L'immobilier mène à tout

Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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L'immobilier mène à tout
Alexandra dirige une agence immobilière dans une petite ville balnéaire comptant cinq autres employés. Virginie fait partie du nombre et c'est elle la plus proche de sa directrice. D'abord parce qu'elles ont à peu près le même âge, une quarantaine d'années, sont toutes deux divorcées avec un enfant à charge, ont la même vision du métier et de la vie. Elles partagent un goût prononcé pour le sexe désormais favorisé par leur liberté conjugale et s'échangent volontiers des partenaires après rapport circonstancié, ce qui crée forcément des liens. Seul leur physique diverge. Alexandra est plutôt grande, athlétique avec de solides jambes d'ancienne handballeuse, porte des cheveux bruns mi-longs, aime ses yeux bleus mais pas son nez un peu fort.
Virginie est du genre trapu, forte en cuisses et en mollets, bustée et fessue, arbore un tatouage au bras, porte une chevelure brune au carré et des ongles de couleur variée. Ni l'une ni l'autre ne sont des beautés mais leur vivacité, leur gouaille, bref leur charme leur autorisent un certain succès de "vraies femmes" auprès d'hommes tétanisés par l'ultra féminisme. Et surtout, Alexandra et Virginie disposent d'une qualité inestimable pour l'élément masculin : elles baisent.
Il faut dire que leur métier leur offre des opportunités que n'ont pas forcément les femmes seules. Elles voient du monde, de tous milieux et de tous âges. Du jeune homme en recherche d'une location au quinquagénaire nouvellement divorcé en passant par le couple libertin, elles font parfois leur miel pour assouvir leurs pulsions érotiques. Si chacune suit son propre chemin, il arrive qu'elles se retrouvent dans le même lit en compagnie de gaillards bien membrés, si bien qu'elles se connaissent sous toutes les coutures et particulièrement dans le plaisir. Ce n'est pas fréquent dans un collectif immobilier.
Ce jour là, Virginie visite une maison vidée de ses occupants qu'ils ont mise en vente. Quelle n'est pas sa surprise de découvrir une chambre tapissée de miroirs, des murs au plafond. Elle comprend que les propriétaires pimentaient leurs ébats en se découvrant sous tous les angles et une onde de chaleur envahit son bas-ventre. Elle passe illico un coup de fil à Alexandra pour lui raconter sa découverte.
- Il y a encore un lit ? lui demande-t-elle.
- Non, ils ont tout enlevé.
- Dommage. Il va falloir qu'on trouve au moins un matelas.
- Parce que... tu comptes occuper cette chambre ?
- Ben tiens. L'occasion est trop belle. Je me vois bien expérimenter ce truc avec Christian (son amant actuel). On ne va pas trop se presser pour mettre cette maison en vente. Tu pourras en profiter aussi.
On voit par là que le sexe n'était jamais absent des transactions immobilières de cette agence. Une autre anecdote en témoigne.
Cette fois, c'est Alexandra qui visite cette maison avec piscine que les propriétaires mettaient en vente. Une fois les clés en mains, elle y revient par un jour de forte chaleur. Elle se déshabille entièrement et se glisse dans l'onde avec volupté. C'est alors qu'elle fait la planche que son regard croise celui d'un jeune homme qui la regarde du bord. C'est le fils de la maison qui a eu la même intention. Elle tente vainement de masquer sa nudité mais comme le jeune homme se met nu à son tour, cette égalité la détend quelque peu. D'autant qu'il fait tout pour dédramatiser la situation, Alexandra ayant outrepassé sa fonction. Tout en batifolant dans l'eau, ils se racontent, lui étudiant en éducation physique, elle en experte d'immobilier. Il se rapproche de plus en plus, manifestant une envie évidente de sauter cette pulpeuse quadra à poil dans sa piscine.
Le corps parfait du jeune homme laisse Alexandra de moins en moins hostile au contact et quand il réussit à la coincer au bord, son pénis dur sur la cuisse dodue de la baigneuse l'a fait fondre. Sa main empoigne le cylindre de chair et le porte là où il doit aller. Avec aisance, l'étudiant en STAPS la prend sous les cuisses et l'enfile contre le mur aquatique, lèvres contre lèvres tandis qu'elle se cramponne à ses épaules musclées. C'est un coït bref, fougueux, où l'entreprenant jeune homme est récompensé par les cris d'extase de la quadragénaire et l'encerclement de ses reins en signe de totale adhésion. Quand il a giclé, Alexandra se dégage et se laisse aller sur le dos, alanguie mais légèrement inquiète de la suite des événements.
