L'inconnue...
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-07-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'inconnue...
Justine venait tout juste de partir. J’avais encore le goût de sa chatte en bouche. Je glissais ma main dans ma poche et en sortis le slip qu’elle m’avait généreusement donné. Celui meme qu’elle portait il y avait encore une heure de ça. Pour être à l’abris, je me suis alors réfugié dans la cabane qui server jadis d’étable. Une fois bien caché j’ai pu humer le slip, plissant les paupières de bien être. Pas le temps de profiter que déjà je fus interrompu par un appel. Qui venait de l’autre côté de la cloison, donc de l’extérieur pour moi. Ma curiosité me poussa à ressortir pour aller voir à qui j’avais à faire, mais la voix m’en dissuader.
- Non rester où vous êtes… - Et pourquoi le ferais-je.
- Par ce que vous aimez le jeu.
- Le jeu… quel jeu ?
- Je vous vois avec la factrice.
À cet instant j’ai senti comme du plomb me tomber dessus. Malgré mes mille precautions j’avais tout de même était découvert. Une chose qui avait tout pour me déplaire.
- Et alors.
- Alors… il se trouve que je prends un pied pas possible à vous regardez faire vos saletés. À un tel point que j’ai envie d’être le lendemain pour venir vous épier.
- Alors venez me rejoindre, comme cela nous pourrions mieux parler, et voir plus après, c’étant jamais !
- Non… Non, ce n’est pas possible cela. Je suis mariée et j’ai envie d’y resté. Mais surtout je n’ai pas envie d’être découverte. Reconnue, si vous voyez ce que je veux dire.
- Alors vous préférez le voyeurisme. Et vous prenez votre pied comme cela ?
- Oui, on peut dire ça.
- À la teinte de votre voix, il me semble que vous n’êtes pas une jeunette, je me trompe ?
- Non… effectivement. Mais j’ai encore un besoin… - Oui, un besoin, de quoi ?
- Non… rien… - Vous voulez sûrement dire un besoin de sexe. C’est ça ?
Comme elle ne répondait pas, je me mis en droit de poursuivre.
- Vous savez je sais ce que c’est. J’ai assez fréquenté de femme vous savoir ce que vous vivez. Peur de passer la barrière qui mène à l’adultère. La morale prenant le pas sur le mal. C’est cela ?
- Oui… on peut dire ça comme cela.
- Mais pourquoi m’avoir interpelé alors. Il était si facile d’être resté invisible. À présent dès que je ferai mes saletés avec la factrice je saurai que vous êtes pas loin. Je vous avoue que sachant cela je ne suis pas chaud pour remettre cela. Mentais-je, j’étais même à cet instant très excité à savoir que j’avais une spéctatrice lors de mes récrés avec Justine.
- Oui… je vois. J’aurai du me tenir tranquille, et ainsi profiter de l’occasion qui m’était donné.
- En peut dire ça. Fini le pied pour vous à présent.
Je sentais que j’avais accroché ma proie, comme un pécheur a ferré son poisson à l’hameçon et qu’il me fallait de la maîtrise et du doigté pour le ramener à soi et pouvoir la prendre en main.
Innocente… ? L’était-elle vraiment ? Laissant ma moral contre un scénario des plus chauds, je portais machinalement mon regard sur un trou dans la cloison de bois. Celle-même qui me séparer de l’inconnue. Je m’approchais et sortis mon canif de ma poche. L’ouvris et m’attaquais au trou pour l’agrandir.
- Mais qu’est-ce que vous… non, faite pas ça… - N’ayez crainte chère dame. Je ne cherche pas à trahir votre identité. Je veux seulement vous rendre un service.
Quand je jugeais le trou assez gros, je sortis ma queue de mon pantalon. Elle était déjà bien dure, croyez-moi, et la guidais de ma main dans l’orifice. J’ai tout de suite senti de l’air frais me caresser la queue.
- Alors qu’est-ce que vous en dite, elle vous plaît ?
- Cela fait du bien d’en voir une aussi proche et bandée plus est. Je peux ?
- Oui, bien sûr. Faites comme bon vous semble. Elle est à votre disposition.
