L'histoire de Thaïs et du Maître Vénéré
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'histoire de Thaïs et du Maître Vénéré
L'histoire de Thaïs et du Maître Vénéré – Suite de l'épisode précédent N°497 -
La voix est douce mais ferme. compelled MDE s’imagine qu’il doit s’agir d’une Domina et il ne peut nullement imaginer qu’il s’agit d’une sœur de soumission MDE qui est là pour lui transmettre toutes les consignes pour la suite, la première étant de ne pas lui révéler qui elle est et où il a été conduit en veillant également à ne citer aucun nom. Le chien-esclave pense dans tous les cas qu’il ne doit pas sortir du véhicule avant d’y avoir été invité. Il bouge un peu les bras et les jambes pour détendre ses muscles contractés par la position imposée pendant tout le long voyage.
- Suffit le chien de cirque, tu te crois sous le chapiteau en train de faire ton numéro de caniche que tu aies déjà besoin de gesticuler dans tous les sens. J’espère que tu vas savoir bien te tenir car je ne suis pas là pour perdre mon temps à faire des remontrances aux chiens de ton espèce encore en cours de dressage.
Les propos d’Emeline MDE ne sont pas tendres, mais ils sont volontairement dans la logique de ce qui va être exigé du nouveau chien-mâle du Maître qui va être « animalisé » pour l’après-midi et qui sera par la suite présenté comme on le ferait d’un animal de foire devant les deux invités professionnels du Président Directeur Général de la Holding.
- Allez le dogue, tu es resté assez longtemps le cul assis, tu voulais te dégourdir les membres, et bien la promenade va te faire du bien.
compelled MDE commence à vouloir sortir du véhicule, envoyant les mains pour se repérer et se relever car il a toujours le bandeau sur les yeux et ne sait pas du tout où et devant qui il se trouve. Il sent une main qui le repousse et l’oblige à se courber.
- A partir du moment où tu poseras tes quatre pattes ici et jusqu’à ton départ, sauf contre-ordre express, tu deviens et tu restes juste une chienne docile, et donc tu ne pourras te déplacer qu’en quadrupédie.
L’esclave se penche en avant et après quelques contorsions difficiles, il se positionne à genoux sur le plancher du véhicule pour pouvoir en sortir sur les mains d’abord, puis sur les genoux ensuite. Le sol rugueux en béton brut n’est pas du premier confort, mais compelled MDE est très excité de la situation et du fait de ne pas savoir ce qui l’attend. Il se plie avec beaucoup de docilité pour ne plus être que ce qu’il est un chien soumis mâle, même s’il commence à imaginer que cet après-midi risque de ne pas ressembler à certaines séances plus cinglantes et masochistes avec le Maître Vénéré auxquelles il a déjà été habitué. Il est conscient qu’il n’a jamais été sous la Domination d’un Femme, ce qu’il redoute d’une certaine manière, d’autant plus qu’en bonne lopette passive, il est plus attiré par les hommes, mais son statut d’esclave ne lui permet pas de juger de l’expérience que le Maître Vénéré a décidé de lui imposer pour parfaire son éducation. Il est d’ailleurs étonné de voir que celle qui a réceptionné « le colis » n’a pas encore envoyé les mains de la manière la plus perverse qui soit sur ses attributs et sa raie pluguée pour vérifier l’état de la marchandise et également marquer son emprise. Mais là encore, il doit refreiner ses désirs d’attouchements sexuels se disant qu’il est juste un slave mis à disposition pour subir ce qui lui sera imposé et non là pour quémander à pouvoir prendre son pied dans une débauche de plaisirs charnels et sensuels partagés.
