L'HÔTEL DU DESERT EP 19 : Réserve et local électrique
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-08-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'HÔTEL DU DESERT EP 19 : Réserve et local électrique
L'HÔTEL DU DESERTEP 19 : Réserve et local électrique
Brice ne s'était pas fait remarqué ce jour là, à peine, il ne faut pas croire … Il en a entendu parler pendant le reste de la journée. Brice avait repris son poste au bar et tout se passait bien. Il était surpris de se sentir aussi bien comme il était. Avec le groupe de hippies il était resté à poil pendant un moment mais c'était coquin, il avait le droit de bander, il avait le droit de prendre une fille dans ses bras si elle le voulait bien ou un garçon et il avait le droit de lui faire l'amour.
Là l'ambiance devait être différente, il fallait rester convenable, ce qui voulait dire, pas d'érection, pas d'accouplement intempestifs en publique … Là il travaillait. Et finalement il était surpris de se sentir autant à l'aise, il parvenait à se contrôler sans aucune difficultés. Il faut bien se dire aussi que … Au niveau sexe, personne ne se privait, au contraire même. Quand le service était terminé ou pendant une pause, ou pendant un moment de libre, ou comme ça sans prévenir, deux personnes se rencontraient, se regardaient et se faufilaient dans un coin tranquille et surtout discret, et hop …
Oui bon, Brice avait eu un peu de mal à contenir une violente érection au moment ou il entrait dans la réserve pour changer le fût de bière. Il y avait là son camarade de bar Alex qui faisait sa pause. Il y avait dans ses bras une nouvelle petite brune, une nouvelle cliente qui venait d'arriver la veille et s'était présentée au bar moins d'une heure plus tôt.
Son camarade la tenait dans ses bras, il la serrait de toutes ses forces contre lui, elle ne voulait pas le lâcher non plus. Ils s'embrassaient comme des fous. Sa poitrine s'écrasait contre le torse déjà bronzé du garçon. Brice pouvait voir que son camarade bandait fermement, il était bien monté, en tout cas bien assez pour faire envie.
Brice était entré dans la réserve, il était décontracté, sa queue se balançait alors lourdement à chacun de ses mouvements. Mais voyant ça, sa queue ne se balançait plus du tout, elle se relevait avec force. Brice ne contrôlait plus rien. Il regardait.
Son camarade frottait son corps contre celui de la cliente, il y allait à la fois avec force et douceur. Les peaux glissaient, la peau ambrée du garçon et la peau encore toute blanche de la fille.
Le garçon se laissait tomber à genoux et son visage disparaissait entre les cuisse de sa compagne. Elle écartait légèrement les jambes et se caressait les seins. Ils étaient lourds, ils tenaient bien, ils étaient beaux, Brice louchait dessus.
Quand le garçon se relevait, Brice pouvait parfaitement voir son érection, il pouvait clairement voir sa queue glisser entre les cuisses de la demoiselle puis disparaître entre ces cuisse, en elle. Elle gémissait de plaisir. Les mains de chacun se promenaient rapidement sur le corps de l'autre. Elle lui agrippait fermement les fesses, il la retenait avec plus de force, il gémissait de plaisir et râlait sous l'effort. Elle s'accrochait à son cou et relevait les jambes pour les replier dans le dos du garçon. Il la soulevait et râlait encore plus fort.
Il la limait avec force, elle le retenait contre elle de toutes ses forces. Ses jambes étaient maintenant fermement refermées dans le dos du garçon qui la burinait tant qu'il pouvait. Elle finissait pas gueuler de plaisir. Il en faisait autant.
Elle était appuyée contre le mur, il la retenait. Les deux amants du moment étaient restés debout, en position verticale. Les mouvements devenaient plus vague, plus lents, ils avaient joui. Brice avalait sa salive et revenait au bar avec un carton de limonade dans les bras …
– Mais qu'est ce que tu fous Brice ? Il n'y a plus de bière, il ne faut pas une heure pour changer un fût ? Criait une voie au bar.
Brice réagissait qu'il y avait confusion, repartait avec sa limonades et parvenait enfin à changer la bière. Il revenait au bar mais visiblement n'était pas tout à fait à son aise. Il avait, comment dire, une grosse molle à moitié pas molle mais presque dure qui se balançait de droite à gauche devant lui.
Son camarade au bar, Rick, voyait ça et commençait à rigoler.
– Qu'est ce qui t'arrive bonhomme, qu'est ce qui t'a mis dans cet état ?
