L'initiation de Mina, chapitre 5
Récit érotique écrit par Coloredbirdonaroof [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-10-2009 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'initiation de Mina, chapitre 5
L'initiation de Mina, chapitre 5
(Résumé du chap précédent : J’ai réussi à intégrer le fait que Mina veut me faire vivre tous mes fantasmes, et commencé à la corriger quand elle n’écoute pas assez mes désirs – une bonne fessée après qu’elle se soit tapé un mec sous mes yeux sans mon accord. Je lui ai commandé deux fantasmes bien précis, pendant que je lui faisais l’amour…)
Plusieurs jours s’étaient écoulés sans nouvelles de Mina. Je n’avais pas été aussi inquiet que la première fois qu’elle avait disparu après m’avoir demandé sa première sodomie fessée.
Quoique.
Je n’avais effectivement plus peur de voir débarquer les flics avec une plainte pour viol aggravé (alors que je ne l’avais pas violée, tout de même !) mais j’avais craint encore que Mina ait réfléchi et se soit aperçue que le rapport que nous entretenions – à son initiative – était loin d’être sain.
Je l’avais sodomisée tellement violemment, et ces fessées à répétition… ce n’était pas en ma faveur, vraiment !
J’avais regardé maintes fois le DVD du petit film que j’avais tourné pendant qu’elle m’allumait avec son strip-tease et que je lui défonçais littéralement son petit trou souple. Je m’étais branlé. Encore et encore. Tant de fois déjà que j’en avais eu la bite engourdie pendant plusieurs jours. Je ne pouvais pas le regarder d’un coup, je venais toujours avant la fin. Rarement un film porno – avec ma bite en guest-star, il est vrai – ne m’avait fait autant d’effet. Ça n’en restait pas moins très bestial. L’amour naissant que j’éprouvais pour elle pouvait-il compenser le fait qu’elle soit prête à s’avilir pour être avec moi ? Est-ce qu’elle ne reculerait pas devant les fantasmes tordus auxquels je lui demanderais de se soumettre ? Se faire sauter par des inconnus, sucer des queues, brouter des nanas, donner son cul sans broncher, juste parce que je lui demandais ? J’avais du mal à croire que ça durerait. Il y avait une différence entre fantasmer à l’idée de jouer à la bonne petite salope réalisant les désirs pervers de l’homme de ses rêves, et vivre une vie de putain soumise dans la réalité.
Quand mon portable avait sonné ce matin, et que la voix fraîche de Mina en était sortie, mon cœur avait manqué un battement.
- Allô ? Devine qui c’est… ?
- Mina ! ..euh… ça va ? Tu… tout va bien ?
- Oui, mon beau salaud, je viens juste de me masturber sous la douche en pensant à toi, j’ai hâte de mettre ta grosse trique dans ma bouche... (Petit rire coquin)… et ne te branle pas aujourd’hui, je viens te rendre visite en fin d’après-midi. Si ça ne te dérange pas.
- Waw. Non. Cool. Chez moi ? On va quelque part ?
Je lui avais demandé d’aller acheter un gros gode et qu’elle allume les gars du sex-shop devant moi, sans les baiser, habillée comme une pute. Mon cœur s’était mis à battre très fort.
- Non, pas aujourd’hui. (Voix coquine) Mais je n’ai pas oublié. Je t’amène une autre femme.
- Oh. Qui ?
Je lui avais aussi demandé de la voir baiser avec une autre nana devant moi.
- Tu verras…
- Tu… tu vas euh…
- Me la faire devant toi ? Hon hon, ce n’est pas pour moi, mais pour toi…
- Comment ça ?
- C’est une femme mariée. Son mari veut qu’elle se fasse sauter après le travail par un autre homme. Il va nous amener chez toi, et attendre dehors, dans la voiture. Seule condition : qu’elle lui raconte tout ce qu’elle fera avec nous…
J’avais froncé les sourcils, complètement sur le cul. Comment diable était-elle arrivée à concocter un truc pareil !
- Incroyable ! Comment t’as fait !?
Elle avait hésité un instant avant de me répondre, un sourire dans la voix.
- Je suis allé à la source.
- Comment ça ?
- Je suis allée dans une boîte échangiste, avec un copain et…
- QUOI ?
- Ne t’inquiète pas, personne ne m’a baisée, ok ? Loïc est un pote du Lycée, qui fait de la photo. Je lui ai proposé de venir avec moi pour ne pas me retrouver seule. On est sorti ensemble l’année dernière, mais quand il a vu que je ne voulais pas lui donner ma petite chatte, il m’a laissée tomber pour une bimbo plus ouverte. Cela dit, il m’a accompagnée dans le club et il a niqué tout ce qu’il pouvait, il n’a rien perdu au change. Je l’ai sucé un peu, mais pas plus que ça.
Je tremblais de rage et de jalousie. A ce moment de notre conversation, j’avais failli raccrocher. Mais je ne pouvais pas ne pas savoir ce qu’il s’était passé dans ce club.
- T’as fait QUOI ! ?
Elle avait senti que j’étais furieux.