En fait, après être allé chercher à boire, le garçon se révèle trop heureux d'avoir trouvé en cette femme mûre une partenaire bien plus passionnante que les étudiantes de STAPS. Car pendant qu'il limait debout, Alexandra lui a mis le doigt dans le trou du cul, ce qui a déclenché son éjaculation. Jamais on ne lui avait fait ça, à l'étudiant. Nus au soleil, tous deux n'ont qu'une envie : recommencer. Enchantée de le voir recharger aussi vite, Alexandra l'invite à la prendre par derrière, sa position favorite. Il la besogne en lui tirant les cheveux et en pétrissant ses hanches rebondies. Elle adore ça et le clame haut et fort. Etre baisée par un gars aussi jeune et aussi bien membré, ça fait oublier à Alexandra qu'elle pourrait être sa mère. De la chatte à l'anus, il n'y a qu'un pas et elle ne fait aucune difficulté pour se laisser sodomiser par cette queue euphorique qu'aucun cul d'étudiante n'a laissé entrer. Fouillée dans ses profondeurs les plus intimes, Alexandra accumule les orgasmes avant qu'il ne finisse par rendre les armes, totalement asséché. Et tout s'achève à nouveau dans la piscine, mais cette fois pour se laver des turpitudes.
Alexandra raconte tout à Virginie, qui regrette de lui avoir cédé l'expertise de cette maison.
*****
Celle-ci prend sa revanche quelques jours plus tard en embarquant son dernier chevalier servant dans la chambre aux miroirs, un ancien gendarme devenu retraité mais encore vert et surtout désireux de trouver compensation à la démission érotique de son épouse. L'homme, prénommé Régis, est invité à trouver un matelas à transporter dans la pièce vide de lit. C'est un peu compliqué à justifier auprès de son épouse mais le gendarme invente l'aide à des sdf. "Plus c'est gros, plus ça passe", commente-t-il auprès de Virginie, qui le fait rire en faisant allusion à sa queue.
Quand tous les deux se retrouvent nus multipliés par autant d'images, ils ne peuvent s'empêcher encore de rire. Virginie a le sexe joyeux. Mais l'envie de forniquer prend rapidement le dessus. Les formes abondantes de la quadragénaire inspirent particulièrement le gendarme au corps velu, légèrement ventru mais doté d'un membre viril qui fait sa fierté par son volume.
Virginie et lui se regardent baiser sous tous les angles avec curiosité et excitation, lui jouissant de voir ses seins ballotter via le miroir du mur sous ses assauts, elle s'exaltant à la vue du cul poilu roulant entre ses cuisses dodues via le miroir du plafond lorsqu'il la baise en missionnaire. Prise en levrette, Virginie tourne la tête vers le côté pour regarder la queue entrer et sortir de son ante intime, dedans et dehors, dedans et dehors. Cette vision l'exalte et lui fait lâcher un "oh putain qu'elle est bonne ta bite". Puis le chevauchant, elle se découvre dans le plaisir et se trouve belle avec son corps charnu en mouvement, ondoyant et divers, le sourire aux lèvres. Elle est fascinée par le mouvement de son nombril qui épouse ses circonvolutions fessières tandis qu'il pétrit ses nichons. Elle a rarement ressenti autant la sensation d'être baisée.
Quant au gendarme, la situation lui fait perdre le contrôle de son verbe et il devient très cru, prévenant Virginie qu'il va "l'enculer" et l'incitant à lui "parler de sa queue", ce qu'elle fait sans barguigner car elle est aussi excitée et crue que lui. Bref, cette incursion dans la chambre aux miroirs est une vraie réussite et elle fait regretter au couple conjoncturel que la maison soit en passe d'être vendue avec ses accessoires. Et le matelas retrouve son lit d'origine.
*****
Le compte rendu détaillé de Virginie auprès d'Alexandra met celle-ci en émoi et envisage rapidement une incursion dans la maison en vente en compagnie, pourquoi pas, de l'étudiant en STAPS. Mais auparavant, elle informe sa collègue et néanmoins subordonnée qu'une grande maison est entrée dans leur panel avec une caractéristique improbable. C'est un ancien sauna libertin que ses propriétaires, ruinés par le covid et l'impossibilité de l'exploiter, ont mis en vente. Toutes les deux s'y rendent et la découverte des lieux déserts les inspirent illico. Il y a une piscine toujours pleine, une vieille voiture transformée en lieu d'ébats, l'inévitable "glory hole" et plusieurs "coins câlins" où flotte encore une odeur de secrétions intimes. Les propriétaires ont laissé des peignoirs propres. Alexandra et Virginie décident rapidement de revenir accompagnées.
