l'insatiable Ghislaine
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-06-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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l'insatiable Ghislaine
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Nos jeux tournaient toujours, pour commencer autour de la pisse, et tout de suite après elle me demandait de lui téter les seins. Un dimanche, alors que je m’apprêtais à la téter elle me stoppa dans mon élan.
- Aujourd'hui, c'est moi qui vais te téter, tu veux bien ?
Et comment que je voulais bien me faire sucer, je n’attendais que ça, mais cela je n’allais pas lui dire.
Je frémis jusqu'aux orteils, quand les lèvres de Ghislaine, après avoir parcouru toute la longueur de ma tige, atteignirent mes couilles, qu’elle tenait dans sa main. Sous l'effort de succion, ses joues se creusaient, et elle prenait soin de titiller 1'orifice du gland avec la pointe de sa langue. D'une voix enrouée, elle parvint à murmurer :
-Alors tu aimes ?
-Oh oui ! c’est bon.
Avec un bruit mouille, elle ramenait sa bouche en arrière, resserrait ses lèvres à la base du gland et, là, branlait ma tige luisante de salive. Puis, goulument, elle avalait de nouveau ma queue jusqu'a la garde, en faisant jouer mes couilles sous ses doigts. Je la regardais faire, incrédule, heureux du spectacle qu’elle m’offrait. Sa voracité m’étonnait. J'avais le sentiment qu’elle n’avait pas sucer depuis belle lurette. Mais ça c’était moi qui le pensé !
Cette impression m’excitait ! Ghislaine me procurait chaque fois des sensations délicieuses. De temps à autre, elle reprenait son souffle, en me comprimant ma queue et mes couilles dans ses mains.
- Elles sont pleines, vide-les ! Maintenant !
Et sans attendre ma réponse, elle reprenait ma bite en bouche comme une affamée. Je n'en pouvais plus, j’en vacillais. Croisant mes mains dans sa chevelure, sur sa nuque, je lui plaquai le visage contre son bas-ventre. Avec un gémissement, elle enroula sa langue autour de mon gland, ses doigts pressèrent mes couilles comme des fruits. D’une voix étouffée, elle articula tant bien que mal un :
- Vas-y, jute !
Encourager par de tel propos, alors que je sentais le plaisir monté, je me retenais à elle. Je me sentais me raidir tout entier à en avoir des crampes, je poussai un cri et lâchai mon offrande dans la gorge de Ghislaine, qui déglutissait
Après avoir repris mon souffle, je me rappelais qu’elle n’avait pas pris son pied et je le lui en fis part :
- Et toi, tu n'as pas joui.
- Je dois finir ma toilette d'abord.
-Comme tu veux ! lui envoyais-je.
Et c’était comme ça que je fus témoin de sa toilette. Dans un premier temps son sexe. Heureuse de s’exhiber. Tout en se savonnant, une main en appui au bord du lavabo, elle me tendait son cul, cherchant visiblement à m’exciter. Je commençais à la connaitre. Le sillon de son cul débordait de mousse, elle rinçait son gant sou le jet d’eau tiède.
- Ca fait du bien de se laver le cul... surtout quand tu me regardes.
Mais avant de se rincer, elle me lança tout naturellement :
- Tu sais, je suis très propre et j'ai peur d'avoir du caca au fond, tu ne voudrais pas mettre ton doigt dans le trou, le savonner ?
Heureux d’une telle proposition, j’avançais mon index vers les fesses entrouvertes. Sentant sa réticence, Ghislaine creusa davantage les reins, ouvrait son cul à la pénétration.
- Il t'excite mes fesses, au moins ? Tu ne le trouves pas trop gros ? J'en ai honte parfois, mais tu vois, j'ai des fesses bien cambrées et fermes... à mon âge, il y a des femmes qui ...
Sans prendre la peine de lui répondre, j’enfonçais mon doigt dans l'épaisse couche de savon. Pour me gêner, par pur jeu, juste à l'instant de la pénétration, elle serrait les fesses, mon doigt resta prisonnier. Elle les rouvrait aussitôt, se pencha pour mieux offrir son cul. J’enfonçais mon doigt dans le trou tiède sous ses gémissements. Dans un spasme, son anus se contractait, puis se dilatait l’instant d’après.
- Oui, continue, enfonce. Fais-le tourner.
Je m’exécutais, les va-et-vient de mon doigt faisaient des bruits gras entre les fesses écartées. Elle se penchait davantage en respirant plus fort.
- Savonne-moi bien à fond ... tu ne peux pas aller plus profond ?
Je changeai de doigt, c'était mon majeur que j’enfonçais. Je le fis un peu brutalement, elle gémit. Ses cheveux dans les yeux, elle se retenait à deux mains au rebord du lavabo.
