L'histoire de Thaïs et du Maître Vénéré – Suite de l'épisode N°537
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-11-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'histoire de Thaïs et du Maître Vénéré – Suite de l'épisode N°537
L'histoire de Thaïs et du Maître Vénéré – Suite de l'épisode N°537 -
Tandis qu’au dernier étage de l’immense immeuble de bureaux de la Holding MDE appartenant à Monsieur le Marquis d’Evans, le Président Directeur Général poursuit son entretien professionnel avec la businesswoman, un peu plus bas au 10ème étage, le soumis fautif et menteur car2MDE se remet « chaudement » des 49 coups, donnés avec le paddle garni d’une chape de pneu, qui lui ont sérieusement échauffé la couenne. Le responsable des soumis et soumises MDE qui règne en Maître par substitution sur les esclaves du cheptel qui travaillent dans l’entreprise vient d’ouvrir les 4 menottes qui enserraient les chevilles et les poignées du fustigé et également l’anneau qui était fermé autour du sexe et des couilles pendantes du chauffeur. Ce dernier est dans un état d’émotions intenses car il s’est trouvé acculé au pied du mur par Monsieur Denis qui avait laissé entendre à plusieurs reprises que le soumis à l’essai ferait bien mieux de renoncer à sa place et à son statut de chien-esclave-soumis MDE en devenir. Pour la première fois, car2MDE a ressenti avec une forte intensité son désir de soumission qui allait bien au-delà du plaisir qu’il pouvait prendre à conduire les luxueuses voitures de fonction du Noble PDG. Non sans de nombreux hurlements face à une douleur qu’il ne savait pas vraiment supporter n’étant pas encore très endurci et habitué aux pratiques D/s cinglantes, c’est néanmoins avec une vraie repentance qu’il avait décidé d’accepter jusqu’au bout le châtiment imposé pour son triple mensonge qu’il n’avait pu que regretter amèrement, mais dont il se devait d’assumer l’entière responsabilité. Et en finissant par s’abandonner à ce qu’il devait endurer jusqu’au terme, il y avait découvert ce que pouvait être un plaisir masochiste, surpris au fond de lui de voir combien cette épreuve pourtant douloureuse l’avait excité et avait fait gonfler sa queue de mâle bandant.
Le soumis est toujours à quatre pattes, son corps reposant sur les barres de l’armature métallique qui lui passent sous le corps. La situation commence à devenir des plus inconfortables, mais car2MDE une fois libéré de toutes ses contraintes a reçu l’ordre de ne pas bouger. Son sexe est toujours droit comme un pieu et il voudrait bien pouvoir se branler pour profiter de l’excitation qui s’est emparé de son corps avec frénésie. Mais le soumis se rend bien compte qu’il ne peut, ni ne veut, prendre le risque de désobéir une fois de plus s’il ne veut pas encourir de nouvelles brimades qui pourraient bien à la longue ne pas s’avérer parmi les plus plaisantes. La frustration qu’il ressent de ne pas pouvoir se masturber et finir par éjaculer toute à son aise est réelle, mais il ne saurait plus dire si elle est désagréable ou agréable, car il se sent avant tout pris en mains, cadré, dressé, assoupli, contraint, et cela lui procure un sentiment savoureux de ne plus être que ce qu’il avait rêvé d’être, cet autre lui-même soumis et servile. Il essaye de se concentrer sur tout ce qu’il vient de vivre et sur tous les ressentis parfois contradictoires qui ont défilé dans sa tête, oubliant les plus douloureux pour ne repenser qu’aux plus exquis lorsqu’il avait fini par s’abandonner au martèlement qui s’abattait régulièrement sur ses fesses et venait y déposer avec vigueur des ondes de chaleur excitantes autant que cuisantes.
Ce qui marque le plus car2MDE, c’est de se rendre compte combien il savoure le fait de devoir rester immobile de son propre chef sans la moindre contrainte physique cette fois mais tout simplement la contrainte morale qu’il s’impose de devoir obéir aux ordres de Monsieur Denis comme un bon soumis en devenir, et ce, malgré la gêne de la position imposée, l’engourdissement de ses muscles, la chaleur qui irradie de son postérieur, l’excitation corporelle qui fait tendre et gonfler son phallus. Le responsable revient dans la pièce et s’approche du soumis en approchant un gros cube fermé qui tient lieu de tabouret.
