L'extase
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'extase
J’étais en train de faire quelques courses dans la grande surface du coin. Et comme souvent lorsque j‘étais seul, je ne me privais pas d’aller faire un tour du côté du rayon lingerie. Désireux de trouver un sous-vêtement affriolant pour ma femme. Dont j’avais l’intention pas plus tard que le soir même le lui faire porter, pour la séance vidéo, une fois les enfants couchés.
Avec passion, je me mis à contempler soutien-gorge et petites culottes, largement exposés et étalés sur des silhouettes de femmes mannequins ou sur des cintres. À deux pas de moi, les bras tenant quelques pièces d’une lingerie rouge sombre, se tenait une femme.
Ce qui était normal me direz-vous, puisque j’étais dans un domaine consacré pour elles. Mais mon intérêt se porta je ne savais pourquoi sur elle, et seulement sur elle, alors qu’une foule dense se compressait, là, autour de nous. C’était ainsi que je remarquais qu’elle était enceinte. Nos regards s’étaient croisés, accrochés même, et cela l’espace d’un simple instant. Assez pour m’apercevoir qu’elle m’avait souri. Un sourire de complicité en même temps que de compassion.
Puis, elle s’était remise à farfouiller dans le rayon. J’avais continué pour ma part à chercher ce que j’étais venu chercher.
-S’il vous plaît… Bêtement, je tournais la tête, certain que cet appel ne pouvait aucunement s’adresser à moi.
-Hé, Monsieur, persista la voix. Oui ! Vous… Je pivotais mon regard dans sa direction, pour constater que c’était moi qu’elle regardait.
-Moi ! Répondis-je.
-Oui, j’ai besoin d’un avis… d’homme.
J’ouvris de grands yeux, attendant la suite.
-Voilà : que pensez-vous de cet ensemble ?
Elle tenait en main une culotte et un soutien-gorge, presque transparents. Je devais avouer que je ne m’attendais pas à pareille demande venant d‘une inconnue. Le souffle un peu court, à cause de l’émotion, les yeux écarquillés, je contemplais l’ensemble un instant. Ce moment particulier me permettait toutes les audaces. Je pensais même qu’elle était à cet instant autant consciente que moi.
-Alors ? Lâcha-t-elle.
-C’est… c’est beau… ai-je bêtement bredouillé.
-Oui, mais est-ce que c’est excitant à vos yeux ?
-Il me semble que c’est parfait. Pour ma part j’aime beaucoup.
-Alors, vous pensez que je peux prendre la parure ?
-Heu… Oui, je le prendrai, oui, sans hésitation… -Merci ! Vous me rendez là un grand service.
-Je vous en prie !
Et alors que je pensais ma prestation terminée, elle ajouta : -attendez un instant, juste deux secondes encore… cela vous direz de me voir porter cette parure sur moi ?
-C’est que… -C’est que quoi, parce que je suis enceinte, c’est ça ? Je vous dégoûte ?
-Où allez-vous chercher cela ?
-N’ayez aucune crainte mon cher monsieur, vous n’êtes pas le seul. C’est aussi le cas de mon mari, qui me néglige depuis plusieurs semaines.
-Vous vous trompez, je vous trouve très sexy et cela malgré votre grossesse.
-C’est sûr ?
-Bien sûr !
-Attendez alors !
Elle se pencha vers son sac, en tira une carte bristol qu’elle me tendit.
-Tenez, mon adresse… Venez me rejoindre demain après-midi vers quatorze heures ! Vous pouvez ?
Je dépliais mes doigts pour attraper la carte. En lisant le petit morceau de bristol blanc, je marmonnais : -allant pour quatorze heures… alors, à demain… Presque à l’heure dite, je sonnai à la porte d‘Irène, le nom mentionné sur le bristol. Elle ne devait pas être très loin de la porte, car elle vint m’ouvrir instantanément.
