L'initiation
Récit érotique écrit par Davidson [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-12-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'initiation
Eliane venait d'atteindre la cinquantaine, à proximité de son bourg se trouvait un domaine que tout le monde dans le bourg appelait "le bois noir" ;il était considéré comme la propriété d'un riche armateur libanais où des membres d'une riche bourgeoisie se réunissaient parfois pour des réunions "mystérieuses" auxquelles on associait tous les fantasmes possibles. Eliane, à l'orée de la cinquantaine, ne fantasmait même plus sur ce lieu lorsqu'une vague connaissance (employée à la pharmacie) lui proposa abruptement un jour: "ça t'intéresserait de venir au Bois Noir voir ce qu'il s'y passe?"Eliane, dans l'isolement de son récent divorce s'étonna de s'entendre dire "oui, pourquoi pas?"Son interlocutrice lui expliqua qu'elle pourrait renoncer à tout moment, mais que son admission dans cette "confrérie" était soumise à un rituel qui risquait de la surprendre, mais que rien de ce qui allait se passer n'était nocif pour la santé, bien que pouvant surprendre les esprits étroits ou rétrogrades.
Et c'est ainsi que fut fixée une date, un vendredi soir, où elle devait se rendre devant la grille du "bois noir" et y taper le code chiffré qui venait de lui être transmis. On ne lui avait donné aucune consigne sur la façon dont elle devrait se vêtir, aussi, se considérant comme relativement "âgée" avec cette cinquantaine approchante elle décida de se vêtir de façon "neutre" (chemisier - pantalon)pour être la moins "visible" possible; mais c'est tout de même la curiosité qui la "poussait vers cet inconnu". Arrivée devant la grille, elle fit le code, la grille s'ouvrit sans le moindre grincement, elle y engagea sa voiture, et au bout d'une allée sinueuse qui lui parut interminable, elle se retrouva devant un vaste espace-parking où de nombreuses voitures étaient déjà garées.
Respectant les consignes elle attendit dans sa voiture, veilleuses allumées, elle était en avance; elle pris le temps d'observer les autres véhicules, dont une proportion respectable était "haut de gamme".
La bâtisse était imposante mais ne correspondait pas aux imaginaires que colportaient les habitants du bourg.
Au bout d'un temps qui lui paru interminable une silhouette sortit d'une petite porte latérale, il s'agissait d'une femme, vêtue d'un tailleur sombre, grâce aux lanternes de la voiture elle se dirigea immédiatement vers Eliane. Celle ci descendit de son véhicule, la personne lui expliqua qu'elle allait devoir lui bander les yeux, car comme elle pourrait renoncer à tout moment à la poursuite du "rituel", il n'était pas question qu'elle puisse ensuite raconter ce qu'elle aurait pu voir, par contre si elle allait jusqu'au bout de son "initiation", le bandeau lui serait retiré et elle pourrait tout voir, car il n'y avait aucun mystère.
Le fait d'avoir les yeux bandés excitait encore plus sa curiosité, elle donna son accord, et la femme la conduisit vers la demeure. Ils pénétrèrent par la petite porte et empruntèrent un couloir relativement peu éclairé, elle suivait la femme en tailleur et remarqua que celle ci avait des talons-aiguilles impressionnant; elles passèrent devant une grande porte d'où s'échappait de la musique classique; elles pénétrèrent dans un petit salon dont les murs étaient recouverts de moquette, on ne percevait plus les échos de la musique classique.
La salle n'était meublée que de gros fauteuils et d'une table basse sur laquelle elle repéra tout de suite un bandeau type "avion", comme on en fournissait dans les avions longs courriers, et un peignoir blanc qui lui semblait en soie (mais qui plus tard se révéla de n'être qu'en satin). La femme lui expliqua qu'elle allait devoir complètement se dévêtir, enfiler le peignoir et mettre son bandeau, et qu'on viendrait la chercher.
