L’inconnu du chemin près du lac - histoire érotique

Samir était seul depuis quelques jours dans la maison près du lac : des travaux, des rendez-vous, du travail en général... de quoi s’occuper, avoir des journées bien remplies, fatigantes, où il avait l’impression de ne pas s’arrêter, et de ne même pas avoir le temps de penser à ses proches. Samir était comme ça dans ses moments-là, il pouvait rester des heures, des jours, sans donner de nouvelles.

Ce soir-là il se sentait fourbu, vidé. Il ne prit pas une douche mais un bain, ce qui lui permit de fermer les yeux et de s’endormir quelques instants, il en avait besoin. Après le bain, il s’allongea sur le canapé du bas, vêtu simplement d’une serviette de bain autour de la taille, mal attachée. Peut-être était-ce la sensation de sa nudité, de sa propreté, peut-être était-ce lié à son assoupissement de quelques instants dans le bain qui lui avait fait du bien, toujours est-il qu’il sentit monter en lui une envie qu’il connaissait bien, et qui lui prenait de temps en temps : l’envie de baiser.

Dans ces moments-là, s’il était avec Eric, il allait vers lui, et n’avait qu’à sortir sa queue et l’approcher de sa bouche, Eric avait toujours envie. Là, Eric n’était pas là pour assouvir ses désirs, ses besoins même. Il lui fallait donc trouver un mec, un trou, une bouche, un cul...
Il se connecta sur internet via son tel. En général, il lui suffisait, après l’échange de quelques mots, d’envoyer les photos de sa gueule, de sa bite et de son torse pour trouver facilement, et, même, pour n’avoir que l’embarras du choix... Par contre, là où il était, à la campagne, c’était plus compliqué...

En fait, il n’eut pas longtemps à chercher, et tomba sur un petit jeune, un petit blond, une bonne passive, à la belle gueule de salope, qui habitait à une vingtaine de kilomètres, et qui était prêt à se déplacer. Ce qu’il cherchait collait parfaitement à ce que lui, Samir, aimait : ce jeune mettait à sa disposition sa bouche et son cul. Lui, ce serait sa bite, et rien d’autre, ça faisait partie des accords avec Eric, qui était ok pour qu’il se fasse sucer et qu’il encule un mec (ça l’excitait même), mais pas plus : Eric ne voulait pas qu’il se fasse embrasser (de toute façon il n’aimait pas ça) ni se fasse caresser le torse et, encore moins, toucher le cul. Samir respectait : ces parties de son corps, c’était chasse gardée, et c’était pour Eric.

La nuit était déjà tombée en cette fin d’été (on était début septembre), il faisait encore bon la journée, mais vite frais le soir, ouf... ça changeait des canicules irrespirables...
Il lui avait donné rendez-vous au bout d’un chemin de terre, facile à trouver depuis la route, et facile d’accès pour lui, qui faisait tout à pied.
C’était son coin à lui, au bord du lac, il y allait souvent, il n’y avait jamais personne, car il fallait pas mal marcher, et, si on était en voiture, il y avait des coins beaucoup plus près, soit de la route, soit du lac. Même en journée il n’y avait personne, alors la nuit...

Il était un peu en avance, et mordillait une brindille, lorsqu’il vit des phares, au loin. Comme il faisait un peu frais, et qu’il était vite frileux, il avait mis un survet et un gilet par dessus son tee-shirt. L’autre lui avait dit qu’il serait en jeans et blouson sur son tee-shirt, et qu’il viendrait avec une vieille 205 verte.
Les phares se rapprochèrent, et la voiture s’arrêta. Le mec en descendit, il était conforme aux photos, blond, les cheveux courts, 25 ans, il s’approcha de lui.
Samir ne put s’empêcher de se dire qu’il faisait vraiment pédé, sa gueule, son allure, sa démarche... même s’il n’avait fait que quelques mètres.
C’est pas grave, c’est précisément ce dont il avait envie ce soir : un p’tit pédé qui le suce et qui se fasse prendre.

Ce jeune n’était pas farouche car il vint jusqu’à lui sans hésitation, l’air limite arrogant. Il se planta devant lui et entreprit de l’embrasser direct, sur la bouche. Samir se laissa faire quelques instants, mais se reprit vite. Il décolla ce mec de son visage et le repoussa vers l’arrière, puis il posa sa main gauche sur sa tête pour la faire descendre jusqu’à la hauteur de son sexe, dissimulé encore sous son survet (il n’avait pas mis de sous-vêtement).
Il sortit sa queue et le jeune la prit aussitôt dans la bouche. Il se mit à la sucer avec fougue, mais Samir ne bandait pas encore. Le gars ralentit alors le mouvement, s’appliqua, et, petit à petit, fit durcir le manche.