- Ecoute, tu ne veux pas m'enculer ? me fit-elle d’une voix de gorge. Tu ne me l’as jamais fait, j'ai envie de te sentir ... Savonne-toi la queue d'abord.
Fébrile, je me levai. Je me saisis de la savonnette humide posée sur le bord du lavabo.
- Tu n'as pas peur d'avoir mal ?
- Tu iras doucement avec ta bite, je te guiderai.
Je présentai mon sexe enduit de savon dans la raie des fesses. Elle écartait ses pieds au sol, creusait les reins, son cul ballonnait comme une pastèque, dont on avait ôté un quartier. Elle parlait d'une voix enrouée.
- Attends, je vais bien m'ouvrir, ça ne te dégoute pas ?
-Et pourquoi ? répondis-je.
-Tu vois, je fais semblant de chier ... regarde comme ça s'ouvre ! Ecarte-moi bien.
Si seulement elle savait que je n’étais pas à ma première introduction de ce côté, mais ça je me gardais bien de le lui révéler. Alors je m’exécutai, faisant comme si ma première fois, enfonçant mes pouces dans le gras des fesses. L'orifice rose foncé, dont les bords étaient lisses et minces, baignait dans les poils savonneux.
- Mets ton gland, doucement...
Et je m’exécutais.
-oh, qu'il est gras ! Tu me remplis bien.
Je m’introduisais. La chaleur à l'intérieur comme toujours m’excitait. Ma queue était très dure, mais elle coulissait grâce au savon. Ghislaine m’arrêta de sa voix rauque.
- Doucement, tu me fais mal, attends un peu !
Docile, je me figeai. Je l’entendais haletée, la joue posée sur le rebord du lavabo. Doucement, elle balançait son bassin d'avant en arrière.
- Ne bouge pas, laisse-moi faire.
Après seulement quelques secondes elle ajouta plus bas.
- Oh, là, que tu ais dur... Ca te plait de m'enculer ?
Je sentais l’étau se desserrer, l’anus s'assouplissait.
- Oh, ça rentre profond, doucement, lâcha-t-elle, là, ne bouge plus.
Le dos creusait de Ghislaine se couvrait de sueur, l'anus s'animait autour de ma queue, alors que je m’enfonçais davantage, mes poils pubiens effleuraient les fesses ouvertes. De ses doigts, elle serrait le rebord du lavabo.
- Tu me défonces, salaud ... excuse-moi, mais il faut que je me touche ...
Elle plaquait sa main entre ses cuisses écartées, et fis agiter ses doigts sur sa fente, effleurant ma queue, les couilles. Elle parlait difficilement, d'une voix de ventre.
- Tu me l'as mise tout entière ... Tu me remplis, me fit-elle tout en se branlant.
De mon côté, je sentais l'anus s'élargir, suinter de sécrétions chaudes. Je gémissais à mon tour, me retenant à grande peine de jouir. La main plaquée sur sa fente, ou ses doigts jouaient, elle projetait son cul en arrière, m’avalant tout entier. Je m’entendais pousser un cri malgré moi, alors que de son côté elle râla.
- Oui ! oui ! lime-moi le cul maintenant.
Mes mains comprimant les fesses débordantes, je donnai des coups de reins, d’avant en arrière. Regardant ma queue coulissait aisément tout en produisant des chuintements obscènes sous ses halètements.
- Oui, rentre bien, élargis-moi ... tu me fais juter par l'anus, tu sens ?
- Ah, ah ! je vais jouir ! lâchais-je, alors que son doigt sur son clitoris s'agitait plus vite, tout en laissant pousser des râles.
- Oui, vide-toi les couilles, je veux te sentir.
Je me collais à elle, les bras passés autour de son ventre. Sa peau était collante de sueur.
- Donne-moi ton jus, couinait-elle, maintenant ! Ah, salaud, tu jouis !
J’éjaculais en me cramponnant à elle. Je sentais à travers la fine cloison son doigt qu'elle avait enfoncé dans son vagin. Elle extériorisa sa jouissance à son tour.
Puis les mains comprimant sur ses fesses pour empêcher son anus de déborder, Ghislaine se dirigea précipitamment vers le siège des toilettes, une fois installer dessus, elle me supplia :
- Je t'en prie, ne reste pas là, ça me fait honte.
Et comme je ne bougeai pas, elle détourna peureusement les yeux. Je fus frappé par ses joues très rouges, son regard éteint. Dans un long bruit obscène, elle vida son anus. Elle chiait, oui elle chiait devant moi, le ventre agitait, le visage enfoui dans les mains.
Je rentrai chez moi tout songeur, étonné de ma pensée sur Ghislaine, celle de ne plus retourner la voir le dimanche suivant. Sur-ce elle arrêta même de donner sa fille à garder à ma mère.