- Ne te fâche pas, tu n’as pas de quoi t’inquiéter. J’avais un string noir, une jupe plissée et un haut très décolleté sans rien dessous. Quelques mecs m’ont pelotée, je me suis laissée faire, bien gentiment. Quelques mains sur mes seins, un gars qui m’a pincé un mamelon, et un autre qui m’a mis sa langue dans la minette, pendant qu’il baisait une vieille. Rien de bien méchant. Un couple se tenait un peu en retrait, la femme semblait hésiter à entrer dans la danse. Je me suis approchée d’eux, j’ai sympathisé. La nana s’est détendue, et son mari m’a demandé de le sucer. J’ai accepté, s’il me racontait ses fantasmes et que sa femme partageait la fellation avec moi. Elle a paru un peu choquée et timide, mais a fini par se laisser convaincre. On s’est agenouillées devant la bite dressée, qu’on a dégustée lentement, pendant qu’il énumérait ses désirs cachés. La plupart d’entre eux impliquent que son épouse se fasse dominer par d’autres hommes, pendant qu’il cuve une jalousie impuissante, et qu’elle lui raconte tout tandis qu’il la punit. D’autres hommes nous ont présenté leurs bites en érection, dont Loïc. Et nous les avons toutes goûtées, pour le plus grand plaisir du mari, qui traitait sa femme de putain. Loïc n’est pas resté longtemps, parce qu’il voulait faire lus que se faire sucer par moi, et qu’il savait qu’il n’y avait pas moyen qu’il me saute. Cela dit, je me suis bien occupée de sa bite, il a un engin phénoménal, il faudra que je te le présente. Certains mecs ont voulu aller plus loin, un grand black voulait que je me mette à quatre pattes pour me mettre son gros engin dans la chatte, mais j’ai refusé gentiment. Le mari a donné sa femme à mon copain, bien que son épouse ne voulait pas non plus se faire baiser par un inconnu, mais il l’a forcée. La nana pleurait quand Loïc l’a sodomisée avec sa trique terrible, pendant que le mari me mettait la sienne dans la bouche, excité de voir sa femme se faire prendre devant lui. Loïc était brutal, il est venu dans le cul insoumis en dix minutes, la nana criait de douleur, le mari l’insultait, la forçant à pousser en arrière sur la pine qui l’empalait, lui ordonnant d’écarter son cul avec ses mains. J’ai fait jouir le mari dans ma bouche après lui avoir fait promettre qu’il amènerait sa femme chez toi aujourd’hui, et qu’elle subirait tes désirs… Loïc voulait venir, mais je l’ai encore repoussé. Quand tu auras envie que je me fasse baiser par un autre, je pense que ce sera un bon choix pour que tu me filmes en train de baiser. Et en attendant, ce soir, tu auras deux bonnes salopes pour toi tout seul. Tu es content ?
J’avais du mal à respirer. L’imaginer sucer d’autres hommes, dont un copain de son Lycée, dans un club échangiste me faisait bander, mais me rendait aussi malade de jalousie. J’avais respiré un grand coup, sans rien dire.
- Tu n’es pas fâché ? Je n’ai pas avalé de sperme, je l’ai partagé avec la fille, elle a joué avec dans sa bouche en attendant que son mec lui ordonne de le gober, et de lécher le sperme des mecs qui étaient venus sur nous quand Loïc la baisait. Tu sais, elle a vraiment des gros seins, elle va te plaire…
J’avais dégluti, expiré lentement, et parlé d’une voix douce.
- Non, je ne suis pas fâché. Je veux bien que tu suces d’autres types si c’est pour la bonne cause, et que tu me le dis. Tu peux aussi boire leur sperme si ça te fait plaisir. Mais pour ton copain… je ne sais pas. On verra. S’il te baise bien, et que tu me laisses t’enculer et te punir après, je peux accepter qu’il te prenne devant moi.
- Mmm, j’aime que tu me parles comme ça… je mouille encore, je crois que je vais enlever ma culotte… Est-ce que tes couilles sont bien rasées ? Parce que je tiens à ce que ce soit nickel quand ma langue passera dessus…
- Les poils repoussent… mais je vais me faire beau pour toi et notre invitée…
- Tu es adorable, à tout à l’heure !
Elle avait raccroché.
La journée s’était écoulée lentement – je bandais dès que je pensais à ce qui allait se passer dans la soirée – et finalement, j’entendis une voiture s’engager dans l’allée. Mes couilles me faisaient mal. Il fallait que je me soulage, mais pas trop vite… !
Je jetai un œil à la fenêtre. Mina sortit de la voiture, côté passager, en réajustant sa robe rose moulante. Pourquoi s’était-elle assise à côté du conducteur ? Elle ouvrit la porte arrière, et une femme en sortit, chemisier blanc moulant – Mina n’avait pas exagéré la taille de ses nichons - , une mini-jupe noire en tissu brillant, accentuant la courbure de son cul généreux, des bas résille noirs (ma queue faillit transpercer mon pantalon), des bottines rouges charmantes, les mains dans le dos et les yeux baissés. Elle avait la trentaine, des seins énormes, lourds mais bien proportionnés, un long cou, le nez légèrement de travers, une bouche aux lèvres roses pulpeuses, et de grands yeux ronds. Elle n’était pas jolie à proprement parler, mais ma queue la trouvait manifestement parfaitement désirable. L’homme qui conduisait la voiture dit quelque chose que je n’entendis pas, son épouse hocha la tête sans le regarder, les yeux fixes. Mina la poussa gentiment vers la porte de la maison.
J’ouvris la porte, le cœur battant. La fille ne leva pas les yeux lorsqu’elle arriva devant moi. Mina lui pinça les fesses sous sa jupe et lui empauma les seins en me la présentant.
- Hello ! Voici Flo. Flo, je te présente mon amant, il va te plaire, j’en suis sûre.
Flo ne répondit pas. Elle avait pâli. Les mains de Mina sur ses grosses loches paraissaient minuscules.
- Entrez, entrez.
Je me sentis mal-à-l’aise. Je ne voulais pas forcer cette femme à se donner à moi si elle ne le souhaitait pas… Ma queue protesta dans mon futal. Evidemment que tu en as envie, semblait-elle me dire, t’as vu ces nibards !!! Tu vas lui bourrer le cul et plus vite que ça !
La démarche de Flo était souple, ses jambes étaient appétissantes sous la résille noire, et son cul, ample et généreux, bondissait à chaque pas, froissant le tissu brillant de sa jupe courte. Elle s’arrêta au milieu du salon, et attendit que je la consomme. Mina m’embrassa sur la bouche en me prenant une main qu’elle amena sous sa robe rose fuchsia. Pas de culotte.
