L'invitée (partie 5), La troisième nuit (3/3), ou jeux interdits
Récit érotique écrit par Kamalstory_ [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'invitée (partie 5), La troisième nuit (3/3), ou jeux interdits
J'avale une nouvelle bouffée de fumée âcre tout en me retournant vers ma belle de nuit. Elle est en face de moi, ses pieds nus solidement campés dans l'herbe, un bras le long du corps et l'autre ramené autour de sa taille. Elle est vêtue d'une large robe de nuit violette qui la couvre des chevilles au cou mais laisse ses bras apparents en dessous des épaules et sa tête est toujours coiffée d'un foulard habilement accroché afin de ne laisser paraître aucune mèche en quête d'évasion. Dans l'obscurité nocturne j'ai du mal à distinguer son visage mais il me semble que le sourire qu'elle arbore a perdu en assurance comparé à tous ceux dont elle m'a gratifié dans le courant de la journée. Ainsi elle m'avait entendu me lever et s'est décidée à me rejoindre discrètement dans le dos de mon épouse, son amie. Même si nous nous sommes particulièrement chauffés je reste surpris qu'elle ait décidé de sauter le pas et de se risquer à me retrouver de nuit dans le jardin sans aucun témoin possible, étant donné que les grandes haies de Thuya bloque la vue à tout vis-à-vis un peu trop inquisiteur.
- Je ne savais pas que tu fumais Saoussen, lui-dis je, t'es pas supposée être une sportive ?
- Ca m'arrive de temps en temps pour faire tomber la pression quand je suis stressée.
- Ah bon tu es stressée en ce moment ?
Je lui pose la question tout en sortant une tige du paquet et en la lui tendant. Elle s'approche de moi à petit lentement, chaque pas révélant sous la clarté de la lune de juillet ses fines et délicates chevilles dont l'une est ornée d'un mince bracelet d'or. Elle tend sa main vers la mienne, attrape du bout des doigts la cigarette que je lui offre et me répond en reprenant son désormais familier sourire en coin.
- Stressée, non. Nerveuse, oui.
- Eh bien fume alors, lui réponds-je en tirant mon briquet de la poche de la gandoura.
Elle place la cigarette entre ses lèvres et se penche vers mes mains, je fais jouer la molette de l'instrument et une courte flamme prend vie en son extrémité. Elle écarte du dos de la main un pan de son voile qui tombe dangereusement vers l'incandescence et tire une première latte pour allumer le tabac. Elle relève la tête, entrouvre délicatement le velours rouge de ses lèvres et me souffle un nuage de fumée au visage avant de partir d'un discret rire en se reculant. Je souris en retour et lui demande d'un air faussement naïf :
- C'est quand même pas parce que Hanane dort et que tu es seule avec moi que tu es nerveuse j'espère ?
- Toi ? Me rendre nerveuse ? Non, c'est juste que je me suis un peu disputée avec Nabil ce soir, il est très jaloux et me savoir seule à l'étranger l'inquiète un peu.
Elle tire sur sa cigarette comme un pompier, elle avale puis recrache taffe après taffe sans prendre le temps de se poser entre deux bouffées, soit elle ne fume vraiment quasiment jamais, soit elle est effectivement stressée et ça se ressent sur son comportement.
- D'un côté je le comprends le pauvre, dis-je en me rapprochant d'elle, tu es une belle femme et il sait que tu risques d'attirer les hommes. Imagine que tu aies passé une partie de ta journée à te faire chauffer par un autre, lui qui est si loin il ne pourra rien faire pour protéger ta chasteté, tu te retrouverais seule à la merci d'un homme qui n'en voudrait qu'à ton corps plein de promesses.
Tout en parlant je réduis la distance jusqu'à me trouver à quelques centimètres d'elles, lui faisant face et baissant le regard pour ne pas détacher mes yeux de siens. Elle ne fait aucun mouvement de recul et se tient stoïque face à moi, poussant même la provocation à me souffler à nouveau la fumée de sa cigarette au visage. Puis elle me répond avec morgue :
- Oui mais je lui ai rappelé que je suis une femme sérieuse, pas du genre à se laisser entreprendre par un homme et à se faire caresser sous la table à manger.
- C'est sûr, et tu ne laisserais probablement pas un autre homme que lui poser tes mains sur toi j'imagine...
Tout en affirmant cette contre-vérité éclatante je pose délicatement mes deux mains de chaque côté de ses hanches, le doux tissu de sa robe glissant sous mes doigts sans dissimuler la fermeté de sa chair. Envolées mes belles résolutions des instants précédents, le mari repenti se disant qu'il était allé trop loin et qu'il devrait se contenir pour le bien de tous avait tiré sa révérence et était parti foncer contre le premier mur qu'il croiserait. Au moindre premier petit soupçon de tentation exercé par Saoussen mes engagements à conserver à ma fidélité sa droiture initiale avaient fondu comme neige au soleil et la rigidité était en train de rapidement quitter mes principes pour se loger dans mon sexe. La femme est tentatrice, la femme cause la perte de l'homme par l'étalage de ses charmes et son comportement permissif. J'ai toujours été dubitatif par rapport à cette manière de voir les choses, et même s'il se peut que sans la présence de Saoussen ce soir je ne me sois jamais laissé aller à glisser sur la pente savonneuse de l'infidélité je suis tout autant fautif qu'elle, si ce n'est plus. Certes elle joue à cet instant le rôle de l'aiguillon qui réveille mon désir, mais ce désir nous l'avons construit à deux tout au long des derniers jours, le faisant monter lentement et inexorablement vers ce qui ne peut qu'apparaître comme son issue inéluctable : mes mains sur ses hanches et mes yeux dans les siens.
- Parce que tu penses vraiment qu'il se permettrait de poser les mains sur mon corps ? Me demande-t-elle d'un air égrillard. Non, il me respecte bien trop pour cela. Moi et ma vertu nous lui imposons des limites à respecter. Il m'est arrivé de lui prendre la main quelques fois, discrètement, mais pas plus...
Je retire une main de sa hanche pour amener à ma bouche ma cigarette à moitié consumée et en tirer une longue bouffée que je vaporise ensuite doucement vers le ciel étoilé. Je la repose ensuite sur l'endroit qu'elle vient de quitter et attire par la même occasion la pharmacienne contre moi, nos deux bassins en contact, ma virilité dressée sous le tissu de ma gandoura imposant un contact vigoureux à son bas-ventre. Elle écarquille un peu les yeux en sentant la rigidité contre son corps mais ne perd pas de sa suffisance et ne se laisse pas détourner du rôle qu'elle s'est donné.
- Tu sais qu'une femme bien doit se préserver et ça passe par un comportement irréprochable, Nabil ne touchera pas mon corps avant la nuit de noces.
