L'HÉRITAGE. 1ère partie
Récit érotique écrit par Mib14 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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L'HÉRITAGE. 1ère partie
L’HÉRITAGE
La soirée avait été longue. C’était le vernissage de l’exposition de sculptures d’une amie de sa fille et Isabelle avait cru bon d’y faire une présence. Les deux femmes étaient très proches. Isabelle avait quitté son mari à la naissance de sa fille. Elle l’avait élevée toute seule et elle se tenait très loin des hommes. Avec l’âge, sa fille Rosa se rendit compte que sa mère aimait les femmes. Ce détail ne dérangeait ni ne surprenait Rosa. Elle aussi, même à 22 ans, ne s’intéressait pas tellement aux garçons. Sa mère ne lui posait pas de questions.
Au vernissage, Isabelle aurait juré qu’au moins la moitié des femmes étaient lesbiennes. Elle en connaissait quelques-unes et les autres tournaient surtout autour de sa fille mais quelques-unes parmi les plus âgées lui avaient fait des compliments. Isabelle avait 42 ans et était très attirante. Le beau visage et la coiffure classique d’une blonde lui permettaient de s’habiller comme elle voulait et de toujours paraître resplendissante. Rosa était brillante en plus d’être belle comme sa mère mais elle était brune. Les gens qui ne les connaissaient pas les prenaient pour un couple de lesbiennes comme il s’en trouve de plus en plus, une femme dans la quarantaine et sa compagne dans la vingtaine. Ce soir-là Rosa avait une jupe noire et un chemisier blanc avec de la dentelle aux poignets. Isabelle avait un ensemble Chanel beige.
Rosa avait quelques relations féminines, comme l’artiste du vernissage, mais n’avait pas de compagne attitrée. Isabelle ne pouvait supporter de vivre avec un homme ou une femme. C’était une véritable solitaire. En revanche, elle pouvait louer une chambre dans un hôtel de passe et se faire une fille qu’elle avait rencontrée sur la rue ou dans une boutique. Elle fréquentait les boutiques de dessous féminins et Rosa soupçonnait qu’elle s’envoyait en l’air avec des clientes dans les salles d’essayage.
En sortant de la galerie d’art, Isabelle suggéra à Rosa d’aller prendre un verre dans un bar. On était à Montparnasse et les bars étaient nombreux. Elles suivirent le boulevard Port-Royal et tournèrent à gauche sur une rue que Rosa ne connaissait pas. Elle avait deviné que sa mère l’amenait dans un endroit qu’elle fréquentait souvent mais sans le lui dire.
Rosa ne vit pas le nom du bar mais plus tard se souvint qu’il y avait un profil de femme sur l’annonce de fer blanc fixée au mur de l’entrée. C’était assez moderne avec des tables rectangulaires, carrées ou à deux places. Il y avait aussi un bar avec une douzaine de tabourets. Deux femmes dansaient un slow sur la minuscule piste de danse. Rosa savait où elle était et en était amusée. Isabelle choisit une table à deux et sourit à la serveuse qui semblait la reconnaître. Le fait qu’elle était accompagnée empêcha la serveuse de lui dire un bonsoir spécial, une discrétion réservée seulement aux serveuses expérimentées.
Rosa promena son regard sur les quelques tables occupées et remarqua qu’il n’y avait que des femmes. Personne n’avait pris place au bar. La soirée était jeune. Les deux femmes se firent servir un cognac. Les autres femmes étaient habillées pour sortir et, sans être des produits de couturiers, elles portaient des robes et des ensembles de bonne qualité. Le prix des cognacs lui rappela qu’on était dans un quartier chic de Paris.
Isabelle et Rosa discutèrent de l’exposition et des gens qui étaient là. La coïncidence était remarquable mais véritable lorsqu’une des femmes présentes au vernissage fit son entrée et vint s’asseoir au bar. Isabelle et Rosa se regardèrent avec un sourire en coin. Ni l’une ni l’autre ne la connaissaient mais elles l’avaient entrevue à la galerie. La femme se retourna à quelques reprises sans fixer les deux femmes mais l’une et l’autre se sentaient regardées. La femme au bar avait les cheveux noirs coupés à la garçonne et ressemblait à la chanteuse Barbara. Elle avait un nez pointu et un rouge à lèvres très discret. On lui donnait 35 ans ou un peu plus.