J’avais senti un souffle chaud sur mon gland. Elle me sondait. Respirée mon odeur.
Tout mon corps était en émoi. Cela me faisait l’effet d’un tison chauffé à blanc sur ma peau - Alors… c’est à votre goût ?
- Oui… cela fait du bien… - Vous m’en direz tant. Alors qu’est-ce que vous attendez pour passer à l’acte… - Oh non… mais pour qui me prenez-vous ! Il n’est pas question que je mette votre… dans ma bouche. Je ne suis pas de ce genre là.
Alors je me retirais du trou et remis ma queue dans mon pantalon. Comme je n’entendais pas un bruit de l’autre côté de la cloison, je l’interpelais.
- Madame êtes-vous toujours là ?
- Oui, je le suis, pourquoi ?
- Je sais que vous aimez le jeu. Alors je vous en propose un. Je vais passer ma langue par l’orifice. Je vous la loue quelques instants, enfin si cela vous en dit. Sachez comme vous avez pu le constater avec la factrice; elle est très agile. Alors profitais-en.
Je pris un carton qui trainait et le posais sur la terre battue avant d’y posais mes genoux. Je penchais ma tête jusqu’à ouverture dans la cloison et y fourrais ma langue, tendue à s’en maximum.
- Mais je ne sais pas si je dois… entendais-je.
- Mais oui madame, vous devez le faire. Droit à vous de vous offrir une petite récréation.
- Oui mais… - Faite comme bon vous semble madame, mais profité de l’occasion qui vous es donnez. Une telle situation ne se reproduira peut-être pas.
J’entendis un froissement de l’autre côté de la cloison. Mais très vite une idée me submergea, au point de retirer ma langue du trou.
-Mais que faites-vous ?
Je perdais complètement la notion de présent et de réalité, au point de lui demander l’imponsable.
- Montrez-moi votre culotte d’abord, lui soufflais-je d’un ton décidé.
- Ceci est hors de question ! Cessez donc de m’importuner.
Mais je revins à la charge.
- Aller un bon geste et je vous laisse. Vous voyez, je ne désire rien d’autre de votre part.
Après un moment de silence, je vis pour mon plus grand plaisir, apparaître du trou une culotte blanche. Sans aucune gêne, j’agençais mon nez contre la lingerie. J’humais le fumet émanant du sous-vêtement, en promenant mon nez un peu partout sur le linge. Puis je m’en détachais. Plein les narines, mais pas ratassiez pour autant.
- J’ai une dernière faveur à vous soustraire. La dernière.
- Non, vous abusez d’une femme sans défense. Bon, bon puisque vous profitez de la situation, allez-y. Je vous écoute.
- J’aimerais vous soulagez de votre culotte.
- Prenez la elle est à vous… J’étais aux anges. J’examinais son sous-vêtement et le respirais de nouveau. Mais voilà ma bouche avait très envie de découvrir ses saveurs de femme, et je le lui en fis part : - Maintenant approcher du trou chère inconnue et approcher votre vulve du trou et laissez-vous faire.
Mais contre toute attente, elle s’exécutait, s’approchant graduellement jusqu’à l’orifice, et cela pour ma plus grande joie. Je tiens à vous dire que jamais j’aurai imaginé, même dans mes rêves les plus érotiques, arrivé à faire plier une inconnue de la sorte et aussi rapidement, elle devait être vraiment en manque !
Je plongeais alors ma langue entre ses fesses qu’elle avait coller contre la paroie. J’introduisis ma langue dans le sillon et elle bougea pour que j’arrive jusqu’à ses lèvres intimes. Mon corps était bouillonnant et je n’avais pas ressenti une telle excitation depuis si longtemps que j’avais l’impression d’être encore un adolescent. Je l’entendis gémir. Je savais maintenant qu’elle s’abandonnait totalement à mes caresses et que cette situation pittoresque décuplerait son plaisir.
