L'histoire vraie de Christine au hammam
Récit érotique écrit par Ttox [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-05-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'histoire vraie de Christine au hammam
Mon histoire avec Butterfly est en elle-même un souvenir merveilleux, empli de moments coquins, de découvertes, de jeux, de nouveautés. Le récit de nos multiples aventures prendrait probablement des heures. Un roman complet. Lorsque j'y repense, de nombreuses images magnifiques, envoutantes, me reviennent en tête… Des moments que j'aurai probablement le désir de vous raconter plus tard. Pourtant, c'est cette matinée particulière qui me revient, un des premiers instants de nos découvertes.
Butterfly et moi nous fréquentions depuis quelques semaines déjà, et nous avions commencé notre relation sur les chapeaux de roues, par quelques étreintes en plein air, et d'autres jeux intimes particulièrement savoureux. J'étais moi-même à cette époque très curieux de lieux libertins. Tout naturellement, je lui avais proposé de m'accompagner "aux bains", un sauna libertin connu sur Toulouse. L'idée lui plaisait.
Pourtant, elle désirait faire durer l'attente, et peut-être aborder ce nouveau tournant en douceur.
C'est donc elle qui décida d'organiser entièrement cette matinée, et qui m'emporta vers un horizon nouveau. Equipée d'un petit sac entouré de mystère, elle me conduisit vers un autre endroit toulousain encore plus connu, équipé lui aussi de bains à bulles, d'un hammam, d'un sauna... Mixte lui aussi, mais beaucoup plus sage, car il fallait s'y munir d'un maillot de bain.
Nous nous dirigeâmes sagement vers une cabine pour nous changer. Bien sur, ce premier moment de déshabillage commun m'échauffa… Elle avait un corps magnifique, à la fois fin et souple, de jolies cuisses fuselées, qui me mettaient immédiatement en transes.
Elle avait déjà à ce moment opté pour une épilation complète, qui faisait ressortir superbement un clitoris qu'elle avait particulièrement appétissant, et qui pointait entre ses lèvres. Lorsque l'excitation le gonflait, je ne pouvais me lasser de le contempler, le titiller, le sucer, le lécher... A vrai dire, la vue de sa jolie petite chatte me rendait complètement dingue de désir, et lorsqu'elle fut déshabillée, je ne pus m'empêcher de laisser mes mains s'évader sur sa peau, et l'embrasser fougueusement. J'étais dressé, et mon gland caressait le bas de son ventre, glissait jusqu'à ses lèvres avec impatience. Butterfly sourit, joua quelques minutes avec mon désir, et me repoussa gentiment. On avait tout le temps…
Je sortis vêtu du maillot, un peu inquiet de cette bosse rechignant à retomber. Nous nous sommes rapidement dirigés vers le très grand bassin à bulles. Il était assez peu occupé ce jour là. Quelques hommes et femmes se délassaient tranquillement, le corps plongé dans l'eau chaude et bouillonnante, et la tête offerte au ciel bleu et au soleil. Nous nous sommes pour notre part un peu isolés, en choisissant un coin où les bulles foisonnaient.
Nous y sommes restés longtemps, face à face, à discuter avec un sourire complice. Les bulles nous délassaient en douceur, pendant que nos doigts profitaient de la discrétion relative qu’offrait le bouillonnement. Mes mains ont commencé par caresser sagement son ventre, doucement, puis l’attirer à moi avec une grande tendresse… Je l’explorais, tranquillement, au milieu de regards incapables de déceler la vérité de nos gestes. Mes mains se posaient sur ses hanches, remontaient vers sa poitrine pour glisser vers ses tétons à travers le fin tissu... redescendaient vers ses fesses, ses cuisses. Effleuraient son entrejambe pour saluer ce petit renflement qui me plaisait tant… Apres un long moment, j’avais une envie terrible de me serrer contre sa peau, et de l’embrasser avec fougue. Mais nous devions garder une certaine tenue. Ne pas afficher ouvertement la vraie teneur de nos activités. Mes doigts se sont enhardis, ont commencé à se glisser sous le tissu, vérifiant au passage à quel point ses tétons étaient durs. Son clitoris gonflé et accueillant… Mes doigts ont continué à titiller ce petit bouton avec une extrême douceur, pendant un très long moment. Savoir que des yeux se posaient sur elle alors que des vagues de plaisir la parcouraient était d’une douceur exquise… La voir fermer les yeux parfois, ou entendre sa voix vaciller alors qu’elle tentait de soutenir la conversation pour donner le change faisait monter mon désir en flèche. Je rêvais de la voir jouir là, sous mes yeux et ceux d’inconnus innocents de notre petit jeu.
