L'initiatrice et l'initié
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'initiatrice et l'initié
Quand Joëlle apprit que son mari Albert souffrait d'un cancer de la prostate, une douche glacée lui tomba sur la tête. Agés tous deux de 55 ans, c'était comme si leur vie sexuelle s'arrêtait net. C'était d'autant plus dommageable qu'elle avait toujours été active jusqu'au dernier moment. L'opération d'Albert confirma hélas les craintes de son épouse : il serait désormais impuissant.
Après sa convalescence, ils tentèrent quelques substituts au coït. Joëlle eut droit à des massages, des introductions de sex toys et même des cunnilingus de la part d'Albert, mais l'orgasme ne fut plus jamais au rendez-vous. Elle les simulait néanmoins pour ne pas humilier son mari et se contentait de plaisirs fugaces. Mais celui-ci n'était pas dupe car Joëlle avait l'orgasme tumultueux, bruyant, exponentiel lors de leurs ébats conjugaux. Il n'entendait plus ses mots crus que son inconscient lâchait dans l'extase. Bref, Joëlle ne baisait plus.
Et pourtant, il la trouvait toujours aussi belle. C'était la quinqua tel que les hommes rêvent d'avoir pour compagne. Cheveux courts légèrement teints, yeux clairs et visage régulier, sans rides, seins lourds et bien accrochés, croupe charnue sans excès, c'était un vrai plaisir de la voir déambuler à poil dans leur appartement désormais libre de leur progéniture. Combien de fois l'avait-il culbutée par surprise pendant sa toilette et parfois même lorsqu'elle faisait la cuisine : elle, protestait pour le principe mais l'aidait à la pénétration en levant la jambe et en cambrant les reins. Et jouissait à tous les coups. Ils étaient la preuve vivante qu'un couple de quinquagénaires pouvait accomplir une vie érotique totale, sans tabous, peut-être encore plus jouissive que vingt ans plus tôt.
Mais ce temps là était hélas révolu.
Mais Albert ne voulait pas d'une épouse frustrée. Surtout connaissant son tempérament. Aussi osa-t-il un jour lui suggérer des rapports sexuels "conjoncturels" pour lui permettre de "faire péter ses hormones". Devant son incompréhension, il précisa :
- On pourrait aller dans un club échangiste où tu pourrais t'éclater, ou nous rendre dans un rendez-vous de libertins, juste pour une soirée.
- Quoi ? Pas question. Tu me prends pour une pute ?
- Bon, alors je ne sais pas moi, prends un amant, il doit bien y avoir des candidats dans ton milieu professionnel.
Effectivement, il y en avait. Joëlle se faisait régulièrement draguer par un collègue qui lui tenait des propos grivois car il savait qu'elle n'était pas bégueule.
- Non, je ne mélangerais jamais le travail et le sexe, question de principe.
- D'accord, mais réfléchis quand même. Ce n'est pas parce que tu t'enverrais en l'air de temps en temps que je ne t'aimerais plus. Tu aurais même meilleur caractère.
Allusion directe au fait que depuis qu'ils ne faisaient plus vraiment l'amour, Joëlle manifestait des sautes d'humeur, comme si elle était en manque. Elle s'en voulait, mais c'était plus fort qu'elle parfois.
******
Elle s'ouvrit de la situation avec son amie Laurence, une ophtalmologiste qu'elle connaissait depuis l'enfance, aux moeurs assez libres. Toutes les deux bronzaient nues au bord de la piscine de l'ophtalmo à la belle saison et ne cachaient pas grand chose de leur vie mutuelle comme de leur corps.
- Ton mari a raison, il faut que tu baises et puisqu'il te le propose, je ne vois pas pourquoi tu ferais la fine bouche, dit Laurence.
- Peut-être mais je ne vois pas vraiment avec qui.
- J'ai peut-être une idée à te proposer.
Laurence lui confia alors que son beau-fils, Romain, venait d'être largué par sa bonne amie et s'en remettait difficilement. Joëlle l'avait vu plusieurs fois aux abords de la piscine et l'avait vue nue avec sa belle-mère sans paraitre s'en étonner. D'autant qu'il était nu lui-même avant de plonger dans le bassin et Joëlle avait pu admirer sa plastique impeccable ainsi qu'un pénis ballotant entre ses cuisses. D'où le commentaire mezzo voce de Laurence :
- Tu as vu, il est bien équipé, mon Romain.
