L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-07-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré
Suite de l'épisode précédent 307 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré –
Walter remonte au rez-de-chaussée, rejoignant le hall d’entrée et se dirige vers sa chambre personnelle qui se trouve à cet étage, juste à côté de son bureau de fonction, car de là, il peut plus facilement avoir un œil de nuit comme de jour sur une grande partie de la Demeure. Le Majordome s’arrête sur le pas de la porte et tourne la poignée de la porte de sa chambre qui n’est jamais fermée à clef comme aucune des pièces du château, pas plus que le bureau personnel ou la chambre de Monsieur le Marquis, même en son absence. Dans la Demeure ancestrale de la Famille Evans, il ne viendrait à personne à l’idée de pénétrer dans une pièce sans en avoir l’autorisation, ni reçu l’ordre. Les esclaves du cheptel savent qu’un manquement grave à la moindre règle signifierait un bannissement sans le plus infime ultimatum, l’esclave serait aussi sec jeté hors du mur d’enceinte du Château sans possibilité de pouvoir y remettre un jour les pieds, même en rampant à terre pour tenter de se faire pardonner et il ne serait même pas autorisé à reparaître en présence du Maitre des lieux qui peut encore comprendre et punir pour une faute bénigne, un acte mal accompli, une erreur minime, un instant de faiblesse non contenu, mais ne supporterait en aucun cas la moindre trahison lourde de la part d’un de Ses esclaves, car il attend d’eux une dévotion totale et une abnégation sans faille. Et comme ils sont tous librement asservis et si désireux de rester sous le joug de leur Maître commun, il n’y a aucun risque à courir. Quant aux autres membres du personnel, tous triés sur le volet avec références et mises à l’épreuve, ils sont en général bien trop contents de travailler pour Monsieur le Marquis Edouard d’Evans qui est fort apprécié par tous car son charisme naturel fait l’unanimité, qu’ils sont plus que désireux de respecter eux aussi les règles de fonctionnement de cette belle maisonnée dont ils font tous un peu partie, étant également soumis à un devoir de réserve évident sur tout ce qui se passe au Château qu’ils ne doivent divulguer sous aucun prétexte en dehors de ces murs et du monde D/s qu’ils sont amenés à côtoyer.
Avant de rentrer dans la chambre, le Majordome enjoint à e6942 MDE d’aller en cuisine prévenir qu’il désire que ce soir on lui serve son repas directement dans sa chambre particulière et non dans la salle à manger du personnel. L’esclave se presse aussitôt d’exécuter l’ordre qu’il a reçu, ayant juste pris le temps de s’incliner avant de s’éloigner. Walter entre dans la pièce accompagné de Thaïs et se dirige vers la salle de bains attenante à la chambre. Les autres membres du personnel sont en général logés dans les communs, où des appartements ont été aménagés dans les immenses dépendances du Château, mais les deux fidèles et plus anciens employés que sont Walter et Marie bénéficient tous les deux de chambres personnelles au sein même du château, spacieuses et bénéficiant de tout le confort, télé, coin salon, salle de bains et sanitaires. Walter a entraîné Thaïs jusque dans la salle de bains. Il lui enlève la laisse qui pend à son cou et la conduisant vers la douche, il précise :
- Rentre là-dedans. Une bonne douche bien chaude te fera le plus grand bien après cette journée qui a du te paraître bien difficile à certains moments. Ici, les douches sont chaudes, tu pourras en profiter pour ce soir, car dès demain, tu regagneras ta cellule et seras soumise au régime normal des esclaves du cheptel, sachant que certains sont encore à plus mauvaise enseigne couchant dans le chenil à même le sol en béton ou dans des box à l’écurie sur un lit de paille. Et tâche de te laver comme il faut, si tu ne veux pas que je vienne te frotter au gant de crin à la place. Tu trouveras des produits sur le présentoir, du gel douche et du shampoing.
Thaïs ne se le fait pas dire deux fois, un peu surprise du ton particulièrement jovial, presque amical du Majordome à cet instant, ayant du mal à penser que le même homme peut à la fois être précautionneux et pour autant la malmener à d’autres moments, et même parfois de manière perverse non dissimulée. Elle reste longtemps sous la pomme de douche quasiment sans bouger, laissant juste l’eau glisser sur son corps, moment très relaxant qu’elle savoure malgré le fait que l’eau savonneuse soit venue relancer l’irritation de ses fesses marquées par le Châtelain en début d’après-midi… Walter revient dans la salle de bains ayant changé de ton une fois de plus, et il s’exclame sèchement :
- Ce n’est pas encore fini cette douche ! On voit bien que ce n’est pas toi qui paye les factures d’eau. J’espère que tu en as bien profité, car je crois bien que ce sera ta dernière douche chaude au Château. Ce n’est pas tous les jours que l’on se trouve sous les feux de la rampe pour bénéficier de la présentation officielle devant Monsieur le Marquis Edouard d’Evans. Dès demain matin, tu ne seras plus qu’une insignifiante esclave parmi tant d’autres, juste là pour servir le Maître qui n’aura ni le temps, ni l’envie de s’intéresser plus à toi qu’à un ou une autre de Ses nombreux esclaves, sauf à savoir qu’il prend toujours soin de tout ce qui lui appartient et de tous ceux qui lui appartiennent.
