L'inceste... suite et fin.
Récit érotique écrit par Philus [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-07-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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L'inceste... suite et fin.
Lire auparavant : L’inceste
Audrey, contre son gré, dévora des yeux le membre viril de son fils pendant quelques minutes. Machinalement, elle glissa un doigt dans sa culotte et caressa sa vulve qui s’humidifiait malgré elle.
— Je ne dois pas, je ne dois pas, je ne devrais pas, je ne…, se réprimanda-t-elle en mordillant son poing.
Puis, en dépit du poids énorme de sa culpabilité, sans quitter du regard le formidable pénis de Vincent, elle entra, se coula furtivement derrière lui et posa les mains sur ses épaules.
— Mais… commença-t-il.
Audrey embrassa son fils sur la joue et lui murmura à l’oreille.
— Arrête de te branler, j’ai mieux à te proposer.
Elle se saisit du membre chaud qu’elle tâta comme un fruit mûr sur toute sa longueur. Elle ne put s’empêcher également de palper les grosses gonades qui suppliaient qu’on les vidange. Elle n’en revenait pas et eut soudain l’impression de ne jamais avoir connu d’hommes auparavant. La surprise passée, Vincent protesta mollement.
— Maman, qu’est-ce que tu fais ?
C’était rare qu’il appelât sa mère ainsi. Audrey était déconnectée de la réalité. Sa pulsion sexuelle était telle, qu’elle faisait totalement fi des circonstances dans lesquelles elle s’apprêtait à en venir à bout.
— Bouge pas mon chéri.
Audrey, qui portait une robe ample, la remonta sous ses aisselles et ôta sa culotte qui tomba à ses pieds. Elle monta sur les genoux de son fils.
— Je mouille comme une vache, chéri. Enfonce ta bite dans ma chatte s’il te plaît, après tout, c’est de là qu’elle vient…
Vincent, sonné par ce qui était en train de se dérouler et par le langage cru de sa mère, mais excité par sa masturbation, prit sa verge d’une main. À l’aide de son gland turgescent, il chercha le sexe brûlant. Quand il le trouva, il pénétra le conduit largement lubrifié. Audrey appuya ses hanches fortement et engloutit dans son vagin les vingt-quatre centimètres de chair en poussant un cri mêlé d’un gémissement de plaisir.
— Aaaahhh… Comme tu me remplis bien, mon chéri. Vite ! Fais jouir ta mère, fais-la jouir !
Compte tenu de la position assise de Vincent, ce dernier remuait maladroitement son bassin de haut en bas et Audrey l’accompagnait comme elle le pouvait. Elle râlait à chaque fois que le membre surdimensionné touchait le col de l’utérus, mais tel un mantra elle marmonnait sans fin :
— Encore plus loin… Encore plus loin… Encore plus loin…
Vincent fermait les yeux, il pilonnait sa mère, mais ne s’en étonnait plus. Ce n’était plus sa génitrice, mais juste un endroit où il allait se vider les couilles. Soudain :
— Je vais jouir maman, je vais jouir !...
— Attends un peu ! Attends ! Je viens aussi !
L’orgasme colossal vrilla soudain le vagin d’Audrey, suivi par l’éjaculation de Vincent.
— Aaaahhh !!! Je jouiiiiis… crièrent-ils en même temps.
Quelques aller-retour résiduels le long du membre fantastique parachevèrent leur jouissance. Audrey se laissa enfin retomber sur Vincent, gardant sa bite ramollie dans son écrin. Ils restèrent immobiles pendant quelques minutes ; Audrey enlaçait son fils et lui déposaient quelques menus baisers dans le cou. Elle descendit de ses genoux et, en levant la jambe, une quantité non négligeable de sperme s’échappa de sa vulve pour lui couler sur la cuisse. Elle s’essuya à l’aide de sa culotte qu’elle ramassa. L’excitation sexuelle assouvie, Audrey et Vincent n’osaient plus se regarder. Ils avaient commis un inceste et quoi qu’ils fissent maintenant, ils ne pourraient pas modifier le passé.
–*–
Il s’était écoulé trois semaines depuis cet incident, période pendant laquelle Vincent et sa mère n’eurent aucun rapport sexuel. Ils avaient tous deux trouvé, en revanche, une tendre complicité de mère à fils. Complicité qui ressemblait fortement à de l’amour filial, ce qui n’était pas tout à fait le cas précédemment. À ce stade, chacun aurait pu faire comme s’il ne s’était rien passé et continuer sa vie comme avant.
Au lieu de cela, Audrey et son fils, dont les rapports n’étaient pas toujours faciles, se sont passablement rapprochés et à la fin, ni Audrey ni Vincent ne culpabilisait plus. Audrey avait été subjuguée par la puissance sexuelle de son fils et Vincent s’était réjoui qu’enfin une femme acceptât son gros pénis dans son vagin. « Finalement, pensait Vincent, c’est Jules qui avait raison : je n’aurais jamais dû essayer mes premières fois avec de jeunes femmes, mais avec des femmes de l’âge de ma mère. De là à imaginer que je le ferais avec la mienne … ».
Vincent prit également conscience de l’attrait extraordinaire de ses attributs virils hors norme. Grâce à eux il avait d’abord séduit Jules, qui était bi-sexuel et enfin sa propre mère sans parler des petites tapettes du pub des drag-queens. Au lieu de la considérer comme un problème, la taille de sa bite était devenue pour lui un privilège certain.
–*–
Vincent, un matin où sa mère ne travaillait pas, paressait dans son bain moussant. Tout à son smartphone avec lequel il jouait, il n’entendit pas la porte s’ouvrir. Audrey parut nue sous son peignoir de bain.
— T’en mets un temps ! Tu n’es pas en train de te tripoter au moins ?
Vincent se mit à rire.
— Non. Tiens, vérifie par toi-même, elle est toute molle.
Comme la mousse cachait le corps de son fils, Audrey s’agenouilla près de la baignoire, passa ses deux bras par-dessus le bord et les plongea dans l’eau. Elle rechercha l’objet du présumé délit à tâtons. Elle le trouva et l’agrippa fermement.
— Elle est molle, tu as raison, mais elle est bien longue…
— C’est sa longueur normale, tu sais maman, assura Vincent.
Audrey soupira tout en caressant la verge.
— Je ne m’y ferai jamais.
— Maman ! Tu vas me faire bander…
Audrey sourit.
— On va jouer au sous-marin. Ta bite c’est le périscope et quand il dépasse de la surface de l’eau, l’ennemi passe à l’attaque !
Audrey commença à masturber Vincent.
— Maman, tu retombes en enfance ! se moqua-t-il en riant.
Le périscope ne tarda pas à montrer le bout de son nez ou plutôt, le bout de son gland. Audrey secouait rapidement le prépuce de haut en bas et la verge de son fils prit de l’ampleur. Il arriva le moment où son pénis dépassa réellement de l’eau.
— Périscope en vue ! Périscope en vue ! À l’attaque ! s’amusa Audrey.
Accompagnant le geste à la parole, elle se pencha un peu plus et engloutit la bite dans sa bouche grande ouverte et l’excita de sa langue. Vincent soupira et remonta involontairement son bassin, ce qui accentuait la caresse buccale. Sa mère entourait son pénis de ses deux mains et suçait le gros bout rose et rond. Elle tenta sans succès d’engouffrer la totalité du membre viril, mais elle s’étouffa à moitié. Après avoir repris son souffle, elle continua sa fellation de plus belle.
— Maman, arrête ! Tu vas me faire jouir ! implora Vincent qui souhaitait pourtant bien en arriver là.