Joëlle avait gloussé et même commenté :
- Sa copine a bien de la chance.
Mais de copine il n'y avait plus. Et quand Laurence lui proposa une rencontre avec son beau-fils, Joëlle ne regimba pas comme elle l'avait fait avec les propositions d'Albert. Elle se trouvait cette fois en terrain de connaissance, ce qui changeait tout. S'accoupler avec un homme jeune, beau et vigoureux ne lui semblait plus incongru, si tant est que le garçon ait vraiment envie de sauter une quinquagénaire de l'âge de sa belle-mère, ce qui ne tombait pas sous le sens. Laurence la rassura :
- Détrompe-toi. Il m'a parlé de toi. Il te trouve très séduisante. Et il en a marre des filles de son âge qui font des manières et qui voient la bite comme un instrument d'oppression. Je suis sûre qu'il aimerait coucher avec une vraie femme, dans l'état où il est.
Joëlle médita l'intervention de Laurence. Elle n'osa pas en parler à Albert. Mis au pied du mur d'un adultère, il ne serait peut-être pas aussi complaisant. Et d'ailleurs, Joëlle avait elle-même du mal à passer à l'acte. On ne fait pas l'amour avec le même homme pendant 25 ans sans qu'un changement d'union ne soit pas une sorte de révolution intime. Car elle ne l'avait jamais trompé en dépit de quelques tentations.
Mais voilà. Si sa tête résistait, son ventre réclamait. La perspective d'une bite bien longue et bien dure, probablement active et endurante, lui remuait les entrailles. Et voilà pourquoi, quand Laurence arrangea une rencontre avec le beau fils si bien membré, Joëlle n'osa pas dire non. Informé, Albert donna son aval mais avec un gros bémol qui bouleversa son épouse :
- Si tu dois coucher avec lui, je veux être présent. Juste pour regarder. Quitte à être caché.
La rencontre eut quand même lieu d'où l'égide de la belle-mère. Joëlle s'y présenta maquillée, pomponnée, décolletée et court vêtue ce qui fit dire à Laurence qu'elle était "très sexe". Elle avait bien percée son amie à jour. Malgré ses préventions, ses scrupules, l'attitude d'Albert, Joëlle avait depuis plusieurs jours le feu au cul. La perspective de renouer avec une activité dont elle était si friande malgré les apparences, et après une longue pénitence, avait entraîne dans son organisme un déchainement hormonal. Comme si elle était redevenue jeune fille.
Et ce n'est pas l'apparition du beau fils qui la calma. L'œil humide, la bouche gourmande, le buste haut, elle buvait les paroles du jeune Romain qu'elle trouva follement sexy. Mais celui ci n'était pas indifférent à la pulpeuse quinquagénaire dont il lorgnait avec concupiscence les gros nichons après avoir subi les œufs au plat de sa dernière conquête. De l'avoir déjà vu nue accentuait son désir.
Mais ce n'était pas un don juan. Il était maladroit dans son approche, il procrastinait et Joëlle comprit qu'elle devrait faire le premier pas si elle voulait mettre ce jeunot dans son lit.
Laurence l'avait prévenue. "Ce n'est sans doute pas un bon amant, il a tout à apprendre".
Cela convenait parfaitement à Joëlle, cette perspective, surtout en présence d'Albert. Elle se sentait l'âme éducative. Elle invita Romain à diner au domicile du couple, histoire aussi de préparer Albert à son cocufiage complaisant. Elle accueillit le jeune homme dans une robe arrivant à mi cuisses, sans manche, ras du cou mais décolletée dans le dos jusqu'aux reins, sans soutien gorge. Romain en eut la gorge nouée. Tout en elle inspirait déjà le sexe.
