L'histoire de Thaïs et du Maître Vénéré – Suite de l'épisode précédent N°515 -
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-10-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'histoire de Thaïs et du Maître Vénéré – Suite de l'épisode précédent N°515 -
L'histoire de Thaïs et du Maître Vénéré – Suite de l'épisode précédent N°515 -
L’esclave Thaïs MDE est d’ailleurs prête à accepter de bon cœur par pure soumission D/s et sans rechigner la sanction décidée par le Marquis d’Evans, qui n’aura que l’apparence d’une « punition » au sens vrai du terme car elle n’a fait que respecter les ordres du Dominant. Madame D…. qui ne veut pas baisser la garde renchéri.
- Mais pourquoi ces marques de brutes sur son dos. Seriez-vous sadique comme cet autre Marquis de Sade ?
- Ce n’est pas un jeu cruel car je ne suis absolument pas sadique par nature, même si vous êtes en droit de penser le contraire. Ce sont pour certains des plaisirs masochistes qu’ils/elles recherchent et qu’il me plait aussi de pouvoir leur apporter lorsqu’ils ont été méritants, mais parfois ce sont des sanctions utiles salvatrices et réparatrices de la faute commise. Mon esclave avait fait preuve ce matin devant tous mes collaborateurs d’une impéritie inexcusable pour celle qui prétend au titre de Mon associée mais qui reste avant tout mon esclave-soumise. Il était normal que je ne laisse pas cela se passer ainsi. C’est d’ailleurs elle-même qui a imploré cette punition. Vous pouvez le lui demander si vous ne me croyez pas.
- Sur ce point, je vous crois car c’est ce qu’elle m’avait indiqué, mais j’estime que quelque soit ce qu’elle a pu faire ou dire ce matin, ce n’était pas une raison de la maltraiter et de risquer de la blesser gravement en lui laissant des séquelles.
La businesswoman voudrait bien pouvoir fusiller des yeux si elle en avait la possibilité le Président Directeur Général qui se tient droit devant elle sans la moindre honte, gardant Son regard directif plongé sur le décolleté plongeant et le début de la poitrine saillante qu’elle ne peut dérober vu la coupe des vêtements, mais son trouble intérieur la trahi. Si elle baisse les yeux, elle aperçoit Isabelle qui est toujours immobile prosternée avec la tête au sol, ce qui réveille en elle des images de ses propres fantasmes. Si elle relève la tête, elle se trouve face à face avec Monsieur le Marquis d’Evans, qui la déshabille du regard, lui faisant le même effet sensuel que si elle était nue, un suave mélange, entre pudeur et excitation, entre désir et peur, qui lui fait tourner la tête.
- Madame D…, Je suis un Maître D/s reconnu. Je ne maltraite jamais mes esclaves, Je les traite comme ils doivent et désirent être traités, avec fermeté et justesse. J’ajouterais en outre, que contrairement à ce que vous pouvez imaginer étant ignorante de ce que représente une saine relation de Domination/soumission, il n’est nullement question de blesser Mes soumis et Mes soumises qui sont tous et toutes sous Ma protection, et cela que ce soit dans le cadre d’une pratique sécurisée de jeux D/s ou même lors de l’application d’un châtiment. Seules quelques zones du corps peuvent être fustigées sans danger et il faut une bonne expérience pour manipuler certains instruments cinglants, avec des heures de pratiques avant de se hasarder à jouer du fouet habilement sur un corps humain au risque sinon effectivement de le lacérer.
- Monsieur d’Evans, n’étiez-vous pas, au dire de Votre secrétaire-soumise, pressé de reprendre nos négociations d’affaires.
Aurélie se rapproche de la porte d’entrée, voulant échapper à l’émoi qui s’est emparé de son corps et de son esprit. Elle sent son bas-ventre qui la titille et ne peut détacher ses pensées de l’absence de petite culotte, ce qui la trouble encore plus.
- J’ajouterais également, qu’il vaudrait mieux garder votre petit laïus pour vos soumises lubriques et toutes les putains en chaleur dont vous devez profiter. Je ne suis absolument pas tentée par ces petits jeux pervers, Moi !!! Vous n’arriverez pas à me convaincre que ce que Vous faites avec Isabelle est naturel et normal, et surtout plaisant pour elle.