Elle me fixa un instant avant de me sourire. Puis elle me saisit de ma main et m’entraina à l’intérieur de chez elle, pour m’attirer jusqu’à son salon richement meublé. Puis elle s’arrêta brusquement et ses yeux dans les miens, me lâcha : -finissons-en, ose quelque chose ! Moi je ne pourrai pas.
Essayons et si cela me déplaît trop je te dirai de partir, et nous en restons là. Tu aies d’accord ?
-Je signe.
Sans plus attendre je l’embrassai dans le cou. Elle m’enserra de ses bras, sans mot dire. J’en profitais pour approcher mes lèvres des siennes. Nous échangeâmes un long baiser qui embrasa mes sens et sans doute les siens. Je passai mes mains sous sa robe de grossesse, caressais son énorme ventre, remontant mes mains jusqu’à sa poitrine, la massant doucement, mais avec force, nos lèvres ne se dessoudant plus les unes des autres.
À mon plus grand étonnement et venant d’une femme qui avait l’air si sérieux dans son rôle d’épouse-modèle et discrète, elle ôta sa robe, devenue un obstacle pour elle, en plein milieu du salon ! Je me mis à genoux pour embrasser son ventre bombé ! Comme pour la remercier de son initiative.
Puis l’instant d’après, nous nous étreignîmes tendrement de nouveau. Échangeant de langoureux baisers. Je profitais de son ivresse pour dégrafer son soutien-gorge, qu’elle laissa glisser le long de ses bras, avant de le laisser choir sur le tapis, comme soumise de succomber à ces désirs pervers et interdits. J’engloutis ses mamelons dans ma bouche, le goût de sa peau m’enivrait.
Je fis glisser sa culotte de grossesse le long de ses jambes. Son corps nu révélait toute sa splendeur. Son ventre de future maman, ses seins lourds, sa toison rousse peu touffue et coupée court faisait naître en moi une envie de viol !
Pris d’un désir fougueux, je me désapais à mon tour. Mon pénis n’était pas encore en totale érection.
Nos corps étaient maintenant à touche-touche. Beaucoup de tendresse s’échangeait par des caresses et petits, bisous tendres. La main d’Irène commençait à me caresser faiblement le sexe, comme pour me donner le signal de commencer ce voyage sensuel.
Mon sexe commençait à bander très dur. Irène le constatant, s’agenouilla du mieux qu’elle pouvait, tant elle était gênée par son ventre. Elle me prodigua une douce fellation, oscillant entre tendresse et sucette d’amante éprouvant du plaisir en ce qu’elle me faisait des lèvres, sans effleurer mon sexe, ni trop presser dessus.
Je ne pouvais pas décemment la laisser dans cette position aussi inconfortable, à genoux, il fallait quand même prendre soin de la future maman. Je la fis se relever doucement en l’aidant, et l‘installai sur le divan.
Mû par le ressort de l’excitation, j’envoyais ma bouche vers cette intimité ouverte, déjà luisante de désir et qui n’attendait que ma bouche, ma langue et mes lèvres pour s’ouvrir un peu plus. Et me voilà, en position de prière devant ce con offert, posant mes lèvres sur le haut des cuisses. Le contact de la peau des cuisses me survolta. Elle était douce. Elle sentait le musc et aussi une légère transpiration aigrelette. Mes lèvres ne s’attardèrent qu’un petit moment en cet endroit avant de s’approcher de son entrejambe.
Je fourrais mon nez dans sa fourrure pubienne, en découvrant quelques odeurs capiteuses et entêtantes qui me firent tourner la tête et déclencher une série de spasmes sur mon bâton de chair.
Du bout des lèvres, du bout de la langue, je sentais le velouté des poils rêches, puis l’interruption du système pileux et je fus au contact de la peau légèrement plissée, du haut de sa vulve. Plis dans lesquels je me perdis. Du bout de ma langue, je léchai, suçotai et tentai de pénétrer les plis, replis et flétrissures de cette peau chaude, odorante, humide. Sous ma langue, je touchai la tige longue et déjà dure du clitoris qui bandait et se tendait. Par petits coups de langue, j’en mouillai la petite hampe et, en arrivant au bout, je lui appliquai une aspiration des lèvres et le décalottai.