Soumise Emeline MDE attache une laisse de métal au premier anneau du collier que l’esclave porte à son cou et elle avance sans plus se soucier de celui qu’elle tire en laisse. compelled MDE sent ses paumes et ses genoux meurtris par le béton brut de décoffrage. Après plusieurs mètres de marches difficiles et irritantes, il est contraint sur ordre de se frotter les mains, les genoux et le bas des jambes sur un paillasson pour pouvoir éliminer toute la poussière et les menus gravats qui se sont incrustés dans sa peau. Il n’est pas mécontent de sentir qu’il déambule par la suite sur un genre de lino plus tendre, puis sur de grandes dalles de carrelage froid et lisse. Il est toujours dans le noir de son bandeau, mais le bruit caractéristique d’une porte métallique qui s’ouvre lui fait comprendre qu’il y a un ascenseur dans lequel il est conduit, positionné par la secrétaire qui appuie sur l’un des boutons. Le chien-soumis est de plus en plus excité avec une tension croissante au fur et à mesure que le temps passe sans qu’il lui soit dévoilé le moindre indice. Il ressent une certaine humiliation de ne toujours pas savoir qui la pris en laisse et de ne pas pouvoir voir ce qui se passe autour, ayant perdu une bonne partie de son autonomie et de son identité sociale, mais il sait qu’il apprécie aussi de pouvoir assumer pleinement son assujettissement et sa condition de slave, ce qui ne l’empêche malgré tout de cogiter dans le fin fond de son cerveau autant inquiet qu’excité « Y a-t-il d’autres personnes qui ont pu ou vont pouvoir l’apercevoir déambulant ainsi nu, à quatre pattes, les yeux bandés, la queue encagée et les couilles pleines ballantes au rythme de sa démarche canine ? ». Une question une fois de plus qui restera sans réponse malgré le fait que le soumis MDE cherche à capter les moindres bruits environnants pour se repérer comme le ferait un aveugle.
L’ascenseur s’arrête, soumis compelled MDE a le cœur serré et le rythme cardiaque qui s’est accéléré imaginant tout un tas de scénarios improbables sur ce qui se trouve à l’étage où il a été conduit. Et pourtant rien de plus, pas le moindre bruit extérieur et pas le moindre mot prononcé. Le chien reprend sa marche un peu déçu après les fantasmes qu’il avait rapidement échafaudés tandis que l’ascenseur grimpait mais gardant l’espoir que ce qui l’attend va être excitant et source de plaisirs physiques ou intellectuels, même s’il ne s’agit pour lui que de vivre sa slavitude à fond, se souciant plus en tout premier lieu d’obéir pour la totale satisfaction du Maître Vénéré avant même de penser à son propre plaisir personnel. Emeline MDE qui a repris sa marche rapide au milieu des couloirs déserts oblique à 45 degrés pour entrer dans une salle dont elle ouvre la porte. compelled MDE qui comprend trop tard ce qui se passe heurte au passage l’encadrement de la porte, car il lui est difficile de se déplacer ainsi à quatre pattes en aveugle, juste dirigé par la tension de la laisse qui le force à avancer à chaque pas. Emeline MDE s’arrête net au centre de la pièce en carrelage qui correspond à une cuisine d’appoint qui se trouve situé à l’étage réservé au PDG.
- Stop le chien. Tu vas pouvoir manger et boire maintenant car il semble que tu sois à jeun depuis pas mal d’heures avec un frugal souper hier soir. C’est très bien car au moins cela aura fait la propreté aussi par le vide dans tes entrailles et tu n’auras rien qui trainera à la sortie. De toute manière, tu auras droit à un lavement anal juste avant qu’on ne t’habille avec la tenue choisie par Monsieur le Marquis d’Evans.
Le simple fait d’entendre le nom du Maître Vénéré émoustille l’esprit déjà éveillé du chien, qui s’interroge pour savoir pourquoi il devrait être maintenant habillé alors qu’on la fait venir du château en tenue d’Adam, hormis le plug enfoncé dans son fondement. Mais l’esclave préfère ne pas chercher à comprendre, car il verra bien en temps voulu ce qui sera exigé de lui. Pour l’instant, il se contente juste apprécier le fait de savoir qu’il va enfin pouvoir boire et manger.