Putain qu'est-ce qu'elle me fait bander avec ses paroles de femme vertueuse superposées à son attitude lascive, son corps complètement écrasé sur le mien. Ma verge a encore dû gagner en taille sous l'effet de l'excitation, d'autant plus que Saoussen commence à opérer de petits mouvements de pression de son bassin contre le mien, stimulant de plus en plus mon membre tendu. Sa poitrine pressée contre moi elle lève sa tête voilée vers mon visage et je peux voir ses yeux briller de désir et d'excitation, elle continue à mouvoir son bassin et pousse un léger gémissement tout en se mordant sensuellement la lèvre inférieure. L'érotisme de la situation est à son pinacle pour moi, je me retrouve en pleine nuit en tenant contre moi une femme dont le corps me fait fantasmer depuis 3 jours, amie de mon épouse et voilée de surcroît. L'interdit attire l'être humain comme la terre attira la pomme de Newton, nous y sommes tous soumis même si certains le contiennent avec plus ou moins de succès. Pour ma part je suis clairement en train de rater le test de résistance, je n'ai plus aucune envie de ne pas succomber à la tentation du double tabou que représentent l'infidélité et le hijab de mon invitée.
- Et une fille bien comme toi, une bint familia, ne doit donc pas se laisser caresser les fesses par qui que ce soit j'imagine ?
Et joignant le geste à la parole je fais glisser mes mains de ses hanches vers son fessier et les laisse d'abord en caresser les reliefs rebondi du bout des doigts. Je laisse ces derniers se promener à leur gré le long de sa robe, les faisant se croiser et se chevaucher, les laissant glisser le long de son sillon avant de les faire remonter doucement contre les massives collines. Je la sens tressaillir sous mes caresses, elle laisse tomber sa cigarette à moitié consumée dans l'herbe et pose ses mains sur mes bras, les laissant courir le long de mes muscles et remonter vers les épaules.
- C'est sûr, continue-t-elle, tu imagines la honte que j'aurai en me comportant ainsi ? Je ne suis pas une khamja moi, j'ai été élevée avec de valeurs !
Ses supposées valeurs ne semblent pas l'étouffer lorsque mes doigts arrêtent leur danse légère sur ses fesses pour les empoigner à pleine main et les pétrir vigoureusement. Bien au contraire je l'entends commencer à haleter sous l'effet du traitement que je lui fais subir, elle se trémousse contre moi et commence à frotter de plus en plus fort son bas ventre sur le mien. Cette pression est accentuée par un mouvement similaire de mon côté, je fais monter et descendre mon bassin contre le sien et mon sexe gonflé passe et repasse contre sa vulve, uniquement séparé par les murs de tissu que forment nos vêtements. Mur de tissu que je m'enjoins à faire disparaître car tout malaxant les fesses de Saoussen je fais remonter du bout des doigts sa robe le long de ses jambes fines et musclées. Quand le vêtement est suffisamment remonté je pousse mon investigation en dessous de celui-ci et mes mains prennent possession de la douceur de sa peau. Elle pousse un léger cri de contentement en sentant mes paumes rencontrer ses cuisses et les étreindre longuement avant de commencer à se mouvoir tout leur long. L'une d'elle remonte vers sa culotte et se glisse en dessous pour palper ses fesses à même la peau et les flatter de sa poigne enhardie, tandis que l'autre descend jusque derrière son genoux, s'y attarde un peu avant de remonter contre la chair tendre de l'intérieur des cuisses. Saoussen commence à se contorsionner sous l'effet des caresses que je lui prodigue, elle me regarde et j'abaisse soudain mon visage pour emprisonner sa bouche dans le mienne et lui dévorer d'un baiser soudain. Elle reste d'abord interdite, comme stupéfaite de ce que je viens de faire. Que mes mains s'approprient son postérieur et qu'elles prennent possession de ses cuisses épanouies ne semble pas lui poser de problème, par contre elle a l'air interloquée par nos lèvres embrassées, par ma langue fouillant sa bouche à la rencontre de la sienne. Comme si le réel sacrilège n'était pas que je profite de son corps mais que je m'empare de ses baisers car ceux-ci seraient réservés à celui que son cœur aurait choisi et non pas à celui que son corps aurait conquis. Mais sa stupéfaction ne dure pas et je sens rapidement qu'elle répond avec entrain à mon invitation. Sa langue se mêlant à la mienne et sa salive se répandant dans ma bouche en même temps qu'une de ses mains se cale derrière ma nuque pour bloquer mon visage contre le siens. De son autre main elle visite les reliefs de mon torse et de mon ventre, que dans un sursaut d'orgueil je tends au maximum afin d'offrir à ses caresses des abdominaux fermes et saillants, il ne faudra pas qu'elle s'attarde trop sinon elle va se rendre compte que mon ventre va perdre de son maintien sur la durée. J'ôte ma bouche de la sienne tout en lui mordant la lèvre inférieure et en la tirant avant d'interrompre notre baiser.
- Heureusement que tu sais te tenir, reprends-je, parce que tu est tellement excitante que Nabil aurait du souci à se faire si tu n'avais pas une attitude irréprochable.
- Je sais, me répond-elle en plaquant sa main sur celle des miennes qui continue à lui triturer les fesses et en accompagnant mon mouvement, heureusement pour lui il est tombé sur une fille bien avec moi, il n'a pas de crainte à avoir.
De ma main qui palpe sa jambe je lui relève la cuisse et la positionne pour qu'elle entoure ma taille, puis je soulève légèrement son corps et, alors que sa seconde jambe rejoint la première, je positionne fermement mes mains sous chacune de ses fesses et la transporte jusqu'au mur du jardin à quelques mètres de là. Dans les films c'est un jeu d'enfant, dans la réalité, de nuit dans un jardin c'est tout de suite plus compliqué et je manque de peu de nous écraser tous les deux contre le sol lorsque je trébuche sur un arrosoir d'enfant en plastique vert pomme qui traîne entre deux mottes de terre. Je ravale un juron et Saoussen s'esclaffe un peu bruyamment avant de me dire d'une voix narquoise :
- Alors Kamal, ma3endekch qouwa oula wesh ? Za3ma radjel. Je pensais que tu étais plus fort que ça...
Les hommes sont basiques, même si l'on sait qu'il ne s'agit que d'ironie et d'une petite taquinerie provocante il nous est parfois difficile de résister à prouver notre valeur de mâle, surtout dans une situation aussi ouvertement érotique. Je me rétablis fermement sur mes jambes et accompli à grandes pas le reste du court trajet me séparant de la paroi. J'y plaque brutalement Saoussen en poussant un grognement rauque et néandertalien, je m'arrange toutefois pour ne pas lui éclater le crâne contre le béton, un peu de retenue reste nécessaire, on a évolué depuis l'époque de la guerre du feu et de la grotte de Lascaux. Je l'entends néanmoins expulser brusquement un peu d'air de ses poumons sous l'effet de la violence du choc. Je m'en inquiète un peu, interrompt les pressions alternées de mon sexe contre son pubis et m'apprête à lui demander si tout va bien quand elle lève sur moi un regard de pur désir exacerbé.
