L'homme pressé. - histoire érotique

Encore une conséquence de mes escapades en lieux de rencontres !

Je passe la matinée à faire des courses.
Je remonte chez moi, puis ressort, j'ai oublié le pain !
Je prends une autre direction, évidement.

J'ai le temps, et je flâne un peu.
Mon regard s'arrête sur une vitrine de vêtements, mais rien ne m'enchante !
Je reprend mon chemin, puis, je devine qu'on me suit !

Un inconnu m'a pris en "chasse", c'est sûr !
Il se rapproche de plus en plus.
Je fais mine de l'ignorer, mais il sait que je l'ai vu !
En continuant de marcher dans la rue, je sens sa présence sur mon coté !
L'homme marche près de moi, et me sourit avec un regard vicieux.

Devant mon étonnement, il me dit:

"Tu me reconnais pas ? Tu devrais ! Avec ce que je t'ai fais !".
"Vous m'avez fait quoi ?".

"Ben, elle est bonne, celle-là ! Je t'ai mis ma grosse bite dans le cul ! Salope !".

Mon regard s'éclaire !

"Euh... désolé, je rencontre beaucoup de gens !".
"Bon, pas grave ! Il faisait nuit, ce soir là ! Y a moyen que je te baise, vite fait ? Comme ça, tu te rappelleras mieux de ma queue !".

"Je... Je m'y attendais pas ! Vous voulez faire ça où ? Et Comment ?".
"Ben, pas chez moi, il y a ma femme ! On peut aller dans un couloir, si on trouve une porte ouverte, ou alors chez toi, si t'as un appart ! Ce sera rapide, j'ai pas beaucoup de temps !".

"Euh... OK ! Mais je prend mon pain d'abord, et on va chez moi !".

Je vous explique pas ma gêne, de l'avoir à mes cotés, pendant que je faisais la queue pour ma baguette !

"Vous êtes ensemble ?". Lui demande une femme !
"Oui, c'est mon neveu ! Allez y Madame !".

Ah, l'excuse du neveu ! Qu'est-ce qu'elle est pratique !
Il y a des milliers d'oncles improvisés, qui ont du enculer des neveux imaginaires ! A mon avis !

Sur le retour, il me presse.

"C'est encore loin ? On a pas beaucoup de temps, et j'ai envie !".
"Désolé, c'est à 10 mn ! je pense !".

Il pousse quelques portes, dans une ruelle qui mène chez moi.
L'une d'elle s'ouvre !

"Viens ! Je vais t'baiser là !".
"Mais, on est en plein jour !".
"Et alors ! Viens ! Moi, ça m'excite !".

Je le suis.
L'immeuble ancien à l'air peu occupé, tant mieux !
On ne trouve pas d'autres alternatives, que de monter jusqu'aux greniers.

Il me serre très rapidement contre lui, en cherchant mes fesses avec ses mains.
Je caresse la bosse, que fait son sexe à travers son pantalon.
Son désir envers moi m'excite !

Je l'aide à me dénuder le bas du corps.
Je tente de le sucer un peu, j'adore le faire, avant de me donner à un homme !

"On a pas le temps ! Tournes toi ! Que je t'encule !".

Je me fais pivoter comme un pantin.
Il colle déjà son gros gland contre mon œillet anal.

"Attends ! Mouilles-moi un peu, quand même !".

Il me crache abondamment sur l'anus, trois fois !
Puis, il reprend sa pénétration.

Je dois l'aider, en ouvrant plusieurs fois mon sphincter !
Jusqu'à le sentir glisser lentement, en m'écartelant les parois anales, et toucher mon coccyx.

"Orghhhhhhh ! Putain, c'est direct ! Ourhhhh ! Encules-moi, encore ! Vas-y ! Fais-toi plaisir !".
"Orhhh ! Je vais pas me gêner, p'tite salope ! J'ai eu envie, dès que je t'ai reconnu ! Tu t'en souviens maintenant, de ma bite ?".

Je vais pas lui dire, que je me donne à beaucoup trop d'hommes, pour me souvenir de sa verge !
Donc, je lui ment !

"Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh ! Oui, continues ! Orghhhhhhh ! C'est bon !".

Pourtant, j'aurais du m'en souvenir ! Il me défonce bien, ce salaud !
Je lui révèle un premier orgasme anal, il se déchaine encore plus amplement.

Ma chatte commence à lui recouvrir abondamment la bite, de jus visqueux.
Je vis une deuxième montée de plaisir.

La situation m'excite.
Un homme m'encule avec vice, dans un vieil immeuble qui sent le vieux, et j'aime ça !

Nos pieds laissent des traces dans la poussière du sol, on devine ce qu'il s'y est passé !
Il se lâche verbalement, mais en prenant soin qu'on ne nous entende pas !

Je joui, en me faisant cogner le coccyx sans relâche !
Je commence à bander !

Mais, il ne tient plus, et se plante en moi, tout en me gardant enfoncé sur sa grosse verge.
Je prends toute son éjaculation dans l'anus.
Il me dit qu'il prend son pied !
"Encore meilleur que la première fois". D'après lui !

J'attends patiemment qu'il retire sa verge, avant de serrer mon anus et remonter mon slip !

Il fait tomber au sol, ses dernières gouttes de foutre, avant de couvrir sa bite.
On se rhabille, sans bruit.

