L'hôtel 01 Bagage perdu
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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L'hôtel 01 Bagage perdu
L'hôtel 01Bagage perdu
Cette histoire se passe à cette époque trouble et intermédiaire. Jérémy Brosso gagnait des médailles, il se lançait aussi dans la promotion de ces dispositifs de chasteté. La moitié du monde allait bientôt le considérer comme un prophète de la bienséance, l'autre moitié comme un crétin.
C'est surtout dans un certains milieu chic et riche que ce dispositif s'imposait. À ce moment et pour quelques temps encore, c'était la marque des maîtres, des seigneurs et des décideurs.
Mike n'en faisait pas partie, pas encore. Son père était un cadre de ce qui allait devenir la société PK Compagnie sous l'influence de J Brosso. C'était un cadre haut gradé, un membre du conseil d'administration, et si chez l'homme de la rue il n'était pas possible de savoir quel pourcentage d'hommes portait un tel dispositif, chez les cadres de la futur PK tous en portaient déjà un.
A ce titre Mike en portait donc déjà un depuis maintenant deux ans, il en avait juste dix huit. Il n'avait posé aucune opposition, c'était volontairement qu'il l'avait mis. Aucune contrainte, son éducation l'avait préparé à cette situation, son petit frère ne cachait pas une certaine impatience de voir son tour arriver.
On était en période de vacances, et Mike venait avec plusieurs de ses camarades de classe passer une petite semaine dans ce très bel hôtel avec activités touristiques et sportives. C'était une récompense pour ses très bons résultats, ils venaient tous d'être reçu à leur examen de fin d'études secondaires, c'était la récompense offerte par son école pour les meilleurs.
La chambre était spacieuse, tout le confort moderne, télévision, internet, téléphone et un lit et je ne vous dis pas comment il était douillet le lit … Il y avait bien sûr une salle de bain par chambre et évidemment un service à la carte …
Ils venait tous d'arriver et chacun découvrait sa chambre. Mike décidait de prendre une douche pour se rafraîchir du voyage. Il ouvrait sa valise et là, il remarquait que ce n'était pas sa valise. Et comme il y avait des vêtements féminins dans cette valise il fallait se rendre à l'évidence, elle n'était à aucun de ses camarades.
Il était à poil au milieu de sa chambre, la serviette autour des hanches. On lui avait dit que dans ce genre d'hôtel il n'y avait jamais de problèmes, il n'y avait que des solutions. Il appelait donc l'accueil et expliquait sa situation avant de passer sous la douche.
Avec l'eau qui coulait il n'a pas entendu frapper à la porte de la chambre, il n'a pas entendu non plus frapper à la porte de la salle de bain et quand il s'est rendu compte de quelque chose il y avait un jeune homme, qui devait avoir le même âge que lui, qui le regardait.
Il se retournait et sursautait, il se retrouvait entièrement nu avec sa cage de chasteté devant cet inconnu, c'était l'employé de l'hôtel. Il semblait pétrifié le pauvre garçon d'étage. Le plus naturellement du monde Mike continuait à se rincer les cheveux.
– Vous êtes ? …– Gilles , Monsieur, on m'a demandé de venir voir ce qui se passe, on aurait perdu votre bagage Monsieur ?
Gilles semblait très mal à son aise. Il n'osait pas regarder le corps de son client mais il ne parvenait pas non plus à s'en empêcher. Le corps de Mike n'était pas seulement très bien proportionné, très beau, mais il y avait aussi ce dispositif sur sa queue. Dispositif qui ne laissait pas Gilles indifférent.
Il était troublé Gilles, il avait un mal fou à rester digne.
– Vous pourriez me passer la serviette ?
Gilles était vraiment troublé, Mike penchait sa tête en arrière et se rinçait le visage, ce n'est pas la serviette que Gilles tendait à Mike, il approchait la main, comme pour toucher le corps de son client, ses mouvements étaient lents, un peu comme au ralenti. Gilles approchait la main jusqu'à frôler le haut de la cuisse de Mike.