Elle s'étonna fortement "vous voulez dire entièrement nue?", la femme lui confirma, entièrement nue, cela symbolisait le fait qu'elle venait sans arrière pensée et en toute sincérité, mais qu'elle pouvait effectivement renoncer et qu'elle serait raccompagnée jusqu'à sa voiture avec laquelle elle pourrait repartir sans problème.
La notion de secte qui courait sur le domaine lui revint à l'esprit, mais avec sa formation d'ingénieur en travaux publics elle se sentait suffisamment équilibrée et solide pour pouvoir faire face à des théories plus ou moins fumeuses que des sectes pouvaient promouvoir.
"je dois tout quitter? Même les chaussures et les sous-vêtements?"La femme lui confirma cela en insistant sur le fait qu'elle pouvait renoncer ... Peut être par provocation elle décida d'accepter et de continuer; la femme se retira en lui disant qu'on viendrait la chercher. Elle entrepris de se déshabiller, faisant le plus vite possible pour les sous-vêtements afin de rester nue le moins longtemps possible, elle enfila le peignoir de satin qui lui arrivait à peine à mi-cuisse, elle en croisa les pans le plus possible et resserra le tout avec la ceinture qu'elle noua avec application, elle s'assit dans un des fauteuils pour poser le bandeau sur ses yeux en fixant les élastiques sur sa nuque.
Le temps d'attente lui semblait interminable, enfin elle perçut le léger bruit d'une porte qu'on ouvrait avec précaution, comme elle était attentive à chaque détail sonore, elle nota que ce n'était pas le bruit des talons aiguilles de la femme en tailleur qui s'approchaient, c'était quelqu'un de différent et elle fut troublée, c'était un (ou une) inconnu qu'elle ne voyait pas, mais qui lui, la savait nue sous ce fin kimono.
La voix la fit frissonner, c'était celle d'un homme!
Il lui indiqua qu'il allait la prendre par la main pour la guider, qu'elle devait lui faire confiance, mais qu'à tout moment il lui suffisait de dire "stop", elle serait ramenée dans cette pièce où elle pourrait remettre ses vêtements et où la personne qu'elle avait déjà rencontrée viendrait la chercher pour la raccompagner à sa voiture. Le nombre de fois où on lui avait dit qu'elle pouvait renoncer commençait à la contrarier fortement, au fond d'elle même elle se dit "ils me font chier avec leurs précautions, je ne suis pas une gamine, merde, j'irais jusqu'au bout!"La musique se rapprochait, elle marchait sur de la moquette... La musique venait de s'interrompre, un voix forte s'exclama: "qui va là?"L'homme qui l'accompagnait répondit "une profane qui désire connaitre l'initiation!"Ainsi donc elle était considérée comme une profane, à son âge, avec ses connaissances techniques, ils la prenaient pour qui?
La musique repris, elle reconnu du Mozart, c'était agréable, on la fit avancer, sous ses pieds elle sentit du carrelage, c'était froid...
L'homme qui la conduisait lui murmura à l'oreille "il y a un banc derrière vous, vous allez pouvoir vous assoir et ensuite vous y allonger tout en gardant vos deux pieds au sol, vous pouvez tâtonner avec vos mains pour vous installer.
Elle senti le banc derrière ses jambes, avec ses mains elle repéra le meuble et s'y installa, allongée sur le dos, les deux pieds au sol. Elle réalisa qu'elle s'était installée de telle façon que ses genoux étaient de chaque côté du banc, elle vérifia rapidement que les pans du peignoir ne s'étaient pas écartés au-dessous de sa ceinture, elle le fit rapidement pour ne pas avoir l'air d'une "oie blanche"; la musique de Mozart repris, puis une autre voix, féminine celle-ci, prononça à nouveau le "qui va là? Son accompagnateur répondit à nouveau "une profane et c..." et la voix féminine " annonça: "Qu'elle soit purifiée par l'air!"Elle entendit le bruit caractéristique d'un séchoir à cheveux qu'on venait de mettre en marche à proximité, presque tout de suite elle senti le souffle du séchoir sur son visage, sur son buste, sur ses cuisses, à trois reprises le souffle de l'engin parcouru son corps, elle senti à un moment que ce souffle écartait les pans de son kimono au niveau de ses cuisses, le souffle passait directement sur son pubis, elle sentait nettement le souffle d'air sur ses poils pubiens; elle n'osait pas rabattre les pans de tissus pour cacher son intimité...
