L'inconnu de la plage. - histoire érotique

Comment à t-elle rencontré l'inconnu de la plage ?

Elle est en congé, à cette époque.
Comme elle préfère profiter de la plage, quand elle est moins peuplée, elle s'y rend en matinée.

Elle pose sa serviette vers 10 h, sur la plage de Sanary sur Mer.

Elle se déshabille, en ne gardant que son string brésilien.
Arborant sa magnifique poitrine ferme, et de belle taille (90 à 95 B), au soleil.

Elle ne cherche pas à regarder autour d'elle.
Tout ce qu'elle veut, c'est se prélasser un peu au soleil, et éventuellement, se baigner aussi.

Ce qu'elle craint, c'est d'être abordée, où reluquée par de jeunes hommes.
Ils ne l'intéresseraient pas !
Elle en a marre de les repousser.

Par contre, au bout d'une heure, elle est agacée par deux femmes.
Surement deux amies, et par l'une d'elles en particulier, très virulente.

"Regardes la-moi, celle là ! Elle vient faire la belle avec ses nichons, et son corps de jeunette !".
"Ben, elle peut, elle est bien gaulée, la meuf !".

"Ouais ! Mais ça n'empêche pas qu'on se sent mal, à coté ! Oh ! Putain ! Vé le mec qui sort de l'eau !".
"Ah ouais ! Il est pas mal ! Bien foutu en plus !".

"Regardes où je pense ! Putain ! Il doit avoir un de ces mandrins, le mec ! Putain, ça me donne envie !... Eh voilà ! j'te le donne en mille ! Devines qui il mate ? Le gonze ! la salope !".

L'homme se baisse pour étendre sa serviette, sans quitter des yeux, ce qui commence à l'obséder.
On l'occurrence, c'est le cul de ma femme, allongée sur le ventre.
Est-ce le soleil ? Toujours est-il, que son string est humide sous sa vulve !

Tout ça intrigue Corinne, elle se retourne, et constate qu'en effet, l'homme est attirant.
Il attrape son regard, et lui sourit.

Au passage, il mate sa magnifique poitrine dénudée.
Elle lui rend son sourire !

Il doit se dire qu'il n'a rien à perdre !
Il ramasse ses affaires, et s'approche d'elle.

"Bonjour ! La place est libre ? Vous êtes seule ?".
"Oui !".
"Je peux ?".
"Si vous voulez !".

"Je m'appelle Marc ! Et vous ?".
"Corinne ! Mais on va se tutoyer, ce sera plus simple !".
"Oui, c'est mieux ! T'es d'ici ?".
"Oui, de Toulon ! En fait ! Et toi ?".

"Ouh la ! Je viens de loin, je suis de Lille ! J'suis en vacances pour un mois !".

Ils continuent de faire connaissance.
Marc est subjugué par sa beauté, et a du mal à éviter sa poitrine du regard.
Elle, par contre, est fascinée par l'énorme bosse, dans le slip de bain.

Corinne est toujours agacée par les commentaires, de la plus virulente des deux femmes, à quelques mètres de là.
Elle en a marre, et se lève en demandant à Marc:

"J'vais me baigner ! Tu viens ?".
"J'arrive ! Ca va me calmer, j'en ai besoin, moi aussi".
"Pourquoi tu dis ça ?".
"Ben, t'es trop belle ! Et tes ...".
"Ca va ! j'ai compris ! Merci ! Ca fait plaisir de savoir qu'ils te plaisent !".

Ils passent un bon moment dans l'eau.
D'abord en nageant, puis en jouant.
C'est elle qui attaque en essayant de le noyer.
Il lui rend la pareille.

Puis, ça vire aux attouchements rapprochés.
Inévitablement, leurs regards se figent l'un dans l'autre.
Il la tient par la taille.

Elle prend les devants, en prenant son bras, afin qu'il lui caresse le sein nu.
Il lui offre un vrai baiser, en la caressant.
Elle gémit de plaisir dans sa gorge.

Il l'attrape par le dessous des fesses, alors qu'elle serre ses bras et ses jambes, autour de son corps.
La tension sexuelle est à son paroxysme.

"Corinne ! Tu me plais trop ! On fait quoi ? Tu veux rester un peu, où on va à mon hôtel ?".
"On y va !".