Brice lui racontait, heureusement il n'y avait pas grand monde au bar à cette heure. Son camarade rigolait.
– C'était Alex ? Il nous fait ça tout le temps Alex, tu ne le connais pas encore mais tu vas voir il est intenable celui là.
– Je ne sais pas comment il s'appelle.
– Par contre Brice tu devrais essayer de penser à autre chose là, parce que …
Brice baissait les yeux et ses sensations ne l'avait pas trompées, il bandait ferme maintenant, sa queue pointait vers le ciel et s'était bien plaquée contre son ventre. Brice était confus. Son camarade rigolait.
Il finissait par se calmer le pauvre Brice, l'après midi se continuait tranquillement. Un peu plus tard Alex arrivait pour reprendre son service. Au moment ou Brice l'a vu, c'était sans doute à cause du spectacle auquel il avait assisté peu avant mais Brice s'est remis à bander …
– C'est moi qui te mets dans cet état ? Remarque j'ai rien contre, il faudra qu'on fasse connaissance plus tard. Puis s'adressant à Rick. Au fait qui c'est qui est venu me déranger tout à l'heure dans la réserve ? C'est quelque chose quoi il n'y a plus moyen de s'enfiler une cliente sans être dérangé.
– C'est lui ! Répondait leur collègue en montrant Brice qui devenait tout rouge.
– Et comment tu as trouvé ? Lui demandait Alex.
Difficile à dire si c'était par pitié pour Brice qui perdait tout contrôle mais Alex préférait faire le service en terrasse lui même. Il laissait Brice derrière le bar, comme il était fait, les clients pouvaient difficilement voir ce qui se passait en dessous de sa ceinture …
Brice finissait par se calmer.
Jusqu'au moment ou une paire de seins venaient se poser sur le bar. Brice restait quelques instant là, l'air idiot à les regarder.
– Tu es du genre physionomiste ! Disait la propriétaire de cette poitrine.
Brice sursautait, il relevait la tête, c'était la fille qu'il avait vu un peu plus tôt en train de se faire enfiler par Alex.
– Salut toi ! Lui disait-elle. C'est toi qui nous a dérangé tout à l'heure dans la réserve ? Alex râlait après... '' Pas moyen d'être tranquille '' … Il m'a bien fait rire. Mais c'est que tu es mignon, je ne t'avais pas bien vu …
Elle se penchait par dessus le bar et voyait Brice qui recommençait à bander. Le pauvre, c'était pas un jour facile pour lui.
– Très mignon même ! Rajoutait-elle. Je n'avais pas bien vu … Tu termines à quelle heure ?
Là Brice devenait tout rouge et bandait encore plus ferme. C'était pas un jour facile pour lui !
De son côté Johnny travaillait à poil. Ce jour là il inspectait les installations, le travaille de la journée ne demandait pas de vêtements de protections donc il faisait comme tout le monde ici dans ce camping. Il était à poil.
Avec son compagnon Yves, il devaient inspecter le circuit électrique. Il y avait un transformateur qui alimentait la totalité de l'île. Il n'était pas question pour eux de toucher à cet appareil, il appartenait à la société d'électricité. Mais l'armoire qui était installée contre le mur du fond alimentait tout le camping.
Yves refermait la porte derrière eux, Johnny remarquait le détail mais ne disait rien.
Yves faisait signe à Johnny de le suivre, il commençait à bander. Johnny remarquait le détail mais ne disait rien.
Yves s'arrêtait devant l'armoire électrique, l'ouvrait …
– C'est un sacré matos ! Disait-il, e, regardant tous les interrupteurs, fusibles et autre voyants lumineux. Il bandait.
– Je trouve aussi, rajoutais Johnny en regardant la queue de Yves.
Il n'avait rien dis mais il avait remarqué le détail.
Yves lui lançait un regard coquin mais n'avait pas le temps de réagir que Johnny était déjà à ses pieds, à genoux devant lui et lui suçait la queue. Johnny avait vu juste, Yves ne le repoussait pas. Bien au contraire il lui caressait les cheveux, le tirait vers lui, avançait le bassin et le reculais. Il faisait ça tout doucement au début puis un peu plus vite, un peu plus fort.
Un geste rapide semblait lui échapper, il appuyait brusquement sur le dos de la tête de Johnny et balançait un violent coup de bassin. Juste pour voir peut être ou bien pour taquiner son partenaire …
Johnny encaissait sans problème, et s'il l'avait senti passer, il ne l'avait pas vu venir, mais il a encaissé. Sur ce succès, Yves recommençait, puis de nouveau encore et encore ...