Le Majordome tend une serviette éponge à la soumise nue qui sort sans attendre de la douche.
- Sèche-toi bien maintenant. Et puis tu vas te pencher sur ce tabouret, car je dois soigner tes fesses pour qu’elles guérissent très vite… Il me tarde de pouvoir les faire rougir à nouveau de bons coups de cravaches… Tu me donneras bien l’occasion de pouvoir te punir, et si tu savais comme je prends un malin plaisir à pouvoir marquer un postérieur, et ce qui m’excite en particulier c’est l’idée même que c’est une punition que j’inflige et que j’ai tout pouvoir le faire de par mes fonctions et de part vos soumissions parfaites d’esclaves qui vous rendent si dociles à subir ce qui vous est imposé… Quant à tes fesses qui me paraissent si charnues, je m’en réjouis d’avance rien qu’à l’idée de …. Ah, Ah, Ah ….
Thaïs est glacée devant ce rire malicieux et pervers, qui laisse transparaître un petit côté sadique qu’elle n’aime pas spécialement. Elle est la soumise toute dévouée de son Maître Vénéré, acceptant tout de lui, y compris toutes les punitions qu’IL jugerait utile de lui infliger pour son bien en cas de manquement à la règle, mais là elle du mal à accepter l’idée de devoir laisser ses fesses à la merci d’un pervers qui ne cherchera que l’occasion de pouvoir en profiter pour assouvir ses propres fantasmes. Elle aimerait tant être juste toute seule avec son Maître Vénéré à qui elle a donné sa vie, son âme, son coeur et son corps entièrement, même si elle comprend que les choses ne se passent pas comme elle le voudrait mais comme Le Maître le désire, ce qu’elle a accepté comme une donnée de base dès le départ. Et d’un autre côté, elle se sent aussi émoustillée par les propos du Majordome et honteuse à la fois de ressentir du plaisir à l’entendre la traiter pour ce qu’elle est, paradoxalement fière et honteuse à la fois de sa docilité même qui la pousse à accepter tout dans la mesure où cela lui est imposé directement ou indirectement par son Dominant. Il n’en faut pas plus à Thaïs pour sentir son bas-ventre s’enflammer à l’idée que ces fesses pourront encore être l’objet de tant de plaisirs, tandis que Walter passe longuement dessus sa large main pour faire rentrer la pommade cicatrisante qu’il étale largement, profitant de cet instant pour promener ses mains largement plus profondément dans la raie des fesses et dans sa chatte, n’hésitant pas à forcer sa petite rondelle pour y glisser un doigt et puis deux et à malaxer les larges fesses de cette chienne plantureuse.
- Il est temps que je te remette un plug, car ton petit trou a l’air de bien s’ennuyer tout seul et sans parure.
Walter revient avec un plug en métal qu’il vient de prendre dans un mini bar-frigidaire qui se trouve dans sa chambre et qui à défaut d’être glacé, n’en est pas moins très froid. Il approche l’embout de l’anus de Thaïs qui sursaute en sentant le contraste de chaleur avec sa peau encore très chaude à la sortie de la douche. D’un grand coup sec, il enfonce l’objet, faisant frissonner Thaïs qui ressent la fraicheur du métal lisse presque comme une brûlure sensuelle terriblement excitante. Elle se dit qu’il ne lui sera donc laissé aucun répit à quelque moment que ce soit dans la journée. Quand elle était encore à son travail tous les jours, elle n’arrêtait pas de penser à son Maître Vénéré, mais son corps n’était pas aussi souvent sollicité de mille et une manières. Là, elle se sent devenir un vrai objet de plaisirs, une chienne femelle en chaleur, dressée pour donner, ressentir et recevoir du plaisir sur commande, ce que d’une certaine manière elle avait toujours désiré mais sans vraiment en mesurer la portée.