Mike s'en ai rendu compte et d'un geste incroyablement rapide il attrapait le poignet de Gilles et le regardant droit dans les yeux.
Et bien ! C'est moi qui t'attire ?
Gilles devenait tout rouge, il tentait de retirer sa main mais Mike la retenait avec force. Gilles confus, baissait la tête, il avait alors le dispositif de chasteté de Mike devant les yeux.
– Je suis confus Monsieur. Veillez m'excuser mais … Il manquait un peu d'air pour terminer sa phrase le pauvre Gilles.
Sans pitié, et avec une certaine taquinerie il posait la main de Gilles sur son dispositif de chasteté. Là Gilles ne tentait plus de retirer sa main.
– Tu vois, ça ne mord pas, c'est quelque chose de normal. Comme pour toi.
– Pas pour moi Monsieur, je n'en porte pas !
Mike jetais un œil rapide sur l'entre jambe de Gilles et pouvait en effet constater un bosse qui s'était formé. Il bandait l'animal, il bandait. C'est Mike qui s'est mis à bander à ce moment. C'était moins spectaculaire évidemment, mais sa cage à bite se relevait et se remplissait. Sa queue protestait et la peau ressortait par les ouvertures d'aération, elle formait comme des bourrelets, un peu comme un saucisson.
Gilles s'en amusait mais s'en inquiétait aussi. Surtout que lui bandait encore plus et comme il n'avait pas de sous vêtements, on ne voyait plus que ça. Ce n'était plus une bosse qui se formait mais un véritable saucisson qui apparaissait sur sa cuisse. Dans ce genre de situation, Gilles relevait sa queue à la verticale, contre son ventre et respirait bien fort. Mais comme je vous le disais, là, il manquait d'air …
Il refermait sa main sur la cage de Mike, puis sans même s'en rendre compte, comme en état second, il lui tâtait les couilles. Mike lui avait lâché la main mais Gilles ne la retirait pas.
Les deux jeunes hommes étaient très émus maintenant. Ils étaient très beaux, ils avait tous les deux un corps très élégant et musclé, un visage doux et ils avaient le même âge.
Gilles ne se retenait plus et tripotait les couilles du client. Mike ouvrait un à un les boutons de la veste de Gilles, c'était un vêtement entièrement fermé qui le mettait en valeur. Une rangée de Boutons partait de l'épaule droite et s'arrêtait au niveau de la ceinture sur le côté gauche.
Gilles n'avait pas de sous vêtements, sous sa veste, il était totalement imberbe, c'était fréquent chez ceux qui faisaient de la musculation et ils en faisaient tous les deux.
Mike glissait une main sur le torse de Gilles, il lui caressait le corps avec une très grande douceur. La main de Gilles remontait elle aussi, il caressait le corps de Mike. Les deux jeunes hommes se regardaient dans les yeux, ils ne se souvenaient plus du moment ou l'eau avait cessé de couler et c'est imperceptiblement que leur corps se rapprochaient, leurs visages aussi et leur lèvres se frôlaient, ensuite c'étaient leurs langues puis c'était l'étreinte.
Gilles était torse nue et Mike lui ouvrait son pantalon. Une très belle bite en sortait, elle avait toutes les qualités, large, longue et bien dure. Mike la regardait puis la caressait, ça faisait deux ans qu'il n'avait pas vu une bite sans une cage qui la confinait, ça faisait deux ans qu'il n'avait pas vu sa propre bite libre. Ça faisait deux ans qu'il n'avait pas pu se donner de vrais plaisirs. Deux ans c'est long quand on en a que dix huit.
A ce moment c'est Mike qui manquait d'air.
Il se mettait à genoux, terminait de retirer le pantalon de Gilles et avec des gestes lents, très lents, il caressait la queue de Gilles, passait sa langue sur son gland, salivait longuement pour pouvoir le caresser avec une douceur totale et le masturbait avec conviction et délicatesse.
Gilles était tétanisé, il se laissait faire. On ne l'avait jamais préparé à cette situation. Son cœur battait avec force, il allait exploser si ça continuait. Et ça continuait … et son cœur n'a pas explosé !