« Elle m’a fait des yeux à la galerie et elle nous a probablement suivies de loin », chuchota Isabelle à l’oreille de sa fille.
« Tu sais qui c’est ? », demanda Rosa« Non…oui…c’est-à-dire que je l’ai déjà croisée…quelque part », Isabelle bafouillaRosa sourit et ne répondit pas. Elle remarqua que l’inconnue semblait avoir un beau corps. Son corsage montrait le haut de ses seins qui paraissaient bien plantés. La rondeur de ses fesses suggérait une paire ferme. Rosa commençait à avoir l’œil.
Isabelle se pencha à nouveau à l’oreille de sa fille : « Je me souviens maintenant que j’avais remarqué ses nichons d’une taille parfaite et certainement fermes. Tu vois comme ses fesses débordent un peu le tabouret. Elles sont probablement en forme de poires et également fermes. Un beau corps ».
Rosa se tourna vers sa mère et sourit. « Merci », dit-elle.
Quelques minutes plus tard, une autre femme, celle-là plutôt près de la cinquantaine, vint s’asseoir au bar. Elle était seule à une table et avait préféré possiblement se rapprocher de Barbara ou d’avoir un meilleur coup d’œil du couple qui ne laissait personne indifférent.
La nouvelle arrivée dans le champ de vision de Rosa et d’Isabelle était vêtue d’une robe de soie sauvage assez serrée. Sa poitrine qui débordait le haut de sa robe montrait des seins légèrement bronzés de la même teinte que son visage. Elle était un peu ronde avec un petit ventre qu’elle ne dissimulait pas et des fesses que l’on devinait bien en chair.
Cette fois ce fut Rosa qui se pencha à l’oreille de sa mère : « J’aime bien les femmes de cet âge. Leur corps est dégagé et naturel. Tu te mets les mains dans de la vraie chair. Peut-être quelques bourrelets sur les fesses mais ce n’est pas grave. Cependant il faut ouvrir avec les mains pour l’accès à la rondelle que j’imagine quand même assez présente. On va peut-être assister à une drague entre Barbara et la nouvelle ? »Isabelle sourit et lui chuchota : « Je pense que les deux s’attendent à une invitation de notre part ».
« Il faudrait les inviter ensemble autrement on risque de les voir se prendre aux cheveux », répondit Rosa avec un sourire malin.
« Ça ne serait pas la première fois que ça arrive dans ce bar », répondit Isabelle qui dévoilait en même temps être une habituée.
Barbara commanda un autre verre, prit son sac à main et se dirigea vers les WC tout en jetant un long coup d’œil vers la mère et la fille. Aussitôt la femme disparue, Rosa et Isabelle se regardèrent puis se levèrent. Elles passèrent près du bar et Isabelle fit un clin d’œil à la serveuse. Les deux femmes se dirigeaient vers les WC. L’action débutait.
Les WC contenaient douze cabines numérotées et six lavabos. Les deux femmes entrèrent et virent la porte entr’ouverte de la cabine 6. Isabelle n’hésita pas un instant et se dirigea vers la cabine qui semblait crier son nom. Rosa s’appuya les fesses contre un lavabo et attendit. La porte de la cabine se referma à clé. Rosa observait les deux paires de souliers, noir pour Barbara et bourgogne pour Isabelle. Barbara était contre le mur. Rosa imaginait les deux femmes qui s’embrassaient et déboutonnaient le haut de leur chemisier. Non elles ne touchaient pas aux chemisiers sauf pour se caresser à travers le vêtement. Les jupes étaient relevées et maintenues avec une main à la taille. Rosa voyait les deux strings sur les souliers. La main droite s’activait sans interrompre le baiser. Rosa avait raison. On avait décidé d’aller au principal. Les deux mains expérimentées ouvraient les lèvres et quelques doigts pénétraient le vagin, puis ressortaient pour s’attaquer au clito. On entendait les gémissements puis le claquement du baiser qui muselait le bruit des plaisirs. Quelques minutes passèrent puis deux petits cris aigus l’un après l’autre. Rosa se préparait.