- Madame D…, je vous propose de laisser tout cela pour l’instant, nous en reparlerons au diner si vous le souhaitez. Pour l’instant, je voudrais pouvoir vous entretenir dans un contexte plus professionnel et dans un lieu plus adapté. Je vous propose de me suivre pour rejoindre le salon. Je n’ose vous proposer une tasse de café après les déboires que vous avez subis, mais si vous le désirez, je pourrais faire venir quelqu’un de moins maladroit pour nous servir. Compte-tenu que les pourparlers de ce matin sont restés dans le conflictuel, sans qu’aucune entente n’aboutisse, j’ai pensé qu’il serait plus facile de traiter indépendamment avec chacun de vous. Votre frère est en ce moment avec vos deux conseils et mes sous-directeurs pour examiner les points de désaccord du protocole que je vous avais fait parvenir. Je propose de regarder avec vous directement dans un premier temps les points d’accroche et je vous laisserai alors les rejoindre si nous avons pu avancer dans la négociation.
- Seriez-vous opposée à ce que mon associée soit présente pendant cet entretien, puisque le terrain va être acheté par la filiale dont elle est la gérante. Sa discrétion est totale, c’est aussi un avantage d’avoir comme collaborateurs et collaboratrices des esclaves MDE qui me sont fidèles et dévoués, et c’est même indispensable dans le cadre d’une associée-gérante telle qu’Isabelle.
- Gérante de pacotille, ce me semble, puisque c’est vous qui tirez les ficelles derrière, mais après tout cela n’est pas mon affaire. La seule chose qui m’intéresse est de savoir si vous arriverez à obtenir un consensus sur la vente, car nous sommes trois parties en présence avec des intérêts divergents. Votre associée de parade peut se joindre à nous, si vous en voyez l’utilité.
- Isabelle, debout immédiatement ! Et tu nous suis avec l’accord de Madame D…
La soumise Thaïs MDE se relève sans attendre pour obéir aux ordres du Maître, gardant la tête et le regard baissé, tout en joignant les mains dans le dos.
- Et bien Madame D…, allons-y, Je vous en prie. Permettez-moi de vous précéder pour vous montrer le chemin.
Le Marquis d’Evans attrape l’anneau qui pend au collier de Son esclave qui est toujours nue.
- Mais, Vous n’y pensez pas !!! Vous n’allez pas laisser votre associée dans cette tenue et en plus en la trainant par le cou comme un vulgaire bestiau que l’on conduit à la foire. Laissez-lui le temps de se vêtir et de nous rejoindre.
- Je n’ai pas de temps à perdre avec ces menus détails. Ne jouez pas l’offusquée maintenant que vous l’avez vue nue, cela n’y changera plus rien. Allons-y sans tarder car j’ai d’autres rendez-vous derrière.
Le ton ferme du Marquis d’Evans ne laisse pas de place à la discussion, et Aurélie se dit qu’elle doit se concentrer sur le seul but de sa venue en ces bureaux faisant abstraction de tout ce qui s’y passe de bien peu professionnel ou traditionnel. Le Noble entre dans le salon et propose à la femme d’affaires de s’installer dans un grand canapé autour d’une table basse sur laquelle ont été déposés les différents éléments concernant le dossier en cours de tractation. Le Maître Vénéré pointe du doigt le coin de la pièce qui se trouve sur le côté arrière du canapé sur lequel s’est assis Aurélie.
- Toi ! Là-bas ! Et que je ne t’entende pas avant que je t’ordonne de venir. Au coin, en punition ! Tu ne mérites pas mieux. A genoux, la tête baissée et les mains dans le dos jointes en prière inversée. Tu peux méditer tout à ton aise sur ta maladresse et plus généralement sur ce qu’il en coûte de ne pas obéir aux ordres du Maître Vénéré qui sait punir lorsqu’il y a désobéissance, mais récompenser à terme lorsque Ses ordres ont été impeccablement suivis.
La soumise Thaïs MDE sait très bien qu’elle ne va pas au coin en punition, mais bien parce qu’il s’agit d’un nouvel ordre qui entre dans le plan affairiste du Maître Vénéré auquel elle se soumet avec encore plus de bonnes grâces.
- Ecoutez, « Marquis » vous n’y pensez pas !
- « Monsieur le Marquis », ne vous en déplaise ; et même « Monsieur le Marquis d’Evans » si vous voulez être plus correcte. Il me semble que je me répète. Vous aimez en faire à votre tête, ce me semble. Pendant le repas, vous refusiez de reconnaître mon titre et maintenant vous n’avez plus que ce mot là à la bouche.