Il caressait la joue du client, puis les cheveux, puis il appuyait sur sa tête et enfonçait sa queue dans la bouche puis dans la gorge de Mike. Il était demandeur Mike, il était en manque. Il prenait rapidement la queue de Gilles avec une facilité qui le déconcertait lui même.
Elle entrait ressortait et ce devait être très agréable s'il fallait se fier aux gémissements de Gilles. Par moment il donnait des coups de bassin, il se retenait de moins en moins et les coups de queue dans la gorge de Mike devenait plus fort, plus violents. Mike était demandeur et continuait à en demander.
Quand Mike s'est relevé, Gilles tremblait de plaisir. Ils se sont pris dans les bras, ils se sont embrassé, caressé. L'un mordillait l'autre qui gémissait et l'autre encourageait le premier. Leurs baisers étaient chauds, ils avaient oublié ou ils étaient, ils avaient oublié que quelqu'un pouvait entrer. C'est vrai que l'eau ne coulait plus et que maintenant ils l'entendraient venir.
Gilles se mettait à genoux et s'amusait à lécher les couilles de Mike, il ne pouvait pas le sucer plus. Il était comme hypnotisé par ce dispositif.
–Tu ne portes pas de dispositif ? Demandait Mike entre deux gémissements.
– C'est la première fois que j'en vois un !
– Tu as déjà du en entendre parler ?
Là, Gilles ne répondait pas.
– Tu vas me prendre !
Gilles se relevait, Mike se retournait. C'était une première pour chacun des deux, mais aucun d'eux n'osait le dire ou le montrer. Mike n'avait plus seulement envie de sexe, il en avait besoin. Sa queue protestait tellement depuis un moment que ça devenait un vrai tourment, presque une torture. Il avait aussi la trouille. Son partenaire en avait une grosse, elle était également longue mais, il avait décidé que ça passerait.
Gilles prenait position juste derrière Mike. Dans sa tête il refaisait le film. Il fallait y aller avec douceur, il fallait bien lubrifier, dilater sa victime longuement avec les doigts, la détendre. Son cœur battait fort et il était sur le point de défaillir.
Il se lubrifiait, il lubrifiait longuement le cul de son partenaire puis prenait position et sans autre formalité poussait. Il poussait fort, sa queue est entrée. Mike à hurlé, il s'est cambré, il serrait les dents. Il s'accrochait au porte serviette et sa respiration est devenue un râle sourd et profond.
Gille poussait, s'enfonçait et ressortait, il n'y avait pour lui plus aucune retenue. Une fraction de seconde il s'est bien demandé s'il n'y allait pas un peu fort puis il a pensé à autre chose. Il n'était pas sûr d'ailleurs qu'il pensait à quelque chose. Vous savez certains mecs, dans une telle situation ne pensent plus. C'était peut être son cas.
Mike râlait fort quand il respirait. Il ne respirait pas toujours, il avait des apnées. Quand il ne respirait pas, il hurlait de toutes ses forces mais intérieurement. Pas un bruit ne sortait de sa bouche. Il faisait une grimace terrible, à faire peur. Gilles le prenait comme un encouragement.
Heureusement Gilles n'était pas le seul à ne plus penser. Mike pleurait, c'était trop, il avait mal mais il ne voulait pas le dire. On lui avait dit que quelquefois ça pouvait être violent et là il voyait à quel point. Sa queue se manifestait encore de temps en temps et il sentait un plaisir naître à cet endroit de son corps. Il avait l'impression de juter, d'éjaculer mais il savait que rien ne sortait, que rien ne fuitait.
Il chialait comme un gamin, les seules contractions qu'il avait, c'étaient les sanglots. Il chialait comme un gamin et Gilles lui limait le cul comme un acteur porno.