Ni le gendarme, ni l'étudiant en STAPS ne se sont fait prier. Ils ne se connaissent pas mais vont vite être complices.
Après avoir visité les lieux, les deux hommes acceptent de se dévêtir et d'adopter le peignoir, à l'instar des deux quadragénaires. Tous les quatre inaugurent leur visite par une plongée dans la piscine, qui fera office de préliminaires : caresses, pelotages mais sans pénétration, différée.
Mais les deux hommes, le maigre au corps sec et musclé, et le plantureux velu, bandent déjà en regardant Alexandra et Virginie sortir de l'eau, la croupe mouvante, luisante, frémissante, appelant vraiment la bite. Elles sentent les regards des deux mâles et savourent par avance leur entrée dans leur corps. Lorsqu'ils sortent de l'eau, elles les contiennent en riant, heureuses de leur désir et aussi impatientes qu'eux. Virginie a envie d'expérimenter la voiture, en souvenir de copulations lointaines. Elle prend le gendarme par la main et l'entraine dans l'habitacle résumé à un lit entouré de portières désossées. Alexandra choisit un coin câlin avec son étudiant. Et tous les quatre vont désormais baiser avec ardeur, la peau encore humide de la piscine.
Le sauna libertin renait aux cris de plaisir de Virginie répondant à ceux un peu éloignés d'Alexandra. Le gendarme, subjugué par cette fausse voiture où tant de couples ont forniqué autant que par le corps pulpeux de Virginie, dont il fend rapidement la croupe rebondie, ne peut conserver son sperme très longtemps. Après avoir fait claquer son ventre rebondi sur les fesses charnues de sa partenaire, il éjacule dans le rectum bien ouvert. Virginie a pris son plaisir, elle l'a gueulé dans le silence du sauna libertin, mais elle en redemanderait bien.
Le couple se rend dans le coin câlin observer les ébats d'Alexandra avec son étudiant. Il la prend par derrière pendant que les visiteurs entrent et Virginie, inspirée par son petit cul nerveux en mouvement, vient lui lécher les globes et l'anus. Le gendarme ne perd pas une miette de cette figure à trois. L'étudiant léché découvre en se retournant la brune aux gros seins et aux fortes cuisses à la langue agile. L'érection intacte, il délaisse provisoirement Alexandra pour culbuter sa collègue sur le matelas et lui asséner de vigoureux coups de bite qui font exulter la récipiendaire, les cuisses ouvertes à 180° et les pieds vers le plafond. Virginie a à peine joui avec le dénommé Régis que son corps en fusion exulte à nouveau.
Pendant ce temps, la directrice tente de ranimer le gendarme de la langue et obtient une érection suffisante pour le chevaucher tout en matant les ébats du couple mitoyen. Le coin câlin, qui en a vu d'autres, voit son ultime raison d'être avant d'être l'objet probable de démolisseurs dans un avenir rapproché. Il est envahi d'une odeur sui generis où les hormones mâles et femelles se sont mélangées dans l'exaltation finale, avant que les quatre corps concernés ne reviennent vers la piscine se nettoyer de leurs turpitudes puis vers la douche pour d'ultimes attouchements, l'étudiant ayant senti son érection ranimée mais les deux femmes ont considéré qu'il était temps de rentrer à l'agence.
Ces évocations se sont déroulées dans un temps étendu. Il ne faudrait pas croire que les deux agentes immobilières négligent à la fois leur mission professionnelle et leurs devoirs de mère. Ni l'une ni l'autre ne sont des "canons" et des "tombeuses". Elles dorment le plus souvent seules, comme la plupart des femmes privées de mari ou de compagnon. Mais elles sont sexuellement disponibles, "open" comme on dit. Et quand elles ont une occasion de baiser, elles baisent, et fort bien comme on a pu le constater. Elles aiment le sexe pour le sexe et n'envisagent nullement une autre vie de couple. Elles savent que leur corps leur signifiera un jour qu'il est temps d'arrêter les fredaines et du reste, elles ne seront plus vraiment sollicitées. Alors, tant qu'on les désire, elles en profitent. Comment les blâmer ?
