l'infirmière obligée - histoire érotique

Rentrant chez moi après mon travail d' infirmière, la concierge me remis un colis. Il était préciser à ne remettre qu'à madame Viviane x.
Curieuse je montes à mon appartement rapidement.
A peine la porte fermée que le colis se mit à sonner.
Je déchire le colis pour voir un GSM que je décroche directement:
« hallo! »
« Viviane, dans le carton tu trouveras un DVD que je t' invites à visioner directement et je te rapelles dans 10 min » me dit un homme avec une voix modifiée.
Le film que je vis sur le DVD me fit froid dans le dos, on m' avais filmé lorsque j' avais fait l' amour avec un malade qui était guéri et qui devait sortir le lendemain. Il me faisait de l' effet depuis son arrivée à l' hopital, et je voyais que je lui était pas indiférente non plus.
Le GSM se remit à sonner, j' hésitait à décrocher, mais je devais savoir comment il avait eu ce film.
« hallo, à qui ais-je l' honneur. »
« si tu ne veux pas que ce film ne se retrouve pas sur le net, tu devras faire tout ce que je te dis sans discuter dabord tu gardes ce GSM toujours avec toi et tu réponds directement, et surtout ne vas pas voir la pôlice car de toute façon on ne pourra pas retracer le numéro car c' est une carte prépayée. Et surtout n' oublie pas que je sais énormément de choses sur ton compte. »
je n' eu pas le temps de discuter que l' homme avais déjà raccroché.
Je me remémorais tout ce qui venait de se passer et me mit à frissonner de peur.
Le lendemain matin le GSM se mit à sonner au moment ou je me préparais, je décrochais me demandant si je faisais bien.
« Ce matin tu vas mettre ton chemisier blanc léger et ta mini jupe écossaise. Sinon tu sais ce qui arriveras. De plus en revenant du boulot tu passeras par le sex shop xxxxxxxxx qui se trouve a cette adresse ou un paquet t' attendra ».
« si tu fais ce que je te dis, ce film restera confidentiel ».
Je décidais de ne pas tenir compte de ses menaces et de m' habiller comme d' habitude.
Toute la journée, en travaillant je me demandais si j' avais bien fait et si non que ferait il pour me punir. En rentrant le soir un homme m' attendait devant une limousine dans laquelle attendait un chaufeur, me tendit une lettre disant: « tu n' as pas respecter mes exigences, maintenant tu vas monter dans la voiture et faire ce qui est précisé dans le DVD que tu trouveras dans la voiture ».
« Laissez moi partir » m' écriais-je.
Avant que j' ai le temps de réagir l' homme m' attrape et me jette à l' arrière de la voiture, à peine le temps de bouger, qu l' homme monte à côté de moi et que le chaufeur ferme la porte électriquement.
L' homme mit le DVD en fonctionnement,
« regarde ce qui va se passer » dit un homme masqué dans le film.
L' homme dans la voiture me passa un écran d' ordinateur qui était connecté à internet.
Sur lequel je vis qu' il avait réussi à casser mon adresse email pour envoyer un mail contenenant une copie du film de mes exploits à une adresse que je reconnu comme étant celle de mon mari.
L' homme à côté de moi remit le DVD en fontionnement.
« Maintenant si tu veux récupérer la copie avant le retour de ton mari tu as tout intérêt à faire ce que je t' ordonne. »
On tournait en voiture depuis 15 min quand le GSM de l' homme sonna, il décocha et me passa l' appareil.
« J' espère que la démonstration t' a convaincu » dit l' homme au téléphone.
« Que dois-je faire » demandais-je.
« Tu vas pendre la caméra que va te passer ton accompagnateur et te filmer tout en mettant les vêtement que je t' avais dis de porter ce matin ».
L' homme à côté de moi me remis la caméra et mes vêtements.
« Comment vous les êtes vous procuré » demandais-je.