À cette phrase, Audrey augmenta la pression sur la hampe et les testicules et fit aller et venir la longue verge dans sa bouche.
— Je jouis, maman ! Je jouis…
Audrey reçut plusieurs giclées de sperme qu’elle avala une par une. Puis, le gland devenu sensible, Vincent lui repoussa doucement la tête.
— Je t’en prie, arrête ! supplia-t-il.
Audrey cessa sa caresse, lécha le méat où perlait une goutte de liquide séminal, puis déposa un baiser sonore sur le sexe qui débandait.
— Alors, tu me la laisses maintenant cette baignoire ? s’exclama Audrey en riant.
— Ah ! C’était pour ça ! Tiens ! rétorqua Vincent en lançant un peu de mousse au visage de sa mère, avant d’éclater de rire à son tour.
Il ouvrit la bonde de la baignoire pour en sortir après quelques minutes. Audrey fit couler son bain pendant que son fils se séchait.
— Viens me voir tout à l’heure, minauda-t-elle.
— Pour quoi faire, tu n’as pas de périscope ? répondit Vincent avec malice.
— Non, mais j’ai des galeries sous-marines que tu peux explorer.
Vincent se pencha vers sa mère et déposa un léger baiser sur ses lèvres en souriant.
— La plongée-spéléo m’a toujours intéressé. À tout à l’heure.
Vincent retourna dans ses quartiers et s’installa à son ordinateur. Pris par le jeu vidéo qu’il avait lancé, il en oublia sa mère et ses « galeries sous-marines ». Une demi-heure plus tard, il posa son casque et se rendit dans la salle de bains. Audrey n’y était plus.
— Tout de même ! clama une voix depuis la chambre d’Audrey. Tu as enfin lâché ton truc !
— Oui maman, désolé pour ton bain.
— Viens-là, mon garçon, poursuivit la voix.
Vincent entra dans la pièce. Audrey était couchée sur le dos, nue, et les genoux pliés. Elle écarta les cuisses.
— Suce-moi et prends-moi, ordonna-t-elle.
Vincent s’allongea sur le ventre entre les jambes de sa mère, la tête à hauteur de sa vulve. La fente offerte était déjà brillante de désir. Il approcha son visage, ouvrit la bouche et pénétra les petites lèvres de sa langue. Audrey soupira langoureusement. Le garçon sentit une vague de cyprine lui couler dans la gorge, il la dégusta puis l’avala. Sortant sa langue du vagin, il en toucha de l’extrémité le bouton rose bien caché sous son repli de peau. Sa mère gémit sous la caresse. Il n’avait pas eu beaucoup d’expérience avec les femmes ; il léchait la chatte d’Audrey assez maladroitement, mais suffisamment bien pour qu’elle lui prenne la nuque des deux mains pour l’appuyer fort sur son entrejambe. Elle geignait en cadence.
— Han… Han… Han…
Vincent était barbouillé de cyprine. Sa bouche naturellement, mais aussi son nez, son menton et ses joues. Audrey maintenait sa tête avec tellement de force qu’il avait du mal à respirer. Soudain, les deux cuisses se refermèrent et l’enserrèrent tant qu’il crut étouffer.
— Aaaaahhhh… Tu me fais jouir, tu me fais jouir, tu me fais jouiiiirrrr…
La tornade passée, Audrey relâcha la pression et libéra Vincent qui reprit sa respiration. Il se mit à genoux devant sa mère en lui présentant ses organes génitaux. Lorgnant l’érection de Vincent, elle se retourna et, à quatre pattes en appui sur ses coudes et genoux, implora son fils :
— Prends le petit trou, Vincent.
— Tu es sûre, maman ?
— Jules et d’autres l’ont déjà fait, mais je veux le faire avec toi.
À ces mots, elle sortit de sous son oreiller un flacon incolore et le tendit à Vincent.
— Sers-toi de ça.
Vincent prit le gel, en appliqua sur sa verge et dans le sillon fessier de sa mère en insistant sur le sphincter. Il introduisit un doigt puis deux dans la petite rondelle plissée et assouplit le rectum. Audrey, son envie à son paroxysme, attendait l’estocade avec impatience. Vincent reposa le flacon sur le lit et approcha son gland décalotté de l’anus. Il poussa et le gros dard s’infiltra tout de suite.
— Aaahhh…
— Ça va maman ?
— Oui, oui, continue, souffla Audrey.
Vincent appuya un peu plus et son pénis hors norme entra de la moitié de sa longueur. Le sphincter était dilaté comme il ne l’avait jamais été et Audrey mordit l’oreiller. Elle cria la bouche fermée. Vincent se coucha sur le dos de sa mère et fit pénétrer la totalité de son phallus d’un coup sec. Audrey lâcha l’oreiller en hurlant.
— Ouiiiiii !!!!
Vincent entama alors un va-et-vient dans le rectum d’Audrey qui couinait à chaque poussée. Se libérant d’un bras, elle le passa sous elle et ses doigts triturèrent son clitoris. Quelques minutes s’écoulèrent. Le membre de Vincent avait trouvé son chemin, les boyaux de sa mère ne rechignaient plus. Sentant son orgasme proche, Audrey s’écria :
— Viens mon fils, viens !
Vincent accéléra la cadence et mère et fils s’unirent dans une jouissance peu commune. On entendit qu’un seul cri, même si le registre des voix différait.
— Aaaaaahhhhh !!!!
Vincent termina son coït en donnant de grands coups de ventre et de couilles contre les fesses d’Audrey tandis qu’elle avait repris un coin d’oreiller entre ses dents.
— Hmmmfff… Hmmmfff…
Essoufflés, ils se séparèrent enfin. Vincent s’allongea sur le dos à côté de sa mère tandis que cette dernière se laissa tomber à plat ventre, bras et jambes écartés. Du sperme s’échappa de l’anus pour suinter le long de son périnée.
–*–
Audrey et son fils comblèrent ainsi leurs besoins sexuels pendant quelque temps. Toutefois, Vincent commençait à regretter les soirées fiévreuses du pub avec les drag-queens et les petites lopettes qui le pompaient et qui couinaient fort lorsqu’il les enculait. De plus, il repensa à Jules et se dit que la situation était injuste pour lui. Jules avait été pour lui d’une grande aide morale, et il aimait bien le sodomiser ou lui donner sa bite à sucer.
Un soir, Vincent, qui avait passé l’après-midi au bar des drag-queens, rentra chez lui. Sa mère l’attendait, possessive, agressive.
— Où étais-tu passé ? questionna-t-elle d’un ton sec.
— Bonjour maman, tu es partie de bonne heure au boulot ce matin, je ne t’ai pas encore vue de la journée, répondit Vincent mi-figue, mi-raisin.
Audrey se rendit compte de sa maladresse.
— Oui, bonjour, mon fils, c’est que je me suis inquiétée…
— Je suis allé rendre visite aux drag-queens de la rue des hirondelles. Tu sais le « Glam Rave Pub » ?
— Tu t’es tapé un mec, c’est ça ? Jules m’a dit que tu étais bi.
— Oui, j’en avais envie.
— Je ne te suffis pas ?
— C’est pas ça, maman. C’est juste que de temps en temps, j’aime bien caresser des petites bites et sodomiser des petits culs.
— Je te l’interdis à l’avenir, menaça Audrey déterminée en levant l’index.
— Maman, d’abord tu n’as rien à m’interdire, car je suis majeur. Deuxièmement, puis-je te rappeler une chose ? Tu as fichu Jules dehors parce qu’il couchait avec moi, ça te semblait inapproprié. Or maintenant, tu fais exactement la même chose en étant ma mère. Ce n’est pas moins inapproprié, il me semble.
