L'inattendu !
Récit érotique écrit par Rollerbi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-11-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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L'inattendu !
Il est 20h15 lorsque j’arrive sur cette aire d’autoroute. J’ai besoin d’une queue, là, le plus vite possible. Et pour en trouver une, c’est encore de nuit sur de tels parkings l’endroit le plus propice. Deux voitures sont garées de part et d’autre du bloc sanitaire, et comme je n’ai pas envie d’y aller par quatre chemins, je m’immobilise perpendiculairement aux WC, ma vitre latérale face aux urinoirs.
Stratège élémentaire : un mec qui chasse montre sa bite. Il l’exhibe comme n’importe quelle personne met en ligne l’objet qu’il veut vendre. À l’instant où je coupe le moteur, les feux du véhicule garé de l’autre côté du bloc s’allument pour reprendre la route. C’est bien ma veine, j’arrive probablement à l’instant où les gars ont déjà fait leurs affaires.
Pourtant, de l’ombre sort une silhouette, un grand mec d’allure assez jeune et très très grand. Il marche calmement quand soudain son visage s’illumine. Il vient de sortir son smartphone... certainement un adepte de Grindr, la drague gay en ligne... Je descends ma vitre, 4 mètres environ nous séparent, il peut aisément apercevoir mon visage à la lueur de l’autoradio qui diffuse un morceau de blues. Il marche dans l’ersatz de pelouse entre les sanitaires et moi, me regarde à plusieurs reprises, mais ne cherche pas à s’approcher.
“Viens, allez, approche !” me dis-je à voix basse. “J’ai trop besoin d’une barre chaude entre les lèvres.” C’est alors qu’il se dirige vers les pissotières. Il est baraqué, le gazier. J’ai juste le temps de remarquer que son blouson dessine avantageusement ses larges épaules quand il pivote à gauche et disparaît. Va-t-il pisser ou se poste-t-il en mode “attente”, la queue à la main. Deux choix s’offrent à moi : sortir mon fauteuil roulant et le rejoindre ou bien attendre qu’il recule de sa cachette pour me présenter sa virilité. Les “couillus biens montés” pratiquent ce sport, sachant que nous, les pompeurs, sommes véritablement aimantés par les belles queues ! Le temps que je débarque mon fauteuil, il se sera certainement lassé ! Bref, le dilemme continuel qu’impose la drague en fauteuil : should I stay or should I go.
J’aperçois qu’il recule en remballant sa queue, que j’entrevois d’ailleurs furtivement. Un long morceau, et lorsqu’il remonte sa braguette, l’éclairage vertical laisse apparaître une longue bosse jusqu’au-dessus de sa poche droite ! “Merde, je me suis loupé, là.” marmonais-je en le regardant revenir à sa voiture. La portière s’ouvre et il disparaît à l’intérieur.
Frustré comme seul le handicap peut le faire, face à mes désirs et mes attentes. Déçu, je démarre, glisse le levier sur Drive et repars dans la nuit. Je n’ai plus qu’à tenter ma chance sur la prochaine aire, 15 kilomètres plus loin.
Celle-ci est déserte et beaucoup plus exposée que la précédente. Je me gare néanmoins sur les places bleues réservées et coupe le moteur. Une fois de plus, l’attente, l’espoir et l’insoutenable désir s’affrontent gentiment sur fond musical quand un pinceau de lumière fend l’obscurité. La voiture qui se place à droite de la mienne est celle de mon géant. Je suis maintenant presque sûr qu’il n’a pas trouvé ce qu’il cherche. Il manipule son smartphone, assis derrière son volant. Je baisse ma vitre et enfin notre regard se croise en pleine lumière. Ses traits ne sont ni laids ni beaux, et puis ce n’est pas une gueule que je recherche, après tout.
D’un signe de tête, je lui lance un salut. Il coupe son moteur et baisse sa vitre. C’est vrai que la situation est conne ; nous savons très bien pourquoi nous sommes là ! Il ne reste plus qu’à connaître nos attentes respectives. Il brise la glace le premier en me demandant ce que j’espère. Ma réponse est claire : sucer un homme, de préférence très bien monté. Il semble pouvoir arranger cela, selon ses propres paroles, mais n’a pas encore rencontré une âme assez charitable pour accéder à sa requête.
Le plaisir n’est qu’à quelques mètres de moi, il ne me reste plus qu’à lui “vendre” ma chaise à roulette. Combien n’osent pas. Combien déclinent, prétextant avoir le sentiment d’abuser de la situation ! Ce soir encore, l’annonce jette un froid. De toute façon, je n’ai jamais entendu un gars me répondre qu’il cherchait justement un handicapé pour tirer sa crampe ! Ne pas laisser les choses en plan, renouer le dialogue au plus vite, l’affaire n’a pas encore capoté.
— Tu es vraiment bien monté ? dis-je afin de parler des priorités, à savoir, sa bite.
— Pas mal, ouais. Disons quelques centimètres au-dessus de la moyenne.
Il y a les prétentieux et les modestes. Par expérience, les très bien bâtis n’ont pas forcément “le citron”, leur constitution les mettant naturellement à l’aise. D’ailleurs, un mec bien monté et bien burné ne craint pas de faire le tour du grand bassin de la piscine municipale, même en sortant de l’eau !
— Exactement ce dont je rêve : du volume et du sperme ! risquais-je, en bon provocateur qui ne veut pas capituler.
— T’es cash, toi, au moins. Tu n’as pas peur d’annoncer la couleur.
— Tu n’as pas l’air black, tu caches quelques choses ? Moi, je n’ai rien à cacher !
— Monsieur a de l’humour, c’est bien. Et pour quelle raison t’es en fauteuil ? s’inquiète-t-il.
— À cause d’un mec bourré. T’as pas envie de venir t’asseoir à côté ? On serait mieux pour parler, non ?
Les clignotants s’excitent lorsqu’il referme sa portière et vient prendre la place passagère. Rien n’est perdu, à ce stade. Il faut juste un peu de patience et y aller calmement. Pendant une vingtaine de minutes, les questions tournent autour de ce putain d’accident, de ma sexualité mise en berne avant d’en arriver à lui. Il a l’air propre, il est grand, très grand même, plutôt maigre, sa voix est grave et il est loin d’être stupide. Même si ce n’est pas l’objet de ma présence ici ce soir, cela ne nuit en rien.
— Et comment fais-tu, pour sucer. Tu peux te pencher ?