À cette aspiration, j’entendais le souffle de ma partenaire s’accélérer et se saccader. À l’aide de ses deux mains, elle me plaqua le visage contre son gros ventre. Du bout des dents, j’allais cueillir le petit bout de chair pointu et glissant et l’est fait rouler pendant que ma langue l’agaçait. La respiration d’Irène s’interrompit immédiatement pour laisser place à des grognements rauques. Puis, j’abandonnais son clitoris et ma langue descendit sur l’ouverture de son intimité toute poisseuse. Je fis rapidement le tour, titillant l’entrée hérissée de picots et petits bourrelets de chair qui s’écartèrent sous mes petites pressions. Je sentais couler le plaisir et accélérai encore. Les mains autour de ma tête se crispèrent bloquant mes mouvements.
Contre mes oreilles, je percevais les muscles des cuisses se contracter et se refermer sur moi. Elle avait joui.
Enfin, après quelques longues secondes qui me parurent des minutes, l’étreinte des cuisses me libéra et j’avais pu enfin reprendre mon souffle, essuyer mon visage trempé d’elle, me redresser et surtout tenter de soulager l’extrême tension de ma mâchoire qui venait d’être mise à rude épreuve et qui était à la limite de la tétanie.
Je pris place à mon tour sur le divan, le sexe pointant vers le plafond. Elle ne se fit pas prier pour m’enfourcher. Devant mes yeux, ses deux majestueux seins. J’avançai la bouche vers les tétons durs et pointus, pour les embrassai l’un après l’autre, puis les mordiller. Pendant ce temps, je sentis le sexe d’Irène, trempé, flirter avec le mien. Insatisfaite, elle l’accrocha d’une main ferme, et la dirigea vers son antre débordant de sève.
En quelques coups de reins, de ventre, et de roulis des hanches, elle s’installait, empalée, embrochée sur mon pénis et entama une lente danse du bassin qui fit monter sans aucun doute son plaisir ainsi que le mien. Je m’activais toujours sur ses seins, avec la bouche et mais aussi avec mes mains, que je fis descendre dans son dos, pour mieux empoigner ses fesses. Les enserrer avec les paumes pour accompagner le va-et-vient qui la faisait monter et descendre à un rythme de plus en plus endiablé. Elle atteignit l’instant de jouissance, d’extase.
Ruisselant de transpiration, le souffle court, le sexe toujours excité, elle me libéra pour mon plus grand désarroi. Mais ça, je l’avais gardé pour mieux. J’étais tout à elle, et pour son plaisir. Et sans chercher à reprendre mon souffle, inquiet pour ma vigueur masculine et de peur qu’elle ne retombe épuisée. Bien sûr, elle savait que je n’avais pas encore eu ma part de jouissance, et ce fut pour cela qu‘elle se décidait à me sucer de nouveau.
Au bout de quelques minutes, elle releva la tête pour me demandait.
-Ce n’est pas bon !
-Oui, c’est délicieux.
-Alors, pourquoi… -Je ne suis pas du genre à cracher tout de suite de cette façon-là.
-Et je peux savoir ce qui te fait cracher ?
-La sodomie ! Lâchais-je le plus simplement possible.
-Pourquoi pas ! J’aimerai bien essayer la sodomie, cela te dirait de faire ça avec moi ? Mon mari ne trouve pas ça hygiénique. Encore un autre qui ne connaissait rien ! Pas hygiénique ! Tout est bon pour rendre une femme heureuse.
-Je ne sais pas si ce sont mes hormones de grossesse qui me travaillent, ajouta-t-elle, mais j’y pense si souvent !