Audrey accusa le coup en baissant les yeux. Vincent poursuivit.
— Alors, d’accord pour les lopettes du pub, mais tu demandes à Jules de revenir habiter avec nous.
Audrey se radoucit et s’assit, ou plutôt se laissa choir, dans le canapé du salon. Vincent prit place dans un fauteuil, il attendait qu’elle s’exprime.
— Tu as raison, Vincent. C’est de la jalousie mal placée. Je n’ai pas le droit de t’empêcher de vivre ta vie. De plus, je pense à Jules depuis qu’il est parti. Il m’aime et j’aime quand il me fait l’amour. Oui, je sais, il est moins bien loti que toi côté quéquette, mais il sait bien s’en servir et il me fait jouir aussi. Bref, je l’aime, toi aussi, mais d’une manière différente.
Un silence s’établit pendant une minute. Vincent reprit.
— Tu crois qu’il accepterait de revenir ?
— Je ne sais pas, il est resté à Chambéry. Même s’il ne vient pas vivre avec nous, il peut nous rendre visite régulièrement. J’ignore ce qu’il va décider. Je l’appelle demain, je suis de repos.
Vincent se leva, s’approcha de sa mère et l’embrassa sur les lèvres.
— Merci, murmura-t-il.
Audrey, qui avait en face d’elle la braguette de son fils, l’ouvrit et sortit le long pénis de son slip protecteur. La verge était molle, mais elle la réchauffa de sa main et celle-ci durcit. Ensuite, Audrey la décalotta et engloutit le gland dans sa bouche.
Mère et fils fermèrent les yeux, savourant l’instant.
–*–
Ce soir-là, Audrey, Vincent et Jules discutaient au salon devant un verre. Jules avait été très étonné de l’appel d’Audrey, mais il l’aimait autant qu’avant leur séparation et le fait qu’elle l’ait chassé de chez elle n’avait pas encore terni ce sentiment. Les explications d’Audrey avaient été confuses, il n’avait rien compris. La seule chose qu’il avait retenue c’est qu’elle l’invitait à prendre l’apéritif ; aussi s’empressa-t-il d’accepter.
Il se présenta avec un bouquet de fleurs. Audrey rougit et déclara :
— J’avais oublié comme tu étais galant.
Puis elle déposa un baiser sur ses lèvres.
Passé les banalités des retrouvailles, en cherchant ses mots, mais aidée en cela par Vincent, Audrey expliqua le nouveau type de relation qu’elle et son fils avaient développé. Jules en fut abasourdi.
— Mais… pourquoi ? Comment ? réussit-il à exprimer.
— Ce n’est pas ta faute, mais c’est toi qui as porté mon attention sur la « particularité physique » de mon fils. J’ignorais tout de cela et de ses propres difficultés à assumer ce fait. J’ai, comme toi, voulu l’aider, mais quand j’ai réellement porté mon attention sur les organes de Vincent, ma libido a pris le dessus de la bienséance. Je n’ai jamais connu d’hommes présentant un pénis de cette taille et mon vagin a crié qu’il le voulait pour lui. Je n’ai pas pu résister à cet appel.
Vincent l’interrompit.
— Je ne suis pas une bête de concours tout de même. Je me suis renseigné, il existe même des bites plus longues que la mienne.
Jules prit la parole.
— Oui Vincent tu as raison, mais il faut distinguer deux choses. Il y a le fait de voir de ses propres yeux un pénis comme le tien avec les fantasmes qui en découlent, et le fait de se faire baiser avec. Ta bite, que tu le veuilles ou non, déclenche tous les fantasmes des femmes dont le mari, ou le compagnon, n’est pas aussi bien équipé. C’est aussi celui des hommes qui n’ont pas la chance que tu as et qui rêvent, puisqu’ils ne sont pas dotés comme toi, de faire jouir un tel engin, dans leur bouche ou dans leurs mains, quand ce n’est pas dans leur cul. Ce fut mon cas, souviens-toi.
Audrey s’adressa à Jules.
— Je te comprends maintenant, et je regrette d’avoir été aussi intransigeante avec toi.
— Ce n’est rien, j’ai aussi compris ta réaction.
Vincent voulut conclure :
— Jules, tu aimes maman, maman t’aime et vous couchez ensemble. Par ailleurs, tu aimes baiser avec moi et maman aussi. Nous pouvons vivre comme ça, mais jusqu’à quand ?
Audrey lui répondit :
— Jusqu’à quand ? Je ne sais pas mon fils. Pour retrouver une situation « normale », j’y mets les guillemets, il faudrait que tu tombes amoureux. D’un homme ou d’une femme, peu importe. En attendant, rien ne nous interdit de profiter de la situation.
Jules se leva.
— Et pourquoi pas ici et maintenant ? déclara-t-il.
Audrey et son fils échangèrent un regard complice et se sourirent mutuellement.
— Venez dans la chambre, fit Audrey.
–*–
Les vêtements en tas au pied du lit, Jules, Vincent et Audrey formaient à eux trois une ronde un peu particulière. Rien à voir avec la danse enfantine, jugez-en. Tous trois étaient couchés sur le côté ; Vincent pratiquait un cunnilingus à sa mère qui, elle-même, suçait la bite de Jules. Quant à Jules, il prenait plaisir à téter le gland de Vincent. La boucle était bouclée. Quelques minutes plus tard, tout le monde était en condition pour aller plus loin. Les érections étaient solides et la cyprine abondante. Audrey se tourna sur le dos et ouvrit les cuisses.
— Qui veut ma foufoune ? proposa-t-elle d’un ton badin.
— Vas-y, murmura Vincent à Jules. Il y a longtemps que tu ne l’as pas eue.
Jules se coucha sur Audrey dans la position du missionnaire et la pénétra. Un bonheur les envahit tous les deux, ils s’aimaient. Vincent se déplaça légèrement, s’assit en tailleur et commença à se masturber en les regardant faire. Audrey n’avait finalement pas besoin du membre surdimensionné de son fils pour jouir, car excitée par la langue de Vincent et après cinq minutes de va-et-vient, elle planta ses ongles dans le dos de Jules qui poussa un cri en même temps qu’elle. Audrey de jouissance, et Jules de douleur ! Il embrassa sa compagne avec fougue, se retira de son vagin et se masturba au-dessus d’elle. Il éjacula un grand jet blanc qui atterrit sur le visage de sa maîtresse, puis plusieurs autres qui lui arrosèrent les seins et le ventre. Ses masturbations en solitaires étaient loin de lui apporter tous ces spasmes. Mais Jules n’avait pas fini, il s’installa à quatre pattes devant Vincent.
— Ta bite aussi m’a manqué. S’il te plait, vide-toi dans mon cul.
Ce fut Audrey qui se dégagea légèrement des deux hommes pour assister au spectacle. Elle sortit le flacon de gel qu’elle avait toujours sous l’oreiller, se positionna derrière Jules et lui en badigeonna l’anus. De même, elle saisit le pénis de Vincent pour le lubrifier largement.
— Vous êtes prêts ? Alors, allez-y !
À genoux, Vincent s’approcha des fesses de Jules, glissa deux doigts dans l’anus pour bien l’écarter. Ensuite, il apposa son gland sur le sphincter et poussa.
— Aaaahhhh… C’est tellement bon ! soupira Jules.
