L'homme nerveux du Sex-Shop, la deuxième rencontre.
Récit érotique écrit par Plaisir39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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L'homme nerveux du Sex-Shop, la deuxième rencontre.
Les plaisanteries graveleuses fusaient, mes deux amis se charriaient, me faisant rire aux éclats.
Nous étions à la terrasse d'un bar du centre ville en début d'après-midi, j'appréciais le moment qui nous unissait.
Je regardais les passants défiler devant nous, puis en détournant le regard, je vois passer l'homme nerveux qui m'a baisé au Sexshop près de mon travail.
Il m'a tout de suite vu et sait que je l'ai reconnu.
Je blêmis un peu, et me remets à écouter les blagues de mes amis, pendant que je le devine en train de s'éloigner.
J'ai plus de mal à rire aux moqueries sur les homosexuels d'un ami, je cache ma gêne, malgré tout sans problème.
Quelques minutes plus tard, l'homme réapparait et reste immobile au coin de la rue, faisant mine de regarder une vitrine.
Il se risque à passer une main sur son sexe en me regardant.
Peu à peu, le désir me gagne, voyant qu'il attend visiblement que je le rejoigne, je résiste quelques minutes, puis annonce:"Bon, les gars, je vous laisse!".
"Allez! Tu t'en vas? reste encore!".
"Je peux pas, j'ai des trucs à faire à l'appart! à plus!".
Je prends la direction de mon appartement, pour ne pas éveiller les soupçons en passant devant l'homme qui me suit.
Une fois éloignés, il me demande, si on peut allez chez moi.
"Non, ma femme y est, impossible!".
"C'est pas grave, on va se débrouiller, suis-moi!".
Il se dirige vers une rue étroite en scrutant les entrées, puis, voyant une femme sortir d'un vieil immeuble, assez chic, il se jette sur la porte, avant qu'elle ne se ferme.
Je le rejoint en disant:"T'es fou, on va se faire prendre!".
"Non, on va monter tout en haut, viens!".
Nous montons les cinq étages, sans bruits ni paroles, et arrivons au niveau des greniers, l'endroit est calme et désert.
J'aime l'odeur d'ancien qui s'y répand, l'homme m'attire dans un coin reculé et dégrafe son pantalon qui tombe a ses pieds.
Je m'amuse de sa nervosité intérieurement, mais sais qu'il m'excite réellement.
Je me baisse pour envelopper de ma bouche, sa grosse queue, que j'ai du mal à engloutir. Il murmure:"Mmmmmm, c'est bon, tu me donne trop envie, dés que je t'ai reconnu, j'ai eu envie de te baiser encore, salope!".
"Moi aussi, j'ai aimé comment tu m'as baisé la dernière fois, au Sexshop".
J' avoue que la taille de sa queue ne m'aide pas à lui faire une fellation normale, mais je le laisse par moment me baiser la bouche violemment, ce qui me fait beaucoup saliver sur ses couilles.
"Lèves toi, je vais te baiser salope! Allez enlève tout ça!".
Je me libère de mon Jeans, et une fois les fesses nues, il me plaque au mur, pour pointer son gros pieu contre mon anus.
"Doucement, tu vas me faire mal, attends!".
Je mouille ma main en récupérant de la salive sur ses testicules pour l'étaler sur son sexe et m'humidifier l'anus.
Il reviens à la charge, et pousse fort contre mon œillet.
"Ohh, tu es gros, pas si vite!".
Je crache sur mes doigts pour ajouter de la salive à l'entrée de mon cul, tout en travaillant mon muscle anal, il recommence sa conquête et sent que son gland me pénètre peu à peu.
"Humm, ça va rentrer, t'inquiètes pas, je vois pas pourquoi, on pourrait pas recommencer!".
Un bruit de porte et de clés retentit, des voix résonnent, apparemment une famille qui quitte l'immeuble.
L'homme continue sa pénétration, qui me fait gémir, tant il m'écartèle l'anus.
Il me bâillonne avec sa main, tout en s'enfonçant centimètre par centimètre.
La famille est encore dans l'escalier, quand il atteint le fond de mon cul et commence à me bourrer l'anus sauvagement.
Sa main m'empêche de faire entendre mes hurlements de plaisir étouffés.
"Chuuuuut salope! on va t'entendre!".
Il recule en m'attirant vers lui, pour me plier en levrette et me coincer dans le coin du mur.