Samir ferma les yeux et savoura cet instant.
La situation l’excitait : se faire sucer par un inconnu dans la nature, dans un coin qu’il affectionnait, où il venait souvent, et où il se sentait bien. Paradoxalement, alors qu’il savait que lui aussi aimait ça, il faisait très rarement ce genre de plan avec Eric, car, finalement, ils s’étaient habitués au confort de leur intérieur, de leur lit, mais il fallait donner du piment à leur relation, et Samir se dit que la prochaine fois il amènerait Eric à cet endroit.

Il rouvrit les yeux, et vit le haut de la tête du jeune, qui avait laissé les phares de sa voiture allumés, ça leur permettait d’y voir un minimum car la nuit était bien noire...
Il suçait bien le bougre, et Samir bandait maintenant à fond. Il baissa son survet, et mit de ce fait ses fesses à l’air, et il lui baisa la bouche en faisant des mouvements de va-et-vient rapides et saccadés. Le jeune visiblement aimait ça et semblait se régaler.
Samir empoigna sa tête et le baisa ainsi en fond de gorge, le mec encaissait bien.
De son côté Samir commença à soupirer, et même à gueuler, et à insulter :
- t’aimes ça salope hein...
- ouais... elle est bonne ... répondit le jeune entre deux sucées.

Comme il avait dégrafé son jean et commençait à se toucher, Samir passa sa main vers ses fesses, avant de le retourner.
Il se mit derrière lui, enleva son survet pour être plus à l’aise, mais garda le haut car il n’avait pas très chaud. L’essentiel était à l’air, et il aimait la sensation que lui procurait la légère brise, à la fois sur sa bite et à l’intérieur de ses fesses.
Il baissa le jeans puis le caleçon du jeune, mit donc son cul à l’air, et s’en approcha.
Ce garçon s’était appuyé sur le capot de sa voiture. La vue de ses fesses maintint l’érection de Samir, qui les empoigna, et les écarta, pour bien dégager le trou. L’ensemble était imberbe, charnu juste ce qu’il fallait, sans plus, il n’avait pas l’air très musclé.
Samir se mit à genoux, approcha sa bouche, et lui envoya un bon mollard sur l’anus, puis un deuxième. Il enchaîna en lui malaxant les fesses et le trou, pour bien l’humidifier.
Il se releva, et lui envoya des tapes sur les fesses, de plus en plus fortes.
Le jeune gémit, et, comme par réflexe, se redressa, Samir lui appuya sur le dos pour le maintenir à l’horizontale.

Le mec se baissa pour prendre un préservatif dans la poche de son jeans, et le tendit à Samir qui l’enfila autour de sa bite.
Il vint se positionner debout derrière lui, et, après l’avoir tapé, assez fort, sur la fesse droite, le pénétra sans préliminaires, ni trop de ménagement.
Samir adorait cette sensation de pénétrer le cul d’un mec avec sa bite, et, comme on sait, par derrière était sa position préférée. Ça faisait longtemps qu’il n’avait pas enculé quelqu’un d’autre qu’Eric, et ça lui faisait du bien. Du sexe sans sentiment, rien que du cul, y a pas à dire, ça fait du bien à l’animal...
Baiser un inconnu, un mec dont on ne savait rien, qu’on ne reverrait jamais, en pleine nature de surcroît, c’était vraiment le pied... pourquoi s’en priver... Samir savait que ça lui ferait du bien, que ça le détendrait, que ça viderait son trop plein de stress et de fatigue...

Le mec gémissait comme une salope sous ses coups de butoir. De sa voix aiguë de tafiole il émettait même des sons, comme “oh oui... c’est bon... vas-y... baise-moi...”
“Ta gueule”, avait envie de lui répondre Samir, qui voulait bien d’un cul à sa dispo, mais, pitié, d’un cul silencieux.
Ce con se relevait aussi, il se retournait même, et le regardait, en gémissant de surcroît, avec sa voix aiguë.
Sans aucun ménagement Samir l’empoigna par la tête, et le ramena vers l’horizontale.
“Arrête de bouger !” finit-il par lui dire, agacé.

L’autre se calma un peu, et arrêta de se dandiner du fion. Samir put reprendre ses va-et-vient, et reprendre aussi une érection plus normale. Avec ses conneries, il en avait presque débandé.
Pour être plus à l’aise, il enleva son gilet, qu’il posa à même le sol, mais il garda son tee-shirt, qu’il ne releva même pas Il n’en avait pas envie, d’abord parce qu’il faisait frais, ensuite parce que ça ne lui disait rien de montrer son torse à ce gars.
Il continua à bien le pilonner, ce qui lui faisait toujours autant de bien.
Le jeune gémissait de plus belle, et gueulait même de plus en plus fort, toujours de sa voix aiguë, qui commençait à horripiler Samir.
Il préféra se concentrer sur ses mouvements de va-et vient et, pour mieux les sentir, il redressa le jeune, pour le mettre à l’horizontale devant lui, et bien enfouir sa bite au fond de ses entrailles.