Albert jouait le maitre de cérémonie et c'est d'ailleurs lui qui préparait le dîner pendant que Joëlle chauffait son interlocuteur, jambes croisées haut, buste redresse, oeil égrillard. Romain se demandait quel jeu l'animait dans le dos de son mari. D'autant que pendant le repas, celui-ci se montrait caressant avec son épouse, n'hésitant pas à soupeser ses seins par dessus sa robe en le regardant, comme pour lui faire admirer ses avantages, et l'embrassant comme s'ils se préparaient à faire l'amour. Elle s'en amusait visiblement. Et d'ailleurs, à peine le dessert avalé, Albert se leva, prit Joëlle par la main et s'adressa à Romain en ces termes :
- On va dans notre chambre, viens avec nous.
C'est là que le jeune homme comprit tout. Albert annonça :
- Vous allez faire l'amour tous les deux. Moi je ne peux plus et elle en a très envie. Sois à la hauteur.
Et il s'éclipsa.
Le défi était colossal pour un jeune homme inexpérimenté. Baiser une femme mûre avec l'aval de son mari, qui plus est dans les parages, il y avait de quoi débander.
Mais Joëlle savait y faire. Elle se tourna vers Romain et lui désigna le bouton de sa robe dans son cou. Il le défit fébrilement et la robe tomba au sol, découvrant un simple string entrant dans les deux globes fessiers. Elle se tortilla pour le retirer et bascula sur le lit, totalement nue dans son bronzage intégral cultivé avec Laurence. Elle tendit le pied sur sa braguette et pressa.
-Enlève moi tout ça, lui dit elle.
Romain était certes inexpérimenté mais son corps était splendide. Musclé juste comme il faut, harmonieux et doté d'un pénis long et fin se redressant à vue d'œil. Le plus beau mâle que Joëlle ait jamais eu dans son lit. Ses hormones femelles en furent toutes remuées. Elle le tira vers elle et passa à l'action. Tout en entamant une fellation, elle lui caressa les couilles puis osa un doigt dans son anus à la recherche de sa prostate. Il sursauta mais se laissa faire et la conjonction de la bouche et du doigt aboutit à ce que Joëlle recherchait : il éjacula massivement dans sa bouche. Elle en avala une partie et cracha l'autre.
- Désolé, pardon, je n'ai pas pu me retenir, s'excusa le jeune homme déconfit.
- Pas grave. On ne fait que commencer, sourit elle.
Joëlle voulait en effet qu'il éjacule rapidement pour évacuer son trop plein de sperme, confiante dans sa capacité à rebander rapidement et surtout à durer désormais. Confiante aussi dans son propre savoir faire de femme connaissant l'homme.
Elle commença à le branler puis le fit allonger et se mit sur lui tête bêche. Il était temps qu'il découvre le plaisir du 69.
Joëlle plaqua d'autorité son sexe sur la bouche de Romain tout en gobant sa queue. Surpris par la rapidité et la radicalité de cette position, inédite pour lui, il entreprit néanmoins de lécher la fente humide pour ne pas paraitre idiot. Mais cette situation comme le goût particulier de ce sexe l'excita. Sa langue devint plus agile, plus précise et Joëlle eut la double satisfaction de voir la queue se rigidifier et son clitoris se durcir. Elle quitta même brièvement sa succion pour gémir en remuant sa croupe, ce que le lécheur prit pour un compliment, si bien qu'il redoubla d'ardeur.
Mais Joëlle n'avait pas été correctement pénétrée depuis des lustres et il était temps d'en finir avec cette pénitence. Elle libéra Romain de son giron, se retourna, s'empala et lui offrit l'image d'un corps pulpeux en mouvement latéral et circulaire, présenta le visage extasie de la femme qui baise. Romain était subjugué par cette adhésion profonde à sa bite, à la fois par l'ardeur de la récipiendaire mais aussi par sa célébration verbale :
- Ah c'est bon ! Ah qu'elle est booonne ! Ah ça fait du bien chéri !
Romain crut que "chéri" lui était destiné mais le mot s'adressait à Albert, en retrait mais observateur des ébats de son épouse. Il ne voulait pas être vu de l'étalon pour ne pas risquer un arrêt brutal du coït. Voilà pourquoi, dans la diversité des positions imposées par Joëlle à son jeune amant, elle s'ingénia à ce que son mari fut toujours hors de vue de celui ci.
