L'Homme la Femme L'autre
Récit érotique écrit par Philippe chaumont [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-08-2012 dans la catégorie A dormir debout
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L'Homme la Femme L'autre
L’ETRE D’INTERROGATION
J’ai 65 ans, ma femme 47, je fais partie de ceux dont la femme est devenue réticente
du pieu, les serrées de la chatte et fermées du cul, celles qui sucent pas et qui ont
l’anus hostile à toute intrusion, je fais partie des sinistrés de la baise, ceux qui
après les feux de l’amour du début en sont à la Bérézina, l’apocalypse zobique, ceux
qui n’ont plus que leur main pour se soulager......
Pourtant, quand on s’est rencontré, quelle gourmande, plusieurs fois par jour elle
réclamait son orgasme, elle jouissait sans pudeur, le quartier savait , à moins d’être
sourd complet, que madame prenait son pied, on allait régulièrement dans le petit
bois, où pour la première fois je l’avais baisée, dans ma voiture, lui montrant
seulement après sa jouissance, les voyeurs qui mataient; bon, ça lui avait pas plu,
elle avait fait la gueule, mais j’avais su lui expliquer que c’était une immense
preuve d’amour que de s’exhiber et une plus grande encore que de se faire caresser et
prendre devant son Homme. J’avais même ajouté que si elle me donnait cette sublime
preuve d’Amour je l’épouserai.
Elle se fit chatte et câline, envolé le dépit, elle venait au bois, sans culotte et
sans soutien gorge pour aller plus vite. A!u début je la faisais “que” branler par les
voyeurs, puis un jour après qu’elle eut joui, je lui ai demandé de sucer son
bienfaiteur pour le remercier,quel pied de la voir avec cette bite en bouche, dès
qu’elle commençât à se faire lécher, j’allais à la Mairie pour la publication de ban,
on préparait le mariage , le menu, j’achetais un plaid qu’elle put s’allonger sans
être importunée par les herbes et les petites bêtes, afin qu’elle put s’allonger, nue,
et être prise à la chaîne,je restais près d’elle, l’encourageant: ”dépêches toi
chérie, y’en a encore sept qui attendent” Le plus grand nombre d’hommes qu’elle
soulageât en une fois fut de dix sept
le jour du mariage arrivât, quelle fête!
En plein milieu de la nuit, avant de nous retrouver à l’hôtel, je l’emmenais près de
la place dauphine dans le quartier des branleurs, où elle suçât, dans sa robe de
mariée
les hommes qui étaient là, qui s’épandirent dans sa bouche, sur son visage, son
décolleté et sa robe, nous finîmes au bois ou elle fut baisée par des noirs qui
attendaient de vicieuses femelles.
Exténué je nous ramenais à l’hôtel, après une bonne douche, je m’ endormis sur le
champs.
nous partîmes en voyage de noce, un séjour à Carthage, où chaque soir nous convions
dans notre suite quelques beaux tunisiens désireux de l’honorer devant moi.
Pendant notre voyage de noce elle fût baisée par soixante hommes différents.
Alors pourquoi, brutalement, plus rien: la grève totale du cul, le soir elle me tourne
le dos et s’endort, si j’ai le malheur de mettre ma main sur sa chatte, elle se
rebiffe “arrêtes tes cochonneries” même si je lui présente “Popaul” au garde vous
elle s’en bat l’ œil,
Geneviève est devenue ingrate, je me demande bien pourquoi.........
L’ETRE D’AMOUR
Geneviève est allongée nue sur le lit conjugal, Benjamin son tendre et jeune amour,est
lové contre elle, à échanger milles petits baisers taquins, Geneviève caresse la verge
qui a donné, il y a peu, le sperme dont une partie macule encore sa toison, le vit se
redresse avec l’insolente fierté de sa jeunesse, déjà prêt à décharger son foutre
chaud , Geneviève se penche vers la bite de son protégé et l’aspire goulûment,
Benjamin se met tête bêche et de sa langue titille le clitoris encore englué de sa
mûre amante.