Là c'est Johnny qui s'énervait. Il finissait par répondre aux provocations de Yves. Johnny saisissait son partenaire derrière les cuisses avec force et tout en appuyant son visage sur son ventre le tirait vers lui. Yves ne s'y attendait pas et a bien failli tomber sur Johnny.
Johnny se relevait et les deux garçons se prenaient dans leurs bras, se caressaient, la fièvre montait. Ils bandaient fermement tous les deux
Ils étaient restés calmes jusque là ! Mais brusquement commençaient à s'énerver. Leurs baisers devenaient passionnés, leurs caresses aussi . C'est Yves qui suçait Johnny, Yves y mettait moins de conviction, il préférait la première situation. Johnny l'a vite compris, et comme il aimait bien lui aussi, il suçait de nouveau et pour un long moment la queue de son copain.
Puis sûr de lui, se retournait, s'appuyait sur le mur. Le message était clair …
Yves n'avait pas besoin qu'on lui fasse un dessin, il prenait Johnny dans ses bras avec force, sa queue glissait entre ses cuisses. Il sortait un tube de gel d'une petite sacoche que beaucoup d'employés portaient autour de la ceinture, se lubrifiait et sans rien demander, sans prévenir. Ça lui semblait inutile, Johnny s'était proposé, il enfonçait vigoureusement sa queue dans le cul de Johnny et appuyait ensuite son ventre de toutes ses forces contre les fesses de Johnny.
Johnny se cambrait et gémissait, mais il encaissait et même si ça devait faire un peu mal, il appréciait. Ça faisait peut être un peu mal, un tout petit peu, mais ça donnait surtout beaucoup de plaisir. Il laissait faire et passait même une main dans son dos pour caresser le corps de Yves.
Il penchait la tête en arrière sur l'épaule de Yves. Ils s'embrassaient et en même temps Yves s'enfonçait et se retirait, ils s'embrassaient avec passion et le mouvement arrachait des gémissements à Johnny. Il commençait maintenant à trembler.
Yves continuait à masser l'intérieur de l'anus de son camarade avec de longs mouvements, bien amples, bien puissants. Il se retirait presque totalement et revenait bien à fond et poussait alors de toutes ses forces.
Les gémissements de Johnny se transformaient en véritables râles de plaisir. Il en redemandait, Yves répondait en accélérant, il ne poussait plus son ventre contre les fesses de Johnny quand il s'enfonçait, non, maintenant il frappait les fesses de Johnny avec force.
Les râles devenaient plus forts, ils étaient dans un bâtiment en dur, en très dur même , la salle du transfo, et ils ne risquaient pas d'être entendus.
Ils ne cherchaient pas à être discret, ils savaient qu'ils étaient tranquilles, que personne ne viendrait les déranger. Yves était le seul à entrer dans cet endroit !
Les râles de plaisir se transformaient en cris, puis en hurlements. Yves se lâchait, lui aussi il râlait sous l'effet de l'effort. Ils se donnait à fond, ses coups de bassin devenaient violents. Il ne les retenait plus .
Johnny aimait bien, ça ne faisait aucun doute, et encaissait toujours, il ne demandait pas à Yves de se calmer, au contraire il ne cessait pas de répéter '' Oui vas y , défonce moi le cul '' . Yves avait bien compris et y allait de toutes ses forces jusqu'au moment ou brusquement il ne bougeait plus.
Tout son corps se crispait, se bras se refermaient sur Johnny avec force. Avec son ventre il donnait des coups violents dans le cul de Johnny. Il jouissait, Johnny s'en rendait compte, il encaissait.
Johnny se penchait en avant et retrouvait alors une position plus douce, plus confortable. Il respirait fort et lentement, il jouissait lui aussi. Il n'avait pas juté mais il jouissait. C'est au moment ou Yves s'est retiré qu'il jutait. Il n'éjaculait pas, il jutait. Sa queue retombait, c'était devenu une grosse molle, et un flot de sperme coulait en quantité.
Dans son dos Yves retrouvait son souffle, sa queue pendait également lourdement. Les deux hommes se retrouvaient face à face, un dernier câlin. Ils s'essuyaient et faisaient disparaître les traces de leur passage.
Un dernier sourire et ils ressortaient du local électrique …
– Eh mais on n'a rien fait là, dans le local électrique ! Faisait remarquer Johnny .