Il la fait descendre, puis l'informe d'un souci !

"Euh ! Attends ! Je peux pas sortir comme ça ! Tu m'as fait bander !".

Elle s'esclaffe de rire, et regarde dans l'eau.
Sa queue dépasse de son maillot de bain.
Elle a une vue parfaite, de son énorme gland décalotté.
Elle lui touche la verge, en lui lançant un sourire malicieux.

"Ouahhh ! Ah ouais ! Tu fais pas semblant ! C'est pour moi, tout ça ?".
"Ben, si elle te fait pas peur, tu peux en faire ce que tu veux !".

"Hummm ! J'ai envie ! Dépêches toi ! Trouves un moyen !".

Il penche sa verge sur le coté, en la bloquant avec l'élastique de son slip de bain.
Pourvu que ça tienne !
Il marche derrière ma belle, et en profites pour admirer son fessier.

"Putain, il faut que j'arrête de te reluquer ! T'es trop belle !".

Ils arrivent à l'endroit, où sont posées leurs affaires et les serviettes.

Marc capte les regards des deux commères, elles ne manquent rien de son érection.
Il se presse pour enfiler son pantalon fin.
Corinne lui murmure à voix basse:

"Il faut vite y aller, j'aime pas trop qu'on me voit avec un homme !".
"T'es mariée ?".
"Non, mais c'est tout comme !".

Il est prêt avant elle, et lui tend le bras pour lui entourer la taille, avant de quitter la plage.
La femme frustrée lance:

"Eh, beh ! Y en a qui perdent pas de temps !".

Corinne la regarde d'un air énervé.
Le femme lui lance:

"Amusez vous bien ! Mademoiselle, ou Madame ! Je sais pas !".
"C'est Madame ! Merci ! Je penserai bien à vous ! Enfin, si j'ai le temps !".

Marc s'étonne.

"Corinne ? Ca va ?".
"Très bien ! J'ai hâte que tu t'occupes de mon petit cul ! C'est tout !".

Elle entendra un dernier "Salope !" crié au loin, une fois hors de vue des deux commères.
Elle s'en moque, et ne songe qu'à une chose.

Suivre Marc avec sa voiture, et monter dans sa chambre d'hôtel.
Et puis qui sait ? Si c'est très bon, elle pourra le revoir tout le temps, qu'il est en vacances !

Elle pense à moi aussi, qui lui dirait "Vas-y mon amour, suis tes pulsions ! On a qu'une vie !".
Elle va les suivre ! Et sans cesser de m'aimer !
Mais sans se mettre de limites, non plus.
Elle va tout lui donner, si il le mérite ! Elle a envie de lui !

Elle pense:
(Putain ! Comment j'ai pu me passer de ça ? J'adore séduire un homme ! Pardon, mon amour, mais j'aime te tromper ! Mais non ! Je te trompe pas, puisque tu me le permets ! Arrêtes de réfléchir, Corinne ! Putain ! Je mouille ! Vite ! Il faut qu'il me la mette ! Il est où son hôtel ?).

Ils arrivent enfin dans la chambre.

"Tu veux qu'on prenne une douche ? Pour enlever le sel !".
"Oui ! Et on commencera là l'intérieur !".

Ils se font face en se dénudant, l'opération est bouclée en moins de temps, qu'il faut pour le dire !

Il la prend contre lui, et la porte dans le bac, leurs bouches se mélangent.
Le jet coule au dessus d'eux qui se touchent, se masturbent.

Elle se tord de plaisir, alors qu'il lui enfonce sans cesse, ses grands doigts dans la chatte.
Après un premier orgasme, elle se jette sur sa verge pour la sucer.

"Ouhhh ! La vache ! Tu m'as l'air vachement gourmande ! Toi !".
"Mmmmmm ! Mmmmmm ! J'en ai trop envie ! Tu m'as trop excitée ! Mmmmm ! Mmmmm !".

Il estime qu'ils sont assez rincés, et l'emporte jusqu'au lit.
Chacun plonge entre les cuisses de l'autre, pour un 69 goulu et assumé.

Elle doit se séparer de sa verge pour râler son deuxième orgasme.
Celui là, elle le doit à la langue experte de Marc !

