L'histoire de Thaïs et du Maître Vénéré – Suite de l'épisode précédent N°524 -
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-10-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'histoire de Thaïs et du Maître Vénéré – Suite de l'épisode précédent N°524 -
L'histoire de Thaïs et du Maître Vénéré – Suite de l'épisode précédent N°524 -
Le soumis car2MDE baisse la tête car il a le sentiment que cela commence à sentir le roussi pour lui, et puis il commence à regretter amèrement cette omission, car il sait combien Le Majordome du Château est perversement sévère avec les esclaves qu’il doit punir. Mais il ne se doute pas qu’il est loin d’être au bout de ses peines, car Monsieur Denis a reçu lui aussi, du Châtelain en personne, l’ordre de ne rien laisser passer au chauffeur qui se croyait bien trop à l’abri de sanctions plus fermes, pouvant impunément continuer à agir comme s’il n’était pas soumis, et surtout pas un soumis MDE. Monsieur Denis attrape le menton du chien pour lui faire relever la tête et tout en lui tirant sur l’oreille comme on l’aurait fait d’un enfant, tout en lui disant que son nez s’allonge comme celui de Pinocchio, il ajoute :
- Alors, ce mensonge …. Je vais te rafraîchir la mémoire ! Ma première question à ton arrivée était « Est-ce que je peux savoir ce que tu as fait pour mettre tant de temps à parvenir jusqu’à moi ».
- Monsieur Denis, je vous ai répondu franchement. J’ai nettoyé la voiture après le départ d’Emeline MDE et dès que j’en suis sorti, je suis monté au 10ème étage.
- Tu sais, un mensonge par omission reste un mensonge à part entière ! Je pense à ce que tu as fait dans la voiture …… Réfléchis bien ….
Le soumis se dit qu’il avait vérifié que l’arrière de la voiture n’était pas dans le champ des caméras de surveillance et que donc il ne peut pas s’être fait prendre comme un imbécile tandis qu’il rêvassait assis sur la banquette arrière, se prenant pour un businessman. Mais il ne peut s’empêcher de rougir de honte comme un enfant pris en flagrant délit lorsqu’il entend le surveillant insister.
- Oui, réfléchis bien … Fainéant qui se prélasse et qui voudrait tout mettre sur le dos de la soumise Thaïs MDE. Tu es resté 15 minutes à faire la sieste sur la banquette arrière.
- Mais non, Monsieur Denis, je vous assure ! (avec un sursaut d’effronterie mal placée)…..
- 2ème mensonge ! Je double la punition ! A ce petit jeu là, tu peux continuer, ce n’est pas moi qui perdrait à la fin.
Monsieur Denis laisse volontairement un long silence lourd peser sur les épaules de car2MDE qui se trouve acculé au pied du mur.
- Je te rappelle que tu peux te résoudre à accepter ton sort et subir les conséquences de tes nombreuses fautes qui ont fini par exaspérer le Maître qui a fait preuve de bien trop de magnanimité envers ta petite carcasse. Mais à l’inverse, si tu trouves plus sage de renoncer à la soumission qui ne semble pas être ton fort, tu es libre de sortir de ce bureau quand tu le veux en me rendant ta livrée et ta casquette de chauffeur. Je te ferai porter tes habits de ville que ce soit parce que tu veux définitivement quitter l’entreprise ou parce que tu souhaites te présenter à la DRH pour reprendre ton poste de simple coursier.
Tandis que Monsieur Denis tire toujours sur son oreille avec force, le chauffeur baisse les yeux capitulant sans plus attendre. Ses pensées sont diffuses, partagées entre la honte d’avoir mal agi, la colère de s’être fait prendre, la peur de perdre sa place, l’envie de découvrir les plaisirs de la soumission qui le hantent et l’excitent même s’il sent bien que le chemin pour y parvenir sera semé d’embuches et de difficultés. Il se rend compte combien il appréhende ces punitions se sachant très douillet et peu habitué aux sévices physiques, mais en même temps il les désire comme quelque chose de salvateur qui lui permettra de s’amender et de pouvoir repartir sur de meilleures bases, même s’il se doute qu’il n’aura pas l’absolution aussi facilement que s’il allait au confessionnal. D’un ton radouci, il ajoute, cherchant malgré tout à amenuiser la faute par une nouvelle volte-face
- Monsieur Denis, Pardon ! C’est vrai, j’ai perdu du temps avant d’arriver. Je me sentais fatigué et j’ai fait presque comme un malaise éprouvant le besoin de me reposer un peu dans la voiture. C’est une circonstance atténuante, je n’ai pas voulu vous en parler car je ne voulais pas vous inquiéter.