- Tu as juste devant toi, deux gamelles. Celle de gauche contient une pâtée spéciale pour chien et celle de droite est remplie d’eau. Tâche de ne rien renverser, tu pourras te servir de ton museau pour les localiser, interdiction de te servir de tes mains, je pense que tu t’en doutais. Dépêche toi de tout avaler avant mon retour.
Tandis qu’Emeline MDE quitte la pièce, sans tarder compelled MDE se courbe un peu plus et avance la tête délicatement ne sachant pas précisément où se trouvent les gamelles. C’est son nez qui plonge le premier dans l’eau, il le ressort trempé, se disant qu’il risque de se faire rouspéter de ne pas avoir été capable de manger proprement, mais avec le bandeau sur les yeux, ce n’est pas facile pour un homme bipède de laper comme un chien sa nourriture et son eau en se servant juste de son flair peu développer pour les situer. Il lui serait facile d’envoyer vite fait la main pour retirer son bandeau et jeter un coup d’œil autour de lui, mais l’esclave pense qu’il y a de fortes chances qu’il soit sous surveillance vidéo permanente et même sans cela, ce qui le retient, c’est son désir de soumission qui est tellement ancré en lui qu’il vivrait son acte non autorisé comme une trahison dans son engagement d’esclave, qui le déshonorerait en le rendant peu digne de la confiance que lui accorde le Maître qui lui permet de vivre enfin sa slavitude D/s dans toute la dimension dont il avait rêvé, avec de nouvelles expériences qui renforcent son dressage et sa soumission. Le chien prend d’ailleurs un réel plaisir sensuel à laper l’eau qui vient réhydrater sa gorge asséchée, même si parfois il trempe son nez ou son menton au passage, faute d’avoir la langue assez longue et assez souple pour la creuser et récupérer au passage et à chaque lapée une bonne quantité de liquide.
Après avoir bu tout le contenu de la gamelle, compelled MDE dévore la pâtée qui a été préparée avec soin, une purée mixée avec de la viande hachée et des légumes du soleil dont il reconnaît le goût coupé en tout petits dés. Il est plutôt content car il s’attendait à devoir ingurgiter une vraie pâtée canine sortie d’une boite pour chien ce qui l’inquiétait un peu car ces aliments contiennent la plupart du temps de minuscules bouts d’os broyés et ils ne sont pas adaptés à un estomac humain, qui ne tolère pas la même chose que ce que peut arriver à digérer sans souci un vrai chien à poils. Il en remuerait presque des fesses comme le ferait instinctivement un vrai animal car il n’a pas toujours des repas aussi copieux et succulents servis au Château, même si Marie veille à ce que tous les esclaves du Cheptel MDE soit correctement nourris de manière équilibrée pour rester en bonne santé physique, elle doit rassasier tout le monde et cela tient souvent plus de la cantine pour le personnel et les esclaves que du restaurant gastronomique qui est réservé à Monsieur le Marquis d’Evans et à Ses invités.
Alors que le soumis a presque terminé sa dernière bouchée de pâtée, Emeline MDE rentre à nouveau dans la pièce. Le chien ne sait pas s’il s’agit de la même personne car il a juste entendu des pas sur le carrelage, mais lorsqu’elle s’approche, il reconnaît le parfum léger qu’il avait déjà identifié en sortant de la voiture.
