L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-04-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré
L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré – Suite de l'épisode précédent N°417 -
L’esclave ressent une honte comme jamais elle n’avait ressentie de sa vie, et en même temps, elle ressent un vrai sentiment d’excitation de savoir que tous les regards sont posés sur elle. Elle ne peut expliquer la contradiction de ses ressentis car il y a un mélange d’humiliation mais aussi de fierté d’être vraiment ce qu’elle avait rêvé de devenir et de pouvoir se confronter au regard des autres en assumant tant bien que mal dans le contexte ce qu’elle est devenue. Son trouble est au comble de ce qu’elle pourrait imaginer et des pensées dissonantes tournent dans sa tête dans tous les sens, elle a vraiment l’impression qu’elle va défaillir. Le sous-directeur administratif et financier tire sur la laisse pour la faire avancer dans la partie médiane du U mais en restant juste au début. Il lui attrape les mains pour lui joindre dans le dos, sans les attacher toutefois et lui met le doigt sur la bouche pour lui faire comprendre que pour l’instant elle ne doit pas parler, mais juste écouter. Il lui relève le menton en ajoutant :
- Thaïs MDE, Ne bouge pas maintenant ! Nous allons nous présenter les uns après les autres. Quant à toi, pas besoin de te présenter, car chacun autour de la table a entre les mains ton dossier personnel plus celui de ta société, et a peaufiné en détail la partie qui le concernait plus personnellement par rapport au service dont il s’occupe. Regarde bien et sois attentive, car tu seras amenée à croiser chacun d’entre nous à l’avenir, même si tu pourras aussi plus tard retrouver l’organigramme avec nos noms et fonctions sur le site interne de la société, lorsque tu seras autorisée à y accéder.
La soumise est contente de voir qu’au moins cette fois, celui qui lui est encore inconnu et qui vient de la positionner l’a appelé par son nom sans autre qualificatif plus D/s, bien qu’elle se rend compte qu’elle ne pourrait afficher plus clairement son statut servile qui fait d’elle juste la chienne-esclave Thaïs MDE, qui appartient à Monsieur le Marquis d’Evans, et que ce doit être le Maître Vénéré qui a exigé qu’il en soit ainsi, même si c’est une épreuve qui lui semble à cet instant encore presque insurmontable, d’être ainsi exposée dans un contexte professionnel, vanille et non D/s. Ce qu’ignore Thaïs MDE, c’est que dans la salle et en particulier autour de la table de réunion, il n’y a que des soumis et soumises MDE qui ont pour la plupart déjà vécu une situation similaire et qui n’ont pas du tout sur Thaïs MDE le regard qu’elle s’imagine et le jugement qu’elle pourrait craindre. Mais chacun sait fort bien qu’il ne doit rien laisser paraître pour l’instant de cette fraternité ou sororité de soumission qui n’a pas à être dévoilée dans le cadre de cette réunion, et en tout cas, pas avant que le Maître Vénéré ne décide lui-même de ce qu’il jugera opportun de préciser ou non à sa nouvelle « associée » professionnelle qui est également sa nouvelle recrue comme esclave-soumise MDE.
- Je vais donc commencer le premier en attendant l’arrivée de notre PDG en personne. Je suis le sous-directeur administratif et juridique, je chapeaute sous le contrôle et la direction de Monsieur le Marquis d’Evans un bon nombre de services, qui parfois se recoupent avec ceux de mon homologue le sous-directeur financier qui s’occupe plus particulièrement de la finance et des comptes des différentes sociétés…
Thaïs MDE est rouge de honte en entendant celui qu’elle avait pris pour un subalterne s’exprimer et se présenter comme étant l’un des bras droits du PDG, mais aussi tellement étonnée de voir la manière crue dont il s’est permis de lui parler précédemment lorsqu’il est venu la chercher. Il semble avoir une voix ferme et directive et la soumise l’imagine bien mal dans la peau d’un des soumis MDE, bien que visiblement il soit au courant des fonctions de Maître D/s du Marquis d’Evans et de ce qui se passe au Château, imaginant plutôt qu’avec le temps il est devenu assez intime pour en apprendre un peu plus et peut-être même pour bénéficier parfois de la mise à disposition de certains chiens ou chiennes du cheptel.
