L'histoire de Thaïs et du Maître Vénéré – Suite de l'épisode précédent N°549

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : L'histoire de Thaïs et du Maître Vénéré – Suite de l'épisode précédent N°549 Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-11-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'histoire de Thaïs et du Maître Vénéré – Suite de l'épisode précédent N°549
L'histoire de Thaïs et du Maître Vénéré – Suite de l'épisode précédent N°549 -
Le chien soumis compelled MDE a su profiter largement de la saillie dont il a pu bénéficier dans son anus enculé par de nombreuses queues tandis que le sous-directeur avait choisi pour sa part d’éjaculer dans la bouche onctueuse et grande ouverte de la lope suceuse qui sait œuvrer à merveille pour des fellations de qualité. Le soumis nettoyé de tous les côtés a cessé de s’interroger pour savoir quelle est la fameuse tenue qu’il va devoir porter sur ordre de Monsieur le Marquis d’Evans. Il y a longtemps qu’il préfère s’abandonner à son sort avec une patience et une abnégation conformes à sa nature servile sans se soucier de savoir « Où, Quand, Comment, Avec Qui, Pourquoi » puisque ce sont des réponses qui appartiennent au Dominant et à Lui seul. Le sous-directeur s’adresse à soumis compelled MDE avec un ton ferme et directif, mais avec une certaine sympathie de voir combien le soumis se plie de si bonnes grâces sans broncher à tout ce qui lui est imposé, semblant savourer autant les plaisirs charnels que les vexations qu’il trouve si excitantes.

- Alors, la bonne petite chienne en chaleur, tu le sais que tu es une bonne salope à foutre…... Sache que c’est un compliment que je te fais. Alors remercie-moi !

Même si la manière de dire reste crue, le soumis est presque gêné des éloges qui lui sont faites, car il pense qu’il ne fait rien de plus que d’être juste un soumis dévoué MDE, comme devrait l’être chacun(e) des esclaves du cheptel. Et sa réponse est faite d’une voix mal assurée qui manque encore de confiance en soi.

- Oui, Monsieur, je pense le savoir. Je vous remercie de ce compliment qui me touche et dont j’espère être digne.
- Dis toi bien que si je ne pensais pas sincèrement ce que je viens de te dire, il y a longtemps que tu aurais entendu une toute autre chanson, car moi aussi je sais jouer de la cravache quand il le faut, encore que j’ai cru comprendre qu’avec toi les punitions doivent avoir une saveur différente car tu serais bien trop content de profiter de quelques plaisirs masochistes supplémentaires. Mais pas de punitions pour l’heure, pas plus que de douleurs-douceurs maso, tu es là parce que tu es une chienne en chaleur MDE, une vraie salope à utiliser, une lopette juste bonne à enculer, la putain mâle à deux trous de Monsieur le Marquis d’Evans.

Les humiliations excitent le chien soumis MDE, d’autant plus, même si cela peut paraître paradoxal pour ceux qui ne comprennent pas ces pulsions masochistes, qu’il se sent encore plus fort dans son avilissement à n’être que ce qu’il désire être profondément. Il n’en faut pas plus pour le faire bander sous le regard attentif du sous-directeur.

- Regardez-moi cela ! Ca t’excite ce que je te dis, j’en suis plus que certain, même si cela n’est pas écrit sur ton visage, il suffit d’avoir les yeux en face des trous pour le voir. Tu ne peux même pas laisser ta queue au repos dès qu’elle n’est plus en cage, on dirait un gardon qui frétille dans tous les sens. Tu as intérêt en tout cas à te comporter en bon chien MDE tout à l’heure si tu ne veux pas décevoir Le Maître lorsqu’il viendra te chercher. Il te faut apprendre à maîtriser un peu plus tes montées de testostérone tant que tu n’es pas autorisé à laisser ta nouille prendre de l’ampleur.

L’esclave compelled MDE, qui ignore encore où il a été conduit et à fortiori ce qui l’attend, est aux anges à l’idée de savoir que c’est Le Maître Vénéré en personne qui viendra le chercher un peu plus tard. Rien ne peut lui faire plus plaisir que de pouvoir être vraiment (et pas seulement littéralement et/ou symboliquement) aux pieds du Dominant auquel il appartient corps et âme. Il sait bien qu’il aurait tout fait pour être un soumis exemplaire entre des mains inconnues, sachant très bien qu’il n’était là que sur ordre du Maître qui avait lui-même veillé à choisir la tenue qu’IL souhaitait faire porter à son fidèle chien soumis MDE, mais là le bonheur en devient plus intense, presque un enfièvrement enthousiaste. C’est donc le sourire aux lèvres et l’air radieux que l’esclave remue du popotin comme s’il voulait montrer son contentement par ses instincts primaires de chien-soumis, bien conscient cependant que cela fait remuer également ses couilles tombantes et sa queue bien trop dure aux dires du sous-directeur. Le soumis aurait tant aimé à cet instant pouvoir porter sa cage de chasteté pour éviter d’exhiber une verge qui trahit son excitation, un appendice mâle dont il est bien incapable de maîtriser le gonflement naturel quand celui-ci n’est pas contraint par de solides armatures métalliques.