Du coup, elle retourne sur sa bite pour le pomper plus avidement.

"Arhhhhhhhh ! Stop ! Ma chérie ! Tu vas finir par me faire jouir !".
"Mmmm ! Mais, j'ai trop envie de la sucer encore !".
"Ok, mais calmes toi ! C'est trop bon, ce que tu me fais !".
"Ok, j'arrête, alors !".
"J'vais encore te bouffer la chatte !! Pendant que ça retombe !".

Il la pivote, et se place entre ses cuisses, en les relevant avec ses mains, puis déplace son bassin.
Il le bouge au gré de ses envies, pour l'emmener devant sa langue, du clitoris à l'anus.
Inutile de dire, qu'elle joui encore une fois.

Il la repose sur le lit.
Elle soupire:

"Orhhhh ! Putain ! Ca me manquait de faire ça !".
"Quoi, ça ?".

"baiser avec un autre homme, que mon mari !".
"Je suis content que tu m'offres ce plaisir ! J'hallucine encore de te plaire ! T'es trop bonne !".

"Je suis qu'une jeune femme normale ! On a qu'une vie, et moi, je veux en profiter, je me fous de que pensent les autres !".
"T'as tout à fait raison, et ça m'arrange bien !".

"Bon, j'ai trop envie ! T'as des capotes, j'espère ! Je te veux dans ma chatte !".
"Oui ! Je pars jamais en vacances, sans ça !".

Ils échangent de longs regards lubriques pendant qu'il se couvre la verge.
Elle est en travers du matelas, il lui écarte les jambes, et lui branle la poitrine.
Sa grosse bite trouve naturellement son vagin.

Elle s'abandonne, puis se met à pousser un long râle, quand il la pénètre.

"Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Marrrrrrrrrrrrc ! Elle est grossssssssssssse ! Orghhhhhhhhhhhhhhhh !".

Elle le regarde au dessus d'elle, il voit son visage déformé par le plaisir.
Elle lui passe les bras autour du cou, et l'attire vers sa bouche.
Puis entoure ses hanches avec ses jambes.

Ainsi, sa chatte s'ouvre, et s'offre plus aisément, à la pénétration de sa grosse verge.

Il la fait crier, à chaque fois qu'il cogne au fond d'elle.
Il découvre sa sensibilité.

"Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Je jouiiiiiii ! Arghhhhhhhhhhhhh ! ...".
"Putain ! T'arrêtes pas de jouir ! T'es géniale, ma chérie ! J'vais devenir accroc à toi, moi !".

Il la pivote, et la défonce en levrette.
Il devient fou, en la voyant s'envoyer sur sa bite, au même rythme que lui.

"Putain ! T'es trop bonne à baiser ! T'es une folle du cul ! J'adore les filles comme toi !".

Il doit lui porter la main contre sa bouche, tant elle crie sa jouissance.
Mais il ne s'empêche pas pour autant, de la buriner comme un bourrin.
D'ailleurs, c'est elle qui lui réclame !

"Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Marc ! C'est trop bon, défonces moi encore !"Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Tu me démontes la chatte !".

Elle jouit comme une folle, puis fuit sa verge pour s'affaler sur le lit.

"Orhhhh ! Putain ! Ca m'a manqué de jouir comme ça ! Huuummm ! C'était bon !".

Elle le regarde, il est en sueur !

"Ca va ?".
"Oui, mais on va se calmer un peu ! Je vais prendre une serviette pour m'essuyer !".

Pendant qu'il se sèche dans la salle de bain, elle pense à moi.
(Hummm, merci mon amour ! J'ai encore bien joui grâce à toi ! Il est trop bon, celui là !).

Ensuite, elle fait quelque chose avant qu'il ne revienne, pour le surprendre !
Il s'allonge sur son coté.

Elle grimpe sur lui, et l'embrasse.

"J'ai envie que tu me fasses plaisir !".
"Tout ce que tu veux, ma chérie !".

"Bon, d'abord, je veux que tu te lâches plus ! Parles-moi ! J'aime qu'on m'insulte, quand on me baise ! A moins que t'aimes pas ça ?".
"Putain ! Non ! Au contraire ! Tu veux que je te traite de salope ! C'est ça ?".