- Ce n'est pas en me brutalisant que tu auras quoi que ce soit tu sais, reprend-elle, tu ne me fais pas peur j'ai bien l'intention de me réserver pour Nabil.
Et elle fait descendre sa main entre nos deux corps imbriqués, s'empare de ma bite à travers le tissu de la gandoura et commence à y exercer une douce pression qui me prend totalement au dépourvu, elle est véritablement très investie dans son rôle de fausse ingénue et semble décidée à pousser ce petit jeu du « je dis une chose et je fais son contraire » jusqu'au bout. Sa caresse commence rapidement à se transformer en une lente masturbation de mon sexe bandé et je sens ses doigts qui se serrent et se desserrent sur ma queue au rythme des allers retours de son bras. Mes doigts se crispent sur son fessier et je colle à nouveau mon bas ventre au sien pour m'y frotter pesamment. Dans le même temps j'enfouis ma bouche dans le creux de son cou et commence à le flatter du bout de la langue. Je la sens tressaillir et vibrer à ce contact, la belle serait donc sensible de cette partie de son anatomie, très bien me dis-je en m'y engageant plus avant et en faisant succéder mes dents à ma langue. Je mords délicatement dans la tendre chair de sa gorge et je l'entends étouffer un petit cri de plaisir mêlé de surprise au moment où mes dents se referment sur elle. Mes mains, toujours en soutien de son fondement commencent, à en explorer les reliefs et un index plus aventureux que ses frères se déplace sous le tissu de la robe et se hasarde en direction de sa vulve, toujours protégée par la mince barrière qu'offre une culotte de coton. Du bout du doigt je peux alors me rendre compte que ladite culotte est littéralement inondée par la cyprine de Saoussen, je déplace alors l'ensemble de ma main au-dessus de son sexe et commence à le masser en opérant des cercles dessus avec la paume de ma main. On dirait que cet attouchement a l'effet escompté car, immédiatement je sens la main de Saoussen qui se resserre comme un étau autour de ma bite tendue à l'extrême. Pour excitante qu'elle soit cette situation devient très inconfortable car le poids de la femme abandonnée dans mes bras ne repose plus que sur une unique main qui la maintient par les fesses, l'autre étant occupée à lui donner du plaisir, et les mouvements que nous faisons compliquent encore la chose. Je tiens pour le moment mais je sais que viendra le moment où il faudra que l'on change de position. De ma bouche je glisse doucement du cou vers la poitrine érigée de Saoussen, je peux apercevoir à travers le tissu ses mamelons dressés par l'excitation, elle ne porte donc pas de soutien-gorge mais son orgueilleuse poitrine n'en a guère besoin pour défier Isaac Newton et ses lois. Sa robe est douce sous mes lèvres et je m'amuse à les promener sur toute la surface de ses seins, en prenant toutefois bien garde à ne pas toucher à ses tétons, je veux faire monter le plaisir avant de m'y attaquer. Depuis que mes mains et ma bouche ont commencé leur office sur son corps offert, Saoussen est de plus en plus expressive et si elle continue à prétendre m'être inaccessible, ses phrases sont de plus en plus souvent entrecoupées de gémissements et grognements en opposition avec ses paroles.
- Mmmmh... aaanh... Comme si une femme comme moi allait... ah... oui... allait se laisser toucher par le mari de son amie. Je ne suis pas ce genre de fille... mmmmmmh
- Quel genre de fille ? Lui demandé-je entre mouvements de bouche sur sa poitrine.
- Aannh... Le genre de fille qui fait ça... tu vois...
- Ah une Kahba tu veux dire, répliqué-je immédiatement avec l'ombre d'un sourire dans la voix
- Matahcheumch ? Me répond-elle du tac au tac. Comment tu parles ?
Sa voix semble véritablement offensée par le mot que je viens d'utiliser, comme si sa bonne morale avait été offensée. A croire que je n'ai pas une main sur son cul et l'autre occupée à caresser sa chatte trempée.
- Tu ne faisais pas autant de manière quand tu te touchais sur ton lit hier soir, dis-je alors. Je t'ai entendu parler de Kahba, de zob, de chikour, de nik. Et ça avait l'air de t'exciter à ce moment-là.
- Salaud, tu m'as espionnée... aaaah... mmmmh... hier soir pendant que j'étais dans ma chambre... oui... mmmmh
Tout en me parlant je sens la vitesse de sa main sur mon sexe qui s'accélère, ça a l'air de lui plaire de savoir que j'ai été témoin de ses émoi nocturnes de la veille. Je décide donc de jouer le jeu à fond.
- Ca m'a tellement fait bander de t'écouter te toucher en parlant comme ça que je me suis même branlé dans le couloir, derrière la porte, en imaginant tes mains entrer et sortir de ta chatte et pincer ton clitoris, avoue-je en accentuant la pression de ma main sur son entrejambe brûlante et en étant vulgaire à dessein.
- Aaaah... ouii... tu n'es qu'un sale pervers... ça t'excite d'espionner une bint familia comme moi... oooohh... tu devrais... avoir... honte... 3ib a3lek !
- On dirait que ça te plaît pourtant, tu sembles de plus en plus réactive, souris-je en réponse
En effet, sous l'effet de notre dialogue la masturbation de Saoussen se fait de plus en plus empressée, ce qui n'est pas sans douleur de mon côté étant donné que mon membre qu'elle tient empoigné frotte vigoureusement contre le tissu ce qui me cause par moment de légères sensations de brûlure. Au bout de quelques nouvelles minutes sous ce traitement, et pendant lesquelles ma position devient de plus en plus inconfortable, je me décide à reposer Saoussen au sol. A peine a-t'elle posé les pieds à terre que mes mains remontent sous sa robe et viennent chacune prendre possession d'un de ses seins. Ils sont à la fois chauds, fermes et tendres sous ma peau et je sens la raideur de ses tétons sous mes doigts empressés. Ils les massent, les roulent, les triturent, les tirent et Saoussen, les yeux fermés et la bouche ouverte exhale bruyamment son plaisir en petits cris rauques continus.
- Aaah.. Aaa.. Ann... Ca te plairait hein... que... aïe... que je sois une Kahba hein Kamal. Est-ce que tu penses que j'en suis une ?