- Regarde comme je suis mouillée, me dit-elle. Son mari m’a doigtée pendant tout le chemin, il sait y faire. Je suis presque jalouse de devoir attendre que tu la sautes, elle. Il m’a bien chauffée...
Elle fit glisser ma braguette et en sortit l’objet de son désir, dressé dans sa main. Je respirai plus rapidement.
- Regarde ça, Flo, dit-elle en me masturbant joyeusement, pressant mon sexe entre ses doigts divins, elle n’est pas belle, cette pine ? Viens, viens toucher !
Flo secoua la tête, lèvres tremblantes. Mina haussa le ton. Je ne l’avais pas jamais entendue parler d’une voix aussi autoritaire. Elle serra ma queue un peu plus fort.
- Tu sais ce que ton mari a dit ! Tu dois obéir ! Tu veux que j’aille le chercher ?
Flo fit signe que non.
- Réponds !
Je sursautai. Ma jeune amante semblait se prendre au jeu. Flo baissa les yeux.
- Non..
- Non qui !
- Non, maîtresse.
Je commençais à comprendre le petit jeu qui se jouait là. Ma queue enfla encore dans les doigts fermes de Mina. Flo approcha, magnifique dans sa tenue sexy.
- Prends la bite dans ta main et branle-la.
- Oui, maîtresse.
La main de Flo saisit gentiment mon membre sensible. Elle avait la peau très douce, et manipulait ma pine avec expérience. Je pris son menton entre mes doigts et la fit me regarder dans les yeux. Son regard fuyait, mais sa main continuait de s’activer, alternant entre ma bite et mes couilles. Je l’embrassai, tendrement, avec les lèvres. Elle ne ralentit pas le rythme de ses doigts, mais ne me rendit pas mon baiser. Je l’embrassai encore, de manière plus insistante, je goûtai ses lèvres avec ma langue, et glissai mes mains sous sa jupe. Elle portait un string en soie. Je promenai mon majeur le long de sa fente et entamai une masturbation légère qui suivait le rythme de sa main sur ma pine, tandis que mon autre main malaxait son énorme cul. Elle ouvrit les lèvres en respirant un peu plus vite, je sentis sa langue darder entre ses dents, elle me rendit mon baiser d’une manière délicieuse, enveloppant ma langue dans la sienne, mordillant mes lèvres en soupirant d’aise, le tout dans une étreinte délicate, ses hanches ondulant au rythme de mes doigts sur sa culotte.
Mina ne restait pas inactive. Elle avait trouvé mon caméscope et filmait notre baiser langoureux, zoomant clairement sur la croupe de notre invitée, ou sur sa main qui m’astiquait, tournant autour de nous, nous encourageant d’un mot ou d’une caresse.
- C’est ça, mon salaud, donne des coups de queue dans sa main. Embrasse-la bien, baise-lui la bouche, elle a une bonne grosse langue, la belle pute, hein ? Tu veux lui reluquer ses gros nibards ? Tu veux voir si sa chatte est aussi baisable que la mienne ?
Elle se plaça derrière Flo et, caméra à la main, entreprit de lui déboutonner son chemiser, bouton par bouton, en commençant par le bas. Les gros seins de la belle apparurent au grand jour, dans un soutien gorge en dentelle si fin qu’il ne cachait rien. Je lui embrassai une dernière fois les lèvres, et allai m’asseoir dans le canapé, pour profiter du spectacle en me caressant. Mina me donna le caméscope.
- Filme bien ça, mon salaud ! dit-elle en fixant notre invitée.
Elle fit glisser le chemisier au sol, tandis que Flo me regardait en se mordillant les lèvres, les mains sur les seins. J’avais hâte de mettre ma tête dans ses gros nichons, et de les voir nus, d’en mordre les mamelons et d’y plonger ma pine drue. Mina, toujours habillée de sa robe rose remontée jusqu’à la taille, fit glisser la fermeture éclair de la mini-jupe, qui tomba aux pieds de Flo, très belle dans son porte-jarretelle noir et ses bas-résille. Mon amante dégrafa ensuite le soutien-gorge de notre ravissante invitée, et l’enleva lentement. Je découvris deux obus formidables, deux gouttes grasses et fermes, aux tétons dressés, sur des mamelons légèrement surélevés sur le bout du sein.
- Waoh…
Je n’en revenais pas. J’avais ces deux pastèques pour moi tout seul. Mina jouait avec, les pressant dans ses mains, les soulevait en les rapprochant pour que je les filme dans toute leur démesure.
- Elle te plaît, la grosse salope ?
- Oh oui !
Mina fit glisser le string sous lequel se cachait une chatte superbe, aux poils coupés très courts, en triangle. Elle se serra contre son dos en lui touchant toujours les seins d’une main, et en lui enfonçant un doigt dans la chatte de l’autre. Je me branlai un peu plus vite en filmant le spectacle incomparable.
- Et toi, Flo, il te plaît mon mec ?
- Oui.
Mina sourit. Elle mordilla les épaules de sa proie d’un jour, ravissante.
- C’est bien, petite salope. Tu vas lui dire, à ton mari, que le gars a qui tu te donnes aujourd’hui a une belle queue ?
- Oui.
- Tu as envie de la sucer ?
- Oui.
- Qu’il te la mette dans la chatte ?
- Mmm… oui !
Mina tournait les doigts comme une furie sur le clitoris de Flo, qui balançait les hanches en rythme. Je zoomai sur la chatte amadouée.
- Et qu’est-ce qu’il va te faire, ton mari, pour te punir ?
- Mmmm… Il va me faire tout lui raconter...aah… Et me donner des coups de … mmm …canne.
- Tu aimes ça, les corrections ?
