L'instant Magique...
Récit érotique écrit par Olivia lena [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-02-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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L'instant Magique...
Bonsoir à tous, je m'appelle Hélèna, je ne sais si je dois, mais j'ai vraiment envie de vous faire partager ce qui m'est arrivé. On dit que le plus difficile quand on raconte sa propre histoire c'est de la commencer, et bien c'est vrai.
Voilà j'ai 29 ans et je suis mariée avec Florent depuis 6 ans (mais nous sommes ensemble depuis 9) lui a 39 ans et à part quelques aventures au lycée j'ai vraiment découvert ma vie sexuelle avec Florent dont l'expérience, le charme, et la sensualité m'attirèrent immédiatement.
Et c'est tout naturellement que je fis de lui l'homme de ma vie, il n'eut de cesse de me combler à tout point de vue excepté sur un point, c'est qu'il ne voulait pas d'enfant.
Et il me fallut presque 8 années pour le convaincre mais avec tout mon acharnement j'ai fini par y arriver et suis tombée enceinte il y a 7 mois… bref le bonheur sur terre, je suis heureuse, cela se voit et l'un des premiers à l'avoir remarqué est un collègue de bureau qui quelques jours après que mon gynéco m'ait confirmé ma grossesse m'a dit:
-"Je ne sais pas ce qui t'arrive ou ce que tu as fait ma gazelle (c'est le petit nom qu'il me donne au bureau) mais tu es rayonnante, alors continue ".
Je suis brune, cheveux mi- longs que je coiffe toujours différemment et avec lesquels je ferais des ravages si j’étais célibataire. Mais comme il n'en est rien? Si je m'habille sexy c'est surtout pour me sentir femme, désirable, mais sans désirer. Je suis de taille moyenne (1,65m), j'ai un très joli visage fin dont les traits pourraient s'apparenter à Isabelle Adjani, plutôt fine de corps mes seins volumineux contraste avec la finesse du corps et sont, des dires de Florent, semblable à ceux de Brigitte Lahaie que je ne connais pas d'ailleurs.
Toujours est-il que les paroles de Samir ont immédiatement fait tilt, il avait vu juste et il me surprit par tant de feeling. Samir et moi sommes collègues depuis 3 ans qu'il est arrivé comme informaticien dans notre société. Je dois vous dire que ses origines Maghrébines plaident en sa faveur : grand, sportif, très beau et bien entendu un dragueur de folie.
Pour vous situer le personnage, la première fois qu'il m'adressa la parole il me dit:
-"Je ne peux que m'incliner devant tant de beautés et je te l'affirme aujourd'hui, je tuerai quiconque t'approchera à moins de …3 …KM"
J'avais éclaté de rire et me suis tout de suite sentie à l'aise avec lui, et ce malgré son insistance et ses dragues quotidiennes. J'ai très rapidement mis les choses au clair, lui signalant que j'étais mariée, extrêmement amoureuse, et invariablement fidèle, ce à quoi il répondit :
-"ce n’est pas grave tu sais tout le monde peut se tromper…je ne t'en veux pas…et j' t'attendrai le jour et surtout la nuit j't'attendrai toujours".
Nouvel éclat de rire, et c'est comme ça que notre amitié naissait, et en 3 années il n'a jamais arrêté de me draguer, "ma gazelle si", "ma gazelle ça"…En plus je suis devenue sa confidente intime alors je connais tous les détails, même parfois croustillants, de ses aventures, et j'avoue avoir parfois pensé :"quelle chance de connaitre autant de partenaire différent" et je l'enviais un peu. Heureusement cette envie disparaissait dès que je rentrais vers mon chéri et qu'on se câlinait amoureusement.
Je disais donc, le bonheur sur terre depuis que j'avais appris "la nouvelle", et franchement, à part quelques nausées et un peu de fatigue, je peux pas dire avoir été embêtée plus que ça, si ce n'est qu'à partir du 3°mois des picotements dans le bas ventre sont apparus et de plus en plus rapprochés un peu comme une petite crampe. J'en parlai directement à ma gynéco qui me dit:
-"quelle est votre fréquence de rapport avec votre mari?"
Un peu gênée je lui dis:
-"eh bien depuis que je suis enceinte beaucoup moins, je dirais 1fois /semaine.
-"vous savez quand nous sommes enceintes, notre corps est bombardé d'hormones nouvelles qui, chez beaucoup de femmes accentuent le désir sexuel, et franchement vus vos symptôme ne cherchez pas plus loin c'est ça."
-"Mais je fais quoi alors"
Elle n'eut pas besoin de me répondre, son sourire entendu m'avait apporté ma réponse.
Le soir, à peine rentrée que je sautais sur Florent pour un quasi viol. Et effectivement les picotements disparurent mais ce qu'elle avait oublié de préciser, c’est que 2H plus tard ils réapparurent et plus fortement. Le seul problème est que Florent se mit à prendre peur pour le bébé et à peine quelques jours après cette découverte il décida que nous ne devions plus faire l'amour qu'occasionnellement. Et voilà comment je me suis retrouvée avec des crampes toujours plus fréquentes et de plus en plus intenses.
C'était donc il y a 3 mois et déjà un joli petit ventre bien rond se faisait remarquer sous mes robes longues et bien sûr j'eus droit à de nombreuses remarques de Samir, du style:
-"Tu ne veux pas arrêter de m'exhiber cet objet du désir" ou
-"Cette nouvelle forme de toi te sublime dans l'Univers entier" ou
-"Je donnerais une semaine de ma vie pour juste poser mes mains sur ce mont des délices"
Et voilà à quoi je devais faire face de jour en jour jusqu'à ce pari stupide à la pause-café ou comme la plupart du temps nous étions seuls.
-"Mais puisque je te dis qu'il est chanteur aussi."
-"Alors là je te parie ce que tu veux que non."
-"Ok gazelle pari tenu, regarde sur google, mais avant on annonce la récompense du vainqueur, vas-y d'abord."
-"Euh…euh…tu n'as pas le droit de m'adresser la parole avant que je t'y autorise"
-"Salope t'es chier, ok attend….. moi et bien… j'ai le droit de toucher tu sais quoi."
-"heureusement que je suis sûre de moi salop."
Et quelques secondes plus tard je perdais lamentablement.