Le souffle d'air cessa, la musique reprit, elle entendait des gens qui se déplaçaient autour d'elle, elle se dit "ils doivent regarder ma chatte les pervers", elle savait (à cause des voix) qu'il y avait des hommes et des femmes, elle se surpris à souhaiter qu'ils lui effleurent le sexe et senti que ses lèvres vaginales devenaient humides.
La musique encore, puis une voix (toujours différente) avec le "qui va là"... le scénario lui semblait répétitif, mais les phrases changeaient: "qu'elle passe et qu'elle soit purifiée par l'eau!"Là elle sentit que des personnes se rapprochaient, à tour de rôle elles devaient tremper une main dans de l'eau et la laisser s'égoutter sur elle, elle sentit des gouttes sur son visage, sur ses lèvres, sur son sternum (ce qui lui confirma que son peignoir n'était pas ouvert qu'au niveau du pubis, elle senti des gouttes sur le peignoir au niveau de ses seins, ceux ci étaient encore dissimulés. Puis il y eut un troisième épisode où il fut annoncé: "qu'elle passe et qu'elle soit purifiée par le feu!", un bref instant elle eut peur, puis une voix lui murmura à l'oreille "c'est de la cire de bougies qui va être répandu sur votre corps, cela peut paraitre chaud, mais il n'y a aucun risque"Les personnes continuaient à tourner autour d'elle; une main écarta le peignoir sur sa cuisse, elle sentit la cire se solidifier sur son genoux, puis une goutte plus haut sur sa cuisse, puis sur son pubis, elle fut étonnée de sentir son sexe se lubrifier, elle était excitée sexuellement!
Une main écarta le haut du peignoir, une goutte sur son sternum, puis une sur son sein, la pointe de son téton s'érigeait, elle avait honte mais était excitée, puis son autre sein...
Les gens s'étaient éloignés, la musique de Mozart avait repris, elle n'osait pas rabattre les pans de son peignoir, ses deux seins et son sexe étaient exposés aux regards d'inconnus.
La voix de son accompagnateur annonça "les trois voyages de purification ont été effectués!" et la voix féminine annonça: "qu'elle aille se faire reconnaitre par les membres de la confrérie!"Son accompagnateur lui murmura "c'est la dernière étape, je vais vous aider à vous relever et je vais vous conduire vers les membres de l'assemblée qui sont en cercle autour de nous, et vous allez passer de main en main, chacun des membres vous accueillera à sa façon, et à la fin vous serez admise, je vous raccompagnerai dans le salon, vous vous y rhabillerai et vous nous rejoindrez, sans bandeau cette fois...
Effectivement il l'aida à se relever, mais là encore elle n'osa pas refermer son peignoir, et c'est les seins et le sexe à l'air qu'elle fut conduite vers "les autres"La première personne la pris par les deux mains, la rapprocha d'elle et lui posa ses lèvres sur sa bouche, c'était une femme, elle l'embrassait voluptueusement, elle ouvrit ses lèvres pour accueillir une langue très active, elle aurait bien poursuivi ce baiser, mais déjà on la passait à la personne suivante, qui elle aussi l'embrassa (c'était un homme) mais se mit à lui caresser les seins, là elle n'hésitait plus, elle participait au baiser avec toute l'ardeur dont elle était capable, mais là aussi les choses s'interrompirent trop vite pour elle; la personne suivante était une bouche de femme, elle l'embrassa avec ardeur, elle sentit une main sur son sexe et un doigt qui s'insinuait entre ses grandes lèvres, elle bascula ses hanches en écartant ses pieds, et si elle n'avait pas eu cette languye qui lui fouillait la bouche elle aurait crié "baisez moi!", et ainsi de suite, elle passa de mains en mains, de bouches en bouches, et chaque centimètre de son corps fut caressé, chaque orifice pénétré par une ou deux phalanges, un ou deux doigts, elle était dans un état d'excitation extrême et lorsque l'accompagnateur lui murmura "je vais vous raccompagner, vous allez pouvoir vous rhabiller, et puis revenir parmi nous"Elle eut envie de crier, "ha non, baisez moi maintenant!"