Vincent, centimètre par centimètre, introduisit toute la longueur de son phallus gigantesque puis s’excita en allant et venant dans ce fourreau accueillant. Jules bandait à nouveau et Audrey en profita pour le masturber. Compte tenu de la position, elle avait plutôt l’impression de traire une vache ! Vincent ne mit pas longtemps à se répandre dans les boyaux de Jules en gémissant fort et en frappant ses fesses de son ventre. Massée par la grosse verge de Vincent, la prostate de Jules laissait échapper un peu de sperme dans la main d’Audrey qu’elle lui présenta pour qu’il la lèche.
— J’en veux encore, déclara-t-elle en se saisissant des deux membres virils encore flasques.
— Laisse-nous souffler dix minutes, maman, s’il te plait. Nous ne récupérons pas aussi vite que toi.
Effectivement, dix minutes plus tard c’était reparti. Chacun baisa l’autre sous le regard bienveillant du troisième pendant la majeure partie de la nuit.
Enfin, tous les trois épuisés, Vincent se retira dans sa chambre, laissant sa mère et Jules dormir dans le même lit. Il était satisfait.
–*–
C’est ainsi que vécut heureux ce « trouple » pendant plusieurs mois. Un jour toutefois, des scrupules vinrent tarauder la bonne conscience d’Audrey. Elle ne voulait pas en parler à Jules ni à Vincent qui, eux, semblaient tout à fait à l’aise dans cet arrangement triangulaire. Elle se livrerait encore moins au psy de l’hôpital où elle travaillait.
Elle était proche de Judith et Josette, les autres « mousquetaires », et décida de se confier. Josette étant partie en congé, elle proposa à Judith d’aller boire un verre dans un endroit tranquille.
— Oh ! toi, tu as la tête des mauvais jours. Un problème ? s’enquit Judith.
— Oui. Je t’en parlerai tout à l’heure.
Le reste de la journée fut, entre autres, peuplé de beaucoup de questions aussi bien chez Judith que chez Audrey.
Quelques heures plus tard, les deux femmes étaient attablées en terrasse du café « La tasse folle ». Le soleil brillait, il faisait chaud, mais un grand parasol dispensait son ombre bienfaisante. Quand le serveur eut apporté les deux mojitos commandés, Judith entama la discussion :
— Alors, ma petite Audrey, comment ça va ?
— Pas très bien, je l’avoue.
— Que se passe-t-il ? C’est grave ?
— J’ai du mal à en parler, car finalement ce n’est pas bien beau. Je ne veux rien dire au psy, je le connais trop bien. Alors, tu es une amie proche avec Josette, promets-moi de ne pas me juger ni d’en parler à qui que ce soit.
Judith prit un air grave et posa sa main sur celle de son amie.
— Tu as ma parole, ma grande.
Audrey lui raconta tout. Depuis la première fois où Jules est venu habiter chez elle jusqu’au trouple qu’elle formait maintenant avec son fils et son compagnon.
— Tu comprends, expliqua-t-elle, c’est surtout la relation que j’ai maintenant avec Vincent. Tu te rends compte Judith ? Un inceste, je ne me serais jamais cru capable de ça… Que suis-je censée faire ? Je suis perdue.
Les deux femmes demeurèrent silencieuses un moment. Audrey observait Judith, s’efforçant de trouver dans son regard un soupçon de désapprobation. Au lieu de cela, Judith la regarda d’un air soulagé.
— Tu ne peux pas savoir le bien que tu me fais en me racontant ça.
Audrey ouvrit des yeux comme des soucoupes et resta bouche bée.
— Je ne comprends pas, réussit-elle à formuler.
Judith respira un bon coup et but une gorgée de mojito.
— Cela bien sûr reste entre nous, comme ton histoire.
Audrey hocha la tête en silence.
— Tu sais que mon mari est décédé dans un accident d’avion il y a quatre ans, mon fils Thomas venait d’avoir dix-huit ans, il en a maintenant vingt-deux. Il a été dévasté et moi, pas suffisamment forte pour surmonter cette épreuve et le soutenir. Je me suis réfugiée dans le boulot pour ne pas le voir sombrer. Un jour qu’il n’avait pas cours, il était resté dans son lit et pleurait. Je l’entendais depuis la salle de bains. Je suis allée le voir et il me dit que Léa, sa petite amie du moment, venait de le laisser tomber. Je m’assis au bord du lit et lui caressai les cheveux en tentant de le consoler. Au bout d’une minute, il rabattit la couverture et d’un geste vif baissa son pantalon de pyjama, il avait une forte érection. Je n’étais pas revenue de ma surprise quand il se saisit de ma main et entoura mes doigts autour de sa verge en me disant « Branle-moi, maman s’il te plait ». J’étais paralysée, mes doigts enserrant le sexe de mon fils et, au lieu de refuser en lui expliquant pourquoi je ne pouvais pas faire ça, je consentis à sa demande. Je pensais que nous en resterions là, mais quelques jours plus tard il m’a demandé une fellation, je n’ai pas eu le courage de lui résister. Enfin, depuis ce jour, nous faisons l’amour régulièrement, et des deux côtés, comme Vincent et toi, si tu vois ce que je veux dire. Il m’a subjuguée et, le pire, c’est que j’éprouve du plaisir avec lui, et sans doute plus qu’avec son père. Nous en sommes là depuis trois ans et demi, mais moi, je suis allée voir le psy.
À ces mots, Audrey l’interrompit, attentive.
— Et que t’a-t-il dit ?
— Des banalités en m’assurant que cela passera tout seul dès qu’il aura une relation amoureuse sérieuse. Il a ajouté que j’étais loin d’être la seule mère dans ce cas. Ton exemple confirme cela. Je t’ai peut-être soulagée, mais je t’assure que c’est réciproque.
Un long moment de silence suivit la déclaration de Judith. Elle s’était libérée d’un poids et Audrey, rassurée par le fait de ne pas être seule, se sentit soudain disculpée.
Elle leva son verre de mojito et dit à Judith :
— Si on résume, nous ne sommes pas des monstres et nous ne sommes pas seules dans le monde. Alors, prenons notre plaisir où nous le trouvons, ça ne durera pas autant qu’on le voudrait. À la nôtre !
— À la santé de nos fils ! compléta Judith.
–*–
Note de l’auteur : L’inceste est un sujet délicat à traiter, surtout au travers d’une histoire érotique. Cette nouvelle, pure fiction tirée de mon imagination, ne signifie absolument pas que je cautionne de telles déviations sexuelles. Les plus jeunes notamment doivent être protégés et, même s’ils sont majeurs, certains enfants peuvent subir de la part de leurs parents (au sens large du terme) des pressions psychologiques dont ils ne se remettront peut-être pas.
Nous sommes tous ici pour fantasmer et rire un peu, alors faisons la part des choses.
Audrey, contre son gré, dévora des yeux le membre viril de son fils pendant quelques minutes. Machinalement, elle glissa un doigt dans sa culotte et caressa sa vulve qui s’humidifiait malgré elle.
— Je ne dois pas, je ne dois pas, je ne devrais pas, je ne…, se réprimanda-t-elle en mordillant son poing.
Puis, en dépit du poids énorme de sa culpabilité, sans quitter du regard le formidable pénis de Vincent, elle entra, se coula furtivement derrière lui et posa les mains sur ses épaules.
— Mais… commença-t-il.
Audrey embrassa son fils sur la joue et lui murmura à l’oreille.
— Arrête de te branler, j’ai mieux à te proposer.
Elle se saisit du membre chaud qu’elle tâta comme un fruit mûr sur toute sa longueur. Elle ne put s’empêcher également de palper les grosses gonades qui suppliaient qu’on les vidange. Elle n’en revenait pas et eut soudain l’impression de ne jamais avoir connu d’hommes auparavant. La surprise passée, Vincent protesta mollement.
— Maman, qu’est-ce que tu fais ?