-"Non allez Samir s'il te plait ne joue pas avec ça trouve autre chose"
-"même pas en rêve ma belle, depuis le temps que je fantasme dessus"
Je venais de me piéger toute seule.
-"bon dac mais fais vite alors"
Et voilà, je venais de résister à 3 ans de drague intensive sans le moindre contact et il fallait que ça tombe maintenant.
Alors qu'il s'approchait un sourire triomphant sur ses lèvres, je ne pus que m'incliner malgré une ultime esquive.
-"Ok pose ta main ici…"
-"J'avais dit LES mains …tourne toi un peu s'il te plait…ce sera plus facile…"
Sans un mot je m'exécutai et me retrouvai dos à lui et face à la fenêtre sur laquelle j'appuyai mes deux mains. Lui prit tout son temps pour approcher. Je le sentais proche juste dans mon dos et sa lenteur ajouta à ce malaise grandissant.
Mon regard fixait naïvement l'horizon en attendant le contact tant redouté, tandis que mon corps frémissait anormalement et que de petites bouffées de chaleur toutes aussi anormales prenaient mon ventre comme témoin involontaire du trouble qui m'envahie soudain en une seconde à peine…Le doute n'était plus permis j'étais excitée par l'instant que je vivais et par l'homme qui se tenait maintenant à quelques centimètres de moi et dont le souffle court parvenait dans mes cheveux. Je devais réagir, agir avant qu'il ne me touche. Mais c'est justement la seconde qu'il choisit pour effleurer de ses mains puissantes mes hanches offertes à cette caresse électrique qui me tétanisa totalement, et me priva de tout mouvement rebelle.
Toujours très délicatement et d'une lenteur éprouvante, il les fit glisser vers l'avant où ses longs doigts touchèrent enfin la base de ma proéminence…nouveau trouble et j'en tremble…il continue d'avancer pour finir par poser entièrement ses mains qui se sont rejointes sur ce ventre qui accueille cette chaleur avec une émotion et une sensibilité toujours croissante. Que m’arrive-t-il? Je ne reconnais plus la femme sûre d'elle qui l'a toujours tenu à distance, et plus les secondes passent, plus j'ai envie que ça dure, je deviens dingue…
Pourtant il ne s'agit que de ses mains, il a su garder une certaine pudeur, rien d'autre que ses mains ne me touchent… quelle folie s'est emparée de moi? Mon trouble lui apparait-il? J’ai moi l'impression qu'il apparait aux yeux de la terre entière!!!
Depuis combien de temps ça dure…30 secondes…une minute…j'ai perdu le fil…et ça m'affole.
D'un mouvement violent et rapide je quitte son infernale étreinte et pars sans dire un
mot, j'entends juste un vague…
-"Attend je …Hélèna…attend…"
La fin de journée est horrible je n'arrive plus à me concentrer, je n'ai que cette image dans ma tête, et des décharges fébriles dans le tout le corps. Je n'arrive pas à comprendre pourquoi l'image que je m'étais faite de lui (dragueur, séducteur, tombeur de filles) ne colle absolument pas avec ce qui vient de se passer et ça amplifie mon trouble au point de partir du bureau sans lui dire au revoir.
Après une soirée affreuse malgré la gentillesse de Florent je redoute le lendemain, comme une gamine qui ne veut pas aller à l'école…
Arrivée au bureau il me fait la surprise de ne pas venir m'accueillir de son éternel pic de drague…Pire, il ne vient même pas à la pause-café…Et quand je retourne à mon bureau il a laissé un post-it sur l'écran: "Je suis désolé".
C'est touchant et je me dis qu'après tout, il n'a pas forcément ressenti mon trouble.
Les jours passent ainsi, avec cette immense paradoxe qui grandit en moi: plus je m'éloigne de lui et de ce qui s'est passé et plus j'ai envie de recommencer.
Après 2 semaines passées à soigneusement s'éviter mutuellement ( ce qui m'arrangeait ), je reçus un sms de Florent me disant qu'il ne pouvait passer me prendre après le travail pour cause d'un imprévu à son bureau et qu'il ne rentrerait que vers 20h, il me demandait, vu mon état, si quelqu'un du bureau ne pouvait me déposer. Mon sang ne mit pas 3 secondes à bouillir, frapper mes tempes et serrer mon cœur car excepté Samir je ne voyais pas qui.
Je mis plus d'une heure à me sortir du pour et du contre et en conclure que 50mn de métro c'était trop et je finis par lui envoyer un sms... ;-) coucou…problème de voit…peux-tu me déposer ce soir?
Sa réponse ne tarda pas: Ok pas de blèm…espoir de récompense?
Et moi: 1 caf ou 1 sky o choix?
Lui: va for le sky :-(
Le trajet se passa à parler boulot, mais sa proximité m'affola de nouveau et je sentis mon bas ventre se nouer de plus en plus.
Arrivés vers 17h30 j'espérais qu'il repartirait rapidement afin d'abréger mon calvaire.
Mais une fois posé en face de moi dans le canapé, il avait l'air bien détendu et très calme contrairement à moi, et tandis qu'il sirotait tranquillement son whisky notre conversation dévia sur un nouveau pari stupide avec enjeu bien sûr.
-"bon alors tu paries quoi?" me demanda-t-il
-"que tu me fasses la cuisine une fois, et toi?"
-"je veux retoucher ton ventre"
-"NON…c'est hors de question"
-"mais pourquoi, déjà que je ne sais pas pourquoi t'as flippé comme ça l'autre jour?
C’est rien quoi…"
-"Je…c'est pas correct"
-"Vraiment je ne comprends pas…j'ai adoré toucher ta beauté…ta pure beauté…et je veux recommencer…"
-"Laisse tomber, je préfère que tu partes, à demain"
Je me levai d'un coup, pris nos verres sur la table et me dirigeai rapidement dans la cuisine très fière de moi, mais sans remarquer que Samir m'avait pratiquement emboité le pas, et tandis que j'arrivais près de l'évier, sa présence me fis sursauter de peur et lâcher les verres dans l'évier où l'un d'eux se brisa.