— En voiture, c’est une vraie galère et ça me fait mal au dos. Le plus simple, c’est à l’extérieur.
— Là, sur le parking, ça craint, non ? Je suis volontiers provocateur, mais pas exhibitionniste. Des familles peuvent passer par là.
— Il y a les WC handis, sinon, le fond du parking tout en bas. Presque pas de lumière et depuis qu’on est là, personne n’est passé.
— C’est pas faut. lâche-t-il, pensif.
— Tu as envie d’essayer ? Tu sais, cela n’engage à rien, si tu ne te sens pas à l’aise, on arrête !
— Et pour toi ? Où est ton plaisir ?
— En donner un maximum. C’est devenu cérébral, depuis ma paralysie.
Là, mon explication a toute son importance puisque d’elle dépend la suite. Et j’ai vraiment besoin d’une bonne queue. Je commence par lui décrire l’impatience de la découverte, quand le jean glisse et que les proportions se révèlent, l’organe idéalement encore à demi endormit. Puis lorsque c’est au tour du sous-vêtement de libérer la bête, lourde, massive, reposant sur de grosses bourses. L’équilibre sexe/bourses est important à mes yeux, car avant d’en avoir plein les mains, j’adore en avoir plein la vue. J’en suis déjà excité.
Vient ensuite le premier contact, généralement manuel, rendant cohérent le touché avec les premières impressions visuelles. La masse et cette indicible chaleur qu’une verge étreinte diffuse font monter le désir, la lourdeur des bourses, la pilosité...
C’est à cet instant que naît le désir de la sucer, de la savourer, de l’emmener vers la jouissance totale. Ce n’est que quand mon partenaire jouit fort dans ma bouche, qu’il s’emballe en déchargeant son foutre visqueux et tant espéré, que j’ai... une sorte d’orgasme.
— Tu en as déjà eu, des grosses entre les mains ?
— Depuis que je suis en vrac ? Oui, de très belles, en effet. Mais cela reste très rare. Une très grosse bite, ça ne se trouve pas sous le sabot d’un cheval !
— Ni d’un étalon ?
Sa main s’est entre temps posée sur son entrejambe et le malaxe. Le lampadaire situé à quelques pas arrose l’habitacle. Après un regard circulaire, ses grandes mains déboutonnent son jean pendant qu’il soulève son bassin. Le tissus glisse avec une lenteur toute calculée, révélant un caleçon très ajusté, moulant incroyablement bien ses formes jusqu’à ce que ses bras tendus m’en masquent la vue. Ce faisant, il m’observe en souriant, de toute évidence très sûr de lui. Le pantalon passe ses genoux, il repose ses fesses sereinement sur le siège et par magie, ce qui le rend de nouveau visible. Il avance son bassin, puis flatte sa virilité encore cachée, enserrant des bourses d’un volume impressionnant.
— C’est ça que tu aimes découvrir ? Un caleçon bien rempli ? Avec une belle quéquette ?
— Ça à l’air d’être une bête de concours. dis-je, fasciné.
De ses bourses, la main remonte calmement pour venir se positionner autour de son sexe, qu’il porte visiblement à gauche, révélant là aussi un très volumineux cylindre.
— Et si c’était ton jour de chance, tu le pomperais, ce gros bout ?
— Tu me fais cérébralement bander, mec. T’as un matos de folie, ma parole. Fais-moi vite voir ça ! Laisse-moi au moins glisser ma main dans ton calbut !
Ses doigts plongent sous le large élastique et malaxent son trois pièces sans me le révéler, faisant encore durer mon suspens. Il me torture !
— Ça m’excite de savoir que tu la désires. Tu vas me sucer, dans tous les cas. Tu m’as convaincu et j’en ai trop envie. T’es pressé ou tu as le temps ? me dit-il en triturant son paquet, toujours à l’abri de sa cage de coton.
— Tu n’es pas banale, toi ! J’ai tout mon temps.
— Tant mieux. Plus on me suce longtemps, plus je décharge. Tu veux voir ce qui va t’en mettre plein la bouche ?
Sans attendre mon approbation, ses fesses quittent de nouveau le siège pour réserver à son caleçon le même sort qu’au jean. Ses doigts se saisissent de l’élastique et entraînent le tissu vers ses genoux. Il doit être 21h00 et nous sommes seuls sur un parking. Un géant d’apparence fluet et pourtant musclé me fait un streap !
Ses bras se tendent, masquant encore quelques secondes ce sexe si convoité. Il me torture. Quand enfin ses mains relâchent le sous-vêtement et que ses fesses se reposent bien à l’avant du siège, mon sort est scellé : je vais me faire démonter la gueule.
Du bout de son gland encore calotté, l’œil de sa queue semble m’observer. Son prépuce fait office de paupière et seule l’extrémité du nœud en dépasse. Sa grosse hampe semble alanguie, tel un serpant prenant son bain-de-soleil, la tête posée à la pliure que forme l’haine avec la cuisse. Ses couilles sont presque disproportionnées tant elles s’imposent. Leur forme d’œuf leur donne véritablement un aspect “animal” : il a des burnes de taureau.
Soyons honnêtes : quand on aime sucer, on recherche de préférence des mecs bien montés et on espère toujours en trouver une qui sort de la moyenne. Celle-ci explose toutes mes attentes les plus gourmandes. Ce sexe est au-dessus du dessus. Imaginez ma putain de frustration, à cet instant. Je trouve un gars cool, enclin au jeu, monté comme un âne (réellement), et la seule chose que je vais pouvoir lui offrir sera une turlutte... assis sur mon fauteuil roulant ! La pilule est difficile à avaler, parfois. Car une bite de cet acabit entre les fesses m’aurait propulsé au ciel en aller simple ! Depuis mon handicap, j’en ai pourtant rencontré de belles.
Néanmoins, il est assis dans ma caisse et je peux déjà en profiter. Ma main glisse de son ventre plat jusqu’à la base de sa verge. Les poils courts picotent ma paume lorsque la douce chaleur de sa chair irradie mes doigts. Elle est étonnamment lourde, ploie sur la longueur lorsque je la soulève, comme tous les gros calibres. J’aimerais pouvoir me pencher et en gober le bout, mais ma blessure me l’interdit.
Mes doigts caressent maintenant ses bourses d’une réelle douceur et les testicules sont incroyablement mobiles à l’intérieur du scrotum. Il se laisse prospecter, certainement habitué à émerveiller ses conquêtes, lorsqu’il rompt le silence.