De son côté, l’esclave e6942 MDE s’est affairé le plus vite possible en cuisine pour répondre à l’exigence de Walter, qui nonobstant l’empressement qu’il a mis à s’acquitter de sa tâche, risque fort de se voir reprocher son retard et le temps perdu par le Majordome qui est en train d’attendre son repas. C’est pourquoi, il revient le plus vite possible poussant une table roulante sur laquelle plusieurs mets ont été déposés pour le repas spécialement préparé pour le fidèle domestique, mais également suivant les consignes qu’il a aussi reçu quatre gamelles, deux remplies d’eau et deux remplies d’une soupe épaisse qui fume encore. Au moment où il arrive devant la porte de la chambre, le chien esclave tape trois fois distinctement. Walter le siffle aussi sec, comme à son habitude et e6942 ouvre alors la porte poussant le plateau roulant au centre de la pièce tout près d’un grand fauteuil à accoudoir, avant de s’incliner profondément très respectueusement.
- Monsieur, voici le repas que Marie, la cuisinière a préparé pour vous. Dois-je et puis-je vous le servir quelque part ?
- Non, laisse le chien, avec tes sales pattes tu pourrais salir mon assiette. Et puis tu fais quoi encore debout ! Ne te rappelles-tu pas que les chiens trainent leur queue à quatre pattes. Thaïs est là, elle pourra bien faire le service. On va d’ailleurs voir si elle sait faire autre chose qu’écarter les cuisses et tout inonder. Toi, tu me serviras à me vider les couilles, tout à l’heure, mais je veux d’abord avoir la panse pleine et j’aime bien savourer mon repas tant qu’il est chaud. Et quand au « quelque part », je pense que c’est toi qui va faire l’affaire. Reste là où tu es et met-toi en position.
e6942 MDE qui est habitué depuis fort longtemps à être traité ainsi ne relève même pas d’un battement de cils les propos désobligeants du Majordome qui lui parle comme un chien, baissant la tête, il se met à quatre pattes, restant immobile le dos bien droit et plat, attendant de nouveaux ordres. Thaïs s’approche de la table roulante, attendant que le Walter lui dise précisément ce qu’elle doit faire et à quel endroit elle doit servir le repas car elle n’aperçoit aucune table de libre à portée.
- Et alors, la petite bonniche, tu fais quoi ? Tu comptes me servir mon repas dans combien d’années ! Peut-être que tu étais habituée dans ta société à ce que l’on vienne te porter le café directement à ton bureau, mais fini ces manières-là ! Ici, tu n’es plus rien plus qu’une esclave-soumise qui est juste là pour exécuter les ordres. Dépêche-toi, si tu ne veux pas que je sorte ma cravache.
- Pardonnez-moi, Monsieur Walter. Pourriez-vous me dire où je dois déposer votre plateau repas et ce que vous désirez de plus ?
- C’est bien ce que je pensais, tu es bonne à rien finalement ! Ouvre les yeux, ne vois-tu pas que tu as là sous les yeux un dos bien assez gros et costaud pour me servir de table basse.
La soumise attrape alors le plateau qu’elle dépose le plus précautionneusement sur le dos d’e6942 MDE qui ne bouge pas d’un millimètre, qui est courbé, croupe tourné vers le fauteuil à la vue de Walter qui sent déjà l’excitation le gagner de voir ce cul ouvert et pendant entre les cuisses deux couilles lourdes et pleines qui ne pourront une fois de plus pas se vider car la queue rabougrie de l’esclave est et restera encagée et cadenassée… Thaïs attrape le verre et la carafe de vin rouge, se penchant en direction de Walter, pour savoir si elle doit lui servir à boire. Elle voudrait tant pouvoir se désaltérer car elle a la bouche si sèche. Elle a bien aperçu les gamelles d’eau et de soupe qu’elle voudrait pouvoir laper sans attendre, mais elle sait qu’elle doit attendre la permission et ne pas réclamer avant. bien droite, tête baissée, les mains croisées dans le dos, Thaïs reste à côté attendant que Walter termine son repas pour débarrasser ou pour être à disposition pour remplir un verre vide par exemple ou tout autre service qu’il exigerait. Elle ressent la fatigue qui manque parfois de la faire vaciller, car elle tient à peine sur ses jambes, surtout que la faim et surtout la soif la tenaillent, mais en même temps, elle se sent elle-même excitée de voir la position indécente de l’esclave dont la croupe ouverte fait le spectacle du Majordome, qui n’hésite pas de temps en temps entre deux bouchées de passer ses larges mains sur les fesses et sur le sexe de celui qui lui sert de table. Walter ayant terminé son repas, il fait signe à Thaïs qu’elle peut tout ranger sur la table roulante et lui demande de s’asseoir sur le fauteuil qu’il vient juste de positionner cette fois juste en face de la tête du chien e6942. Puis il lui attrape les cuisses pour les relever de chaque côté des accoudoirs de manière à ce que ses fesses soient justes posées au bord du fauteuil, collant le museau du chien esclave mâle dont il relève la tête entre les lèvres intimes de la chienne déjà bien poisseuses. Walter dégrafe la ceinture de son pantalon, se positionne juste derrière la croupe du chien e6942 MDE lui faisant sentir sa queue dure, déjà si excitée à l’idée de pouvoir sodomiser celui qui n’attend que cela depuis plusieurs minutes.