-"t'es fou, tu m'as fait une de ces peur"
Il me prit directement par les hanches (dans mon dos) tout en me disant :
-"t'es beaucoup trop tendue Hélèna c'est pas bon pour lui"…et doucement fit glisser ses mains sur ma robe mais pas en effleurant mon corps comme la dernière fois, non cette fois ses 2 mains était pleinement en contact sur mes hanches puis mon ventre et il commença même un léger massage tournant autour du nombril…ses mains semblaient plus douces et plus chaudes encore que l'autre fois, et de nouveau je me mis à trembloter et mon ventre me faisait mal, mais ce fameux mal qui nous fait du bien (tiens, encore un paradoxe).
Il enchaina directement:
-"Laisse-toi un peu aller 30 secondes"
30 secondes comme ça ce n’est pas possible pensai-je, je vais hurler.Et alors que je me décidai à tenter la fuite comme l'autre fois, il approcha son torse qui s'ajusta parfaitement dans le creux de mon dos et se cala doucement, m'emprisonnant un peu plus dans une étreinte que je voulais tant refuser…voyant une certaine complaisance (il faut dire ce qui est, c'était délicieux) le cercle de ses mains s'agrandit accompagné d'une très légère pression des doigts et de nouveau son souffle dans le haut de mes cheveux.
Je me répétais que tout allait bien, que jusqu'ici rien de compromettant ne s'était passé…que je pouvais partir en hurlant comme l'autre fois…mais alors pourquoi je ne le faisais pas…cela durait et je n'y mettais pas fin…J'avais peur, terriblement peur qu'il se méprenne, qu'il croit que je m'abandonne à lui…alors que non, je devais juste rassembler mon courage et le repousser comme l'autre fois…allez voilà l'instant lucide me dis-je vas-y.
Et là comme s'il avait lu ma pensée, il appuya légèrement sur mon ventre faisant naturellement glisser mon bassin en arrière jusqu'à ce que le haut de mes fesses rencontre une résistance, était-ce possible?
J'arrêtai immédiatement ce recul mais n'inversait pas pour autant le mouvement…je devenais folle ou quoi…mes jambes tremblaient de nouveau…je devais faire quelque chose…
Et comme chose à faire, je ne trouvai rien de mieux que de me détendre… MAIS surtout je venais de reprendre de ma propre initiative le mouvement de cambrure de mes reins, recherchant et amplifiant rapidement le contact avec cette chose dure que je sentais maintenant parfaitement sur le haut de la fente de mes fesses…
Là c'était grave, car ce ridicule mouvement de 2 centimètres à peine révélait mes intentions cachées à cet homme qui n'était pas mon mari…
Sa réaction fut tout aussi révélatrice de ses intentions, et il répondit à mon petit coup de fesse par une poussée en avant de son bassin, ce qui fut dévastateur pour moi.
Comment en étais- je arrivée là?…et en même temps que sa main gauche remonta le long de mon ventre, passa sûr mon sein droit dont elle put constater la dureté du téton qui pointait, tendu comme une flèche, il me dit:
-" Hélèna tu es éblouissante de beauté, laisse-moi regarder ton visage".
…j'avais terriblement honte de moi…il fallait que j'arrête…
-"non…stop….euh"
Mais sa main qui avait continué passa dans mon cou, ajoutant un nouveau frisson…, et, du bout des doigts, me prit le menton pour m'inciter à basculer et à tourner ma tête en arrière l'appuyant sur son épaule lentement.
Alors que nos regard allaient se croiser, je fermai les yeux et me pinçait les lèvres pour m'empêcher d'émettre le moindre son qui lui révèlerai mon désir de continuer.
J'attendais ainsi, au creux de son épaule, complètement perdue, un baiser que secrètement je désirais depuis le premier jour où mon regard avait croisé ses yeux noirs et sa bouche aux lèvres que j'imaginais douces et chaudes…et voilà que cet instant si sensuel et magique comblait toutes mes espérances…Mais tandis que je sentais ses lèvres approcher et son haleine sucrée par le whisky, il s'arrêta, alors que nos lèvres étaient presque en contact, et son souffle court semblait simplement m'inviter à faire le reste du chemin que nous nous apprêtions à emprunter.
En quelque sorte (et tout à son honneur) il me laissait encore un instant le choix de rester ou non une femme fidèle, et j'appréciais ce geste…
Je restai ce qui m'apparut une éternité… une éternité pour un instant d'abandon…
Et c'était bien de ça dont il s'agissait : Allais-je m'abandonner à cette homme?…
Mon corps, complètement submergé du désir et du plaisir de l'instant s'était déjà livré à l'abandon (ma petite culotte pouvait en témoigner, elle était trempée comme pas une fois dans ma vie elle ne l'avait été), seul un soupçon de culpabilité me retenait encore un peu…
Doucement, je fis passer mon bras droit le long de son torse et glissai ma main derrière sa nuque…Délicatement mes lèvres s'entrouvrirent et glissèrent enfin à la rencontre des siennes et je découvris en un instant l'abandon, l'adultère, mais surtout l'osmose que ce baiser provoqua.
Nos langues et nos salives se mêlèrent avec une douceur et un rythme parfait…ni trop vite ni trop doucement, juste parfait…
Et le temps s'arrêta pour nous…je ne sais quel voyage mon esprit entreprit, mais il entraina pour moi un black-out de quelques minutes durant lesquels je fus complètement emplie de bonheur par ce merveilleux baiser infidèle…
Lorsque j'immergeai et que mon esprit repris du sens, l'excitation du corps n'avait pas disparus, au contraire elle était plus forte encore, et le feu intérieur réclamait son extinction à n'importe quel prix.
Dans un mouvement parfaitement coordonné, nos bouches se quittèrent et nos mains prirent le relais par de fines et précises caresses sur le visage le cou les cheveux, lui s'aventura même sur mes seins dont les pointes s'étaient tendues au maximum, et j'aima quand il les pinça légèrement…
Le tourbillon dans mon corps continua de plus belle lorsqu'il me retourna pour lui faire face, et qu'il se mit à genoux en m'embrassent tout le long de sa descente, s'attardant même dans le cou, sur la pointe de mes seins puis plus longtemps encore sur mon ventre pour finalement disparaitre sous ma robe qu'il avait habilement retroussé pendant sa descente.