Ses gémissements sont parfois alternés de petits cris de douleurs quand je lui tire un peu plus fort sur les mamelons ou que je lui en griffe la peau, beaucoup plus sensible en cet endroit, à la pointe de mes ongles pourtant coupés courts. Et j'aime ça, ça m'excite à un point inimaginable, je ne pense pas avoir un attrait particulier pour le SM ni la douleur pendant le sexe mais la savoir à ma merci, appréciant la dureté, toute relative, de mon traitement, mouillant sa culotte de l'excitation que je lui procure, prête à se laisser aller comme la dernière des salopes entre les bras du mari de sa meilleure ami, tout cela me donne l'envie de la maltraiter de la faire souffrir pour lui rappeler qu'elle se comporte comme une chienne de bas étage malgré les apparences respectables qu'elle se donne. Pardon ? Vous trouvez que mon rôle n'est pas glorieux non plus, que je trahis mon épouse et mes engagements envers elle ? Que si c'est une chienne, je suis bien plus un canidé qu'elle ne l'est ? Sans commentaire, reprenons. Cette envie d'humiliation prend tellement le pas sur ma réflexion que, sans réfléchir, dès qu'elle pousse un gémissement un peu trop audible ma main droite quitte sa poitrine et vient sanctionner le bruit intempestif d'une légère mais ferme claque sur la joue.
- Oooooh, fait-elle entre plaisir et vexation, qu'est-ce que tu fais Kamal ?
- Je fais que je pense que tu es bien une kahba, réponds-je mes yeux dans les siens, et j'ai pas envie que la kahba dont je m'occupe réveille ma femme ou les voisins avec ses cris de chienne, alors maintenant bal3i foumouk.
Ma main redescend vers son entrejambe et s'insère sous sa culotte, prend possession de son sexe et en tâte la moiteur avant de s'attarder sur le clitoris et commencer à jouer avec du bout des doigts. Elle a un léger mouvement de recul au moment où le frêle rempart de tissu se voit dépassé mais sous l'effet de l'excitation elle se laisse faire et ferme les yeux derechef.
- Mmmm... c'est bon... je suis peut-être une kahba ce soir mais toi tu es le premier à me toucher ici... ah oui, continue ce que tu fais.
Sa révélation ne m'excite que plus encore, que ce soit vrai ou faux je n'en ai aucune idée, mais dans mon esprit l'image qui s'impose n'est pas celle de la salope qui fait semblant d'être une sainte mais de la sainte qui s'est laissée pervertir, et si la différence factuelle n'est pas énorme, l'impact qu'elle a sur mon excitation est monumentale. J'ai réussi à rendre la pente suffisamment savonneuse pour faire glisser la chaste Saoussen de son piédestal et l'entraîner dans une débauche qu'elle s'interdit en temps normal. Qu'elle se soit laissée glisser volontairement ne m'effleure pas le cerveau, l'idée de la domination et de la manipulation exerçant un bien plus grand attrait dans mon cerveau.
- Eh bien si tu en es une tu vas te comporter comme tel, déclaré-je en me détachant d'elle.
Je fais monter ma gandoura jusqu'au niveau de mes hanches et la tenant d'une main pour qu'elle ne redescende pas j'utilise ma deuxième pour faire tomber mon caleçon à mes chevilles. Je me tiens alors face à Saoussen, debout, le sexe érigé qui pointe dans sa direction, laissant suinter une goutte perlée de liquide pré-séminal. Elle reste quelques secondes figée, le regard accroché à mon braquemart qui se balance doucement aux mouvements subtils de mon corps. Doucement je saisis sa main et la guide vers mon sexe. D'abord hésitante à le toucher elle ne fait que l'effleurer du bout des doigts et laisse ses ongles le caresser plusieurs fois, montant et descendant de la base au gland. Au bout d'une vingtaine de secondes elle s'enhardit et se décide à l'empoigner à pleine main pour en sentir la rigidité. Elle demeure encore un peu telle quelle, le poing immobile refermé sur ma bite que je sens palpiter au rythme des afflux de sang qui le gorgent.
- Il est gros, murmure-t-elle sans quitter sa main du regard.
Je me rengorge intérieurement, c'est toujours flatteur pour un homme de s'entendre dire qu'il est bien membré. Con, mais flatteur. De plus elle est sans doute dans l'erreur, si je n'ai pas à rougir de mes attributs génitaux je ne pense pas pour autant en être particulièrement mieux pourvu qu'un autre, et en tout cas je suis loin de ces mastodontes qu'on aperçoit dans les films. Néanmoins je n'ai jamais eu à m'en plaindre et ma queue et moi avons toujours pu compter l'un sur l'autre, et c'est bien là l'essentiel !
- Caresse le, lui dis-je en reposant sa main sur la mienne et en amorçant un mouvement de va et vient qu'elle reprend bien vite en totale autonomie.
Le mouvement de sa main glissant sur ma bite peu à peu lubrifiée par le liquide pré-séminal qu'elle emporte sur sa paume à chaque passage m'hypnotise quelque peu avant que je me remette à m'intéresser à son corps. Mes mains retrouvent rapidement la route de son sexe et je reprends mes caresses là où je les avait arrêtées. Nous nous retrouvons donc tous deux, en pleine nuit, dans la pénombre de mon jardin, à nous masturber mutuellement, moi à demi-vêtu d'une gandoura et elle toujours coiffée de son voile et drapée dans sa robe remontée au-dessus des fesses.
- Mmmmpfhh, tu fais ça bien Saoussen. Alors, ça te plaît de caresser ma grosse (allons-y de bon pied, puisqu'on y est autant en profiter) queue ?
- Ouiii, j'aime caresser ton zob et j'aime ce que tu me fais... continue Kamal, ça me fait tellement du bien. Zid ya Kamal, 3awoudha, ma tstopich.... Mmmm
- Putain quand je pense que tu faisais la sainte depuis tout ce temps alors qu'en fait tu es une crève la dalle, j'aurais dû en profiter plus tôt.
- Ma3lich, profite maintenaaaannt... aah.. Profiti, fais moi du bien, gémit-elle.
La cadence de sa main sur mon pénis accélère à mesure que mes caresses sur son bouton de plaisir se font plus rythmées. Du bout de l'index je titille à outrance son clitoris, le stimulant sans répit afin de faire monter son plaisir. De l'autre main je palpe ses fesses, les caresse, je fais glisser mes doigts négligemment le long de sa raie et me régale des frissons qui la parcourent à chaque fois que je frôle son anus. Etant donné que je viens de jouir avec Hanane je suis confiant en mes capacités d'endurance face au traitement auquel elle me soumet. Cependant plus le temps passe plus j'ai envie de sentir autre chose que ses doigts se poser sur ma bite. J'interromps donc mes caresses et pose doucement mes deux mains sur sa tête puis commence à appuyer dessus pour la forcer à se mettre à genoux devant moi. Elle se laisse faire et se retrouve bien vite à mi-hauteur, son visage faisant face à ma queue. Elle continue à me masturber au même rythme tout en inclinant légèrement sa tête, comme intriguée par le barreau qui se dresse à quelques centimètres de sa figure.
- Allez mange maintenant, lui intimé-je avec détermination, kouli zebi !