- Oui. J’aime être corrigée…
Mina enlaça la belle aux gros seins et l’embrassa sur la bouche en lui pinçant les tétons. Je filmai sans discontinuer, la queue hurlant dans ma main. Les lèvres emmêlées, les langues entrelacées, la salive au coin des deux bouches, les rouges à lèvres échangés, tout était magnifique dans ce baiser langoureux. Mina me faisait un cadeau royal.
- Mets-toi à quatre pattes, et va sucer mon mec. Et tu l’avales en entier.
Flo marcha à quatre pattes vers moi, un sourire léger aux lèvres. Ses seins pendaient lourdement entre ses bras, frottant l’un contre l’autre, ses grosses aréoles pointées vers moi, tétons dressés. Elle se promena autour de la table basse, m’exposant ses flancs, puis son gros cul encadré par ses porte-jarretelles, j’eus une vue plongeante sur sa raie, son petit trou – pas si petit que ça –et sa chatte bien dessinée, aux lèvres brillantes et humides. Elle revint vers moi, balançant ses grosse loches au rythme son langoureux défilé.
Elle me lécha les genoux, remontant peu à peu le long de mes cuisses. J’écartai les jambes instinctivement, elle continua son exploration jusqu’à mes couilles, les mordilla un instant et passa sa langue sur ma hampe dressée, avant de gober mon gland et, centimètre par centimètre, d’avaler ma pine jusqu’à mon pubis. Sa gorge s’écarta pour laisser passer le membre turgescent et sensible, il y avait bien plus de place dans son gosier que dans celui de Mina, c’était chaud et doux, un peu comme dans une chatte d’adolescente inexpérimentée, un peu rude au début, puis de plus en plus fluide.
Je me détendis au maximum, sentant ma pine gonfler un peu plus dans la gorge profonde de la belle brune. Je vis à peine Mina reprendre le caméscope, et se remettre à filmer la scène, avec force encouragements.
- Suce-le, c’est ça, prends le bien profondément. Tu sens sa bite battre au fond de sa gorge ? Il a un sperme sucré comme du miel, tu demanderas à ce qu’il t’en remplisse un pot pour le boire chez toi en cachette, tu verras, tu t’en délecteras en le buvant avec une petite cuillère, il est si bon… Mordille un peu son gland, il aime ça… C’est ça… Mets-toi la main sur la chatte et enfonce-toi deux doigts dans le vagin, ça le fait bander plus fort… Oui, c’est ça, c’est bien, tu es une bonne grosse salope…
Flo suivait les instructions détaillées, apparemment heureuse de me baver sur la pine en se branlant avec soin. Je me relevai légèrement et lui attrapai les seins. Mes mains étaient bien trop petites, la sensation de douceur et de fermeté était merveilleuse. Je pinçai légèrement les gros tétons, les sentant durcir à chaque caresse, tandis que Flo s’enfonçait sur mon membre jusqu’à me lécher les couilles glabre en soufflant par le nez et en dégageant des flots de bave à chaque fois qu’elle reprenait sa respiration, gémissant en me happant de nouveau, ses mains me griffant le cul.
Je caressai ses nibards sans discontinuer, m’imprégnant de leur poids phénoménal, de leur texture satinée, de la manière dont ils réagissaient au contact de mes mains. Mon sexe chauffait dans la bouche large, je respirai plus fort.
Mina vint placer sa bouche sur la mienne, et nous échangeâmes un vrai baiser amoureux. Puis elle reprit son petit tournage intime, en continuant de diriger notre partenaire soumise.
- Mon amant aime ta bouche, apparemment. Branle-le avec tes gros nichons, pour voir s’il apprécie...
Flo se redressa, et ma bite disparut entre ses deux beaux seins blancs aux mamelons foncés. Elle me masturba avec un grand professionnalisme, on sentait que ses atours lui avaient déjà servis avec plusieurs partenaires, ce qui n’était pas étonnant en soi, j’imaginai ses copains ados qui faisaient la queue devant elle pour se faire tailler une pipe entre ces seins divins – elle avait dû être vite la reine du Lycée… Je me laissai emporter par les sensations de ses deux gros lobes qui allaient et venaient sur mon chibre, en regardant Mina se dévêtir rapidement et se placer debout sur le canapé, à côté de moi. Elle m’attrapa la tête et força ma bouche dans sa petite chatte nue. Je plantai ma langue dans son vagin salé, et remerciai le ciel de me permettre de vivre une telle apothéose sans avoir rien fait pour le mériter. Je dégustai ma belle petite salope en sentant les deux nibards royaux de ma belle grosse salope s’activer sur ma pine gonflée, et je sentis l’émotion me prendre la gorge. Je regardai Mina et lui chuchotai :
- Je ne sais pas comment te remercier, c’est magique.
Elle me sourit et écarta sa chatte avec sa main.
-Suce-moi bien profondément, je serai bien assez récompensée… !
J’obtempérai, ému.
Flo me léchait le gland maintenant, et je sentis que j’allais venir si elle continuait à m’astiquer avec ses loches en me prenant dans sa bouche et me donnant des coups de langues répétés. Mina le sentit.
- Stop, ma belle, tu ne voudrais pas goûter le nectar sucré avant qu’il ne t’ai fait jouir, tout de même…
Flo sourit, incertaine.
- Dois-je lui monter dessus, maîtresse ?
Mina eut un petit rire.
- Oui, mais sur le lit. Viens.
Elle prit la main de Flo et l’emmena dans la chambre, me laissant seul, sexe en feu, à moitié nu sur le canapé. Je frissonnai, ne croyant pas ma chance. Le caméscope était resté sur l’un des coussins, je le récupérai, passai par la cuisine pour boire un verre d’eau, et gagnai la chambre. Des gémissements m’accueillirent…
(à suivre...)