Puis nous avons décidé de prolonger nos jeux un peu plus loin, et de profiter au maximum de ce que l’endroit pouvait nous offrir. Nous nous sommes dirigés vers le hammam. Un groupe de femmes discutait discrètement au milieu des brumes, assises face à la porte. Nous nous sommes assis très sagement, profitant de cette sensation de chaleur. Butterfly m’a alors confié qu’il y avait un second hammam, plus chaud, plus embrumé, derrière ce premier. Il suffisait de pousser la porte que l’on distinguait au fond. Espérant y trouver un peu de solitude, nous y sommes entrés.
Cette deuxième salle était effectivement vide, mais aussi très chargée de brouillard.
On ne distinguait en fait pas ce qui se passait de l’autre côté de la pièce, et nous avons du en faire le tour pour bien nous assurer que nous étions seuls. Nous nous sommes ensuite assis au hasard, face à la porte d’entrée. Butterfly s’est adossée à moi, et j’ai posé ma main sur son ventre. Nous prenions notre temps, respirions le bonheur de l’instant.
Il n’a pas fallu plus de deux minutes pour qu’un homme entre. J’avoue que mes fantasmes me poussaient à espérer un beau brun, sensuel, qui aurait stimulé l’imagination de Butterfly, et rendu l’instant extrêmement troublant. Malheureusement la chance favorise rarement les fantasmes… L’homme était relativement âgé et un peu dégarni. Pas du tout du gout de ma superbe complice, ni du mien d’ailleurs. J’étais du coup un peu déçu de sa présence, et beaucoup moins excité. Il s’est assis à côté de moi, à l’opposé de Butterfly. Sans un mot. Puis nous n’avons plus bougé.
C’est alors que je me suis rendu compte que la position de Butterfly, appuyée sur moi, dos à moi, et donc à l’intrus, me permettait de laisser ma main exprimer ses talents en toute discrétion. Ma main a commencé à glisser lentement sous l’élastique. Mes doigts ont atteint son trésor de douceur, et je me suis senti rempli d’une tension nouvelle. Elle ne bougeait pas, moi non plus. Nous retenions nos respirations. Mon majeur a commencé à stimuler le renflement. Son clitoris était gonflé comme jamais.
Ses lèvres très ouvertes. Mon doigt trempé allait et venait avec précaution et légèreté entre les deux. Ses cuisses se sont écartées, et j’ai entendu son souffle devenir plus profond. L’homme était à quelques centimètres, et entendait tout. Il n’osait pas tourner la tête vers nous, tout comme je n’osais pas le regarder. Mais je sentais qu’il épiait les moindres bruits. Les glissements de mon doigt dans la fente faisaient d’ailleurs parfois ce petit bruit mouillé, caractéristique.
Je l’ai caressée une éternité, toujours avec régularité, lenteur, maintenant un pression légère, puis de plus en plus insistante. L’homme est resté, toujours tendu, à l’affût. Je sais que malgré tous nos efforts, il avait deviné ce qui se passait.
Butterfly, elle aussi, était de plus en plus tendue. Son souffle était maintenant à la fois bruyant, presque sifflant, à la limite du gémissement. Son ventre se contractait de plus en plus profondément dans un désir sans cesse réprimé d’ondulation. Encore quelques instants, je savais que sa jouissance allait venir.
Elle s’est contractée une dernière fois, beaucoup plus fort. Sa gorge a laissé passer un minuscule « a ». Mon doigt est resté sur son clitoris, et elle a fermé les cuisses très fort, en tremblant. Puis après quelques dizaines de secondes, j’ai senti son corps se relâcher. Nos respirations se sont à nouveau calmées. Quelques minutes encore, et l’homme s’est levé comme il était venu. Sans un regard, comme en ignorant notre présence. Je n’ai pas regardé son maillot. Mais je suis certain qu’il bandait, il n’en était pas possible autrement. Butterfly et moi nous sommes embrassés follement, remplis d’euphorie. Nous avons encore attendu quelques minutes, puis nous sommes sortis prendre une douche fraiche qui à vrai dire m’était particulièrement nécessaire.