Tant de liberté, et il allait découvrir dans quel état il m'avait mise…je ne pouvais le laisser faire…je posai immédiatement mes mains sur sa tête pour l'arrêter mais ses mains experte eurent raison de ma culotte qu'il fit glisser le long de mes jambes, et je ne pus empêcher ses mains de remonter le long de mes cuisses et d'entrer en contact avec les poils trempés de mon antre…le frisson qui accompagna cette première intimité m'encouragea, et au lieu de le retenir, mes mains le guidait et plaqua directement son visage au cœur de ma petite chatte trempé…
Très vite, sa langue chaude et large percuta mes lèvres et sa façon de s'en délecter me fit jouir et perdre une nouvelle fois le contrôle…
-"heuummm…heummmmm…ouuuiiiiii…oh Sammmir…c'est trooop bonnn….arrrrête"
Ses mains étaient maintenant remontées et caressaient mon ventre de femme enceinte et j'adorais ça…
Quand il décida de se relever je serrai machinalement les jambes comme pour retenir le jus que je sentais abondant comme jamais…il se releva et je ne pus m'empêcher de regarder ses lèvres luisante de mouille venir m'embrasser directement à pleine bouche comme s'il voulait m'en faire profiter…et voilà que j'acceptais avec plaisir ce que j'avais toujours refusé à Florent, un baiser mouillé…heumm quel nouveau délice…
Ce nouveau et fougueux baiser s'accompagna d'un plaquage de mon corps contre l'évier et je sentis de nouveau le niveau de son excitation…Je ne savais quoi faire…alors il pris l'initiative et prenant mes mains il les dirigea sur cette bosse qui déformait complètement son jeans serré.
Je le caressais un peu, mais très vite me rendit compte que je devais libérer la bête…
Je dégrafai 4 bouton et plongeai mes 2 mains à la découverte de ce que j'avais imaginé des tas de fois…La rencontre avec son sexe si doux, si dure et si long me fis le désirer d'avantage je voulais sentir cette chose au plus profond de moi, je voulais lui appartenir…S'en tarder, je guidai se monstre (mes 2 mains séparées n'arrivant pas à la base de son sexe) vers mon antre, plus que jamais ruisselant, en relevant ma jambe droite contre sa hanche gauche…
Je réalisai alors que son gland flirtait avec mon clitoris qu'il n'avait pas de préservatif…Je le stoppai aussitôt en glissant vers son oreille je chuchotai…
-"tu…tuu…ne..e..mets..pas…deeeuu…"Il chuchota également
-"De capote…?"
-"ouii de …capote…"
-"non….j'pensais pas que ça arriverait"
-"mais…on fait quoiii…"
-"A toi de voir, moi j'en peu plus d'avoir envie de toi…"
Alors qu'il me disait ça j'essayais de me persuader d'arrêter là…mais il m'embrassa de nouveau délicieusement, et pour toute réponse, je redirigeai sa longue queue vers l'entrée interdite, prête à m'offrir à lui et dès que je fis entrer le gland, il prit le relais…Et je senti la merveille des merveille tandis qu'il poussait en avant me pénétrant totalement (je ressentait chaque centimètre de sa pénétration avec toujours plus de bonheur)…puis arrivant au plus profond de mon être il s'arrêta un instant……
Et bang bang bang commença de petit mais ferme va et vient pour frapper le fond de mon vagin, ce qui m'acheva complètement, au point de lui dire…
-"heumm…va y ouuiiii…je suuiiis..à…toi"
Il accéléra aussitôt et me baisa comme je le méritais…une chienne qui se donnait à un autre…mais que j'ai aimé ça…et je le lui ai dit…
-"ooh…c'est troopp…booonn…continu…j'adore ça…heuumm"
-"ahrr…ahrrr…putain tu m'excites…depuis tellement longtemps…ahhrrr"
J'aimais sa violence contenu, et j'aurais aimé que ça dure éternellement mais j'ai senti dans son corps de violente contraction, signe d'un orgasme imminent…et je me suis dit alors que pour la première fois de ma vie j'allais recevoir le sperme d'un autre homme que le miens…A cette pensée, je pris le visage de Samir dans mes mains, le regarda, puis l'attira à moi pour l'embrasser à pleine bouche dans un baiser dont j'ai le secret (je savais qu'il n'y résisterait pas et j'avais terriblement envie de sentir jaillir son sperme en moi)…
-"aahhrrrr…aaahhrrrr…tient….aahhrrrr…"
Son râle fut accompagné de long jet de sperme qui claquait le fond de mon ventre et me fis jouir en même temps que lui d'une force que je n'osais espérer dans mes rêves les plus fou et lubrique…
-"ouiii…hummsss….oouuuiiiiiii…hhhuuuummmmmm"
Il se cabra tandis que ma tête plongea contre son torse…
Nous restâmes ainsi 1 ou 2 minutes d'abord pour le plaisir, mais aussi pour éviter le regard de l'autre après cet incroyable épisode instinctif et animal…
Comment pourrait-on seulement expliquer ce qui venait de ce passé…avec des mots ce n'était pas possible, alors autant ne rien dire…
Nous nous sommes rajusté, et il est parti sans dire un mot et ce fut très bien ainsi…
Mais sur le pas de la porte, il se retourna, me lança un regard chaud comme je les aime, il approcha son visage me donna un cour baiser, et parti…
Je refermai la porte et regarda directement l'heure qu'il pouvait être…19h35…mon dieu et si Florent était rentré plus tôt…c'est dingue j'avais complètement perdu la notion du temps…Rassuré de ne pas avoir été captée, je plongeai dans le canapé pour repenser à ces incroyable instants…et là, je passa directement une main sur ma petite minette pour sentir le sperme de Samir s'écouler d'elle au moment même où mon portable sonna…
-"allo?"
-"Ma chérie? Je suis en route, j'arrive dans 15 minutes"
-"oh c'est cool mon cœur…bisous"
-"bisous tout plein, ça me tarde de rentrer…tu sais………….."
Et tandis qu'il me racontait sa journée, je ne pus résister à l'envie de fouiller et de récupérer un maximum de sperme avec mon majeur, que je m’empressai de déguster dans un nouvelle élan de plaisir…Et lui de continuer
-"A tout de suite…"
-"Mumm…"
PS: Vous devez vous demander ce qui s'est passé le soir même et surtout le lendemain au bureau…non? Et vous avez raison car il s'en est passé des choses mais c'est une autre histoire…
INFIDELITE A SUIVRE…
Voilà j'ai 29 ans et je suis mariée avec Florent depuis 6 ans (mais nous sommes ensemble depuis 9) lui a 39 ans et à part quelques aventures au lycée j'ai vraiment découvert ma vie sexuelle avec Florent dont l'expérience, le charme, et la sensualité m'attirèrent immédiatement.