- Lèche-là pendant que je t’encule, espèce de chien en chaleur ! Je veux voir si ta langue peut servir à la faire frémir une fois de plus. Et tâche si elle coule de boire à la source, pas question de salir mon fauteuil.
Walter pousse un grand coup sec pour entrer sa queue jusqu’à ce que ses couilles butent dans les fesses de l’esclave sodomisé. Il fait de longs va et vient, puissants et profonds, poussant chaque fois e6942 MDE qui enfonce encore plus la tête et la langue dans le sexe béant de Thaïs qui vient de fermer les yeux, emportée une fois de plus par le plaisir. Les coups de butoir du domestique deviennent de plus en plus sauvages, puissants, d’un rythme qui s’accélère. Pendant de longues minutes, il laboure le cul sans vergogne qui s’offre sans retenue, alors que l’esclave mâle enculé prend un vrai plaisir charnel à pouvoir lécher la chienne et sa mouille aux odeurs corporelles si excitantes et enivrantes, pour celui qui sait qu’il ne pourra pas jouir plus et dont la queue ne peut pas grossir bloquée par la cage de chasteté qui le comprime. Au bout d’un long moment de copulation anale c’est dans un vrai râle de mâle, lourd et puissant, que l’imposant Majordome se répand entre les fesses de l’esclave poussant encore un dernier coup pour se vider jusqu’au bout avant de se retirer et de se lever sans attendre plus en exigeant expressément :
- Toi la chienne, voilà de quoi lécher à ton tour le trou du cul de ce chien encagé, tu verras tu trouveras bien de quoi te désaltérer et tâche de ne pas laisser tomber une goutte de ma semence sur le parquet… Quand tout sera nettoyé et remis en place, je vous donne l’autorisation de manger vos écuelles à quatre pattes comme le chien et la chienne que vous êtes. Et tâchez de ne pas traîner, je pars prendre une douche, je ne veux plus rien voir quand je vais sortir de la salle de bains. …. e6942 MDE, tu ramèneras le plateau roulant en cuisine, veille à tout ranger là-bas. Et si Marie n’a rien de plus à te faire faire, tu pourras rejoindre ta niche. Tu as déjà tes consignes pour demain matin….
Tandis que e6942 MDE se fait nettoyer le cul à coups de langue de Thaïs qui lape consciencieusement et en silence l’anus offert, l’esclave mâle oscille de la tête pour dire oui, mais comme il aperçoit la main de Walter qui s’approche de lui, il dépose son front sur la main tendue en signe de profonds remerciements, d’humilité et de respect pour celui qu’il a fini par apprendre à apprécier malgré les manières parfois dures et perverses du Majordome qui prend son rôle très à cœur, et qui reste avant tout un serviteur loyal du Marquis d’Evans…. Le domestique se dirige vers la salle de bains pour se laver ne prêtant plus la moindre attention à Thaïs qui s’exécute toujours en léchant l’anus, rempli de sperme, de celui qui le matin l’avait déjà léché dans son intimité profonde. Ce n’est qu’ensuite et avec grand plaisir qu’à bout de forces, elle se met à laper la gamelle pleine d’eau pour se désaltérer, et se décide malgré tout de manger jusqu’au bout la soupe toute froide qui remplit son écuelle, bien que la fatigue soit plus grande que sa faim. Le chien esclave a quitté la pièce, emportant avec lui les restes du repas et les gamelles vides. Thaïs est restée seule, épuisée, sans bouger, elle n’espère plus rien après cette première journée au Château qu’elle n’est pas prête d’oublier… Walter sort de la salle de bains pour aller se coucher et s’approchant de Thaïs, dont il relève le menton, il ajoute :
- Je pense que tu as bien mérité de dormir un peu maintenant. Regarde, au pied de mon lit, il y a un grand panier à chiens. J’ai gardé cette place pour toi pour cette nuit. J’espère que tu apprécies cet honneur. Va vite te coucher, mais avant n’oublie pas de me remercier toi aussi.
- Merci, Monsieur Walter, merci de m’apprendre à bien me comporter, oui encore merci.
Et Thaïs s’endort en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire.