Doucement, presque avec timidité, tout en continuant à lustrer mon sexe de sa main, elle approche ses lèvres rouges de la bête et commence par délicatement déposer de furtifs baisers sur mon gland. Au bout de quelques-uns, comme en y prenant goût, je sens sa bouche qui s'attarde de plus en plus sur l'objet de ses désirs et sa langue commence à entrer en action, elle lèche à petit coups le bout de ma tige, un peu à la manière d'une chatte nettoyant son petit. Ses actions me font de l'effet et je commence à grogner sous le traitement qu'elle m'inflige. Je baisse les yeux vers elle et la vois reculer sa tête au même instant, un filet de bave mêlé de liquide séminal courant de sa bouche à mon gland brille sous la clarté de la lune. Elle lève les yeux vers moi et m'adresse un sourire de contentement avant de s'essuyer la bouche sur son poignet. La vision de Saoussen accroupie devant moi, souriant comme une salope heureuse de faire plaisir, les cheveux couverts d'un hijab supposé être marque, sinon garant, de chasteté, décuple mon excitation. J'ai envie de la prendre là, à même le sol, de la pénétrer et de lui donner la bite qu'elle semble réclamer depuis qu'elle est arrivée chez nous.
- Ca te plaît ? Me demande-t-elle de la voix de celle n'est pas sure du résultat et souhaite être rassuré.
Je décide de me laisser aller, au point où elle en est de toute façon elle a déjà franchi le point de non retour, je n'ai plus qu'à tenter ma chance pour voir jusqu'où elle veut aller et à quelle point elle aime être dirigée dans une relation sexuelle.
- Je ne t'ai pas demandé de me faire des bisous sur le gland, je veux que tu me suces la bite bien profondément, lui asséné-je en réponse.
Et joignant le geste à la parole je m'empare de sa tête entre mes deux mains et la dirige irrépressiblement vers l'endroit de toutes nos attentions. Son voile sous mes doigts je n'ai pas l'impression de forcer outre mesure pour qu'elle consente à faire entrer en contact l'intérieur de sa bouche et mon sexe turgescent, bien au contraire. Elle ouvre les mâchoires et je le vois disparaître sous le satin de ses lèvres sensuelles. Je sens ses mains se poser sur mes fesses afin de lui garantir un équilibre sans lequel elle eut vite fait de basculer d'un côté ou de l'autre au regard de sa position inconfortable. Sans lui laisser le temps de s'habituer à la sensation de mon sexe contre ses papilles je commence à effectuer de petits mouvements de bassin qui font le font coulisser d'avant en arrière. Bien mal m'en prend car au bout de deux ou trois allers-retours je sens distinctement le frottement de ses dents contre la muqueuse de mon gland, je me retire alors d'un coup de sa bouche. Elle me regarde d'un air étonné.
- Alors c'était vrai, c'est vraiment la première fois que tu suces Saoussen ? Lui demandé-je sans réellement attendre de réponse tant cela paraissait évident. Ne t'inquiète pas je vais t'apprendre à faire ça bien, tu vas devenir une superbe suceuse. Fais attention à ne pas me mordre quand tu me suces ok ?
Les dents qui rayent le casque, c'est la marque immédiate d'une novice en la matière. On dirait bien qu'effectivement la petite Saoussen avait toujours eu un comportement irréprochable jusqu'à présent, ou du moins qu'elle n'avait jamais tenté la fellation avant ce jour. Intérieurement je jubile, ce n'est donc pas une femme qui se donne une apparence prude pour des conventions sociales et qui en réalité a déjà goûté plus d'une fois au plaisir de la chair, mais bien une authentique ingénue qui avait tenu bon uniquement à coup d'imagination et de fantasmes jusqu'ici et qui finalement craque et se laisse aller à la luxure. En même temps tenir jusqu'à ses 30 ans en totale abstinence physique cela doit être dur à endurer et peser psychologiquement, pas étonnant qu'au bout d'un moment elle arrive à un point de rupture. Et heureusement ce point de rupture c'est moi. Grâce à mes petits jeux avec elle j'ai dû la mettre dans des conditions d'excitation suffisamment forte pour briser ses dernières digues laisser la crue tout emporter sur son passage.
- Oui Kamal, me répond-elle avant de se remettre à pomper goulûment sur mon membre.
Ce « oui Kamal » est douce musique à mes oreilles, il marque le fait qu'elle est disposée à continuer, disposée à s'améliorer, en bref disposée à apprendre comment devenir meilleure à ce petit jeu. Et comme le disais Shurik'n la perfection n'est approchable que par la répétition. Il faudra donc répéter, répéter et répéter pour que la formation soit efficace. Et l'élève à l'air plutôt douée, en tout cas elle s'applique à ne plus me créer la moindre douleur lors par notre contact bucco-génital. C'est plutôt une douce chaleur qui se répand sur mon sexe tandis qu'elle suit les mouvements de tête que lui impriment mes mains toujours posées à même son voile. Au bout de quelques temps je sens sa langue commencer à se mouvoir contre ma bite, s'y coller puis s'en écarter alternativement. Elle commence à pousser des grognements indistincts et je vois la bave sourdre d'entre ses lèvres déformées, elle doit commencer à avoir du mal à avaler sa salive, néanmoins tant qu'elle tient qu'elle ne compte pas sur moi pour me retirer de son antre. Et effectivement, à peine deux ou trois instants plus tard elle doit ôter mon sexe de sa bouche pour respirer à profondes inspirations bruyantes.
- Alors je fais ça bien finalement, me demande-t-elle narquoise avec l'air de la bonne élève qui a bien fait ses devoirs, tu penses que je ferais une bonne suceuse pour Nabil quand on sera mariés ?
Elle n'a pas pu ignorer mes gémissements quand sa bouche allait et venait sur mon sexe et elle se doute que j'ai apprécié le traitement, aussi ne se prive-t-elle pas d'en jouer. Tout en parlant elle se met, une fois qu'elle a repris son souffle, à câliner ma queue de ses deux mains, à jouer avec mes testicules pleins et à l'embrasser en divers endroit. Avant que je ne puisse m'étonner de sa dextérité à traiter ma bite avec les égards qui lui reviennent elle me devance en m'annonçant avec un sourire coquin :
- Tu sais je n'ai pas de pratique mais j'ai vu beaucoup de théorie, et dans tous les films que je regarde j'envie la femme qui joue avec le sexe de l'homme et fais monter son plaisir lentement. Maintenant que c'est mon tout je compte bien en profiter.