Cette situation à duré un moment, trop long peut être pour l'un, trop court peut être pour l'autre… pardon, c'est vrai que le second ne pensait plus depuis un moment lui. Mais quand le plaisir est monté il ne l'a pas retenu. Il s'est donné, il a donné quelques coups plus violents. Mike se laissait tomber sur le sol Gille le retenait puis se retirait. Il éjaculait alors sur le dos de Mike qui jutait lui aussi abondamment. Il n'éjaculait pas vraiment mais un flot de sperme coulait de sa cage.
C'étaient les deux années de retard sans doute. Deux années de plaisir nié.
Mike était à quatre patte au milieu de la salle de bain, Gilles se penchait pour aider son partenaire à se relever. Mike avait de la peine, ses jambes tremblaient. Il venait de jouir, il avait surtout souffert certes mais au tout dernier moment au milieu de la douleur qui pourtant était intense, il avait joui, juste au moment ou Gilles s'était retiré. Et cet orgasme, ce moment de plaisir avait également été intense, largement autant que la douleur qui avait précédé.
Il savait déjà qu'il recommencerait et ce même si ça devait faire aussi mal. Mais nous savons tous que si au début ça peut faire mal, avec le temps ça ne fait plus mal du tout !
Gilles prenait Mike dans ses bras et le réconfortait autant qu'il le retenait. Il actionnait la douche et les deux jeunes hommes continuaient à partager un moment de tendresse. Mike reprenait forme humaine, au début on voyait qu'il avait pleuré, après on ne voyait plus grand chose.
Gille se rhabillait, Mike s'allongeait sur le lit dans un peignoir.
– Alors on va faire quoi pour ma valise ?
– On va la rechercher. En attendant je vais trouver quelques vêtements convenables pour que vous puissiez descendre souper Monsieur …
Mike écoutait Gilles, le vouvoiement revenait et le Monsieur également.
– Si vous voulez bien attendre ici Monsieur, je me charge de tout.
Gilles récupérait la valise qui n'était pas à Mike puis allait se retourner pour sortir quand. D'un mouvement rapide il se penchait sur Mike lui donnait un baiser sur les lèvres.
– Je m'occupe de tout Monsieur.
Le soir Mike avait un costume trois pièces du meilleur goût pour se rendre à la salle à manger ...
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Cette histoire se passe à cette époque trouble et intermédiaire. Jérémy Brosso gagnait des médailles, il se lançait aussi dans la promotion de ces dispositifs de chasteté. La moitié du monde allait bientôt le considérer comme un prophète de la bienséance, l'autre moitié comme un crétin.
C'est surtout dans un certains milieu chic et riche que ce dispositif s'imposait. À ce moment et pour quelques temps encore, c'était la marque des maîtres, des seigneurs et des décideurs.
Mike n'en faisait pas partie, pas encore. Son père était un cadre de ce qui allait devenir la société PK Compagnie sous l'influence de J Brosso. C'était un cadre haut gradé, un membre du conseil d'administration, et si chez l'homme de la rue il n'était pas possible de savoir quel pourcentage d'hommes portait un tel dispositif, chez les cadres de la futur PK tous en portaient déjà un.
A ce titre Mike en portait donc déjà un depuis maintenant deux ans, il en avait juste dix huit. Il n'avait posé aucune opposition, c'était volontairement qu'il l'avait mis. Aucune contrainte, son éducation l'avait préparé à cette situation, son petit frère ne cachait pas une certaine impatience de voir son tour arriver.
On était en période de vacances, et Mike venait avec plusieurs de ses camarades de classe passer une petite semaine dans ce très bel hôtel avec activités touristiques et sportives. C'était une récompense pour ses très bons résultats, ils venaient tous d'être reçu à leur examen de fin d'études secondaires, c'était la récompense offerte par son école pour les meilleurs.
La chambre était spacieuse, tout le confort moderne, télévision, internet, téléphone et un lit et je ne vous dis pas comment il était douillet le lit … Il y avait bien sûr une salle de bain par chambre et évidemment un service à la carte …
Ils venait tous d'arriver et chacun découvrait sa chambre. Mike décidait de prendre une douche pour se rafraîchir du voyage. Il ouvrait sa valise et là, il remarquait que ce n'était pas sa valise. Et comme il y avait des vêtements féminins dans cette valise il fallait se rendre à l'évidence, elle n'était à aucun de ses camarades.