– Ah bon ! Tu trouves ? Lui répondait Yves …– Non je voulais dire , au niveau boulot …– Ah mais il n'y avait rien à faire là, tout va bien ! Lui répondait Yves.
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Brice ne s'était pas fait remarqué ce jour là, à peine, il ne faut pas croire … Il en a entendu parler pendant le reste de la journée. Brice avait repris son poste au bar et tout se passait bien. Il était surpris de se sentir aussi bien comme il était. Avec le groupe de hippies il était resté à poil pendant un moment mais c'était coquin, il avait le droit de bander, il avait le droit de prendre une fille dans ses bras si elle le voulait bien ou un garçon et il avait le droit de lui faire l'amour.
Là l'ambiance devait être différente, il fallait rester convenable, ce qui voulait dire, pas d'érection, pas d'accouplement intempestifs en publique … Là il travaillait. Et finalement il était surpris de se sentir autant à l'aise, il parvenait à se contrôler sans aucune difficultés. Il faut bien se dire aussi que … Au niveau sexe, personne ne se privait, au contraire même. Quand le service était terminé ou pendant une pause, ou pendant un moment de libre, ou comme ça sans prévenir, deux personnes se rencontraient, se regardaient et se faufilaient dans un coin tranquille et surtout discret, et hop …
Oui bon, Brice avait eu un peu de mal à contenir une violente érection au moment ou il entrait dans la réserve pour changer le fût de bière. Il y avait là son camarade de bar Alex qui faisait sa pause. Il y avait dans ses bras une nouvelle petite brune, une nouvelle cliente qui venait d'arriver la veille et s'était présentée au bar moins d'une heure plus tôt.
Son camarade la tenait dans ses bras, il la serrait de toutes ses forces contre lui, elle ne voulait pas le lâcher non plus. Ils s'embrassaient comme des fous. Sa poitrine s'écrasait contre le torse déjà bronzé du garçon. Brice pouvait voir que son camarade bandait fermement, il était bien monté, en tout cas bien assez pour faire envie.
Brice était entré dans la réserve, il était décontracté, sa queue se balançait alors lourdement à chacun de ses mouvements. Mais voyant ça, sa queue ne se balançait plus du tout, elle se relevait avec force. Brice ne contrôlait plus rien. Il regardait.
Son camarade frottait son corps contre celui de la cliente, il y allait à la fois avec force et douceur. Les peaux glissaient, la peau ambrée du garçon et la peau encore toute blanche de la fille.
Le garçon se laissait tomber à genoux et son visage disparaissait entre les cuisse de sa compagne. Elle écartait légèrement les jambes et se caressait les seins. Ils étaient lourds, ils tenaient bien, ils étaient beaux, Brice louchait dessus.
Quand le garçon se relevait, Brice pouvait parfaitement voir son érection, il pouvait clairement voir sa queue glisser entre les cuisses de la demoiselle puis disparaître entre ces cuisse, en elle. Elle gémissait de plaisir. Les mains de chacun se promenaient rapidement sur le corps de l'autre. Elle lui agrippait fermement les fesses, il la retenait avec plus de force, il gémissait de plaisir et râlait sous l'effort. Elle s'accrochait à son cou et relevait les jambes pour les replier dans le dos du garçon. Il la soulevait et râlait encore plus fort.
Il la limait avec force, elle le retenait contre elle de toutes ses forces. Ses jambes étaient maintenant fermement refermées dans le dos du garçon qui la burinait tant qu'il pouvait. Elle finissait pas gueuler de plaisir. Il en faisait autant.
Elle était appuyée contre le mur, il la retenait. Les deux amants du moment étaient restés debout, en position verticale. Les mouvements devenaient plus vague, plus lents, ils avaient joui. Brice avalait sa salive et revenait au bar avec un carton de limonade dans les bras …
– Mais qu'est ce que tu fous Brice ? Il n'y a plus de bière, il ne faut pas une heure pour changer un fût ? Criait une voie au bar.
Brice réagissait qu'il y avait confusion, repartait avec sa limonades et parvenait enfin à changer la bière. Il revenait au bar mais visiblement n'était pas tout à fait à son aise. Il avait, comment dire, une grosse molle à moitié pas molle mais presque dure qui se balançait de droite à gauche devant lui.
Son camarade au bar, Rick, voyait ça et commençait à rigoler.
– Qu'est ce qui t'arrive bonhomme, qu'est ce qui t'a mis dans cet état ?
Brice lui racontait, heureusement il n'y avait pas grand monde au bar à cette heure. Son camarade rigolait.