C’était rare qu’il appelât sa mère ainsi. Audrey était déconnectée de la réalité. Sa pulsion sexuelle était telle, qu’elle faisait totalement fi des circonstances dans lesquelles elle s’apprêtait à en venir à bout.
— Bouge pas mon chéri.
Audrey, qui portait une robe ample, la remonta sous ses aisselles et ôta sa culotte qui tomba à ses pieds. Elle monta sur les genoux de son fils.
— Je mouille comme une vache, chéri. Enfonce ta bite dans ma chatte s’il te plaît, après tout, c’est de là qu’elle vient…
Vincent, sonné par ce qui était en train de se dérouler et par le langage cru de sa mère, mais excité par sa masturbation, prit sa verge d’une main. À l’aide de son gland turgescent, il chercha le sexe brûlant. Quand il le trouva, il pénétra le conduit largement lubrifié. Audrey appuya ses hanches fortement et engloutit dans son vagin les vingt-quatre centimètres de chair en poussant un cri mêlé d’un gémissement de plaisir.
— Aaaahhh… Comme tu me remplis bien, mon chéri. Vite ! Fais jouir ta mère, fais-la jouir !
Compte tenu de la position assise de Vincent, ce dernier remuait maladroitement son bassin de haut en bas et Audrey l’accompagnait comme elle le pouvait. Elle râlait à chaque fois que le membre surdimensionné touchait le col de l’utérus, mais tel un mantra elle marmonnait sans fin :
— Encore plus loin… Encore plus loin… Encore plus loin…
Vincent fermait les yeux, il pilonnait sa mère, mais ne s’en étonnait plus. Ce n’était plus sa génitrice, mais juste un endroit où il allait se vider les couilles. Soudain :
— Je vais jouir maman, je vais jouir !...
— Attends un peu ! Attends ! Je viens aussi !
L’orgasme colossal vrilla soudain le vagin d’Audrey, suivi par l’éjaculation de Vincent.
— Aaaahhh !!! Je jouiiiiis… crièrent-ils en même temps.
Quelques aller-retour résiduels le long du membre fantastique parachevèrent leur jouissance. Audrey se laissa enfin retomber sur Vincent, gardant sa bite ramollie dans son écrin. Ils restèrent immobiles pendant quelques minutes ; Audrey enlaçait son fils et lui déposaient quelques menus baisers dans le cou. Elle descendit de ses genoux et, en levant la jambe, une quantité non négligeable de sperme s’échappa de sa vulve pour lui couler sur la cuisse. Elle s’essuya à l’aide de sa culotte qu’elle ramassa. L’excitation sexuelle assouvie, Audrey et Vincent n’osaient plus se regarder. Ils avaient commis un inceste et quoi qu’ils fissent maintenant, ils ne pourraient pas modifier le passé.
–*–
Il s’était écoulé trois semaines depuis cet incident, période pendant laquelle Vincent et sa mère n’eurent aucun rapport sexuel. Ils avaient tous deux trouvé, en revanche, une tendre complicité de mère à fils. Complicité qui ressemblait fortement à de l’amour filial, ce qui n’était pas tout à fait le cas précédemment. À ce stade, chacun aurait pu faire comme s’il ne s’était rien passé et continuer sa vie comme avant.
Au lieu de cela, Audrey et son fils, dont les rapports n’étaient pas toujours faciles, se sont passablement rapprochés et à la fin, ni Audrey ni Vincent ne culpabilisait plus. Audrey avait été subjuguée par la puissance sexuelle de son fils et Vincent s’était réjoui qu’enfin une femme acceptât son gros pénis dans son vagin. « Finalement, pensait Vincent, c’est Jules qui avait raison : je n’aurais jamais dû essayer mes premières fois avec de jeunes femmes, mais avec des femmes de l’âge de ma mère. De là à imaginer que je le ferais avec la mienne … ».
Vincent prit également conscience de l’attrait extraordinaire de ses attributs virils hors norme. Grâce à eux il avait d’abord séduit Jules, qui était bi-sexuel et enfin sa propre mère sans parler des petites tapettes du pub des drag-queens. Au lieu de la considérer comme un problème, la taille de sa bite était devenue pour lui un privilège certain.
–*–
Vincent, un matin où sa mère ne travaillait pas, paressait dans son bain moussant. Tout à son smartphone avec lequel il jouait, il n’entendit pas la porte s’ouvrir. Audrey parut nue sous son peignoir de bain.
— T’en mets un temps ! Tu n’es pas en train de te tripoter au moins ?
Vincent se mit à rire.
— Non. Tiens, vérifie par toi-même, elle est toute molle.
Comme la mousse cachait le corps de son fils, Audrey s’agenouilla près de la baignoire, passa ses deux bras par-dessus le bord et les plongea dans l’eau. Elle rechercha l’objet du présumé délit à tâtons. Elle le trouva et l’agrippa fermement.
— Elle est molle, tu as raison, mais elle est bien longue…
— C’est sa longueur normale, tu sais maman, assura Vincent.
Audrey soupira tout en caressant la verge.
— Je ne m’y ferai jamais.
— Maman ! Tu vas me faire bander…
Audrey sourit.
— On va jouer au sous-marin. Ta bite c’est le périscope et quand il dépasse de la surface de l’eau, l’ennemi passe à l’attaque !
Audrey commença à masturber Vincent.
— Maman, tu retombes en enfance ! se moqua-t-il en riant.
Le périscope ne tarda pas à montrer le bout de son nez ou plutôt, le bout de son gland. Audrey secouait rapidement le prépuce de haut en bas et la verge de son fils prit de l’ampleur. Il arriva le moment où son pénis dépassa réellement de l’eau.
— Périscope en vue ! Périscope en vue ! À l’attaque ! s’amusa Audrey.
Accompagnant le geste à la parole, elle se pencha un peu plus et engloutit la bite dans sa bouche grande ouverte et l’excita de sa langue. Vincent soupira et remonta involontairement son bassin, ce qui accentuait la caresse buccale. Sa mère entourait son pénis de ses deux mains et suçait le gros bout rose et rond. Elle tenta sans succès d’engouffrer la totalité du membre viril, mais elle s’étouffa à moitié. Après avoir repris son souffle, elle continua sa fellation de plus belle.
— Maman, arrête ! Tu vas me faire jouir ! implora Vincent qui souhaitait pourtant bien en arriver là.
À cette phrase, Audrey augmenta la pression sur la hampe et les testicules et fit aller et venir la longue verge dans sa bouche.
— Je jouis, maman ! Je jouis…
Audrey reçut plusieurs giclées de sperme qu’elle avala une par une. Puis, le gland devenu sensible, Vincent lui repoussa doucement la tête.
— Je t’en prie, arrête ! supplia-t-il.
Audrey cessa sa caresse, lécha le méat où perlait une goutte de liquide séminal, puis déposa un baiser sonore sur le sexe qui débandait.
— Alors, tu me la laisses maintenant cette baignoire ? s’exclama Audrey en riant.
— Ah ! C’était pour ça ! Tiens ! rétorqua Vincent en lançant un peu de mousse au visage de sa mère, avant d’éclater de rire à son tour.
Il ouvrit la bonde de la baignoire pour en sortir après quelques minutes. Audrey fit couler son bain pendant que son fils se séchait.
— Viens me voir tout à l’heure, minauda-t-elle.
— Pour quoi faire, tu n’as pas de périscope ? répondit Vincent avec malice.
— Non, mais j’ai des galeries sous-marines que tu peux explorer.
Vincent se pencha vers sa mère et déposa un léger baiser sur ses lèvres en souriant.