Il était à poil au milieu de sa chambre, la serviette autour des hanches. On lui avait dit que dans ce genre d'hôtel il n'y avait jamais de problèmes, il n'y avait que des solutions. Il appelait donc l'accueil et expliquait sa situation avant de passer sous la douche.
Avec l'eau qui coulait il n'a pas entendu frapper à la porte de la chambre, il n'a pas entendu non plus frapper à la porte de la salle de bain et quand il s'est rendu compte de quelque chose il y avait un jeune homme, qui devait avoir le même âge que lui, qui le regardait.
Il se retournait et sursautait, il se retrouvait entièrement nu avec sa cage de chasteté devant cet inconnu, c'était l'employé de l'hôtel. Il semblait pétrifié le pauvre garçon d'étage. Le plus naturellement du monde Mike continuait à se rincer les cheveux.
– Vous êtes ? …– Gilles , Monsieur, on m'a demandé de venir voir ce qui se passe, on aurait perdu votre bagage Monsieur ?
Gilles semblait très mal à son aise. Il n'osait pas regarder le corps de son client mais il ne parvenait pas non plus à s'en empêcher. Le corps de Mike n'était pas seulement très bien proportionné, très beau, mais il y avait aussi ce dispositif sur sa queue. Dispositif qui ne laissait pas Gilles indifférent.
Il était troublé Gilles, il avait un mal fou à rester digne.
– Vous pourriez me passer la serviette ?
Gilles était vraiment troublé, Mike penchait sa tête en arrière et se rinçait le visage, ce n'est pas la serviette que Gilles tendait à Mike, il approchait la main, comme pour toucher le corps de son client, ses mouvements étaient lents, un peu comme au ralenti. Gilles approchait la main jusqu'à frôler le haut de la cuisse de Mike.
Mike s'en ai rendu compte et d'un geste incroyablement rapide il attrapait le poignet de Gilles et le regardant droit dans les yeux.
Et bien ! C'est moi qui t'attire ?
Gilles devenait tout rouge, il tentait de retirer sa main mais Mike la retenait avec force. Gilles confus, baissait la tête, il avait alors le dispositif de chasteté de Mike devant les yeux.
– Je suis confus Monsieur. Veillez m'excuser mais … Il manquait un peu d'air pour terminer sa phrase le pauvre Gilles.
Sans pitié, et avec une certaine taquinerie il posait la main de Gilles sur son dispositif de chasteté. Là Gilles ne tentait plus de retirer sa main.
– Tu vois, ça ne mord pas, c'est quelque chose de normal. Comme pour toi.
– Pas pour moi Monsieur, je n'en porte pas !
Mike jetais un œil rapide sur l'entre jambe de Gilles et pouvait en effet constater un bosse qui s'était formé. Il bandait l'animal, il bandait. C'est Mike qui s'est mis à bander à ce moment. C'était moins spectaculaire évidemment, mais sa cage à bite se relevait et se remplissait. Sa queue protestait et la peau ressortait par les ouvertures d'aération, elle formait comme des bourrelets, un peu comme un saucisson.
Gilles s'en amusait mais s'en inquiétait aussi. Surtout que lui bandait encore plus et comme il n'avait pas de sous vêtements, on ne voyait plus que ça. Ce n'était plus une bosse qui se formait mais un véritable saucisson qui apparaissait sur sa cuisse. Dans ce genre de situation, Gilles relevait sa queue à la verticale, contre son ventre et respirait bien fort. Mais comme je vous le disais, là, il manquait d'air …
Il refermait sa main sur la cage de Mike, puis sans même s'en rendre compte, comme en état second, il lui tâtait les couilles. Mike lui avait lâché la main mais Gilles ne la retirait pas.
Les deux jeunes hommes étaient très émus maintenant. Ils étaient très beaux, ils avait tous les deux un corps très élégant et musclé, un visage doux et ils avaient le même âge.