Nous étions seuls sous cette douche commune, à l’extérieur du hammam, et jouions à nous provoquer mutuellement. Butterfly me confia qu’il lui manquait quelque chose.
Quelque chose de chaud et dur en elle. Pour ma part, je ne demandais qu’à le lui offrir... Face à la douche, une autre porte entrouverte donnait sur un autre hammam, à l’arrêt celui-ci. Il était vide, bien sur, dans une atmosphère claire. Une pièce vide, simplement, décorée sur tous ses murs de faïences bleues et blanches. Cet autre hammam était conçu sur le même principe que le premier : une première pièce, donnant sur une seconde, un peu plus exigüe, par une porte en verre dépoli.
Nous nous sommes engouffrés dans cette seconde pièce, avons fermé la porte, et nos maillots ont disparu en un instant. Je me suis collé à elle, enfin heureux de sentir ses seins contre moi, et sa fente attirer comme une ventouse mon sexe dressé.
Rapidement, je l’ai retournée, et prise par les hanches, et je l’ai pénétrée. J’étais excité comme un fou, elle aussi. Elle a appuyé ses mains sur le mur en face, et m’a offert sa chatte en se cambrant lascivement. Cette fois, nous ne nous sommes pas retenus de faire du bruit. Je suis allé et venu en elle de plus en plus fort, et de plus en plus profondément. A chaque coup, je gémissais, et l’entendais m’accompagner, et me demander de la pénétrer encore plus loin, encore plus fort. Nous avons joui avec une rapidité étonnante, quelques dizaines de secondes, probablement. Elle s’est retournée, et nous nous sommes serrés l’un contre l’autre, encore nus… puis nous sommes dépêchés de nous rhabiller et de sortir, de peur que nos cris n’aient attiré le personnel du lieu.
Personne ne nous a croisés, personne ne nous a fait de remarques. Nous avons continué notre matinée tranquillement, un sourire coquin aux lèvres, par un passage au sauna, puis à nouveau dans le bain à bulles.
Vers midi, nous sommes sortis, la tête dans les nuages. Dans la cabine, Butterfly n’a pas remis ses sous-vêtements, et est sortie avec cette jolie jupe qui lui descendait à mi-cuisses. J’ai fait de même, sous mon pantalon en toile fine.
Elle avait apporté un pic-nic, et nous nous sommes installés à une centaine de mètres, face à l’entrée, sur la pelouse, sous un arbre un peu frêle.
Butterfly avait fait les choses magnifiquement. Elle avait préparé du champagne, un peu de foie gras, quelques tomates-cerises, des fraises… Nous avons fait ce petit pic-nic sous le soleil, échangeant nos impressions sur ces moments superbes que nous venions de vivre. Sur l’énorme excitation que cela nous avait procuré. Pendant notre conversation, je ne manquais pas de guetter toute vision possible sur sa jolie chatte, qui selon les positions qu’elle prenait, assise par terre, s’ouvrait et se refermait hypnotiquement. Je bandais moi-même comme un fou. La vision de la bosse à travers le fin tissu de mon pantalon électrisait Butterfly.
Lorsque nous avons eu fini la bouteille de champagne, et que nous entamions les fraises, elle n’y tint plus. Elle ouvrit les boutons du pantalon, sortit ma queue, et commença à me sucer. Je fus un peu déstabilisé. Nous étions en pleine vue, à seulement une petite centaine de mètres du parking. N’importe qui pouvait passer et nous surprendre. Mais le désir avait pris le pas sur sa raison. Très vite, elle passa une jambe de chaque côté de mon bassin, et s’accroupit, m’offrant une vue superbe sur son sexe. Une vue que sincèrement je n’oublierai jamais. Elle engouffra ma queue en elle, et se mit à aller et venir, sur toute la longueur, d’abord lentement, avec sur son visage une expression de ravissement qu’elle ne portait que quand nous faisions l’amour. Elle s’empalait ensuite avec force pour revenir à des mouvements doux et contrôlés, chaque fois qu’elle décelait sur mon visage les signes de la jouissance.
A un moment un couple est passé, mais n’a pas tourné la tête.