- 3ème mensonge ! Je triple donc la punition initiale ! Tu as décidé de jouer à Saint-Pierre qui nia trois fois avant le chant du coq. Ceci n’est sûrement pas la bonne raison, tes joues rouges de honte en sont la preuve. Et de surcroît, puisque tu es « fatigué », il me semble important de relever de tes fonctions jusqu’à ce que tu sois en état de conduire en toute sécurité sans risquer de faire un nouveau malaise au volant. Sur le banc de touche, il y a ce jeune chauffeur que nous avons formé pour remplacer l’un d’entre vous en cas de maladie qui va être bien content d’enfiler ta tenue et de s’installer au volant ce soir, avec la chance de pouvoir découvrir le célèbre Château illuminé à la tombée de la nuit. Il ne rêve que de pouvoir devenir un jour un fidèle chien-soumis, autorisé à porter les Nobles initiales MDE et prêt à tout pour servir le Maître, une place dont il serait bien plus digne que toi, car il est par nature humble et obéissant, même s’il ne fait que découvrir les enjeux de la soumission.
Le soumis est pris une fois de plus au piège, se mordant les lèvres d’avoir parlé à tort et à travers sans penser aux conséquences des mots qu’il a lâchés beaucoup trop vite. Non seulement il va être puni pour un triple mensonge, mais en sus, il se voit relégué à devoir quitter sa livrée de chauffeur pour un temps indéfini. Dans un dernier espoir presque perdu d’avance, car2MDE s’agenouille.
- Monsieur Denis, j’ai menti. Je le reconnais. En fait, je n’ai pas eu de malaise, donc il n’y a aucun risque à ce que je puisse conduire en toute sécurité ce soir la Rolls-Royce pour conduire les invités de Monsieur le Marquis d’Evans. Vous n’allez pas laisser cette belle voiture entre des mains qui ne sont pas habituées à manier un tel bijou délicat.
- Ce n’est sûrement pas à toi de me dire ce que je dois faire ou ne pas faire. Compris ! Garde ta place de vulgaire chien qui ne mérite même pas le qualificatif de soumis MDE quand il accumule fautes et mensonges. Sache que tu ne seras pas en état de pouvoir conduire ce soir, car après la punition que tu vas devoir endurer, je te promets qu’il va te falloir un certain temps avant de pouvoir t’asseoir sans grimacer !
Le responsable lâche l’oreille du soumis et lui ordonne de se dévêtir et de poser sa livrée proprement sur une chaise.
- Ici, tu n’es qu’un chien bon à dresser. Tu as enlevé ton uniforme de travail, c’est bien, mais comptes-tu rester ainsi ?
A poil, tu me vires ce caleçon et tu te mets à quatre pattes.
Monsieur Denis part chercher un paddle un peu spécial, puisqu’il s’agit d’un morceau de bois qui a été recouvert sur un des côtés d’une bande de chape de pneu identique à ceux que Monsieur le Marquis utilise pour ses voitures de luxe. Pendant ce temps là, le soumis s’est dévêtu, laissant apparaître sa cage de chasteté, bien pleine car le sexe à l’intérieur voudrait bien pouvoir bander librement et s’échapper à travers les barreaux de métal. Deux couilles bien pleines pendent entre ses cuisses. Le responsable s’approche et lui caresse la croupe, avant de la prendre en photo alors qu’elle est encore bien blanche de peau. En entendant le clic de l’appareil, car2MDE se sent humilié d’avoir été photographié à son insu dans cette posture, à quatre pattes, la croupe relevé, le sexe encagé et les couilles branlantes. Ce sentiment lui paraît autant excitant même s’il n’est pas des plus exhibitionnistes, qu’éprouvant car il craint de voir son postérieur et ses attributs de mâles exposés à tout vent, ignorant que seul Monsieur le Marquis d’Evans sera destinataire de la double photo, avant et après la punition, les fesses bien marquées. Le responsable tend le morceau de caoutchouc noir sous les yeux du soumis prenant soin de masquer à sa vue le manche et le bois du dessous.