"Hummm ! J'adore ta p'tite chatte ! J'aime les p'tits jeunes comme toi !".
"T'es marié ? Pourquoi, je te plais ? Ca me fait toujours bizarre, d'attirer les hommes ! Mais en même temps, c'est grâce à ça, que je me fais baiser ! Donc, tant mieux !".

"C'est différent, avec une femme ! Avec un mec, je me lâche beaucoup plus !".
"Bon, tant mieux alors ! Moi aussi, j'ai pris mon pied ! C'était court, mais très excitant ! Finalement, t'as eu raison de me baiser ici !".

Il a pris un autre chemin que moi, en sortant du vieil immeuble.
Je me suis débarrassé de son sperme, en arrivant chez moi, et avant la venue de ma copine, puis, on a fait l'amour comme des fous !

A partir de ce jour là, je le reconnaissais, quand on se croisait !
Il m'a rebaisé plusieurs fois, tant que la "nouveauté" a fait son effet !
Dont plusieurs fois dans cet immeuble !
Chez moi, aussi !

Je me suis un peu lassé, de son coté "toujours pressé" !
C'est bon, mais ça peut être frustrant, aussi !

Un jour, ce fut plus excitant encore !
Encore, un effet du hasard !

Je viens de payer le total de mon repas et celui de ma copine, à la cafétéria.
Je marche derrière elle, qui se dirige vers une table vide.
J'ai un effet de surprise, en reconnaissant mon baiseur, avec sa femme, que je découvre !
Ils sont juste à coté de notre table.

En m'asseyant, j'entends ma copine qui me dit:

"Si tu veux faire pipi, vas-y maintenant ! Il y a pas encore beaucoup de monde !".

Elle a raison, mais j'ai peur que mon amant occasionnel me suive !
Tans pis, j'ai trop besoin de vider ma vessie !

"Bon ! J'y vais !".

Je sais que le couvercle tient mon plat au chaud.
Aux toilettes, un homme se lave les mains.
Il sort, pendant que j'ouvre des quatre cabinets.
Mais mon amant surgit, et me pousse à l'intérieur.

"Non, pas ici ! S'il te plait !".
"Chhhht ! Arrêtes de perdre du temps ! Suces-moi !".

Je réalise ma chance.
Les cabinets sont discrets, sans ouvertures dans le bas !
C'est mieux pour baiser !

Il défait sa braguette, tout en me forçant, à me baisser devant sa queue.
Je me fais baiser la gorge, en contenant mon besoin d'uriner.
Malgré mon excitation, je dois lui dire !

"Mmmmmm ! Mmmmmm ! Mmmmm ! Laisses-moi pisser ! J'arrive plus à me retenir ! Mmmmm ! Mmmmm !...".

Il calme ses assauts buccaux.
Je me relève et me tourne, pour uriner, après avoir défait mon bouton de ceinture.
Il en profite pour me découvrir le cul !
Son gland cherche à me pénétrer !

"Arghhhh ! Non ! S'il te plait !".
"Chhht ! On ira plus vite comme ça ! Laisses-moi faire !".

Au fur et à mesure que je termine d'uriner dans le bidet, sa grosse verge s'insère dans ma chatte, plus profondément.

Je suis contraint de me baisser, pour m'appuyer contre le mur, en bouchant mes lèvres.
Il coulisse en moi comme un bourrin, je commence à sentir monter mon plaisir anal.

Il ne s'arrête même pas, lors de la venue d'autres hommes, près de notre cabinet, au contraire !
Il faut dire que le seul bruit qu'on entend, c'est celui de son ventre, qui claque contre mes fesses !
On étouffe nos râles !

Ensuite, il commence à grogner son plaisir.
Putain, il est pas discret !

Je l'accompagne avec mon bassin, en étant heureux, d'avoir eu le temps de prendre deux bons orgasmes, avant lui.
Je tire sur la chasse d'eau pour couvrir ses râles.
On ne sait jamais !

Je devine qu'il prend un pied énorme dans ma chatte poisseuse.
Il m'insémine profondément, comme souvent !

Un long silence, nous permet de reprendre nos esprits.
Il fait glisser sa grosse verge, hors de mon trou béant et plein de foutre.

"Putain, c'était trop bon, j'aime quand c'est chaud (dans le sens pervers) comme ça ! C'est bien pratique d'avoir une salope comme toi, sous la main !".
"Orhhh ! Putain, comment je vais faire, tu m'en a mis plein le cul ! Y a nos femmes qui nous attendent !".

On est coupés dans notre échange par une nouvelle venue.
Il se range la bite, et me laisse seul dans le cabinet, que je referme ensuite.

Je ne peux pas prendre le temps de me vider normalement !
Je laisse couler, sans pousser, ce qui tombe, de tout ce sperme dans ma chatte, puis m'essuie rapidement.

Je sors discrètement, l'endroit est vide, tant mieux !

En retournant, près de ma copine, j'entends celle de mon enculeur qui lui pose des questions.
J'y ai droit moi aussi !

"Ben, il y avait déjà du monde !".
"Manges vite ! Ca va être froid !".

Le couple est partit avant nous.
Quand à moi, j'ai du passer l'après midi, avec des restes de foutre dans l'anus.