Le tour de table se fait rapidement, où chacun donne son nom et sa qualité (sous-directeur des opérations immobilières, responsable des services comptables, responsable marketing, responsable logistique… etc ……), et détaille sommairement son activité. La liste s’allonge et Thaïs MDE compte seulement deux responsables féminins parmi la dizaine de postes qui défilent, se faisant une petite réflexion sur l’absence de parité qui ne la surprend pas car elle avait l’habitude de travailler dans le monde des affaires, qui est encore essentiellement masculin, sans compter qu’elle avait déjà été confrontée à cet écart significatif entre hommes et femmes lors de ces études supérieures dans les Grandes Ecoles. Mais, pour une fois, elle a vraiment du mal à reconnaître la « businesswoman » battante et confiante qu’elle était il y a peu encore, car les circonstances, la position, la saleté et le dénuement dans lequel elle se trouve ne lui sont guère favorables. Et pourtant, elle ressent une profonde excitation qui monte en elle et qui ne va pas tarder à la trahir, car elle se sait devenir humide et frémissante. Elle voudrait pouvoir cacher son trouble sensuel par des vêtements ou faire taire son corps qui parle tout seul, mais cette situation qui la gêne profondément d’un certain côté, lui procure aussi des sensations qu’elle n’aurait jamais pu imaginer possible dans un contexte professionnel, entouré de tant d’hommes en costard gris, qui ne sont pas des plus attirants.
En réalité, ce qui l’excite, ce n’est pas cette masse uniforme grise de collaborateurs rigides, silencieux et peu souriants, c’est le fait de savoir que le Maître Vénéré en personne sera bientôt là et qu’elle pourra enfin le revoir et l’entendre, et qu’elle reste malgré tout sa chienne-esclave MDE, mais aussi professionnellement son « associée », même si cela reste réduit et très relatif comparativement à la masse des affaires que dirige Monsieur le Marquis d’Evans. Et nonobstant tout ce que lui en a dit le sous-directeur administratif et juridique qui n’est quant à lui qu’un employé, malgré sa fonction importante, elle éprouve une certaine fierté de son statut si particulier, que ce soit son statut D/s ou son statut professionnel. Elle sait aussi que Le Maître Vénéré présent, plus rien d’autre ne comptera, ni l’état dans lequel elle se trouve, ni ce qu’IL exigera d’elle qui ne cherchera qu’à le satisfaire comme une bonne esclave-soumise se plait à le faire, et ce sans se soucier de tous les autres qui sont assis autour puisque c’est le Maître Vénéré lui-même qui a exigé qu’elle paraisse à cette réunion en tant qu’esclave-soumise avant tout, et non en tant que chef d’entreprise, devenue associée au moins sur sa petite structure qui ne disparaît pas et dont elle a gardé la gérance en titre, même si elle se pliera avant tout à toutes les exigences du Maître.
Le tour de table terminé, à nouveau le silence règne, chacun a le nez plongé dans les dossiers qui lui font face. Visiblement tout le monde attend le « Maître de séance ». A son arrivée, dans un bruit presque fracassant de chaises manipulées dans le même instant, tout le monde se lève. Avant même que Monsieur le Marquis d’Evans n’ait eu le temps de rejoindre son fauteuil de PDG, une jeune femme s’approche de l’esclave-soumise Thaïs MDE et lui bande les yeux d’un foulard noir opaque, ajoutant à sa honte, sa gêne et son mal-être, mais aussi à son étonnement, son excitation et son trouble sensuel. D’un autre côté, elle est plutôt contente de ne plus avoir à imaginer ceux qui sont autour de la table et ne plus se concentrer que sur le Maître Vénéré dont elle pourrait maintenant reconnaître la voix entre mille. La femme noue le foulard bien serré derrière la tête de la soumise et pose ensuite les deux mains sur les épaules de Thaïs MDE en appuyant fermement pour lui faire comprendre que l’esclave doit se mettre à genoux pour accueillir le Maître. Sans un seul mot, elle la retient et la positionne de manière à ce que Thaïs MDE comprenne bien qu’elle doit se tenir à genoux, mais le dos bien droit et la tête baissée. Pendant ce temps, Le PDG s’approche de sa chaise et juste avant de s’asseoir, il ajoute :
- Bonjour à Tous, Mesdames et Messieurs. Vous pouvez vous rasseoir.
D’une seule voix, qui semblerait réglée par un métronome, les collaborateurs répondent juste avant de reprendre leur place autour de la table :
- Bonjour Monsieur le Président Directeur Général.