Un commentaire, une suggestion de fantasme à réaliser avec Mina, une appréciation: coloredbirdonaroof@gmail.com
(Résumé du chap précédent : J’ai réussi à intégrer le fait que Mina veut me faire vivre tous mes fantasmes, et commencé à la corriger quand elle n’écoute pas assez mes désirs – une bonne fessée après qu’elle se soit tapé un mec sous mes yeux sans mon accord. Je lui ai commandé deux fantasmes bien précis, pendant que je lui faisais l’amour…)
Plusieurs jours s’étaient écoulés sans nouvelles de Mina. Je n’avais pas été aussi inquiet que la première fois qu’elle avait disparu après m’avoir demandé sa première sodomie fessée.
Quoique.
Je n’avais effectivement plus peur de voir débarquer les flics avec une plainte pour viol aggravé (alors que je ne l’avais pas violée, tout de même !) mais j’avais craint encore que Mina ait réfléchi et se soit aperçue que le rapport que nous entretenions – à son initiative – était loin d’être sain.
Je l’avais sodomisée tellement violemment, et ces fessées à répétition… ce n’était pas en ma faveur, vraiment !
J’avais regardé maintes fois le DVD du petit film que j’avais tourné pendant qu’elle m’allumait avec son strip-tease et que je lui défonçais littéralement son petit trou souple. Je m’étais branlé. Encore et encore. Tant de fois déjà que j’en avais eu la bite engourdie pendant plusieurs jours. Je ne pouvais pas le regarder d’un coup, je venais toujours avant la fin. Rarement un film porno – avec ma bite en guest-star, il est vrai – ne m’avait fait autant d’effet. Ça n’en restait pas moins très bestial. L’amour naissant que j’éprouvais pour elle pouvait-il compenser le fait qu’elle soit prête à s’avilir pour être avec moi ? Est-ce qu’elle ne reculerait pas devant les fantasmes tordus auxquels je lui demanderais de se soumettre ? Se faire sauter par des inconnus, sucer des queues, brouter des nanas, donner son cul sans broncher, juste parce que je lui demandais ? J’avais du mal à croire que ça durerait. Il y avait une différence entre fantasmer à l’idée de jouer à la bonne petite salope réalisant les désirs pervers de l’homme de ses rêves, et vivre une vie de putain soumise dans la réalité.
Quand mon portable avait sonné ce matin, et que la voix fraîche de Mina en était sortie, mon cœur avait manqué un battement.
- Allô ? Devine qui c’est… ?
- Mina ! ..euh… ça va ? Tu… tout va bien ?
- Oui, mon beau salaud, je viens juste de me masturber sous la douche en pensant à toi, j’ai hâte de mettre ta grosse trique dans ma bouche... (Petit rire coquin)… et ne te branle pas aujourd’hui, je viens te rendre visite en fin d’après-midi. Si ça ne te dérange pas.
- Waw. Non. Cool. Chez moi ? On va quelque part ?
Je lui avais demandé d’aller acheter un gros gode et qu’elle allume les gars du sex-shop devant moi, sans les baiser, habillée comme une pute. Mon cœur s’était mis à battre très fort.
- Non, pas aujourd’hui. (Voix coquine) Mais je n’ai pas oublié. Je t’amène une autre femme.
- Oh. Qui ?
Je lui avais aussi demandé de la voir baiser avec une autre nana devant moi.
- Tu verras…
- Tu… tu vas euh…
- Me la faire devant toi ? Hon hon, ce n’est pas pour moi, mais pour toi…
- Comment ça ?
- C’est une femme mariée. Son mari veut qu’elle se fasse sauter après le travail par un autre homme. Il va nous amener chez toi, et attendre dehors, dans la voiture. Seule condition : qu’elle lui raconte tout ce qu’elle fera avec nous…
J’avais froncé les sourcils, complètement sur le cul. Comment diable était-elle arrivée à concocter un truc pareil !
- Incroyable ! Comment t’as fait !?
Elle avait hésité un instant avant de me répondre, un sourire dans la voix.
- Je suis allé à la source.
- Comment ça ?
- Je suis allée dans une boîte échangiste, avec un copain et…
- QUOI ?
- Ne t’inquiète pas, personne ne m’a baisée, ok ? Loïc est un pote du Lycée, qui fait de la photo. Je lui ai proposé de venir avec moi pour ne pas me retrouver seule. On est sorti ensemble l’année dernière, mais quand il a vu que je ne voulais pas lui donner ma petite chatte, il m’a laissée tomber pour une bimbo plus ouverte. Cela dit, il m’a accompagnée dans le club et il a niqué tout ce qu’il pouvait, il n’a rien perdu au change. Je l’ai sucé un peu, mais pas plus que ça.
Je tremblais de rage et de jalousie. A ce moment de notre conversation, j’avais failli raccrocher. Mais je ne pouvais pas ne pas savoir ce qu’il s’était passé dans ce club.
- T’as fait QUOI ! ?
Elle avait senti que j’étais furieux.