— Tu m’y invites, dans tes WC ? Parce que là, tu es en train de réveiller Popaul et j’ai hâte d’être confronté à tes talents !
Il me tient la porte ouverte le temps de rouler dans la pièce. Par chance, l’endroit est très propre, ce qui est somme toute plutôt rare. Les mecs rentrent dans des WC handis et ne se gênent pas pour pisser à côté. Quand ce n’est que pisser !
Le verrou tourné, l’homme me fait face, tout sourire, déboutonnant son pantalon. J’observe ses grandes mains, et aperçois également ses pieds ; tout est grand, chez lui. Il ne se contente pas d’ouvrir son pantalon ; il le retire entièrement, ainsi que le caleçon. Son sexe s’expose alors dans toute sa beauté, me faisant prendre “la mesure” de ce qui m’attend. Lui, toujours avec méthode, déboutonne sa chemise en me demandant comment il pourrait se placer pour que je sois à mon aise.
Un genou sur mes cuisses, l’autre jambe contre ma roue droite, c’est ainsi que je me retrouve confronté à “un problème de taille”. Le fait qu’il soit très grand place son sexe idéalement à hauteur de ma bouche. Mes mains se partagent ses organes ; une sous ses couilles, l’autre se saisit de la longue verge pour la porter à mes lèvres. Le gland renflé se dessine nettement sous le prépuce. En état de fascination totale, je fais coulisser ce chapeau de peau pour mettre au jour son gland violacé, salivant et m’humectant les lèvres pour le recevoir.
— Quel morceau tu as ! Je n’en espérais pas autant, tu me gâtes. Et quelles couilles ! Mazette.
Le gros nœud lisse me nargue, je peux en sentir son odeur musquée et déjà sa chaleur force ma bouche pour tenter de s’y glisser. La mâchoire ouverte en grand, j’avance le cou pour l’emboucher. Ses doigts passent dans mes cheveux avec tendresse alors que j’essaie de l’avaler le plus possible avant qu’il ne bande. Sa hampe frotte légèrement ma dentition, mais je sais qu’après quelques minutes, mes muscles vont se détendre, je gagnerai alors un peu d’ouverture.
— Tu as une grande et bonne bouche, dis donc. me complimente l’homme après quelques va-et-vient.
Ils me stimulent, lui et sa mégatrompe. J’entame un lent mouvement oscillatoire dans lequel ma main se vrille en cadence le long de sa hampe encore à demi molle. Ma bouche est pleine de ce bout gonflant graduellement ; les veines qui courent sur son manche son clairement perceptibles lorsqu’au passage, elles roulent sur mes lèvres.
— Oh oui, tu me suces très bien, tu sais ! Elle est difficile à avaler, mais tu es vachement doué. Tu me fais bander, mec !
Le temps de reprendre quelques gorgées d’air, je lui exprime toute ma fascination pour cet organe sculptural. Il me confie aimer commenter et également apprécier les bruits de succion presque exagérés, les gloussements de plaisirs... En bref, il aime qu’une simple pipe soit bien vivante, et cela me convient parfaitement.
Afin de “varier l’ordinaire”, ses couilles ne sont pas épargnées. Elles aussi, de par leur volume, peinent à pénétrer ma bouche. Je suis obligé de les aspirer fort pour qu’elles franchissent la barrière de mes lèvres, et lui profite de ma position pour tapoter sa lourde verge sur mes joues. Il bande complètement et son expansion s’est fort heureusement stoppée ; les muscles de ma mâchoire sont maintenant bien détendus, je peux profiter de cette quéquette de compétition.
Mes mains agrippent ses fesses et lui en fait de même avec ma tête et je m’empale la bouche le plus loin possible. Il n’y a pas que sa queue qui me traverse la tête : l’idée de me faire prendre par ce mec m’obsède. Un joujou pareil me ferait hurler de bonheur et décharger l’intégralité de mes vésicules séminales. Malheureusement, ça, c’était avant. 10 ans plus tôt, je le lui aurais proposé sur-le-champ.
Lorsque la pression est trop forte, je lèche son interminable hampe et le branle en le tenant fermement. Il ne semble pas pressé de jouir, c’en est presque incroyable. Je le pompe depuis 15 minutes et il reste frais comme un gardon, à jouer entre mes lèvres. Monsieur est un jouisseur, un virtuose de la bite, ce qui me frustre encore plus de ne pas pouvoir le prendre entre les fesses !
J’alterne entre des rythmes les plus effrénés et de langoureux jeux de langue autour de son nœud, ce qui lui arrache de forts grognements, mais ne le fera pas craquer. Il est de la trempe de ceux qui décident à quel moment ils éjaculent. Ils sont rares, mais ils existent.
Perdu dans ma dégustation, ses injonctions et mon plaisir, c’est à peine si je réalise qu’une voiture arrive. Juste à l’instant où le moteur s’arrête, je lui suggère de faire le moins de bruit possible afin de rester discret. Mais il me dit qu’au contraire, il adore la provocation, et que ça l’exciterait beaucoup d’être assez bruyant avec de francs bruits de bouche. Ça me convient. La portière claque et déjà les bruits de pas résonnent : une personne se trouve de l’autre côté de la porte. Un raclement de gorge et bruit de la fermeture éclair nous indique qu’elle se trouve devant les urinoirs.
— Oh, ce que tu me suces bien ! Tu aimes sucer ma grosse queue ? dit-il suffisamment fort pour être perçu.
— Un monstre pareil, je le sucerais toute la nuit ! Qu’elle est grosse, j’en suis dingue ! dis-je en lui embrassant le gland avec de forts bruits de bouche.
— Quelle bouche ! Reprends-la vite. Oui, plus fort.
Je grogne de plaisir en le pompant fort pendant qu’il continue ses onomatopées et qu’il emploie tous les superlatifs appropriés à cette situation somme toute inhabituelle. Ses couilles repassent par ma bouche avec les “sluuuuurrrrrpppps” qui vont avec, agrémenté de ses francs coups de bite sur mes joues générant des bruits mats.
Son bras se tend et je l’aperçois en train de libérer le verrou. Mon cœur s’accélère, partagé entre la crainte et l’excitation. Qui est derrière cette porte ? Un gendarme ? Un voyou ? Mon partenaire est costaud et imposant, certes, mais moi... je ne servirai pas à grand-chose si ça tourne mal. Et lui est à poils ! Mais ivre de luxure, je tète sa queue et repousse mes pensées.
— Tu vas bientôt me faire jouir, tu sais ? Je vais te remplir de foutre.
