L'initiation de Marion -2 - histoire érotique

Le diner est tendu, l’autre couple ne se rend compte de rien mais entre nous trois règne une anthroposphère étrange. Heureusement, le couple sort de table rapidement pour accompagner leurs enfants au cinéma, je profite d’un instant où ma femme va chercher une carafe d’eau pour dévoiler mon plan :

"Raymond, Marion m’a raconté votre rencontre sur la plage"

"Oh, je suis confus, Marion n’y est pour rien, c’est ma faute, j’ai craqué devant tant de beauté"

"Ne soyez pas gêné, au contraire, ma femme est prête pour tenter une expérience sexuelle avec vous, je vais vous exposer mon idée, voici ce que nous allons faire……"

La fin du dîner expédiée, nous sortons tous trois

"Si nous allions boire un verre face à la mer ?"

"Avec plaisir Raymond, qu’en dis tu, Marion ?"

"C’est une bonne idée, la soirée est douce !"

"Zut ! c’est fermé !...... Si vous voulez, allons à ma chambre, j’ai un petit balcon bien tranquille et de la bière au frigo"

"Tant pis pour la mer, allons chez vous, nous profiterons du ciel étoilé !"

Marion est assise entre nous deux sur un banc du balcon, Raymond éteint la lumière de la chambre, nous sommes dans une demi-obscurité, ma femme est nerveuse, elle se doute qu’il va se passer quelque chose, pourquoi perdre un temps inutile, je me lève, passe derrière Marion, pose mes mains sur ses épaules, l’embrasse dans le cou, ses bretelles glissent sur ses épaules.

"Chéri ….."

"Chuuuuutttt ….. Dégage tes bras …"

Docile, elle passe ses coudes sous les bretelles, la robe fine tombe sur sa taille, ses seins se dressent fièrement dans l’ombre, je m’en empare et les malaxe longuement, elle soupire et tourne la tête pour m’embrasser, elle me souffle :

"Chéri, je suis bien, je t’aime …"

"Je t’adore, je te laisse avec Raymond, prends tout ton temps pour me rejoindre, je ne dormirais pas … Raymond, je vous confie Marion …"

"Soyez tranquille, je vais en prendre le plus grand soin, bonne nuit, Cyril"

Je rentre au bungalow un creux à l’estomac, une fois nu sur mon lit, je me masturbe lentement en imaginant la scène … Marion, subjuguée par cet homme, lui obéit effrontément :

"Levez vous face à moi Marion, laissez glisser votre robe à vos pieds … Approchez … Encore, encore …"

L’homme baisse la tête pour embrasser le sexe féminin par dessus la dentelle qui s’humidifie.

"Vous sentez bon … Otez cette ridicule protection et allongez vous sur ce banc …"

Ouvrez les jambes bien grand, caressez vous, une main entre les cuisses, l’autre sur votre téton préféré … Ouiiiii, comme ça … Enfoncez vos doigts profondément, je veux entendre le clapotis provoqué par votre mouille"

En même temps, il effleure tout son corps du bout de ses doigts, en évitant soigneusement de toucher la vulve ; au début, la femme est partagée entre rires provoqués par les chatouillis et ronronnements de chatte en chaleur. Bientôt, son corps se tord comme un ver de terre, ses genoux s’ouvrent, se ferment, se replient sur ses seins, se tendent brusquement en avant.

"Baisez moi, je vous en supplie, baisez moi, ma chatte va exploser"

"Laisse là exploser, il est encore trop tôt pour une pénétration, laisse jaillir ton orgasme"

"OOOOOOOOHHHHHH OOOOUUUUUIIIIIIIIII !!!!!!!!!!!! JE JOOOOOUUUUUUIIIIIIIIIS !!!!!"

Un flot de jus s’écoule en pluie sur le sol, Raymond remarque sur le balcon voisin la présence d’un homme alerté par les cris de la jeune femme, le gars se masturbe en matant le spectacle donné par Marion. Il décide de l’interpeler :

"Excusez la, elle se délivre d’une tension sexuelle accumulée toute la journée.

"Je comprends, elle est belle... C’est votre femme ?"

"Peu importe, seriez-vous tenté par l’envie de la posséder ?"

"Vous voulez dire …"

"La baiser, là, maintenant, sur mon lit, sans préliminaires, juste le temps de vous soulager au fond de son vagin..."

"C’est que je ne suis pas tout seul, ma femme dort"

"Alors, qu’attendez-vous pour escalader le balcon ? Marion, vas sur le lit, les bras et les jambes en croix, tu vas accepter cet homme entre tes cuisses, interdiction de bouger ou de toucher, sans quoi je t’attache, et ce sera pire"

Elle se lève, sa chatte évacue les dernières gouttes de cyprine entre ses cuisses, elle s’allonge dans une position totalement offerte, les deux hommes entrent

"Regarde cette beauté, vas entre ses cuisses et pénètre là, sans toucher les autres parties de son corps"

"Je vais décharger vite fait !"