Nos jeux tournaient toujours, pour commencer autour de la pisse, et tout de suite après elle me demandait de lui téter les seins. Un dimanche, alors que je m’apprêtais à la téter elle me stoppa dans mon élan.
- Aujourd'hui, c'est moi qui vais te téter, tu veux bien ?
Et comment que je voulais bien me faire sucer, je n’attendais que ça, mais cela je n’allais pas lui dire.
Je frémis jusqu'aux orteils, quand les lèvres de Ghislaine, après avoir parcouru toute la longueur de ma tige, atteignirent mes couilles, qu’elle tenait dans sa main. Sous l'effort de succion, ses joues se creusaient, et elle prenait soin de titiller 1'orifice du gland avec la pointe de sa langue. D'une voix enrouée, elle parvint à murmurer :
-Alors tu aimes ?
-Oh oui ! c’est bon.
Avec un bruit mouille, elle ramenait sa bouche en arrière, resserrait ses lèvres à la base du gland et, là, branlait ma tige luisante de salive. Puis, goulument, elle avalait de nouveau ma queue jusqu'a la garde, en faisant jouer mes couilles sous ses doigts. Je la regardais faire, incrédule, heureux du spectacle qu’elle m’offrait. Sa voracité m’étonnait. J'avais le sentiment qu’elle n’avait pas sucer depuis belle lurette. Mais ça c’était moi qui le pensé !
Cette impression m’excitait ! Ghislaine me procurait chaque fois des sensations délicieuses. De temps à autre, elle reprenait son souffle, en me comprimant ma queue et mes couilles dans ses mains.
- Elles sont pleines, vide-les ! Maintenant !
Et sans attendre ma réponse, elle reprenait ma bite en bouche comme une affamée. Je n'en pouvais plus, j’en vacillais. Croisant mes mains dans sa chevelure, sur sa nuque, je lui plaquai le visage contre son bas-ventre. Avec un gémissement, elle enroula sa langue autour de mon gland, ses doigts pressèrent mes couilles comme des fruits. D’une voix étouffée, elle articula tant bien que mal un :
- Vas-y, jute !
Encourager par de tel propos, alors que je sentais le plaisir monté, je me retenais à elle. Je me sentais me raidir tout entier à en avoir des crampes, je poussai un cri et lâchai mon offrande dans la gorge de Ghislaine, qui déglutissait
Après avoir repris mon souffle, je me rappelais qu’elle n’avait pas pris son pied et je le lui en fis part :
- Et toi, tu n'as pas joui.
- Je dois finir ma toilette d'abord.
-Comme tu veux ! lui envoyais-je.
Et c’était comme ça que je fus témoin de sa toilette. Dans un premier temps son sexe. Heureuse de s’exhiber. Tout en se savonnant, une main en appui au bord du lavabo, elle me tendait son cul, cherchant visiblement à m’exciter. Je commençais à la connaitre. Le sillon de son cul débordait de mousse, elle rinçait son gant sou le jet d’eau tiède.
- Ca fait du bien de se laver le cul... surtout quand tu me regardes.
Mais avant de se rincer, elle me lança tout naturellement :
- Tu sais, je suis très propre et j'ai peur d'avoir du caca au fond, tu ne voudrais pas mettre ton doigt dans le trou, le savonner ?
Heureux d’une telle proposition, j’avançais mon index vers les fesses entrouvertes. Sentant sa réticence, Ghislaine creusa davantage les reins, ouvrait son cul à la pénétration.
- Il t'excite mes fesses, au moins ? Tu ne le trouves pas trop gros ? J'en ai honte parfois, mais tu vois, j'ai des fesses bien cambrées et fermes... à mon âge, il y a des femmes qui ...
Sans prendre la peine de lui répondre, j’enfonçais mon doigt dans l'épaisse couche de savon. Pour me gêner, par pur jeu, juste à l'instant de la pénétration, elle serrait les fesses, mon doigt resta prisonnier. Elle les rouvrait aussitôt, se pencha pour mieux offrir son cul. J’enfonçais mon doigt dans le trou tiède sous ses gémissements. Dans un spasme, son anus se contractait, puis se dilatait l’instant d’après.
- Oui, continue, enfonce. Fais-le tourner.
Je m’exécutais, les va-et-vient de mon doigt faisaient des bruits gras entre les fesses écartées. Elle se penchait davantage en respirant plus fort.
- Savonne-moi bien à fond ... tu ne peux pas aller plus profond ?
Je changeai de doigt, c'était mon majeur que j’enfonçais. Je le fis un peu brutalement, elle gémit. Ses cheveux dans les yeux, elle se retenait à deux mains au rebord du lavabo.