- Voilà, tu vas pouvoir t’asseoir quelques minutes pour reposer tes genoux ! ….. Ah, ah, ah ….
Le rire et le ton pervers de la voix du Dominant inquiètent bien plus qu’ils ne rassurent le chauffeur, qui se doute qu’il doit y avoir anguille sous roche dans cette proposition bien aimable de songer à vouloir permettre au chauffeur puni de reposer ses genoux, d’autant plus que ce dernier n’a pas oublié les derniers propos du responsable qui l’a prévenu que cette fustigation n’était que le début de la sanction et que les coups de paddle ne valaient que pour les trois mensonges. Cela lui laisse donc à penser qu’une autre suite punitive a été orchestrée en référence à ses interventions déplacées qui s’apparentaient à des critiques sur les ordres transmis que le chauffeur n’avait pas à commenter, mais simplement à exécuter conformément à ce qui lui avait été imposé.
- Debout, le chien ! Exécution !
Le soumis se redresse pas mécontent de pouvoir bouger ses membres ankylosés. Il baisse la tête en espérant bien que son attitude devenue plus humble lui permettra d’annuler, ou tout au moins de fortement minimiser, la suite de la sanction. Mais c’est n’avoir pas encore compris que lorsqu’une punition a été décidée parce qu’elle était méritée, elle doit être exécutée jusqu’au bout pour servir de leçon afin d’éviter que la même erreur ne se reproduise à l’avenir.
- Et bien, il me semble que cette entrée en matière a au moins eu l’avantage de te faire fermer ton clapet, car tu ne dis plus rien. Sauf que c’est ce matin qu’il aurait fallu être moins bavard et plus docile.
Monsieur Denis approche le tabouret juste derrière car2MDE en ayant pris soin de le retourner à l’envers de telle manière que la face supérieure soit celle qui est recouverte d’un paillasson rugueux comme ceux que l’on met à l’entrée d’une demeure et qui servent à se décrasser les chaussures. Le responsable pose sa main sur les épaules du soumis pour le forcer à se baisser tout en veillant à ce qu’il ne tombe pas par terre et s’assoit bien sur le cube.
- Assied toi car2MDE, cela va me laisser le temps de te transmettre tes prochaines instructions.
Le chauffeur très surpris lorsque ses fesses rouges rentrent en contact avec le crin tentent par réflexe de se relever, mais la main ferme du responsable posée sur son épaule ne lui en laisse pas l’opportunité, c’est donc bien contraint et forcé qu’il pose son postérieur enflammé sur cette surface rugueuse qui ne fait que relancer un peu plus les douleurs cuisantes de ses fesses marquées par les 49 coups de paddle. Le soumis cherche à prendre appui sur ses pieds pour soulager un peu la sensation désagréable, mais plus il se dandine d’une fesse sur l’autre, plus le moindre mouvement vient réveiller sa couenne encore endolorie par la fustigation. Il n’a pourtant pas l’occasion bien longtemps de se poser des questions sur la position qui lui serait la moins douloureuse que Monsieur Denis s’approche avec une longue corde pour lui lier les mains dans le dos. Le responsable attrape ensuite une des jambes de car2MDE qu’il plie et relève vers l’arrière enserrant la première cheville avant de faire pareil avec la deuxième, solidarisant le tout avec les cordes qui enserrent les poignets du soumis qui n’a donc plus aucun appui avec le sol et ne repose plus sur le tabouret recouvert de la paillasse rugueuse que par les fesses, appuyant de tout son poids par l’effet de la simple pesanteur ce qui lui donne l’impression que chacun des poils de crin lui rentre encore un peu plus dans la peau déjà bien enflammée. Le chauffeur ne peut s’empêcher de geindre à de nombreuses reprises.