(A suivre…)
Walter remonte au rez-de-chaussée, rejoignant le hall d’entrée et se dirige vers sa chambre personnelle qui se trouve à cet étage, juste à côté de son bureau de fonction, car de là, il peut plus facilement avoir un œil de nuit comme de jour sur une grande partie de la Demeure. Le Majordome s’arrête sur le pas de la porte et tourne la poignée de la porte de sa chambre qui n’est jamais fermée à clef comme aucune des pièces du château, pas plus que le bureau personnel ou la chambre de Monsieur le Marquis, même en son absence. Dans la Demeure ancestrale de la Famille Evans, il ne viendrait à personne à l’idée de pénétrer dans une pièce sans en avoir l’autorisation, ni reçu l’ordre. Les esclaves du cheptel savent qu’un manquement grave à la moindre règle signifierait un bannissement sans le plus infime ultimatum, l’esclave serait aussi sec jeté hors du mur d’enceinte du Château sans possibilité de pouvoir y remettre un jour les pieds, même en rampant à terre pour tenter de se faire pardonner et il ne serait même pas autorisé à reparaître en présence du Maitre des lieux qui peut encore comprendre et punir pour une faute bénigne, un acte mal accompli, une erreur minime, un instant de faiblesse non contenu, mais ne supporterait en aucun cas la moindre trahison lourde de la part d’un de Ses esclaves, car il attend d’eux une dévotion totale et une abnégation sans faille. Et comme ils sont tous librement asservis et si désireux de rester sous le joug de leur Maître commun, il n’y a aucun risque à courir. Quant aux autres membres du personnel, tous triés sur le volet avec références et mises à l’épreuve, ils sont en général bien trop contents de travailler pour Monsieur le Marquis Edouard d’Evans qui est fort apprécié par tous car son charisme naturel fait l’unanimité, qu’ils sont plus que désireux de respecter eux aussi les règles de fonctionnement de cette belle maisonnée dont ils font tous un peu partie, étant également soumis à un devoir de réserve évident sur tout ce qui se passe au Château qu’ils ne doivent divulguer sous aucun prétexte en dehors de ces murs et du monde D/s qu’ils sont amenés à côtoyer.
Avant de rentrer dans la chambre, le Majordome enjoint à e6942 MDE d’aller en cuisine prévenir qu’il désire que ce soir on lui serve son repas directement dans sa chambre particulière et non dans la salle à manger du personnel. L’esclave se presse aussitôt d’exécuter l’ordre qu’il a reçu, ayant juste pris le temps de s’incliner avant de s’éloigner. Walter entre dans la pièce accompagné de Thaïs et se dirige vers la salle de bains attenante à la chambre. Les autres membres du personnel sont en général logés dans les communs, où des appartements ont été aménagés dans les immenses dépendances du Château, mais les deux fidèles et plus anciens employés que sont Walter et Marie bénéficient tous les deux de chambres personnelles au sein même du château, spacieuses et bénéficiant de tout le confort, télé, coin salon, salle de bains et sanitaires. Walter a entraîné Thaïs jusque dans la salle de bains. Il lui enlève la laisse qui pend à son cou et la conduisant vers la douche, il précise :
- Rentre là-dedans. Une bonne douche bien chaude te fera le plus grand bien après cette journée qui a du te paraître bien difficile à certains moments. Ici, les douches sont chaudes, tu pourras en profiter pour ce soir, car dès demain, tu regagneras ta cellule et seras soumise au régime normal des esclaves du cheptel, sachant que certains sont encore à plus mauvaise enseigne couchant dans le chenil à même le sol en béton ou dans des box à l’écurie sur un lit de paille. Et tâche de te laver comme il faut, si tu ne veux pas que je vienne te frotter au gant de crin à la place. Tu trouveras des produits sur le présentoir, du gel douche et du shampoing.
Thaïs ne se le fait pas dire deux fois, un peu surprise du ton particulièrement jovial, presque amical du Majordome à cet instant, ayant du mal à penser que le même homme peut à la fois être précautionneux et pour autant la malmener à d’autres moments, et même parfois de manière perverse non dissimulée. Elle reste longtemps sous la pomme de douche quasiment sans bouger, laissant juste l’eau glisser sur son corps, moment très relaxant qu’elle savoure malgré le fait que l’eau savonneuse soit venue relancer l’irritation de ses fesses marquées par le Châtelain en début d’après-midi… Walter revient dans la salle de bains ayant changé de ton une fois de plus, et il s’exclame sèchement :
- Ce n’est pas encore fini cette douche ! On voit bien que ce n’est pas toi qui paye les factures d’eau. J’espère que tu en as bien profité, car je crois bien que ce sera ta dernière douche chaude au Château. Ce n’est pas tous les jours que l’on se trouve sous les feux de la rampe pour bénéficier de la présentation officielle devant Monsieur le Marquis Edouard d’Evans. Dès demain matin, tu ne seras plus qu’une insignifiante esclave parmi tant d’autres, juste là pour servir le Maître qui n’aura ni le temps, ni l’envie de s’intéresser plus à toi qu’à un ou une autre de Ses nombreux esclaves, sauf à savoir qu’il prend toujours soin de tout ce qui lui appartient et de tous ceux qui lui appartiennent.