Je léchais tout ce qu’elle me donnait. Ma bouche se fit plus curieuse, et tentait, d’atteindre son bouton d’amour. Elle tressaillait, sentant mon souffle puis ma langue humide glisser entre ses lèvres. Elle avait envie de plus. J’étais en transe, et je sentais mon sexe gonflé au maximum.
Elle s’arrangea pour me donner un accès plus facile à son bouton d’or. Je ressentais une sorte de soumission dans ce petit jeu à la sucer de la sorte, comme c’est au fond le cas dans tous les jeux de soumission, je me dis que la personne soumise n’est peut-être pas celle que l’on croit ? Ma langue prit contact avec l’endroit interdit, ces plis de douceur. Elle les écartaitlentement, pour atteindre la petite pointe déjà humide et érigée. J’entendais ses soupirs tandis que je goûtais et regoûtais, que je me délectais de son intimité.
Son corps ne lui appartient plus, et commençait à onduler au rythme de mes coups de langues. Ses soupirs devenaient gémissements. Elle excitait tous mes sens.
Elle était trempée et je décidais d’augmenter son plaisir en entrant un, puis deux doigts en elle. Sa réaction fut immédiate ! Son plaisir décuplé montait à son apogée et, dans un cri étouffé, une marée envahit mes doigts.
Elle m’échappa quelques instants pour m’offrir son anus. Me faisant comprendre par cet acte que le jeu continuait. Je m’exécutais, alors. J’avais adoré ce petit goût âcre et salé, mélange de transpiration, de mouille et de tes odeurs intimes. Je passai ma langue puis l’enfonçai dans son petit trou. Je l’entendais gémir sous mon intromission. Mais il m’était difficile de prolonger ma caresse. Tant ma langue devenait douloureuse. Alors je passai mon majeur dans ton sillon fessier ; jusqu’à le pénétrer dans son sexe trempé. Et comme il y avait de la place j’y mis aussi mon index en plus. Que je fis aller et venir en elle. Elle ne put alors se retenir plus longtemps et se mit à jouir en essayant au maximum d’étouffer ses cris.
Je vois alors ma chimère s’éloigner du trou, et disparaître sans un mot. Je ne connaissais même pas son nom, ni son visage. Je restais seul dans la cabane. Je me laissais partir dans une somnolence qui fut stoppée par un bruit de moteur de tracteur passnt sur la route très proche.
Avais-je rêvé ?
Mes yeux se posèrent sur le sol où la petite culotte blanche attendait qu’en s’occupe d’elle. Seul vestige, me prouvant que le rêve était réalité…
- Non rester où vous êtes… - Et pourquoi le ferais-je.
- Par ce que vous aimez le jeu.
- Le jeu… quel jeu ?
- Je vous vois avec la factrice.
À cet instant j’ai senti comme du plomb me tomber dessus. Malgré mes mille precautions j’avais tout de même était découvert. Une chose qui avait tout pour me déplaire.
- Et alors.
- Alors… il se trouve que je prends un pied pas possible à vous regardez faire vos saletés. À un tel point que j’ai envie d’être le lendemain pour venir vous épier.
- Alors venez me rejoindre, comme cela nous pourrions mieux parler, et voir plus après, c’étant jamais !
- Non… Non, ce n’est pas possible cela. Je suis mariée et j’ai envie d’y resté. Mais surtout je n’ai pas envie d’être découverte. Reconnue, si vous voyez ce que je veux dire.
- Alors vous préférez le voyeurisme. Et vous prenez votre pied comme cela ?
- Oui, on peut dire ça.
- À la teinte de votre voix, il me semble que vous n’êtes pas une jeunette, je me trompe ?
- Non… effectivement. Mais j’ai encore un besoin… - Oui, un besoin, de quoi ?
- Non… rien… - Vous voulez sûrement dire un besoin de sexe. C’est ça ?
Comme elle ne répondait pas, je me mis en droit de poursuivre.
- Vous savez je sais ce que c’est. J’ai assez fréquenté de femme vous savoir ce que vous vivez. Peur de passer la barrière qui mène à l’adultère. La morale prenant le pas sur le mal. C’est cela ?
- Oui… on peut dire ça comme cela.