Et ni une ni deux elle reprend ma verge en bouche et se met à effectuer dessus un mouvement de succion qui me prend au dépourvu. Je vois ses deux joues se creuser alors qu'elle s'en sert pour comprimer ma bite en les resserrant autour d'elle. Ce coup là je ne l'avais pas vu venir, et je ne le connaissais d'ailleurs pas, on dirait qu'elle n'a pas exagéré quand elle parlait de l'intérêt qu'elle porte aux pipes dans les films, elle en a tiré un enseignement que j'apprécie à juste titre. La pression des parois de sa bouche contre mon sexe me fait connaître des plaisirs insoupçonnés, elle n'est peut-être pas expérimentée mais son ardeur et sa bonne volonté remplacent avantageusement son manque de pratique. De plus elle prend bien garde à ne plus laisser traîner ses dents sur ma chair et je me délecte de son traitement. Je sens ma queue pulser au fond de sa bouche tant son travail et la situation m'excitent. De son côté ce ne sont que grognements de satisfaction et respirations goulues par moment, quand elle se recule pour se réapprovisionner en air avant d'avaler à nouveau mon membre. Des bruits tellement primaux sortant des lèvres de cette si prude pharmacienne sont pour moi une réelle satisfaction, l'instinct animal semble avoir pris le pas sur son strict canevas de règles comportementales et de bienséance. Cependant au bout de quelques minutes je sens son enthousiasme à savourer mon sexe diminuer. Elle le retire de sa bouche et me dit d'un air plaintif :
- Kamal, j'ai affreusement mal aux genoux installée comme je le suis, on peut se mettre ailleurs s'il te plaît ?
La première pensée qui me vient est de lui répondre « Suce et ferme là ! », mais je me reprends rapidement, je ne suis pas dans un film X et c'est sa première expérience sexuelle, il serait donc à la fois inutile, méchant et contre-productif de la brusquer en lui parlant comme si elle était une adepte de domination et une habituée des jeux sexuels. Je la regarde à nouveau et je la trouve magnifique, à genoux devant moi, sa robe remontée sur les hanches recouvrant ses fines jambes dénudées qui se retrouvent au contact même des pavés inconfortable qui constituent le sol près du mur. Sous l'effet de mes mains son hijab s'est quelque peu défait et des mèches de cheveux bruns légèrement bouclés agrémentent à présent la peau bronzée de son front et de ses joues. J'essuie de ma main le léger filet de bave qui coule de l'encoignure de sa bouche, preuve de son avidité à se repaître de mes attributs masculins, et j'avise l'herbe du jardin qui nous environne.
- Viens par ici, lui dis-je en l'empoignant par le bras et l'entraînant à ma suite dans cette direction, et continue à me faire du bien.
Je m'allonge doucement dans l'herbe, le visage tourné vers la voûte céleste, et l'invite à m'y rejoindre. Je sens sous mes jambes l'âpreté des brins d'herbe desséchés et jaunis par le soleil de plomb de cet période estivale, ils me grattent légèrement mais c'est probablement sans commune mesure avec la rudesse des pavés que les tibias de Saoussen ont eu à supporter de longues minutes durant. La susnommée vient se placer au-dessus de moi, puis se mettant à quatre pattes recommence sa douce succion sur mon pénis toujours tendu. De ses mains elle caresse à présent mes cuisses et remonte par moment sur mes testicules qu'elle malaxe avec douceur. Elle ne s'est pas installée telle que je m'y attendais, c'est-à-dire la tête tournée vers la mienne et le corps au-dessus de mes jambes, mais bien au contraire elle s'est mise tête bêche avec moi et pendant qu'elle me prodigue cette fellation elle offre à mon regard avide et à mes mains intrusives ses splendides fesses encore ornées de sa culotte à moitié descendue. Etant donné qu'il n'y a aucune raison que je sois le seul à prendre du plaisir dans cette relation je m'empresse de lui faire glisser son sous-vêtement le long des cuisses, des mollets puis des chevilles et de le déposer à proximité de nous. Je peux alors admirer à la fois son fessier bombé et généreux et sa vulve légèrement poilue partiellement ouverte du fait de sa position. A la manière qu'elle a de faire bouger son derrière au moment où je la débarrasse de sa culotte j'ai l'impression de réellement voir une chienne exprimer son contentement. Ces petits mouvements pendulaires, la sensation de ses lèvres sur mon gland, la douceur de l'air nocturne, tout cela contribue à me faire entrer dans un état de quasi-transe, je garde les yeux fixés sur son sexe dénudé et offert, dégoulinant de cyprine sous l'effet de l'excitation et de mes attouchements précédents, qui se balance sans interruption. Mécaniquement mes mains remontent vers son bas ventre et tandis que l'une se met à la recherche de son clitoris pour l'agacer, l'autre tombe violemment sur sa fesse droite offerte, le claquement produit se fait entendre bruyamment et me sors de ma torpeur. Sous l'effet de la surprise et de la douleur Saoussen s'est arrêtée et a gémi mon nom :
- Kaaaamal.... Mmmmmmmh
La trace de mes doigts s'est imprimée en rouge sur sa peau brune, et elle a eu l'air d'apprécier le traitement, mais il faut que je prenne garde à ne pas faire trop de bruit, je ne tiens pas à réveiller Hanane ni à ce que les voisins entendent nos ébats. Je continue donc à faire tourner mon majeur contre son clitoris tandis que ma deuxième main entreprend un massage de ses lèvres extérieures. Elle grogne de plus en plus, ne lâchant pas pour autant ma queue dont la sensibilité qui augmente est un signe avant-coureur que je me rapproche de l'explosion. Elle n'hésite pas à joindre à sa bouche sa main sur mon vit et à me masturber à cadence soutenue, pour une débutante je trouve qu'elle envoie du lourd, nominée en catégorie espoir la Saoussen.
Cette peau dorée et appétissante se mouvant sensuellement à quelques centimètres de mon visage je ne peux résister à la tentation d'y porter la bouche. M'appuyant à demi sur mes coudes j'approche mes lèvres de l'arrière de son genou gauche et je les fais lentement glisser de plus en plus haut vers la jonction de ses jambes. Arrivé à l'endroit situé à l'intérieur des cuisses, à la limite du sexe, là où la peau est si douce, je n'hésite plus et y plante copieusement mes dents. Je sens Saoussen vibrer de plaisir sous mon assaut, la sensibilité de cet endroit n'est plus à prouver et je passe de longs instants à le lécher, le happer le mordiller tout en me délectant du goût de sa sueur et des tremblements de son plaisir. Puis, me rallongeant totalement j'attire à mon visage son corps et me retrouve la bouche pleine de ses sécrétions intimes, le nez écrasé par ses fesses et la langue fouillant sa chatte brûlante. Je me régale du nectar qui coule en abondance de sa chatte, son goût est à la fois âcre et musqué et m'enivre plus que n'importe que alcool n'eut pu le faire. A pleine bouche je dévore sa fleur intime, ma langue sautant et virevoltant sur ses chairs, mes lèvres aspirant les siennes, les pinçant puis les relâchant pour les recapturer à nouveau par la suite, le bruit spongieux et obscène de ma bouche aspirant goulûment sa mouille et m'en délectant. J'en veux davantage, je presse encore plus fort ma face contre son entrejambe et ma langue passe le barrage de ses lèvres pour l'insinuer à l'intérieur de son vagin, elle s'y enfonce comme un explorateur découvre une caverne aux merveilles. Elle est le Sneffels, mystérieuse et inviolée et je suis Lidenbrock, aventurier audacieux qui m'enfonce en ses entrailles. Tout le bas de mon visage est maculé par sa mouille odorante, ma barbe est poisseuse de sa chaude cyprine et j'adore cette sensation. Je me régale, je me goinfre, je me bâfre de son sexe et je prends plaisir à ses réactions. A chaque coup de langue, chaque mordillement, Saoussen se trémousse au-dessus de moi, bouge de plus en plus ses fesses comme si elle voulait accompagner de ses hanches les mouvements de ma langue. J'entends ses grognements se faire de plus en plus forts à mesure que ma langue se fait insistante à l'intérieure d'elle-même. Elle tente parfois de parler mais ma bite dans sa bouche lui fait le même effet qu'un bâillon, cependant ses onomatopées déconstruites ne laissent aucun doute sur le plaisir que suscitent en elle mes caresse buccales.