- Arrêtez ! Je suis sérieuse, vous n’allez pas obliger cette pauvre fille à rester là au coin, comme on le faisait avec les enfants pas sages, mais tout cela c’était il y a bien longtemps. Ce sont des méthodes qui ne sont plus autorisées de nos jours dans les écoles, et dont on ne sait si elles avaient ou non fait leurs preuves éducatives sur de jeunes cerveaux.
- Mon esclave est très bien où elle est ! Cela va lui donner l’occasion de réfléchir pendant notre petite discussion. Ici, ce n’est pas une école primaire et Isabelle n’est pas une enfant. Il s’agit de Ma soumise qui est sous Mon Joug de son plein gré pour y être dressée et Maîtrisée. Je suis d’ailleurs certain qu’elle est très excitée de ce qu’elle vit et qu’elle doit mouiller de la chatte. Si vous en doutez, je vous laisse aller vérifier par vous-même.
- Vous n’y pensez pas et vous dîtes n’importe quoi.
- Et bien nous allons voir, Madame D….. ! Vous êtes un peu comme Saint-Thomas qui avait eu besoin de voir pour croire.
Aurélie est de plus en plus estomaquée par ce qui se passe de bien peu professionnel, qui la trouble et l’excite de plus en plus, ayant du mal à garder sa contenance et à ne pas rougir tant les émotions la submergent. Elle serre les cuisses car elle se doute que sa chatte à elle est largement trempée ne pouvant oublier un seul instant qu’elle ne porte pas de petite culotte et se disant qu’elle risque de tâcher la jupe sur laquelle elle s’est assise, voire pire le canapé dessous, ce qui la conduirait vers la déchéance suprême, car une tâche de café renversé par inadvertance sur sa tenue passe encore, mais une tâche de cyprine sur ses habits neufs serait du plus mauvais goût lorsqu’elle va devoir se relever. Elle se demande ce qui lui fait le plus d’effet, la prestance du Marquis d’Evans dont elle ne peut nier tout ce qui émane du charme de sa personne Dominante et de son regard captivant, la nudité impudique de la soumise femelle qui s’offre à son regard avec lubricité comme le fruit de la tentation, la relation de Domination/soumission dont elle découvre peu à peu les enjeux dans une réalité qui rejoint les fantasmes qu’elle a toujours tenté de chasser de son esprit. Le Châtelain enjoint à Thaïs MDE d’approcher sur le champ, qui arrive à quatre pattes en baissant la tête.
- Ecarte les cuisses ! … encore plus large !
Thaïs MDE s’exécute. Le Marquis d’Evans trempe sa main dans la fente humide de la soumise qui laisse échapper un petit soupir de bien-être. Les doigts du Noble, couverts d’une pellicule de cyprine onctueuse, sont luisants de la mouille de la femelle qui est très excitée par le jeu que lui fait jouer le Dominant. En tant que Son esclave, elle aime particulièrement pouvoir obéir à toutes les exigences du Maître de son mieux et servir tous Ses intérêts personnels ou professionnels. Le Châtelain s’approche de Madame D…, la main en avant, pour lui montrer l’effet sensuel qu’IL produit sur Sa femelle.
- « brute et sadique », n’est-ce pas vos propres mots, ceux que vous aviez pensés et utilisés tout à l’heure dans la salle de bains. Je pense que je mérite d’autres qualificatifs plus positifs, ne trouvez-vous pas ?
Aurélie est gênée, troublée, émoustillée. Elle ne peut s’empêcher de renifler les effluves du désir féminin qui sont venues se poser sur les doigts du Marquis d’Evans. Ses joues sont en feu, tout comme son bas-ventre excité. Elle aimerait tant qu’une main ou une langue vienne sans tarder recueillir son propre jus sur son petit bouton d’amour gonflé de désir sexuel. Mais elle se refuse à laisser transparaître sa fragilité, sa féminité, sa sensualité. Et d’un ton presque agressif, elle rétorque sans attendre.
- Suffit, Monsieur d’Evans, je suis là pour affaires et pour affaires seulement. Je ne suis pas là pour voir un mâle excité, affublé d’une queue que cela doit faire gonfler de doigter une salope. Au moins avec une associée, vous ne risquez pas de poursuites pour harcèlement sexuel, c’est bien calculé !!!
