L'habit ne fait pas le moine

- Par l'auteur HDS Queuedusexe -
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Récit libertin : L'habit ne fait pas le moine Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'habit ne fait pas le moine
On dit que l’habit ne fait pas le moine.



En ce qui nous concerne, moi et mon copain, ça ne peut pas être plus vrai.



Très tôt, vers mes 13 ans, ma mère m’a dit que l’on allait avoir une grande discussion sur mon rapport avec les garçons, puis plus tard avec les hommes.



Elle a tout de suite vu que j’allais être une jolie fille, puis une jolie femme. Ma famille était très conservatrice, prude même, très protectrice aussi. Elle m’a dit que les hommes allaient me vouloir pour mon corps, que je devais être très prudente, que le sexe est quelque chose de néfaste, bla bla bla…



En soi, elle avait raison de me mettre en garde mais déjà à 13 ans, ses arguments ne me convenaient pas vraiment.



Comme elle l’avait prédit, mon corps a très vite évolué pour devenir une très belle fille, avant de devenir une belle jeune femme. L’un des moyens de me « protéger » était de m’habiller comme un sac à patate. J’ai accepté de bon cœur, mais pas pour les raisons données par ma mère. J’étais persuadée que le sexe serait une partie importante de ma vie. Par contre, je ne voulais absolument pas être la fille que tout le monde veut avoir à son tableau de chasse.



J’ai aussi eu la chance d’avoir en plus un cerveau très bien fait. Mes parents ne m’ont laissé quasiment aucune liberté avant mes 18 ans. Pas de copains ou copines à la maison, pas de sorties non plus. Je leur en ai beaucoup voulu pour ça mais habitant à quelques kilomètres de la ville la plus proche, pas facile de faire le mur. Donc j’ai été plutôt solitaire mais ce que mes parents ne savaient pas, c’est que j’avais cracké depuis longtemps leurs mots de passe informatique. Ils n’étaient pas souvent à la maison car travaillaient vraiment beaucoup. C’est incroyable ce qu’on peut faire en ligne de nos jours et l’informatique m’a passionné très tôt.



Mes parents me prenaient pour une petite fille modèle, timide et réservée, mais n’avaient aucune idée que dès mes 18 ans passés, j’avais touché une belle somme d’argent pour une application créée à 100% par moi. J’ai revendu les droits à une société pour qu’elle finisse le développement commercial.



Je jouais un rôle presque en permanence et ça m’amusait beaucoup. Que ce soit à la fac ou en famille, avec mes parents, personne ne me connaissant réellement.



J’étais totalement persuadée que j’étais bien plus informée que mes parents sur tout ce qui concernait le sexe. Mes séances de masturbation étaient un moment obligé chaque jour. Ça aurait horrifié ma mère mais elle n’avait plus son mot à dire maintenant.



J’ai pris mon indépendance, physiquement et financièrement. Ils n’ont pas vu le coup venir et n’ont rien eu à dire. Je pouvais enfin échapper à leur contrôle.



A 19 ans, j’avais donc mon appartement, et déjà quelques jouets sexuels, dont un plug anal notamment que j’utilisais souvent. Ma chatte n’avait plus aucun secret pour mes doigts. Tous mes plaisirs étaient solitaires et j’avais beau n’avoir jamais couché avec un garçon, ça faisait longtemps que mon hymen était un vieux souvenir.



J’aurai pu avoir n’importe quel garçon à mes pieds. Et ce n’est pas exagéré. Mes seins sont gros et fièrement dressés, ma taille est fine avec juste ce qu’il faut de hanches. J’ai ma propre petite pièce dédiée au fitness donc tout mon corps est tonique. Seulement aucun mec ne m’intéressait et aucun ne s’intéressait vraiment à moi non plus. Pour la plupart, j’étais juste la fille à lunettes aux vêtement horribles qui avait les meilleures notes de la promo.



De temps en temps, je sortais en bar, incognito. Je mettais alors des lentilles de contact, me coiffait autrement qu’en faisant une queue de cheval ou un chignon, et je m’habillais de façon sexy. De très beaux mecs me draguaient, mais invariablement, je les trouvais fades, sans intérêts.