- Monsieur le Marquis m’a prévenu que tu semblais avoir un faible plus pour Ses voitures de luxe que pour la soumission. Dis-moi, est-ce que tu reconnais ces empreintes caractéristiques ?
- Oui, Monsieur, cela ressemble aux stries et aux rayures caractéristiques des 4 pneus qui équipent le véhicule que je conduis. Comme je le nettoie souvent, vous pouvez être certain que je reconnais bien ces dessins. Est-ce que c’est un bout d’échantillon neuf pour passer une nouvelle commande ? Les pneus sont encore bons, vous savez !
- Non, surprise, surprise ! Tu vas voir, cet objet a une toute autre fonction que je vais tester à l’instant même, histoire de voir si cela tient bien la route lorsque je vais plaquer avec force ce paddle sur ta couenne de cabot pour lui imprimer ces marques si caractéristiques. Au moins, tu n’auras pas tout perdu ! Après avoir essayé les fauteuils en cuir sur lesquels tu n’es pas autorisé à t’asseoir, et bien disons que tu vas essayer les quatre pneus.
Le responsable passe avec force le paddle sur les fesses du chien-soumis, pour commencer à échauffer la peau en faisant affluer le sang à fleur de peau comme s’il avait entre les mains, une brosse à chiendent. Tandis que d’une main, il manœuvre la chape avec perversité sur tout le corps de car2MDE pour titiller l’esprit de celui qui va devoir subir une punition comme il n’en a encore jamais reçu.
- Alors, nous disions 15 minutes de retard, cela fera 15 coups bien sonnés de paddle sur ton arrière-train. Mais comme il y a eu triplement de la punition, cela devrait faire …… voyons voir si tu sais bien compter ?
- Monsieur Denis, non, c’est beaucoup trop. Mes fesses ne vont jamais résister. Ce doit être dangereux et dur un truc pareil, vous ne pouvez pas me frapper avec cela, même si j’ai menti.
- Bien sûr que je le peux, et que je vais le faire ! C’est un instrument D/s tout à fait aux normes que Monsieur le Marquis d’Evans a déjà eu l’occasion de tester sur d’autres esclaves récalcitrants. Je peux même te dire que certains soumis masochistes trouvent cela bien trop léger pour les faire bander. Mais je croyais d’avoir posé une question très simple, te demandant si tu savais compter. Tu vas me donner la réponse toi-même, si tu ne veux pas que j’en rajoute d’autres en plus pour ton insolence à discuter la sanction.
- Qua… quarante …. Cinq (d’une voix hachurée craintive)- 45 Quoi ?
- 45 coups de paddle - Tu trembles comme une chiffe molle, que tu en oublies les bonnes manières ! Ne sais-tu pas que lorsque tu parles au Maître ou à l’un de ses représentants, tu dois ajouter à la fin de ta phrase le mot Maître, et dans mon cas, Monsieur Denis.
Pour cette omission inadmissible, tu auras un coup supplémentaire ………… un coup bien placé ……….. Cela t’apprendra.
Monsieur Denis frappe un grand coup entre les cuisses de car2MDE qui ne peut retenir un violent cri lorsque le paddle vient heurter ses testicules et son sexe encagé dont les barreaux viennent encore plus lui rentrer dans la nouille prise en étau.
- Ah ! Non, tu vas apprendre à parler ou à te taire à bon escient. Ton cri était inutile, par contre, tu vas répéter après moi : « 45 coups de paddle, Monsieur Denis. Je vous supplie de bien vouloir m’administrer la sanction que je mérite et je vous remercie pour la peine que vous allez vous donner à me fustiger pour me permettre de prendre conscience de ma faute et m’amender ».
Le chien-soumis de plus en plus perturbé, excité et craintif à la fois, se lance à répéter la phrase imposée par le responsable. Mais il faut deux tentatives avant de parvenir à la prononcer sans erreur, ce qui lui vaut deux coups de plus de chape de pneu à ajouter aux 45.