- Le chien veux-tu encore un peu d’eau ?
compelled MDE aurait bien aimé être appelé par son vrai nom qu’il porte avec fierté d’autant plus qu’il a aussi été autorisé à y ajouter les Nobles initiales du Maître Vénéré, mais il sait que ce n’est pas à lui de décider de ce genre de choses et qu’il doit accepter tous les qualificatifs dont on l’affuble des plus humiliants ou déshumanisants lorsqu’il est traité par Monsieur Walter de « colis », « cargaison », « sale cabot », « bâtard », « lopette à enfiler », « stupide animal à deux trous », « petite queue flasque et inutile », « vide-couilles », « trou à fourrer », sans parler de tout ceux liés à sa condition de soumission librement consentie que le Maître Vénéré peut utiliser comme il l’entend « Mon esclave », « Mon sujet », « Ma chose », « Mon jouet sexuel », « Ma pute », « Ma bonne suceuse de bites », « Ma chienne » …. Un esprit humain et non canin à la « fâcheuse » tendance de penser trop vite à trop de choses. C’est donc presque machinalement lorsqu’il entend la question que compelled MDE qui est toujours habitué à répondre presque la même chose par politesse s’apprête à sortir « Oui, s’il vous plait». Par chance, parce qu’un esprit humain (et non canin) a malgré tout de très grandes capacités intellectuelles et une bonne réactivité, il se rappelle in extremis la règle qui lui a été indiquée à son arrivée, et il se reprend aussi sec en hochant la tête verticalement.
- Ou… ouah, ouah (heureusement que Oui et Ouah commencent de la même manière) - Voilà ! Tu peux te désaltérer un peu plus, car pas question que tu manques de salive pour la suite.
- Ouah (répond-il en espérant que cela peut faire l’affaire en guise de remerciements)
Le soumis MDE se met aussi à laper une deuxième gamelle, assez excité de savoir que sa salive va être nécessaire, ce qui laisse présager qu’il pourrait avoir quelques bites dures ou vulves humides à lécher ce qui n’est pas pour lui déplaire, sachant aussi qu’il n’a pas oublié qu’il doit recevoir un dernier lavement anal, ce qui laisse aussi présager que son autre petit trou sera également largement mis à contribution. C’est donc tout content qu’il absorbe l’eau avec bruit comme le ferait un chien assoiffé peu soucieux des sons qu’il émet car à la différence des humains « dressés » à savoir se tenir correctement à table, l’animal n’a jamais eu de maman pour lui rabâché tout petit qu’on ne fait pas de bruit en buvant dans son verre ou en aspirant sa soupe dans la cuillère, et tant d’autres conseils qui ne sont plus d’une grande utilité pour tous ceux et celles qui se trouvent maintenant être nourri(e)s comme des chien(ne)s soumis(es) D/s.
- Tu es un vrai porc le chien, tu en as plein le museau.
Emeline MDE attrape une grosse éponge et elle débarbouille sans ménagement le soumis qui avait conservé des traces de purée sur le menton et le nez. Elle lui passe également l’éponge sur et sous les mains, ainsi que sous les genoux.
- Il faut que tu sois bien propre avant d’enfiler ta tenue. Et le béton du sous-sol qui dégage toujours de la poussière résiduelle n’est pas là pour te maintenir en état convenable. Tu as tout sali sur ton passage en laissant de vilaines traces.
« Enfiler sa tenue », rien de tel pour émoustiller un peu plus les neurones déjà trépidantes du soumis-chien-esclave qui n’a toujours pas retrouvé la vue depuis son arrivée.
Le sous-directeur administratif et juridique entre à son tour dans la pièce. Mais il fait attention de ne pas se présenter et de ne prononcer aucun nom pour entretenir encore plus le suspens dans l’esprit du soumis MDE suivant les recommandations précises du Châtelain, qui veut tester la docilité de son nouvel esclave à accepter tous les ordres, quels qu’ils soient, même sans savoir qui les donne, devant juste se contenter de savoir qu’il est, là où il se trouve, parce que le Maître Vénéré l’a exigé ainsi en tout premier lieu.
- Ah ! Voilà donc la nouvelle petite chienne de Monsieur le Marquis d’Evans. A-t-elle pu manger et boire surtout ?
- Oui, Monsieur, la petite chienne est prête.
- Et est-elle déjà une bonne chienne en chaleur qui va pouvoir être utile et utilisée.