- Je pense, Madame D…, que vous êtes encore dans l’erreur. La soumission D/s n’a rien à voir avec un quelconque harcèlement sexuel, c’est librement que ma chienne s’offre à moi totalement et qu’elle en retire les plaisirs jouissifs que je lui consens, quand il me plait de les lui accorder. La supériorité hiérarchique du monde professionnel n’a rien à voir avec notre monde BDSM qui fonctionne sur d’autres critères. On peut être un très bon Maître D/s sans avoir besoin d’être en haut de l’échelle sociale, et de nombreux soumis ou soumises sont des dirigeants d’entreprises ou des personnes ayant de lourdes responsabilités dans leur vie personnelle. La D/s est un Art de vivre qui se partagent entre deux personnes qui ont des besoins intimes et des pulsions internes complémentaires, de Domination pour l’Un et de soumission pour l’autre.
Le Châtelain est conscient qu’il doit savoir manœuvrer avec habileté, au risque sinon de braquer Aurélie en la poussant trop vite dans ses retranchements, surtout si elle n’est pas encore prête à assumer ses penchants intérieurs dont il ne doute pas. En tant que Président Directeur Général de la Holding MDE, il est également conscient que si le Dominant veut arriver à ses fins pour révéler la soumise qui se cache derrière la businesswoman sur la défensive, ce n’est pas au détriment de Ses affaires et de la réussite de la négociation qui reste Sa priorité. Il se retourne vers Thaïs MDE
- Lèche ma chienne lubrique ! Comment veux-tu que je puisse travailler sérieusement dans de telles conditions avec ma main souillée par tes sécrétions féminines ? Je ne peux même pas attraper mon dossier en cours avec le projet de protocole.
La soumise Thaïs MDE prend un malin plaisir à lécher Le Maître goulument et longuement doigt après doigt, laissant se manifester toute sa volupté sur son visage radieux, dont le regard ne quitte pas un seul instant Madame D… qui s’empourpre à nouveau à vue d’œil. Le Marquis d’Evans avec des gestes symboliques à connotation phallique qu’il n’entend pas dissimuler possède profondément la bouche de Son esclave-femelle laissant exprimer sa fierté de Dominant et de Mâle. Il retire sa main, s’essuie sur la masse de cheveux de Sa soumise qu’il renvoi à la place à laquelle il l’a assignée pour l’heure.
- File au coin, que je ne te vois plus pour l’instant !
(A suivre…..)
L’esclave Thaïs MDE est d’ailleurs prête à accepter de bon cœur par pure soumission D/s et sans rechigner la sanction décidée par le Marquis d’Evans, qui n’aura que l’apparence d’une « punition » au sens vrai du terme car elle n’a fait que respecter les ordres du Dominant. Madame D…. qui ne veut pas baisser la garde renchéri.
- Mais pourquoi ces marques de brutes sur son dos. Seriez-vous sadique comme cet autre Marquis de Sade ?
- Ce n’est pas un jeu cruel car je ne suis absolument pas sadique par nature, même si vous êtes en droit de penser le contraire. Ce sont pour certains des plaisirs masochistes qu’ils/elles recherchent et qu’il me plait aussi de pouvoir leur apporter lorsqu’ils ont été méritants, mais parfois ce sont des sanctions utiles salvatrices et réparatrices de la faute commise. Mon esclave avait fait preuve ce matin devant tous mes collaborateurs d’une impéritie inexcusable pour celle qui prétend au titre de Mon associée mais qui reste avant tout mon esclave-soumise. Il était normal que je ne laisse pas cela se passer ainsi. C’est d’ailleurs elle-même qui a imploré cette punition. Vous pouvez le lui demander si vous ne me croyez pas.
- Sur ce point, je vous crois car c’est ce qu’elle m’avait indiqué, mais j’estime que quelque soit ce qu’elle a pu faire ou dire ce matin, ce n’était pas une raison de la maltraiter et de risquer de la blesser gravement en lui laissant des séquelles.
La businesswoman voudrait bien pouvoir fusiller des yeux si elle en avait la possibilité le Président Directeur Général qui se tient droit devant elle sans la moindre honte, gardant Son regard directif plongé sur le décolleté plongeant et le début de la poitrine saillante qu’elle ne peut dérober vu la coupe des vêtements, mais son trouble intérieur la trahi. Si elle baisse les yeux, elle aperçoit Isabelle qui est toujours immobile prosternée avec la tête au sol, ce qui réveille en elle des images de ses propres fantasmes. Si elle relève la tête, elle se trouve face à face avec Monsieur le Marquis d’Evans, qui la déshabille du regard, lui faisant le même effet sensuel que si elle était nue, un suave mélange, entre pudeur et excitation, entre désir et peur, qui lui fait tourner la tête.