Le Majordome tend une serviette éponge à la soumise nue qui sort sans attendre de la douche.
- Sèche-toi bien maintenant. Et puis tu vas te pencher sur ce tabouret, car je dois soigner tes fesses pour qu’elles guérissent très vite… Il me tarde de pouvoir les faire rougir à nouveau de bons coups de cravaches… Tu me donneras bien l’occasion de pouvoir te punir, et si tu savais comme je prends un malin plaisir à pouvoir marquer un postérieur, et ce qui m’excite en particulier c’est l’idée même que c’est une punition que j’inflige et que j’ai tout pouvoir le faire de par mes fonctions et de part vos soumissions parfaites d’esclaves qui vous rendent si dociles à subir ce qui vous est imposé… Quant à tes fesses qui me paraissent si charnues, je m’en réjouis d’avance rien qu’à l’idée de …. Ah, Ah, Ah ….
Thaïs est glacée devant ce rire malicieux et pervers, qui laisse transparaître un petit côté sadique qu’elle n’aime pas spécialement. Elle est la soumise toute dévouée de son Maître Vénéré, acceptant tout de lui, y compris toutes les punitions qu’IL jugerait utile de lui infliger pour son bien en cas de manquement à la règle, mais là elle du mal à accepter l’idée de devoir laisser ses fesses à la merci d’un pervers qui ne cherchera que l’occasion de pouvoir en profiter pour assouvir ses propres fantasmes. Elle aimerait tant être juste toute seule avec son Maître Vénéré à qui elle a donné sa vie, son âme, son coeur et son corps entièrement, même si elle comprend que les choses ne se passent pas comme elle le voudrait mais comme Le Maître le désire, ce qu’elle a accepté comme une donnée de base dès le départ. Et d’un autre côté, elle se sent aussi émoustillée par les propos du Majordome et honteuse à la fois de ressentir du plaisir à l’entendre la traiter pour ce qu’elle est, paradoxalement fière et honteuse à la fois de sa docilité même qui la pousse à accepter tout dans la mesure où cela lui est imposé directement ou indirectement par son Dominant. Il n’en faut pas plus à Thaïs pour sentir son bas-ventre s’enflammer à l’idée que ces fesses pourront encore être l’objet de tant de plaisirs, tandis que Walter passe longuement dessus sa large main pour faire rentrer la pommade cicatrisante qu’il étale largement, profitant de cet instant pour promener ses mains largement plus profondément dans la raie des fesses et dans sa chatte, n’hésitant pas à forcer sa petite rondelle pour y glisser un doigt et puis deux et à malaxer les larges fesses de cette chienne plantureuse.
- Il est temps que je te remette un plug, car ton petit trou a l’air de bien s’ennuyer tout seul et sans parure.
Walter revient avec un plug en métal qu’il vient de prendre dans un mini bar-frigidaire qui se trouve dans sa chambre et qui à défaut d’être glacé, n’en est pas moins très froid. Il approche l’embout de l’anus de Thaïs qui sursaute en sentant le contraste de chaleur avec sa peau encore très chaude à la sortie de la douche. D’un grand coup sec, il enfonce l’objet, faisant frissonner Thaïs qui ressent la fraicheur du métal lisse presque comme une brûlure sensuelle terriblement excitante. Elle se dit qu’il ne lui sera donc laissé aucun répit à quelque moment que ce soit dans la journée. Quand elle était encore à son travail tous les jours, elle n’arrêtait pas de penser à son Maître Vénéré, mais son corps n’était pas aussi souvent sollicité de mille et une manières. Là, elle se sent devenir un vrai objet de plaisirs, une chienne femelle en chaleur, dressée pour donner, ressentir et recevoir du plaisir sur commande, ce que d’une certaine manière elle avait toujours désiré mais sans vraiment en mesurer la portée.