Le cœur de Thaïs MDE s’est accéléré en entendant la voix du Maître. Ses angoisses, ses craintes, son mal-être, ses interrogations sur le pourquoi de cette mise en scène D/s pour cette réunion avant tout à caractère professionnel, tout à disparu … Elle ne songe plus qu’à Celui dont elle est devenue la propriété et garde la tête baissée humblement, car elle sait qu’IL est là juste en face et qu’elle souhaite qu’IL soit fier de Son esclave-soumise et de la Dévotion totale qu’elle lui porte et qu’elle se sent prête maintenant à assumer devant tous. C’est le sous-directeur administratif et financier qui prend le premier la parole.
- Monsieur le Président Directeur Général, avez-Vous pu avoir le temps de prendre connaissance de l’ordre du jour rectifié ? Souhaitez-Vous y apporter des modifications avant que nous commencions et avez-Vous des informations ou remarques particulières à formuler en préambule ?
- Non, pour l’instant pas de remarques supplémentaires, juste une petite précision. A-t-on réussi à joindre Philippe qui est actuellement sur Orléans ?
- Oui, Monsieur le Président Directeur Général, il est à Votre disposition, joignable en visioconférence dès que Vous m’autoriserez à établir la connexion
Monsieur le Marquis d’Evans fait signe que la liaison peut-être établie et l’homme de confiance du PDG apparait à la fois sur l’un des ordinateurs personnels du bureau central mais également sur un grand écran projeté en fond de salle en face tous les collaborateurs, juste en arrière-plan de l’esclave-soumise Thaïs MDE qui est toujours agenouillée au centre du U évasé, sans bouger, espérant quand même que le Maître Vénéré va lui permettre enfin de se lever, se doutant bien qu’il n’y a pas de place assise autour de la table qui lui a été réservée, et qu’on va lui enlever son bandeau, car il n’y a aucune raison de la priver de la vue, puisqu’elle a pu voir précédemment tous ceux qui sont réunis en ce lieu.
- Bonjour Ma chienne-esclave Thaïs MDE. Tu peux redresser la tête. Nous sommes rassemblés pour parler de ton ancienne société. Mes collaborateurs et collaboratrices, mais aussi mon très fidèle Philippe ont planché depuis quelques jours sur ton activité passée et ils ont plusieurs points à éclaircir afin que nous puissions avoir une image plus fidèle de ta structure dans son état actuel et surtout de son développement futur, que je veux initier conformément à Mes projets et dans le cadre d’ensemble de Mon activité d’Homme d’Affaires. Tâche de leur répondre au mieux si tu ne veux pas encourir mon courroux, car je n’aime pas les imprécisions, pas plus que les zones d’ombre. Tu n’as plus rien à me cacher que ce soit de ta vie intime et personnelle, comme ici présentement de ta vie professionnelle passée et actuelle.
La part fondamentalement soumise de Thaïs MDE sait que c’est bien ainsi qu’elle envisageait les choses, dans une transparence totale et un assujettissement qui est conforme à ses désirs intimes, mais son petit côté professionnel, femme d’affaires dirigeante à fort caractère, a un peu de mal à vivre ce qui se passe, et surtout la manière dont cela se passe dans ce contexte vanille et professionnel. Elle se sent presque devant un tribunal, dont le juge serait Le Maître Vénéré, et elle coupable forcément par à priori, mise sur la sellette et même pas assise sur le côté sur le banc des accusés, obligée de rester à genoux, les mains dans le dos et les yeux bandés, presque comme une infâme scélérate. Plusieurs points sont abordés pour détailler son activité et plusieurs questions lui sont posées tour à tour par chacun des collaborateurs. Cet interrogatoire sous le bandeau est très éprouvant pour Thaïs MDE qui n’a pas en tête toutes les réponses, qui n’a même pas accès à des éléments matériels qu’elle ne connaît pas par cœur, et qui ne comprend pas pourquoi elle doit se justifier de tous ses choix antérieurs, alors qu’elle n’avait à l’époque de compte à rendre à personne, assumant tant ses échecs que ses réussites. Mais ce qui l’insupporte le plus, même si elle tâche de ne rien en laisser paraître, c’est lorsque sur une de ses réponses, un des collaborateurs qui a tous les documents adéquats sous les yeux se permet d’intervenir en précisant : « Faux !.... il est écrit dans le dossier que …. ». Cette intervention étant suivie presque immédiatement d’un coup de gong, comme s’il était question de comptabiliser toutes ses mauvaises réponses, une à une.