peut être à suivre
Et c'est ainsi que fut fixée une date, un vendredi soir, où elle devait se rendre devant la grille du "bois noir" et y taper le code chiffré qui venait de lui être transmis. On ne lui avait donné aucune consigne sur la façon dont elle devrait se vêtir, aussi, se considérant comme relativement "âgée" avec cette cinquantaine approchante elle décida de se vêtir de façon "neutre" (chemisier - pantalon)pour être la moins "visible" possible; mais c'est tout de même la curiosité qui la "poussait vers cet inconnu". Arrivée devant la grille, elle fit le code, la grille s'ouvrit sans le moindre grincement, elle y engagea sa voiture, et au bout d'une allée sinueuse qui lui parut interminable, elle se retrouva devant un vaste espace-parking où de nombreuses voitures étaient déjà garées.
Respectant les consignes elle attendit dans sa voiture, veilleuses allumées, elle était en avance; elle pris le temps d'observer les autres véhicules, dont une proportion respectable était "haut de gamme".
La bâtisse était imposante mais ne correspondait pas aux imaginaires que colportaient les habitants du bourg.
Au bout d'un temps qui lui paru interminable une silhouette sortit d'une petite porte latérale, il s'agissait d'une femme, vêtue d'un tailleur sombre, grâce aux lanternes de la voiture elle se dirigea immédiatement vers Eliane. Celle ci descendit de son véhicule, la personne lui expliqua qu'elle allait devoir lui bander les yeux, car comme elle pourrait renoncer à tout moment à la poursuite du "rituel", il n'était pas question qu'elle puisse ensuite raconter ce qu'elle aurait pu voir, par contre si elle allait jusqu'au bout de son "initiation", le bandeau lui serait retiré et elle pourrait tout voir, car il n'y avait aucun mystère.
Le fait d'avoir les yeux bandés excitait encore plus sa curiosité, elle donna son accord, et la femme la conduisit vers la demeure. Ils pénétrèrent par la petite porte et empruntèrent un couloir relativement peu éclairé, elle suivait la femme en tailleur et remarqua que celle ci avait des talons-aiguilles impressionnant; elles passèrent devant une grande porte d'où s'échappait de la musique classique; elles pénétrèrent dans un petit salon dont les murs étaient recouverts de moquette, on ne percevait plus les échos de la musique classique.
La salle n'était meublée que de gros fauteuils et d'une table basse sur laquelle elle repéra tout de suite un bandeau type "avion", comme on en fournissait dans les avions longs courriers, et un peignoir blanc qui lui semblait en soie (mais qui plus tard se révéla de n'être qu'en satin). La femme lui expliqua qu'elle allait devoir complètement se dévêtir, enfiler le peignoir et mettre son bandeau, et qu'on viendrait la chercher.
Elle s'étonna fortement "vous voulez dire entièrement nue?", la femme lui confirma, entièrement nue, cela symbolisait le fait qu'elle venait sans arrière pensée et en toute sincérité, mais qu'elle pouvait effectivement renoncer et qu'elle serait raccompagnée jusqu'à sa voiture avec laquelle elle pourrait repartir sans problème.
La notion de secte qui courait sur le domaine lui revint à l'esprit, mais avec sa formation d'ingénieur en travaux publics elle se sentait suffisamment équilibrée et solide pour pouvoir faire face à des théories plus ou moins fumeuses que des sectes pouvaient promouvoir.