- Madame D…, Je suis un Maître D/s reconnu. Je ne maltraite jamais mes esclaves, Je les traite comme ils doivent et désirent être traités, avec fermeté et justesse. J’ajouterais en outre, que contrairement à ce que vous pouvez imaginer étant ignorante de ce que représente une saine relation de Domination/soumission, il n’est nullement question de blesser Mes soumis et Mes soumises qui sont tous et toutes sous Ma protection, et cela que ce soit dans le cadre d’une pratique sécurisée de jeux D/s ou même lors de l’application d’un châtiment. Seules quelques zones du corps peuvent être fustigées sans danger et il faut une bonne expérience pour manipuler certains instruments cinglants, avec des heures de pratiques avant de se hasarder à jouer du fouet habilement sur un corps humain au risque sinon effectivement de le lacérer.
- Monsieur d’Evans, n’étiez-vous pas, au dire de Votre secrétaire-soumise, pressé de reprendre nos négociations d’affaires.
Aurélie se rapproche de la porte d’entrée, voulant échapper à l’émoi qui s’est emparé de son corps et de son esprit. Elle sent son bas-ventre qui la titille et ne peut détacher ses pensées de l’absence de petite culotte, ce qui la trouble encore plus.
- J’ajouterais également, qu’il vaudrait mieux garder votre petit laïus pour vos soumises lubriques et toutes les putains en chaleur dont vous devez profiter. Je ne suis absolument pas tentée par ces petits jeux pervers, Moi !!! Vous n’arriverez pas à me convaincre que ce que Vous faites avec Isabelle est naturel et normal, et surtout plaisant pour elle.
- Madame D…, je vous propose de laisser tout cela pour l’instant, nous en reparlerons au diner si vous le souhaitez. Pour l’instant, je voudrais pouvoir vous entretenir dans un contexte plus professionnel et dans un lieu plus adapté. Je vous propose de me suivre pour rejoindre le salon. Je n’ose vous proposer une tasse de café après les déboires que vous avez subis, mais si vous le désirez, je pourrais faire venir quelqu’un de moins maladroit pour nous servir. Compte-tenu que les pourparlers de ce matin sont restés dans le conflictuel, sans qu’aucune entente n’aboutisse, j’ai pensé qu’il serait plus facile de traiter indépendamment avec chacun de vous. Votre frère est en ce moment avec vos deux conseils et mes sous-directeurs pour examiner les points de désaccord du protocole que je vous avais fait parvenir. Je propose de regarder avec vous directement dans un premier temps les points d’accroche et je vous laisserai alors les rejoindre si nous avons pu avancer dans la négociation.
- Seriez-vous opposée à ce que mon associée soit présente pendant cet entretien, puisque le terrain va être acheté par la filiale dont elle est la gérante. Sa discrétion est totale, c’est aussi un avantage d’avoir comme collaborateurs et collaboratrices des esclaves MDE qui me sont fidèles et dévoués, et c’est même indispensable dans le cadre d’une associée-gérante telle qu’Isabelle.
- Gérante de pacotille, ce me semble, puisque c’est vous qui tirez les ficelles derrière, mais après tout cela n’est pas mon affaire. La seule chose qui m’intéresse est de savoir si vous arriverez à obtenir un consensus sur la vente, car nous sommes trois parties en présence avec des intérêts divergents. Votre associée de parade peut se joindre à nous, si vous en voyez l’utilité.
- Isabelle, debout immédiatement ! Et tu nous suis avec l’accord de Madame D…
La soumise Thaïs MDE se relève sans attendre pour obéir aux ordres du Maître, gardant la tête et le regard baissé, tout en joignant les mains dans le dos.
- Et bien Madame D…, allons-y, Je vous en prie. Permettez-moi de vous précéder pour vous montrer le chemin.
Le Marquis d’Evans attrape l’anneau qui pend au collier de Son esclave qui est toujours nue.
- Mais, Vous n’y pensez pas !!! Vous n’allez pas laisser votre associée dans cette tenue et en plus en la trainant par le cou comme un vulgaire bestiau que l’on conduit à la foire. Laissez-lui le temps de se vêtir et de nous rejoindre.