- Ecoute, tu ne veux pas m'enculer ? me fit-elle d’une voix de gorge. Tu ne me l’as jamais fait, j'ai envie de te sentir ... Savonne-toi la queue d'abord.
Fébrile, je me levai. Je me saisis de la savonnette humide posée sur le bord du lavabo.
- Tu n'as pas peur d'avoir mal ?
- Tu iras doucement avec ta bite, je te guiderai.
Je présentai mon sexe enduit de savon dans la raie des fesses. Elle écartait ses pieds au sol, creusait les reins, son cul ballonnait comme une pastèque, dont on avait ôté un quartier. Elle parlait d'une voix enrouée.
- Attends, je vais bien m'ouvrir, ça ne te dégoute pas ?
-Et pourquoi ? répondis-je.
-Tu vois, je fais semblant de chier ... regarde comme ça s'ouvre ! Ecarte-moi bien.
Si seulement elle savait que je n’étais pas à ma première introduction de ce côté, mais ça je me gardais bien de le lui révéler. Alors je m’exécutai, faisant comme si ma première fois, enfonçant mes pouces dans le gras des fesses. L'orifice rose foncé, dont les bords étaient lisses et minces, baignait dans les poils savonneux.
- Mets ton gland, doucement...
Et je m’exécutais.
-oh, qu'il est gras ! Tu me remplis bien.
Je m’introduisais. La chaleur à l'intérieur comme toujours m’excitait. Ma queue était très dure, mais elle coulissait grâce au savon. Ghislaine m’arrêta de sa voix rauque.
- Doucement, tu me fais mal, attends un peu !
Docile, je me figeai. Je l’entendais haletée, la joue posée sur le rebord du lavabo. Doucement, elle balançait son bassin d'avant en arrière.
- Ne bouge pas, laisse-moi faire.
Après seulement quelques secondes elle ajouta plus bas.
- Oh, là, que tu ais dur... Ca te plait de m'enculer ?
Je sentais l’étau se desserrer, l’anus s'assouplissait.
- Oh, ça rentre profond, doucement, lâcha-t-elle, là, ne bouge plus.
Le dos creusait de Ghislaine se couvrait de sueur, l'anus s'animait autour de ma queue, alors que je m’enfonçais davantage, mes poils pubiens effleuraient les fesses ouvertes. De ses doigts, elle serrait le rebord du lavabo.
- Tu me défonces, salaud ... excuse-moi, mais il faut que je me touche ...
Elle plaquait sa main entre ses cuisses écartées, et fis agiter ses doigts sur sa fente, effleurant ma queue, les couilles. Elle parlait difficilement, d'une voix de ventre.
- Tu me l'as mise tout entière ... Tu me remplis, me fit-elle tout en se branlant.
De mon côté, je sentais l'anus s'élargir, suinter de sécrétions chaudes. Je gémissais à mon tour, me retenant à grande peine de jouir. La main plaquée sur sa fente, ou ses doigts jouaient, elle projetait son cul en arrière, m’avalant tout entier. Je m’entendais pousser un cri malgré moi, alors que de son côté elle râla.
- Oui ! oui ! lime-moi le cul maintenant.
Mes mains comprimant les fesses débordantes, je donnai des coups de reins, d’avant en arrière. Regardant ma queue coulissait aisément tout en produisant des chuintements obscènes sous ses halètements.
- Oui, rentre bien, élargis-moi ... tu me fais juter par l'anus, tu sens ?
- Ah, ah ! je vais jouir ! lâchais-je, alors que son doigt sur son clitoris s'agitait plus vite, tout en laissant pousser des râles.
- Oui, vide-toi les couilles, je veux te sentir.
Je me collais à elle, les bras passés autour de son ventre. Sa peau était collante de sueur.
- Donne-moi ton jus, couinait-elle, maintenant ! Ah, salaud, tu jouis !
J’éjaculais en me cramponnant à elle. Je sentais à travers la fine cloison son doigt qu'elle avait enfoncé dans son vagin. Elle extériorisa sa jouissance à son tour.
Puis les mains comprimant sur ses fesses pour empêcher son anus de déborder, Ghislaine se dirigea précipitamment vers le siège des toilettes, une fois installer dessus, elle me supplia :
- Je t'en prie, ne reste pas là, ça me fait honte.
Et comme je ne bougeai pas, elle détourna peureusement les yeux. Je fus frappé par ses joues très rouges, son regard éteint. Dans un long bruit obscène, elle vida son anus. Elle chiait, oui elle chiait devant moi, le ventre agitait, le visage enfoui dans les mains.
Je rentrai chez moi tout songeur, étonné de ma pensée sur Ghislaine, celle de ne plus retourner la voir le dimanche suivant. Sur-ce elle arrêta même de donner sa fille à garder à ma mère.
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