Tout cela est fort excitant pour soumis compelled MDE qui mentalement nage dans le bonheur d’être considéré pour ce qu’il est au plus profond de lui-même …
(A suivre…..)
La voix est douce mais ferme. compelled MDE s’imagine qu’il doit s’agir d’une Domina et il ne peut nullement imaginer qu’il s’agit d’une sœur de soumission MDE qui est là pour lui transmettre toutes les consignes pour la suite, la première étant de ne pas lui révéler qui elle est et où il a été conduit en veillant également à ne citer aucun nom. Le chien-esclave pense dans tous les cas qu’il ne doit pas sortir du véhicule avant d’y avoir été invité. Il bouge un peu les bras et les jambes pour détendre ses muscles contractés par la position imposée pendant tout le long voyage.
- Suffit le chien de cirque, tu te crois sous le chapiteau en train de faire ton numéro de caniche que tu aies déjà besoin de gesticuler dans tous les sens. J’espère que tu vas savoir bien te tenir car je ne suis pas là pour perdre mon temps à faire des remontrances aux chiens de ton espèce encore en cours de dressage.
Les propos d’Emeline MDE ne sont pas tendres, mais ils sont volontairement dans la logique de ce qui va être exigé du nouveau chien-mâle du Maître qui va être « animalisé » pour l’après-midi et qui sera par la suite présenté comme on le ferait d’un animal de foire devant les deux invités professionnels du Président Directeur Général de la Holding.
- Allez le dogue, tu es resté assez longtemps le cul assis, tu voulais te dégourdir les membres, et bien la promenade va te faire du bien.
compelled MDE commence à vouloir sortir du véhicule, envoyant les mains pour se repérer et se relever car il a toujours le bandeau sur les yeux et ne sait pas du tout où et devant qui il se trouve. Il sent une main qui le repousse et l’oblige à se courber.
- A partir du moment où tu poseras tes quatre pattes ici et jusqu’à ton départ, sauf contre-ordre express, tu deviens et tu restes juste une chienne docile, et donc tu ne pourras te déplacer qu’en quadrupédie.
L’esclave se penche en avant et après quelques contorsions difficiles, il se positionne à genoux sur le plancher du véhicule pour pouvoir en sortir sur les mains d’abord, puis sur les genoux ensuite. Le sol rugueux en béton brut n’est pas du premier confort, mais compelled MDE est très excité de la situation et du fait de ne pas savoir ce qui l’attend. Il se plie avec beaucoup de docilité pour ne plus être que ce qu’il est un chien soumis mâle, même s’il commence à imaginer que cet après-midi risque de ne pas ressembler à certaines séances plus cinglantes et masochistes avec le Maître Vénéré auxquelles il a déjà été habitué. Il est conscient qu’il n’a jamais été sous la Domination d’un Femme, ce qu’il redoute d’une certaine manière, d’autant plus qu’en bonne lopette passive, il est plus attiré par les hommes, mais son statut d’esclave ne lui permet pas de juger de l’expérience que le Maître Vénéré a décidé de lui imposer pour parfaire son éducation. Il est d’ailleurs étonné de voir que celle qui a réceptionné « le colis » n’a pas encore envoyé les mains de la manière la plus perverse qui soit sur ses attributs et sa raie pluguée pour vérifier l’état de la marchandise et également marquer son emprise. Mais là encore, il doit refreiner ses désirs d’attouchements sexuels se disant qu’il est juste un slave mis à disposition pour subir ce qui lui sera imposé et non là pour quémander à pouvoir prendre son pied dans une débauche de plaisirs charnels et sensuels partagés.