"Oui, par exemple ! Tu comprends ce que je voulais dire, quand je t'ai dis que j'étais pas celle que tu pensais !".
"Oui, je vois, mais ça me déplait pas ! Au contraire !".

"C'est vrai ? Je te choque pas ?".
"Non ! j'adore les filles qui cachent leur jeu comme toi ! Mais t'es tout le temps comme ça, avec les mecs ?".

"Pas avec mon mari ! Lui, c'est pas pareil ! On fait l'amour ! On baise aussi ! Mais il y a les sentiments en plus ! Par contre, il ne me suffit pas ! J'ai plus souvent besoin de sexe que lui !".
"Je comprends ! Ca doit pas être simple pour toi ! Il se doute de rien ?".

"Euh... non ! Dès fois, j'essaie de m'en passer ! D'ailleurs, tu m'as relancée ! J'avais arrêté depuis quelques mois ! Mais, je regrette pas, c'était trop bon ! Merci de m'avoir fait jouir aussi fort ! Mais je veux te faire jouir aussi ! Je peux te demander un autre plaisir ?".
"Bien sûr ! C'est quoi ?".

"J'aimerai que tu te retiennes assez, pour jouir dans ma bouche !".
"Ouffff ! Ce sera un plaisir partagé, ma p'tite salope !".

"Hummm ! Voilà ! C'est bien ! Maintenant, laisses moi faire !".

Il la voit prendre son sexe, pour se pénétrer.
Elle gémit, et râle pendant toute la pénétration !
Il ressent une certaine différence de sensation.

"Orghhhhhhh ! Corinne ! Elle est serrée ta chatte ! c'est normal ?".

Elle l'embrasse, sans cesser de coulisser sur sa grosse verge.
Tout en se posant sur la plante des pieds, pour pouvoir s'empaler plus aisément et plus fort.

"C'est parce que je me baise pas ! J'me la suis mise dans le cul ! Regardes ! Arghhhhhhh ! Elle est boooonnne !".

Il réalise qu'elle dit vrai.
Voila ce qu'elle a fait dans son dos, elle s'est abondamment lubrifié l'anus avec sa salive !
Et elle a remercié intérieurement Omar l'africain, d'avoir augmenté ses possibilités d'insertions anales !

"Putain, t'es une vraie chienne ! Orghhhhhhhhhh ! C'est trop bon ! Encore, salope !".
"Orhhhhhhhhh ! Oui, comme ça ! Parles moi mal ! Oui, je suis une chienne ! Une pute ! Tout ce que tu veux !".

"Arghhhhhhhh ! J'ai envie de te ramener avec moi ! T'es trop bonne à baiser !".
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Marc ! je joui du cul ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Elle est trop bonne ta biiiiiiite !...".

"Ouffhhhhhh ! Tu me rends dingue ! Continues, ma chérie ! Il est génial ton cul ! Putain, tu me prends jusqu'aux couilles ! C'est trop bon ! Encore meilleur que ta chatte !".

Corinne est lancée pour se donner plusieurs orgasmes successifs, qui montent en intensité.
Pour atteindre celui qu'elle cherche, qui la fait se pâmer devant les yeux ébahis de Marc.
Elle s'écroule ensuite, sur son torse.

"Orhhh ! Marc ! Merci ! Si tu savais comme j'ai pris mon pied ! Je savais qu'elle serait bonne dans mon petit cul ! J'ai tout de suite pensé à ça, quand on était sur la plage !".
"Carrément ! T'as tout de suite pensé que je t'enculerai, en voyant ma queue !".

"Oui ! Déjà quand tu sortais de l'eau, et que tu m'a souris ! J'ai vu que ton slip de bain était presque trop rempli ! Et moi, ça m'excite ! Pourquoi ? Je suis trop salope pour toi ?".
"Pas du tout ! T'es trop adorable ! T'es un fantasme pour tous les mecs, tu le sais ça ? T'es une gentille fille, et tu baises comme la reine des putes ! C'est trop bon !".

"Merci ! C'est gentil ! Mais t'es super aussi ! T'es très endurant ! J'adore !".
"C'est parce que je me régale avec toi ! J'en veux toujours plus ! Mais je me trompe ? J'ai l'impression d'être mouillé, au niveau du ventre !".