- Pour ton cri qui m’a cassé les oreilles, et pour la peine que je vais effectivement avoir à jouer au Père Fouettard, il me semble que je mérite une petite compensation pour me donner du courage à l’ouvrage.
Monsieur Denis ouvre sa braguette et extirpe un sexe déjà bien gonflé, très excité à l’idée de pouvoir faire rougir les fesses de ce malappris qui a cru pouvoir se jouer de lui et de son autorité par délégation. Il enfile sa queue dans la bouche du chien qui n’ose plus se rebiffer et l’avale sans rien dire, se contentant de contenir ses hauts le cœur lorsque le phallus gonflé et gorgé de sang vient heurter le fond de sa bouche baisée avec puissance. Le responsable, après de nombreux va et vient dans la cavité buccale et pensant que sa queue a été assez lubrifiée, se retire pour venir s’empaler dans l’anus du chien-soumis à quatre pattes qu’il force pour en dilater la rondelle étroite de celui qu’il encule sans ménagement maintenant, prenant à pleine mains les fesses de car2MDE encore trop blafardes à son goût, mais dont il se doute qu’elles auront une toute autre coloration après 47 coups bien dosés. Après un long pilonnage virilement appuyé par de forts coups de reins ponctués de ‘’han’’ tant Monsieur Denis veut enfoncer profondément dans les entrailles de l’esclave que dans les derniers coups de boutoirs et dans un râle profond de mâle en rut, il se déverse profondément dans les entrailles du chien, restant encore quelques temps à occuper l’espace en conquérant phallique qui profite du bienfait de la jouissance. Monsieur Denis se retire et extirpe de sa poche un long et large plug qu’il fourre dans l’ouverture béante pour éviter que sa semence ne ressorte.
- Voilà de quoi te garnir le cul et le maintenir bien au chaud ! J’espère que tu es conscient de l’honneur que je t’ai fais en te faisant bénéficier de mon précieux nectar.
- Merci, Monsieur Denis.
Le soumis se surprend lui-même à répondre en remerciant celui qui pourtant va dans un instant le punir. C’est d’ailleurs, docilement, comme un cheval enfin dompté, qu’il se laisse mettre un mors caoutchouteux entre les dents en attendant la suite plus cinglante des événements.
(A suivre…..)
Le soumis car2MDE baisse la tête car il a le sentiment que cela commence à sentir le roussi pour lui, et puis il commence à regretter amèrement cette omission, car il sait combien Le Majordome du Château est perversement sévère avec les esclaves qu’il doit punir. Mais il ne se doute pas qu’il est loin d’être au bout de ses peines, car Monsieur Denis a reçu lui aussi, du Châtelain en personne, l’ordre de ne rien laisser passer au chauffeur qui se croyait bien trop à l’abri de sanctions plus fermes, pouvant impunément continuer à agir comme s’il n’était pas soumis, et surtout pas un soumis MDE. Monsieur Denis attrape le menton du chien pour lui faire relever la tête et tout en lui tirant sur l’oreille comme on l’aurait fait d’un enfant, tout en lui disant que son nez s’allonge comme celui de Pinocchio, il ajoute :
- Alors, ce mensonge …. Je vais te rafraîchir la mémoire ! Ma première question à ton arrivée était « Est-ce que je peux savoir ce que tu as fait pour mettre tant de temps à parvenir jusqu’à moi ».
- Monsieur Denis, je vous ai répondu franchement. J’ai nettoyé la voiture après le départ d’Emeline MDE et dès que j’en suis sorti, je suis monté au 10ème étage.
- Tu sais, un mensonge par omission reste un mensonge à part entière ! Je pense à ce que tu as fait dans la voiture …… Réfléchis bien ….
Le soumis se dit qu’il avait vérifié que l’arrière de la voiture n’était pas dans le champ des caméras de surveillance et que donc il ne peut pas s’être fait prendre comme un imbécile tandis qu’il rêvassait assis sur la banquette arrière, se prenant pour un businessman. Mais il ne peut s’empêcher de rougir de honte comme un enfant pris en flagrant délit lorsqu’il entend le surveillant insister.
- Oui, réfléchis bien … Fainéant qui se prélasse et qui voudrait tout mettre sur le dos de la soumise Thaïs MDE. Tu es resté 15 minutes à faire la sieste sur la banquette arrière.