Cela a duré plus longtemps que dans le hammam. Butterfly était une experte pour faire durer ces instants, et me porter vers des orgasmes fous.
Cet instant s’est terminé comme toujours, par une explosion commune, d’une intensité rare.
C’est un moment superbe que je n’oublierai pas…
Butterfly et moi nous fréquentions depuis quelques semaines déjà, et nous avions commencé notre relation sur les chapeaux de roues, par quelques étreintes en plein air, et d'autres jeux intimes particulièrement savoureux. J'étais moi-même à cette époque très curieux de lieux libertins. Tout naturellement, je lui avais proposé de m'accompagner "aux bains", un sauna libertin connu sur Toulouse. L'idée lui plaisait.
Pourtant, elle désirait faire durer l'attente, et peut-être aborder ce nouveau tournant en douceur.
C'est donc elle qui décida d'organiser entièrement cette matinée, et qui m'emporta vers un horizon nouveau. Equipée d'un petit sac entouré de mystère, elle me conduisit vers un autre endroit toulousain encore plus connu, équipé lui aussi de bains à bulles, d'un hammam, d'un sauna... Mixte lui aussi, mais beaucoup plus sage, car il fallait s'y munir d'un maillot de bain.
Nous nous dirigeâmes sagement vers une cabine pour nous changer. Bien sur, ce premier moment de déshabillage commun m'échauffa… Elle avait un corps magnifique, à la fois fin et souple, de jolies cuisses fuselées, qui me mettaient immédiatement en transes.
Elle avait déjà à ce moment opté pour une épilation complète, qui faisait ressortir superbement un clitoris qu'elle avait particulièrement appétissant, et qui pointait entre ses lèvres. Lorsque l'excitation le gonflait, je ne pouvais me lasser de le contempler, le titiller, le sucer, le lécher... A vrai dire, la vue de sa jolie petite chatte me rendait complètement dingue de désir, et lorsqu'elle fut déshabillée, je ne pus m'empêcher de laisser mes mains s'évader sur sa peau, et l'embrasser fougueusement. J'étais dressé, et mon gland caressait le bas de son ventre, glissait jusqu'à ses lèvres avec impatience. Butterfly sourit, joua quelques minutes avec mon désir, et me repoussa gentiment. On avait tout le temps…
Je sortis vêtu du maillot, un peu inquiet de cette bosse rechignant à retomber. Nous nous sommes rapidement dirigés vers le très grand bassin à bulles. Il était assez peu occupé ce jour là. Quelques hommes et femmes se délassaient tranquillement, le corps plongé dans l'eau chaude et bouillonnante, et la tête offerte au ciel bleu et au soleil. Nous nous sommes pour notre part un peu isolés, en choisissant un coin où les bulles foisonnaient.
Nous y sommes restés longtemps, face à face, à discuter avec un sourire complice. Les bulles nous délassaient en douceur, pendant que nos doigts profitaient de la discrétion relative qu’offrait le bouillonnement. Mes mains ont commencé par caresser sagement son ventre, doucement, puis l’attirer à moi avec une grande tendresse… Je l’explorais, tranquillement, au milieu de regards incapables de déceler la vérité de nos gestes. Mes mains se posaient sur ses hanches, remontaient vers sa poitrine pour glisser vers ses tétons à travers le fin tissu... redescendaient vers ses fesses, ses cuisses. Effleuraient son entrejambe pour saluer ce petit renflement qui me plaisait tant… Apres un long moment, j’avais une envie terrible de me serrer contre sa peau, et de l’embrasser avec fougue. Mais nous devions garder une certaine tenue. Ne pas afficher ouvertement la vraie teneur de nos activités. Mes doigts se sont enhardis, ont commencé à se glisser sous le tissu, vérifiant au passage à quel point ses tétons étaient durs. Son clitoris gonflé et accueillant… Mes doigts ont continué à titiller ce petit bouton avec une extrême douceur, pendant un très long moment. Savoir que des yeux se posaient sur elle alors que des vagues de plaisir la parcouraient était d’une douceur exquise… La voir fermer les yeux parfois, ou entendre sa voix vaciller alors qu’elle tentait de soutenir la conversation pour donner le change faisait monter mon désir en flèche. Je rêvais de la voir jouir là, sous mes yeux et ceux d’inconnus innocents de notre petit jeu.