"Ah, oui ! Pardon, c'est moi ! Ca m'arrive souvent en sodomie !".
"Non, t'es fontaine en plus ?".

"Euh...Oui...".
"Mais il faut pas en avoir honte ! Putain ! T'es parfaite !".

"Par contre, tu va devoir encore m'enculer ailleurs ! Sinon, je vais faire des dégâts sur le lit ! Parce que c'est que le début !".
"Génial !".

Il l'entraine vers la petite table qui sert de bureau, et l'encule par derrière en claquant son ventre contre ses fesses.
Elle atteint un nouvel orgasme, qui la fait gicler fortement entre les cuisses de son nouvel amant.

"Putain ! C'est énorme ! J'ai jamais connu ça ! Merde ! La moquette ! Viens, on va dans la salle de bain ! Ca gicle trop fort !".

Il la place dans le bac à douche, puis la porte pour l'empaler face à lui, avec sa grosse verge dans le cul.
Leur défonce anale est bruyante, vicieuse, et très humide.
Elle l'inonde à chaque nouvel orgasme.

"Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Marc ! Tu m'encules comme une pute ! C'est trop vicieux ! J'adoooorrrrrrrrre ! Encorreeeeee ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Ouiiii ! Défonces moi !...".
"Putain, t'en as pas assez ? T'en veux encore sale chienne ?".

"Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! J'sens plus mon cul, mais c'est ce que j'aiiiimmmmmmme !".

Il la pose, il est à bout de force !

Ensuite, il la place au dessus des W-C, et la défonce par derrière, en lui collant la face contre la cuvette.

"Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Marc ! Tu m'encules bieeeeeeeeeeeeen !".

Il l'entend jouir au point de s'étrangler, il se calme, un peu affolé.
Elle est prise de tremblement dans les jambes, et le corps.

"Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Marc ! Je continues de jouir ! Je contrôle plus rien !"Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Ne bouges plus !".

Il veut retirer sa verge.

""Arghhhhhhhhhhhhh ! Non, restes ! Arhhh ! Arghhhh ! ...".

Lentement, le phénomène se calme, son corps se détend.

"Putain ! J'allais jouir !". Dit Marc !

Elle l'entraine sur le lit, et lui ôte sa capote, pour lui offrir la fellation de sa vie.
En effet, il était au bord de l'éjaculation, puis qu'il se met à crier en lui giclant sa grosse dose de foutre dans la gorge.

Elle gémit de plaisir cérébral, avec la bouche pleine de sperme.

"Mmmmmuuuhhhhhhh ! Mmummmmmm ! Mmmuhhhhhhhhhhhhhh !...".
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Corinne ! Tu me suces comme une pute ! J'aimmme ! Orghhhh ! Avales tout ! "Arghhhhhhhhhhhhh ! ...".

Son anus défoncé flatule sans cesse, pendant qu'elle ingurgite son sperme avec passion.
Ca ne les perturbe pas, au contraire !
Un peu Corinne quand même, parce qu'elle a encore des spasmes anaux.

Elle ouvre ses lèvres, sans les éloigner, afin de le laisser y jouir encore.
Ses doigts lui masturbent la verge, qui est encore secouée de spasmes d'éjections.

"Hummmm ! Encore ! Oui, donnes moi tout ton jus de plaisir ! C'est pour moi tout ça ! Hein ?".
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Ouiiii ! T'es une vraie p'tite pute gourmande ! T'es trop vicieuse ! Ma chérie ! J'suis fou de toi !".

"Merci Marc, jouis jusqu'au bout ! Tu le mérites ! Tu m'as bien défoncée !".

Il vit ses derniers instants d'éjaculation, en s'abandonnant complètement à sa bouche.

"Orghhhhhhhhh ! J'ai pris un pied énorme ! Ma p'tite salope ! Putain, j'ai bien fait d'aller à cette plage !".
"Hummmm ! Mmmmmmm ! Moi aussi ! Je peux continuer de la sucer ?".

"Mmmmm ! Oui, régales toi ma belle ! Je peux pas te refuser ça !".

Elle va s'en délecter longuement, puis Marc revient à la dure réalité.