Jamais dans sa vie d’ingénieur en formation et plus tard de chef d’entreprise, elle ne s’est sentie aussi mal, même pas lorsque plus jeune elle devait passer les concours devant des examinateurs sévères ou lorsque de par ses fonctions de dirigeante, elle était convoquée devant des administrations ou juridictions de toutes sortes. Et pour autant, elle ressent une excitation qu’elle ne peut et ne souhaite pas non plus refreiner, se disant que finalement, il est plutôt bien qu’elle soit encore à genoux, car personne, ne doit voir sa chatte humide qui trahirait ce sentiment incompréhensible qui l’habite, malgré la colère et la honte qui oblige la businesswoman à serrer les dents pour supporter cette expérience éprouvante. Elle ne saurait dire combien de temps cette réunion dure et s’éternise, tant de points sont soulevés et abordés, parfois même juste entre Monsieur le Marquis d’Evans et ses collaborateurs qui parlent de projets d’avenir sans même se soucier de sa présence et encore moins de son avis sur la question, puisqu’elle n’est tenue que de répondre aux questions que chacun lui pose, et sûrement pas d’épiloguer pour donner son point de vue. La chienne-soumise Thaïs MDE de par sa condition d’esclave librement assujettie avait eu le sentiment de se mettre à nu physiquement et psychiquement devant le Dominant qu’elle avait reconnu comme tel, ne lui cachant plus rien de ses pensées intimes et de ses ressentis, mais là, elle se rend compte qu’elle doit aussi abandonner la carapace protectrice derrière laquelle la chef d’entreprise qu’elle est sur le plan professionnel se retranchait encore, et que cette épreuve si dure à supporter au présent reste une étape de progression dans sa soumission servile. C’est Monsieur le Marquis d’Evans qui prend la parole pour clore la réunion.
- Chères Collaboratrices, Chers Collaborateurs, je vous remercie tous de ce temps de travail qui a été fructueux. Vous pouvez rejoindre votre poste de travail, comme chaque fois ma secrétaire vous fera passer le projet de compte-rendu que vous pourrez annoter avant la mouture finale. Je souhaite maintenant rester seul avec ma chienne-esclave Thaïs MDE, et je vous demande de quitter les lieux au plus tôt.
Les différents participants se lèvent sans tarder et sans papoter, et sortent toutes et tous au plus tôt. Le Maître Vénéré s’approche de Sa chienne-esclave qui est toujours restée à genoux, pas mécontente d’être arrivée au bout de la réunion sans craquer nerveusement, tant ce fût épuisant.
- Du calme, ma chienne, c’est terminé. Je suis fier de toi. Tu as bien résisté malgré tout à la pression, le bandeau a dû t’aider à ne pas pleurer car je pense que l’émotion et ton agitation interne devaient être à son comble. Le gong a toutefois retenti un grand nombre de fois, je ne peux tolérer cela et le laisser passer comme si de rien n’était. J’espère donc que tu es consciente que cela méritera une punition que tu devras venir implorer à Mes pieds tout à l’heure, mais laisse-moi d’abord t’examiner. Je veux aussi connaître les réactions de ton corps face à ce que tu viens de vivre.
La soumise est surprise d’entendre la réflexion attendrissante et protectrice du Marquis d’Evans qui lui précise qu’il a pris soin de lui faire poser un bandeau sur les yeux pour éviter qu’elle ne se mette à pleurer, car il connaît bien son émotivité, même si elle lui a toujours affirmé qu’elle était plutôt forte et peu sensible quand elle se trouve dans un contexte professionnel. Le Maître Vénéré se penche sur Sa chienne, lui glisse la main sous le bras et l’aide à se lever. IL passe deux doigts dans l’entrecuisse de Thaïs MDE qui est trempée de cyprine et lui fait lécher aussi sec ses sécrétions intimes, en ponctuant son geste de « et bien …. Tu as pris du plaisir, ce me semble ! ». Le Maître fait alors le tour de Sa soumise pour lui défaire son bandeau et ajoute :
- Mais c’est quoi ce que je vois sur ton corps ? Tu es sale ma chienne, on dirait du sperme séché, et tu en as plein le cul. C’est dans cet état que tu as osée te présenter à tous mes collaborateurs. C’est impensable ! Et en plus, tu te permets de t’envoyer en l’air et de copuler sans mon autorisation. Cela ne va pas se passer ainsi ! …
(A suivre…..)