La porte de la cabine s’ouvrit pour laisser sortir Isabelle qui ajustait sa jupe et replaçait son corsage. Elle ouvrit son sac à main pour sortir son rouge à lèvres. Rosa et sa mère se jetèrent un regard que l’on ne peut pas décrire. Rosa se dirigea d’un pas déterminé vers la cabine no.6. La porte se referma derrière elle. Barbara n’avait pas bougé. Isabelle se refaisait une beauté pendant qu’elle voyait dans le miroir l’espace sous la porte de la cabine. Rosa avait posé un genou par terre. Les gémissements de Barbara étaient très audibles. Isabelle hocha la tête. Rosa était en train de sucer une femme dans une cabine de WC. Puis elle sourit et laissa même échapper un petit rire. Elle mit les doigts de sa main droite dans sa bouche pour avoir une idée de ce que Rosa goûtait. Puis elle entendit le bruit d’un dos qui frappait contre une partition. C’était Barbara qui était à genou et qui suçait Rosa. Isabelle apercevait les mains de sa fille qui agrippaient le haut de la partition. Elle jouissait.
La femme blonde fit son entrée dans les WC et Isabelle reprit machinalement son rouge à lèvres. La blonde s’approcha d’Isabelle et se colla sur elle. Isabelle sentait les cuisses de la femme sur ses fesses.
« C’est beau ce qu’elles font. Ça te dit, ma belle, de faire de même avec moi ? », dit la blonde en embrassant Isabelle dans le cou.
Isabelle se retourna et avala, puis lui répondit : « Pourquoi pas ? ».
Elle reprit son sac à main et suivi la blonde dans la cabine no.2. La porte se referma derrières les deux lesbiennes.
Quand Rosa sortit de la cabine, elle chercha sa mère puis elle vit sur le miroir une chose écrite avec un rouge à lèvres « no.2 ». La jeune femme vit Barbara qui lui fit un grand sourire en sortant de la pièce. Rosa se lava la bouche et les mains puis replaça sa jupe. Elle reprit son sac à main et vit les deux paires de souliers sous l’ouverture de la cabine no. 2.
Elle hésita un instant, un court instant, puis frappa doucement à la porte.
FIN
La soirée avait été longue. C’était le vernissage de l’exposition de sculptures d’une amie de sa fille et Isabelle avait cru bon d’y faire une présence. Les deux femmes étaient très proches. Isabelle avait quitté son mari à la naissance de sa fille. Elle l’avait élevée toute seule et elle se tenait très loin des hommes. Avec l’âge, sa fille Rosa se rendit compte que sa mère aimait les femmes. Ce détail ne dérangeait ni ne surprenait Rosa. Elle aussi, même à 22 ans, ne s’intéressait pas tellement aux garçons. Sa mère ne lui posait pas de questions.
Au vernissage, Isabelle aurait juré qu’au moins la moitié des femmes étaient lesbiennes. Elle en connaissait quelques-unes et les autres tournaient surtout autour de sa fille mais quelques-unes parmi les plus âgées lui avaient fait des compliments. Isabelle avait 42 ans et était très attirante. Le beau visage et la coiffure classique d’une blonde lui permettaient de s’habiller comme elle voulait et de toujours paraître resplendissante. Rosa était brillante en plus d’être belle comme sa mère mais elle était brune. Les gens qui ne les connaissaient pas les prenaient pour un couple de lesbiennes comme il s’en trouve de plus en plus, une femme dans la quarantaine et sa compagne dans la vingtaine. Ce soir-là Rosa avait une jupe noire et un chemisier blanc avec de la dentelle aux poignets. Isabelle avait un ensemble Chanel beige.
Rosa avait quelques relations féminines, comme l’artiste du vernissage, mais n’avait pas de compagne attitrée. Isabelle ne pouvait supporter de vivre avec un homme ou une femme. C’était une véritable solitaire. En revanche, elle pouvait louer une chambre dans un hôtel de passe et se faire une fille qu’elle avait rencontrée sur la rue ou dans une boutique. Elle fréquentait les boutiques de dessous féminins et Rosa soupçonnait qu’elle s’envoyait en l’air avec des clientes dans les salles d’essayage.