De son côté, l’esclave e6942 MDE s’est affairé le plus vite possible en cuisine pour répondre à l’exigence de Walter, qui nonobstant l’empressement qu’il a mis à s’acquitter de sa tâche, risque fort de se voir reprocher son retard et le temps perdu par le Majordome qui est en train d’attendre son repas. C’est pourquoi, il revient le plus vite possible poussant une table roulante sur laquelle plusieurs mets ont été déposés pour le repas spécialement préparé pour le fidèle domestique, mais également suivant les consignes qu’il a aussi reçu quatre gamelles, deux remplies d’eau et deux remplies d’une soupe épaisse qui fume encore. Au moment où il arrive devant la porte de la chambre, le chien esclave tape trois fois distinctement. Walter le siffle aussi sec, comme à son habitude et e6942 ouvre alors la porte poussant le plateau roulant au centre de la pièce tout près d’un grand fauteuil à accoudoir, avant de s’incliner profondément très respectueusement.
- Monsieur, voici le repas que Marie, la cuisinière a préparé pour vous. Dois-je et puis-je vous le servir quelque part ?
- Non, laisse le chien, avec tes sales pattes tu pourrais salir mon assiette. Et puis tu fais quoi encore debout ! Ne te rappelles-tu pas que les chiens trainent leur queue à quatre pattes. Thaïs est là, elle pourra bien faire le service. On va d’ailleurs voir si elle sait faire autre chose qu’écarter les cuisses et tout inonder. Toi, tu me serviras à me vider les couilles, tout à l’heure, mais je veux d’abord avoir la panse pleine et j’aime bien savourer mon repas tant qu’il est chaud. Et quand au « quelque part », je pense que c’est toi qui va faire l’affaire. Reste là où tu es et met-toi en position.
e6942 MDE qui est habitué depuis fort longtemps à être traité ainsi ne relève même pas d’un battement de cils les propos désobligeants du Majordome qui lui parle comme un chien, baissant la tête, il se met à quatre pattes, restant immobile le dos bien droit et plat, attendant de nouveaux ordres. Thaïs s’approche de la table roulante, attendant que le Walter lui dise précisément ce qu’elle doit faire et à quel endroit elle doit servir le repas car elle n’aperçoit aucune table de libre à portée.
- Et alors, la petite bonniche, tu fais quoi ? Tu comptes me servir mon repas dans combien d’années ! Peut-être que tu étais habituée dans ta société à ce que l’on vienne te porter le café directement à ton bureau, mais fini ces manières-là ! Ici, tu n’es plus rien plus qu’une esclave-soumise qui est juste là pour exécuter les ordres. Dépêche-toi, si tu ne veux pas que je sorte ma cravache.
- Pardonnez-moi, Monsieur Walter. Pourriez-vous me dire où je dois déposer votre plateau repas et ce que vous désirez de plus ?
- C’est bien ce que je pensais, tu es bonne à rien finalement ! Ouvre les yeux, ne vois-tu pas que tu as là sous les yeux un dos bien assez gros et costaud pour me servir de table basse.
La soumise attrape alors le plateau qu’elle dépose le plus précautionneusement sur le dos d’e6942 MDE qui ne bouge pas d’un millimètre, qui est courbé, croupe tourné vers le fauteuil à la vue de Walter qui sent déjà l’excitation le gagner de voir ce cul ouvert et pendant entre les cuisses deux couilles lourdes et pleines qui ne pourront une fois de plus pas se vider car la queue rabougrie de l’esclave est et restera encagée et cadenassée… Thaïs attrape le verre et la carafe de vin rouge, se penchant en direction de Walter, pour savoir si elle doit lui servir à boire. Elle voudrait tant pouvoir se désaltérer car elle a la bouche si sèche. Elle a bien aperçu les gamelles d’eau et de soupe qu’elle voudrait pouvoir laper sans attendre, mais elle sait qu’elle doit attendre la permission et ne pas réclamer avant. bien droite, tête baissée, les mains croisées dans le dos, Thaïs reste à côté attendant que Walter termine son repas pour débarrasser ou pour être à disposition pour remplir un verre vide par exemple ou tout autre service qu’il exigerait. Elle ressent la fatigue qui manque parfois de la faire vaciller, car elle tient à peine sur ses jambes, surtout que la faim et surtout la soif la tenaillent, mais en même temps, elle se sent elle-même excitée de voir la position indécente de l’esclave dont la croupe ouverte fait le spectacle du Majordome, qui n’hésite pas de temps en temps entre deux bouchées de passer ses larges mains sur les fesses et sur le sexe de celui qui lui sert de table. Walter ayant terminé son repas, il fait signe à Thaïs qu’elle peut tout ranger sur la table roulante et lui demande de s’asseoir sur le fauteuil qu’il vient juste de positionner cette fois juste en face de la tête du chien e6942. Puis il lui attrape les cuisses pour les relever de chaque côté des accoudoirs de manière à ce que ses fesses soient justes posées au bord du fauteuil, collant le museau du chien esclave mâle dont il relève la tête entre les lèvres intimes de la chienne déjà bien poisseuses. Walter dégrafe la ceinture de son pantalon, se positionne juste derrière la croupe du chien e6942 MDE lui faisant sentir sa queue dure, déjà si excitée à l’idée de pouvoir sodomiser celui qui n’attend que cela depuis plusieurs minutes.