L’esclave ressent une honte comme jamais elle n’avait ressentie de sa vie, et en même temps, elle ressent un vrai sentiment d’excitation de savoir que tous les regards sont posés sur elle. Elle ne peut expliquer la contradiction de ses ressentis car il y a un mélange d’humiliation mais aussi de fierté d’être vraiment ce qu’elle avait rêvé de devenir et de pouvoir se confronter au regard des autres en assumant tant bien que mal dans le contexte ce qu’elle est devenue. Son trouble est au comble de ce qu’elle pourrait imaginer et des pensées dissonantes tournent dans sa tête dans tous les sens, elle a vraiment l’impression qu’elle va défaillir. Le sous-directeur administratif et financier tire sur la laisse pour la faire avancer dans la partie médiane du U mais en restant juste au début. Il lui attrape les mains pour lui joindre dans le dos, sans les attacher toutefois et lui met le doigt sur la bouche pour lui faire comprendre que pour l’instant elle ne doit pas parler, mais juste écouter. Il lui relève le menton en ajoutant :
- Thaïs MDE, Ne bouge pas maintenant ! Nous allons nous présenter les uns après les autres. Quant à toi, pas besoin de te présenter, car chacun autour de la table a entre les mains ton dossier personnel plus celui de ta société, et a peaufiné en détail la partie qui le concernait plus personnellement par rapport au service dont il s’occupe. Regarde bien et sois attentive, car tu seras amenée à croiser chacun d’entre nous à l’avenir, même si tu pourras aussi plus tard retrouver l’organigramme avec nos noms et fonctions sur le site interne de la société, lorsque tu seras autorisée à y accéder.
La soumise est contente de voir qu’au moins cette fois, celui qui lui est encore inconnu et qui vient de la positionner l’a appelé par son nom sans autre qualificatif plus D/s, bien qu’elle se rend compte qu’elle ne pourrait afficher plus clairement son statut servile qui fait d’elle juste la chienne-esclave Thaïs MDE, qui appartient à Monsieur le Marquis d’Evans, et que ce doit être le Maître Vénéré qui a exigé qu’il en soit ainsi, même si c’est une épreuve qui lui semble à cet instant encore presque insurmontable, d’être ainsi exposée dans un contexte professionnel, vanille et non D/s. Ce qu’ignore Thaïs MDE, c’est que dans la salle et en particulier autour de la table de réunion, il n’y a que des soumis et soumises MDE qui ont pour la plupart déjà vécu une situation similaire et qui n’ont pas du tout sur Thaïs MDE le regard qu’elle s’imagine et le jugement qu’elle pourrait craindre. Mais chacun sait fort bien qu’il ne doit rien laisser paraître pour l’instant de cette fraternité ou sororité de soumission qui n’a pas à être dévoilée dans le cadre de cette réunion, et en tout cas, pas avant que le Maître Vénéré ne décide lui-même de ce qu’il jugera opportun de préciser ou non à sa nouvelle « associée » professionnelle qui est également sa nouvelle recrue comme esclave-soumise MDE.
- Je vais donc commencer le premier en attendant l’arrivée de notre PDG en personne. Je suis le sous-directeur administratif et juridique, je chapeaute sous le contrôle et la direction de Monsieur le Marquis d’Evans un bon nombre de services, qui parfois se recoupent avec ceux de mon homologue le sous-directeur financier qui s’occupe plus particulièrement de la finance et des comptes des différentes sociétés…
Thaïs MDE est rouge de honte en entendant celui qu’elle avait pris pour un subalterne s’exprimer et se présenter comme étant l’un des bras droits du PDG, mais aussi tellement étonnée de voir la manière crue dont il s’est permis de lui parler précédemment lorsqu’il est venu la chercher. Il semble avoir une voix ferme et directive et la soumise l’imagine bien mal dans la peau d’un des soumis MDE, bien que visiblement il soit au courant des fonctions de Maître D/s du Marquis d’Evans et de ce qui se passe au Château, imaginant plutôt qu’avec le temps il est devenu assez intime pour en apprendre un peu plus et peut-être même pour bénéficier parfois de la mise à disposition de certains chiens ou chiennes du cheptel.