En sortant de la galerie d’art, Isabelle suggéra à Rosa d’aller prendre un verre dans un bar. On était à Montparnasse et les bars étaient nombreux. Elles suivirent le boulevard Port-Royal et tournèrent à gauche sur une rue que Rosa ne connaissait pas. Elle avait deviné que sa mère l’amenait dans un endroit qu’elle fréquentait souvent mais sans le lui dire.
Rosa ne vit pas le nom du bar mais plus tard se souvint qu’il y avait un profil de femme sur l’annonce de fer blanc fixée au mur de l’entrée. C’était assez moderne avec des tables rectangulaires, carrées ou à deux places. Il y avait aussi un bar avec une douzaine de tabourets. Deux femmes dansaient un slow sur la minuscule piste de danse. Rosa savait où elle était et en était amusée. Isabelle choisit une table à deux et sourit à la serveuse qui semblait la reconnaître. Le fait qu’elle était accompagnée empêcha la serveuse de lui dire un bonsoir spécial, une discrétion réservée seulement aux serveuses expérimentées.
Rosa promena son regard sur les quelques tables occupées et remarqua qu’il n’y avait que des femmes. Personne n’avait pris place au bar. La soirée était jeune. Les deux femmes se firent servir un cognac. Les autres femmes étaient habillées pour sortir et, sans être des produits de couturiers, elles portaient des robes et des ensembles de bonne qualité. Le prix des cognacs lui rappela qu’on était dans un quartier chic de Paris.
Isabelle et Rosa discutèrent de l’exposition et des gens qui étaient là. La coïncidence était remarquable mais véritable lorsqu’une des femmes présentes au vernissage fit son entrée et vint s’asseoir au bar. Isabelle et Rosa se regardèrent avec un sourire en coin. Ni l’une ni l’autre ne la connaissaient mais elles l’avaient entrevue à la galerie. La femme se retourna à quelques reprises sans fixer les deux femmes mais l’une et l’autre se sentaient regardées. La femme au bar avait les cheveux noirs coupés à la garçonne et ressemblait à la chanteuse Barbara. Elle avait un nez pointu et un rouge à lèvres très discret. On lui donnait 35 ans ou un peu plus.
« Elle m’a fait des yeux à la galerie et elle nous a probablement suivies de loin », chuchota Isabelle à l’oreille de sa fille.
« Tu sais qui c’est ? », demanda Rosa« Non…oui…c’est-à-dire que je l’ai déjà croisée…quelque part », Isabelle bafouillaRosa sourit et ne répondit pas. Elle remarqua que l’inconnue semblait avoir un beau corps. Son corsage montrait le haut de ses seins qui paraissaient bien plantés. La rondeur de ses fesses suggérait une paire ferme. Rosa commençait à avoir l’œil.
Isabelle se pencha à nouveau à l’oreille de sa fille : « Je me souviens maintenant que j’avais remarqué ses nichons d’une taille parfaite et certainement fermes. Tu vois comme ses fesses débordent un peu le tabouret. Elles sont probablement en forme de poires et également fermes. Un beau corps ».
Rosa se tourna vers sa mère et sourit. « Merci », dit-elle.
Quelques minutes plus tard, une autre femme, celle-là plutôt près de la cinquantaine, vint s’asseoir au bar. Elle était seule à une table et avait préféré possiblement se rapprocher de Barbara ou d’avoir un meilleur coup d’œil du couple qui ne laissait personne indifférent.
La nouvelle arrivée dans le champ de vision de Rosa et d’Isabelle était vêtue d’une robe de soie sauvage assez serrée. Sa poitrine qui débordait le haut de sa robe montrait des seins légèrement bronzés de la même teinte que son visage. Elle était un peu ronde avec un petit ventre qu’elle ne dissimulait pas et des fesses que l’on devinait bien en chair.
Cette fois ce fut Rosa qui se pencha à l’oreille de sa mère : « J’aime bien les femmes de cet âge. Leur corps est dégagé et naturel. Tu te mets les mains dans de la vraie chair. Peut-être quelques bourrelets sur les fesses mais ce n’est pas grave. Cependant il faut ouvrir avec les mains pour l’accès à la rondelle que j’imagine quand même assez présente. On va peut-être assister à une drague entre Barbara et la nouvelle ? »Isabelle sourit et lui chuchota : « Je pense que les deux s’attendent à une invitation de notre part ».