Et c'est tout naturellement que je fis de lui l'homme de ma vie, il n'eut de cesse de me combler à tout point de vue excepté sur un point, c'est qu'il ne voulait pas d'enfant.
Et il me fallut presque 8 années pour le convaincre mais avec tout mon acharnement j'ai fini par y arriver et suis tombée enceinte il y a 7 mois… bref le bonheur sur terre, je suis heureuse, cela se voit et l'un des premiers à l'avoir remarqué est un collègue de bureau qui quelques jours après que mon gynéco m'ait confirmé ma grossesse m'a dit:
-"Je ne sais pas ce qui t'arrive ou ce que tu as fait ma gazelle (c'est le petit nom qu'il me donne au bureau) mais tu es rayonnante, alors continue ".
Je suis brune, cheveux mi- longs que je coiffe toujours différemment et avec lesquels je ferais des ravages si j’étais célibataire. Mais comme il n'en est rien? Si je m'habille sexy c'est surtout pour me sentir femme, désirable, mais sans désirer. Je suis de taille moyenne (1,65m), j'ai un très joli visage fin dont les traits pourraient s'apparenter à Isabelle Adjani, plutôt fine de corps mes seins volumineux contraste avec la finesse du corps et sont, des dires de Florent, semblable à ceux de Brigitte Lahaie que je ne connais pas d'ailleurs.
Toujours est-il que les paroles de Samir ont immédiatement fait tilt, il avait vu juste et il me surprit par tant de feeling. Samir et moi sommes collègues depuis 3 ans qu'il est arrivé comme informaticien dans notre société. Je dois vous dire que ses origines Maghrébines plaident en sa faveur : grand, sportif, très beau et bien entendu un dragueur de folie.
Pour vous situer le personnage, la première fois qu'il m'adressa la parole il me dit:
-"Je ne peux que m'incliner devant tant de beautés et je te l'affirme aujourd'hui, je tuerai quiconque t'approchera à moins de …3 …KM"
J'avais éclaté de rire et me suis tout de suite sentie à l'aise avec lui, et ce malgré son insistance et ses dragues quotidiennes. J'ai très rapidement mis les choses au clair, lui signalant que j'étais mariée, extrêmement amoureuse, et invariablement fidèle, ce à quoi il répondit :
-"ce n’est pas grave tu sais tout le monde peut se tromper…je ne t'en veux pas…et j' t'attendrai le jour et surtout la nuit j't'attendrai toujours".
Nouvel éclat de rire, et c'est comme ça que notre amitié naissait, et en 3 années il n'a jamais arrêté de me draguer, "ma gazelle si", "ma gazelle ça"…En plus je suis devenue sa confidente intime alors je connais tous les détails, même parfois croustillants, de ses aventures, et j'avoue avoir parfois pensé :"quelle chance de connaitre autant de partenaire différent" et je l'enviais un peu. Heureusement cette envie disparaissait dès que je rentrais vers mon chéri et qu'on se câlinait amoureusement.
Je disais donc, le bonheur sur terre depuis que j'avais appris "la nouvelle", et franchement, à part quelques nausées et un peu de fatigue, je peux pas dire avoir été embêtée plus que ça, si ce n'est qu'à partir du 3°mois des picotements dans le bas ventre sont apparus et de plus en plus rapprochés un peu comme une petite crampe. J'en parlai directement à ma gynéco qui me dit:
-"quelle est votre fréquence de rapport avec votre mari?"
Un peu gênée je lui dis:
-"eh bien depuis que je suis enceinte beaucoup moins, je dirais 1fois /semaine.
-"vous savez quand nous sommes enceintes, notre corps est bombardé d'hormones nouvelles qui, chez beaucoup de femmes accentuent le désir sexuel, et franchement vus vos symptôme ne cherchez pas plus loin c'est ça."
-"Mais je fais quoi alors"
Elle n'eut pas besoin de me répondre, son sourire entendu m'avait apporté ma réponse.
Le soir, à peine rentrée que je sautais sur Florent pour un quasi viol. Et effectivement les picotements disparurent mais ce qu'elle avait oublié de préciser, c’est que 2H plus tard ils réapparurent et plus fortement. Le seul problème est que Florent se mit à prendre peur pour le bébé et à peine quelques jours après cette découverte il décida que nous ne devions plus faire l'amour qu'occasionnellement. Et voilà comment je me suis retrouvée avec des crampes toujours plus fréquentes et de plus en plus intenses.
C'était donc il y a 3 mois et déjà un joli petit ventre bien rond se faisait remarquer sous mes robes longues et bien sûr j'eus droit à de nombreuses remarques de Samir, du style:
-"Tu ne veux pas arrêter de m'exhiber cet objet du désir" ou
-"Cette nouvelle forme de toi te sublime dans l'Univers entier" ou
-"Je donnerais une semaine de ma vie pour juste poser mes mains sur ce mont des délices"
Et voilà à quoi je devais faire face de jour en jour jusqu'à ce pari stupide à la pause-café ou comme la plupart du temps nous étions seuls.
-"Mais puisque je te dis qu'il est chanteur aussi."
-"Alors là je te parie ce que tu veux que non."
-"Ok gazelle pari tenu, regarde sur google, mais avant on annonce la récompense du vainqueur, vas-y d'abord."
-"Euh…euh…tu n'as pas le droit de m'adresser la parole avant que je t'y autorise"
-"Salope t'es chier, ok attend….. moi et bien… j'ai le droit de toucher tu sais quoi."
-"heureusement que je suis sûre de moi salop."
Et quelques secondes plus tard je perdais lamentablement.
-"Non allez Samir s'il te plait ne joue pas avec ça trouve autre chose"
-"même pas en rêve ma belle, depuis le temps que je fantasme dessus"
Je venais de me piéger toute seule.
-"bon dac mais fais vite alors"
Et voilà, je venais de résister à 3 ans de drague intensive sans le moindre contact et il fallait que ça tombe maintenant.
Alors qu'il s'approchait un sourire triomphant sur ses lèvres, je ne pus que m'incliner malgré une ultime esquive.