Le tour de table se fait rapidement, où chacun donne son nom et sa qualité (sous-directeur des opérations immobilières, responsable des services comptables, responsable marketing, responsable logistique… etc ……), et détaille sommairement son activité. La liste s’allonge et Thaïs MDE compte seulement deux responsables féminins parmi la dizaine de postes qui défilent, se faisant une petite réflexion sur l’absence de parité qui ne la surprend pas car elle avait l’habitude de travailler dans le monde des affaires, qui est encore essentiellement masculin, sans compter qu’elle avait déjà été confrontée à cet écart significatif entre hommes et femmes lors de ces études supérieures dans les Grandes Ecoles. Mais, pour une fois, elle a vraiment du mal à reconnaître la « businesswoman » battante et confiante qu’elle était il y a peu encore, car les circonstances, la position, la saleté et le dénuement dans lequel elle se trouve ne lui sont guère favorables. Et pourtant, elle ressent une profonde excitation qui monte en elle et qui ne va pas tarder à la trahir, car elle se sait devenir humide et frémissante. Elle voudrait pouvoir cacher son trouble sensuel par des vêtements ou faire taire son corps qui parle tout seul, mais cette situation qui la gêne profondément d’un certain côté, lui procure aussi des sensations qu’elle n’aurait jamais pu imaginer possible dans un contexte professionnel, entouré de tant d’hommes en costard gris, qui ne sont pas des plus attirants.
En réalité, ce qui l’excite, ce n’est pas cette masse uniforme grise de collaborateurs rigides, silencieux et peu souriants, c’est le fait de savoir que le Maître Vénéré en personne sera bientôt là et qu’elle pourra enfin le revoir et l’entendre, et qu’elle reste malgré tout sa chienne-esclave MDE, mais aussi professionnellement son « associée », même si cela reste réduit et très relatif comparativement à la masse des affaires que dirige Monsieur le Marquis d’Evans. Et nonobstant tout ce que lui en a dit le sous-directeur administratif et juridique qui n’est quant à lui qu’un employé, malgré sa fonction importante, elle éprouve une certaine fierté de son statut si particulier, que ce soit son statut D/s ou son statut professionnel. Elle sait aussi que Le Maître Vénéré présent, plus rien d’autre ne comptera, ni l’état dans lequel elle se trouve, ni ce qu’IL exigera d’elle qui ne cherchera qu’à le satisfaire comme une bonne esclave-soumise se plait à le faire, et ce sans se soucier de tous les autres qui sont assis autour puisque c’est le Maître Vénéré lui-même qui a exigé qu’elle paraisse à cette réunion en tant qu’esclave-soumise avant tout, et non en tant que chef d’entreprise, devenue associée au moins sur sa petite structure qui ne disparaît pas et dont elle a gardé la gérance en titre, même si elle se pliera avant tout à toutes les exigences du Maître.
Le tour de table terminé, à nouveau le silence règne, chacun a le nez plongé dans les dossiers qui lui font face. Visiblement tout le monde attend le « Maître de séance ». A son arrivée, dans un bruit presque fracassant de chaises manipulées dans le même instant, tout le monde se lève. Avant même que Monsieur le Marquis d’Evans n’ait eu le temps de rejoindre son fauteuil de PDG, une jeune femme s’approche de l’esclave-soumise Thaïs MDE et lui bande les yeux d’un foulard noir opaque, ajoutant à sa honte, sa gêne et son mal-être, mais aussi à son étonnement, son excitation et son trouble sensuel. D’un autre côté, elle est plutôt contente de ne plus avoir à imaginer ceux qui sont autour de la table et ne plus se concentrer que sur le Maître Vénéré dont elle pourrait maintenant reconnaître la voix entre mille. La femme noue le foulard bien serré derrière la tête de la soumise et pose ensuite les deux mains sur les épaules de Thaïs MDE en appuyant fermement pour lui faire comprendre que l’esclave doit se mettre à genoux pour accueillir le Maître. Sans un seul mot, elle la retient et la positionne de manière à ce que Thaïs MDE comprenne bien qu’elle doit se tenir à genoux, mais le dos bien droit et la tête baissée. Pendant ce temps, Le PDG s’approche de sa chaise et juste avant de s’asseoir, il ajoute :
- Bonjour à Tous, Mesdames et Messieurs. Vous pouvez vous rasseoir.
D’une seule voix, qui semblerait réglée par un métronome, les collaborateurs répondent juste avant de reprendre leur place autour de la table :
- Bonjour Monsieur le Président Directeur Général.