- Mnnngh... aaahh.... Kagnal... aaam... ziiiid... Aaaaannhhh.... Bniiiiinghhhhh.....
J'entends son souffle s'accélérer au même rythme que les mouvements de son corps, sous l'effet de l'effort la peau de ses jambes, que je tiens à pleines mains, s'est couverte de sueur et elle s'agite de plus en plus frénétiquement sur mon visage. Dans le même temps sa bouche montant et descendant sur mon sexe se fait plus pressante, le mouvement masturbatoire de sa main plus rapide et je sens monter en moi l'explosion imminente. Elle s'acharne sur ma bite, de la bouche et de la main depuis un bon quart d'heure et je sens que mon endurance ne va pas tarder à arriver à son terme. Mon gland se fait de plus en plus sensible, le rouge de sa langue chaude qui passe et repasse dessus ne va pas tarder à se trouver recouverte par la blancheur de mon sperme, alors je me décide à sortir ma langue et ma bouche de l'intérieur de sa chatte pour les déposer sur son clitoris. Sous le contact inattendu elle se cabre de plaisir et gémit encore plus fort, tant qu'elle ne crie pas ça me va. Du bout des dents je cale le petit bouton puis je fais aller et venir frénétiquement ma langue dessus, le frottement continu et cette sensation inconnue aboutissent à l'effet désiré, Saoussen halète de plus en plus fort et ses cuisses se resserrent autour de mes joues, au vu de la pression qu'elle exerce sur mon pauvre visage je n'ai aucun doute sur le fait qu'elle soit une sportive accomplie. Elle est comme prise de spasmes répétitifs et je n'entends plus émaner de sa bouche remplie par mon sexe un grognement indistinct et discontinu.
- Mmmngghgrraaaa....aaamammaaama​ma.... mmmmmmmhngh...
La jouissance nous prends en même temps, comme dans les films américains où les acteurs font l'amour tout habillés, perfect timing comme on dit là-bas. Tandis que les muscles de ses jambes et de ses fesses se tendent et se détendent par soubresaut au-dessus de mon corps, je sens ma semence monter de plus en plus rapidement avant d'être éjectée à grands jets dans sa bouche accueillante. J'ai déjà joui une fois dans la soirée et pourtant j'ai l'impression de lâcher autant de sperme que si je n'avais rien fait depuis 15 jours. Sa bouche se remplit peu à peu de ma sève et au bout du cinquième ou sixième jet je sens mon éjaculation se calmer et mon gland devenir de plus en plus sensible au contact de sa langue. De son côté elle s'est agitée dans tous les sens sous les caresses de ma langue avant de se raidir totalement et de se plaquer entièrement contre moi. Juste au moment où je finis de remplir sa bouche de ma liqueur je la sens se relâcher et se laisser aller mollement contre mon corps.
Nous restons immobiles ainsi durant quelques instants puis elle se glisse sur le côté et s'allonge dans l'herbe en position fœtale, sans mot dire et sans un regard pour moi. Me redressant à demi je pose la question fatidique pour tout homme orgueilleux qui vient de partager son intimité avec une femme.
- Ca va Saoussen, ça t'a plu ?
Elle ne me répond pas et reste prostrée sur le sol sans réaction. La situation commence un peu à m'inquiéter et je me relève tout de go, tout en réajustant ma gandoura autour de moi.
- Saoussen, lui demandé-je à nouveau, tu te sens bien ?
Dans ma tête c'est un feu d'artifice, d'un côté je me dis que je l'ai tellement fait jouir qu'elle n'arrive plus à bouger, donc grooooooosse satisfaction personnelle au niveau de l'égo et de la virilité, mais parallèlement je me dis que je l'ai tellement fait jouir qu'elle n'arrive plus à bouger et que je suis dans la merde, je ne peux pas la laisser comme ça trop longtemps. Heureusement pour sa santé et malheureusement pour mon estime de moi-même c'est à ce moment qu'elle roule sur le côté et s'assois en m'adressant un sourire orné de sperme dégoulinant de l'encoignure de ses lèvres. Elle me regarde quelques secondes puis je la vois clairement déglutir et avaler tout mon liquide dans sa bouche avant de s'adresser à moi d'une voix éraillée.
- Ca va bien Kamal, j'étais juste en train de savourer l'instant. C'était teeeellement booon, je ne connaissais pas ces sensation. Mais je suis très fatiguée là...
A ce moment la lumière du couloir s'allume dans la maison et Saoussen me regarde d'un air affolé.
- Je ne savais pas que tu fumais Saoussen, lui-dis je, t'es pas supposée être une sportive ?
- Ca m'arrive de temps en temps pour faire tomber la pression quand je suis stressée.
- Ah bon tu es stressée en ce moment ?
Je lui pose la question tout en sortant une tige du paquet et en la lui tendant. Elle s'approche de moi à petit lentement, chaque pas révélant sous la clarté de la lune de juillet ses fines et délicates chevilles dont l'une est ornée d'un mince bracelet d'or. Elle tend sa main vers la mienne, attrape du bout des doigts la cigarette que je lui offre et me répond en reprenant son désormais familier sourire en coin.
- Stressée, non. Nerveuse, oui.
- Eh bien fume alors, lui réponds-je en tirant mon briquet de la poche de la gandoura.
Elle place la cigarette entre ses lèvres et se penche vers mes mains, je fais jouer la molette de l'instrument et une courte flamme prend vie en son extrémité. Elle écarte du dos de la main un pan de son voile qui tombe dangereusement vers l'incandescence et tire une première latte pour allumer le tabac. Elle relève la tête, entrouvre délicatement le velours rouge de ses lèvres et me souffle un nuage de fumée au visage avant de partir d'un discret rire en se reculant. Je souris en retour et lui demande d'un air faussement naïf :
- C'est quand même pas parce que Hanane dort et que tu es seule avec moi que tu es nerveuse j'espère ?