- Mais non, Monsieur Denis, je vous assure ! (avec un sursaut d’effronterie mal placée)…..
- 2ème mensonge ! Je double la punition ! A ce petit jeu là, tu peux continuer, ce n’est pas moi qui perdrait à la fin.
Monsieur Denis laisse volontairement un long silence lourd peser sur les épaules de car2MDE qui se trouve acculé au pied du mur.
- Je te rappelle que tu peux te résoudre à accepter ton sort et subir les conséquences de tes nombreuses fautes qui ont fini par exaspérer le Maître qui a fait preuve de bien trop de magnanimité envers ta petite carcasse. Mais à l’inverse, si tu trouves plus sage de renoncer à la soumission qui ne semble pas être ton fort, tu es libre de sortir de ce bureau quand tu le veux en me rendant ta livrée et ta casquette de chauffeur. Je te ferai porter tes habits de ville que ce soit parce que tu veux définitivement quitter l’entreprise ou parce que tu souhaites te présenter à la DRH pour reprendre ton poste de simple coursier.
Tandis que Monsieur Denis tire toujours sur son oreille avec force, le chauffeur baisse les yeux capitulant sans plus attendre. Ses pensées sont diffuses, partagées entre la honte d’avoir mal agi, la colère de s’être fait prendre, la peur de perdre sa place, l’envie de découvrir les plaisirs de la soumission qui le hantent et l’excitent même s’il sent bien que le chemin pour y parvenir sera semé d’embuches et de difficultés. Il se rend compte combien il appréhende ces punitions se sachant très douillet et peu habitué aux sévices physiques, mais en même temps il les désire comme quelque chose de salvateur qui lui permettra de s’amender et de pouvoir repartir sur de meilleures bases, même s’il se doute qu’il n’aura pas l’absolution aussi facilement que s’il allait au confessionnal. D’un ton radouci, il ajoute, cherchant malgré tout à amenuiser la faute par une nouvelle volte-face
- Monsieur Denis, Pardon ! C’est vrai, j’ai perdu du temps avant d’arriver. Je me sentais fatigué et j’ai fait presque comme un malaise éprouvant le besoin de me reposer un peu dans la voiture. C’est une circonstance atténuante, je n’ai pas voulu vous en parler car je ne voulais pas vous inquiéter.
- 3ème mensonge ! Je triple donc la punition initiale ! Tu as décidé de jouer à Saint-Pierre qui nia trois fois avant le chant du coq. Ceci n’est sûrement pas la bonne raison, tes joues rouges de honte en sont la preuve. Et de surcroît, puisque tu es « fatigué », il me semble important de relever de tes fonctions jusqu’à ce que tu sois en état de conduire en toute sécurité sans risquer de faire un nouveau malaise au volant. Sur le banc de touche, il y a ce jeune chauffeur que nous avons formé pour remplacer l’un d’entre vous en cas de maladie qui va être bien content d’enfiler ta tenue et de s’installer au volant ce soir, avec la chance de pouvoir découvrir le célèbre Château illuminé à la tombée de la nuit. Il ne rêve que de pouvoir devenir un jour un fidèle chien-soumis, autorisé à porter les Nobles initiales MDE et prêt à tout pour servir le Maître, une place dont il serait bien plus digne que toi, car il est par nature humble et obéissant, même s’il ne fait que découvrir les enjeux de la soumission.
Le soumis est pris une fois de plus au piège, se mordant les lèvres d’avoir parlé à tort et à travers sans penser aux conséquences des mots qu’il a lâchés beaucoup trop vite. Non seulement il va être puni pour un triple mensonge, mais en sus, il se voit relégué à devoir quitter sa livrée de chauffeur pour un temps indéfini. Dans un dernier espoir presque perdu d’avance, car2MDE s’agenouille.
- Monsieur Denis, j’ai menti. Je le reconnais. En fait, je n’ai pas eu de malaise, donc il n’y a aucun risque à ce que je puisse conduire en toute sécurité ce soir la Rolls-Royce pour conduire les invités de Monsieur le Marquis d’Evans. Vous n’allez pas laisser cette belle voiture entre des mains qui ne sont pas habituées à manier un tel bijou délicat.