Le cœur de Thaïs MDE s’est accéléré en entendant la voix du Maître. Ses angoisses, ses craintes, son mal-être, ses interrogations sur le pourquoi de cette mise en scène D/s pour cette réunion avant tout à caractère professionnel, tout à disparu … Elle ne songe plus qu’à Celui dont elle est devenue la propriété et garde la tête baissée humblement, car elle sait qu’IL est là juste en face et qu’elle souhaite qu’IL soit fier de Son esclave-soumise et de la Dévotion totale qu’elle lui porte et qu’elle se sent prête maintenant à assumer devant tous. C’est le sous-directeur administratif et financier qui prend le premier la parole.
- Monsieur le Président Directeur Général, avez-Vous pu avoir le temps de prendre connaissance de l’ordre du jour rectifié ? Souhaitez-Vous y apporter des modifications avant que nous commencions et avez-Vous des informations ou remarques particulières à formuler en préambule ?
- Non, pour l’instant pas de remarques supplémentaires, juste une petite précision. A-t-on réussi à joindre Philippe qui est actuellement sur Orléans ?
- Oui, Monsieur le Président Directeur Général, il est à Votre disposition, joignable en visioconférence dès que Vous m’autoriserez à établir la connexion
Monsieur le Marquis d’Evans fait signe que la liaison peut-être établie et l’homme de confiance du PDG apparait à la fois sur l’un des ordinateurs personnels du bureau central mais également sur un grand écran projeté en fond de salle en face tous les collaborateurs, juste en arrière-plan de l’esclave-soumise Thaïs MDE qui est toujours agenouillée au centre du U évasé, sans bouger, espérant quand même que le Maître Vénéré va lui permettre enfin de se lever, se doutant bien qu’il n’y a pas de place assise autour de la table qui lui a été réservée, et qu’on va lui enlever son bandeau, car il n’y a aucune raison de la priver de la vue, puisqu’elle a pu voir précédemment tous ceux qui sont réunis en ce lieu.
- Bonjour Ma chienne-esclave Thaïs MDE. Tu peux redresser la tête. Nous sommes rassemblés pour parler de ton ancienne société. Mes collaborateurs et collaboratrices, mais aussi mon très fidèle Philippe ont planché depuis quelques jours sur ton activité passée et ils ont plusieurs points à éclaircir afin que nous puissions avoir une image plus fidèle de ta structure dans son état actuel et surtout de son développement futur, que je veux initier conformément à Mes projets et dans le cadre d’ensemble de Mon activité d’Homme d’Affaires. Tâche de leur répondre au mieux si tu ne veux pas encourir mon courroux, car je n’aime pas les imprécisions, pas plus que les zones d’ombre. Tu n’as plus rien à me cacher que ce soit de ta vie intime et personnelle, comme ici présentement de ta vie professionnelle passée et actuelle.
La part fondamentalement soumise de Thaïs MDE sait que c’est bien ainsi qu’elle envisageait les choses, dans une transparence totale et un assujettissement qui est conforme à ses désirs intimes, mais son petit côté professionnel, femme d’affaires dirigeante à fort caractère, a un peu de mal à vivre ce qui se passe, et surtout la manière dont cela se passe dans ce contexte vanille et professionnel. Elle se sent presque devant un tribunal, dont le juge serait Le Maître Vénéré, et elle coupable forcément par à priori, mise sur la sellette et même pas assise sur le côté sur le banc des accusés, obligée de rester à genoux, les mains dans le dos et les yeux bandés, presque comme une infâme scélérate. Plusieurs points sont abordés pour détailler son activité et plusieurs questions lui sont posées tour à tour par chacun des collaborateurs. Cet interrogatoire sous le bandeau est très éprouvant pour Thaïs MDE qui n’a pas en tête toutes les réponses, qui n’a même pas accès à des éléments matériels qu’elle ne connaît pas par cœur, et qui ne comprend pas pourquoi elle doit se justifier de tous ses choix antérieurs, alors qu’elle n’avait à l’époque de compte à rendre à personne, assumant tant ses échecs que ses réussites. Mais ce qui l’insupporte le plus, même si elle tâche de ne rien en laisser paraître, c’est lorsque sur une de ses réponses, un des collaborateurs qui a tous les documents adéquats sous les yeux se permet d’intervenir en précisant : « Faux !.... il est écrit dans le dossier que …. ». Cette intervention étant suivie presque immédiatement d’un coup de gong, comme s’il était question de comptabiliser toutes ses mauvaises réponses, une à une.