- Mais pourquoi m’avoir interpelé alors. Il était si facile d’être resté invisible. À présent dès que je ferai mes saletés avec la factrice je saurai que vous êtes pas loin. Je vous avoue que sachant cela je ne suis pas chaud pour remettre cela. Mentais-je, j’étais même à cet instant très excité à savoir que j’avais une spéctatrice lors de mes récrés avec Justine.
- Oui… je vois. J’aurai du me tenir tranquille, et ainsi profiter de l’occasion qui m’était donné.
- En peut dire ça. Fini le pied pour vous à présent.
Je sentais que j’avais accroché ma proie, comme un pécheur a ferré son poisson à l’hameçon et qu’il me fallait de la maîtrise et du doigté pour le ramener à soi et pouvoir la prendre en main.
Innocente… ? L’était-elle vraiment ? Laissant ma moral contre un scénario des plus chauds, je portais machinalement mon regard sur un trou dans la cloison de bois. Celle-même qui me séparer de l’inconnue. Je m’approchais et sortis mon canif de ma poche. L’ouvris et m’attaquais au trou pour l’agrandir.
- Mais qu’est-ce que vous… non, faite pas ça… - N’ayez crainte chère dame. Je ne cherche pas à trahir votre identité. Je veux seulement vous rendre un service.
Quand je jugeais le trou assez gros, je sortis ma queue de mon pantalon. Elle était déjà bien dure, croyez-moi, et la guidais de ma main dans l’orifice. J’ai tout de suite senti de l’air frais me caresser la queue.
- Alors qu’est-ce que vous en dite, elle vous plaît ?
- Cela fait du bien d’en voir une aussi proche et bandée plus est. Je peux ?
- Oui, bien sûr. Faites comme bon vous semble. Elle est à votre disposition.
J’avais senti un souffle chaud sur mon gland. Elle me sondait. Respirée mon odeur.
Tout mon corps était en émoi. Cela me faisait l’effet d’un tison chauffé à blanc sur ma peau - Alors… c’est à votre goût ?
- Oui… cela fait du bien… - Vous m’en direz tant. Alors qu’est-ce que vous attendez pour passer à l’acte… - Oh non… mais pour qui me prenez-vous ! Il n’est pas question que je mette votre… dans ma bouche. Je ne suis pas de ce genre là.
Alors je me retirais du trou et remis ma queue dans mon pantalon. Comme je n’entendais pas un bruit de l’autre côté de la cloison, je l’interpelais.
- Madame êtes-vous toujours là ?
- Oui, je le suis, pourquoi ?
- Je sais que vous aimez le jeu. Alors je vous en propose un. Je vais passer ma langue par l’orifice. Je vous la loue quelques instants, enfin si cela vous en dit. Sachez comme vous avez pu le constater avec la factrice; elle est très agile. Alors profitais-en.
Je pris un carton qui trainait et le posais sur la terre battue avant d’y posais mes genoux. Je penchais ma tête jusqu’à ouverture dans la cloison et y fourrais ma langue, tendue à s’en maximum.
- Mais je ne sais pas si je dois… entendais-je.
- Mais oui madame, vous devez le faire. Droit à vous de vous offrir une petite récréation.
- Oui mais… - Faite comme bon vous semble madame, mais profité de l’occasion qui vous es donnez. Une telle situation ne se reproduira peut-être pas.
J’entendis un froissement de l’autre côté de la cloison. Mais très vite une idée me submergea, au point de retirer ma langue du trou.
-Mais que faites-vous ?
Je perdais complètement la notion de présent et de réalité, au point de lui demander l’imponsable.
- Montrez-moi votre culotte d’abord, lui soufflais-je d’un ton décidé.
- Ceci est hors de question ! Cessez donc de m’importuner.
Mais je revins à la charge.
- Aller un bon geste et je vous laisse. Vous voyez, je ne désire rien d’autre de votre part.
Après un moment de silence, je vis pour mon plus grand plaisir, apparaître du trou une culotte blanche. Sans aucune gêne, j’agençais mon nez contre la lingerie. J’humais le fumet émanant du sous-vêtement, en promenant mon nez un peu partout sur le linge. Puis je m’en détachais. Plein les narines, mais pas ratassiez pour autant.