Puis nous avons décidé de prolonger nos jeux un peu plus loin, et de profiter au maximum de ce que l’endroit pouvait nous offrir. Nous nous sommes dirigés vers le hammam. Un groupe de femmes discutait discrètement au milieu des brumes, assises face à la porte. Nous nous sommes assis très sagement, profitant de cette sensation de chaleur. Butterfly m’a alors confié qu’il y avait un second hammam, plus chaud, plus embrumé, derrière ce premier. Il suffisait de pousser la porte que l’on distinguait au fond. Espérant y trouver un peu de solitude, nous y sommes entrés.
Cette deuxième salle était effectivement vide, mais aussi très chargée de brouillard.
On ne distinguait en fait pas ce qui se passait de l’autre côté de la pièce, et nous avons du en faire le tour pour bien nous assurer que nous étions seuls. Nous nous sommes ensuite assis au hasard, face à la porte d’entrée. Butterfly s’est adossée à moi, et j’ai posé ma main sur son ventre. Nous prenions notre temps, respirions le bonheur de l’instant.
Il n’a pas fallu plus de deux minutes pour qu’un homme entre. J’avoue que mes fantasmes me poussaient à espérer un beau brun, sensuel, qui aurait stimulé l’imagination de Butterfly, et rendu l’instant extrêmement troublant. Malheureusement la chance favorise rarement les fantasmes… L’homme était relativement âgé et un peu dégarni. Pas du tout du gout de ma superbe complice, ni du mien d’ailleurs. J’étais du coup un peu déçu de sa présence, et beaucoup moins excité. Il s’est assis à côté de moi, à l’opposé de Butterfly. Sans un mot. Puis nous n’avons plus bougé.
C’est alors que je me suis rendu compte que la position de Butterfly, appuyée sur moi, dos à moi, et donc à l’intrus, me permettait de laisser ma main exprimer ses talents en toute discrétion. Ma main a commencé à glisser lentement sous l’élastique. Mes doigts ont atteint son trésor de douceur, et je me suis senti rempli d’une tension nouvelle. Elle ne bougeait pas, moi non plus. Nous retenions nos respirations. Mon majeur a commencé à stimuler le renflement. Son clitoris était gonflé comme jamais.
Ses lèvres très ouvertes. Mon doigt trempé allait et venait avec précaution et légèreté entre les deux. Ses cuisses se sont écartées, et j’ai entendu son souffle devenir plus profond. L’homme était à quelques centimètres, et entendait tout. Il n’osait pas tourner la tête vers nous, tout comme je n’osais pas le regarder. Mais je sentais qu’il épiait les moindres bruits. Les glissements de mon doigt dans la fente faisaient d’ailleurs parfois ce petit bruit mouillé, caractéristique.
Je l’ai caressée une éternité, toujours avec régularité, lenteur, maintenant un pression légère, puis de plus en plus insistante. L’homme est resté, toujours tendu, à l’affût. Je sais que malgré tous nos efforts, il avait deviné ce qui se passait.
Butterfly, elle aussi, était de plus en plus tendue. Son souffle était maintenant à la fois bruyant, presque sifflant, à la limite du gémissement. Son ventre se contractait de plus en plus profondément dans un désir sans cesse réprimé d’ondulation. Encore quelques instants, je savais que sa jouissance allait venir.
Elle s’est contractée une dernière fois, beaucoup plus fort. Sa gorge a laissé passer un minuscule « a ». Mon doigt est resté sur son clitoris, et elle a fermé les cuisses très fort, en tremblant. Puis après quelques dizaines de secondes, j’ai senti son corps se relâcher. Nos respirations se sont à nouveau calmées. Quelques minutes encore, et l’homme s’est levé comme il était venu. Sans un regard, comme en ignorant notre présence. Je n’ai pas regardé son maillot. Mais je suis certain qu’il bandait, il n’en était pas possible autrement. Butterfly et moi nous sommes embrassés follement, remplis d’euphorie. Nous avons encore attendu quelques minutes, puis nous sommes sortis prendre une douche fraiche qui à vrai dire m’était particulièrement nécessaire.
Nous étions seuls sous cette douche commune, à l’extérieur du hammam, et jouions à nous provoquer mutuellement. Butterfly me confia qu’il lui manquait quelque chose.