Il sentait que la sauce montait, mais n’avait pas encore envie de jouir, ne serait-ce que par fierté vis-à-vis de cette passive. Il ralentit donc le mouvement, et, à un moment, sentit sa bite coulisser et sortir du trou du jeune mec, qui, du coup, se retourna, lui fit face, se pencha et se remit à le sucer.
- t’as d’autres capotes ?
- ouais, tu peux l’enlever, j’en ai une autre.
Samir l’enleva donc, et lui rentra sa bite bien à fond dans la gueule. Il la poussa autant qu’il put, jusqu’à ce que les lèvres du gars butent sur son bas-ventre. Là, ce fut Samir qui gémit, tellement la sensation de la bite au fond de la gorge du gars lui procurait de plaisir. Ça a quand même du bon, une bonne passive, se dit-il.

Au bout de quelques instants, l’autre dut faire une pause, et reprendre sa respiration. Samir lui empoigna alors la gueule avec sa main gauche, lui ouvrit ainsi la bouche, approcha la sienne, et lui mollarda dedans. Le mec aimait ça visiblement, et en redemandait. Samir termina en lui donnant une petite gifle sur la joue, avant d’enfourner à nouveau sa bite dans la bouche du gars, qui se remit à sucer avec avidité.
Pour accentuer le plaisir, Samir avait passé ses mains derrière sa nuque, les avait jointes, et rapprochait ainsi son visage de sa queue. Le jeune aimait ça. Il la dévorait littéralement, effectuait des mouvements de va-et-vient avec ses lèvres de plus en plus rapides, et, quand la bite en ressortait, il l’empoignait pour la remettre en bouche. Y a pas à dire, il était doué, et il aimait ça, et, du coup, Samir le regarda avec plus de sympathie qu’avant.

Le mec se releva, pendant que Samir avait repris sa bite en main et se branlait. Il enleva son blouson et son tee-shirt, il était alors complètement à poil, ce qui créa chez Samir le désir de le prendre à nouveau. Il récupéra le deuxième préservatif dans la poche de son jeans, que le jeune avait posé par terre, il l’enfila autour de sa bite, et se fit sucer ainsi, pour qu’elle glisse mieux.
Le jeune s’allongea sur le capot de la voiture, sur lequel il avait posé son blouson, il releva les jambes, et offrit sa croupe pour une nouvelle pénétration, cette fois dans cette position.
Ce n’était pas la favorite de Samir, mais il pénétra le jeune facilement, comme s’il avait une chatte, et il prit du plaisir à le baiser de cette façon.

Au bout de quelques instants toutefois il eut envie de reprendre sa position favorite, il se retira, retourna le gars, qui cette fois s’allongea sur le capot, le torse en avant, et releva son cul. Samir se pencha, envoya quelques mollards en direction de l’anus, puis le doigta. Il lui mit même la main entière, tellement le mec était ouvert. Il le fit bien gueuler comme ça, avant de remettre sa bite et de l’enculer bien à fond dans sa position favorite.
Le gars tout en se branlant continuait à gueuler, cette fois de façon plus grave que précédemment, et Samir le pilonnait bien à fond.
Ils continuèrent dans cette position, puis le mec posa son blouson à même le sol, s’allongea sur le ventre, Samir se mit sur lui, et le baisa de cette façon, les deux étant à l’horizontale.

Il commençait à avoir du mal à se retenir, et sentait l’éjaculation venir.
Il se releva, et le pilonna encore un peu, mais ça venait.
Il se retira, enleva le préservatif, mit sa bite dans la bouche du jeune, et se laissa aller.
Visiblement, le gars aussi sentait que ça allait venir, car il bandait à fond, et se branlait vigoureusement.
Samir aussi se mit à se masturber, les deux hommes se faisaient alors face, chacun la bite en main, en train de la branler.
Le jeune revint sucer Samir qui de ce fait ralentit le mouvement, et apprécia cette ultime fellation.
Il retira sa bite définitivement, reprit ses mouvements avec sa main droite sur sa queue, et sentit que cette fois c’était bon. Il la rapprocha du visage du gars, et lui envoya la purée en pleine tronche. Il en foutut partout, tellement ses couilles étaient pleines, mais le gars avait l’air d’aimer, car il sortit sa langue pour lécher le foutre qui était à proximité.
Lui aussi se finit rapidement, et éjacula sur son ventre, en poussant à nouveau ses gémissements aigus.

Samir reprenait doucement son souffle. Il avait pris son pied, mais n’avait maintenant qu’une idée : que ce mec se casse.
C’est ce qu’il lui signifia, sans ménagement, quand il lui dit qu’il avait aimé et qu’il recommencerait quand il voudrait.
Samir ne le laissa pas finir, lui tapa sur les fesses, en lui disant de se casser.
L’autre ne se dépéchait pas assez à son goût.
- Casse-toi, je te dis.
Il ramassa alors ses habits, et monta à poil, ses affaires à la main, dans sa voiture, qu’il démarra en trombe.

Samir lui aussi ramassa son survet, et son gilet. Il soupira, avant de se rhabiller.
Il se sentait détendu, content de ce moment, content aussi d’être à nouveau seul.