Il sort de mon cul pour frotter sa bite sur mes fesses.
J'apprécie, parce que ça me permet de souffler un peu, cela donne aussi à mon anus, le temps de se détendre encore plus.
Il reprends possession de mon cul, d'un coup profond, et recommence une défonce anale frénétique.
Au bout de plusieurs minutes de cet assaut, je jouis en me pâmant et me mordant la main pour étouffer mes râles.
"Humm, ça y est! Tu mouilles encore sur ma bite, salope! J'adore ça!".
Il s'amuse à présent en me pénétrant par séries de baise anales énergiques, ponctuées chacune par une sortie puis retour avec élan dans mon cul.
A nouveau, des bruits résonnent, il ralenti son rythme en me serrant contre lui et me bâillonnant de sa main.
Il s'enfonce en moi par à-coups lents et profond. Je gémis dans ses doigts.
"Chutt salope!".
Il est indéniable qu'il aime ce jeu et s'amuse à me faire râler de plaisir en s'enfonçant en moi et utilise ma peur d'être vu.
La personne s'éloigne et il accélère ses mouvements comme s'il voulait qu'elle nous entende.
Il me libère de sa main, enfin.
"Pffffffff, ahhhhhhhhhh, je jouis, ahhhhh!".
"T'aimes ça salope, hein tu l'aimes ma queue!".
"Oui, elle est géniale, tu t'en sers bien, ahhhhhhh".
"T'as bien joui du cul là, pas vrai salope!".
"Ouiiiiiii".
"Bon, je vais t'enculer encore et je vais jouir moi aussi! Viens par là".
il m'attire au dessus de la rampe, qui me donne une vue sur les escaliers, mais qui laisse aussi la possibilité de me voir empalé sur une grosse bite.
Il se déchaine en moi, qui m'appuie sur la rampe, le bruit de sa queue contre mon cul trempé résonne dans la cage d'escalier.
Il me lance des insultes en m'enculant puissamment.
Je suis pris encore d'un orgasme anal intense, mon plaisir l'excite et il me prévient de son éjaculation montante.
A ce moment, une personne entre dans l'immeuble.
Je recule en m'empalant encore sur sa bite, pour nous cacher des regards, pendant qu'il explose dans mon cul alors que mon orgasme dure et ne retombe que lorsque ses mouvements ralentissent.
Les pas se rapprochent dans l'escalier.
"Ahhhhhhhh, c'est bon, j'aime t'enculer salope!".
Je lui murmure:"Chut, y a quelqu'un!".
"J'ai bien joui, c'était bon, t'as peur qu'on sache que t'es une vrai salope! C'est ça!".
Tout en continuant de me baiser le cul lentement.
Je ne lui réponds pas, mais il n'as pas tort.
Il se cale dans le coin du couloir et chuchote:"Viens me laver la bite comme l'autre fois!".
Les bruits de clés et de porte qui se ferme me rassurent.
Je ne lui refuse pas le plaisir partagé d'une fellation après éjaculation, pendant cela, il ajoute:"J'ai encore adoré te baiser! On devrait se voir plus souvent, au moins, avant que je parte!".
"Ou tu vas?".
"A Paris, j'étais ici pour le boulot, mais ma mission se termine dans moins de 6 mois".
Décidément, c'est pas de chance, j'aurais aimé avoir une liaison suivie avec lui, déçu, je lui demande:"OK, mais on se contacte comment?".
Il me laisse son numéro de téléphone.
"Merci, bon, on va en profiter alors!".
"Humm, quand tu veux, si tu m'appelles, je me libère dans l'heure! Demain matin, si tu veux, je serai dans le coin, tu connais un endroit?".
"On trouvera bien! J'y réfléchi déjà! On se retrouve dans cette rue! OK?".
Je reprends ma caresse buccale, et lui rends son sexe reluisant après un long nettoyage qui se rapproche fortement d'une fellation reconnaissante.
Nous remettons nos vêtements en place, et descendons les escaliers ensemble, puis nous nous séparons en passant la porte chacun de notre coté.
Le lendemain matin, il est au RDV, j'avais pris la précaution d'emporter une dose de gel que j'avais subtilisée au Sexshop.
Je lui propose de nous rendre en bord de mer, sur une crique peu fréquentée, il m'enculera entre deux gros rochers sous le regard d'un pêcheur curieux sur son bateau, mais trop loin pour distinguer nos visages.