Je ne m’attendais pas à ce qui allait m’arriver un banal jeudi après-midi passé à la bibliothèque universitaire. J’ai levé les yeux, et vu un mec chercher des livres dans le rayon où je m’étais installé. Il était à 1 mètre de moi. Ses fringues étaient pour le moins mal assorties. Il portait un pantalon de velours trop grand et une sorte de chemise à carreaux. Le mec aurait pu sortir des années 80. Il cherchait des livres dans le rayon de la physique et chimie, mais pas ceux à hauteur des yeux. Il était sur un petit escabeau, farfouillant dans les étagères supérieures.



Les bras en l’air pour chercher les livres, sa chemise, elle aussi trop grande, flottait largement. J’ai été hypnotisée par la vision d’abdos nettement dessinés et de beaux pectoraux. Son bas ventre formait un V qui venait se perdre sous sa ceinture. Je ne voyais même pas son visage et pourtant, l’attraction était forte. Son physique ne collait pas avec son image et ça m’intriguait.



Sur une impulsion, j’ai juste ouvert le gilet, que je laisse toujours fermé, et j’ai ajusté le top que je portais en dessous, exhibant ainsi mon décolleté prometteur.



Ça n’a pas loupé. Quand il a commencé à descendre de son escabeau avec un ou deux livres, j’ai clairement vu son regard se perdre dans le sillon de mes gros seins et j’ai souri intérieurement.



J’ai levé les yeux pour surprendre son regard en remontant la fermeture de mon gilet, faisant comme si j’étais outrée. Je m’attendais à un geek gêné et balbutiant mais c’est moi qui ai été troublée. Son regard était franc et un peu rieur, un regard qui m’a fait penser à un esprit vif et intelligent. Il était plutôt grand mais faisait maigre dans ses vêtements trop grands. Seulement j’avais vu ce que cachait cette chemise.



Sans un mot, il s’est installé en face de moi. Il a regardé un instant ce que je lisais avant de reporter son attention sur moi. Tout en souriant, il a enlevé ses lunettes, à ébouriffé un peu ses cheveux et après avoir ouvert 2 boutons de sa chemise pour dévoiler un peu son torse, a remonté les manches de sa chemise sur des avant-bras musculeux. Le changement était radical. Il était sexy comme ça et le savait.



Il m’a fait un petit signe de tête qui voulait clairement dire « A ton tour »



Il m’avait cerné en un regard, j’en étais persuadé. J’ai donc joué le jeu, déposant moi aussi mes lunettes sur le bureau. J’ai défait mon chignon pour laisser tomber mon épaisse chevelure bonde et bouclée sur mes épaules et j’ai enlevé mon gilet totalement. Mon top épousait à la perfection ma taille fine et ma poitrine. Je me suis ensuite penchée légèrement en avant.



Son regard n’était que luxure, une promesse de plaisir. Il aimait ce qu’il voyait autant que moi.



Tout le monde m’appelle Tom mais je n’aime pas particulièrement ça. Je préfèrerai que tu m’appelle Thomas.
Moi c’est Jennifer, mais personne ne m’appelle Jenny et j’aimerai bien. Et qu’est-ce qui te fait croire que j’aurai encore l’occasion d’utiliser ton prénom ?
Une intuition… J’aime bien « Jenny » ça te va bien.
Tom, c’est trop banal. Tu as raison de préférer Thomas.


Un silence s’est installé mais pas un silence gênant. C’était comme si on se comprenait sans avoir besoin de parler. On savait ce qu’était l’autre, ne laissant voir aux autres que le sommet apparent de l’iceberg.



Thomas : J’aimerai te revoir. Le mystère autour de toi m’intrigue…
Moi : Moi aussi. Tu es… Intéressant…
Thomas : Intéressant ?
Moi : Oui…
Thomas : Je dois aller en cours.