De sorte qu'il eut toujours en vue le petit cul nerveux de l'étalon, talonné ou empoigne par Joëlle dans la position du missionnaire ou encore dans la levrette, la main de son épouse allant chercher les couilles. Sinon vraiment heureux, Albert était satisfait de voir Joëlle participer activement à ce plan candauliste, à preuve l'agitation constante de sa croupe, son exaltation verbale et un authentique orgasme quand elle se prit les pieds à pleines mains pour une pénétration plus profonde.
Par la suite, le couple marqua une courte pause durant laquelle ils échangèrent sur leurs ébats. Joëlle s'adressait à la fois à son jeune amant et à son mari cache :
- Tu vois, tous les deux, on ne fait pas l'amour. On baise. Je fais l'amour avec mon mari, je baise avec toi. Tu es beau, tu as une belle bite bien dure, tu es très viril, tu as tout pour rendre une femme heureuse au lit ou ailleurs. Il faut juste que tu la surprennes, que tu sois bien cochon parfois. Une femme n'a pas toujours envie de faire l'amour. Elle a parfois envie de baiser. Faire sortir la bête qui est en elle. Maintenant, je suis bestiale. Je veux ta bite dans mon cul. Tu as déjà encule ta copine ?
- Euh... non, je crois qu'elle n'aurait pas aimé.
- Tu n'en sais rien. Tu n'as pas su révéler son animalité. Elle n'attendait peut-être que ça, que tu la baises vraiment. Tu vas mettre ta langue et un doigt dans mon petit trou. De la salive aussi. Bien me préparer. Et tu vas m'enculer. Et ne fais pas de manière. Ta mère se fait enculer aussi, sais tu ? Elle me la dit et je peux même te dire qu'elle aime ça, Laurence. Alors ?
Un peu décontenancé par la verdeur du propos de la quinquagénaire, visiblement en transes, et l'allusion à la vie sexuelle de sa mère, le jeune homme marqua un temps d'arrêt. Mais il bandait toujours d'autant qu'elle l'avait branle en lui parlant. Et elle lui présentait sa large croupe bien fendue. Il fit courir sa langue sur les fesses joufflue et arriva à l'anus. Elle écarta elle-même ses globes pour découvrir l'anneau.
- Allez, mets la langue, lèche moi bien, sois cochon.
L'entrée fut un peu laborieuse, faute d'expérience masculine. Mais Joëlle le guida, l'aida, l'encouragea et dès qu'il fut vraiment engagé, une félicité l'envahit devant cette nouvelle sensation. Posé sur ses pieds, il trouva vite son rythme et les peaux claquèrent. Le plaisir manifeste que prenait Joëlle le stimula. Le fait que celle-ci fut amie avec sa mère, et qu'elle fut du même âge, octroyèrent brièvement au jeune homme la sensation d'un inceste puisqu'il avait appris que Laurence était aussi fan du petit trou. Mais cette impression, au lieu de l'inhiber, l'excita encore plus. Mystère de la mentalité masculine. Joëlle fut royalement enculée et à sa demande express, Romain gicla dans son tréfonds. Comme il avait peu de sperme en magasin du fait de son éjaculation initiale, il eut l'impression qu'on lui arrachait les reins. Basculant sur le dos, rincé, il récapitula ses ébats avec l'amie de sa mère. Il avait eu son doigt dans le cul et sa chatte sur le museau. Elle l'avait chevauché en lui massant les couilles. Elle avait célébré sa bite en lui talonnant les reins. Il lui avait léché le trou du cul avant de l'enculer, qui plus est à sa demande. En environ une heure, sa sexualité avait rendu ses ébats antérieurs totalement obsolètes. Il avait "baisé" et que sa partenaire eut le double de son âge démontrait surtout que les filles du sien s'étaient montrées incapables de lui offrir un plaisir comparable.
C'est alors qu'Albert débarqua dans la chambre. Romain réalisa alors l'étendue de la transgression dont il avait été l'acteur. Mais le mari le rassura :
- Bravo mon gars, tu as été à la hauteur. Madame avait besoin de ça et elle en a pour quelque temps. Maintenant, tu prends une douche et tu rentres chez toi.
Romain s'exécuta sans mot dire. Il eut juste droit à une bise de Joëlle, en peignoir de bain, avant de quitter les lieux. Elle lui dit simplement :
- Voilà, tu sais maintenant ce qu'est le vrai sexe. A toi d'en tenir compte. Mais bon, si tu ne trouves pas ton bonheur, tu sais où me trouver.