Quelque chose de chaud et dur en elle. Pour ma part, je ne demandais qu’à le lui offrir... Face à la douche, une autre porte entrouverte donnait sur un autre hammam, à l’arrêt celui-ci. Il était vide, bien sur, dans une atmosphère claire. Une pièce vide, simplement, décorée sur tous ses murs de faïences bleues et blanches. Cet autre hammam était conçu sur le même principe que le premier : une première pièce, donnant sur une seconde, un peu plus exigüe, par une porte en verre dépoli.
Nous nous sommes engouffrés dans cette seconde pièce, avons fermé la porte, et nos maillots ont disparu en un instant. Je me suis collé à elle, enfin heureux de sentir ses seins contre moi, et sa fente attirer comme une ventouse mon sexe dressé.
Rapidement, je l’ai retournée, et prise par les hanches, et je l’ai pénétrée. J’étais excité comme un fou, elle aussi. Elle a appuyé ses mains sur le mur en face, et m’a offert sa chatte en se cambrant lascivement. Cette fois, nous ne nous sommes pas retenus de faire du bruit. Je suis allé et venu en elle de plus en plus fort, et de plus en plus profondément. A chaque coup, je gémissais, et l’entendais m’accompagner, et me demander de la pénétrer encore plus loin, encore plus fort. Nous avons joui avec une rapidité étonnante, quelques dizaines de secondes, probablement. Elle s’est retournée, et nous nous sommes serrés l’un contre l’autre, encore nus… puis nous sommes dépêchés de nous rhabiller et de sortir, de peur que nos cris n’aient attiré le personnel du lieu.
Personne ne nous a croisés, personne ne nous a fait de remarques. Nous avons continué notre matinée tranquillement, un sourire coquin aux lèvres, par un passage au sauna, puis à nouveau dans le bain à bulles.
Vers midi, nous sommes sortis, la tête dans les nuages. Dans la cabine, Butterfly n’a pas remis ses sous-vêtements, et est sortie avec cette jolie jupe qui lui descendait à mi-cuisses. J’ai fait de même, sous mon pantalon en toile fine.
Elle avait apporté un pic-nic, et nous nous sommes installés à une centaine de mètres, face à l’entrée, sur la pelouse, sous un arbre un peu frêle.
Butterfly avait fait les choses magnifiquement. Elle avait préparé du champagne, un peu de foie gras, quelques tomates-cerises, des fraises… Nous avons fait ce petit pic-nic sous le soleil, échangeant nos impressions sur ces moments superbes que nous venions de vivre. Sur l’énorme excitation que cela nous avait procuré. Pendant notre conversation, je ne manquais pas de guetter toute vision possible sur sa jolie chatte, qui selon les positions qu’elle prenait, assise par terre, s’ouvrait et se refermait hypnotiquement. Je bandais moi-même comme un fou. La vision de la bosse à travers le fin tissu de mon pantalon électrisait Butterfly.
Lorsque nous avons eu fini la bouteille de champagne, et que nous entamions les fraises, elle n’y tint plus. Elle ouvrit les boutons du pantalon, sortit ma queue, et commença à me sucer. Je fus un peu déstabilisé. Nous étions en pleine vue, à seulement une petite centaine de mètres du parking. N’importe qui pouvait passer et nous surprendre. Mais le désir avait pris le pas sur sa raison. Très vite, elle passa une jambe de chaque côté de mon bassin, et s’accroupit, m’offrant une vue superbe sur son sexe. Une vue que sincèrement je n’oublierai jamais. Elle engouffra ma queue en elle, et se mit à aller et venir, sur toute la longueur, d’abord lentement, avec sur son visage une expression de ravissement qu’elle ne portait que quand nous faisions l’amour. Elle s’empalait ensuite avec force pour revenir à des mouvements doux et contrôlés, chaque fois qu’elle décelait sur mon visage les signes de la jouissance.
A un moment un couple est passé, mais n’a pas tourné la tête.
Cela a duré plus longtemps que dans le hammam. Butterfly était une experte pour faire durer ces instants, et me porter vers des orgasmes fous.
Cet instant s’est terminé comme toujours, par une explosion commune, d’une intensité rare.
C’est un moment superbe que je n’oublierai pas…
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