Geneviève, bien qu’il ne soit pas séant de parler la bouche pleine, supplie son chéri
de lui jouir dans la bouche, celui-ci ne se fait pas prier deux fois et lâche de longs
jets épais et onctueux dans la gorge de sa Dulcinée, qui elle même jouit sous les
coups de langue
habiles de son partenaire.
Geneviève et Benjamin reprennent la position cote à cote, échangent un long baiser ou
les langues se mêlent, mélangeant à leur tour le fruit des jouissances.
“Comme je t’aime “ susurre Geneviève à l’oreille de son tendre ami, nanti d’un fort
esprit de réparti, il réplique “moi aussi ”...la serviette de bain sur laquelle leurs
corps sont allongés, pour protéger les draps, est trempée,ils ruissellent de la sueur
produite par leurs longs coït, geneviève se redresse indiquant qu’elle va se doucher,
et qu’elle apportera un gant humide pour nettoyer la bite de “benja” allez on se
connaît assez pour s’accorder sur ce diminutif, elle lui amène un sexe, pardon un
Schweppes “What did you expect?” et part langoureusement vers la salle de bain faisant
dodeliner son petit cul rond sous le regard attentif de “Ben” soyons fou, c’est plus
sympa que Benja non?t
tandis que Geneviève sous sa douche roucoule, “Ben” sommes toutes très indiscret ouvre
les tiroirs des tables de nuit, dans celui de sa maîtresse, il découvre plusieurs
godemichets de couleurs et tailles différentes, une revue échangiste, passant au
tiroir de l’autre table de nuit, il extrait un cadre photo numérique qu’il allume sans
aucune autorisation verbale ni écrite, et la! il voit en diaporama défilées des photos
de son aînée aimée nue dans différents lieux occupée à soulager par tous ses trous à
bites des hommes dont on comprenait qu’elle ne les connaissait pas quelques minutes
auparavant, “Ben” se dépêche de copier sur son téléphone portable ces images qui
l’excitent profondément, et remet tout en place..... juste à l’instant ( ouf on a eu
chaud) ou Geneviève revient, elle a le gant de toilette à la main et “ben “ lui a la
queue en l’air,
“hummm tu es encore tout excité mon chéri... c’est moi qui te met dans cet état,”
minaude t-elle? elle passe le gant frais et humide sur le gland et la hampe et les
testicules du jeune homme, qui ingénument lui demande “ton mari, il te baise plus?”
“pourquoi tu me demandes ça,? non j’ai plus envie quand je vois sa queue de vieux ça
me dit rien j’aime les queues bien raides comme la tienne mon ange, capable de durcir
vite et de donner plusieurs fois... avant , si tu l’avais connu avant! une queue de
béton
capable de m’envoyer au ciel 4 fois de suite sans répit, maintenant il lui faut des
revues, des webcam, des sites, des fois il débande aussitôt qu’il vient de bander....”
“tu sais ce que j’aimerai, murmure “Ben” tout en caressant l’entrejambe de Geneviève,
qui déjà s’humecte de cette indécente caresse, il attend qu’elle soit plus excitée
encore avant d’ajouter, j’aimerai te voir baiser devant moi par mes copains?...”
un long silence s’établit, geneviève s’imagine, elle femme bientôt quinquagénaire,
entourée de jeunes hommes fervents admirateurs de ses charmes bandants durs rien que
pour elle.... elle sourit à Ben,” prends moi mon amour, je vais penser que tes copains
s’occupent de moi en même temps”
Ben en la baisant songe que c’est une sacrée salope, et que si elle est encore bien
foutue, comment sera t elle quand elle aura l’ âge de son mari?
geneviève sest empalée sur la queue de “Ben” elle est assise sur lui, il contemple ses
seins lourds qui sautent au gré des mouvements de son bassin avec lequel elle le
branle, il revoit dans sa tête toutes les photos de sa maîtresse baisée par tant
d’hommes, il se redresse “donne moi ton cul salope”, Geneviève sans réticence lui
présente son anus que Ben prend à sec s’étonnant qu’elle fut si large de cet endroit,
il ne put s’empêcher de lui demander depuis combien de temps elle se faisait enculer
et si elle y avait reçu beaucoup de bites . elle répondit seulement à la première
partie de la question.