-"Ok pose ta main ici…"
-"J'avais dit LES mains …tourne toi un peu s'il te plait…ce sera plus facile…"
Sans un mot je m'exécutai et me retrouvai dos à lui et face à la fenêtre sur laquelle j'appuyai mes deux mains. Lui prit tout son temps pour approcher. Je le sentais proche juste dans mon dos et sa lenteur ajouta à ce malaise grandissant.
Mon regard fixait naïvement l'horizon en attendant le contact tant redouté, tandis que mon corps frémissait anormalement et que de petites bouffées de chaleur toutes aussi anormales prenaient mon ventre comme témoin involontaire du trouble qui m'envahie soudain en une seconde à peine…Le doute n'était plus permis j'étais excitée par l'instant que je vivais et par l'homme qui se tenait maintenant à quelques centimètres de moi et dont le souffle court parvenait dans mes cheveux. Je devais réagir, agir avant qu'il ne me touche. Mais c'est justement la seconde qu'il choisit pour effleurer de ses mains puissantes mes hanches offertes à cette caresse électrique qui me tétanisa totalement, et me priva de tout mouvement rebelle.
Toujours très délicatement et d'une lenteur éprouvante, il les fit glisser vers l'avant où ses longs doigts touchèrent enfin la base de ma proéminence…nouveau trouble et j'en tremble…il continue d'avancer pour finir par poser entièrement ses mains qui se sont rejointes sur ce ventre qui accueille cette chaleur avec une émotion et une sensibilité toujours croissante. Que m’arrive-t-il? Je ne reconnais plus la femme sûre d'elle qui l'a toujours tenu à distance, et plus les secondes passent, plus j'ai envie que ça dure, je deviens dingue…
Pourtant il ne s'agit que de ses mains, il a su garder une certaine pudeur, rien d'autre que ses mains ne me touchent… quelle folie s'est emparée de moi? Mon trouble lui apparait-il? J’ai moi l'impression qu'il apparait aux yeux de la terre entière!!!
Depuis combien de temps ça dure…30 secondes…une minute…j'ai perdu le fil…et ça m'affole.
D'un mouvement violent et rapide je quitte son infernale étreinte et pars sans dire un
mot, j'entends juste un vague…
-"Attend je …Hélèna…attend…"
La fin de journée est horrible je n'arrive plus à me concentrer, je n'ai que cette image dans ma tête, et des décharges fébriles dans le tout le corps. Je n'arrive pas à comprendre pourquoi l'image que je m'étais faite de lui (dragueur, séducteur, tombeur de filles) ne colle absolument pas avec ce qui vient de se passer et ça amplifie mon trouble au point de partir du bureau sans lui dire au revoir.
Après une soirée affreuse malgré la gentillesse de Florent je redoute le lendemain, comme une gamine qui ne veut pas aller à l'école…
Arrivée au bureau il me fait la surprise de ne pas venir m'accueillir de son éternel pic de drague…Pire, il ne vient même pas à la pause-café…Et quand je retourne à mon bureau il a laissé un post-it sur l'écran: "Je suis désolé".
C'est touchant et je me dis qu'après tout, il n'a pas forcément ressenti mon trouble.
Les jours passent ainsi, avec cette immense paradoxe qui grandit en moi: plus je m'éloigne de lui et de ce qui s'est passé et plus j'ai envie de recommencer.
Après 2 semaines passées à soigneusement s'éviter mutuellement ( ce qui m'arrangeait ), je reçus un sms de Florent me disant qu'il ne pouvait passer me prendre après le travail pour cause d'un imprévu à son bureau et qu'il ne rentrerait que vers 20h, il me demandait, vu mon état, si quelqu'un du bureau ne pouvait me déposer. Mon sang ne mit pas 3 secondes à bouillir, frapper mes tempes et serrer mon cœur car excepté Samir je ne voyais pas qui.
Je mis plus d'une heure à me sortir du pour et du contre et en conclure que 50mn de métro c'était trop et je finis par lui envoyer un sms... ;-) coucou…problème de voit…peux-tu me déposer ce soir?
Sa réponse ne tarda pas: Ok pas de blèm…espoir de récompense?
Et moi: 1 caf ou 1 sky o choix?
Lui: va for le sky :-(
Le trajet se passa à parler boulot, mais sa proximité m'affola de nouveau et je sentis mon bas ventre se nouer de plus en plus.
Arrivés vers 17h30 j'espérais qu'il repartirait rapidement afin d'abréger mon calvaire.
Mais une fois posé en face de moi dans le canapé, il avait l'air bien détendu et très calme contrairement à moi, et tandis qu'il sirotait tranquillement son whisky notre conversation dévia sur un nouveau pari stupide avec enjeu bien sûr.
-"bon alors tu paries quoi?" me demanda-t-il
-"que tu me fasses la cuisine une fois, et toi?"
-"je veux retoucher ton ventre"
-"NON…c'est hors de question"
-"mais pourquoi, déjà que je ne sais pas pourquoi t'as flippé comme ça l'autre jour?
C’est rien quoi…"
-"Je…c'est pas correct"
-"Vraiment je ne comprends pas…j'ai adoré toucher ta beauté…ta pure beauté…et je veux recommencer…"
-"Laisse tomber, je préfère que tu partes, à demain"
Je me levai d'un coup, pris nos verres sur la table et me dirigeai rapidement dans la cuisine très fière de moi, mais sans remarquer que Samir m'avait pratiquement emboité le pas, et tandis que j'arrivais près de l'évier, sa présence me fis sursauter de peur et lâcher les verres dans l'évier où l'un d'eux se brisa.
-"t'es fou, tu m'as fait une de ces peur"
Il me prit directement par les hanches (dans mon dos) tout en me disant :
-"t'es beaucoup trop tendue Hélèna c'est pas bon pour lui"…et doucement fit glisser ses mains sur ma robe mais pas en effleurant mon corps comme la dernière fois, non cette fois ses 2 mains était pleinement en contact sur mes hanches puis mon ventre et il commença même un léger massage tournant autour du nombril…ses mains semblaient plus douces et plus chaudes encore que l'autre fois, et de nouveau je me mis à trembloter et mon ventre me faisait mal, mais ce fameux mal qui nous fait du bien (tiens, encore un paradoxe).