"T'as pas faim ? il est 13 h ! Ca te dis d'aller manger vite fait au McDo, où un truc dans le genre ? J'te le paie !".
"Ok ! On y va !".

Comme l'hôtel est dans la même zone que celle des fast-foods, ils n'ont pas beaucoup de trajet a faire.
Elle met les choses au point:

"Tu fait comme si on était collègues de travail ! Je veux pas qu' on sache que je trompe mon mec !".
"D'accord ! Donnes moi des détails sur ton boulot, alors !".

Ils ont bien fait, ils se font surprendre par Léa, la meilleure amie de ma femme.

Qui s'assoit face à Marc, et le dévisage si longuement, qu'il préfère se rendre aux toilettes.
Avant qu'il se tourne pour y aller, Léa remarque un détail sur son bas ventre.
Il porte un pantalon, un peu trop "moulé".

Une fois seules, elle se lâche aussitôt !

"Putain ! Tu bosses avec lui ? Tu lui plais ! Tu le sais, j'espère ?".
"Arrêtes Léa ! Je suis avec Pascal ! Tu le sais, toi aussi ! Je peux pas penser à ça !".

"Ben, t'as tort ! Moi, je me le taperai bien ! Et en passant, t'as vu ce qu'il a entre les jambes ?".
"Tu penses qu'à ça !".

"Je pense qu'à ça ? Heureusement ! C'est pas avec Michel (son mari) que je prendrais mon pied ! Il me baise plus !".
"Ouais, mais tu sais que ses meilleurs amis, ne sont pas là pour prendre sa place, non plus ! Moi, j'aurai pas osé !".

En disant cela, elle ressent un nouveau spasme dans son anus martyrisé, mais Léa ne doit pas savoir !

"Tu sais pas ce que tu rates ! Toi, t'as connu qu'un mec ! Moi au moins, j'en ai gouté plusieurs ! Quatre, c'est un bon début pour une femme mariée, mais je vais pas m'arrêter là ! Il est pas obligé de le savoir !".
"Stop ! Léa ! il va revenir ! Bon, laisses nous, on va parler boulot ! Je passerai te voir !".

"Ouais ! Justement ! Il faut que je te raconte des trucs ! A propos de Luc ! (l'amant, et meilleur ami de son mari)".
"Ca promets encore ! Bye !".

Elle regarde Léa s'éloigner, si elle savait que Corinne a déjà cumulé deux bonnes centaines de verges à son actif !

Mais, pour vivre heureux, vivons caché dit l'adage !
Et certaines personnes ne sont pas prêtes à tout entendre !

Marc revient.

"Ca y est ? Elle est partie ! Elle est spéciale ta copine ! C'est pas mon genre du tout !".
"Ouais ! Je sais ! Mais on se connait depuis longtemps, je m'y suis habituée ! Bon ! T'as envie de quoi, maintenant qu'on a mangé ?".

"Ben, on pourrait retourner à l'hôtel !".

Elle sourit, puis se penche à son oreille.

"Ok ! Mais tu m'encules ! T'es trop long pour ma chatte ! j'ai un peu mal ! Et je préfère par là !".
"Putain ! On y va ! Vite !".

Elle est rentrée vers 16 h.
Ils prévoient de se revoir autant qu'ils pourront, il devra acheter du gel anal, pour le plaisir de ma belle.

Moi aussi, je me suis amusé avec Mario, dans la maison abandonnée, même si c'était moins long.
Quand j'arrive à la maison, vers 18 h , Corinne a mis un vinyle et chante à tue tête !

"Ohhh ! Ca fait plaisir de te voir comme ça ! T'as l'air heureuse !".

Elle vient se lover contre moi.

"Oui, très ! Je te demande pardon, mon amour !".
"Pardon ? Pourquoi ? Je comprends pas ?".

"Oui, je m'excuse, tu sais ! Mes envies d'arrêter le libertinage ! C'est toi qui a raison ! Je peux pas lutter contre ma nature ! Je suis comme ça ! Il faut simplement que je trouve le bon amant, c'est tout !".
"Ca veut dire que tu a recommencé ! Hallelujah ! C'était bien ?".

"Génial ! Il est très sympa, et il m'a défoncée, comme un dieu ! Je l'ai rencontré à la plage ! C'est un touriste !".
"Ok, et tu voudrais baiser avec lui, pendant toutes se vacances !".