– C'était Alex ? Il nous fait ça tout le temps Alex, tu ne le connais pas encore mais tu vas voir il est intenable celui là.
– Je ne sais pas comment il s'appelle.
– Par contre Brice tu devrais essayer de penser à autre chose là, parce que …
Brice baissait les yeux et ses sensations ne l'avait pas trompées, il bandait ferme maintenant, sa queue pointait vers le ciel et s'était bien plaquée contre son ventre. Brice était confus. Son camarade rigolait.
Il finissait par se calmer le pauvre Brice, l'après midi se continuait tranquillement. Un peu plus tard Alex arrivait pour reprendre son service. Au moment ou Brice l'a vu, c'était sans doute à cause du spectacle auquel il avait assisté peu avant mais Brice s'est remis à bander …
– C'est moi qui te mets dans cet état ? Remarque j'ai rien contre, il faudra qu'on fasse connaissance plus tard. Puis s'adressant à Rick. Au fait qui c'est qui est venu me déranger tout à l'heure dans la réserve ? C'est quelque chose quoi il n'y a plus moyen de s'enfiler une cliente sans être dérangé.
– C'est lui ! Répondait leur collègue en montrant Brice qui devenait tout rouge.
– Et comment tu as trouvé ? Lui demandait Alex.
Difficile à dire si c'était par pitié pour Brice qui perdait tout contrôle mais Alex préférait faire le service en terrasse lui même. Il laissait Brice derrière le bar, comme il était fait, les clients pouvaient difficilement voir ce qui se passait en dessous de sa ceinture …
Brice finissait par se calmer.
Jusqu'au moment ou une paire de seins venaient se poser sur le bar. Brice restait quelques instant là, l'air idiot à les regarder.
– Tu es du genre physionomiste ! Disait la propriétaire de cette poitrine.
Brice sursautait, il relevait la tête, c'était la fille qu'il avait vu un peu plus tôt en train de se faire enfiler par Alex.
– Salut toi ! Lui disait-elle. C'est toi qui nous a dérangé tout à l'heure dans la réserve ? Alex râlait après... '' Pas moyen d'être tranquille '' … Il m'a bien fait rire. Mais c'est que tu es mignon, je ne t'avais pas bien vu …
Elle se penchait par dessus le bar et voyait Brice qui recommençait à bander. Le pauvre, c'était pas un jour facile pour lui.
– Très mignon même ! Rajoutait-elle. Je n'avais pas bien vu … Tu termines à quelle heure ?
Là Brice devenait tout rouge et bandait encore plus ferme. C'était pas un jour facile pour lui !
De son côté Johnny travaillait à poil. Ce jour là il inspectait les installations, le travaille de la journée ne demandait pas de vêtements de protections donc il faisait comme tout le monde ici dans ce camping. Il était à poil.
Avec son compagnon Yves, il devaient inspecter le circuit électrique. Il y avait un transformateur qui alimentait la totalité de l'île. Il n'était pas question pour eux de toucher à cet appareil, il appartenait à la société d'électricité. Mais l'armoire qui était installée contre le mur du fond alimentait tout le camping.
Yves refermait la porte derrière eux, Johnny remarquait le détail mais ne disait rien.
Yves faisait signe à Johnny de le suivre, il commençait à bander. Johnny remarquait le détail mais ne disait rien.
Yves s'arrêtait devant l'armoire électrique, l'ouvrait …
– C'est un sacré matos ! Disait-il, e, regardant tous les interrupteurs, fusibles et autre voyants lumineux. Il bandait.
– Je trouve aussi, rajoutais Johnny en regardant la queue de Yves.
Il n'avait rien dis mais il avait remarqué le détail.
Yves lui lançait un regard coquin mais n'avait pas le temps de réagir que Johnny était déjà à ses pieds, à genoux devant lui et lui suçait la queue. Johnny avait vu juste, Yves ne le repoussait pas. Bien au contraire il lui caressait les cheveux, le tirait vers lui, avançait le bassin et le reculais. Il faisait ça tout doucement au début puis un peu plus vite, un peu plus fort.
Un geste rapide semblait lui échapper, il appuyait brusquement sur le dos de la tête de Johnny et balançait un violent coup de bassin. Juste pour voir peut être ou bien pour taquiner son partenaire …
Johnny encaissait sans problème, et s'il l'avait senti passer, il ne l'avait pas vu venir, mais il a encaissé. Sur ce succès, Yves recommençait, puis de nouveau encore et encore ...