Soumise Emeline MDE attache une laisse de métal au premier anneau du collier que l’esclave porte à son cou et elle avance sans plus se soucier de celui qu’elle tire en laisse. compelled MDE sent ses paumes et ses genoux meurtris par le béton brut de décoffrage. Après plusieurs mètres de marches difficiles et irritantes, il est contraint sur ordre de se frotter les mains, les genoux et le bas des jambes sur un paillasson pour pouvoir éliminer toute la poussière et les menus gravats qui se sont incrustés dans sa peau. Il n’est pas mécontent de sentir qu’il déambule par la suite sur un genre de lino plus tendre, puis sur de grandes dalles de carrelage froid et lisse. Il est toujours dans le noir de son bandeau, mais le bruit caractéristique d’une porte métallique qui s’ouvre lui fait comprendre qu’il y a un ascenseur dans lequel il est conduit, positionné par la secrétaire qui appuie sur l’un des boutons. Le chien-soumis est de plus en plus excité avec une tension croissante au fur et à mesure que le temps passe sans qu’il lui soit dévoilé le moindre indice. Il ressent une certaine humiliation de ne toujours pas savoir qui la pris en laisse et de ne pas pouvoir voir ce qui se passe autour, ayant perdu une bonne partie de son autonomie et de son identité sociale, mais il sait qu’il apprécie aussi de pouvoir assumer pleinement son assujettissement et sa condition de slave, ce qui ne l’empêche malgré tout de cogiter dans le fin fond de son cerveau autant inquiet qu’excité « Y a-t-il d’autres personnes qui ont pu ou vont pouvoir l’apercevoir déambulant ainsi nu, à quatre pattes, les yeux bandés, la queue encagée et les couilles pleines ballantes au rythme de sa démarche canine ? ». Une question une fois de plus qui restera sans réponse malgré le fait que le soumis MDE cherche à capter les moindres bruits environnants pour se repérer comme le ferait un aveugle.
L’ascenseur s’arrête, soumis compelled MDE a le cœur serré et le rythme cardiaque qui s’est accéléré imaginant tout un tas de scénarios improbables sur ce qui se trouve à l’étage où il a été conduit. Et pourtant rien de plus, pas le moindre bruit extérieur et pas le moindre mot prononcé. Le chien reprend sa marche un peu déçu après les fantasmes qu’il avait rapidement échafaudés tandis que l’ascenseur grimpait mais gardant l’espoir que ce qui l’attend va être excitant et source de plaisirs physiques ou intellectuels, même s’il ne s’agit pour lui que de vivre sa slavitude à fond, se souciant plus en tout premier lieu d’obéir pour la totale satisfaction du Maître Vénéré avant même de penser à son propre plaisir personnel. Emeline MDE qui a repris sa marche rapide au milieu des couloirs déserts oblique à 45 degrés pour entrer dans une salle dont elle ouvre la porte. compelled MDE qui comprend trop tard ce qui se passe heurte au passage l’encadrement de la porte, car il lui est difficile de se déplacer ainsi à quatre pattes en aveugle, juste dirigé par la tension de la laisse qui le force à avancer à chaque pas. Emeline MDE s’arrête net au centre de la pièce en carrelage qui correspond à une cuisine d’appoint qui se trouve situé à l’étage réservé au PDG.
- Stop le chien. Tu vas pouvoir manger et boire maintenant car il semble que tu sois à jeun depuis pas mal d’heures avec un frugal souper hier soir. C’est très bien car au moins cela aura fait la propreté aussi par le vide dans tes entrailles et tu n’auras rien qui trainera à la sortie. De toute manière, tu auras droit à un lavement anal juste avant qu’on ne t’habille avec la tenue choisie par Monsieur le Marquis d’Evans.
Le simple fait d’entendre le nom du Maître Vénéré émoustille l’esprit déjà éveillé du chien, qui s’interroge pour savoir pourquoi il devrait être maintenant habillé alors qu’on la fait venir du château en tenue d’Adam, hormis le plug enfoncé dans son fondement. Mais l’esclave préfère ne pas chercher à comprendre, car il verra bien en temps voulu ce qui sera exigé de lui. Pour l’instant, il se contente juste apprécier le fait de savoir qu’il va enfin pouvoir boire et manger.