Ben éprouvât beaucoup de compassion pour son mari.
L’ETRE DE SUBSTITUTION
Ben, dès qu’il eut quitté le domicile de Geneviève et de son mari, rejoint son studio,
sitôt arrivé, il se mit à poil sur son lit et son portable en main fit défiler les
photos pornographiques de geneviève , prise par son propre époux, entrain de prendre
son pied avec des cohortes de bites offertes à ses orifices gourmands; sa verge se
redressât à nouveau, il se masturbât sur ses images qu’il faisait défiler en
diaporama.
Plus tard, il transféra ses photos sur son PC, et après qu’il eut dîné, s’installât
devant l’écran de son ordi. par l’intermédiaire de sa hotmail, il se connectât sur un
site de tchatche, sélectionnât les tchatcheurs de sa région, et sous son pseudo “James
les filles” indiquât qu’il montrait des photos de sa maîtresse.
un message s’insrivit: HMUR: bjr tu montres des photos de ton amie, nue,
James: oui et sans rien cacher...lol
HMUR: elle est cochonne?
James: oui très, une vraie chienne... tu as msn?
HMUR: oui homvice@hotmail.com et toi
James: je t’invite et je te montre
HMUR Ok j attends
l’écran de dial privé s’affiche, la conversation s’engage, et HMUR demande a voir les
photos de la gourgandine... James commence à afficher une photo
Naturellement vous vous en doutez, car vous êtes perspicace, HMUR n’est autre que le
mari de Geneviève, et si la probabilité de ce hasard est faible elle n’en est pas
moins possible.
HMUR est étonné de voir sa propre épouse, les photos qu’il a lui même prises pendant
que sa femme l’était par d’autres, sur le net, il se demande comment elles sont
arrivées là?
HMUR à James:”tu sais cette meuf je la connais, je l’ai baisée dans un sex-shop, son
mari et elle étaient dans une cabine vidéo, ils avaient laissé la porte ouverte, je me
suis fait sucer, la pute elle aime ca ...et toi tu la baises devant son mec?”
James: non je la baise chez eux en son absence.
HMUR: avec d’autres?
James: non pas encore
HMUR: alors c’est elle qui t’a filé les photos?
James: ( il se sent un peu coincé) non non je les ai trouvé dans la table de nuit...
HMUR: elle le sait?
James: (de plus en plus mal à l’aise......) non
HMUR: en fait je suis le mari de Geneviève, je vais brancher la webcam, tu vas me
montrer ta tronche, tu sais que je suis pas jaloux, les photos que tu as sous les yeux
en sont la preuve et je vais te montrer la chambre où tu la baises.
Ils échangèrent longtemps.....
Le Mardi suivant Ben vint voir Geneviève, quand ils se furent bien caressés, et que
Geneviève fut terriblement excité, Ben murmurât à son oreille qu’un copain à lui
attendait dans le hall de l’immeuble pour la prendre.... Geneviève rit, acceptât, Ben
lui mit un foulard sur les yeux, partit chercher son complice, quand ils revinrent
elle minaudât montrât ses appâts,, ben lui glissât son vit dans sa bouche, tandis que
le comparse la prit en levrette.... Geneviève quittât le sexe de ben pour s’esclaffer
“ il est drôlement monté ton copain!”