- Lèche-là pendant que je t’encule, espèce de chien en chaleur ! Je veux voir si ta langue peut servir à la faire frémir une fois de plus. Et tâche si elle coule de boire à la source, pas question de salir mon fauteuil.
Walter pousse un grand coup sec pour entrer sa queue jusqu’à ce que ses couilles butent dans les fesses de l’esclave sodomisé. Il fait de longs va et vient, puissants et profonds, poussant chaque fois e6942 MDE qui enfonce encore plus la tête et la langue dans le sexe béant de Thaïs qui vient de fermer les yeux, emportée une fois de plus par le plaisir. Les coups de butoir du domestique deviennent de plus en plus sauvages, puissants, d’un rythme qui s’accélère. Pendant de longues minutes, il laboure le cul sans vergogne qui s’offre sans retenue, alors que l’esclave mâle enculé prend un vrai plaisir charnel à pouvoir lécher la chienne et sa mouille aux odeurs corporelles si excitantes et enivrantes, pour celui qui sait qu’il ne pourra pas jouir plus et dont la queue ne peut pas grossir bloquée par la cage de chasteté qui le comprime. Au bout d’un long moment de copulation anale c’est dans un vrai râle de mâle, lourd et puissant, que l’imposant Majordome se répand entre les fesses de l’esclave poussant encore un dernier coup pour se vider jusqu’au bout avant de se retirer et de se lever sans attendre plus en exigeant expressément :
- Toi la chienne, voilà de quoi lécher à ton tour le trou du cul de ce chien encagé, tu verras tu trouveras bien de quoi te désaltérer et tâche de ne pas laisser tomber une goutte de ma semence sur le parquet… Quand tout sera nettoyé et remis en place, je vous donne l’autorisation de manger vos écuelles à quatre pattes comme le chien et la chienne que vous êtes. Et tâchez de ne pas traîner, je pars prendre une douche, je ne veux plus rien voir quand je vais sortir de la salle de bains. …. e6942 MDE, tu ramèneras le plateau roulant en cuisine, veille à tout ranger là-bas. Et si Marie n’a rien de plus à te faire faire, tu pourras rejoindre ta niche. Tu as déjà tes consignes pour demain matin….
Tandis que e6942 MDE se fait nettoyer le cul à coups de langue de Thaïs qui lape consciencieusement et en silence l’anus offert, l’esclave mâle oscille de la tête pour dire oui, mais comme il aperçoit la main de Walter qui s’approche de lui, il dépose son front sur la main tendue en signe de profonds remerciements, d’humilité et de respect pour celui qu’il a fini par apprendre à apprécier malgré les manières parfois dures et perverses du Majordome qui prend son rôle très à cœur, et qui reste avant tout un serviteur loyal du Marquis d’Evans…. Le domestique se dirige vers la salle de bains pour se laver ne prêtant plus la moindre attention à Thaïs qui s’exécute toujours en léchant l’anus, rempli de sperme, de celui qui le matin l’avait déjà léché dans son intimité profonde. Ce n’est qu’ensuite et avec grand plaisir qu’à bout de forces, elle se met à laper la gamelle pleine d’eau pour se désaltérer, et se décide malgré tout de manger jusqu’au bout la soupe toute froide qui remplit son écuelle, bien que la fatigue soit plus grande que sa faim. Le chien esclave a quitté la pièce, emportant avec lui les restes du repas et les gamelles vides. Thaïs est restée seule, épuisée, sans bouger, elle n’espère plus rien après cette première journée au Château qu’elle n’est pas prête d’oublier… Walter sort de la salle de bains pour aller se coucher et s’approchant de Thaïs, dont il relève le menton, il ajoute :
- Je pense que tu as bien mérité de dormir un peu maintenant. Regarde, au pied de mon lit, il y a un grand panier à chiens. J’ai gardé cette place pour toi pour cette nuit. J’espère que tu apprécies cet honneur. Va vite te coucher, mais avant n’oublie pas de me remercier toi aussi.
- Merci, Monsieur Walter, merci de m’apprendre à bien me comporter, oui encore merci.
Et Thaïs s’endort en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire.
(A suivre…)
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