- Tu as juste devant toi, deux gamelles. Celle de gauche contient une pâtée spéciale pour chien et celle de droite est remplie d’eau. Tâche de ne rien renverser, tu pourras te servir de ton museau pour les localiser, interdiction de te servir de tes mains, je pense que tu t’en doutais. Dépêche toi de tout avaler avant mon retour.
Tandis qu’Emeline MDE quitte la pièce, sans tarder compelled MDE se courbe un peu plus et avance la tête délicatement ne sachant pas précisément où se trouvent les gamelles. C’est son nez qui plonge le premier dans l’eau, il le ressort trempé, se disant qu’il risque de se faire rouspéter de ne pas avoir été capable de manger proprement, mais avec le bandeau sur les yeux, ce n’est pas facile pour un homme bipède de laper comme un chien sa nourriture et son eau en se servant juste de son flair peu développer pour les situer. Il lui serait facile d’envoyer vite fait la main pour retirer son bandeau et jeter un coup d’œil autour de lui, mais l’esclave pense qu’il y a de fortes chances qu’il soit sous surveillance vidéo permanente et même sans cela, ce qui le retient, c’est son désir de soumission qui est tellement ancré en lui qu’il vivrait son acte non autorisé comme une trahison dans son engagement d’esclave, qui le déshonorerait en le rendant peu digne de la confiance que lui accorde le Maître qui lui permet de vivre enfin sa slavitude D/s dans toute la dimension dont il avait rêvé, avec de nouvelles expériences qui renforcent son dressage et sa soumission. Le chien prend d’ailleurs un réel plaisir sensuel à laper l’eau qui vient réhydrater sa gorge asséchée, même si parfois il trempe son nez ou son menton au passage, faute d’avoir la langue assez longue et assez souple pour la creuser et récupérer au passage et à chaque lapée une bonne quantité de liquide.
Après avoir bu tout le contenu de la gamelle, compelled MDE dévore la pâtée qui a été préparée avec soin, une purée mixée avec de la viande hachée et des légumes du soleil dont il reconnaît le goût coupé en tout petits dés. Il est plutôt content car il s’attendait à devoir ingurgiter une vraie pâtée canine sortie d’une boite pour chien ce qui l’inquiétait un peu car ces aliments contiennent la plupart du temps de minuscules bouts d’os broyés et ils ne sont pas adaptés à un estomac humain, qui ne tolère pas la même chose que ce que peut arriver à digérer sans souci un vrai chien à poils. Il en remuerait presque des fesses comme le ferait instinctivement un vrai animal car il n’a pas toujours des repas aussi copieux et succulents servis au Château, même si Marie veille à ce que tous les esclaves du Cheptel MDE soit correctement nourris de manière équilibrée pour rester en bonne santé physique, elle doit rassasier tout le monde et cela tient souvent plus de la cantine pour le personnel et les esclaves que du restaurant gastronomique qui est réservé à Monsieur le Marquis d’Evans et à Ses invités.
Alors que le soumis a presque terminé sa dernière bouchée de pâtée, Emeline MDE rentre à nouveau dans la pièce. Le chien ne sait pas s’il s’agit de la même personne car il a juste entendu des pas sur le carrelage, mais lorsqu’elle s’approche, il reconnaît le parfum léger qu’il avait déjà identifié en sortant de la voiture.
- Le chien veux-tu encore un peu d’eau ?