En en partant, quelque chose lui dit qu'il n'en avait pas fini avec cette volcanique quinquagénaire qui trompait si bien son monde.
Après sa convalescence, ils tentèrent quelques substituts au coït. Joëlle eut droit à des massages, des introductions de sex toys et même des cunnilingus de la part d'Albert, mais l'orgasme ne fut plus jamais au rendez-vous. Elle les simulait néanmoins pour ne pas humilier son mari et se contentait de plaisirs fugaces. Mais celui-ci n'était pas dupe car Joëlle avait l'orgasme tumultueux, bruyant, exponentiel lors de leurs ébats conjugaux. Il n'entendait plus ses mots crus que son inconscient lâchait dans l'extase. Bref, Joëlle ne baisait plus.
Et pourtant, il la trouvait toujours aussi belle. C'était la quinqua tel que les hommes rêvent d'avoir pour compagne. Cheveux courts légèrement teints, yeux clairs et visage régulier, sans rides, seins lourds et bien accrochés, croupe charnue sans excès, c'était un vrai plaisir de la voir déambuler à poil dans leur appartement désormais libre de leur progéniture. Combien de fois l'avait-il culbutée par surprise pendant sa toilette et parfois même lorsqu'elle faisait la cuisine : elle, protestait pour le principe mais l'aidait à la pénétration en levant la jambe et en cambrant les reins. Et jouissait à tous les coups. Ils étaient la preuve vivante qu'un couple de quinquagénaires pouvait accomplir une vie érotique totale, sans tabous, peut-être encore plus jouissive que vingt ans plus tôt.
Mais ce temps là était hélas révolu.
Mais Albert ne voulait pas d'une épouse frustrée. Surtout connaissant son tempérament. Aussi osa-t-il un jour lui suggérer des rapports sexuels "conjoncturels" pour lui permettre de "faire péter ses hormones". Devant son incompréhension, il précisa :
- On pourrait aller dans un club échangiste où tu pourrais t'éclater, ou nous rendre dans un rendez-vous de libertins, juste pour une soirée.
- Quoi ? Pas question. Tu me prends pour une pute ?
- Bon, alors je ne sais pas moi, prends un amant, il doit bien y avoir des candidats dans ton milieu professionnel.
Effectivement, il y en avait. Joëlle se faisait régulièrement draguer par un collègue qui lui tenait des propos grivois car il savait qu'elle n'était pas bégueule.
- Non, je ne mélangerais jamais le travail et le sexe, question de principe.
- D'accord, mais réfléchis quand même. Ce n'est pas parce que tu t'enverrais en l'air de temps en temps que je ne t'aimerais plus. Tu aurais même meilleur caractère.
Allusion directe au fait que depuis qu'ils ne faisaient plus vraiment l'amour, Joëlle manifestait des sautes d'humeur, comme si elle était en manque. Elle s'en voulait, mais c'était plus fort qu'elle parfois.
******
Elle s'ouvrit de la situation avec son amie Laurence, une ophtalmologiste qu'elle connaissait depuis l'enfance, aux moeurs assez libres. Toutes les deux bronzaient nues au bord de la piscine de l'ophtalmo à la belle saison et ne cachaient pas grand chose de leur vie mutuelle comme de leur corps.
- Ton mari a raison, il faut que tu baises et puisqu'il te le propose, je ne vois pas pourquoi tu ferais la fine bouche, dit Laurence.
- Peut-être mais je ne vois pas vraiment avec qui.
- J'ai peut-être une idée à te proposer.
Laurence lui confia alors que son beau-fils, Romain, venait d'être largué par sa bonne amie et s'en remettait difficilement. Joëlle l'avait vu plusieurs fois aux abords de la piscine et l'avait vue nue avec sa belle-mère sans paraitre s'en étonner. D'autant qu'il était nu lui-même avant de plonger dans le bassin et Joëlle avait pu admirer sa plastique impeccable ainsi qu'un pénis ballotant entre ses cuisses. D'où le commentaire mezzo voce de Laurence :
- Tu as vu, il est bien équipé, mon Romain.
Joëlle avait gloussé et même commenté :
- Sa copine a bien de la chance.