Puis dérangés, nous finiront nos ébats dans un talus parsemé d'arbustes.
La suite sera pour une autre fois.
Nous étions à la terrasse d'un bar du centre ville en début d'après-midi, j'appréciais le moment qui nous unissait.
Je regardais les passants défiler devant nous, puis en détournant le regard, je vois passer l'homme nerveux qui m'a baisé au Sexshop près de mon travail.
Il m'a tout de suite vu et sait que je l'ai reconnu.
Je blêmis un peu, et me remets à écouter les blagues de mes amis, pendant que je le devine en train de s'éloigner.
J'ai plus de mal à rire aux moqueries sur les homosexuels d'un ami, je cache ma gêne, malgré tout sans problème.
Quelques minutes plus tard, l'homme réapparait et reste immobile au coin de la rue, faisant mine de regarder une vitrine.
Il se risque à passer une main sur son sexe en me regardant.
Peu à peu, le désir me gagne, voyant qu'il attend visiblement que je le rejoigne, je résiste quelques minutes, puis annonce:"Bon, les gars, je vous laisse!".
"Allez! Tu t'en vas? reste encore!".
"Je peux pas, j'ai des trucs à faire à l'appart! à plus!".
Je prends la direction de mon appartement, pour ne pas éveiller les soupçons en passant devant l'homme qui me suit.
Une fois éloignés, il me demande, si on peut allez chez moi.
"Non, ma femme y est, impossible!".
"C'est pas grave, on va se débrouiller, suis-moi!".
Il se dirige vers une rue étroite en scrutant les entrées, puis, voyant une femme sortir d'un vieil immeuble, assez chic, il se jette sur la porte, avant qu'elle ne se ferme.
Je le rejoint en disant:"T'es fou, on va se faire prendre!".
"Non, on va monter tout en haut, viens!".
Nous montons les cinq étages, sans bruits ni paroles, et arrivons au niveau des greniers, l'endroit est calme et désert.
J'aime l'odeur d'ancien qui s'y répand, l'homme m'attire dans un coin reculé et dégrafe son pantalon qui tombe a ses pieds.
Je m'amuse de sa nervosité intérieurement, mais sais qu'il m'excite réellement.
Je me baisse pour envelopper de ma bouche, sa grosse queue, que j'ai du mal à engloutir. Il murmure:"Mmmmmm, c'est bon, tu me donne trop envie, dés que je t'ai reconnu, j'ai eu envie de te baiser encore, salope!".
"Moi aussi, j'ai aimé comment tu m'as baisé la dernière fois, au Sexshop".
J' avoue que la taille de sa queue ne m'aide pas à lui faire une fellation normale, mais je le laisse par moment me baiser la bouche violemment, ce qui me fait beaucoup saliver sur ses couilles.
"Lèves toi, je vais te baiser salope! Allez enlève tout ça!".
Je me libère de mon Jeans, et une fois les fesses nues, il me plaque au mur, pour pointer son gros pieu contre mon anus.
"Doucement, tu vas me faire mal, attends!".
Je mouille ma main en récupérant de la salive sur ses testicules pour l'étaler sur son sexe et m'humidifier l'anus.
Il reviens à la charge, et pousse fort contre mon œillet.
"Ohh, tu es gros, pas si vite!".
Je crache sur mes doigts pour ajouter de la salive à l'entrée de mon cul, tout en travaillant mon muscle anal, il recommence sa conquête et sent que son gland me pénètre peu à peu.
"Humm, ça va rentrer, t'inquiètes pas, je vois pas pourquoi, on pourrait pas recommencer!".
Un bruit de porte et de clés retentit, des voix résonnent, apparemment une famille qui quitte l'immeuble.
L'homme continue sa pénétration, qui me fait gémir, tant il m'écartèle l'anus.
Il me bâillonne avec sa main, tout en s'enfonçant centimètre par centimètre.
La famille est encore dans l'escalier, quand il atteint le fond de mon cul et commence à me bourrer l'anus sauvagement.
Sa main m'empêche de faire entendre mes hurlements de plaisir étouffés.
"Chuuuuut salope! on va t'entendre!".
Il recule en m'attirant vers lui, pour me plier en levrette et me coincer dans le coin du mur.
Il sort de mon cul pour frotter sa bite sur mes fesses.