- Je n’ai pas de temps à perdre avec ces menus détails. Ne jouez pas l’offusquée maintenant que vous l’avez vue nue, cela n’y changera plus rien. Allons-y sans tarder car j’ai d’autres rendez-vous derrière.
Le ton ferme du Marquis d’Evans ne laisse pas de place à la discussion, et Aurélie se dit qu’elle doit se concentrer sur le seul but de sa venue en ces bureaux faisant abstraction de tout ce qui s’y passe de bien peu professionnel ou traditionnel. Le Noble entre dans le salon et propose à la femme d’affaires de s’installer dans un grand canapé autour d’une table basse sur laquelle ont été déposés les différents éléments concernant le dossier en cours de tractation. Le Maître Vénéré pointe du doigt le coin de la pièce qui se trouve sur le côté arrière du canapé sur lequel s’est assis Aurélie.
- Toi ! Là-bas ! Et que je ne t’entende pas avant que je t’ordonne de venir. Au coin, en punition ! Tu ne mérites pas mieux. A genoux, la tête baissée et les mains dans le dos jointes en prière inversée. Tu peux méditer tout à ton aise sur ta maladresse et plus généralement sur ce qu’il en coûte de ne pas obéir aux ordres du Maître Vénéré qui sait punir lorsqu’il y a désobéissance, mais récompenser à terme lorsque Ses ordres ont été impeccablement suivis.
La soumise Thaïs MDE sait très bien qu’elle ne va pas au coin en punition, mais bien parce qu’il s’agit d’un nouvel ordre qui entre dans le plan affairiste du Maître Vénéré auquel elle se soumet avec encore plus de bonnes grâces.
- Ecoutez, « Marquis » vous n’y pensez pas !
- « Monsieur le Marquis », ne vous en déplaise ; et même « Monsieur le Marquis d’Evans » si vous voulez être plus correcte. Il me semble que je me répète. Vous aimez en faire à votre tête, ce me semble. Pendant le repas, vous refusiez de reconnaître mon titre et maintenant vous n’avez plus que ce mot là à la bouche.
- Arrêtez ! Je suis sérieuse, vous n’allez pas obliger cette pauvre fille à rester là au coin, comme on le faisait avec les enfants pas sages, mais tout cela c’était il y a bien longtemps. Ce sont des méthodes qui ne sont plus autorisées de nos jours dans les écoles, et dont on ne sait si elles avaient ou non fait leurs preuves éducatives sur de jeunes cerveaux.
- Mon esclave est très bien où elle est ! Cela va lui donner l’occasion de réfléchir pendant notre petite discussion. Ici, ce n’est pas une école primaire et Isabelle n’est pas une enfant. Il s’agit de Ma soumise qui est sous Mon Joug de son plein gré pour y être dressée et Maîtrisée. Je suis d’ailleurs certain qu’elle est très excitée de ce qu’elle vit et qu’elle doit mouiller de la chatte. Si vous en doutez, je vous laisse aller vérifier par vous-même.
- Vous n’y pensez pas et vous dîtes n’importe quoi.
- Et bien nous allons voir, Madame D….. ! Vous êtes un peu comme Saint-Thomas qui avait eu besoin de voir pour croire.
Aurélie est de plus en plus estomaquée par ce qui se passe de bien peu professionnel, qui la trouble et l’excite de plus en plus, ayant du mal à garder sa contenance et à ne pas rougir tant les émotions la submergent. Elle serre les cuisses car elle se doute que sa chatte à elle est largement trempée ne pouvant oublier un seul instant qu’elle ne porte pas de petite culotte et se disant qu’elle risque de tâcher la jupe sur laquelle elle s’est assise, voire pire le canapé dessous, ce qui la conduirait vers la déchéance suprême, car une tâche de café renversé par inadvertance sur sa tenue passe encore, mais une tâche de cyprine sur ses habits neufs serait du plus mauvais goût lorsqu’elle va devoir se relever. Elle se demande ce qui lui fait le plus d’effet, la prestance du Marquis d’Evans dont elle ne peut nier tout ce qui émane du charme de sa personne Dominante et de son regard captivant, la nudité impudique de la soumise femelle qui s’offre à son regard avec lubricité comme le fruit de la tentation, la relation de Domination/soumission dont elle découvre peu à peu les enjeux dans une réalité qui rejoint les fantasmes qu’elle a toujours tenté de chasser de son esprit. Le Châtelain enjoint à Thaïs MDE d’approcher sur le champ, qui arrive à quatre pattes en baissant la tête.