Virginie est du genre trapu, forte en cuisses et en mollets, bustée et fessue, arbore un tatouage au bras, porte une chevelure brune au carré et des ongles de couleur variée. Ni l'une ni l'autre ne sont des beautés mais leur vivacité, leur gouaille, bref leur charme leur autorisent un certain succès de "vraies femmes" auprès d'hommes tétanisés par l'ultra féminisme. Et surtout, Alexandra et Virginie disposent d'une qualité inestimable pour l'élément masculin : elles baisent.
Il faut dire que leur métier leur offre des opportunités que n'ont pas forcément les femmes seules. Elles voient du monde, de tous milieux et de tous âges. Du jeune homme en recherche d'une location au quinquagénaire nouvellement divorcé en passant par le couple libertin, elles font parfois leur miel pour assouvir leurs pulsions érotiques. Si chacune suit son propre chemin, il arrive qu'elles se retrouvent dans le même lit en compagnie de gaillards bien membrés, si bien qu'elles se connaissent sous toutes les coutures et particulièrement dans le plaisir. Ce n'est pas fréquent dans un collectif immobilier.
Ce jour là, Virginie visite une maison vidée de ses occupants qu'ils ont mise en vente. Quelle n'est pas sa surprise de découvrir une chambre tapissée de miroirs, des murs au plafond. Elle comprend que les propriétaires pimentaient leurs ébats en se découvrant sous tous les angles et une onde de chaleur envahit son bas-ventre. Elle passe illico un coup de fil à Alexandra pour lui raconter sa découverte.
- Il y a encore un lit ? lui demande-t-elle.
- Non, ils ont tout enlevé.
- Dommage. Il va falloir qu'on trouve au moins un matelas.
- Parce que... tu comptes occuper cette chambre ?
- Ben tiens. L'occasion est trop belle. Je me vois bien expérimenter ce truc avec Christian (son amant actuel). On ne va pas trop se presser pour mettre cette maison en vente. Tu pourras en profiter aussi.
On voit par là que le sexe n'était jamais absent des transactions immobilières de cette agence. Une autre anecdote en témoigne.
Cette fois, c'est Alexandra qui visite cette maison avec piscine que les propriétaires mettaient en vente. Une fois les clés en mains, elle y revient par un jour de forte chaleur. Elle se déshabille entièrement et se glisse dans l'onde avec volupté. C'est alors qu'elle fait la planche que son regard croise celui d'un jeune homme qui la regarde du bord. C'est le fils de la maison qui a eu la même intention. Elle tente vainement de masquer sa nudité mais comme le jeune homme se met nu à son tour, cette égalité la détend quelque peu. D'autant qu'il fait tout pour dédramatiser la situation, Alexandra ayant outrepassé sa fonction. Tout en batifolant dans l'eau, ils se racontent, lui étudiant en éducation physique, elle en experte d'immobilier. Il se rapproche de plus en plus, manifestant une envie évidente de sauter cette pulpeuse quadra à poil dans sa piscine.
Le corps parfait du jeune homme laisse Alexandra de moins en moins hostile au contact et quand il réussit à la coincer au bord, son pénis dur sur la cuisse dodue de la baigneuse l'a fait fondre. Sa main empoigne le cylindre de chair et le porte là où il doit aller. Avec aisance, l'étudiant en STAPS la prend sous les cuisses et l'enfile contre le mur aquatique, lèvres contre lèvres tandis qu'elle se cramponne à ses épaules musclées. C'est un coït bref, fougueux, où l'entreprenant jeune homme est récompensé par les cris d'extase de la quadragénaire et l'encerclement de ses reins en signe de totale adhésion. Quand il a giclé, Alexandra se dégage et se laisse aller sur le dos, alanguie mais légèrement inquiète de la suite des événements.
En fait, après être allé chercher à boire, le garçon se révèle trop heureux d'avoir trouvé en cette femme mûre une partenaire bien plus passionnante que les étudiantes de STAPS. Car pendant qu'il limait debout, Alexandra lui a mis le doigt dans le trou du cul, ce qui a déclenché son éjaculation. Jamais on ne lui avait fait ça, à l'étudiant. Nus au soleil, tous deux n'ont qu'une envie : recommencer. Enchantée de le voir recharger aussi vite, Alexandra l'invite à la prendre par derrière, sa position favorite. Il la besogne en lui tirant les cheveux et en pétrissant ses hanches rebondies. Elle adore ça et le clame haut et fort. Etre baisée par un gars aussi jeune et aussi bien membré, ça fait oublier à Alexandra qu'elle pourrait être sa mère. De la chatte à l'anus, il n'y a qu'un pas et elle ne fait aucune difficulté pour se laisser sodomiser par cette queue euphorique qu'aucun cul d'étudiante n'a laissé entrer. Fouillée dans ses profondeurs les plus intimes, Alexandra accumule les orgasmes avant qu'il ne finisse par rendre les armes, totalement asséché. Et tout s'achève à nouveau dans la piscine, mais cette fois pour se laver des turpitudes.