- Ne te fâche pas, tu n’as pas de quoi t’inquiéter. J’avais un string noir, une jupe plissée et un haut très décolleté sans rien dessous. Quelques mecs m’ont pelotée, je me suis laissée faire, bien gentiment. Quelques mains sur mes seins, un gars qui m’a pincé un mamelon, et un autre qui m’a mis sa langue dans la minette, pendant qu’il baisait une vieille. Rien de bien méchant. Un couple se tenait un peu en retrait, la femme semblait hésiter à entrer dans la danse. Je me suis approchée d’eux, j’ai sympathisé. La nana s’est détendue, et son mari m’a demandé de le sucer. J’ai accepté, s’il me racontait ses fantasmes et que sa femme partageait la fellation avec moi. Elle a paru un peu choquée et timide, mais a fini par se laisser convaincre. On s’est agenouillées devant la bite dressée, qu’on a dégustée lentement, pendant qu’il énumérait ses désirs cachés. La plupart d’entre eux impliquent que son épouse se fasse dominer par d’autres hommes, pendant qu’il cuve une jalousie impuissante, et qu’elle lui raconte tout tandis qu’il la punit. D’autres hommes nous ont présenté leurs bites en érection, dont Loïc. Et nous les avons toutes goûtées, pour le plus grand plaisir du mari, qui traitait sa femme de putain. Loïc n’est pas resté longtemps, parce qu’il voulait faire lus que se faire sucer par moi, et qu’il savait qu’il n’y avait pas moyen qu’il me saute. Cela dit, je me suis bien occupée de sa bite, il a un engin phénoménal, il faudra que je te le présente. Certains mecs ont voulu aller plus loin, un grand black voulait que je me mette à quatre pattes pour me mettre son gros engin dans la chatte, mais j’ai refusé gentiment. Le mari a donné sa femme à mon copain, bien que son épouse ne voulait pas non plus se faire baiser par un inconnu, mais il l’a forcée. La nana pleurait quand Loïc l’a sodomisée avec sa trique terrible, pendant que le mari me mettait la sienne dans la bouche, excité de voir sa femme se faire prendre devant lui. Loïc était brutal, il est venu dans le cul insoumis en dix minutes, la nana criait de douleur, le mari l’insultait, la forçant à pousser en arrière sur la pine qui l’empalait, lui ordonnant d’écarter son cul avec ses mains. J’ai fait jouir le mari dans ma bouche après lui avoir fait promettre qu’il amènerait sa femme chez toi aujourd’hui, et qu’elle subirait tes désirs… Loïc voulait venir, mais je l’ai encore repoussé. Quand tu auras envie que je me fasse baiser par un autre, je pense que ce sera un bon choix pour que tu me filmes en train de baiser. Et en attendant, ce soir, tu auras deux bonnes salopes pour toi tout seul. Tu es content ?
J’avais du mal à respirer. L’imaginer sucer d’autres hommes, dont un copain de son Lycée, dans un club échangiste me faisait bander, mais me rendait aussi malade de jalousie. J’avais respiré un grand coup, sans rien dire.
- Tu n’es pas fâché ? Je n’ai pas avalé de sperme, je l’ai partagé avec la fille, elle a joué avec dans sa bouche en attendant que son mec lui ordonne de le gober, et de lécher le sperme des mecs qui étaient venus sur nous quand Loïc la baisait. Tu sais, elle a vraiment des gros seins, elle va te plaire…
J’avais dégluti, expiré lentement, et parlé d’une voix douce.
- Non, je ne suis pas fâché. Je veux bien que tu suces d’autres types si c’est pour la bonne cause, et que tu me le dis. Tu peux aussi boire leur sperme si ça te fait plaisir. Mais pour ton copain… je ne sais pas. On verra. S’il te baise bien, et que tu me laisses t’enculer et te punir après, je peux accepter qu’il te prenne devant moi.
- Mmm, j’aime que tu me parles comme ça… je mouille encore, je crois que je vais enlever ma culotte… Est-ce que tes couilles sont bien rasées ? Parce que je tiens à ce que ce soit nickel quand ma langue passera dessus…
- Les poils repoussent… mais je vais me faire beau pour toi et notre invitée…
- Tu es adorable, à tout à l’heure !
Elle avait raccroché.
La journée s’était écoulée lentement – je bandais dès que je pensais à ce qui allait se passer dans la soirée – et finalement, j’entendis une voiture s’engager dans l’allée. Mes couilles me faisaient mal. Il fallait que je me soulage, mais pas trop vite… !
Je jetai un œil à la fenêtre. Mina sortit de la voiture, côté passager, en réajustant sa robe rose moulante. Pourquoi s’était-elle assise à côté du conducteur ? Elle ouvrit la porte arrière, et une femme en sortit, chemisier blanc moulant – Mina n’avait pas exagéré la taille de ses nichons - , une mini-jupe noire en tissu brillant, accentuant la courbure de son cul généreux, des bas résille noirs (ma queue faillit transpercer mon pantalon), des bottines rouges charmantes, les mains dans le dos et les yeux baissés. Elle avait la trentaine, des seins énormes, lourds mais bien proportionnés, un long cou, le nez légèrement de travers, une bouche aux lèvres roses pulpeuses, et de grands yeux ronds. Elle n’était pas jolie à proprement parler, mais ma queue la trouvait manifestement parfaitement désirable. L’homme qui conduisait la voiture dit quelque chose que je n’entendis pas, son épouse hocha la tête sans le regarder, les yeux fixes. Mina la poussa gentiment vers la porte de la maison.
J’ouvris la porte, le cœur battant. La fille ne leva pas les yeux lorsqu’elle arriva devant moi. Mina lui pinça les fesses sous sa jupe et lui empauma les seins en me la présentant.
- Hello ! Voici Flo. Flo, je te présente mon amant, il va te plaire, j’en suis sûre.
Flo ne répondit pas. Elle avait pâli. Les mains de Mina sur ses grosses loches paraissaient minuscules.
- Entrez, entrez.
Je me sentis mal-à-l’aise. Je ne voulais pas forcer cette femme à se donner à moi si elle ne le souhaitait pas… Ma queue protesta dans mon futal. Evidemment que tu en as envie, semblait-elle me dire, t’as vu ces nibards !!! Tu vas lui bourrer le cul et plus vite que ça !
La démarche de Flo était souple, ses jambes étaient appétissantes sous la résille noire, et son cul, ample et généreux, bondissait à chaque pas, froissant le tissu brillant de sa jupe courte. Elle s’arrêta au milieu du salon, et attendit que je la consomme. Mina m’embrassa sur la bouche en me prenant une main qu’elle amena sous sa robe rose fuchsia. Pas de culotte.