Gilles ne se retenait plus et tripotait les couilles du client. Mike ouvrait un à un les boutons de la veste de Gilles, c'était un vêtement entièrement fermé qui le mettait en valeur. Une rangée de Boutons partait de l'épaule droite et s'arrêtait au niveau de la ceinture sur le côté gauche.
Gilles n'avait pas de sous vêtements, sous sa veste, il était totalement imberbe, c'était fréquent chez ceux qui faisaient de la musculation et ils en faisaient tous les deux.
Mike glissait une main sur le torse de Gilles, il lui caressait le corps avec une très grande douceur. La main de Gilles remontait elle aussi, il caressait le corps de Mike. Les deux jeunes hommes se regardaient dans les yeux, ils ne se souvenaient plus du moment ou l'eau avait cessé de couler et c'est imperceptiblement que leur corps se rapprochaient, leurs visages aussi et leur lèvres se frôlaient, ensuite c'étaient leurs langues puis c'était l'étreinte.
Gilles était torse nue et Mike lui ouvrait son pantalon. Une très belle bite en sortait, elle avait toutes les qualités, large, longue et bien dure. Mike la regardait puis la caressait, ça faisait deux ans qu'il n'avait pas vu une bite sans une cage qui la confinait, ça faisait deux ans qu'il n'avait pas vu sa propre bite libre. Ça faisait deux ans qu'il n'avait pas pu se donner de vrais plaisirs. Deux ans c'est long quand on en a que dix huit.
A ce moment c'est Mike qui manquait d'air.
Il se mettait à genoux, terminait de retirer le pantalon de Gilles et avec des gestes lents, très lents, il caressait la queue de Gilles, passait sa langue sur son gland, salivait longuement pour pouvoir le caresser avec une douceur totale et le masturbait avec conviction et délicatesse.
Gilles était tétanisé, il se laissait faire. On ne l'avait jamais préparé à cette situation. Son cœur battait avec force, il allait exploser si ça continuait. Et ça continuait … et son cœur n'a pas explosé !
Il caressait la joue du client, puis les cheveux, puis il appuyait sur sa tête et enfonçait sa queue dans la bouche puis dans la gorge de Mike. Il était demandeur Mike, il était en manque. Il prenait rapidement la queue de Gilles avec une facilité qui le déconcertait lui même.
Elle entrait ressortait et ce devait être très agréable s'il fallait se fier aux gémissements de Gilles. Par moment il donnait des coups de bassin, il se retenait de moins en moins et les coups de queue dans la gorge de Mike devenait plus fort, plus violents. Mike était demandeur et continuait à en demander.
Quand Mike s'est relevé, Gilles tremblait de plaisir. Ils se sont pris dans les bras, ils se sont embrassé, caressé. L'un mordillait l'autre qui gémissait et l'autre encourageait le premier. Leurs baisers étaient chauds, ils avaient oublié ou ils étaient, ils avaient oublié que quelqu'un pouvait entrer. C'est vrai que l'eau ne coulait plus et que maintenant ils l'entendraient venir.
Gilles se mettait à genoux et s'amusait à lécher les couilles de Mike, il ne pouvait pas le sucer plus. Il était comme hypnotisé par ce dispositif.
–Tu ne portes pas de dispositif ? Demandait Mike entre deux gémissements.
– C'est la première fois que j'en vois un !
– Tu as déjà du en entendre parler ?
Là, Gilles ne répondait pas.
– Tu vas me prendre !
Gilles se relevait, Mike se retournait. C'était une première pour chacun des deux, mais aucun d'eux n'osait le dire ou le montrer. Mike n'avait plus seulement envie de sexe, il en avait besoin. Sa queue protestait tellement depuis un moment que ça devenait un vrai tourment, presque une torture. Il avait aussi la trouille. Son partenaire en avait une grosse, elle était également longue mais, il avait décidé que ça passerait.
Gilles prenait position juste derrière Mike. Dans sa tête il refaisait le film. Il fallait y aller avec douceur, il fallait bien lubrifier, dilater sa victime longuement avec les doigts, la détendre. Son cœur battait fort et il était sur le point de défaillir.