— La plongée-spéléo m’a toujours intéressé. À tout à l’heure.
Vincent retourna dans ses quartiers et s’installa à son ordinateur. Pris par le jeu vidéo qu’il avait lancé, il en oublia sa mère et ses « galeries sous-marines ». Une demi-heure plus tard, il posa son casque et se rendit dans la salle de bains. Audrey n’y était plus.
— Tout de même ! clama une voix depuis la chambre d’Audrey. Tu as enfin lâché ton truc !
— Oui maman, désolé pour ton bain.
— Viens-là, mon garçon, poursuivit la voix.
Vincent entra dans la pièce. Audrey était couchée sur le dos, nue, et les genoux pliés. Elle écarta les cuisses.
— Suce-moi et prends-moi, ordonna-t-elle.
Vincent s’allongea sur le ventre entre les jambes de sa mère, la tête à hauteur de sa vulve. La fente offerte était déjà brillante de désir. Il approcha son visage, ouvrit la bouche et pénétra les petites lèvres de sa langue. Audrey soupira langoureusement. Le garçon sentit une vague de cyprine lui couler dans la gorge, il la dégusta puis l’avala. Sortant sa langue du vagin, il en toucha de l’extrémité le bouton rose bien caché sous son repli de peau. Sa mère gémit sous la caresse. Il n’avait pas eu beaucoup d’expérience avec les femmes ; il léchait la chatte d’Audrey assez maladroitement, mais suffisamment bien pour qu’elle lui prenne la nuque des deux mains pour l’appuyer fort sur son entrejambe. Elle geignait en cadence.
— Han… Han… Han…
Vincent était barbouillé de cyprine. Sa bouche naturellement, mais aussi son nez, son menton et ses joues. Audrey maintenait sa tête avec tellement de force qu’il avait du mal à respirer. Soudain, les deux cuisses se refermèrent et l’enserrèrent tant qu’il crut étouffer.
— Aaaaahhhh… Tu me fais jouir, tu me fais jouir, tu me fais jouiiiirrrr…
La tornade passée, Audrey relâcha la pression et libéra Vincent qui reprit sa respiration. Il se mit à genoux devant sa mère en lui présentant ses organes génitaux. Lorgnant l’érection de Vincent, elle se retourna et, à quatre pattes en appui sur ses coudes et genoux, implora son fils :
— Prends le petit trou, Vincent.
— Tu es sûre, maman ?
— Jules et d’autres l’ont déjà fait, mais je veux le faire avec toi.
À ces mots, elle sortit de sous son oreiller un flacon incolore et le tendit à Vincent.
— Sers-toi de ça.
Vincent prit le gel, en appliqua sur sa verge et dans le sillon fessier de sa mère en insistant sur le sphincter. Il introduisit un doigt puis deux dans la petite rondelle plissée et assouplit le rectum. Audrey, son envie à son paroxysme, attendait l’estocade avec impatience. Vincent reposa le flacon sur le lit et approcha son gland décalotté de l’anus. Il poussa et le gros dard s’infiltra tout de suite.
— Aaahhh…
— Ça va maman ?
— Oui, oui, continue, souffla Audrey.
Vincent appuya un peu plus et son pénis hors norme entra de la moitié de sa longueur. Le sphincter était dilaté comme il ne l’avait jamais été et Audrey mordit l’oreiller. Elle cria la bouche fermée. Vincent se coucha sur le dos de sa mère et fit pénétrer la totalité de son phallus d’un coup sec. Audrey lâcha l’oreiller en hurlant.
— Ouiiiiii !!!!
Vincent entama alors un va-et-vient dans le rectum d’Audrey qui couinait à chaque poussée. Se libérant d’un bras, elle le passa sous elle et ses doigts triturèrent son clitoris. Quelques minutes s’écoulèrent. Le membre de Vincent avait trouvé son chemin, les boyaux de sa mère ne rechignaient plus. Sentant son orgasme proche, Audrey s’écria :
— Viens mon fils, viens !
Vincent accéléra la cadence et mère et fils s’unirent dans une jouissance peu commune. On entendit qu’un seul cri, même si le registre des voix différait.
— Aaaaaahhhhh !!!!
Vincent termina son coït en donnant de grands coups de ventre et de couilles contre les fesses d’Audrey tandis qu’elle avait repris un coin d’oreiller entre ses dents.
— Hmmmfff… Hmmmfff…
Essoufflés, ils se séparèrent enfin. Vincent s’allongea sur le dos à côté de sa mère tandis que cette dernière se laissa tomber à plat ventre, bras et jambes écartés. Du sperme s’échappa de l’anus pour suinter le long de son périnée.
–*–
Audrey et son fils comblèrent ainsi leurs besoins sexuels pendant quelque temps. Toutefois, Vincent commençait à regretter les soirées fiévreuses du pub avec les drag-queens et les petites lopettes qui le pompaient et qui couinaient fort lorsqu’il les enculait. De plus, il repensa à Jules et se dit que la situation était injuste pour lui. Jules avait été pour lui d’une grande aide morale, et il aimait bien le sodomiser ou lui donner sa bite à sucer.
Un soir, Vincent, qui avait passé l’après-midi au bar des drag-queens, rentra chez lui. Sa mère l’attendait, possessive, agressive.
— Où étais-tu passé ? questionna-t-elle d’un ton sec.
— Bonjour maman, tu es partie de bonne heure au boulot ce matin, je ne t’ai pas encore vue de la journée, répondit Vincent mi-figue, mi-raisin.
Audrey se rendit compte de sa maladresse.
— Oui, bonjour, mon fils, c’est que je me suis inquiétée…
— Je suis allé rendre visite aux drag-queens de la rue des hirondelles. Tu sais le « Glam Rave Pub » ?
— Tu t’es tapé un mec, c’est ça ? Jules m’a dit que tu étais bi.
— Oui, j’en avais envie.
— Je ne te suffis pas ?
— C’est pas ça, maman. C’est juste que de temps en temps, j’aime bien caresser des petites bites et sodomiser des petits culs.
— Je te l’interdis à l’avenir, menaça Audrey déterminée en levant l’index.
— Maman, d’abord tu n’as rien à m’interdire, car je suis majeur. Deuxièmement, puis-je te rappeler une chose ? Tu as fichu Jules dehors parce qu’il couchait avec moi, ça te semblait inapproprié. Or maintenant, tu fais exactement la même chose en étant ma mère. Ce n’est pas moins inapproprié, il me semble.
Audrey accusa le coup en baissant les yeux. Vincent poursuivit.
— Alors, d’accord pour les lopettes du pub, mais tu demandes à Jules de revenir habiter avec nous.
Audrey se radoucit et s’assit, ou plutôt se laissa choir, dans le canapé du salon. Vincent prit place dans un fauteuil, il attendait qu’elle s’exprime.
— Tu as raison, Vincent. C’est de la jalousie mal placée. Je n’ai pas le droit de t’empêcher de vivre ta vie. De plus, je pense à Jules depuis qu’il est parti. Il m’aime et j’aime quand il me fait l’amour. Oui, je sais, il est moins bien loti que toi côté quéquette, mais il sait bien s’en servir et il me fait jouir aussi. Bref, je l’aime, toi aussi, mais d’une manière différente.
Un silence s’établit pendant une minute. Vincent reprit.
— Tu crois qu’il accepterait de revenir ?
— Je ne sais pas, il est resté à Chambéry. Même s’il ne vient pas vivre avec nous, il peut nous rendre visite régulièrement. J’ignore ce qu’il va décider. Je l’appelle demain, je suis de repos.
Vincent se leva, s’approcha de sa mère et l’embrassa sur les lèvres.