J’ai écrit mes coordonnées sur un morceau de papier avant de rattacher mes cheveux et de remettre mon gilet et mes lunettes. Il avait à peine passé la porte de la bibliothèque que mon portable me notifiait un message avec ses coordonnées « Si tu ne réponds pas dans les trente secondes, je fais demi-tour pour être sûr d’avoir le bon numéro. Je veux vraiment te revoir »



J’ai juste attendu qu’il repasse la porte pour le regarder dans les yeux et lui envoyer « C’est bon ». Il a éclaté de rire et est parti.



Thomas avait le même esprit joueur et pervers que moi. Le soir même, j’avais une photo de ses abdos, à laquelle j’ai répondu par mes pieds fins aux ongles manucurés. Les échanges se sont enchaînés. Son torse parfait, mon ventre plat, ses épaules puissantes, mes jambes fines et féminines mais musclées, ses cuisses puissantes, ma poitrine dans mon plus beau soutien-gorge rouge… Son bassin dans son caleçon, déformé par son sexe… Mes fesses musclées dans le string assorti au soutien-gorge.



Quand Thomas a sonné à la porte de mon appartement le vendredi soir, je n’étais que désir pour ce mec que je ne connaissais absolument pas mais qui m’attirait comme aucun autre avant lui.



J’ai ouvert la porte vêtue uniquement de mon ensemble en lingerie rouge et d’un petit peignoir en soie.



Thomas était en jean et teeshirt moulant son corps viril, coiffé comme un mannequin de magazine de mode et bien rasé. J’ai attrapé l’avant de son teeshirt pour l’attirer chez moi et mettre mes bras autour de son cou.



Thomas : Magnifique !


Il m’a collé au mur tout en m’embrassant. Il n’était que le deuxième garçon à m’embrasser et je coulais déjà, ruinant ma plus belle lingerie. Tout son corps était ferme et viril contre le mien. Ses mains parcourant mon corps me couvraient de frissons de désir. Un pouce contre mon téton et je gémissais déjà.



J’ai attiré Thomas dans ma chambre et enlevé son teeshirt. Ce mec était vraiment bien fait, juste ce qu’il faut musclé pour être diablement sexy torse nu. Je me suis mise à genoux devant lui et j’ai enlevé ses derniers vêtements. Son sexe était dressé à mort, le gland énorme juste contre mes lèvres. J’ai déposé un baiser sur le frein, léché et goûté un homme pour la première fois de ma vie. J’ai compensé mon manque d’expérience par mon envie de lui donner du plaisir et il n’a pas paru déçu. J’ai adoré le branler tout en le suçant, adoré son goût sur ma langue et son épaisseur entre mes doigts... Adoré surtout ses grognements de plaisir.



Il a pris son temps pour m’enlever mes sous-vêtements. Sa bouche et ses mains étaient partout. Il était fou de mes deux obus défiant la gravité. Il les a léchés et sucés longuement et avec passion, me laissant au bord de l’orgasme rien qu’avec ces caresses. Mon orgasme est venu avec sa langue sur mon clitoris, un orgasme rapide et foudroyant. On voulait tout les deux autre chose, et très rapidement.



Je reprenais mes esprits alors que son gland se frayait un chemin en moi.



Moi : Vas doucement Thomas s’il te plaît… C’est la première fois pour moi…


Il m’a regardé en souriant mais avec beaucoup de désir dans les yeux.



Thomas : On est encore bien plus semblable que je ne le pensais. Je n’ai jamais eu personne non plus !


Je suis tombée des nues. Son assurance et la perfection de ses baisers et caresses ne m’avaient pas du tout fait penser ça. Il s’était stoppé.



Moi : Tu es tellement doué !
Thomas : J’ai cru jouir 2 fois sous ta langue ! Tu es une déesse. Je ne te croyais pas vierge non plus.


Cette fois, c’est moi qui ai souri alors qu’il recommençait à bouger lentement en moi



Moi : J’ai quelques jouets ! Je me suis entraînée ! Mais je préfère mon nouveau jouet !
Thomas : Je suis ton nouveau jouet ?
Moi : Oui ! Et je compte bien m’amuser avec très souvent.
Thomas : Quand tu voudras.