— Hummmm... j’adore.
— Tu veux que je décharge dans ta bonne bouche, ou tu préfères sur le visage ?
— Mets-moi tout dans la bouche ! Vas-y, quand tu veux, j’en meurs d’envie. J’ai besoin de foutre.
Sur ces paroles, la porte s’entrouvre et une silhouette apparaît. Du coin de l’œil, je constate que l’homme ne représente aucune menace. La seule arme qu’il a dans sa main est... une bite. Je reste à mon affaire en imaginant ce que peux ressentir une personne en découvrant un mec à demi nu, possédant une queue deux octaves au-dessus de la moyenne, en train de se faire pomper par un mec assis sur un fauteuil roulant !
— Putain de queue ! Je comprends mieux en la voyant. lâche l’intrus en refermant la porte. Je peux entrer ?
— Entre vite, je crois qu’il peut assumer plusieurs queues !
Mon “amant” lui vante les mérites de ma prestation, en insistant sur le fait qu’il soit rare pour lui de trouver de bons suceurs. Le nouveau venu s’approche de nous en branlant sa bite. Si elle n’a rien à voir avec celle déjà en bouche, elle reste tout de même un beau morceau, coiffée d’un très beau gland. Sans hésiter, je la prends en main et branle les deux mecs en regardant ces deux calibres.
— Suce-moi encore, je ne vais pas tarder à venir. Après, je t’admirerai sucer notre ami !
Sans me faire prier, je le reprends en bouche tout en le branlant avec vigueur. Ses encouragements se font plus pressants et je sens son nœud gonfler légèrement. Encore quelques va-et-vient et le voilà qu’il lâche un long grognement. Une contraction parcourt sa hampe et un jet de sperme me claque au fond du palais ; l’homme cède enfin au plaisir. Ma bouche est pleine, mais je ne tarde pas pour avaler, il ne va certainement pas en rester là. La semence salée glisse dans mon œsophage, faisant place à la suivante. Bien plus copieuse, il me la délivre presque dans la gorge, tant son coup de reins est fort. Son foutre a un goût assez fort et n’est pas liquide, mais bien crémeux.
Mais je vous avouerais que lorsque l’on suce une queue qui nous plaît, ce n’est pas que le sperme, qu’il faut prendre en compte, mais bien l’ensemble de cette pipe. L’éjaculation est l’apothéose de la fellation, et je reçois toujours la semence comme une récompense. Certaines sont meilleures que d’autres, mais il faut tenir compte de la globalité, de l’ensemble des éléments. J’ai avalé des spermes délicieux offerts par des sexes plutôt modestes, certaines belles queues ne m’ont versé que quelques gouttes...
Les mandibules écartelées autour de ce gros bout battant comme un cœur, je reçois encore trois autres belles giclées, toutes projetées au fond de ma bouche par ses mouvements de bassin. Je suis sur mon nuage, la queue de notre invité surprise toujours dans ma main gauche. J’essore la lourde hampe en dégustant les dernières “coulées” qu’elle me livre. La bouche un peu âcre, je nettoie mon amant d’un soir et profite de chacune de ses vibrations pour graver la scène à jamais dans ma mémoire.
Sa queue perd rapidement de sa rigidité, je la délaisse à regret, mais pour la bonne cause : j’espère une deuxième tournée.
— Putain, ce que tu m’as bien sucé ! Wouah ! Tu m’as fait jouir comme un dingue !
Mais le temps n’est pas aux commentaires. Le dernier arriver me demande de le sucer aussi en avançant son bassin le plus possible. Alors que le géant retire sa jambe de mes cuisses, le suivant ne met qu’une seconde pour prendre sa place. Sa belle queue ne force pas comme la précédente pour rentrer dans ma bouche. Elle coulisse assez vite et les deux tiers rentrent sans tracas, même s’il est plutôt bien membré.
— Allez, suce-le bien, fais-le décharger comme tu viens de le faire pour moi. Tu vas avoir une deuxième dose, hein ?
— Oh, vous m’avez bien chauffé, il va y avoir une bonne dose !
Je passe mon bras derrière lui et lui inflige un rythme plus soutenu. Là, je veux en finir. J’ai eu ce que je voulais, et c’est simplement parce qu’il se trouve là que j’en profite. Ah, maintenant, encore valide, j’aurais volontiers contenté ces deux messieurs en même temps !
En attendant, son nœud est plutôt spongieux, assez gros et il s’avère très agréable à pomper. Je l’entends souffler de plus en plus fort et comprends que l’affaire ne durera pas. Quelques minutes plus tard, il se cabre comme un cheval et décharge une dose à laquelle je ne m’attendais vraiment pas. En une seconde, j’ai la bouche pleine de foutre. J’avale presque dans la foulée son sperme presque sucré, en tout cas, bien meilleur que celui de mon géant.
L’homme grogne en me renvoyant un jet d’une rare puissance, presque détonante. C’est véritablement un gros juteur. Ce soir, je n’aurais pas besoin de fruits pour avoir mon quota de vitamines. Il ne faiblit pas et me remplit généreusement à six reprises avant de s’immobiliser, tremblant sur ses jambes. Je le garde tendrement en bouche sans pour autant délaisser mon autre performeur, dont je pétris les lourdes bourses avec toujours autant d’étonnement.
— Tu sais faire jouir les mecs, toi. commente mon géant lorsqu’enfin je me redresse.
— Que c’est bon ! dis-je, enfin libéré de mes bâillons. Vous m’avez gâté.
— Putain que c’est bon ! lance le dernier en regardant sa queue dégonfler entre ses doigts.
Je flatte encore un moment mes deux queues et les regarde ensuite se rajuster. Juste avant que mon premier mec ne fasse disparaître sa son impressionnant membre, l’intrus lui demande s’il peut la soupeser.
— Je n’ai jamais rien vu de pareil. Tu dois faire peur à beaucoup de personnes, quand tu la sors ?
— Ça arrive, en effet. Mais pas ce soir ! conclut-il avec un grand sourire.
Nous sortons après avoir vérifié que l’aire est calme. Avant de monter dans nos voitures, le temps d’une cigarette, je les remercie de leur ouverture d’esprit. Ce n’est pas toujours évident de draguer en fauteuil, beaucoup de mecs n’osent pas, ce que je respecte entièrement. C’était la première fois qu’ils étaient confrontés au handicap pour du sexe et pourtant, ils repartent avec une vision positive, comprenant complètement la légitimité de mes besoins.