Alexandra raconte tout à Virginie, qui regrette de lui avoir cédé l'expertise de cette maison.
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Celle-ci prend sa revanche quelques jours plus tard en embarquant son dernier chevalier servant dans la chambre aux miroirs, un ancien gendarme devenu retraité mais encore vert et surtout désireux de trouver compensation à la démission érotique de son épouse. L'homme, prénommé Régis, est invité à trouver un matelas à transporter dans la pièce vide de lit. C'est un peu compliqué à justifier auprès de son épouse mais le gendarme invente l'aide à des sdf. "Plus c'est gros, plus ça passe", commente-t-il auprès de Virginie, qui le fait rire en faisant allusion à sa queue.
Quand tous les deux se retrouvent nus multipliés par autant d'images, ils ne peuvent s'empêcher encore de rire. Virginie a le sexe joyeux. Mais l'envie de forniquer prend rapidement le dessus. Les formes abondantes de la quadragénaire inspirent particulièrement le gendarme au corps velu, légèrement ventru mais doté d'un membre viril qui fait sa fierté par son volume.
Virginie et lui se regardent baiser sous tous les angles avec curiosité et excitation, lui jouissant de voir ses seins ballotter via le miroir du mur sous ses assauts, elle s'exaltant à la vue du cul poilu roulant entre ses cuisses dodues via le miroir du plafond lorsqu'il la baise en missionnaire. Prise en levrette, Virginie tourne la tête vers le côté pour regarder la queue entrer et sortir de son ante intime, dedans et dehors, dedans et dehors. Cette vision l'exalte et lui fait lâcher un "oh putain qu'elle est bonne ta bite". Puis le chevauchant, elle se découvre dans le plaisir et se trouve belle avec son corps charnu en mouvement, ondoyant et divers, le sourire aux lèvres. Elle est fascinée par le mouvement de son nombril qui épouse ses circonvolutions fessières tandis qu'il pétrit ses nichons. Elle a rarement ressenti autant la sensation d'être baisée.
Quant au gendarme, la situation lui fait perdre le contrôle de son verbe et il devient très cru, prévenant Virginie qu'il va "l'enculer" et l'incitant à lui "parler de sa queue", ce qu'elle fait sans barguigner car elle est aussi excitée et crue que lui. Bref, cette incursion dans la chambre aux miroirs est une vraie réussite et elle fait regretter au couple conjoncturel que la maison soit en passe d'être vendue avec ses accessoires. Et le matelas retrouve son lit d'origine.
*****
Le compte rendu détaillé de Virginie auprès d'Alexandra met celle-ci en émoi et envisage rapidement une incursion dans la maison en vente en compagnie, pourquoi pas, de l'étudiant en STAPS. Mais auparavant, elle informe sa collègue et néanmoins subordonnée qu'une grande maison est entrée dans leur panel avec une caractéristique improbable. C'est un ancien sauna libertin que ses propriétaires, ruinés par le covid et l'impossibilité de l'exploiter, ont mis en vente. Toutes les deux s'y rendent et la découverte des lieux déserts les inspirent illico. Il y a une piscine toujours pleine, une vieille voiture transformée en lieu d'ébats, l'inévitable "glory hole" et plusieurs "coins câlins" où flotte encore une odeur de secrétions intimes. Les propriétaires ont laissé des peignoirs propres. Alexandra et Virginie décident rapidement de revenir accompagnées.
Ni le gendarme, ni l'étudiant en STAPS ne se sont fait prier. Ils ne se connaissent pas mais vont vite être complices.
Après avoir visité les lieux, les deux hommes acceptent de se dévêtir et d'adopter le peignoir, à l'instar des deux quadragénaires. Tous les quatre inaugurent leur visite par une plongée dans la piscine, qui fera office de préliminaires : caresses, pelotages mais sans pénétration, différée.