- Allons, ne perdons pas de temps, car tu dois être prêt à l’heure. Monsieur le Marquis d’Evans n’est pas une personne que l’on peut faire attendre, même moi, je ne m’y hasarderais pas.

L’esclave a toujours le bandeau sur les yeux et il ne voit donc rien de ce qui se passe autour de lui. Il sent qu’on le force à se mettre debout et docilement il se laisse faire. Le Dominant attrape une combinaison en latex marron foncé et il glisse les pieds du soumis complaisant l’un après l’autre dans les endroits prévus à cet effet, puis remonte la tenue jusqu’aux épaules tout en veillant à enfiler au passage les bras dans les emmanchures. Dans la nuit sensorielle de son bandeau, soumis compelled MDE sent le tissu stretch prendre complètement possession de son corps surtout au moment où le sous-directeur vient remonter la fermeture éclair dans son dos, partant des hanches pour arriver jusque dans la nuque. Le tissu élastique mais très gainant épouse parfaitement ses formes et ses courbes, lui laissant juste la possibilité de pouvoir gonfler la cage thoracique pour respirer. La combinaison est munie de deux œillets étroits qui sont ajustés pour tomber juste en face des deux tétons que le sous-directeur extirpe à travers les deux petits trous et qu’il munie immédiatement de pinces pour le plus grand bonheur du soumis qui adore ces sensations mordantes sur ses mamelons sensibles. Le soumis est étonné de ne pas sentir l’effet de la compression sur sa nouille comprenant assez vite que la combinaison n’est pas fermée au niveau de l’entrecuisse ce qui doit donc laisser apparent son sexe et son anus.

Une fois vêtu, le chien soumis compelled MDE est contraint de se remettre à quatre pattes, et il sent qu’on lui force l’anus avec un plug de diamètre conséquent que le sous-directeur fait tourner sur lui-même. En fait, le plug est terminé par une queue courte en plastique souple, recouverte de poils, qui imite celles de certains chiens (animaux) et le Dominant a cherché la meilleure position qui s’avère être celle avec la queue rebiquant vers le haut. L’esclave n’a pas encore intégré ce qui lui arrive et la portée de la tenue qui a pour but de le déguiser et « l’animaliser » encore un peu plus pour la suite de la journée, croyant tout au plus encore à cet instant à une tenue fétichiste avec ou sans cuir et latex. Le sous-directeur ferme un large collier muni de prismes non acérées autour du chien sur lequel il accroche une laisse. L’esclave se sent à son aise d’avoir retrouvé autour de son cou, ce qui caractérise son appartenance au Maître et sa place au sein du cheptel de Monsieur le Marquis d’Evans. Bien docilement, il suit à quatre pattes le Dominant qui lui fait faire quelques pas pour le positionner de côté devant une glace avant de lui enlever son bandeau.

- Alors, le chien ! Ne te trouves-tu pas beau ainsi ?

L’esclave a l’habitude que le Maître l’appelle « Mon chien » lorsqu’IL s’adresse à lui, mais jusque-là soumis compelled MDE n’avait mis derrière ce qualificatif que ce qui faisait référence au chien qui est considéré comme le meilleur ami de l’homme et qui est par nature un animal remarquable par sa fidélité, ce qui lui semblait donc largement plus flatteur que dégradant. Et même quand d’autres beaucoup moins tendres avec lui le traitaient de chien bâtard ou de sale cabot, il n’y voyait là que des mots destinés à lui faire prendre conscience de sa condition inférieure logique pour celui qui veut être dominé. Jamais il ne s’était vraiment pris pour un animal sans cervelle et sans pensées qui aurait tout perdu de sa dignité d’être humain. Il sait d’ailleurs que Monsieur le Marquis d’Evans en personne veille avec attention au respect humain de tous ceux et celles qu’IL soumet sous Son Joug, faisant d’eux et elles des dominé(e)s au sens D/s mais pas justement pas n’importe quoi et en tout cas pas des « moins que rien », car l’affection du Châtelain pour ceux et celles qui lui appartiennent est sincère et emplie d’une grande humanité.

- Le chien, tout va bien ? J’espère que tu es à l’aise dedans, car je pense que tu vas être contraint de garder cette deuxième peau jusque tard dans la soirée.

soumis compelled MDE est étonné d’autant de sollicitudes à son égard, alors qu’à son arrivée, avant d’être nettoyé et préparé, il avait été utilisé et sodomisé sans ménagement à moult reprises, sans même que personne ne lui demande son avis. Il avait même dû se laisser uriner dessus par un nombre de queues qu’il n’avait pu déterminer. Pour celui qui a déjà été enfermé et immobilisé dans des bandes de latex contraignantes, la tenue lui semble plutôt confortable, même s’il est plus coutumier des chaînes, des cordes, du cuir et du latex noir que de cette peau teintée qui cherche à ressembler à celle d’un chien au pelage lisse et court.