D‘elle-même, sans que je choisisse la position, elle se retourna et me tendit sa croupe rebondie, largement ouverte, prête à m’accueillir. Mais j’étais cet instant-là, du genre fébrile, alors d’une main ferme, elle avait mis fin à mes quelques tâtonnements et me dirigea vers son petit trou. Mon sexe buta contre l’anneau musclé, fripé, humide, chaud et ouvert.
D’une simple poussée, avec la complicité de ma partenaire, mon sexe l’envahit là, doucement. L’anneau m’enveloppait, me massait au passage étroit et pour mieux m’absorber.
Ma poussée se calquait sur le souffle rauque d’Irène qui me demandait d’aller toujours plus loin, toujours plus vite… et notre chevauchée érotique reprenait… jusqu’à l’apocalypse, au feu d’artifice final, à l’explosion de ma jouissance et de la sienne… avant que je retombe épuisé, ahanant, les jambes tremblantes, sur son dos…l’accompagnant gestuellement.
Quelques minutes plus tard, je fus pris d’une envie, celle d’écarter ses fesses et lui fit un léchage. Le goût de son cul en bouche je me plaçais au-dessus d’elle et par le haut je plaçais de nouveau ma verge à l’entrée de son anus, et pesais dessus pour une pénétration en douceur.
À l’aide de petits spasmes anaux, Irène m’avala une nouvelle fois, faisant que mon pubis vint au contact de ses fesses. Des mouvements lents mais rythmés et coordonnés de nos bassins, nous permirent d’atteindre ensemble des crêtes de plaisirs, savoureusement dégustés. Irène murmurait sur le souffle de sa voix des : -c’est bon, je n’aurais jamais cru cela… encore, encore… Auxquels je répondais : -tu es bonne… très bonne, même !
Il avait fallu néanmoins un long branlage pour que j’arrive à sentir monté en moi un début de picotement. Annonciatrice d’une proche jouissance.
Bien entendu, et vous l’aurez bien compris, Irène est devenue un rendez-vous régulier et incontournable dans mon agenda. C’étaittoujours moi qui allais chez elle.
Je l’avais même enculé, la veille de son accouchement à la maternité. D’ailleurs elle avait insisté auprès de son époux pour que son garçon porte le nom de Alain, après Pierre-Aymeric.
Avec passion, je me mis à contempler soutien-gorge et petites culottes, largement exposés et étalés sur des silhouettes de femmes mannequins ou sur des cintres. À deux pas de moi, les bras tenant quelques pièces d’une lingerie rouge sombre, se tenait une femme.
Ce qui était normal me direz-vous, puisque j’étais dans un domaine consacré pour elles. Mais mon intérêt se porta je ne savais pourquoi sur elle, et seulement sur elle, alors qu’une foule dense se compressait, là, autour de nous. C’était ainsi que je remarquais qu’elle était enceinte. Nos regards s’étaient croisés, accrochés même, et cela l’espace d’un simple instant. Assez pour m’apercevoir qu’elle m’avait souri. Un sourire de complicité en même temps que de compassion.
Puis, elle s’était remise à farfouiller dans le rayon. J’avais continué pour ma part à chercher ce que j’étais venu chercher.
-S’il vous plaît… Bêtement, je tournais la tête, certain que cet appel ne pouvait aucunement s’adresser à moi.
-Hé, Monsieur, persista la voix. Oui ! Vous… Je pivotais mon regard dans sa direction, pour constater que c’était moi qu’elle regardait.
-Moi ! Répondis-je.
-Oui, j’ai besoin d’un avis… d’homme.
J’ouvris de grands yeux, attendant la suite.
-Voilà : que pensez-vous de cet ensemble ?
Elle tenait en main une culotte et un soutien-gorge, presque transparents. Je devais avouer que je ne m’attendais pas à pareille demande venant d‘une inconnue. Le souffle un peu court, à cause de l’émotion, les yeux écarquillés, je contemplais l’ensemble un instant. Ce moment particulier me permettait toutes les audaces. Je pensais même qu’elle était à cet instant autant consciente que moi.