Mon géant prend congé, il a encore quelques centaines de kilomètres à parcourir. L’intrus, lui, est du coin. Nous échangeons nos adresses mails afin de pouvoir reprendre rendez-vous discrètement, puis nous remontons dans nos voitures. Cette soirée n’a vraiment pas été banale.
Stratège élémentaire : un mec qui chasse montre sa bite. Il l’exhibe comme n’importe quelle personne met en ligne l’objet qu’il veut vendre. À l’instant où je coupe le moteur, les feux du véhicule garé de l’autre côté du bloc s’allument pour reprendre la route. C’est bien ma veine, j’arrive probablement à l’instant où les gars ont déjà fait leurs affaires.
Pourtant, de l’ombre sort une silhouette, un grand mec d’allure assez jeune et très très grand. Il marche calmement quand soudain son visage s’illumine. Il vient de sortir son smartphone... certainement un adepte de Grindr, la drague gay en ligne... Je descends ma vitre, 4 mètres environ nous séparent, il peut aisément apercevoir mon visage à la lueur de l’autoradio qui diffuse un morceau de blues. Il marche dans l’ersatz de pelouse entre les sanitaires et moi, me regarde à plusieurs reprises, mais ne cherche pas à s’approcher.
“Viens, allez, approche !” me dis-je à voix basse. “J’ai trop besoin d’une barre chaude entre les lèvres.” C’est alors qu’il se dirige vers les pissotières. Il est baraqué, le gazier. J’ai juste le temps de remarquer que son blouson dessine avantageusement ses larges épaules quand il pivote à gauche et disparaît. Va-t-il pisser ou se poste-t-il en mode “attente”, la queue à la main. Deux choix s’offrent à moi : sortir mon fauteuil roulant et le rejoindre ou bien attendre qu’il recule de sa cachette pour me présenter sa virilité. Les “couillus biens montés” pratiquent ce sport, sachant que nous, les pompeurs, sommes véritablement aimantés par les belles queues ! Le temps que je débarque mon fauteuil, il se sera certainement lassé ! Bref, le dilemme continuel qu’impose la drague en fauteuil : should I stay or should I go.
J’aperçois qu’il recule en remballant sa queue, que j’entrevois d’ailleurs furtivement. Un long morceau, et lorsqu’il remonte sa braguette, l’éclairage vertical laisse apparaître une longue bosse jusqu’au-dessus de sa poche droite ! “Merde, je me suis loupé, là.” marmonais-je en le regardant revenir à sa voiture. La portière s’ouvre et il disparaît à l’intérieur.
Frustré comme seul le handicap peut le faire, face à mes désirs et mes attentes. Déçu, je démarre, glisse le levier sur Drive et repars dans la nuit. Je n’ai plus qu’à tenter ma chance sur la prochaine aire, 15 kilomètres plus loin.
Celle-ci est déserte et beaucoup plus exposée que la précédente. Je me gare néanmoins sur les places bleues réservées et coupe le moteur. Une fois de plus, l’attente, l’espoir et l’insoutenable désir s’affrontent gentiment sur fond musical quand un pinceau de lumière fend l’obscurité. La voiture qui se place à droite de la mienne est celle de mon géant. Je suis maintenant presque sûr qu’il n’a pas trouvé ce qu’il cherche. Il manipule son smartphone, assis derrière son volant. Je baisse ma vitre et enfin notre regard se croise en pleine lumière. Ses traits ne sont ni laids ni beaux, et puis ce n’est pas une gueule que je recherche, après tout.
D’un signe de tête, je lui lance un salut. Il coupe son moteur et baisse sa vitre. C’est vrai que la situation est conne ; nous savons très bien pourquoi nous sommes là ! Il ne reste plus qu’à connaître nos attentes respectives. Il brise la glace le premier en me demandant ce que j’espère. Ma réponse est claire : sucer un homme, de préférence très bien monté. Il semble pouvoir arranger cela, selon ses propres paroles, mais n’a pas encore rencontré une âme assez charitable pour accéder à sa requête.
Le plaisir n’est qu’à quelques mètres de moi, il ne me reste plus qu’à lui “vendre” ma chaise à roulette. Combien n’osent pas. Combien déclinent, prétextant avoir le sentiment d’abuser de la situation ! Ce soir encore, l’annonce jette un froid. De toute façon, je n’ai jamais entendu un gars me répondre qu’il cherchait justement un handicapé pour tirer sa crampe ! Ne pas laisser les choses en plan, renouer le dialogue au plus vite, l’affaire n’a pas encore capoté.
— Tu es vraiment bien monté ? dis-je afin de parler des priorités, à savoir, sa bite.
— Pas mal, ouais. Disons quelques centimètres au-dessus de la moyenne.
Il y a les prétentieux et les modestes. Par expérience, les très bien bâtis n’ont pas forcément “le citron”, leur constitution les mettant naturellement à l’aise. D’ailleurs, un mec bien monté et bien burné ne craint pas de faire le tour du grand bassin de la piscine municipale, même en sortant de l’eau !
— Exactement ce dont je rêve : du volume et du sperme ! risquais-je, en bon provocateur qui ne veut pas capituler.
— T’es cash, toi, au moins. Tu n’as pas peur d’annoncer la couleur.
— Tu n’as pas l’air black, tu caches quelques choses ? Moi, je n’ai rien à cacher !
— Monsieur a de l’humour, c’est bien. Et pour quelle raison t’es en fauteuil ? s’inquiète-t-il.
— À cause d’un mec bourré. T’as pas envie de venir t’asseoir à côté ? On serait mieux pour parler, non ?
Les clignotants s’excitent lorsqu’il referme sa portière et vient prendre la place passagère. Rien n’est perdu, à ce stade. Il faut juste un peu de patience et y aller calmement. Pendant une vingtaine de minutes, les questions tournent autour de ce putain d’accident, de ma sexualité mise en berne avant d’en arriver à lui. Il a l’air propre, il est grand, très grand même, plutôt maigre, sa voix est grave et il est loin d’être stupide. Même si ce n’est pas l’objet de ma présence ici ce soir, cela ne nuit en rien.
— Et comment fais-tu, pour sucer. Tu peux te pencher ?
— En voiture, c’est une vraie galère et ça me fait mal au dos. Le plus simple, c’est à l’extérieur.
— Là, sur le parking, ça craint, non ? Je suis volontiers provocateur, mais pas exhibitionniste. Des familles peuvent passer par là.