"C’est exactement ce que je veux"

Marion arque ses reins quand le membre s’enfonce sans ménagement dans son ventre.

"Ooooohhhh, ouuuuuuuiiiiii, enfin une queue !"

Quelques allers retours et l’homme se cabre.

"Aaaaaahhhhhhhhh, merrrrde ! je décharge !"

"Tu t’es bien vidé ? Retire-toi et vas-t‘en …"

"Merci monsieur, peut-être à bientôt ?"

"Ça m’étonnerait, file ! et motus !"

"C’est déjà fini ? je n’ai pas eu le temps de jouir …"

"N’ai crainte, tu vas jouir, ma belle, garde la position, le temps de me déshabiller et je suis à toi"

Raymond monte sur le lit, une queue impressionnante le précède, d’une main, il la frotte sur le vagin dégoulinant de foutre et s’enfonce d’une seule traite jusqu’aux testicules.

"Aaaahhhhhhooouuuuuiiiiiiiiiii, vous êtes gros, allez-y !"

"Pas si vite ! Je veux simplement l’enduire de jus pour te la donner à nettoyer avec la bouche"

"Oooohhh non !!!!!! Je veux baiser !!"

"APRES !! Suce salope ! Lèche-là tout du long avant de la mettre dans ta bouche, je veux que ton mari soit satisfait de ma prestation, et moi, de la tienne"

"Hhuuuummmmmuuuuuuuuuuummmmmmmmmm"

"C’est bien, branle-moi en même temps !!!! AAAAHOOOHHHHHHH, OUUAAAIIIIS !"

L’homme pousse son gland dans les joues de la femme, elle presse les bourses, masturbe la hampe comme elle ne l’a jamais fait à son mari.

"Prépare-toi à avaler, et pas une goutte sur les draps, s’il te plaît"

"Hummmm, hummmm, rrrrrrooooooouuuuuuuuummmmmmm..."

"Vas-y, tète, encore, encore…… Voooiiiilà, ah, ça soulage ! Tu fais ça bien, ma poulette, maintenant, à quatre pattes, fais-moi voir tes deux trous … Hhhuuuummmm, le petit ne sert pas souvent ? Nous allons y remédier bientôt …"

"JE VEUX JOUIIIIIIIRRRRRRR !!!!!!!!"

"Du calme, t’es en chaleur, ma parole, ta chatte est bien ouverte, ça va aller"

A genoux entre les cuisses, Raymond pointe son gland sur les lèvres maculées de sperme, la verge est engloutie à moitié dés la première poussée, il lâche sa bite pour empoigner les hanches étroites et continue sa progression.

"Vooooooooouuuuuu, ça me fait du bien ! Ca frotte partout"

"Je touche le fond, j’en ai encore cinq centimètres à te mettre"

Marion donne un violent coup en arrière pour se poignarder le vagin avec le mât rigide, l’homme reste collé à son cul un instant, avant de démarrer une danse sexuelle infernale, les seins sont ballotés à lui faire mal, les hurlements de la femme doivent alerter les voisins, les chairs claquent pendant dix minutes avant que l’homme ne rende grâce dans un râle de bête fauve. Tous deux épuisés, l’un sur l’autre, Raymond reste emmanché le temps que sa respiration redevienne normale.

"Tu es apaisée, Marion ?"

"J’avoue que oui, quelle chevauchée ! Je veux rejoindre mon mari"

"Tu fais serment de te laisser baiser par des inconnus à l’avenir ?"

"Oui, ça doit être trop bon"

"Même s’ils sont plusieurs à la fois ?"

"C’est vous qui me ferez tenter cette expérience ?"

"Oui, j’ai entendu parler d’une plage difficile d’accès, du côté de Bonifaccio, où beaucoup de chose se passent... Demain, avec l’accord de Cyril, je t’y emmène. Maintenant, remets ton string pour garder ma semence en toi, et file tout raconter en détails à ton mari"

La femme marche les jambes écartées tant ses lèvres sont gonflées et douloureuses. Elle rejoint le bungalow où son mari est nu sur le drap, elle s’allonge à ses côtés.

"Chéri, j’ai fait ce que tu désirais... Demain, Raymond m’emmène sur une plage naturiste isolée pour me faire prendre par plusieurs hommes à la fois, si tu es d’accord …"

"Et toi ? tu souhaites ce genre d’expérience ?"

"J’en ai envie, la Marion que tu connaissais n’existe plus, regarde ma moule, dans quel état il me l’a mise……"

"Tu veux que je te fasse l’amour ?"

"Oui, lentement et longtemps, très longtemps, pour que ma chatte reconnaisse ta queue"