-Alors ? Lâcha-t-elle.
-C’est… c’est beau… ai-je bêtement bredouillé.
-Oui, mais est-ce que c’est excitant à vos yeux ?
-Il me semble que c’est parfait. Pour ma part j’aime beaucoup.
-Alors, vous pensez que je peux prendre la parure ?
-Heu… Oui, je le prendrai, oui, sans hésitation… -Merci ! Vous me rendez là un grand service.
-Je vous en prie !
Et alors que je pensais ma prestation terminée, elle ajouta : -attendez un instant, juste deux secondes encore… cela vous direz de me voir porter cette parure sur moi ?
-C’est que… -C’est que quoi, parce que je suis enceinte, c’est ça ? Je vous dégoûte ?
-Où allez-vous chercher cela ?
-N’ayez aucune crainte mon cher monsieur, vous n’êtes pas le seul. C’est aussi le cas de mon mari, qui me néglige depuis plusieurs semaines.
-Vous vous trompez, je vous trouve très sexy et cela malgré votre grossesse.
-C’est sûr ?
-Bien sûr !
-Attendez alors !
Elle se pencha vers son sac, en tira une carte bristol qu’elle me tendit.
-Tenez, mon adresse… Venez me rejoindre demain après-midi vers quatorze heures ! Vous pouvez ?
Je dépliais mes doigts pour attraper la carte. En lisant le petit morceau de bristol blanc, je marmonnais : -allant pour quatorze heures… alors, à demain… Presque à l’heure dite, je sonnai à la porte d‘Irène, le nom mentionné sur le bristol. Elle ne devait pas être très loin de la porte, car elle vint m’ouvrir instantanément.
Elle me fixa un instant avant de me sourire. Puis elle me saisit de ma main et m’entraina à l’intérieur de chez elle, pour m’attirer jusqu’à son salon richement meublé. Puis elle s’arrêta brusquement et ses yeux dans les miens, me lâcha : -finissons-en, ose quelque chose ! Moi je ne pourrai pas.
Essayons et si cela me déplaît trop je te dirai de partir, et nous en restons là. Tu aies d’accord ?
-Je signe.
Sans plus attendre je l’embrassai dans le cou. Elle m’enserra de ses bras, sans mot dire. J’en profitais pour approcher mes lèvres des siennes. Nous échangeâmes un long baiser qui embrasa mes sens et sans doute les siens. Je passai mes mains sous sa robe de grossesse, caressais son énorme ventre, remontant mes mains jusqu’à sa poitrine, la massant doucement, mais avec force, nos lèvres ne se dessoudant plus les unes des autres.
À mon plus grand étonnement et venant d’une femme qui avait l’air si sérieux dans son rôle d’épouse-modèle et discrète, elle ôta sa robe, devenue un obstacle pour elle, en plein milieu du salon ! Je me mis à genoux pour embrasser son ventre bombé ! Comme pour la remercier de son initiative.
Puis l’instant d’après, nous nous étreignîmes tendrement de nouveau. Échangeant de langoureux baisers. Je profitais de son ivresse pour dégrafer son soutien-gorge, qu’elle laissa glisser le long de ses bras, avant de le laisser choir sur le tapis, comme soumise de succomber à ces désirs pervers et interdits. J’engloutis ses mamelons dans ma bouche, le goût de sa peau m’enivrait.
Je fis glisser sa culotte de grossesse le long de ses jambes. Son corps nu révélait toute sa splendeur. Son ventre de future maman, ses seins lourds, sa toison rousse peu touffue et coupée court faisait naître en moi une envie de viol !
Pris d’un désir fougueux, je me désapais à mon tour. Mon pénis n’était pas encore en totale érection.
Nos corps étaient maintenant à touche-touche. Beaucoup de tendresse s’échangeait par des caresses et petits, bisous tendres. La main d’Irène commençait à me caresser faiblement le sexe, comme pour me donner le signal de commencer ce voyage sensuel.