— Il y a les WC handis, sinon, le fond du parking tout en bas. Presque pas de lumière et depuis qu’on est là, personne n’est passé.
— C’est pas faut. lâche-t-il, pensif.
— Tu as envie d’essayer ? Tu sais, cela n’engage à rien, si tu ne te sens pas à l’aise, on arrête !
— Et pour toi ? Où est ton plaisir ?
— En donner un maximum. C’est devenu cérébral, depuis ma paralysie.
Là, mon explication a toute son importance puisque d’elle dépend la suite. Et j’ai vraiment besoin d’une bonne queue. Je commence par lui décrire l’impatience de la découverte, quand le jean glisse et que les proportions se révèlent, l’organe idéalement encore à demi endormit. Puis lorsque c’est au tour du sous-vêtement de libérer la bête, lourde, massive, reposant sur de grosses bourses. L’équilibre sexe/bourses est important à mes yeux, car avant d’en avoir plein les mains, j’adore en avoir plein la vue. J’en suis déjà excité.
Vient ensuite le premier contact, généralement manuel, rendant cohérent le touché avec les premières impressions visuelles. La masse et cette indicible chaleur qu’une verge étreinte diffuse font monter le désir, la lourdeur des bourses, la pilosité...
C’est à cet instant que naît le désir de la sucer, de la savourer, de l’emmener vers la jouissance totale. Ce n’est que quand mon partenaire jouit fort dans ma bouche, qu’il s’emballe en déchargeant son foutre visqueux et tant espéré, que j’ai... une sorte d’orgasme.
— Tu en as déjà eu, des grosses entre les mains ?
— Depuis que je suis en vrac ? Oui, de très belles, en effet. Mais cela reste très rare. Une très grosse bite, ça ne se trouve pas sous le sabot d’un cheval !
— Ni d’un étalon ?
Sa main s’est entre temps posée sur son entrejambe et le malaxe. Le lampadaire situé à quelques pas arrose l’habitacle. Après un regard circulaire, ses grandes mains déboutonnent son jean pendant qu’il soulève son bassin. Le tissus glisse avec une lenteur toute calculée, révélant un caleçon très ajusté, moulant incroyablement bien ses formes jusqu’à ce que ses bras tendus m’en masquent la vue. Ce faisant, il m’observe en souriant, de toute évidence très sûr de lui. Le pantalon passe ses genoux, il repose ses fesses sereinement sur le siège et par magie, ce qui le rend de nouveau visible. Il avance son bassin, puis flatte sa virilité encore cachée, enserrant des bourses d’un volume impressionnant.
— C’est ça que tu aimes découvrir ? Un caleçon bien rempli ? Avec une belle quéquette ?
— Ça à l’air d’être une bête de concours. dis-je, fasciné.
De ses bourses, la main remonte calmement pour venir se positionner autour de son sexe, qu’il porte visiblement à gauche, révélant là aussi un très volumineux cylindre.
— Et si c’était ton jour de chance, tu le pomperais, ce gros bout ?
— Tu me fais cérébralement bander, mec. T’as un matos de folie, ma parole. Fais-moi vite voir ça ! Laisse-moi au moins glisser ma main dans ton calbut !
Ses doigts plongent sous le large élastique et malaxent son trois pièces sans me le révéler, faisant encore durer mon suspens. Il me torture !
— Ça m’excite de savoir que tu la désires. Tu vas me sucer, dans tous les cas. Tu m’as convaincu et j’en ai trop envie. T’es pressé ou tu as le temps ? me dit-il en triturant son paquet, toujours à l’abri de sa cage de coton.
— Tu n’es pas banale, toi ! J’ai tout mon temps.
— Tant mieux. Plus on me suce longtemps, plus je décharge. Tu veux voir ce qui va t’en mettre plein la bouche ?
Sans attendre mon approbation, ses fesses quittent de nouveau le siège pour réserver à son caleçon le même sort qu’au jean. Ses doigts se saisissent de l’élastique et entraînent le tissu vers ses genoux. Il doit être 21h00 et nous sommes seuls sur un parking. Un géant d’apparence fluet et pourtant musclé me fait un streap !
Ses bras se tendent, masquant encore quelques secondes ce sexe si convoité. Il me torture. Quand enfin ses mains relâchent le sous-vêtement et que ses fesses se reposent bien à l’avant du siège, mon sort est scellé : je vais me faire démonter la gueule.
Du bout de son gland encore calotté, l’œil de sa queue semble m’observer. Son prépuce fait office de paupière et seule l’extrémité du nœud en dépasse. Sa grosse hampe semble alanguie, tel un serpant prenant son bain-de-soleil, la tête posée à la pliure que forme l’haine avec la cuisse. Ses couilles sont presque disproportionnées tant elles s’imposent. Leur forme d’œuf leur donne véritablement un aspect “animal” : il a des burnes de taureau.
Soyons honnêtes : quand on aime sucer, on recherche de préférence des mecs bien montés et on espère toujours en trouver une qui sort de la moyenne. Celle-ci explose toutes mes attentes les plus gourmandes. Ce sexe est au-dessus du dessus. Imaginez ma putain de frustration, à cet instant. Je trouve un gars cool, enclin au jeu, monté comme un âne (réellement), et la seule chose que je vais pouvoir lui offrir sera une turlutte... assis sur mon fauteuil roulant ! La pilule est difficile à avaler, parfois. Car une bite de cet acabit entre les fesses m’aurait propulsé au ciel en aller simple ! Depuis mon handicap, j’en ai pourtant rencontré de belles.
Néanmoins, il est assis dans ma caisse et je peux déjà en profiter. Ma main glisse de son ventre plat jusqu’à la base de sa verge. Les poils courts picotent ma paume lorsque la douce chaleur de sa chair irradie mes doigts. Elle est étonnamment lourde, ploie sur la longueur lorsque je la soulève, comme tous les gros calibres. J’aimerais pouvoir me pencher et en gober le bout, mais ma blessure me l’interdit.
Mes doigts caressent maintenant ses bourses d’une réelle douceur et les testicules sont incroyablement mobiles à l’intérieur du scrotum. Il se laisse prospecter, certainement habitué à émerveiller ses conquêtes, lorsqu’il rompt le silence.
— Tu m’y invites, dans tes WC ? Parce que là, tu es en train de réveiller Popaul et j’ai hâte d’être confronté à tes talents !
Il me tient la porte ouverte le temps de rouler dans la pièce. Par chance, l’endroit est très propre, ce qui est somme toute plutôt rare. Les mecs rentrent dans des WC handis et ne se gênent pas pour pisser à côté. Quand ce n’est que pisser !