"Oui ! Je peux ?".
"Bien sûr ! Surtout que moi, je bosse, et la petite est chez ta mère ! Donc, éclates toi !".

"Hummmm ! Merci, mon amour ! Mais ça ne nous empêches pas de faire l'amour ! Tu le sais ! C'est quand tu en as envie !".
"Je sais ! D'ailleurs, on fera ça, demain, je crois ! Parce que ce soir, on sera trop excités, et ça va dégénérer en sexe !".

"Hummmm ! J'adore quand ça dégénère ! Et Mario ? Il te baise toujours ?".
"Oui, mais il s'attache, ça m'embête un peu, moi, je ressens que de l'amitié pour lui ! Il voudrait que je repasse des nuits avec lui ! Mais j'en ai pas envie ! C'est avec toi que je suis en couple !".

Ca n'a pas loupé , le soir, on a baisé comme deux pervers amoureux !
Elle m'a tout raconté !

Pour la suite, Marc est venu quelques fois à l'appartement, l'hôtel manquait d'insonorisation et de commodités !
Corinne a déploré le manque de temps, pour faire le test HIV, pour mieux profiter de la verge de Marc.
Mais, on ne peut pas tout avoir !
Ils ne l'ont fait que la dernière semaine, à cause des délais.

Marc était bien tombé, il est arrivé quand le kiné amant de ma belle, était en vacances avec sa petite famille !
Il ne lui a pas manqué du tout !

A son retour, elle a reçu un de ses sms, alors que Marc l'enculait comme une chienne dans notre salon.
Dès qu'il lui a inséminé l'anus, elle attrape son portable pour lire le message.

"Qui c'est ?". Demande Marc.
"C'est le kiné !".

"Ah ! c'est le boulot alors !".
"Non ! Il me baise lui aussi ! Il veut me voir, là !".

"Ah bon ? Tu vas pas me laisser quand même ?".
"Mais non, je vais lui dire que je suis avec un autre mec ! C'est tout ! Il attendra ! Après tout, on baise ensemble depuis 3 ans déjà ! Et puis, il a sa femme !".

"Ah d'accord ! Putain, et ton mari qui sait rien ! J'hallucine !".
"Euh... Il faut que je t'avoue quelque chose ! Il sait tout, en fait !".

"Non ? Comment il fait ? Pour supporter tout ça ?".
"Ben, il m'aime vraiment ! Il me dit que je ne lui appartiens pas ! Et que je suis une femme hypersexuelle, qui a des besoins qu'il ne peut pas assumer tout seul ! Et c'est vrai que je me sens bien dans ma vie, depuis qu'il m'autorise a voir d'autres hommes !".

"Ouah ! C'est spécial, mais je vous envie ! Ca démontre une grande maturité de vie ! Ca doit être un mec bien ! Tu l'aimes ?".
"Comme une folle ! Il me canalise, me rassure ! C'est un amant génial pour faire l'amour, c'est mon meilleur ami, il me protège aussi ! Bref ! C'est l'homme de ma vie ! Vous aussi, je vous aime, mais pas pour la même chose !".

"Bon ! Tu lui dis quoi au kiné ?".
"Que je suis libre la semaine prochaine !".

"Il te baise bien ?".
"Oui ! Même si ca devient un peu routinier avec lui !".

"Ben, pourquoi tu continues ?".
"Parce qu'on est amis ! C'est devenu naturel, entre nous !".

"Ben oui ! J'suis bête ! Ha ha ha ! Je t'adore, ma p'tite salope ! Bon, on boit un café, et on recommence ?".
"Hummmm ! Bien sûr !".

La semaine suivante, le kiné l'a trouvée très cochonne quand il l'a baisée.
Elle s'est plaint:

"Tu me baises plus assez longtemps ! On est toujours pressés ! Moi j'ai envie de jouir plus que ça ! On pourrai aller à l'hôtel !".
Ca ne s'est pas fait, donc après une année de plus, elle s'est lassée de lui.
Dès lors leurs rapports étaient sporadiques, 6 à 7 fois par an !
Quand elle trouvait un créneau pour lui faire plaisir