— Merci, murmura-t-il.
Audrey, qui avait en face d’elle la braguette de son fils, l’ouvrit et sortit le long pénis de son slip protecteur. La verge était molle, mais elle la réchauffa de sa main et celle-ci durcit. Ensuite, Audrey la décalotta et engloutit le gland dans sa bouche.
Mère et fils fermèrent les yeux, savourant l’instant.
–*–
Ce soir-là, Audrey, Vincent et Jules discutaient au salon devant un verre. Jules avait été très étonné de l’appel d’Audrey, mais il l’aimait autant qu’avant leur séparation et le fait qu’elle l’ait chassé de chez elle n’avait pas encore terni ce sentiment. Les explications d’Audrey avaient été confuses, il n’avait rien compris. La seule chose qu’il avait retenue c’est qu’elle l’invitait à prendre l’apéritif ; aussi s’empressa-t-il d’accepter.
Il se présenta avec un bouquet de fleurs. Audrey rougit et déclara :
— J’avais oublié comme tu étais galant.
Puis elle déposa un baiser sur ses lèvres.
Passé les banalités des retrouvailles, en cherchant ses mots, mais aidée en cela par Vincent, Audrey expliqua le nouveau type de relation qu’elle et son fils avaient développé. Jules en fut abasourdi.
— Mais… pourquoi ? Comment ? réussit-il à exprimer.
— Ce n’est pas ta faute, mais c’est toi qui as porté mon attention sur la « particularité physique » de mon fils. J’ignorais tout de cela et de ses propres difficultés à assumer ce fait. J’ai, comme toi, voulu l’aider, mais quand j’ai réellement porté mon attention sur les organes de Vincent, ma libido a pris le dessus de la bienséance. Je n’ai jamais connu d’hommes présentant un pénis de cette taille et mon vagin a crié qu’il le voulait pour lui. Je n’ai pas pu résister à cet appel.
Vincent l’interrompit.
— Je ne suis pas une bête de concours tout de même. Je me suis renseigné, il existe même des bites plus longues que la mienne.
Jules prit la parole.
— Oui Vincent tu as raison, mais il faut distinguer deux choses. Il y a le fait de voir de ses propres yeux un pénis comme le tien avec les fantasmes qui en découlent, et le fait de se faire baiser avec. Ta bite, que tu le veuilles ou non, déclenche tous les fantasmes des femmes dont le mari, ou le compagnon, n’est pas aussi bien équipé. C’est aussi celui des hommes qui n’ont pas la chance que tu as et qui rêvent, puisqu’ils ne sont pas dotés comme toi, de faire jouir un tel engin, dans leur bouche ou dans leurs mains, quand ce n’est pas dans leur cul. Ce fut mon cas, souviens-toi.
Audrey s’adressa à Jules.
— Je te comprends maintenant, et je regrette d’avoir été aussi intransigeante avec toi.
— Ce n’est rien, j’ai aussi compris ta réaction.
Vincent voulut conclure :
— Jules, tu aimes maman, maman t’aime et vous couchez ensemble. Par ailleurs, tu aimes baiser avec moi et maman aussi. Nous pouvons vivre comme ça, mais jusqu’à quand ?
Audrey lui répondit :
— Jusqu’à quand ? Je ne sais pas mon fils. Pour retrouver une situation « normale », j’y mets les guillemets, il faudrait que tu tombes amoureux. D’un homme ou d’une femme, peu importe. En attendant, rien ne nous interdit de profiter de la situation.
Jules se leva.
— Et pourquoi pas ici et maintenant ? déclara-t-il.
Audrey et son fils échangèrent un regard complice et se sourirent mutuellement.
— Venez dans la chambre, fit Audrey.
–*–
Les vêtements en tas au pied du lit, Jules, Vincent et Audrey formaient à eux trois une ronde un peu particulière. Rien à voir avec la danse enfantine, jugez-en. Tous trois étaient couchés sur le côté ; Vincent pratiquait un cunnilingus à sa mère qui, elle-même, suçait la bite de Jules. Quant à Jules, il prenait plaisir à téter le gland de Vincent. La boucle était bouclée. Quelques minutes plus tard, tout le monde était en condition pour aller plus loin. Les érections étaient solides et la cyprine abondante. Audrey se tourna sur le dos et ouvrit les cuisses.
— Qui veut ma foufoune ? proposa-t-elle d’un ton badin.
— Vas-y, murmura Vincent à Jules. Il y a longtemps que tu ne l’as pas eue.
Jules se coucha sur Audrey dans la position du missionnaire et la pénétra. Un bonheur les envahit tous les deux, ils s’aimaient. Vincent se déplaça légèrement, s’assit en tailleur et commença à se masturber en les regardant faire. Audrey n’avait finalement pas besoin du membre surdimensionné de son fils pour jouir, car excitée par la langue de Vincent et après cinq minutes de va-et-vient, elle planta ses ongles dans le dos de Jules qui poussa un cri en même temps qu’elle. Audrey de jouissance, et Jules de douleur ! Il embrassa sa compagne avec fougue, se retira de son vagin et se masturba au-dessus d’elle. Il éjacula un grand jet blanc qui atterrit sur le visage de sa maîtresse, puis plusieurs autres qui lui arrosèrent les seins et le ventre. Ses masturbations en solitaires étaient loin de lui apporter tous ces spasmes. Mais Jules n’avait pas fini, il s’installa à quatre pattes devant Vincent.
— Ta bite aussi m’a manqué. S’il te plait, vide-toi dans mon cul.
Ce fut Audrey qui se dégagea légèrement des deux hommes pour assister au spectacle. Elle sortit le flacon de gel qu’elle avait toujours sous l’oreiller, se positionna derrière Jules et lui en badigeonna l’anus. De même, elle saisit le pénis de Vincent pour le lubrifier largement.
— Vous êtes prêts ? Alors, allez-y !
À genoux, Vincent s’approcha des fesses de Jules, glissa deux doigts dans l’anus pour bien l’écarter. Ensuite, il apposa son gland sur le sphincter et poussa.
— Aaaahhhh… C’est tellement bon ! soupira Jules.
Vincent, centimètre par centimètre, introduisit toute la longueur de son phallus gigantesque puis s’excita en allant et venant dans ce fourreau accueillant. Jules bandait à nouveau et Audrey en profita pour le masturber. Compte tenu de la position, elle avait plutôt l’impression de traire une vache ! Vincent ne mit pas longtemps à se répandre dans les boyaux de Jules en gémissant fort et en frappant ses fesses de son ventre. Massée par la grosse verge de Vincent, la prostate de Jules laissait échapper un peu de sperme dans la main d’Audrey qu’elle lui présenta pour qu’il la lèche.
— J’en veux encore, déclara-t-elle en se saisissant des deux membres virils encore flasques.
— Laisse-nous souffler dix minutes, maman, s’il te plait. Nous ne récupérons pas aussi vite que toi.
Effectivement, dix minutes plus tard c’était reparti. Chacun baisa l’autre sous le regard bienveillant du troisième pendant la majeure partie de la nuit.
Enfin, tous les trois épuisés, Vincent se retira dans sa chambre, laissant sa mère et Jules dormir dans le même lit. Il était satisfait.
–*–
C’est ainsi que vécut heureux ce « trouple » pendant plusieurs mois. Un jour toutefois, des scrupules vinrent tarauder la bonne conscience d’Audrey. Elle ne voulait pas en parler à Jules ni à Vincent qui, eux, semblaient tout à fait à l’aise dans cet arrangement triangulaire. Elle se livrerait encore moins au psy de l’hôpital où elle travaillait.