Le verrou tourné, l’homme me fait face, tout sourire, déboutonnant son pantalon. J’observe ses grandes mains, et aperçois également ses pieds ; tout est grand, chez lui. Il ne se contente pas d’ouvrir son pantalon ; il le retire entièrement, ainsi que le caleçon. Son sexe s’expose alors dans toute sa beauté, me faisant prendre “la mesure” de ce qui m’attend. Lui, toujours avec méthode, déboutonne sa chemise en me demandant comment il pourrait se placer pour que je sois à mon aise.
Un genou sur mes cuisses, l’autre jambe contre ma roue droite, c’est ainsi que je me retrouve confronté à “un problème de taille”. Le fait qu’il soit très grand place son sexe idéalement à hauteur de ma bouche. Mes mains se partagent ses organes ; une sous ses couilles, l’autre se saisit de la longue verge pour la porter à mes lèvres. Le gland renflé se dessine nettement sous le prépuce. En état de fascination totale, je fais coulisser ce chapeau de peau pour mettre au jour son gland violacé, salivant et m’humectant les lèvres pour le recevoir.
— Quel morceau tu as ! Je n’en espérais pas autant, tu me gâtes. Et quelles couilles ! Mazette.
Le gros nœud lisse me nargue, je peux en sentir son odeur musquée et déjà sa chaleur force ma bouche pour tenter de s’y glisser. La mâchoire ouverte en grand, j’avance le cou pour l’emboucher. Ses doigts passent dans mes cheveux avec tendresse alors que j’essaie de l’avaler le plus possible avant qu’il ne bande. Sa hampe frotte légèrement ma dentition, mais je sais qu’après quelques minutes, mes muscles vont se détendre, je gagnerai alors un peu d’ouverture.
— Tu as une grande et bonne bouche, dis donc. me complimente l’homme après quelques va-et-vient.
Ils me stimulent, lui et sa mégatrompe. J’entame un lent mouvement oscillatoire dans lequel ma main se vrille en cadence le long de sa hampe encore à demi molle. Ma bouche est pleine de ce bout gonflant graduellement ; les veines qui courent sur son manche son clairement perceptibles lorsqu’au passage, elles roulent sur mes lèvres.
— Oh oui, tu me suces très bien, tu sais ! Elle est difficile à avaler, mais tu es vachement doué. Tu me fais bander, mec !
Le temps de reprendre quelques gorgées d’air, je lui exprime toute ma fascination pour cet organe sculptural. Il me confie aimer commenter et également apprécier les bruits de succion presque exagérés, les gloussements de plaisirs... En bref, il aime qu’une simple pipe soit bien vivante, et cela me convient parfaitement.
Afin de “varier l’ordinaire”, ses couilles ne sont pas épargnées. Elles aussi, de par leur volume, peinent à pénétrer ma bouche. Je suis obligé de les aspirer fort pour qu’elles franchissent la barrière de mes lèvres, et lui profite de ma position pour tapoter sa lourde verge sur mes joues. Il bande complètement et son expansion s’est fort heureusement stoppée ; les muscles de ma mâchoire sont maintenant bien détendus, je peux profiter de cette quéquette de compétition.
Mes mains agrippent ses fesses et lui en fait de même avec ma tête et je m’empale la bouche le plus loin possible. Il n’y a pas que sa queue qui me traverse la tête : l’idée de me faire prendre par ce mec m’obsède. Un joujou pareil me ferait hurler de bonheur et décharger l’intégralité de mes vésicules séminales. Malheureusement, ça, c’était avant. 10 ans plus tôt, je le lui aurais proposé sur-le-champ.
Lorsque la pression est trop forte, je lèche son interminable hampe et le branle en le tenant fermement. Il ne semble pas pressé de jouir, c’en est presque incroyable. Je le pompe depuis 15 minutes et il reste frais comme un gardon, à jouer entre mes lèvres. Monsieur est un jouisseur, un virtuose de la bite, ce qui me frustre encore plus de ne pas pouvoir le prendre entre les fesses !
J’alterne entre des rythmes les plus effrénés et de langoureux jeux de langue autour de son nœud, ce qui lui arrache de forts grognements, mais ne le fera pas craquer. Il est de la trempe de ceux qui décident à quel moment ils éjaculent. Ils sont rares, mais ils existent.
Perdu dans ma dégustation, ses injonctions et mon plaisir, c’est à peine si je réalise qu’une voiture arrive. Juste à l’instant où le moteur s’arrête, je lui suggère de faire le moins de bruit possible afin de rester discret. Mais il me dit qu’au contraire, il adore la provocation, et que ça l’exciterait beaucoup d’être assez bruyant avec de francs bruits de bouche. Ça me convient. La portière claque et déjà les bruits de pas résonnent : une personne se trouve de l’autre côté de la porte. Un raclement de gorge et bruit de la fermeture éclair nous indique qu’elle se trouve devant les urinoirs.
— Oh, ce que tu me suces bien ! Tu aimes sucer ma grosse queue ? dit-il suffisamment fort pour être perçu.
— Un monstre pareil, je le sucerais toute la nuit ! Qu’elle est grosse, j’en suis dingue ! dis-je en lui embrassant le gland avec de forts bruits de bouche.
— Quelle bouche ! Reprends-la vite. Oui, plus fort.
Je grogne de plaisir en le pompant fort pendant qu’il continue ses onomatopées et qu’il emploie tous les superlatifs appropriés à cette situation somme toute inhabituelle. Ses couilles repassent par ma bouche avec les “sluuuuurrrrrpppps” qui vont avec, agrémenté de ses francs coups de bite sur mes joues générant des bruits mats.
Son bras se tend et je l’aperçois en train de libérer le verrou. Mon cœur s’accélère, partagé entre la crainte et l’excitation. Qui est derrière cette porte ? Un gendarme ? Un voyou ? Mon partenaire est costaud et imposant, certes, mais moi... je ne servirai pas à grand-chose si ça tourne mal. Et lui est à poils ! Mais ivre de luxure, je tète sa queue et repousse mes pensées.
— Tu vas bientôt me faire jouir, tu sais ? Je vais te remplir de foutre.
— Hummmm... j’adore.
— Tu veux que je décharge dans ta bonne bouche, ou tu préfères sur le visage ?
— Mets-moi tout dans la bouche ! Vas-y, quand tu veux, j’en meurs d’envie. J’ai besoin de foutre.