"je dois tout quitter? Même les chaussures et les sous-vêtements?"La femme lui confirma cela en insistant sur le fait qu'elle pouvait renoncer ... Peut être par provocation elle décida d'accepter et de continuer; la femme se retira en lui disant qu'on viendrait la chercher. Elle entrepris de se déshabiller, faisant le plus vite possible pour les sous-vêtements afin de rester nue le moins longtemps possible, elle enfila le peignoir de satin qui lui arrivait à peine à mi-cuisse, elle en croisa les pans le plus possible et resserra le tout avec la ceinture qu'elle noua avec application, elle s'assit dans un des fauteuils pour poser le bandeau sur ses yeux en fixant les élastiques sur sa nuque.
Le temps d'attente lui semblait interminable, enfin elle perçut le léger bruit d'une porte qu'on ouvrait avec précaution, comme elle était attentive à chaque détail sonore, elle nota que ce n'était pas le bruit des talons aiguilles de la femme en tailleur qui s'approchaient, c'était quelqu'un de différent et elle fut troublée, c'était un (ou une) inconnu qu'elle ne voyait pas, mais qui lui, la savait nue sous ce fin kimono.
La voix la fit frissonner, c'était celle d'un homme!
Il lui indiqua qu'il allait la prendre par la main pour la guider, qu'elle devait lui faire confiance, mais qu'à tout moment il lui suffisait de dire "stop", elle serait ramenée dans cette pièce où elle pourrait remettre ses vêtements et où la personne qu'elle avait déjà rencontrée viendrait la chercher pour la raccompagner à sa voiture. Le nombre de fois où on lui avait dit qu'elle pouvait renoncer commençait à la contrarier fortement, au fond d'elle même elle se dit "ils me font chier avec leurs précautions, je ne suis pas une gamine, merde, j'irais jusqu'au bout!"La musique se rapprochait, elle marchait sur de la moquette... La musique venait de s'interrompre, un voix forte s'exclama: "qui va là?"L'homme qui l'accompagnait répondit "une profane qui désire connaitre l'initiation!"Ainsi donc elle était considérée comme une profane, à son âge, avec ses connaissances techniques, ils la prenaient pour qui?
La musique repris, elle reconnu du Mozart, c'était agréable, on la fit avancer, sous ses pieds elle sentit du carrelage, c'était froid...
L'homme qui la conduisait lui murmura à l'oreille "il y a un banc derrière vous, vous allez pouvoir vous assoir et ensuite vous y allonger tout en gardant vos deux pieds au sol, vous pouvez tâtonner avec vos mains pour vous installer.
Elle senti le banc derrière ses jambes, avec ses mains elle repéra le meuble et s'y installa, allongée sur le dos, les deux pieds au sol. Elle réalisa qu'elle s'était installée de telle façon que ses genoux étaient de chaque côté du banc, elle vérifia rapidement que les pans du peignoir ne s'étaient pas écartés au-dessous de sa ceinture, elle le fit rapidement pour ne pas avoir l'air d'une "oie blanche"; la musique de Mozart repris, puis une autre voix, féminine celle-ci, prononça à nouveau le "qui va là? Son accompagnateur répondit à nouveau "une profane et c..." et la voix féminine " annonça: "Qu'elle soit purifiée par l'air!"Elle entendit le bruit caractéristique d'un séchoir à cheveux qu'on venait de mettre en marche à proximité, presque tout de suite elle senti le souffle du séchoir sur son visage, sur son buste, sur ses cuisses, à trois reprises le souffle de l'engin parcouru son corps, elle senti à un moment que ce souffle écartait les pans de son kimono au niveau de ses cuisses, le souffle passait directement sur son pubis, elle sentait nettement le souffle d'air sur ses poils pubiens; elle n'osait pas rabattre les pans de tissus pour cacher son intimité...