Mon sexe commençait à bander très dur. Irène le constatant, s’agenouilla du mieux qu’elle pouvait, tant elle était gênée par son ventre. Elle me prodigua une douce fellation, oscillant entre tendresse et sucette d’amante éprouvant du plaisir en ce qu’elle me faisait des lèvres, sans effleurer mon sexe, ni trop presser dessus.
Je ne pouvais pas décemment la laisser dans cette position aussi inconfortable, à genoux, il fallait quand même prendre soin de la future maman. Je la fis se relever doucement en l’aidant, et l‘installai sur le divan.
Mû par le ressort de l’excitation, j’envoyais ma bouche vers cette intimité ouverte, déjà luisante de désir et qui n’attendait que ma bouche, ma langue et mes lèvres pour s’ouvrir un peu plus. Et me voilà, en position de prière devant ce con offert, posant mes lèvres sur le haut des cuisses. Le contact de la peau des cuisses me survolta. Elle était douce. Elle sentait le musc et aussi une légère transpiration aigrelette. Mes lèvres ne s’attardèrent qu’un petit moment en cet endroit avant de s’approcher de son entrejambe.
Je fourrais mon nez dans sa fourrure pubienne, en découvrant quelques odeurs capiteuses et entêtantes qui me firent tourner la tête et déclencher une série de spasmes sur mon bâton de chair.
Du bout des lèvres, du bout de la langue, je sentais le velouté des poils rêches, puis l’interruption du système pileux et je fus au contact de la peau légèrement plissée, du haut de sa vulve. Plis dans lesquels je me perdis. Du bout de ma langue, je léchai, suçotai et tentai de pénétrer les plis, replis et flétrissures de cette peau chaude, odorante, humide. Sous ma langue, je touchai la tige longue et déjà dure du clitoris qui bandait et se tendait. Par petits coups de langue, j’en mouillai la petite hampe et, en arrivant au bout, je lui appliquai une aspiration des lèvres et le décalottai.
À cette aspiration, j’entendais le souffle de ma partenaire s’accélérer et se saccader. À l’aide de ses deux mains, elle me plaqua le visage contre son gros ventre. Du bout des dents, j’allais cueillir le petit bout de chair pointu et glissant et l’est fait rouler pendant que ma langue l’agaçait. La respiration d’Irène s’interrompit immédiatement pour laisser place à des grognements rauques. Puis, j’abandonnais son clitoris et ma langue descendit sur l’ouverture de son intimité toute poisseuse. Je fis rapidement le tour, titillant l’entrée hérissée de picots et petits bourrelets de chair qui s’écartèrent sous mes petites pressions. Je sentais couler le plaisir et accélérai encore. Les mains autour de ma tête se crispèrent bloquant mes mouvements.
Contre mes oreilles, je percevais les muscles des cuisses se contracter et se refermer sur moi. Elle avait joui.
Enfin, après quelques longues secondes qui me parurent des minutes, l’étreinte des cuisses me libéra et j’avais pu enfin reprendre mon souffle, essuyer mon visage trempé d’elle, me redresser et surtout tenter de soulager l’extrême tension de ma mâchoire qui venait d’être mise à rude épreuve et qui était à la limite de la tétanie.
Je pris place à mon tour sur le divan, le sexe pointant vers le plafond. Elle ne se fit pas prier pour m’enfourcher. Devant mes yeux, ses deux majestueux seins. J’avançai la bouche vers les tétons durs et pointus, pour les embrassai l’un après l’autre, puis les mordiller. Pendant ce temps, je sentis le sexe d’Irène, trempé, flirter avec le mien. Insatisfaite, elle l’accrocha d’une main ferme, et la dirigea vers son antre débordant de sève.