- Cela doit te changer des fauteuils en cuir souple de la Rolls-Royce. Je vais te laisser mariner là quelques longues minutes, exactement le temps que tu as mis pour faire un aller-retour en voiture jusqu’au Château de Monsieur le Marquis d’Evans. Ce matin, tu avais eu la chance de pouvoir mettre tes fesses bien à l’aise dans la luxueuse voiture, n’ayant rien d’autre à faire que deux allers retours pour ramener une chienne MDE et plus tard un chien MDE. Tu as trouvé moyen de commenter et de critiquer les ordres que tu avais reçus. Il est donc temps pour toi de réfléchir au fait que pour un soumis MDE un ordre est un ordre à exécuter à la lettre. Si un jour, Monsieur le Marquis d’Evans avait besoin d’un conseil, ce qui me semble ne pas devoir arriver avant très longtemps, IL se chargerait bien de te le faire savoir en temps utile. Ce qu’IL attend de ceux qui désirent le servir et lui offrir leur soumission est avant tout une obéissance sans faille et de la reconnaissance pour le mal qu’IL se donne pour vous dresser à devenir ce pourquoi vous êtes faits. Et comme je vois que tu ne sais pas encore accepter ta juste punition méritée en silence, je vais prendre les moyens adéquats pour te clouer le bec et pour éviter que tu ne me déranges sans cesse avec tes lamentations « d’hommelettes » douillet, mais avant il faudrait que tu me remercies pour le mal que je me donne à m’occuper de toi.
Monsieur Denis attrape deux chaines réglables en longueur qui se terminent à chaque bout par des pinces à seins munies de petits picots. Il accroche deux des embouts sur les petits mamelons saillants du chien-soumis qui grimace tout ce qu’il sait surtout lorsque le responsable vient pincer l’autre bout en croisant les chaînes sur la langue de car2MDE qu’il a étiré pour la sortir au maximum. Le moindre mouvement de recul de la langue est rendu impossible par la tension des chaînes et le soumis n’a plus qu’a garder la tête inclinée vers le bas et la langue sortie, se mettant à baver et se demandant comment il va faire pour supporter cette position désagréable pour sa langue, ses seins, mais aussi ses fesses qui « reposent » bien désagréablement sur le paillasson de crin rugueux.
- Et bien te voilà solidement installé ! Tu vas pouvoir méditer tout à ton aise maintenant en attendant que je vienne te détacher. Sache que tu devras par la suite te rendre au Château pour apporter à Monsieur Walter un objet que l’on va venir déposer dans mon bureau. Cela devrait te réjouir de savoir que tu seras à nouveau en service et utile à quelque chose …. Ah, ah, ah …
Le nouveau rire pervers du responsable n’est pas là pour faire se « ré-jouir » dans ses liens le soumis, et pour autant il se rend compte qu’il s’est remis à bander de plus belle d’excitation. Il fait le calcul du temps nécessaire en voiture pour faire un aller-retour entre la Holding et le Château ancestral et se dit qu’il n’a plus qu’à prendre son mal en patience en essayant de bouger le moins possible pour éviter d’accentuer l’inflammation de ses fesses ou la tension des chaînes entre sa langue et ses tétons. Résigné, bien que ne sachant pas encore ce qui a fait sourire de perversité Monsieur Denis lorsqu’il a parlé de lui faire reprendre du service, car2MDE se laisse emporté par ses pensées et ses désirs de soumission, finissant par s’abandonner à ce qu’il accepte comme faisant partie de son dressage pour lui permettre de devenir plus endurant et plus obéissant. Il se sent d’une certaine manière heureux de se sentir encore plus soumis, dominé, contraint, forcé de s’endurcir pour subir les conséquences de ses erreurs de novice qui ne seront plus tolérées par le Maître Vénéré et ceux qui le substitueront en son absence.
Pendant ce temps, un peu plus haut dans le même immeuble de bureaux, le sous-directeur administratif et juridique qui s’occupait de préparer l’esclave compelled MDE, non sans s’être octroyé quelques plaisirs sodomites au passage qui étaient loin de déplaire au chien-soumis qui aime bien être utile et utilisé comme objet sexuel dans la mesure où il sait que c’est avec l’accord du Maître Vénéré qu’il doit servir de vide-couilles. Si car2MDE est un novice qui découvre à peine les enjeux d’une relation de Domination/soumission, ce n’est absolument pas le cas de soumis compelled MDE qui avait eu la chance d’être remarqué par le Noble Maître qui l’avait gratifié assez rapidement d’une place de choix dans l’un de ses cachots, conscient qu’il était un esclave particulièrement dévoué et docile, qui ne cherchait qu’à le satisfaire en tous points et qui lui avait fait don de sa vie avec une gratitude infinie pour tous les plaisirs masochistes physiques et psychiques qu’il pouvait ressentir dans sa condition de slave librement assujetti...