Ben pensât “tout n’est qu’illusion” quant à l’autre , il se dit en lui même: “ c’est
quand même malheureux de se déguiser en copain pour baiser sa femme”
J’ai 65 ans, ma femme 47, je fais partie de ceux dont la femme est devenue réticente
du pieu, les serrées de la chatte et fermées du cul, celles qui sucent pas et qui ont
l’anus hostile à toute intrusion, je fais partie des sinistrés de la baise, ceux qui
après les feux de l’amour du début en sont à la Bérézina, l’apocalypse zobique, ceux
qui n’ont plus que leur main pour se soulager......
Pourtant, quand on s’est rencontré, quelle gourmande, plusieurs fois par jour elle
réclamait son orgasme, elle jouissait sans pudeur, le quartier savait , à moins d’être
sourd complet, que madame prenait son pied, on allait régulièrement dans le petit
bois, où pour la première fois je l’avais baisée, dans ma voiture, lui montrant
seulement après sa jouissance, les voyeurs qui mataient; bon, ça lui avait pas plu,
elle avait fait la gueule, mais j’avais su lui expliquer que c’était une immense
preuve d’amour que de s’exhiber et une plus grande encore que de se faire caresser et
prendre devant son Homme. J’avais même ajouté que si elle me donnait cette sublime
preuve d’Amour je l’épouserai.
Elle se fit chatte et câline, envolé le dépit, elle venait au bois, sans culotte et
sans soutien gorge pour aller plus vite. A!u début je la faisais “que” branler par les
voyeurs, puis un jour après qu’elle eut joui, je lui ai demandé de sucer son
bienfaiteur pour le remercier,quel pied de la voir avec cette bite en bouche, dès
qu’elle commençât à se faire lécher, j’allais à la Mairie pour la publication de ban,
on préparait le mariage , le menu, j’achetais un plaid qu’elle put s’allonger sans
être importunée par les herbes et les petites bêtes, afin qu’elle put s’allonger, nue,
et être prise à la chaîne,je restais près d’elle, l’encourageant: ”dépêches toi
chérie, y’en a encore sept qui attendent” Le plus grand nombre d’hommes qu’elle
soulageât en une fois fut de dix sept
le jour du mariage arrivât, quelle fête!
En plein milieu de la nuit, avant de nous retrouver à l’hôtel, je l’emmenais près de
la place dauphine dans le quartier des branleurs, où elle suçât, dans sa robe de
mariée
les hommes qui étaient là, qui s’épandirent dans sa bouche, sur son visage, son
décolleté et sa robe, nous finîmes au bois ou elle fut baisée par des noirs qui
attendaient de vicieuses femelles.
Exténué je nous ramenais à l’hôtel, après une bonne douche, je m’ endormis sur le
champs.
nous partîmes en voyage de noce, un séjour à Carthage, où chaque soir nous convions
dans notre suite quelques beaux tunisiens désireux de l’honorer devant moi.
Pendant notre voyage de noce elle fût baisée par soixante hommes différents.
Alors pourquoi, brutalement, plus rien: la grève totale du cul, le soir elle me tourne
le dos et s’endort, si j’ai le malheur de mettre ma main sur sa chatte, elle se
rebiffe “arrêtes tes cochonneries” même si je lui présente “Popaul” au garde vous
elle s’en bat l’ œil,
Geneviève est devenue ingrate, je me demande bien pourquoi.........
L’ETRE D’AMOUR
Geneviève est allongée nue sur le lit conjugal, Benjamin son tendre et jeune amour,est
lové contre elle, à échanger milles petits baisers taquins, Geneviève caresse la verge
qui a donné, il y a peu, le sperme dont une partie macule encore sa toison, le vit se
redresse avec l’insolente fierté de sa jeunesse, déjà prêt à décharger son foutre
chaud , Geneviève se penche vers la bite de son protégé et l’aspire goulûment,
Benjamin se met tête bêche et de sa langue titille le clitoris encore englué de sa
mûre amante.