compelled MDE aurait bien aimé être appelé par son vrai nom qu’il porte avec fierté d’autant plus qu’il a aussi été autorisé à y ajouter les Nobles initiales du Maître Vénéré, mais il sait que ce n’est pas à lui de décider de ce genre de choses et qu’il doit accepter tous les qualificatifs dont on l’affuble des plus humiliants ou déshumanisants lorsqu’il est traité par Monsieur Walter de « colis », « cargaison », « sale cabot », « bâtard », « lopette à enfiler », « stupide animal à deux trous », « petite queue flasque et inutile », « vide-couilles », « trou à fourrer », sans parler de tout ceux liés à sa condition de soumission librement consentie que le Maître Vénéré peut utiliser comme il l’entend « Mon esclave », « Mon sujet », « Ma chose », « Mon jouet sexuel », « Ma pute », « Ma bonne suceuse de bites », « Ma chienne » …. Un esprit humain et non canin à la « fâcheuse » tendance de penser trop vite à trop de choses. C’est donc presque machinalement lorsqu’il entend la question que compelled MDE qui est toujours habitué à répondre presque la même chose par politesse s’apprête à sortir « Oui, s’il vous plait». Par chance, parce qu’un esprit humain (et non canin) a malgré tout de très grandes capacités intellectuelles et une bonne réactivité, il se rappelle in extremis la règle qui lui a été indiquée à son arrivée, et il se reprend aussi sec en hochant la tête verticalement.
- Ou… ouah, ouah (heureusement que Oui et Ouah commencent de la même manière) - Voilà ! Tu peux te désaltérer un peu plus, car pas question que tu manques de salive pour la suite.
- Ouah (répond-il en espérant que cela peut faire l’affaire en guise de remerciements)
Le soumis MDE se met aussi à laper une deuxième gamelle, assez excité de savoir que sa salive va être nécessaire, ce qui laisse présager qu’il pourrait avoir quelques bites dures ou vulves humides à lécher ce qui n’est pas pour lui déplaire, sachant aussi qu’il n’a pas oublié qu’il doit recevoir un dernier lavement anal, ce qui laisse aussi présager que son autre petit trou sera également largement mis à contribution. C’est donc tout content qu’il absorbe l’eau avec bruit comme le ferait un chien assoiffé peu soucieux des sons qu’il émet car à la différence des humains « dressés » à savoir se tenir correctement à table, l’animal n’a jamais eu de maman pour lui rabâché tout petit qu’on ne fait pas de bruit en buvant dans son verre ou en aspirant sa soupe dans la cuillère, et tant d’autres conseils qui ne sont plus d’une grande utilité pour tous ceux et celles qui se trouvent maintenant être nourri(e)s comme des chien(ne)s soumis(es) D/s.
- Tu es un vrai porc le chien, tu en as plein le museau.
Emeline MDE attrape une grosse éponge et elle débarbouille sans ménagement le soumis qui avait conservé des traces de purée sur le menton et le nez. Elle lui passe également l’éponge sur et sous les mains, ainsi que sous les genoux.
- Il faut que tu sois bien propre avant d’enfiler ta tenue. Et le béton du sous-sol qui dégage toujours de la poussière résiduelle n’est pas là pour te maintenir en état convenable. Tu as tout sali sur ton passage en laissant de vilaines traces.
« Enfiler sa tenue », rien de tel pour émoustiller un peu plus les neurones déjà trépidantes du soumis-chien-esclave qui n’a toujours pas retrouvé la vue depuis son arrivée.
Le sous-directeur administratif et juridique entre à son tour dans la pièce. Mais il fait attention de ne pas se présenter et de ne prononcer aucun nom pour entretenir encore plus le suspens dans l’esprit du soumis MDE suivant les recommandations précises du Châtelain, qui veut tester la docilité de son nouvel esclave à accepter tous les ordres, quels qu’ils soient, même sans savoir qui les donne, devant juste se contenter de savoir qu’il est, là où il se trouve, parce que le Maître Vénéré l’a exigé ainsi en tout premier lieu.
- Ah ! Voilà donc la nouvelle petite chienne de Monsieur le Marquis d’Evans. A-t-elle pu manger et boire surtout ?
- Oui, Monsieur, la petite chienne est prête.
- Et est-elle déjà une bonne chienne en chaleur qui va pouvoir être utile et utilisée.
Tout cela est fort excitant pour soumis compelled MDE qui mentalement nage dans le bonheur d’être considéré pour ce qu’il est au plus profond de lui-même …
(A suivre…..)
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