(A suivre...)
Tandis qu’au dernier étage de l’immense immeuble de bureaux de la Holding MDE appartenant à Monsieur le Marquis d’Evans, le Président Directeur Général poursuit son entretien professionnel avec la businesswoman, un peu plus bas au 10ème étage, le soumis fautif et menteur car2MDE se remet « chaudement » des 49 coups, donnés avec le paddle garni d’une chape de pneu, qui lui ont sérieusement échauffé la couenne. Le responsable des soumis et soumises MDE qui règne en Maître par substitution sur les esclaves du cheptel qui travaillent dans l’entreprise vient d’ouvrir les 4 menottes qui enserraient les chevilles et les poignées du fustigé et également l’anneau qui était fermé autour du sexe et des couilles pendantes du chauffeur. Ce dernier est dans un état d’émotions intenses car il s’est trouvé acculé au pied du mur par Monsieur Denis qui avait laissé entendre à plusieurs reprises que le soumis à l’essai ferait bien mieux de renoncer à sa place et à son statut de chien-esclave-soumis MDE en devenir. Pour la première fois, car2MDE a ressenti avec une forte intensité son désir de soumission qui allait bien au-delà du plaisir qu’il pouvait prendre à conduire les luxueuses voitures de fonction du Noble PDG. Non sans de nombreux hurlements face à une douleur qu’il ne savait pas vraiment supporter n’étant pas encore très endurci et habitué aux pratiques D/s cinglantes, c’est néanmoins avec une vraie repentance qu’il avait décidé d’accepter jusqu’au bout le châtiment imposé pour son triple mensonge qu’il n’avait pu que regretter amèrement, mais dont il se devait d’assumer l’entière responsabilité. Et en finissant par s’abandonner à ce qu’il devait endurer jusqu’au terme, il y avait découvert ce que pouvait être un plaisir masochiste, surpris au fond de lui de voir combien cette épreuve pourtant douloureuse l’avait excité et avait fait gonfler sa queue de mâle bandant.
Le soumis est toujours à quatre pattes, son corps reposant sur les barres de l’armature métallique qui lui passent sous le corps. La situation commence à devenir des plus inconfortables, mais car2MDE une fois libéré de toutes ses contraintes a reçu l’ordre de ne pas bouger. Son sexe est toujours droit comme un pieu et il voudrait bien pouvoir se branler pour profiter de l’excitation qui s’est emparé de son corps avec frénésie. Mais le soumis se rend bien compte qu’il ne peut, ni ne veut, prendre le risque de désobéir une fois de plus s’il ne veut pas encourir de nouvelles brimades qui pourraient bien à la longue ne pas s’avérer parmi les plus plaisantes. La frustration qu’il ressent de ne pas pouvoir se masturber et finir par éjaculer toute à son aise est réelle, mais il ne saurait plus dire si elle est désagréable ou agréable, car il se sent avant tout pris en mains, cadré, dressé, assoupli, contraint, et cela lui procure un sentiment savoureux de ne plus être que ce qu’il avait rêvé d’être, cet autre lui-même soumis et servile. Il essaye de se concentrer sur tout ce qu’il vient de vivre et sur tous les ressentis parfois contradictoires qui ont défilé dans sa tête, oubliant les plus douloureux pour ne repenser qu’aux plus exquis lorsqu’il avait fini par s’abandonner au martèlement qui s’abattait régulièrement sur ses fesses et venait y déposer avec vigueur des ondes de chaleur excitantes autant que cuisantes.
Ce qui marque le plus car2MDE, c’est de se rendre compte combien il savoure le fait de devoir rester immobile de son propre chef sans la moindre contrainte physique cette fois mais tout simplement la contrainte morale qu’il s’impose de devoir obéir aux ordres de Monsieur Denis comme un bon soumis en devenir, et ce, malgré la gêne de la position imposée, l’engourdissement de ses muscles, la chaleur qui irradie de son postérieur, l’excitation corporelle qui fait tendre et gonfler son phallus. Le responsable revient dans la pièce et s’approche du soumis en approchant un gros cube fermé qui tient lieu de tabouret.