Il enchaina directement:
-"Laisse-toi un peu aller 30 secondes"
30 secondes comme ça ce n’est pas possible pensai-je, je vais hurler.Et alors que je me décidai à tenter la fuite comme l'autre fois, il approcha son torse qui s'ajusta parfaitement dans le creux de mon dos et se cala doucement, m'emprisonnant un peu plus dans une étreinte que je voulais tant refuser…voyant une certaine complaisance (il faut dire ce qui est, c'était délicieux) le cercle de ses mains s'agrandit accompagné d'une très légère pression des doigts et de nouveau son souffle dans le haut de mes cheveux.
Je me répétais que tout allait bien, que jusqu'ici rien de compromettant ne s'était passé…que je pouvais partir en hurlant comme l'autre fois…mais alors pourquoi je ne le faisais pas…cela durait et je n'y mettais pas fin…J'avais peur, terriblement peur qu'il se méprenne, qu'il croit que je m'abandonne à lui…alors que non, je devais juste rassembler mon courage et le repousser comme l'autre fois…allez voilà l'instant lucide me dis-je vas-y.
Et là comme s'il avait lu ma pensée, il appuya légèrement sur mon ventre faisant naturellement glisser mon bassin en arrière jusqu'à ce que le haut de mes fesses rencontre une résistance, était-ce possible?
J'arrêtai immédiatement ce recul mais n'inversait pas pour autant le mouvement…je devenais folle ou quoi…mes jambes tremblaient de nouveau…je devais faire quelque chose…
Et comme chose à faire, je ne trouvai rien de mieux que de me détendre… MAIS surtout je venais de reprendre de ma propre initiative le mouvement de cambrure de mes reins, recherchant et amplifiant rapidement le contact avec cette chose dure que je sentais maintenant parfaitement sur le haut de la fente de mes fesses…
Là c'était grave, car ce ridicule mouvement de 2 centimètres à peine révélait mes intentions cachées à cet homme qui n'était pas mon mari…
Sa réaction fut tout aussi révélatrice de ses intentions, et il répondit à mon petit coup de fesse par une poussée en avant de son bassin, ce qui fut dévastateur pour moi.
Comment en étais- je arrivée là?…et en même temps que sa main gauche remonta le long de mon ventre, passa sûr mon sein droit dont elle put constater la dureté du téton qui pointait, tendu comme une flèche, il me dit:
-" Hélèna tu es éblouissante de beauté, laisse-moi regarder ton visage".
…j'avais terriblement honte de moi…il fallait que j'arrête…
-"non…stop….euh"
Mais sa main qui avait continué passa dans mon cou, ajoutant un nouveau frisson…, et, du bout des doigts, me prit le menton pour m'inciter à basculer et à tourner ma tête en arrière l'appuyant sur son épaule lentement.
Alors que nos regard allaient se croiser, je fermai les yeux et me pinçait les lèvres pour m'empêcher d'émettre le moindre son qui lui révèlerai mon désir de continuer.
J'attendais ainsi, au creux de son épaule, complètement perdue, un baiser que secrètement je désirais depuis le premier jour où mon regard avait croisé ses yeux noirs et sa bouche aux lèvres que j'imaginais douces et chaudes…et voilà que cet instant si sensuel et magique comblait toutes mes espérances…Mais tandis que je sentais ses lèvres approcher et son haleine sucrée par le whisky, il s'arrêta, alors que nos lèvres étaient presque en contact, et son souffle court semblait simplement m'inviter à faire le reste du chemin que nous nous apprêtions à emprunter.
En quelque sorte (et tout à son honneur) il me laissait encore un instant le choix de rester ou non une femme fidèle, et j'appréciais ce geste…
Je restai ce qui m'apparut une éternité… une éternité pour un instant d'abandon…
Et c'était bien de ça dont il s'agissait : Allais-je m'abandonner à cette homme?…
Mon corps, complètement submergé du désir et du plaisir de l'instant s'était déjà livré à l'abandon (ma petite culotte pouvait en témoigner, elle était trempée comme pas une fois dans ma vie elle ne l'avait été), seul un soupçon de culpabilité me retenait encore un peu…
Doucement, je fis passer mon bras droit le long de son torse et glissai ma main derrière sa nuque…Délicatement mes lèvres s'entrouvrirent et glissèrent enfin à la rencontre des siennes et je découvris en un instant l'abandon, l'adultère, mais surtout l'osmose que ce baiser provoqua.
Nos langues et nos salives se mêlèrent avec une douceur et un rythme parfait…ni trop vite ni trop doucement, juste parfait…
Et le temps s'arrêta pour nous…je ne sais quel voyage mon esprit entreprit, mais il entraina pour moi un black-out de quelques minutes durant lesquels je fus complètement emplie de bonheur par ce merveilleux baiser infidèle…
Lorsque j'immergeai et que mon esprit repris du sens, l'excitation du corps n'avait pas disparus, au contraire elle était plus forte encore, et le feu intérieur réclamait son extinction à n'importe quel prix.
Dans un mouvement parfaitement coordonné, nos bouches se quittèrent et nos mains prirent le relais par de fines et précises caresses sur le visage le cou les cheveux, lui s'aventura même sur mes seins dont les pointes s'étaient tendues au maximum, et j'aima quand il les pinça légèrement…
Le tourbillon dans mon corps continua de plus belle lorsqu'il me retourna pour lui faire face, et qu'il se mit à genoux en m'embrassent tout le long de sa descente, s'attardant même dans le cou, sur la pointe de mes seins puis plus longtemps encore sur mon ventre pour finalement disparaitre sous ma robe qu'il avait habilement retroussé pendant sa descente.
Tant de liberté, et il allait découvrir dans quel état il m'avait mise…je ne pouvais le laisser faire…je posai immédiatement mes mains sur sa tête pour l'arrêter mais ses mains experte eurent raison de ma culotte qu'il fit glisser le long de mes jambes, et je ne pus empêcher ses mains de remonter le long de mes cuisses et d'entrer en contact avec les poils trempés de mon antre…le frisson qui accompagna cette première intimité m'encouragea, et au lieu de le retenir, mes mains le guidait et plaqua directement son visage au cœur de ma petite chatte trempé…
Très vite, sa langue chaude et large percuta mes lèvres et sa façon de s'en délecter me fit jouir et perdre une nouvelle fois le contrôle…
-"heuummm…heummmmm…ouuuiiiiii…oh Sammmir…c'est trooop bonnn….arrrrête"
Ses mains étaient maintenant remontées et caressaient mon ventre de femme enceinte et j'adorais ça…
Quand il décida de se relever je serrai machinalement les jambes comme pour retenir le jus que je sentais abondant comme jamais…il se releva et je ne pus m'empêcher de regarder ses lèvres luisante de mouille venir m'embrasser directement à pleine bouche comme s'il voulait m'en faire profiter…et voilà que j'acceptais avec plaisir ce que j'avais toujours refusé à Florent, un baiser mouillé…heumm quel nouveau délice…
Ce nouveau et fougueux baiser s'accompagna d'un plaquage de mon corps contre l'évier et je sentis de nouveau le niveau de son excitation…Je ne savais quoi faire…alors il pris l'initiative et prenant mes mains il les dirigea sur cette bosse qui déformait complètement son jeans serré.