- J’ai une dernière faveur à vous soustraire. La dernière.
- Non, vous abusez d’une femme sans défense. Bon, bon puisque vous profitez de la situation, allez-y. Je vous écoute.
- J’aimerais vous soulagez de votre culotte.
- Prenez la elle est à vous… J’étais aux anges. J’examinais son sous-vêtement et le respirais de nouveau. Mais voilà ma bouche avait très envie de découvrir ses saveurs de femme, et je le lui en fis part : - Maintenant approcher du trou chère inconnue et approcher votre vulve du trou et laissez-vous faire.
Mais contre toute attente, elle s’exécutait, s’approchant graduellement jusqu’à l’orifice, et cela pour ma plus grande joie. Je tiens à vous dire que jamais j’aurai imaginé, même dans mes rêves les plus érotiques, arrivé à faire plier une inconnue de la sorte et aussi rapidement, elle devait être vraiment en manque !
Je plongeais alors ma langue entre ses fesses qu’elle avait coller contre la paroie. J’introduisis ma langue dans le sillon et elle bougea pour que j’arrive jusqu’à ses lèvres intimes. Mon corps était bouillonnant et je n’avais pas ressenti une telle excitation depuis si longtemps que j’avais l’impression d’être encore un adolescent. Je l’entendis gémir. Je savais maintenant qu’elle s’abandonnait totalement à mes caresses et que cette situation pittoresque décuplerait son plaisir.
Je léchais tout ce qu’elle me donnait. Ma bouche se fit plus curieuse, et tentait, d’atteindre son bouton d’amour. Elle tressaillait, sentant mon souffle puis ma langue humide glisser entre ses lèvres. Elle avait envie de plus. J’étais en transe, et je sentais mon sexe gonflé au maximum.
Elle s’arrangea pour me donner un accès plus facile à son bouton d’or. Je ressentais une sorte de soumission dans ce petit jeu à la sucer de la sorte, comme c’est au fond le cas dans tous les jeux de soumission, je me dis que la personne soumise n’est peut-être pas celle que l’on croit ? Ma langue prit contact avec l’endroit interdit, ces plis de douceur. Elle les écartaitlentement, pour atteindre la petite pointe déjà humide et érigée. J’entendais ses soupirs tandis que je goûtais et regoûtais, que je me délectais de son intimité.
Son corps ne lui appartient plus, et commençait à onduler au rythme de mes coups de langues. Ses soupirs devenaient gémissements. Elle excitait tous mes sens.
Elle était trempée et je décidais d’augmenter son plaisir en entrant un, puis deux doigts en elle. Sa réaction fut immédiate ! Son plaisir décuplé montait à son apogée et, dans un cri étouffé, une marée envahit mes doigts.
Elle m’échappa quelques instants pour m’offrir son anus. Me faisant comprendre par cet acte que le jeu continuait. Je m’exécutais, alors. J’avais adoré ce petit goût âcre et salé, mélange de transpiration, de mouille et de tes odeurs intimes. Je passai ma langue puis l’enfonçai dans son petit trou. Je l’entendais gémir sous mon intromission. Mais il m’était difficile de prolonger ma caresse. Tant ma langue devenait douloureuse. Alors je passai mon majeur dans ton sillon fessier ; jusqu’à le pénétrer dans son sexe trempé. Et comme il y avait de la place j’y mis aussi mon index en plus. Que je fis aller et venir en elle. Elle ne put alors se retenir plus longtemps et se mit à jouir en essayant au maximum d’étouffer ses cris.
Je vois alors ma chimère s’éloigner du trou, et disparaître sans un mot. Je ne connaissais même pas son nom, ni son visage. Je restais seul dans la cabane. Je me laissais partir dans une somnolence qui fut stoppée par un bruit de moteur de tracteur passnt sur la route très proche.
Avais-je rêvé ?
Mes yeux se posèrent sur le sol où la petite culotte blanche attendait qu’en s’occupe d’elle. Seul vestige, me prouvant que le rêve était réalité…
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