Sur ces paroles, la porte s’entrouvre et une silhouette apparaît. Du coin de l’œil, je constate que l’homme ne représente aucune menace. La seule arme qu’il a dans sa main est... une bite. Je reste à mon affaire en imaginant ce que peux ressentir une personne en découvrant un mec à demi nu, possédant une queue deux octaves au-dessus de la moyenne, en train de se faire pomper par un mec assis sur un fauteuil roulant !
— Putain de queue ! Je comprends mieux en la voyant. lâche l’intrus en refermant la porte. Je peux entrer ?
— Entre vite, je crois qu’il peut assumer plusieurs queues !
Mon “amant” lui vante les mérites de ma prestation, en insistant sur le fait qu’il soit rare pour lui de trouver de bons suceurs. Le nouveau venu s’approche de nous en branlant sa bite. Si elle n’a rien à voir avec celle déjà en bouche, elle reste tout de même un beau morceau, coiffée d’un très beau gland. Sans hésiter, je la prends en main et branle les deux mecs en regardant ces deux calibres.
— Suce-moi encore, je ne vais pas tarder à venir. Après, je t’admirerai sucer notre ami !
Sans me faire prier, je le reprends en bouche tout en le branlant avec vigueur. Ses encouragements se font plus pressants et je sens son nœud gonfler légèrement. Encore quelques va-et-vient et le voilà qu’il lâche un long grognement. Une contraction parcourt sa hampe et un jet de sperme me claque au fond du palais ; l’homme cède enfin au plaisir. Ma bouche est pleine, mais je ne tarde pas pour avaler, il ne va certainement pas en rester là. La semence salée glisse dans mon œsophage, faisant place à la suivante. Bien plus copieuse, il me la délivre presque dans la gorge, tant son coup de reins est fort. Son foutre a un goût assez fort et n’est pas liquide, mais bien crémeux.
Mais je vous avouerais que lorsque l’on suce une queue qui nous plaît, ce n’est pas que le sperme, qu’il faut prendre en compte, mais bien l’ensemble de cette pipe. L’éjaculation est l’apothéose de la fellation, et je reçois toujours la semence comme une récompense. Certaines sont meilleures que d’autres, mais il faut tenir compte de la globalité, de l’ensemble des éléments. J’ai avalé des spermes délicieux offerts par des sexes plutôt modestes, certaines belles queues ne m’ont versé que quelques gouttes...
Les mandibules écartelées autour de ce gros bout battant comme un cœur, je reçois encore trois autres belles giclées, toutes projetées au fond de ma bouche par ses mouvements de bassin. Je suis sur mon nuage, la queue de notre invité surprise toujours dans ma main gauche. J’essore la lourde hampe en dégustant les dernières “coulées” qu’elle me livre. La bouche un peu âcre, je nettoie mon amant d’un soir et profite de chacune de ses vibrations pour graver la scène à jamais dans ma mémoire.
Sa queue perd rapidement de sa rigidité, je la délaisse à regret, mais pour la bonne cause : j’espère une deuxième tournée.
— Putain, ce que tu m’as bien sucé ! Wouah ! Tu m’as fait jouir comme un dingue !
Mais le temps n’est pas aux commentaires. Le dernier arriver me demande de le sucer aussi en avançant son bassin le plus possible. Alors que le géant retire sa jambe de mes cuisses, le suivant ne met qu’une seconde pour prendre sa place. Sa belle queue ne force pas comme la précédente pour rentrer dans ma bouche. Elle coulisse assez vite et les deux tiers rentrent sans tracas, même s’il est plutôt bien membré.
— Allez, suce-le bien, fais-le décharger comme tu viens de le faire pour moi. Tu vas avoir une deuxième dose, hein ?
— Oh, vous m’avez bien chauffé, il va y avoir une bonne dose !
Je passe mon bras derrière lui et lui inflige un rythme plus soutenu. Là, je veux en finir. J’ai eu ce que je voulais, et c’est simplement parce qu’il se trouve là que j’en profite. Ah, maintenant, encore valide, j’aurais volontiers contenté ces deux messieurs en même temps !
En attendant, son nœud est plutôt spongieux, assez gros et il s’avère très agréable à pomper. Je l’entends souffler de plus en plus fort et comprends que l’affaire ne durera pas. Quelques minutes plus tard, il se cabre comme un cheval et décharge une dose à laquelle je ne m’attendais vraiment pas. En une seconde, j’ai la bouche pleine de foutre. J’avale presque dans la foulée son sperme presque sucré, en tout cas, bien meilleur que celui de mon géant.
L’homme grogne en me renvoyant un jet d’une rare puissance, presque détonante. C’est véritablement un gros juteur. Ce soir, je n’aurais pas besoin de fruits pour avoir mon quota de vitamines. Il ne faiblit pas et me remplit généreusement à six reprises avant de s’immobiliser, tremblant sur ses jambes. Je le garde tendrement en bouche sans pour autant délaisser mon autre performeur, dont je pétris les lourdes bourses avec toujours autant d’étonnement.
— Tu sais faire jouir les mecs, toi. commente mon géant lorsqu’enfin je me redresse.
— Que c’est bon ! dis-je, enfin libéré de mes bâillons. Vous m’avez gâté.
— Putain que c’est bon ! lance le dernier en regardant sa queue dégonfler entre ses doigts.
Je flatte encore un moment mes deux queues et les regarde ensuite se rajuster. Juste avant que mon premier mec ne fasse disparaître sa son impressionnant membre, l’intrus lui demande s’il peut la soupeser.
— Je n’ai jamais rien vu de pareil. Tu dois faire peur à beaucoup de personnes, quand tu la sors ?
— Ça arrive, en effet. Mais pas ce soir ! conclut-il avec un grand sourire.
Nous sortons après avoir vérifié que l’aire est calme. Avant de monter dans nos voitures, le temps d’une cigarette, je les remercie de leur ouverture d’esprit. Ce n’est pas toujours évident de draguer en fauteuil, beaucoup de mecs n’osent pas, ce que je respecte entièrement. C’était la première fois qu’ils étaient confrontés au handicap pour du sexe et pourtant, ils repartent avec une vision positive, comprenant complètement la légitimité de mes besoins.
Mon géant prend congé, il a encore quelques centaines de kilomètres à parcourir. L’intrus, lui, est du coin. Nous échangeons nos adresses mails afin de pouvoir reprendre rendez-vous discrètement, puis nous remontons dans nos voitures. Cette soirée n’a vraiment pas été banale.
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