Mais les deux hommes, le maigre au corps sec et musclé, et le plantureux velu, bandent déjà en regardant Alexandra et Virginie sortir de l'eau, la croupe mouvante, luisante, frémissante, appelant vraiment la bite. Elles sentent les regards des deux mâles et savourent par avance leur entrée dans leur corps. Lorsqu'ils sortent de l'eau, elles les contiennent en riant, heureuses de leur désir et aussi impatientes qu'eux. Virginie a envie d'expérimenter la voiture, en souvenir de copulations lointaines. Elle prend le gendarme par la main et l'entraine dans l'habitacle résumé à un lit entouré de portières désossées. Alexandra choisit un coin câlin avec son étudiant. Et tous les quatre vont désormais baiser avec ardeur, la peau encore humide de la piscine.
Le sauna libertin renait aux cris de plaisir de Virginie répondant à ceux un peu éloignés d'Alexandra. Le gendarme, subjugué par cette fausse voiture où tant de couples ont forniqué autant que par le corps pulpeux de Virginie, dont il fend rapidement la croupe rebondie, ne peut conserver son sperme très longtemps. Après avoir fait claquer son ventre rebondi sur les fesses charnues de sa partenaire, il éjacule dans le rectum bien ouvert. Virginie a pris son plaisir, elle l'a gueulé dans le silence du sauna libertin, mais elle en redemanderait bien.
Le couple se rend dans le coin câlin observer les ébats d'Alexandra avec son étudiant. Il la prend par derrière pendant que les visiteurs entrent et Virginie, inspirée par son petit cul nerveux en mouvement, vient lui lécher les globes et l'anus. Le gendarme ne perd pas une miette de cette figure à trois. L'étudiant léché découvre en se retournant la brune aux gros seins et aux fortes cuisses à la langue agile. L'érection intacte, il délaisse provisoirement Alexandra pour culbuter sa collègue sur le matelas et lui asséner de vigoureux coups de bite qui font exulter la récipiendaire, les cuisses ouvertes à 180° et les pieds vers le plafond. Virginie a à peine joui avec le dénommé Régis que son corps en fusion exulte à nouveau.
Pendant ce temps, la directrice tente de ranimer le gendarme de la langue et obtient une érection suffisante pour le chevaucher tout en matant les ébats du couple mitoyen. Le coin câlin, qui en a vu d'autres, voit son ultime raison d'être avant d'être l'objet probable de démolisseurs dans un avenir rapproché. Il est envahi d'une odeur sui generis où les hormones mâles et femelles se sont mélangées dans l'exaltation finale, avant que les quatre corps concernés ne reviennent vers la piscine se nettoyer de leurs turpitudes puis vers la douche pour d'ultimes attouchements, l'étudiant ayant senti son érection ranimée mais les deux femmes ont considéré qu'il était temps de rentrer à l'agence.
Ces évocations se sont déroulées dans un temps étendu. Il ne faudrait pas croire que les deux agentes immobilières négligent à la fois leur mission professionnelle et leurs devoirs de mère. Ni l'une ni l'autre ne sont des "canons" et des "tombeuses". Elles dorment le plus souvent seules, comme la plupart des femmes privées de mari ou de compagnon. Mais elles sont sexuellement disponibles, "open" comme on dit. Et quand elles ont une occasion de baiser, elles baisent, et fort bien comme on a pu le constater. Elles aiment le sexe pour le sexe et n'envisagent nullement une autre vie de couple. Elles savent que leur corps leur signifiera un jour qu'il est temps d'arrêter les fredaines et du reste, elles ne seront plus vraiment sollicitées. Alors, tant qu'on les désire, elles en profitent. Comment les blâmer ?
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Voilà une jolie histoire de femmes qui croquent la vie et profitent de chaque instant pour assouvir leur sexualité .Toujours bien écrit. Daniel
Encore une belle histoire de femmes volontaire, marquées et séduisantes. Il y a de la place pour les quinquas comme pour les jeunots. Il y a presque des sentiments dans les relations…
Et tjs une femme pulpeuse, moins prononcée cette fois!
J’aime beaucoup,
Jef
Et tjs une femme pulpeuse, moins prononcée cette fois!
J’aime beaucoup,
Jef
Micky,
c'est encore la, une magnifique ode à la femme mure, et au sexe.
Félicitation et merci.
Didier
c'est encore la, une magnifique ode à la femme mure, et au sexe.
Félicitation et merci.
Didier
Vive les quadras qui, comme Alexandra et Virginie, se lâchent et assument!