- Ecarte les cuisses ! … encore plus large !
Thaïs MDE s’exécute. Le Marquis d’Evans trempe sa main dans la fente humide de la soumise qui laisse échapper un petit soupir de bien-être. Les doigts du Noble, couverts d’une pellicule de cyprine onctueuse, sont luisants de la mouille de la femelle qui est très excitée par le jeu que lui fait jouer le Dominant. En tant que Son esclave, elle aime particulièrement pouvoir obéir à toutes les exigences du Maître de son mieux et servir tous Ses intérêts personnels ou professionnels. Le Châtelain s’approche de Madame D…, la main en avant, pour lui montrer l’effet sensuel qu’IL produit sur Sa femelle.
- « brute et sadique », n’est-ce pas vos propres mots, ceux que vous aviez pensés et utilisés tout à l’heure dans la salle de bains. Je pense que je mérite d’autres qualificatifs plus positifs, ne trouvez-vous pas ?
Aurélie est gênée, troublée, émoustillée. Elle ne peut s’empêcher de renifler les effluves du désir féminin qui sont venues se poser sur les doigts du Marquis d’Evans. Ses joues sont en feu, tout comme son bas-ventre excité. Elle aimerait tant qu’une main ou une langue vienne sans tarder recueillir son propre jus sur son petit bouton d’amour gonflé de désir sexuel. Mais elle se refuse à laisser transparaître sa fragilité, sa féminité, sa sensualité. Et d’un ton presque agressif, elle rétorque sans attendre.
- Suffit, Monsieur d’Evans, je suis là pour affaires et pour affaires seulement. Je ne suis pas là pour voir un mâle excité, affublé d’une queue que cela doit faire gonfler de doigter une salope. Au moins avec une associée, vous ne risquez pas de poursuites pour harcèlement sexuel, c’est bien calculé !!!
- Je pense, Madame D…, que vous êtes encore dans l’erreur. La soumission D/s n’a rien à voir avec un quelconque harcèlement sexuel, c’est librement que ma chienne s’offre à moi totalement et qu’elle en retire les plaisirs jouissifs que je lui consens, quand il me plait de les lui accorder. La supériorité hiérarchique du monde professionnel n’a rien à voir avec notre monde BDSM qui fonctionne sur d’autres critères. On peut être un très bon Maître D/s sans avoir besoin d’être en haut de l’échelle sociale, et de nombreux soumis ou soumises sont des dirigeants d’entreprises ou des personnes ayant de lourdes responsabilités dans leur vie personnelle. La D/s est un Art de vivre qui se partagent entre deux personnes qui ont des besoins intimes et des pulsions internes complémentaires, de Domination pour l’Un et de soumission pour l’autre.
Le Châtelain est conscient qu’il doit savoir manœuvrer avec habileté, au risque sinon de braquer Aurélie en la poussant trop vite dans ses retranchements, surtout si elle n’est pas encore prête à assumer ses penchants intérieurs dont il ne doute pas. En tant que Président Directeur Général de la Holding MDE, il est également conscient que si le Dominant veut arriver à ses fins pour révéler la soumise qui se cache derrière la businesswoman sur la défensive, ce n’est pas au détriment de Ses affaires et de la réussite de la négociation qui reste Sa priorité. Il se retourne vers Thaïs MDE
- Lèche ma chienne lubrique ! Comment veux-tu que je puisse travailler sérieusement dans de telles conditions avec ma main souillée par tes sécrétions féminines ? Je ne peux même pas attraper mon dossier en cours avec le projet de protocole.
La soumise Thaïs MDE prend un malin plaisir à lécher Le Maître goulument et longuement doigt après doigt, laissant se manifester toute sa volupté sur son visage radieux, dont le regard ne quitte pas un seul instant Madame D… qui s’empourpre à nouveau à vue d’œil. Le Marquis d’Evans avec des gestes symboliques à connotation phallique qu’il n’entend pas dissimuler possède profondément la bouche de Son esclave-femelle laissant exprimer sa fierté de Dominant et de Mâle. Il retire sa main, s’essuie sur la masse de cheveux de Sa soumise qu’il renvoi à la place à laquelle il l’a assignée pour l’heure.
- File au coin, que je ne te vois plus pour l’instant !
(A suivre…..)
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