Mais de copine il n'y avait plus. Et quand Laurence lui proposa une rencontre avec son beau-fils, Joëlle ne regimba pas comme elle l'avait fait avec les propositions d'Albert. Elle se trouvait cette fois en terrain de connaissance, ce qui changeait tout. S'accoupler avec un homme jeune, beau et vigoureux ne lui semblait plus incongru, si tant est que le garçon ait vraiment envie de sauter une quinquagénaire de l'âge de sa belle-mère, ce qui ne tombait pas sous le sens. Laurence la rassura :
- Détrompe-toi. Il m'a parlé de toi. Il te trouve très séduisante. Et il en a marre des filles de son âge qui font des manières et qui voient la bite comme un instrument d'oppression. Je suis sûre qu'il aimerait coucher avec une vraie femme, dans l'état où il est.
Joëlle médita l'intervention de Laurence. Elle n'osa pas en parler à Albert. Mis au pied du mur d'un adultère, il ne serait peut-être pas aussi complaisant. Et d'ailleurs, Joëlle avait elle-même du mal à passer à l'acte. On ne fait pas l'amour avec le même homme pendant 25 ans sans qu'un changement d'union ne soit pas une sorte de révolution intime. Car elle ne l'avait jamais trompé en dépit de quelques tentations.
Mais voilà. Si sa tête résistait, son ventre réclamait. La perspective d'une bite bien longue et bien dure, probablement active et endurante, lui remuait les entrailles. Et voilà pourquoi, quand Laurence arrangea une rencontre avec le beau fils si bien membré, Joëlle n'osa pas dire non. Informé, Albert donna son aval mais avec un gros bémol qui bouleversa son épouse :
- Si tu dois coucher avec lui, je veux être présent. Juste pour regarder. Quitte à être caché.
La rencontre eut quand même lieu d'où l'égide de la belle-mère. Joëlle s'y présenta maquillée, pomponnée, décolletée et court vêtue ce qui fit dire à Laurence qu'elle était "très sexe". Elle avait bien percée son amie à jour. Malgré ses préventions, ses scrupules, l'attitude d'Albert, Joëlle avait depuis plusieurs jours le feu au cul. La perspective de renouer avec une activité dont elle était si friande malgré les apparences, et après une longue pénitence, avait entraîne dans son organisme un déchainement hormonal. Comme si elle était redevenue jeune fille.
Et ce n'est pas l'apparition du beau fils qui la calma. L'œil humide, la bouche gourmande, le buste haut, elle buvait les paroles du jeune Romain qu'elle trouva follement sexy. Mais celui ci n'était pas indifférent à la pulpeuse quinquagénaire dont il lorgnait avec concupiscence les gros nichons après avoir subi les œufs au plat de sa dernière conquête. De l'avoir déjà vu nue accentuait son désir.
Mais ce n'était pas un don juan. Il était maladroit dans son approche, il procrastinait et Joëlle comprit qu'elle devrait faire le premier pas si elle voulait mettre ce jeunot dans son lit.
Laurence l'avait prévenue. "Ce n'est sans doute pas un bon amant, il a tout à apprendre".
Cela convenait parfaitement à Joëlle, cette perspective, surtout en présence d'Albert. Elle se sentait l'âme éducative. Elle invita Romain à diner au domicile du couple, histoire aussi de préparer Albert à son cocufiage complaisant. Elle accueillit le jeune homme dans une robe arrivant à mi cuisses, sans manche, ras du cou mais décolletée dans le dos jusqu'aux reins, sans soutien gorge. Romain en eut la gorge nouée. Tout en elle inspirait déjà le sexe.
Albert jouait le maitre de cérémonie et c'est d'ailleurs lui qui préparait le dîner pendant que Joëlle chauffait son interlocuteur, jambes croisées haut, buste redresse, oeil égrillard. Romain se demandait quel jeu l'animait dans le dos de son mari. D'autant que pendant le repas, celui-ci se montrait caressant avec son épouse, n'hésitant pas à soupeser ses seins par dessus sa robe en le regardant, comme pour lui faire admirer ses avantages, et l'embrassant comme s'ils se préparaient à faire l'amour. Elle s'en amusait visiblement. Et d'ailleurs, à peine le dessert avalé, Albert se leva, prit Joëlle par la main et s'adressa à Romain en ces termes :
- On va dans notre chambre, viens avec nous.