« Il faudrait les inviter ensemble autrement on risque de les voir se prendre aux cheveux », répondit Rosa avec un sourire malin.
« Ça ne serait pas la première fois que ça arrive dans ce bar », répondit Isabelle qui dévoilait en même temps être une habituée.
Barbara commanda un autre verre, prit son sac à main et se dirigea vers les WC tout en jetant un long coup d’œil vers la mère et la fille. Aussitôt la femme disparue, Rosa et Isabelle se regardèrent puis se levèrent. Elles passèrent près du bar et Isabelle fit un clin d’œil à la serveuse. Les deux femmes se dirigeaient vers les WC. L’action débutait.
Les WC contenaient douze cabines numérotées et six lavabos. Les deux femmes entrèrent et virent la porte entr’ouverte de la cabine 6. Isabelle n’hésita pas un instant et se dirigea vers la cabine qui semblait crier son nom. Rosa s’appuya les fesses contre un lavabo et attendit. La porte de la cabine se referma à clé. Rosa observait les deux paires de souliers, noir pour Barbara et bourgogne pour Isabelle. Barbara était contre le mur. Rosa imaginait les deux femmes qui s’embrassaient et déboutonnaient le haut de leur chemisier. Non elles ne touchaient pas aux chemisiers sauf pour se caresser à travers le vêtement. Les jupes étaient relevées et maintenues avec une main à la taille. Rosa voyait les deux strings sur les souliers. La main droite s’activait sans interrompre le baiser. Rosa avait raison. On avait décidé d’aller au principal. Les deux mains expérimentées ouvraient les lèvres et quelques doigts pénétraient le vagin, puis ressortaient pour s’attaquer au clito. On entendait les gémissements puis le claquement du baiser qui muselait le bruit des plaisirs. Quelques minutes passèrent puis deux petits cris aigus l’un après l’autre. Rosa se préparait.
La porte de la cabine s’ouvrit pour laisser sortir Isabelle qui ajustait sa jupe et replaçait son corsage. Elle ouvrit son sac à main pour sortir son rouge à lèvres. Rosa et sa mère se jetèrent un regard que l’on ne peut pas décrire. Rosa se dirigea d’un pas déterminé vers la cabine no.6. La porte se referma derrière elle. Barbara n’avait pas bougé. Isabelle se refaisait une beauté pendant qu’elle voyait dans le miroir l’espace sous la porte de la cabine. Rosa avait posé un genou par terre. Les gémissements de Barbara étaient très audibles. Isabelle hocha la tête. Rosa était en train de sucer une femme dans une cabine de WC. Puis elle sourit et laissa même échapper un petit rire. Elle mit les doigts de sa main droite dans sa bouche pour avoir une idée de ce que Rosa goûtait. Puis elle entendit le bruit d’un dos qui frappait contre une partition. C’était Barbara qui était à genou et qui suçait Rosa. Isabelle apercevait les mains de sa fille qui agrippaient le haut de la partition. Elle jouissait.
La femme blonde fit son entrée dans les WC et Isabelle reprit machinalement son rouge à lèvres. La blonde s’approcha d’Isabelle et se colla sur elle. Isabelle sentait les cuisses de la femme sur ses fesses.
« C’est beau ce qu’elles font. Ça te dit, ma belle, de faire de même avec moi ? », dit la blonde en embrassant Isabelle dans le cou.
Isabelle se retourna et avala, puis lui répondit : « Pourquoi pas ? ».
Elle reprit son sac à main et suivi la blonde dans la cabine no.2. La porte se referma derrières les deux lesbiennes.
Quand Rosa sortit de la cabine, elle chercha sa mère puis elle vit sur le miroir une chose écrite avec un rouge à lèvres « no.2 ». La jeune femme vit Barbara qui lui fit un grand sourire en sortant de la pièce. Rosa se lava la bouche et les mains puis replaça sa jupe. Elle reprit son sac à main et vit les deux paires de souliers sous l’ouverture de la cabine no. 2.
Elle hésita un instant, un court instant, puis frappa doucement à la porte.
FIN
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très beau récit qui n'a pas manqué de le savourer. A bientôt et mille mercis.