Là c'est Johnny qui s'énervait. Il finissait par répondre aux provocations de Yves. Johnny saisissait son partenaire derrière les cuisses avec force et tout en appuyant son visage sur son ventre le tirait vers lui. Yves ne s'y attendait pas et a bien failli tomber sur Johnny.
Johnny se relevait et les deux garçons se prenaient dans leurs bras, se caressaient, la fièvre montait. Ils bandaient fermement tous les deux
Ils étaient restés calmes jusque là ! Mais brusquement commençaient à s'énerver. Leurs baisers devenaient passionnés, leurs caresses aussi . C'est Yves qui suçait Johnny, Yves y mettait moins de conviction, il préférait la première situation. Johnny l'a vite compris, et comme il aimait bien lui aussi, il suçait de nouveau et pour un long moment la queue de son copain.
Puis sûr de lui, se retournait, s'appuyait sur le mur. Le message était clair …
Yves n'avait pas besoin qu'on lui fasse un dessin, il prenait Johnny dans ses bras avec force, sa queue glissait entre ses cuisses. Il sortait un tube de gel d'une petite sacoche que beaucoup d'employés portaient autour de la ceinture, se lubrifiait et sans rien demander, sans prévenir. Ça lui semblait inutile, Johnny s'était proposé, il enfonçait vigoureusement sa queue dans le cul de Johnny et appuyait ensuite son ventre de toutes ses forces contre les fesses de Johnny.
Johnny se cambrait et gémissait, mais il encaissait et même si ça devait faire un peu mal, il appréciait. Ça faisait peut être un peu mal, un tout petit peu, mais ça donnait surtout beaucoup de plaisir. Il laissait faire et passait même une main dans son dos pour caresser le corps de Yves.
Il penchait la tête en arrière sur l'épaule de Yves. Ils s'embrassaient et en même temps Yves s'enfonçait et se retirait, ils s'embrassaient avec passion et le mouvement arrachait des gémissements à Johnny. Il commençait maintenant à trembler.
Yves continuait à masser l'intérieur de l'anus de son camarade avec de longs mouvements, bien amples, bien puissants. Il se retirait presque totalement et revenait bien à fond et poussait alors de toutes ses forces.
Les gémissements de Johnny se transformaient en véritables râles de plaisir. Il en redemandait, Yves répondait en accélérant, il ne poussait plus son ventre contre les fesses de Johnny quand il s'enfonçait, non, maintenant il frappait les fesses de Johnny avec force.
Les râles devenaient plus forts, ils étaient dans un bâtiment en dur, en très dur même , la salle du transfo, et ils ne risquaient pas d'être entendus.
Ils ne cherchaient pas à être discret, ils savaient qu'ils étaient tranquilles, que personne ne viendrait les déranger. Yves était le seul à entrer dans cet endroit !
Les râles de plaisir se transformaient en cris, puis en hurlements. Yves se lâchait, lui aussi il râlait sous l'effet de l'effort. Ils se donnait à fond, ses coups de bassin devenaient violents. Il ne les retenait plus .
Johnny aimait bien, ça ne faisait aucun doute, et encaissait toujours, il ne demandait pas à Yves de se calmer, au contraire il ne cessait pas de répéter '' Oui vas y , défonce moi le cul '' . Yves avait bien compris et y allait de toutes ses forces jusqu'au moment ou brusquement il ne bougeait plus.
Tout son corps se crispait, se bras se refermaient sur Johnny avec force. Avec son ventre il donnait des coups violents dans le cul de Johnny. Il jouissait, Johnny s'en rendait compte, il encaissait.
Johnny se penchait en avant et retrouvait alors une position plus douce, plus confortable. Il respirait fort et lentement, il jouissait lui aussi. Il n'avait pas juté mais il jouissait. C'est au moment ou Yves s'est retiré qu'il jutait. Il n'éjaculait pas, il jutait. Sa queue retombait, c'était devenu une grosse molle, et un flot de sperme coulait en quantité.
Dans son dos Yves retrouvait son souffle, sa queue pendait également lourdement. Les deux hommes se retrouvaient face à face, un dernier câlin. Ils s'essuyaient et faisaient disparaître les traces de leur passage.
Un dernier sourire et ils ressortaient du local électrique …
– Eh mais on n'a rien fait là, dans le local électrique ! Faisait remarquer Johnny .
– Ah bon ! Tu trouves ? Lui répondait Yves …– Non je voulais dire , au niveau boulot …– Ah mais il n'y avait rien à faire là, tout va bien ! Lui répondait Yves.
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