En quelques coups de reins, de ventre, et de roulis des hanches, elle s’installait, empalée, embrochée sur mon pénis et entama une lente danse du bassin qui fit monter sans aucun doute son plaisir ainsi que le mien. Je m’activais toujours sur ses seins, avec la bouche et mais aussi avec mes mains, que je fis descendre dans son dos, pour mieux empoigner ses fesses. Les enserrer avec les paumes pour accompagner le va-et-vient qui la faisait monter et descendre à un rythme de plus en plus endiablé. Elle atteignit l’instant de jouissance, d’extase.
Ruisselant de transpiration, le souffle court, le sexe toujours excité, elle me libéra pour mon plus grand désarroi. Mais ça, je l’avais gardé pour mieux. J’étais tout à elle, et pour son plaisir. Et sans chercher à reprendre mon souffle, inquiet pour ma vigueur masculine et de peur qu’elle ne retombe épuisée. Bien sûr, elle savait que je n’avais pas encore eu ma part de jouissance, et ce fut pour cela qu‘elle se décidait à me sucer de nouveau.
Au bout de quelques minutes, elle releva la tête pour me demandait.
-Ce n’est pas bon !
-Oui, c’est délicieux.
-Alors, pourquoi… -Je ne suis pas du genre à cracher tout de suite de cette façon-là.
-Et je peux savoir ce qui te fait cracher ?
-La sodomie ! Lâchais-je le plus simplement possible.
-Pourquoi pas ! J’aimerai bien essayer la sodomie, cela te dirait de faire ça avec moi ? Mon mari ne trouve pas ça hygiénique. Encore un autre qui ne connaissait rien ! Pas hygiénique ! Tout est bon pour rendre une femme heureuse.
-Je ne sais pas si ce sont mes hormones de grossesse qui me travaillent, ajouta-t-elle, mais j’y pense si souvent !
D‘elle-même, sans que je choisisse la position, elle se retourna et me tendit sa croupe rebondie, largement ouverte, prête à m’accueillir. Mais j’étais cet instant-là, du genre fébrile, alors d’une main ferme, elle avait mis fin à mes quelques tâtonnements et me dirigea vers son petit trou. Mon sexe buta contre l’anneau musclé, fripé, humide, chaud et ouvert.
D’une simple poussée, avec la complicité de ma partenaire, mon sexe l’envahit là, doucement. L’anneau m’enveloppait, me massait au passage étroit et pour mieux m’absorber.
Ma poussée se calquait sur le souffle rauque d’Irène qui me demandait d’aller toujours plus loin, toujours plus vite… et notre chevauchée érotique reprenait… jusqu’à l’apocalypse, au feu d’artifice final, à l’explosion de ma jouissance et de la sienne… avant que je retombe épuisé, ahanant, les jambes tremblantes, sur son dos…l’accompagnant gestuellement.
Quelques minutes plus tard, je fus pris d’une envie, celle d’écarter ses fesses et lui fit un léchage. Le goût de son cul en bouche je me plaçais au-dessus d’elle et par le haut je plaçais de nouveau ma verge à l’entrée de son anus, et pesais dessus pour une pénétration en douceur.
À l’aide de petits spasmes anaux, Irène m’avala une nouvelle fois, faisant que mon pubis vint au contact de ses fesses. Des mouvements lents mais rythmés et coordonnés de nos bassins, nous permirent d’atteindre ensemble des crêtes de plaisirs, savoureusement dégustés. Irène murmurait sur le souffle de sa voix des : -c’est bon, je n’aurais jamais cru cela… encore, encore… Auxquels je répondais : -tu es bonne… très bonne, même !
Il avait fallu néanmoins un long branlage pour que j’arrive à sentir monté en moi un début de picotement. Annonciatrice d’une proche jouissance.
Bien entendu, et vous l’aurez bien compris, Irène est devenue un rendez-vous régulier et incontournable dans mon agenda. C’étaittoujours moi qui allais chez elle.
Je l’avais même enculé, la veille de son accouchement à la maternité. D’ailleurs elle avait insisté auprès de son époux pour que son garçon porte le nom de Alain, après Pierre-Aymeric.
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