Geneviève, bien qu’il ne soit pas séant de parler la bouche pleine, supplie son chéri
de lui jouir dans la bouche, celui-ci ne se fait pas prier deux fois et lâche de longs
jets épais et onctueux dans la gorge de sa Dulcinée, qui elle même jouit sous les
coups de langue
habiles de son partenaire.
Geneviève et Benjamin reprennent la position cote à cote, échangent un long baiser ou
les langues se mêlent, mélangeant à leur tour le fruit des jouissances.
“Comme je t’aime “ susurre Geneviève à l’oreille de son tendre ami, nanti d’un fort
esprit de réparti, il réplique “moi aussi ”...la serviette de bain sur laquelle leurs
corps sont allongés, pour protéger les draps, est trempée,ils ruissellent de la sueur
produite par leurs longs coït, geneviève se redresse indiquant qu’elle va se doucher,
et qu’elle apportera un gant humide pour nettoyer la bite de “benja” allez on se
connaît assez pour s’accorder sur ce diminutif, elle lui amène un sexe, pardon un
Schweppes “What did you expect?” et part langoureusement vers la salle de bain faisant
dodeliner son petit cul rond sous le regard attentif de “Ben” soyons fou, c’est plus
sympa que Benja non?t
tandis que Geneviève sous sa douche roucoule, “Ben” sommes toutes très indiscret ouvre
les tiroirs des tables de nuit, dans celui de sa maîtresse, il découvre plusieurs
godemichets de couleurs et tailles différentes, une revue échangiste, passant au
tiroir de l’autre table de nuit, il extrait un cadre photo numérique qu’il allume sans
aucune autorisation verbale ni écrite, et la! il voit en diaporama défilées des photos
de son aînée aimée nue dans différents lieux occupée à soulager par tous ses trous à
bites des hommes dont on comprenait qu’elle ne les connaissait pas quelques minutes
auparavant, “Ben” se dépêche de copier sur son téléphone portable ces images qui
l’excitent profondément, et remet tout en place..... juste à l’instant ( ouf on a eu
chaud) ou Geneviève revient, elle a le gant de toilette à la main et “ben “ lui a la
queue en l’air,
“hummm tu es encore tout excité mon chéri... c’est moi qui te met dans cet état,”
minaude t-elle? elle passe le gant frais et humide sur le gland et la hampe et les
testicules du jeune homme, qui ingénument lui demande “ton mari, il te baise plus?”
“pourquoi tu me demandes ça,? non j’ai plus envie quand je vois sa queue de vieux ça
me dit rien j’aime les queues bien raides comme la tienne mon ange, capable de durcir
vite et de donner plusieurs fois... avant , si tu l’avais connu avant! une queue de
béton
capable de m’envoyer au ciel 4 fois de suite sans répit, maintenant il lui faut des
revues, des webcam, des sites, des fois il débande aussitôt qu’il vient de bander....”
“tu sais ce que j’aimerai, murmure “Ben” tout en caressant l’entrejambe de Geneviève,
qui déjà s’humecte de cette indécente caresse, il attend qu’elle soit plus excitée
encore avant d’ajouter, j’aimerai te voir baiser devant moi par mes copains?...”
un long silence s’établit, geneviève s’imagine, elle femme bientôt quinquagénaire,
entourée de jeunes hommes fervents admirateurs de ses charmes bandants durs rien que
pour elle.... elle sourit à Ben,” prends moi mon amour, je vais penser que tes copains
s’occupent de moi en même temps”
Ben en la baisant songe que c’est une sacrée salope, et que si elle est encore bien
foutue, comment sera t elle quand elle aura l’ âge de son mari?
geneviève sest empalée sur la queue de “Ben” elle est assise sur lui, il contemple ses
seins lourds qui sautent au gré des mouvements de son bassin avec lequel elle le
branle, il revoit dans sa tête toutes les photos de sa maîtresse baisée par tant
d’hommes, il se redresse “donne moi ton cul salope”, Geneviève sans réticence lui
présente son anus que Ben prend à sec s’étonnant qu’elle fut si large de cet endroit,
il ne put s’empêcher de lui demander depuis combien de temps elle se faisait enculer
et si elle y avait reçu beaucoup de bites . elle répondit seulement à la première
partie de la question.