- Regarde comme je suis mouillée, me dit-elle. Son mari m’a doigtée pendant tout le chemin, il sait y faire. Je suis presque jalouse de devoir attendre que tu la sautes, elle. Il m’a bien chauffée...
Elle fit glisser ma braguette et en sortit l’objet de son désir, dressé dans sa main. Je respirai plus rapidement.
- Regarde ça, Flo, dit-elle en me masturbant joyeusement, pressant mon sexe entre ses doigts divins, elle n’est pas belle, cette pine ? Viens, viens toucher !
Flo secoua la tête, lèvres tremblantes. Mina haussa le ton. Je ne l’avais pas jamais entendue parler d’une voix aussi autoritaire. Elle serra ma queue un peu plus fort.
- Tu sais ce que ton mari a dit ! Tu dois obéir ! Tu veux que j’aille le chercher ?
Flo fit signe que non.
- Réponds !
Je sursautai. Ma jeune amante semblait se prendre au jeu. Flo baissa les yeux.
- Non..
- Non qui !
- Non, maîtresse.
Je commençais à comprendre le petit jeu qui se jouait là. Ma queue enfla encore dans les doigts fermes de Mina. Flo approcha, magnifique dans sa tenue sexy.
- Prends la bite dans ta main et branle-la.
- Oui, maîtresse.
La main de Flo saisit gentiment mon membre sensible. Elle avait la peau très douce, et manipulait ma pine avec expérience. Je pris son menton entre mes doigts et la fit me regarder dans les yeux. Son regard fuyait, mais sa main continuait de s’activer, alternant entre ma bite et mes couilles. Je l’embrassai, tendrement, avec les lèvres. Elle ne ralentit pas le rythme de ses doigts, mais ne me rendit pas mon baiser. Je l’embrassai encore, de manière plus insistante, je goûtai ses lèvres avec ma langue, et glissai mes mains sous sa jupe. Elle portait un string en soie. Je promenai mon majeur le long de sa fente et entamai une masturbation légère qui suivait le rythme de sa main sur ma pine, tandis que mon autre main malaxait son énorme cul. Elle ouvrit les lèvres en respirant un peu plus vite, je sentis sa langue darder entre ses dents, elle me rendit mon baiser d’une manière délicieuse, enveloppant ma langue dans la sienne, mordillant mes lèvres en soupirant d’aise, le tout dans une étreinte délicate, ses hanches ondulant au rythme de mes doigts sur sa culotte.
Mina ne restait pas inactive. Elle avait trouvé mon caméscope et filmait notre baiser langoureux, zoomant clairement sur la croupe de notre invitée, ou sur sa main qui m’astiquait, tournant autour de nous, nous encourageant d’un mot ou d’une caresse.
- C’est ça, mon salaud, donne des coups de queue dans sa main. Embrasse-la bien, baise-lui la bouche, elle a une bonne grosse langue, la belle pute, hein ? Tu veux lui reluquer ses gros nibards ? Tu veux voir si sa chatte est aussi baisable que la mienne ?
Elle se plaça derrière Flo et, caméra à la main, entreprit de lui déboutonner son chemiser, bouton par bouton, en commençant par le bas. Les gros seins de la belle apparurent au grand jour, dans un soutien gorge en dentelle si fin qu’il ne cachait rien. Je lui embrassai une dernière fois les lèvres, et allai m’asseoir dans le canapé, pour profiter du spectacle en me caressant. Mina me donna le caméscope.
- Filme bien ça, mon salaud ! dit-elle en fixant notre invitée.
Elle fit glisser le chemisier au sol, tandis que Flo me regardait en se mordillant les lèvres, les mains sur les seins. J’avais hâte de mettre ma tête dans ses gros nichons, et de les voir nus, d’en mordre les mamelons et d’y plonger ma pine drue. Mina, toujours habillée de sa robe rose remontée jusqu’à la taille, fit glisser la fermeture éclair de la mini-jupe, qui tomba aux pieds de Flo, très belle dans son porte-jarretelle noir et ses bas-résille. Mon amante dégrafa ensuite le soutien-gorge de notre ravissante invitée, et l’enleva lentement. Je découvris deux obus formidables, deux gouttes grasses et fermes, aux tétons dressés, sur des mamelons légèrement surélevés sur le bout du sein.
- Waoh…
Je n’en revenais pas. J’avais ces deux pastèques pour moi tout seul. Mina jouait avec, les pressant dans ses mains, les soulevait en les rapprochant pour que je les filme dans toute leur démesure.
- Elle te plaît, la grosse salope ?
- Oh oui !
Mina fit glisser le string sous lequel se cachait une chatte superbe, aux poils coupés très courts, en triangle. Elle se serra contre son dos en lui touchant toujours les seins d’une main, et en lui enfonçant un doigt dans la chatte de l’autre. Je me branlai un peu plus vite en filmant le spectacle incomparable.
- Et toi, Flo, il te plaît mon mec ?
- Oui.
Mina sourit. Elle mordilla les épaules de sa proie d’un jour, ravissante.
- C’est bien, petite salope. Tu vas lui dire, à ton mari, que le gars a qui tu te donnes aujourd’hui a une belle queue ?
- Oui.
- Tu as envie de la sucer ?
- Oui.
- Qu’il te la mette dans la chatte ?
- Mmm… oui !
Mina tournait les doigts comme une furie sur le clitoris de Flo, qui balançait les hanches en rythme. Je zoomai sur la chatte amadouée.
- Et qu’est-ce qu’il va te faire, ton mari, pour te punir ?
- Mmmm… Il va me faire tout lui raconter...aah… Et me donner des coups de … mmm …canne.
- Tu aimes ça, les corrections ?