L' homme ne répondis pas. Je commençais à me désabiller détachant ma robe, je me tortillais tant bien que mal pour enlever ma robe. Puis je dégrafais mon soutient gorge et fit jaillir mes seins, au moment ou j' allais enlever ma culotte, l' homme me dis que ma poitrine valait la peine. Il m' attrapa et commença à me sucer les mamelons qui durcirent. Je dois avouer que malgrés tout je commençais à trouver la situation agréable et que mouillais déjà.
Il attrapa ma culote et l' aracha, de surprise plus que de douleur je laissais échapper un cris.
Il mit sa main sur ma chatte et mit un doigt dedans.
J' était déjà prète à jouir quand il dit maintenant tu t' habille on arrive dans 5 min.
J' allais remettre mon soutien quand il me l' arracha des mains disant:
« une pute de ton èspèce ne porte rien en dessous! »
je mis donc mon chemisier blanc qui par tranparance laissait voir mais seins et mon aréole légèrement rose qui pointait. Je mis aussi ma jupe écossaise qui était extrèmement courte, et laissait voir le bas de mes fesses, et si je me bessais, on voyait tout mon cul.
La voiture s' arrêta devant le sex shopxxxxxxxxx ou j' aurais du aller cet après-midi.
« Tu vas entrer et chercher le colis qui t' attends » dit il en poussant vers la porte.
« Je ne vais pas sortir dans cette tenue ».
« donnez moi au moins de l' argent pour payer » dis-je.
« Tu n' as qu' a t' arranger comme tu veux mais le temps passe vite et n' oublies pas que si tu veux la vidéo avant son retour tu dois faire vite et ne pas trop discuter ».
Je sortis de la voiture essayant de cacher ce qui pouvait l' être, et entrais dans le magasin.
Avançais directement vers le comptoir, demandais le paquet èspèrant que celui-ci serait payé.
« Ca fera 150 Euros » dis l' homme derrière son comptoir.
« Je n' ais pas d' argent sur moi » je me plains.
« Comment comptes tu me payer » fit-il.
« Je repasserai demain pour payer » je jurais.
« Qu' est ce qui me prouve que vous repasserez » dit-il.
« Rien si se n' est ma parole ».
« Je vais faire quelques photos de toi, et tu me donneras ton adresse pour que je sois sûr ».
Il sortit un appareil digital et commença à me mitrailler.
« Montre ton cul et tes seins » dit-il.
J' ouvrais les boutons de mon chemisier et remontais ma jupe.
Au bout de 5 min il s' arrêta, pris mes coordonnées, tandis le paquet et me dit à demain.
Je remontais en voiture.
L' homme me tandis le téléphone.
« Ouvre le colis et tu verras les accesoires que tu utilisera suivant mes exigences ».
Dedans il y avait un plug anal, un vibromasseur télécomandé à distance, une culotte ouverte pour accès rapide, un colier de chienne avec sa laisse et des ataches pour les poignets et chevilles.
« Pour essayer tu vas prendre le vibro et te l' introduire sans le retirer de toute la soirée ».
je pris l' objet et commençais à l' introduir dans ma chatte, directement il se mit à vibrer et j' émis un cris de jouissance, commençant à mouiller, je sentis que je ne tiendrais pas longtemps avant d' exploser.
on arrivais chez moi, par la fenêtre je regardais esperant que mon mari ne soit pas encore là.
« Ne t' inquiète pas, aujourd'hui je me suis arrangé pour qu' il doive travailler très tard, mai n' oublie pas que je sais tout de toi et qu' il vaut mieux pout toi d' obéir »!
La voiture s' arrêta et on me poussa à l' extérieur presque nue. Je criais, alors on jeta mon sac sur le trottoir. Je dus m' accroupir pour rassembler toutes mes affaires, je me méfiais car je ne voulais que mes voisins me voyent.
Je montais chez moi ouvrais la porte et me mis à souffler.

A suivre