30 millions d'années à débattre alors que là, j'ai plutôt envie de... SEXXXXE
:))
Karen et moi, avons eu de nombreuses aventures en salle de cinéma. Mais à 90% le "partenaire" était un homme. Nous n'avons eu qu'une seule "complicité" avec un couple, plus âgés, et ça a fini chez eux pour le restant de la nuit. Nous en avons gardé un très bon souvenir et avons eu plusieurs jouissances.
Peut-être un jour vie dra où vous pourriez être à la place du 2eme couple
:))
:))
Très belle histoire j’aurais bien voulu être à la place du deuxième couple...