J'apprécie, parce que ça me permet de souffler un peu, cela donne aussi à mon anus, le temps de se détendre encore plus.
Il reprends possession de mon cul, d'un coup profond, et recommence une défonce anale frénétique.
Au bout de plusieurs minutes de cet assaut, je jouis en me pâmant et me mordant la main pour étouffer mes râles.
"Humm, ça y est! Tu mouilles encore sur ma bite, salope! J'adore ça!".
Il s'amuse à présent en me pénétrant par séries de baise anales énergiques, ponctuées chacune par une sortie puis retour avec élan dans mon cul.
A nouveau, des bruits résonnent, il ralenti son rythme en me serrant contre lui et me bâillonnant de sa main.
Il s'enfonce en moi par à-coups lents et profond. Je gémis dans ses doigts.
"Chutt salope!".
Il est indéniable qu'il aime ce jeu et s'amuse à me faire râler de plaisir en s'enfonçant en moi et utilise ma peur d'être vu.
La personne s'éloigne et il accélère ses mouvements comme s'il voulait qu'elle nous entende.
Il me libère de sa main, enfin.
"Pffffffff, ahhhhhhhhhh, je jouis, ahhhhh!".
"T'aimes ça salope, hein tu l'aimes ma queue!".
"Oui, elle est géniale, tu t'en sers bien, ahhhhhhh".
"T'as bien joui du cul là, pas vrai salope!".
"Ouiiiiiii".
"Bon, je vais t'enculer encore et je vais jouir moi aussi! Viens par là".
il m'attire au dessus de la rampe, qui me donne une vue sur les escaliers, mais qui laisse aussi la possibilité de me voir empalé sur une grosse bite.
Il se déchaine en moi, qui m'appuie sur la rampe, le bruit de sa queue contre mon cul trempé résonne dans la cage d'escalier.
Il me lance des insultes en m'enculant puissamment.
Je suis pris encore d'un orgasme anal intense, mon plaisir l'excite et il me prévient de son éjaculation montante.
A ce moment, une personne entre dans l'immeuble.
Je recule en m'empalant encore sur sa bite, pour nous cacher des regards, pendant qu'il explose dans mon cul alors que mon orgasme dure et ne retombe que lorsque ses mouvements ralentissent.
Les pas se rapprochent dans l'escalier.
"Ahhhhhhhh, c'est bon, j'aime t'enculer salope!".
Je lui murmure:"Chut, y a quelqu'un!".
"J'ai bien joui, c'était bon, t'as peur qu'on sache que t'es une vrai salope! C'est ça!".
Tout en continuant de me baiser le cul lentement.
Je ne lui réponds pas, mais il n'as pas tort.
Il se cale dans le coin du couloir et chuchote:"Viens me laver la bite comme l'autre fois!".
Les bruits de clés et de porte qui se ferme me rassurent.
Je ne lui refuse pas le plaisir partagé d'une fellation après éjaculation, pendant cela, il ajoute:"J'ai encore adoré te baiser! On devrait se voir plus souvent, au moins, avant que je parte!".
"Ou tu vas?".
"A Paris, j'étais ici pour le boulot, mais ma mission se termine dans moins de 6 mois".
Décidément, c'est pas de chance, j'aurais aimé avoir une liaison suivie avec lui, déçu, je lui demande:"OK, mais on se contacte comment?".
Il me laisse son numéro de téléphone.
"Merci, bon, on va en profiter alors!".
"Humm, quand tu veux, si tu m'appelles, je me libère dans l'heure! Demain matin, si tu veux, je serai dans le coin, tu connais un endroit?".
"On trouvera bien! J'y réfléchi déjà! On se retrouve dans cette rue! OK?".
Je reprends ma caresse buccale, et lui rends son sexe reluisant après un long nettoyage qui se rapproche fortement d'une fellation reconnaissante.
Nous remettons nos vêtements en place, et descendons les escaliers ensemble, puis nous nous séparons en passant la porte chacun de notre coté.
Le lendemain matin, il est au RDV, j'avais pris la précaution d'emporter une dose de gel que j'avais subtilisée au Sexshop.
Je lui propose de nous rendre en bord de mer, sur une crique peu fréquentée, il m'enculera entre deux gros rochers sous le regard d'un pêcheur curieux sur son bateau, mais trop loin pour distinguer nos visages.
Puis dérangés, nous finiront nos ébats dans un talus parsemé d'arbustes.
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