Je le caressais un peu, mais très vite me rendit compte que je devais libérer la bête…
Je dégrafai 4 bouton et plongeai mes 2 mains à la découverte de ce que j'avais imaginé des tas de fois…La rencontre avec son sexe si doux, si dure et si long me fis le désirer d'avantage je voulais sentir cette chose au plus profond de moi, je voulais lui appartenir…S'en tarder, je guidai se monstre (mes 2 mains séparées n'arrivant pas à la base de son sexe) vers mon antre, plus que jamais ruisselant, en relevant ma jambe droite contre sa hanche gauche…
Je réalisai alors que son gland flirtait avec mon clitoris qu'il n'avait pas de préservatif…Je le stoppai aussitôt en glissant vers son oreille je chuchotai…
-"tu…tuu…ne..e..mets..pas…deeeuu…"Il chuchota également
-"De capote…?"
-"ouii de …capote…"
-"non….j'pensais pas que ça arriverait"
-"mais…on fait quoiii…"
-"A toi de voir, moi j'en peu plus d'avoir envie de toi…"
Alors qu'il me disait ça j'essayais de me persuader d'arrêter là…mais il m'embrassa de nouveau délicieusement, et pour toute réponse, je redirigeai sa longue queue vers l'entrée interdite, prête à m'offrir à lui et dès que je fis entrer le gland, il prit le relais…Et je senti la merveille des merveille tandis qu'il poussait en avant me pénétrant totalement (je ressentait chaque centimètre de sa pénétration avec toujours plus de bonheur)…puis arrivant au plus profond de mon être il s'arrêta un instant……
Et bang bang bang commença de petit mais ferme va et vient pour frapper le fond de mon vagin, ce qui m'acheva complètement, au point de lui dire…
-"heumm…va y ouuiiii…je suuiiis..à…toi"
Il accéléra aussitôt et me baisa comme je le méritais…une chienne qui se donnait à un autre…mais que j'ai aimé ça…et je le lui ai dit…
-"ooh…c'est troopp…booonn…continu…j'adore ça…heuumm"
-"ahrr…ahrrr…putain tu m'excites…depuis tellement longtemps…ahhrrr"
J'aimais sa violence contenu, et j'aurais aimé que ça dure éternellement mais j'ai senti dans son corps de violente contraction, signe d'un orgasme imminent…et je me suis dit alors que pour la première fois de ma vie j'allais recevoir le sperme d'un autre homme que le miens…A cette pensée, je pris le visage de Samir dans mes mains, le regarda, puis l'attira à moi pour l'embrasser à pleine bouche dans un baiser dont j'ai le secret (je savais qu'il n'y résisterait pas et j'avais terriblement envie de sentir jaillir son sperme en moi)…
-"aahhrrrr…aaahhrrrr…tient….aahhrrrr…"
Son râle fut accompagné de long jet de sperme qui claquait le fond de mon ventre et me fis jouir en même temps que lui d'une force que je n'osais espérer dans mes rêves les plus fou et lubrique…
-"ouiii…hummsss….oouuuiiiiiii…hhhuuuummmmmm"
Il se cabra tandis que ma tête plongea contre son torse…
Nous restâmes ainsi 1 ou 2 minutes d'abord pour le plaisir, mais aussi pour éviter le regard de l'autre après cet incroyable épisode instinctif et animal…
Comment pourrait-on seulement expliquer ce qui venait de ce passé…avec des mots ce n'était pas possible, alors autant ne rien dire…
Nous nous sommes rajusté, et il est parti sans dire un mot et ce fut très bien ainsi…
Mais sur le pas de la porte, il se retourna, me lança un regard chaud comme je les aime, il approcha son visage me donna un cour baiser, et parti…
Je refermai la porte et regarda directement l'heure qu'il pouvait être…19h35…mon dieu et si Florent était rentré plus tôt…c'est dingue j'avais complètement perdu la notion du temps…Rassuré de ne pas avoir été captée, je plongeai dans le canapé pour repenser à ces incroyable instants…et là, je passa directement une main sur ma petite minette pour sentir le sperme de Samir s'écouler d'elle au moment même où mon portable sonna…
-"allo?"
-"Ma chérie? Je suis en route, j'arrive dans 15 minutes"
-"oh c'est cool mon cœur…bisous"
-"bisous tout plein, ça me tarde de rentrer…tu sais………….."
Et tandis qu'il me racontait sa journée, je ne pus résister à l'envie de fouiller et de récupérer un maximum de sperme avec mon majeur, que je m’empressai de déguster dans un nouvelle élan de plaisir…Et lui de continuer
-"A tout de suite…"
-"Mumm…"
PS: Vous devez vous demander ce qui s'est passé le soir même et surtout le lendemain au bureau…non? Et vous avez raison car il s'en est passé des choses mais c'est une autre histoire…
INFIDELITE A SUIVRE…
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
pour aimer ce genre d’histoire il faut etre soit etre l’amant ou une salope …. il n’y a rien d’excitant a tromper son conjoint quand on est enceinte au risque de filer une merde au phoetus mais sauf erreur l’auteur a un pet au casque.
Benny Hill
Benny Hill
Un peu de courage et avouez tout …. Non ? Pourquoi ? Ah oui, vous aimez énormément votre mari au point de le cocufier allègrement et de manière enchantée… apprenez que tout ce sait et qu’un jour ou l’autre l’addition arrive … ou vous aurez comme certaine la chance d’avoir un mari qui fait de meme de son côté et vous diras un jour : ciao !
Sale pute.a mettre à la porte sans tambours ni trompettes.
Une superbe histoire très bien racontée, hummmm