- Oui. J’aime être corrigée…
Mina enlaça la belle aux gros seins et l’embrassa sur la bouche en lui pinçant les tétons. Je filmai sans discontinuer, la queue hurlant dans ma main. Les lèvres emmêlées, les langues entrelacées, la salive au coin des deux bouches, les rouges à lèvres échangés, tout était magnifique dans ce baiser langoureux. Mina me faisait un cadeau royal.
- Mets-toi à quatre pattes, et va sucer mon mec. Et tu l’avales en entier.
Flo marcha à quatre pattes vers moi, un sourire léger aux lèvres. Ses seins pendaient lourdement entre ses bras, frottant l’un contre l’autre, ses grosses aréoles pointées vers moi, tétons dressés. Elle se promena autour de la table basse, m’exposant ses flancs, puis son gros cul encadré par ses porte-jarretelles, j’eus une vue plongeante sur sa raie, son petit trou – pas si petit que ça –et sa chatte bien dessinée, aux lèvres brillantes et humides. Elle revint vers moi, balançant ses grosse loches au rythme son langoureux défilé.
Elle me lécha les genoux, remontant peu à peu le long de mes cuisses. J’écartai les jambes instinctivement, elle continua son exploration jusqu’à mes couilles, les mordilla un instant et passa sa langue sur ma hampe dressée, avant de gober mon gland et, centimètre par centimètre, d’avaler ma pine jusqu’à mon pubis. Sa gorge s’écarta pour laisser passer le membre turgescent et sensible, il y avait bien plus de place dans son gosier que dans celui de Mina, c’était chaud et doux, un peu comme dans une chatte d’adolescente inexpérimentée, un peu rude au début, puis de plus en plus fluide.
Je me détendis au maximum, sentant ma pine gonfler un peu plus dans la gorge profonde de la belle brune. Je vis à peine Mina reprendre le caméscope, et se remettre à filmer la scène, avec force encouragements.
- Suce-le, c’est ça, prends le bien profondément. Tu sens sa bite battre au fond de sa gorge ? Il a un sperme sucré comme du miel, tu demanderas à ce qu’il t’en remplisse un pot pour le boire chez toi en cachette, tu verras, tu t’en délecteras en le buvant avec une petite cuillère, il est si bon… Mordille un peu son gland, il aime ça… C’est ça… Mets-toi la main sur la chatte et enfonce-toi deux doigts dans le vagin, ça le fait bander plus fort… Oui, c’est ça, c’est bien, tu es une bonne grosse salope…
Flo suivait les instructions détaillées, apparemment heureuse de me baver sur la pine en se branlant avec soin. Je me relevai légèrement et lui attrapai les seins. Mes mains étaient bien trop petites, la sensation de douceur et de fermeté était merveilleuse. Je pinçai légèrement les gros tétons, les sentant durcir à chaque caresse, tandis que Flo s’enfonçait sur mon membre jusqu’à me lécher les couilles glabre en soufflant par le nez et en dégageant des flots de bave à chaque fois qu’elle reprenait sa respiration, gémissant en me happant de nouveau, ses mains me griffant le cul.
Je caressai ses nibards sans discontinuer, m’imprégnant de leur poids phénoménal, de leur texture satinée, de la manière dont ils réagissaient au contact de mes mains. Mon sexe chauffait dans la bouche large, je respirai plus fort.
Mina vint placer sa bouche sur la mienne, et nous échangeâmes un vrai baiser amoureux. Puis elle reprit son petit tournage intime, en continuant de diriger notre partenaire soumise.
- Mon amant aime ta bouche, apparemment. Branle-le avec tes gros nichons, pour voir s’il apprécie...
Flo se redressa, et ma bite disparut entre ses deux beaux seins blancs aux mamelons foncés. Elle me masturba avec un grand professionnalisme, on sentait que ses atours lui avaient déjà servis avec plusieurs partenaires, ce qui n’était pas étonnant en soi, j’imaginai ses copains ados qui faisaient la queue devant elle pour se faire tailler une pipe entre ces seins divins – elle avait dû être vite la reine du Lycée… Je me laissai emporter par les sensations de ses deux gros lobes qui allaient et venaient sur mon chibre, en regardant Mina se dévêtir rapidement et se placer debout sur le canapé, à côté de moi. Elle m’attrapa la tête et força ma bouche dans sa petite chatte nue. Je plantai ma langue dans son vagin salé, et remerciai le ciel de me permettre de vivre une telle apothéose sans avoir rien fait pour le mériter. Je dégustai ma belle petite salope en sentant les deux nibards royaux de ma belle grosse salope s’activer sur ma pine gonflée, et je sentis l’émotion me prendre la gorge. Je regardai Mina et lui chuchotai :
- Je ne sais pas comment te remercier, c’est magique.
Elle me sourit et écarta sa chatte avec sa main.
-Suce-moi bien profondément, je serai bien assez récompensée… !
J’obtempérai, ému.
Flo me léchait le gland maintenant, et je sentis que j’allais venir si elle continuait à m’astiquer avec ses loches en me prenant dans sa bouche et me donnant des coups de langues répétés. Mina le sentit.
- Stop, ma belle, tu ne voudrais pas goûter le nectar sucré avant qu’il ne t’ai fait jouir, tout de même…
Flo sourit, incertaine.
- Dois-je lui monter dessus, maîtresse ?
Mina eut un petit rire.
- Oui, mais sur le lit. Viens.
Elle prit la main de Flo et l’emmena dans la chambre, me laissant seul, sexe en feu, à moitié nu sur le canapé. Je frissonnai, ne croyant pas ma chance. Le caméscope était resté sur l’un des coussins, je le récupérai, passai par la cuisine pour boire un verre d’eau, et gagnai la chambre. Des gémissements m’accueillirent…
(à suivre...)
Un commentaire, une suggestion de fantasme à réaliser avec Mina, une appréciation: coloredbirdonaroof@gmail.com
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