C'est là que le jeune homme comprit tout. Albert annonça :
- Vous allez faire l'amour tous les deux. Moi je ne peux plus et elle en a très envie. Sois à la hauteur.
Et il s'éclipsa.
Le défi était colossal pour un jeune homme inexpérimenté. Baiser une femme mûre avec l'aval de son mari, qui plus est dans les parages, il y avait de quoi débander.
Mais Joëlle savait y faire. Elle se tourna vers Romain et lui désigna le bouton de sa robe dans son cou. Il le défit fébrilement et la robe tomba au sol, découvrant un simple string entrant dans les deux globes fessiers. Elle se tortilla pour le retirer et bascula sur le lit, totalement nue dans son bronzage intégral cultivé avec Laurence. Elle tendit le pied sur sa braguette et pressa.
-Enlève moi tout ça, lui dit elle.
Romain était certes inexpérimenté mais son corps était splendide. Musclé juste comme il faut, harmonieux et doté d'un pénis long et fin se redressant à vue d'œil. Le plus beau mâle que Joëlle ait jamais eu dans son lit. Ses hormones femelles en furent toutes remuées. Elle le tira vers elle et passa à l'action. Tout en entamant une fellation, elle lui caressa les couilles puis osa un doigt dans son anus à la recherche de sa prostate. Il sursauta mais se laissa faire et la conjonction de la bouche et du doigt aboutit à ce que Joëlle recherchait : il éjacula massivement dans sa bouche. Elle en avala une partie et cracha l'autre.
- Désolé, pardon, je n'ai pas pu me retenir, s'excusa le jeune homme déconfit.
- Pas grave. On ne fait que commencer, sourit elle.
Joëlle voulait en effet qu'il éjacule rapidement pour évacuer son trop plein de sperme, confiante dans sa capacité à rebander rapidement et surtout à durer désormais. Confiante aussi dans son propre savoir faire de femme connaissant l'homme.
Elle commença à le branler puis le fit allonger et se mit sur lui tête bêche. Il était temps qu'il découvre le plaisir du 69.
Joëlle plaqua d'autorité son sexe sur la bouche de Romain tout en gobant sa queue. Surpris par la rapidité et la radicalité de cette position, inédite pour lui, il entreprit néanmoins de lécher la fente humide pour ne pas paraitre idiot. Mais cette situation comme le goût particulier de ce sexe l'excita. Sa langue devint plus agile, plus précise et Joëlle eut la double satisfaction de voir la queue se rigidifier et son clitoris se durcir. Elle quitta même brièvement sa succion pour gémir en remuant sa croupe, ce que le lécheur prit pour un compliment, si bien qu'il redoubla d'ardeur.
Mais Joëlle n'avait pas été correctement pénétrée depuis des lustres et il était temps d'en finir avec cette pénitence. Elle libéra Romain de son giron, se retourna, s'empala et lui offrit l'image d'un corps pulpeux en mouvement latéral et circulaire, présenta le visage extasie de la femme qui baise. Romain était subjugué par cette adhésion profonde à sa bite, à la fois par l'ardeur de la récipiendaire mais aussi par sa célébration verbale :
- Ah c'est bon ! Ah qu'elle est booonne ! Ah ça fait du bien chéri !
Romain crut que "chéri" lui était destiné mais le mot s'adressait à Albert, en retrait mais observateur des ébats de son épouse. Il ne voulait pas être vu de l'étalon pour ne pas risquer un arrêt brutal du coït. Voilà pourquoi, dans la diversité des positions imposées par Joëlle à son jeune amant, elle s'ingénia à ce que son mari fut toujours hors de vue de celui ci.
De sorte qu'il eut toujours en vue le petit cul nerveux de l'étalon, talonné ou empoigne par Joëlle dans la position du missionnaire ou encore dans la levrette, la main de son épouse allant chercher les couilles. Sinon vraiment heureux, Albert était satisfait de voir Joëlle participer activement à ce plan candauliste, à preuve l'agitation constante de sa croupe, son exaltation verbale et un authentique orgasme quand elle se prit les pieds à pleines mains pour une pénétration plus profonde.