- Ce n’est sûrement pas à toi de me dire ce que je dois faire ou ne pas faire. Compris ! Garde ta place de vulgaire chien qui ne mérite même pas le qualificatif de soumis MDE quand il accumule fautes et mensonges. Sache que tu ne seras pas en état de pouvoir conduire ce soir, car après la punition que tu vas devoir endurer, je te promets qu’il va te falloir un certain temps avant de pouvoir t’asseoir sans grimacer !
Le responsable lâche l’oreille du soumis et lui ordonne de se dévêtir et de poser sa livrée proprement sur une chaise.
- Ici, tu n’es qu’un chien bon à dresser. Tu as enlevé ton uniforme de travail, c’est bien, mais comptes-tu rester ainsi ?
A poil, tu me vires ce caleçon et tu te mets à quatre pattes.
Monsieur Denis part chercher un paddle un peu spécial, puisqu’il s’agit d’un morceau de bois qui a été recouvert sur un des côtés d’une bande de chape de pneu identique à ceux que Monsieur le Marquis utilise pour ses voitures de luxe. Pendant ce temps là, le soumis s’est dévêtu, laissant apparaître sa cage de chasteté, bien pleine car le sexe à l’intérieur voudrait bien pouvoir bander librement et s’échapper à travers les barreaux de métal. Deux couilles bien pleines pendent entre ses cuisses. Le responsable s’approche et lui caresse la croupe, avant de la prendre en photo alors qu’elle est encore bien blanche de peau. En entendant le clic de l’appareil, car2MDE se sent humilié d’avoir été photographié à son insu dans cette posture, à quatre pattes, la croupe relevé, le sexe encagé et les couilles branlantes. Ce sentiment lui paraît autant excitant même s’il n’est pas des plus exhibitionnistes, qu’éprouvant car il craint de voir son postérieur et ses attributs de mâles exposés à tout vent, ignorant que seul Monsieur le Marquis d’Evans sera destinataire de la double photo, avant et après la punition, les fesses bien marquées. Le responsable tend le morceau de caoutchouc noir sous les yeux du soumis prenant soin de masquer à sa vue le manche et le bois du dessous.
- Monsieur le Marquis m’a prévenu que tu semblais avoir un faible plus pour Ses voitures de luxe que pour la soumission. Dis-moi, est-ce que tu reconnais ces empreintes caractéristiques ?
- Oui, Monsieur, cela ressemble aux stries et aux rayures caractéristiques des 4 pneus qui équipent le véhicule que je conduis. Comme je le nettoie souvent, vous pouvez être certain que je reconnais bien ces dessins. Est-ce que c’est un bout d’échantillon neuf pour passer une nouvelle commande ? Les pneus sont encore bons, vous savez !
- Non, surprise, surprise ! Tu vas voir, cet objet a une toute autre fonction que je vais tester à l’instant même, histoire de voir si cela tient bien la route lorsque je vais plaquer avec force ce paddle sur ta couenne de cabot pour lui imprimer ces marques si caractéristiques. Au moins, tu n’auras pas tout perdu ! Après avoir essayé les fauteuils en cuir sur lesquels tu n’es pas autorisé à t’asseoir, et bien disons que tu vas essayer les quatre pneus.
Le responsable passe avec force le paddle sur les fesses du chien-soumis, pour commencer à échauffer la peau en faisant affluer le sang à fleur de peau comme s’il avait entre les mains, une brosse à chiendent. Tandis que d’une main, il manœuvre la chape avec perversité sur tout le corps de car2MDE pour titiller l’esprit de celui qui va devoir subir une punition comme il n’en a encore jamais reçu.
- Alors, nous disions 15 minutes de retard, cela fera 15 coups bien sonnés de paddle sur ton arrière-train. Mais comme il y a eu triplement de la punition, cela devrait faire …… voyons voir si tu sais bien compter ?
- Monsieur Denis, non, c’est beaucoup trop. Mes fesses ne vont jamais résister. Ce doit être dangereux et dur un truc pareil, vous ne pouvez pas me frapper avec cela, même si j’ai menti.