Un coup de rein lent et puissant et sa queue me pénétrait profondément, m’arrachant un cri de surprise et de plaisir pur. Il était dur et gros en moi ! Je sentais son énorme gland repartir pour revenir… Plus profond, meilleur encore ! Mes gémissements de plaisir étaient continus, de plus en plus forts. Quelque chose d’énorme montait graduellement en moi au rythme de ses coups de queue.



Son corps puissant me clouait au lit. Le goût de sa peau et la sensation de ses muscles sous mes doigts m’excitaient à mort. Mes talons appuyaient toujours plus sur ses fesses ou ses cuisses, l’amenant toujours plus loin en moi. Mon point G était stimulé en permanence par son épaisseur.



Enfin, mon corps ne m’appartenait plus. Je criais son nom, criait mon plaisir alors qu’il se raidissait contre moi, son sexe pris de spasmes dans le mien.



J’étais tremblante de plaisir, les yeux pleins de larmes et mon amant me cajolait et me gardait dans ses bras puissants.



Thomas : Tu es magique Jenny !
Moi : Je… J’ai bien fait d’attendre !!! J’ai bien fait de t’attendre !!!
Thomas : Moi aussi !


Je me suis réveillé le lendemain matin sous ses caresses et ses baisers. Son sexe était pressé contre moi. Il m’a fallu 15 longues secondes avant d’avoir envie de lui comme jamais. Je me suis empalée sur lui dans un cri. Sa queue me remplissait complètement et délicieusement. J’ai mis mes gros seins fermes en valeur, tendant légèrement ma poitrine. J’aimais voir son regard sur mes tétons durs pour lui.



Ses mains agrippaient mes hanches, ma taille ou mes côtes, m’aidant à aller et venir sur lui mais me laissant libre du tempo. Nos baisers étaient passionnés, nos respirations courtes. Ma chambre était remplie de mes gémissements et de ses grognements de plaisir. J’ai joui une nouvelle fois, ravie qu’il soit encore dur. Je voulais profiter encore.



Son doigt s’est aventuré dans la raie de mes fesses, titillant mon anus. Je n’ai pu retenir un gémissement.



Moi : Mmmmhhhh !


Encouragé, son doigt est entré doucement alors qu’il me maintenait immobile contre lui. Un jouet est une chose, laisser quelqu’un d’autre entrer dans mes fesses en est une autre… Mais la sensation était grisante.



Thomas : Tu aimes ?


Je l’ai regardé, mi-anxieuse, mi-gênée, totalement excitée. Je n’étais pas la seule. Son sexe était une barre de fer en moi.



Moi : Oui…
Thomas : Je rêve de ça depuis toujours !!!!


J’ai tendu la main vers ma table de chevet. Le lubrifiant était dans le tiroir, mon plug aussi.



Thomas : Tu es sûre ? Pour notre première nuit ensemble ?
Moi : Si tu me promets qu’il y en aura d’autres… J’ai très envie d’essayer…


Thomas m’a mis à genoux au bord du lit. Pendant un long moment, il m’a léché l’anus, puis doigté en douceur, avant de poser son gland sur mon anus ouvert. La pénétration a été lente, énorme, douloureuse un très court moment avant de me donner des sensations jamais ressenties, d’une force incroyable.



Je me donnais totalement à Thomas qui était doux, respectueux, et doué pour une première fois. Le plaisir est venu très rapidement, me faisant comprimer sa queue en moi. Sa jouissance a été impressionnante et a déclenché un deuxième orgasme pendant que je regardais son visage dans un miroir. Nous n’avons pas quitté mon appartement du weekend.



Depuis, Thomas a emménagé chez moi. Aux yeux de tous, on est un couple atypique et un peu asocial. Mais dès la porte de l’appartement passée, on s’amuse comme des fous. Thomas a un avenir très prometteur dans la recherche et j’ai déjà plusieurs projets très rentables en tête de mon côté.



Notre chambre est notre sanctuaire… Seul bémol : la fréquence à laquelle on change les draps est fatigante !

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très jolie histoire on attend une suite



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