Jamais dans sa vie d’ingénieur en formation et plus tard de chef d’entreprise, elle ne s’est sentie aussi mal, même pas lorsque plus jeune elle devait passer les concours devant des examinateurs sévères ou lorsque de par ses fonctions de dirigeante, elle était convoquée devant des administrations ou juridictions de toutes sortes. Et pour autant, elle ressent une excitation qu’elle ne peut et ne souhaite pas non plus refreiner, se disant que finalement, il est plutôt bien qu’elle soit encore à genoux, car personne, ne doit voir sa chatte humide qui trahirait ce sentiment incompréhensible qui l’habite, malgré la colère et la honte qui oblige la businesswoman à serrer les dents pour supporter cette expérience éprouvante. Elle ne saurait dire combien de temps cette réunion dure et s’éternise, tant de points sont soulevés et abordés, parfois même juste entre Monsieur le Marquis d’Evans et ses collaborateurs qui parlent de projets d’avenir sans même se soucier de sa présence et encore moins de son avis sur la question, puisqu’elle n’est tenue que de répondre aux questions que chacun lui pose, et sûrement pas d’épiloguer pour donner son point de vue. La chienne-soumise Thaïs MDE de par sa condition d’esclave librement assujettie avait eu le sentiment de se mettre à nu physiquement et psychiquement devant le Dominant qu’elle avait reconnu comme tel, ne lui cachant plus rien de ses pensées intimes et de ses ressentis, mais là, elle se rend compte qu’elle doit aussi abandonner la carapace protectrice derrière laquelle la chef d’entreprise qu’elle est sur le plan professionnel se retranchait encore, et que cette épreuve si dure à supporter au présent reste une étape de progression dans sa soumission servile. C’est Monsieur le Marquis d’Evans qui prend la parole pour clore la réunion.
- Chères Collaboratrices, Chers Collaborateurs, je vous remercie tous de ce temps de travail qui a été fructueux. Vous pouvez rejoindre votre poste de travail, comme chaque fois ma secrétaire vous fera passer le projet de compte-rendu que vous pourrez annoter avant la mouture finale. Je souhaite maintenant rester seul avec ma chienne-esclave Thaïs MDE, et je vous demande de quitter les lieux au plus tôt.
Les différents participants se lèvent sans tarder et sans papoter, et sortent toutes et tous au plus tôt. Le Maître Vénéré s’approche de Sa chienne-esclave qui est toujours restée à genoux, pas mécontente d’être arrivée au bout de la réunion sans craquer nerveusement, tant ce fût épuisant.
- Du calme, ma chienne, c’est terminé. Je suis fier de toi. Tu as bien résisté malgré tout à la pression, le bandeau a dû t’aider à ne pas pleurer car je pense que l’émotion et ton agitation interne devaient être à son comble. Le gong a toutefois retenti un grand nombre de fois, je ne peux tolérer cela et le laisser passer comme si de rien n’était. J’espère donc que tu es consciente que cela méritera une punition que tu devras venir implorer à Mes pieds tout à l’heure, mais laisse-moi d’abord t’examiner. Je veux aussi connaître les réactions de ton corps face à ce que tu viens de vivre.
La soumise est surprise d’entendre la réflexion attendrissante et protectrice du Marquis d’Evans qui lui précise qu’il a pris soin de lui faire poser un bandeau sur les yeux pour éviter qu’elle ne se mette à pleurer, car il connaît bien son émotivité, même si elle lui a toujours affirmé qu’elle était plutôt forte et peu sensible quand elle se trouve dans un contexte professionnel. Le Maître Vénéré se penche sur Sa chienne, lui glisse la main sous le bras et l’aide à se lever. IL passe deux doigts dans l’entrecuisse de Thaïs MDE qui est trempée de cyprine et lui fait lécher aussi sec ses sécrétions intimes, en ponctuant son geste de « et bien …. Tu as pris du plaisir, ce me semble ! ». Le Maître fait alors le tour de Sa soumise pour lui défaire son bandeau et ajoute :
- Mais c’est quoi ce que je vois sur ton corps ? Tu es sale ma chienne, on dirait du sperme séché, et tu en as plein le cul. C’est dans cet état que tu as osée te présenter à tous mes collaborateurs. C’est impensable ! Et en plus, tu te permets de t’envoyer en l’air et de copuler sans mon autorisation. Cela ne va pas se passer ainsi ! …
(A suivre…..)
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