- Bien sûr que je le peux, et que je vais le faire ! C’est un instrument D/s tout à fait aux normes que Monsieur le Marquis d’Evans a déjà eu l’occasion de tester sur d’autres esclaves récalcitrants. Je peux même te dire que certains soumis masochistes trouvent cela bien trop léger pour les faire bander. Mais je croyais d’avoir posé une question très simple, te demandant si tu savais compter. Tu vas me donner la réponse toi-même, si tu ne veux pas que j’en rajoute d’autres en plus pour ton insolence à discuter la sanction.
- Qua… quarante …. Cinq (d’une voix hachurée craintive)- 45 Quoi ?
- 45 coups de paddle - Tu trembles comme une chiffe molle, que tu en oublies les bonnes manières ! Ne sais-tu pas que lorsque tu parles au Maître ou à l’un de ses représentants, tu dois ajouter à la fin de ta phrase le mot Maître, et dans mon cas, Monsieur Denis.
Pour cette omission inadmissible, tu auras un coup supplémentaire ………… un coup bien placé ……….. Cela t’apprendra.
Monsieur Denis frappe un grand coup entre les cuisses de car2MDE qui ne peut retenir un violent cri lorsque le paddle vient heurter ses testicules et son sexe encagé dont les barreaux viennent encore plus lui rentrer dans la nouille prise en étau.
- Ah ! Non, tu vas apprendre à parler ou à te taire à bon escient. Ton cri était inutile, par contre, tu vas répéter après moi : « 45 coups de paddle, Monsieur Denis. Je vous supplie de bien vouloir m’administrer la sanction que je mérite et je vous remercie pour la peine que vous allez vous donner à me fustiger pour me permettre de prendre conscience de ma faute et m’amender ».
Le chien-soumis de plus en plus perturbé, excité et craintif à la fois, se lance à répéter la phrase imposée par le responsable. Mais il faut deux tentatives avant de parvenir à la prononcer sans erreur, ce qui lui vaut deux coups de plus de chape de pneu à ajouter aux 45.
- Pour ton cri qui m’a cassé les oreilles, et pour la peine que je vais effectivement avoir à jouer au Père Fouettard, il me semble que je mérite une petite compensation pour me donner du courage à l’ouvrage.
Monsieur Denis ouvre sa braguette et extirpe un sexe déjà bien gonflé, très excité à l’idée de pouvoir faire rougir les fesses de ce malappris qui a cru pouvoir se jouer de lui et de son autorité par délégation. Il enfile sa queue dans la bouche du chien qui n’ose plus se rebiffer et l’avale sans rien dire, se contentant de contenir ses hauts le cœur lorsque le phallus gonflé et gorgé de sang vient heurter le fond de sa bouche baisée avec puissance. Le responsable, après de nombreux va et vient dans la cavité buccale et pensant que sa queue a été assez lubrifiée, se retire pour venir s’empaler dans l’anus du chien-soumis à quatre pattes qu’il force pour en dilater la rondelle étroite de celui qu’il encule sans ménagement maintenant, prenant à pleine mains les fesses de car2MDE encore trop blafardes à son goût, mais dont il se doute qu’elles auront une toute autre coloration après 47 coups bien dosés. Après un long pilonnage virilement appuyé par de forts coups de reins ponctués de ‘’han’’ tant Monsieur Denis veut enfoncer profondément dans les entrailles de l’esclave que dans les derniers coups de boutoirs et dans un râle profond de mâle en rut, il se déverse profondément dans les entrailles du chien, restant encore quelques temps à occuper l’espace en conquérant phallique qui profite du bienfait de la jouissance. Monsieur Denis se retire et extirpe de sa poche un long et large plug qu’il fourre dans l’ouverture béante pour éviter que sa semence ne ressorte.
- Voilà de quoi te garnir le cul et le maintenir bien au chaud ! J’espère que tu es conscient de l’honneur que je t’ai fais en te faisant bénéficier de mon précieux nectar.
- Merci, Monsieur Denis.
Le soumis se surprend lui-même à répondre en remerciant celui qui pourtant va dans un instant le punir. C’est d’ailleurs, docilement, comme un cheval enfin dompté, qu’il se laisse mettre un mors caoutchouteux entre les dents en attendant la suite plus cinglante des événements.
(A suivre…..)
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