- Oui, Monsieur ! Tout va parfaitement bien. Merci de vous occuper de moi et de vous préoccuper de mon état.

Le sous-directeur administratif et juridique attrape pour compléter la parure du chien « animalisé » un masque de cuir qui s’arrête au niveau du cou et qui imite parfaitement la tête d’un chien avec ses oreilles, son museau. L’espace des yeux est évidé, ainsi que les trous des narines. Au niveau de la bouche, le museau est amovible et percé de trous pour ne pas gêner la respiration, pouvant donc laisser la bouche apparaître et être utilisable en tant qu’orifice sexuel si le morceau de cuir est ôté, ou tout simplement pour laisser la langue docile du chien lécher tout ce qui lui sera ordonné. Des crochets permettent même d’apposer temporairement une muselière en métal pour donner encore plus d’effet, même s’il est clair que le chien-soumis ne risque pas de se mettre à mordre à quelques moments que ce soit. soumis Compelled MDE se laisse faire regardant sa transformation devant la glace, ressentant à la fois un sentiment étrange face à cette expérience nouvelle mais également un véritable bien-être de savoir que c’est le Maître en personne qui a tenu à ce qu’il soit ainsi affublé. Il est excité de cette mise en scène qui fait encore plus de lui un chien-soumis MDE, se demandant malgré tout quand le Maître décidera qu’il retrouvera sa nudité pouvant décider de vouloir le vêtir ainsi à longueur de journée pendant des lustres. Il essaye de chasser cette inquiétude qui n’en est pas vraiment une car le soumis a une confiance sans faille dans le Dominant auquel il s’est librement soumis et son seul désir est de pouvoir le satisfaire en tous points, cela fut-il en acceptant cette transformation vestimentaire de surface qui ne change absolument pas de l’intérieur son âme de dominé et son profond désir de soumission.

Le chien soumis compelled MDE qui n’a jamais aussi bien porté son nom qu’à cet instant est conduit en laisse à travers plusieurs couloirs avant d’arriver dans une pièce peu éclairée. Le sous-directeur le positionne juste en face d’une deuxième porte fermée pour l’heure, vérifiant sa position à quatre pattes, l’écartement de ses jambes, le pincement de ces tétons qui sortent de la combinaison. Il pousse un peu sur la queue en plastique pour s’assurer qu’elle est bien enfoncée dans l’anus, ou plus exactement, car il y avait peu de chance qu’elle ait pu s’échapper toute seule, pour le plaisir de faire sentir dans le fondement intime du soumis ce qui résulte de son total asservissement. Le Dominant en profite pour attraper l’autre queue bien en chair celle-là, ainsi que les testicules qui pendent entre les cuisses du chien, les étirant et les malaxant pour le plaisir de voir aussitôt la réaction du soumis qui ne se fait pas attendre et se met à bander de plus belle. Le Dominant attache la laisse en cuir à un crochet qui se trouve juste à côté de la porte, il ferme la partie en cuir du museau du chien qui doit donc rentrer la langue pour l’instant et il suspend la muselière en métal inutilisée à l’anneau qui relie la laisse et le collier de chien pour être à disposition en cas de besoin.

- Et bien, le chien tu n’as plus qu’à être sage sans bouger en attendant que Le Maître vienne te chercher si cela lui agréait et s’IL a un quelconque besoin de tes services.

Le soumis compelled MDE est habitué à savoir patienter en attendant le bon vouloir de Monsieur le Marquis d’Evans, même s’il lui tarde fortement de pouvoir être autorisé à lui faire la fête comme un bon chien qui retrouve Le Maître à son retour à la maison. Le sous-directeur administratif et juridique s’éloigne et referme l’autre porte par lequel il était entré d’un coup sec, laissant le chien MDE dans la pénombre avec toutes ses pensées de soumission qui défilent dans la tête et son excitation qui le fait bander intensément.

De l’autre côté de la porte, il y a Monsieur le Marquis d’Evans en plein pourparlers d’affaires avec Madame D…, mais également la petite chienne Phryné MDE, qui a elle aussi changé de statut et de tenue pour l’après-midi en devenant « Isabelle », l’associée femme d’affaires qui s’est retrouvée nue et au coin après avoir malencontreusement (officiellement seulement, puisqu’en réalité elle a agi bien intentionnellement sur ordre du Maître Vénéré). Mais tout cela, soumis compelled MDE l’ignore encore et seul son désir de rester immobile en attendant de pouvoir servir Le Maître Vénéré lorsqu’il ouvrira la porte le tient en alerte…
(A suivre...)

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Texte coquin : L'histoire de Thaïs et du Maître Vénéré – Suite de l'épisode précédent N°549
Histoire sexe : Une rose rouge
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