- Voilà, tu vas pouvoir t’asseoir quelques minutes pour reposer tes genoux ! ….. Ah, ah, ah ….
Le rire et le ton pervers de la voix du Dominant inquiètent bien plus qu’ils ne rassurent le chauffeur, qui se doute qu’il doit y avoir anguille sous roche dans cette proposition bien aimable de songer à vouloir permettre au chauffeur puni de reposer ses genoux, d’autant plus que ce dernier n’a pas oublié les derniers propos du responsable qui l’a prévenu que cette fustigation n’était que le début de la sanction et que les coups de paddle ne valaient que pour les trois mensonges. Cela lui laisse donc à penser qu’une autre suite punitive a été orchestrée en référence à ses interventions déplacées qui s’apparentaient à des critiques sur les ordres transmis que le chauffeur n’avait pas à commenter, mais simplement à exécuter conformément à ce qui lui avait été imposé.
- Debout, le chien ! Exécution !
Le soumis se redresse pas mécontent de pouvoir bouger ses membres ankylosés. Il baisse la tête en espérant bien que son attitude devenue plus humble lui permettra d’annuler, ou tout au moins de fortement minimiser, la suite de la sanction. Mais c’est n’avoir pas encore compris que lorsqu’une punition a été décidée parce qu’elle était méritée, elle doit être exécutée jusqu’au bout pour servir de leçon afin d’éviter que la même erreur ne se reproduise à l’avenir.
- Et bien, il me semble que cette entrée en matière a au moins eu l’avantage de te faire fermer ton clapet, car tu ne dis plus rien. Sauf que c’est ce matin qu’il aurait fallu être moins bavard et plus docile.
Monsieur Denis approche le tabouret juste derrière car2MDE en ayant pris soin de le retourner à l’envers de telle manière que la face supérieure soit celle qui est recouverte d’un paillasson rugueux comme ceux que l’on met à l’entrée d’une demeure et qui servent à se décrasser les chaussures. Le responsable pose sa main sur les épaules du soumis pour le forcer à se baisser tout en veillant à ce qu’il ne tombe pas par terre et s’assoit bien sur le cube.
- Assied toi car2MDE, cela va me laisser le temps de te transmettre tes prochaines instructions.
Le chauffeur très surpris lorsque ses fesses rouges rentrent en contact avec le crin tentent par réflexe de se relever, mais la main ferme du responsable posée sur son épaule ne lui en laisse pas l’opportunité, c’est donc bien contraint et forcé qu’il pose son postérieur enflammé sur cette surface rugueuse qui ne fait que relancer un peu plus les douleurs cuisantes de ses fesses marquées par les 49 coups de paddle. Le soumis cherche à prendre appui sur ses pieds pour soulager un peu la sensation désagréable, mais plus il se dandine d’une fesse sur l’autre, plus le moindre mouvement vient réveiller sa couenne encore endolorie par la fustigation. Il n’a pourtant pas l’occasion bien longtemps de se poser des questions sur la position qui lui serait la moins douloureuse que Monsieur Denis s’approche avec une longue corde pour lui lier les mains dans le dos. Le responsable attrape ensuite une des jambes de car2MDE qu’il plie et relève vers l’arrière enserrant la première cheville avant de faire pareil avec la deuxième, solidarisant le tout avec les cordes qui enserrent les poignets du soumis qui n’a donc plus aucun appui avec le sol et ne repose plus sur le tabouret recouvert de la paillasse rugueuse que par les fesses, appuyant de tout son poids par l’effet de la simple pesanteur ce qui lui donne l’impression que chacun des poils de crin lui rentre encore un peu plus dans la peau déjà bien enflammée. Le chauffeur ne peut s’empêcher de geindre à de nombreuses reprises.