Elle était proche de Judith et Josette, les autres « mousquetaires », et décida de se confier. Josette étant partie en congé, elle proposa à Judith d’aller boire un verre dans un endroit tranquille.
— Oh ! toi, tu as la tête des mauvais jours. Un problème ? s’enquit Judith.
— Oui. Je t’en parlerai tout à l’heure.
Le reste de la journée fut, entre autres, peuplé de beaucoup de questions aussi bien chez Judith que chez Audrey.
Quelques heures plus tard, les deux femmes étaient attablées en terrasse du café « La tasse folle ». Le soleil brillait, il faisait chaud, mais un grand parasol dispensait son ombre bienfaisante. Quand le serveur eut apporté les deux mojitos commandés, Judith entama la discussion :
— Alors, ma petite Audrey, comment ça va ?
— Pas très bien, je l’avoue.
— Que se passe-t-il ? C’est grave ?
— J’ai du mal à en parler, car finalement ce n’est pas bien beau. Je ne veux rien dire au psy, je le connais trop bien. Alors, tu es une amie proche avec Josette, promets-moi de ne pas me juger ni d’en parler à qui que ce soit.
Judith prit un air grave et posa sa main sur celle de son amie.
— Tu as ma parole, ma grande.
Audrey lui raconta tout. Depuis la première fois où Jules est venu habiter chez elle jusqu’au trouple qu’elle formait maintenant avec son fils et son compagnon.
— Tu comprends, expliqua-t-elle, c’est surtout la relation que j’ai maintenant avec Vincent. Tu te rends compte Judith ? Un inceste, je ne me serais jamais cru capable de ça… Que suis-je censée faire ? Je suis perdue.
Les deux femmes demeurèrent silencieuses un moment. Audrey observait Judith, s’efforçant de trouver dans son regard un soupçon de désapprobation. Au lieu de cela, Judith la regarda d’un air soulagé.
— Tu ne peux pas savoir le bien que tu me fais en me racontant ça.
Audrey ouvrit des yeux comme des soucoupes et resta bouche bée.
— Je ne comprends pas, réussit-elle à formuler.
Judith respira un bon coup et but une gorgée de mojito.
— Cela bien sûr reste entre nous, comme ton histoire.
Audrey hocha la tête en silence.
— Tu sais que mon mari est décédé dans un accident d’avion il y a quatre ans, mon fils Thomas venait d’avoir dix-huit ans, il en a maintenant vingt-deux. Il a été dévasté et moi, pas suffisamment forte pour surmonter cette épreuve et le soutenir. Je me suis réfugiée dans le boulot pour ne pas le voir sombrer. Un jour qu’il n’avait pas cours, il était resté dans son lit et pleurait. Je l’entendais depuis la salle de bains. Je suis allée le voir et il me dit que Léa, sa petite amie du moment, venait de le laisser tomber. Je m’assis au bord du lit et lui caressai les cheveux en tentant de le consoler. Au bout d’une minute, il rabattit la couverture et d’un geste vif baissa son pantalon de pyjama, il avait une forte érection. Je n’étais pas revenue de ma surprise quand il se saisit de ma main et entoura mes doigts autour de sa verge en me disant « Branle-moi, maman s’il te plait ». J’étais paralysée, mes doigts enserrant le sexe de mon fils et, au lieu de refuser en lui expliquant pourquoi je ne pouvais pas faire ça, je consentis à sa demande. Je pensais que nous en resterions là, mais quelques jours plus tard il m’a demandé une fellation, je n’ai pas eu le courage de lui résister. Enfin, depuis ce jour, nous faisons l’amour régulièrement, et des deux côtés, comme Vincent et toi, si tu vois ce que je veux dire. Il m’a subjuguée et, le pire, c’est que j’éprouve du plaisir avec lui, et sans doute plus qu’avec son père. Nous en sommes là depuis trois ans et demi, mais moi, je suis allée voir le psy.
À ces mots, Audrey l’interrompit, attentive.
— Et que t’a-t-il dit ?
— Des banalités en m’assurant que cela passera tout seul dès qu’il aura une relation amoureuse sérieuse. Il a ajouté que j’étais loin d’être la seule mère dans ce cas. Ton exemple confirme cela. Je t’ai peut-être soulagée, mais je t’assure que c’est réciproque.
Un long moment de silence suivit la déclaration de Judith. Elle s’était libérée d’un poids et Audrey, rassurée par le fait de ne pas être seule, se sentit soudain disculpée.
Elle leva son verre de mojito et dit à Judith :
— Si on résume, nous ne sommes pas des monstres et nous ne sommes pas seules dans le monde. Alors, prenons notre plaisir où nous le trouvons, ça ne durera pas autant qu’on le voudrait. À la nôtre !
— À la santé de nos fils ! compléta Judith.
–*–
Note de l’auteur : L’inceste est un sujet délicat à traiter, surtout au travers d’une histoire érotique. Cette nouvelle, pure fiction tirée de mon imagination, ne signifie absolument pas que je cautionne de telles déviations sexuelles. Les plus jeunes notamment doivent être protégés et, même s’ils sont majeurs, certains enfants peuvent subir de la part de leurs parents (au sens large du terme) des pressions psychologiques dont ils ne se remettront peut-être pas.
Nous sommes tous ici pour fantasmer et rire un peu, alors faisons la part des choses.
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Ma chère lectrice (aurais-je un jour un prénom?), C'est chose faite. Vous verrez à quoi mène l'angoisse de la page blanche !
Mon cher Philus les vacances sont finis. C’est reparti pour les histoires.
La chipie
La chipie
J'adore ce récit, je vais en écrire aussi sur l'inceste
Merci pour les commentaires d'un lecteur, de Gaston et la chipie, fidèle lectrice.
Ceux qui veulent discuter un peu plus, mon mail est sur ma fiche auteur.
Pas de nouvelle histoire avant septembre maintenant (vacances obligent), mais je serai fidèle au rendez-vous !
Ceux qui veulent discuter un peu plus, mon mail est sur ma fiche auteur.
Pas de nouvelle histoire avant septembre maintenant (vacances obligent), mais je serai fidèle au rendez-vous !
Ce n'est pas tabou dans le réel c'est inadmissible de se descendre son fils ou sa fille en particulier mineure.
La il est majeur et c'est du virtuel. Donc il n'y a pas mort d'homme.
J'attends vos autres récits avec impatience vu que je les apprecie.
La chipie
La il est majeur et c'est du virtuel. Donc il n'y a pas mort d'homme.
J'attends vos autres récits avec impatience vu que je les apprecie.
La chipie
J’aime les deux parties de ton histoire.
Un film italien datant de 1979 fit scandale à l’époque. Les rapports incestueux entre une mère célèbre chanteuse lyrique et son film drogué.
J’ai lu plusieurs histoires ici qui racontent des relations incestueuses.
Nièce ou neveu avec le tonton, cousins et cousines.
Il semble plus choquant quand cela entre mère et fils ou père et fille.
L’inceste reste un sujet tabou. Mais comme tu le dis si bien, c’est une fiction et donc n’y voyons pas de mal là où il n’y en a pas.
Un film italien datant de 1979 fit scandale à l’époque. Les rapports incestueux entre une mère célèbre chanteuse lyrique et son film drogué.
J’ai lu plusieurs histoires ici qui racontent des relations incestueuses.
Nièce ou neveu avec le tonton, cousins et cousines.
Il semble plus choquant quand cela entre mère et fils ou père et fille.
L’inceste reste un sujet tabou. Mais comme tu le dis si bien, c’est une fiction et donc n’y voyons pas de mal là où il n’y en a pas.
La note finale devrait apparaître en introduction.