Le souffle d'air cessa, la musique reprit, elle entendait des gens qui se déplaçaient autour d'elle, elle se dit "ils doivent regarder ma chatte les pervers", elle savait (à cause des voix) qu'il y avait des hommes et des femmes, elle se surpris à souhaiter qu'ils lui effleurent le sexe et senti que ses lèvres vaginales devenaient humides.
La musique encore, puis une voix (toujours différente) avec le "qui va là"... le scénario lui semblait répétitif, mais les phrases changeaient: "qu'elle passe et qu'elle soit purifiée par l'eau!"Là elle sentit que des personnes se rapprochaient, à tour de rôle elles devaient tremper une main dans de l'eau et la laisser s'égoutter sur elle, elle sentit des gouttes sur son visage, sur ses lèvres, sur son sternum (ce qui lui confirma que son peignoir n'était pas ouvert qu'au niveau du pubis, elle senti des gouttes sur le peignoir au niveau de ses seins, ceux ci étaient encore dissimulés. Puis il y eut un troisième épisode où il fut annoncé: "qu'elle passe et qu'elle soit purifiée par le feu!", un bref instant elle eut peur, puis une voix lui murmura à l'oreille "c'est de la cire de bougies qui va être répandu sur votre corps, cela peut paraitre chaud, mais il n'y a aucun risque"Les personnes continuaient à tourner autour d'elle; une main écarta le peignoir sur sa cuisse, elle sentit la cire se solidifier sur son genoux, puis une goutte plus haut sur sa cuisse, puis sur son pubis, elle fut étonnée de sentir son sexe se lubrifier, elle était excitée sexuellement!
Une main écarta le haut du peignoir, une goutte sur son sternum, puis une sur son sein, la pointe de son téton s'érigeait, elle avait honte mais était excitée, puis son autre sein...
Les gens s'étaient éloignés, la musique de Mozart avait repris, elle n'osait pas rabattre les pans de son peignoir, ses deux seins et son sexe étaient exposés aux regards d'inconnus.
La voix de son accompagnateur annonça "les trois voyages de purification ont été effectués!" et la voix féminine annonça: "qu'elle aille se faire reconnaitre par les membres de la confrérie!"Son accompagnateur lui murmura "c'est la dernière étape, je vais vous aider à vous relever et je vais vous conduire vers les membres de l'assemblée qui sont en cercle autour de nous, et vous allez passer de main en main, chacun des membres vous accueillera à sa façon, et à la fin vous serez admise, je vous raccompagnerai dans le salon, vous vous y rhabillerai et vous nous rejoindrez, sans bandeau cette fois...
Effectivement il l'aida à se relever, mais là encore elle n'osa pas refermer son peignoir, et c'est les seins et le sexe à l'air qu'elle fut conduite vers "les autres"La première personne la pris par les deux mains, la rapprocha d'elle et lui posa ses lèvres sur sa bouche, c'était une femme, elle l'embrassait voluptueusement, elle ouvrit ses lèvres pour accueillir une langue très active, elle aurait bien poursuivi ce baiser, mais déjà on la passait à la personne suivante, qui elle aussi l'embrassa (c'était un homme) mais se mit à lui caresser les seins, là elle n'hésitait plus, elle participait au baiser avec toute l'ardeur dont elle était capable, mais là aussi les choses s'interrompirent trop vite pour elle; la personne suivante était une bouche de femme, elle l'embrassa avec ardeur, elle sentit une main sur son sexe et un doigt qui s'insinuait entre ses grandes lèvres, elle bascula ses hanches en écartant ses pieds, et si elle n'avait pas eu cette languye qui lui fouillait la bouche elle aurait crié "baisez moi!", et ainsi de suite, elle passa de mains en mains, de bouches en bouches, et chaque centimètre de son corps fut caressé, chaque orifice pénétré par une ou deux phalanges, un ou deux doigts, elle était dans un état d'excitation extrême et lorsque l'accompagnateur lui murmura "je vais vous raccompagner, vous allez pouvoir vous rhabiller, et puis revenir parmi nous"Elle eut envie de crier, "ha non, baisez moi maintenant!"
peut être à suivre
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