- Cela doit te changer des fauteuils en cuir souple de la Rolls-Royce. Je vais te laisser mariner là quelques longues minutes, exactement le temps que tu as mis pour faire un aller-retour en voiture jusqu’au Château de Monsieur le Marquis d’Evans. Ce matin, tu avais eu la chance de pouvoir mettre tes fesses bien à l’aise dans la luxueuse voiture, n’ayant rien d’autre à faire que deux allers retours pour ramener une chienne MDE et plus tard un chien MDE. Tu as trouvé moyen de commenter et de critiquer les ordres que tu avais reçus. Il est donc temps pour toi de réfléchir au fait que pour un soumis MDE un ordre est un ordre à exécuter à la lettre. Si un jour, Monsieur le Marquis d’Evans avait besoin d’un conseil, ce qui me semble ne pas devoir arriver avant très longtemps, IL se chargerait bien de te le faire savoir en temps utile. Ce qu’IL attend de ceux qui désirent le servir et lui offrir leur soumission est avant tout une obéissance sans faille et de la reconnaissance pour le mal qu’IL se donne pour vous dresser à devenir ce pourquoi vous êtes faits. Et comme je vois que tu ne sais pas encore accepter ta juste punition méritée en silence, je vais prendre les moyens adéquats pour te clouer le bec et pour éviter que tu ne me déranges sans cesse avec tes lamentations « d’hommelettes » douillet, mais avant il faudrait que tu me remercies pour le mal que je me donne à m’occuper de toi.
Monsieur Denis attrape deux chaines réglables en longueur qui se terminent à chaque bout par des pinces à seins munies de petits picots. Il accroche deux des embouts sur les petits mamelons saillants du chien-soumis qui grimace tout ce qu’il sait surtout lorsque le responsable vient pincer l’autre bout en croisant les chaînes sur la langue de car2MDE qu’il a étiré pour la sortir au maximum. Le moindre mouvement de recul de la langue est rendu impossible par la tension des chaînes et le soumis n’a plus qu’a garder la tête inclinée vers le bas et la langue sortie, se mettant à baver et se demandant comment il va faire pour supporter cette position désagréable pour sa langue, ses seins, mais aussi ses fesses qui « reposent » bien désagréablement sur le paillasson de crin rugueux.
- Et bien te voilà solidement installé ! Tu vas pouvoir méditer tout à ton aise maintenant en attendant que je vienne te détacher. Sache que tu devras par la suite te rendre au Château pour apporter à Monsieur Walter un objet que l’on va venir déposer dans mon bureau. Cela devrait te réjouir de savoir que tu seras à nouveau en service et utile à quelque chose …. Ah, ah, ah …
Le nouveau rire pervers du responsable n’est pas là pour faire se « ré-jouir » dans ses liens le soumis, et pour autant il se rend compte qu’il s’est remis à bander de plus belle d’excitation. Il fait le calcul du temps nécessaire en voiture pour faire un aller-retour entre la Holding et le Château ancestral et se dit qu’il n’a plus qu’à prendre son mal en patience en essayant de bouger le moins possible pour éviter d’accentuer l’inflammation de ses fesses ou la tension des chaînes entre sa langue et ses tétons. Résigné, bien que ne sachant pas encore ce qui a fait sourire de perversité Monsieur Denis lorsqu’il a parlé de lui faire reprendre du service, car2MDE se laisse emporté par ses pensées et ses désirs de soumission, finissant par s’abandonner à ce qu’il accepte comme faisant partie de son dressage pour lui permettre de devenir plus endurant et plus obéissant. Il se sent d’une certaine manière heureux de se sentir encore plus soumis, dominé, contraint, forcé de s’endurcir pour subir les conséquences de ses erreurs de novice qui ne seront plus tolérées par le Maître Vénéré et ceux qui le substitueront en son absence.
Pendant ce temps, un peu plus haut dans le même immeuble de bureaux, le sous-directeur administratif et juridique qui s’occupait de préparer l’esclave compelled MDE, non sans s’être octroyé quelques plaisirs sodomites au passage qui étaient loin de déplaire au chien-soumis qui aime bien être utile et utilisé comme objet sexuel dans la mesure où il sait que c’est avec l’accord du Maître Vénéré qu’il doit servir de vide-couilles. Si car2MDE est un novice qui découvre à peine les enjeux d’une relation de Domination/soumission, ce n’est absolument pas le cas de soumis compelled MDE qui avait eu la chance d’être remarqué par le Noble Maître qui l’avait gratifié assez rapidement d’une place de choix dans l’un de ses cachots, conscient qu’il était un esclave particulièrement dévoué et docile, qui ne cherchait qu’à le satisfaire en tous points et qui lui avait fait don de sa vie avec une gratitude infinie pour tous les plaisirs masochistes physiques et psychiques qu’il pouvait ressentir dans sa condition de slave librement assujetti...
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