Il se lubrifiait, il lubrifiait longuement le cul de son partenaire puis prenait position et sans autre formalité poussait. Il poussait fort, sa queue est entrée. Mike à hurlé, il s'est cambré, il serrait les dents. Il s'accrochait au porte serviette et sa respiration est devenue un râle sourd et profond.
Gille poussait, s'enfonçait et ressortait, il n'y avait pour lui plus aucune retenue. Une fraction de seconde il s'est bien demandé s'il n'y allait pas un peu fort puis il a pensé à autre chose. Il n'était pas sûr d'ailleurs qu'il pensait à quelque chose. Vous savez certains mecs, dans une telle situation ne pensent plus. C'était peut être son cas.
Mike râlait fort quand il respirait. Il ne respirait pas toujours, il avait des apnées. Quand il ne respirait pas, il hurlait de toutes ses forces mais intérieurement. Pas un bruit ne sortait de sa bouche. Il faisait une grimace terrible, à faire peur. Gilles le prenait comme un encouragement.
Heureusement Gilles n'était pas le seul à ne plus penser. Mike pleurait, c'était trop, il avait mal mais il ne voulait pas le dire. On lui avait dit que quelquefois ça pouvait être violent et là il voyait à quel point. Sa queue se manifestait encore de temps en temps et il sentait un plaisir naître à cet endroit de son corps. Il avait l'impression de juter, d'éjaculer mais il savait que rien ne sortait, que rien ne fuitait.
Il chialait comme un gamin, les seules contractions qu'il avait, c'étaient les sanglots. Il chialait comme un gamin et Gilles lui limait le cul comme un acteur porno.
Cette situation à duré un moment, trop long peut être pour l'un, trop court peut être pour l'autre… pardon, c'est vrai que le second ne pensait plus depuis un moment lui. Mais quand le plaisir est monté il ne l'a pas retenu. Il s'est donné, il a donné quelques coups plus violents. Mike se laissait tomber sur le sol Gille le retenait puis se retirait. Il éjaculait alors sur le dos de Mike qui jutait lui aussi abondamment. Il n'éjaculait pas vraiment mais un flot de sperme coulait de sa cage.
C'étaient les deux années de retard sans doute. Deux années de plaisir nié.
Mike était à quatre patte au milieu de la salle de bain, Gilles se penchait pour aider son partenaire à se relever. Mike avait de la peine, ses jambes tremblaient. Il venait de jouir, il avait surtout souffert certes mais au tout dernier moment au milieu de la douleur qui pourtant était intense, il avait joui, juste au moment ou Gilles s'était retiré. Et cet orgasme, ce moment de plaisir avait également été intense, largement autant que la douleur qui avait précédé.
Il savait déjà qu'il recommencerait et ce même si ça devait faire aussi mal. Mais nous savons tous que si au début ça peut faire mal, avec le temps ça ne fait plus mal du tout !
Gilles prenait Mike dans ses bras et le réconfortait autant qu'il le retenait. Il actionnait la douche et les deux jeunes hommes continuaient à partager un moment de tendresse. Mike reprenait forme humaine, au début on voyait qu'il avait pleuré, après on ne voyait plus grand chose.
Gille se rhabillait, Mike s'allongeait sur le lit dans un peignoir.
– Alors on va faire quoi pour ma valise ?
– On va la rechercher. En attendant je vais trouver quelques vêtements convenables pour que vous puissiez descendre souper Monsieur …
Mike écoutait Gilles, le vouvoiement revenait et le Monsieur également.
– Si vous voulez bien attendre ici Monsieur, je me charge de tout.
Gilles récupérait la valise qui n'était pas à Mike puis allait se retourner pour sortir quand. D'un mouvement rapide il se penchait sur Mike lui donnait un baiser sur les lèvres.
– Je m'occupe de tout Monsieur.
Le soir Mike avait un costume trois pièces du meilleur goût pour se rendre à la salle à manger ...
A suivre
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