Ben éprouvât beaucoup de compassion pour son mari.
L’ETRE DE SUBSTITUTION
Ben, dès qu’il eut quitté le domicile de Geneviève et de son mari, rejoint son studio,
sitôt arrivé, il se mit à poil sur son lit et son portable en main fit défiler les
photos pornographiques de geneviève , prise par son propre époux, entrain de prendre
son pied avec des cohortes de bites offertes à ses orifices gourmands; sa verge se
redressât à nouveau, il se masturbât sur ses images qu’il faisait défiler en
diaporama.
Plus tard, il transféra ses photos sur son PC, et après qu’il eut dîné, s’installât
devant l’écran de son ordi. par l’intermédiaire de sa hotmail, il se connectât sur un
site de tchatche, sélectionnât les tchatcheurs de sa région, et sous son pseudo “James
les filles” indiquât qu’il montrait des photos de sa maîtresse.
un message s’insrivit: HMUR: bjr tu montres des photos de ton amie, nue,
James: oui et sans rien cacher...lol
HMUR: elle est cochonne?
James: oui très, une vraie chienne... tu as msn?
HMUR: oui homvice@hotmail.com et toi
James: je t’invite et je te montre
HMUR Ok j attends
l’écran de dial privé s’affiche, la conversation s’engage, et HMUR demande a voir les
photos de la gourgandine... James commence à afficher une photo
Naturellement vous vous en doutez, car vous êtes perspicace, HMUR n’est autre que le
mari de Geneviève, et si la probabilité de ce hasard est faible elle n’en est pas
moins possible.
HMUR est étonné de voir sa propre épouse, les photos qu’il a lui même prises pendant
que sa femme l’était par d’autres, sur le net, il se demande comment elles sont
arrivées là?
HMUR à James:”tu sais cette meuf je la connais, je l’ai baisée dans un sex-shop, son
mari et elle étaient dans une cabine vidéo, ils avaient laissé la porte ouverte, je me
suis fait sucer, la pute elle aime ca ...et toi tu la baises devant son mec?”
James: non je la baise chez eux en son absence.
HMUR: avec d’autres?
James: non pas encore
HMUR: alors c’est elle qui t’a filé les photos?
James: ( il se sent un peu coincé) non non je les ai trouvé dans la table de nuit...
HMUR: elle le sait?
James: (de plus en plus mal à l’aise......) non
HMUR: en fait je suis le mari de Geneviève, je vais brancher la webcam, tu vas me
montrer ta tronche, tu sais que je suis pas jaloux, les photos que tu as sous les yeux
en sont la preuve et je vais te montrer la chambre où tu la baises.
Ils échangèrent longtemps.....
Le Mardi suivant Ben vint voir Geneviève, quand ils se furent bien caressés, et que
Geneviève fut terriblement excité, Ben murmurât à son oreille qu’un copain à lui
attendait dans le hall de l’immeuble pour la prendre.... Geneviève rit, acceptât, Ben
lui mit un foulard sur les yeux, partit chercher son complice, quand ils revinrent
elle minaudât montrât ses appâts,, ben lui glissât son vit dans sa bouche, tandis que
le comparse la prit en levrette.... Geneviève quittât le sexe de ben pour s’esclaffer
“ il est drôlement monté ton copain!”
Ben pensât “tout n’est qu’illusion” quant à l’autre , il se dit en lui même: “ c’est
quand même malheureux de se déguiser en copain pour baiser sa femme”
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