Par la suite, le couple marqua une courte pause durant laquelle ils échangèrent sur leurs ébats. Joëlle s'adressait à la fois à son jeune amant et à son mari cache :
- Tu vois, tous les deux, on ne fait pas l'amour. On baise. Je fais l'amour avec mon mari, je baise avec toi. Tu es beau, tu as une belle bite bien dure, tu es très viril, tu as tout pour rendre une femme heureuse au lit ou ailleurs. Il faut juste que tu la surprennes, que tu sois bien cochon parfois. Une femme n'a pas toujours envie de faire l'amour. Elle a parfois envie de baiser. Faire sortir la bête qui est en elle. Maintenant, je suis bestiale. Je veux ta bite dans mon cul. Tu as déjà encule ta copine ?
- Euh... non, je crois qu'elle n'aurait pas aimé.
- Tu n'en sais rien. Tu n'as pas su révéler son animalité. Elle n'attendait peut-être que ça, que tu la baises vraiment. Tu vas mettre ta langue et un doigt dans mon petit trou. De la salive aussi. Bien me préparer. Et tu vas m'enculer. Et ne fais pas de manière. Ta mère se fait enculer aussi, sais tu ? Elle me la dit et je peux même te dire qu'elle aime ça, Laurence. Alors ?
Un peu décontenancé par la verdeur du propos de la quinquagénaire, visiblement en transes, et l'allusion à la vie sexuelle de sa mère, le jeune homme marqua un temps d'arrêt. Mais il bandait toujours d'autant qu'elle l'avait branle en lui parlant. Et elle lui présentait sa large croupe bien fendue. Il fit courir sa langue sur les fesses joufflue et arriva à l'anus. Elle écarta elle-même ses globes pour découvrir l'anneau.
- Allez, mets la langue, lèche moi bien, sois cochon.
L'entrée fut un peu laborieuse, faute d'expérience masculine. Mais Joëlle le guida, l'aida, l'encouragea et dès qu'il fut vraiment engagé, une félicité l'envahit devant cette nouvelle sensation. Posé sur ses pieds, il trouva vite son rythme et les peaux claquèrent. Le plaisir manifeste que prenait Joëlle le stimula. Le fait que celle-ci fut amie avec sa mère, et qu'elle fut du même âge, octroyèrent brièvement au jeune homme la sensation d'un inceste puisqu'il avait appris que Laurence était aussi fan du petit trou. Mais cette impression, au lieu de l'inhiber, l'excita encore plus. Mystère de la mentalité masculine. Joëlle fut royalement enculée et à sa demande express, Romain gicla dans son tréfonds. Comme il avait peu de sperme en magasin du fait de son éjaculation initiale, il eut l'impression qu'on lui arrachait les reins. Basculant sur le dos, rincé, il récapitula ses ébats avec l'amie de sa mère. Il avait eu son doigt dans le cul et sa chatte sur le museau. Elle l'avait chevauché en lui massant les couilles. Elle avait célébré sa bite en lui talonnant les reins. Il lui avait léché le trou du cul avant de l'enculer, qui plus est à sa demande. En environ une heure, sa sexualité avait rendu ses ébats antérieurs totalement obsolètes. Il avait "baisé" et que sa partenaire eut le double de son âge démontrait surtout que les filles du sien s'étaient montrées incapables de lui offrir un plaisir comparable.
C'est alors qu'Albert débarqua dans la chambre. Romain réalisa alors l'étendue de la transgression dont il avait été l'acteur. Mais le mari le rassura :
- Bravo mon gars, tu as été à la hauteur. Madame avait besoin de ça et elle en a pour quelque temps. Maintenant, tu prends une douche et tu rentres chez toi.
Romain s'exécuta sans mot dire. Il eut juste droit à une bise de Joëlle, en peignoir de bain, avant de quitter les lieux. Elle lui dit simplement :
- Voilà, tu sais maintenant ce qu'est le vrai sexe. A toi d'en tenir compte. Mais bon, si tu ne trouves pas ton bonheur, tu sais où me trouver.
En en partant, quelque chose lui dit qu'il n'en avait pas fini avec cette volcanique quinquagénaire qui trompait si bien son monde.
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