- Toi ? Me rendre nerveuse ? Non, c'est juste que je me suis un peu disputée avec Nabil ce soir, il est très jaloux et me savoir seule à l'étranger l'inquiète un peu.
Elle tire sur sa cigarette comme un pompier, elle avale puis recrache taffe après taffe sans prendre le temps de se poser entre deux bouffées, soit elle ne fume vraiment quasiment jamais, soit elle est effectivement stressée et ça se ressent sur son comportement.
- D'un côté je le comprends le pauvre, dis-je en me rapprochant d'elle, tu es une belle femme et il sait que tu risques d'attirer les hommes. Imagine que tu aies passé une partie de ta journée à te faire chauffer par un autre, lui qui est si loin il ne pourra rien faire pour protéger ta chasteté, tu te retrouverais seule à la merci d'un homme qui n'en voudrait qu'à ton corps plein de promesses.
Tout en parlant je réduis la distance jusqu'à me trouver à quelques centimètres d'elles, lui faisant face et baissant le regard pour ne pas détacher mes yeux de siens. Elle ne fait aucun mouvement de recul et se tient stoïque face à moi, poussant même la provocation à me souffler à nouveau la fumée de sa cigarette au visage. Puis elle me répond avec morgue :
- Oui mais je lui ai rappelé que je suis une femme sérieuse, pas du genre à se laisser entreprendre par un homme et à se faire caresser sous la table à manger.
- C'est sûr, et tu ne laisserais probablement pas un autre homme que lui poser tes mains sur toi j'imagine...
Tout en affirmant cette contre-vérité éclatante je pose délicatement mes deux mains de chaque côté de ses hanches, le doux tissu de sa robe glissant sous mes doigts sans dissimuler la fermeté de sa chair. Envolées mes belles résolutions des instants précédents, le mari repenti se disant qu'il était allé trop loin et qu'il devrait se contenir pour le bien de tous avait tiré sa révérence et était parti foncer contre le premier mur qu'il croiserait. Au moindre premier petit soupçon de tentation exercé par Saoussen mes engagements à conserver à ma fidélité sa droiture initiale avaient fondu comme neige au soleil et la rigidité était en train de rapidement quitter mes principes pour se loger dans mon sexe. La femme est tentatrice, la femme cause la perte de l'homme par l'étalage de ses charmes et son comportement permissif. J'ai toujours été dubitatif par rapport à cette manière de voir les choses, et même s'il se peut que sans la présence de Saoussen ce soir je ne me sois jamais laissé aller à glisser sur la pente savonneuse de l'infidélité je suis tout autant fautif qu'elle, si ce n'est plus. Certes elle joue à cet instant le rôle de l'aiguillon qui réveille mon désir, mais ce désir nous l'avons construit à deux tout au long des derniers jours, le faisant monter lentement et inexorablement vers ce qui ne peut qu'apparaître comme son issue inéluctable : mes mains sur ses hanches et mes yeux dans les siens.
- Parce que tu penses vraiment qu'il se permettrait de poser les mains sur mon corps ? Me demande-t-elle d'un air égrillard. Non, il me respecte bien trop pour cela. Moi et ma vertu nous lui imposons des limites à respecter. Il m'est arrivé de lui prendre la main quelques fois, discrètement, mais pas plus...
Je retire une main de sa hanche pour amener à ma bouche ma cigarette à moitié consumée et en tirer une longue bouffée que je vaporise ensuite doucement vers le ciel étoilé. Je la repose ensuite sur l'endroit qu'elle vient de quitter et attire par la même occasion la pharmacienne contre moi, nos deux bassins en contact, ma virilité dressée sous le tissu de ma gandoura imposant un contact vigoureux à son bas-ventre. Elle écarquille un peu les yeux en sentant la rigidité contre son corps mais ne perd pas de sa suffisance et ne se laisse pas détourner du rôle qu'elle s'est donné.
- Tu sais qu'une femme bien doit se préserver et ça passe par un comportement irréprochable, Nabil ne touchera pas mon corps avant la nuit de noces.
Putain qu'est-ce qu'elle me fait bander avec ses paroles de femme vertueuse superposées à son attitude lascive, son corps complètement écrasé sur le mien. Ma verge a encore dû gagner en taille sous l'effet de l'excitation, d'autant plus que Saoussen commence à opérer de petits mouvements de pression de son bassin contre le mien, stimulant de plus en plus mon membre tendu. Sa poitrine pressée contre moi elle lève sa tête voilée vers mon visage et je peux voir ses yeux briller de désir et d'excitation, elle continue à mouvoir son bassin et pousse un léger gémissement tout en se mordant sensuellement la lèvre inférieure. L'érotisme de la situation est à son pinacle pour moi, je me retrouve en pleine nuit en tenant contre moi une femme dont le corps me fait fantasmer depuis 3 jours, amie de mon épouse et voilée de surcroît. L'interdit attire l'être humain comme la terre attira la pomme de Newton, nous y sommes tous soumis même si certains le contiennent avec plus ou moins de succès. Pour ma part je suis clairement en train de rater le test de résistance, je n'ai plus aucune envie de ne pas succomber à la tentation du double tabou que représentent l'infidélité et le hijab de mon invitée.
- Et une fille bien comme toi, une bint familia, ne doit donc pas se laisser caresser les fesses par qui que ce soit j'imagine ?
Et joignant le geste à la parole je fais glisser mes mains de ses hanches vers son fessier et les laisse d'abord en caresser les reliefs rebondi du bout des doigts. Je laisse ces derniers se promener à leur gré le long de sa robe, les faisant se croiser et se chevaucher, les laissant glisser le long de son sillon avant de les faire remonter doucement contre les massives collines. Je la sens tressaillir sous mes caresses, elle laisse tomber sa cigarette à moitié consumée dans l'herbe et pose ses mains sur mes bras, les laissant courir le long de mes muscles et remonter vers les épaules.
- C'est sûr, continue-t-elle, tu imagines la honte que j'aurai en me comportant ainsi ? Je ne suis pas une khamja moi, j'ai été élevée avec de valeurs !
Ses supposées valeurs ne semblent pas l'étouffer lorsque mes doigts arrêtent leur danse légère sur ses fesses pour les empoigner à pleine main et les pétrir vigoureusement. Bien au contraire je l'entends commencer à haleter sous l'effet du traitement que je lui fais subir, elle se trémousse contre moi et commence à frotter de plus en plus fort son bas ventre sur le mien. Cette pression est accentuée par un mouvement similaire de mon côté, je fais monter et descendre mon bassin contre le sien et mon sexe gonflé passe et repasse contre sa vulve, uniquement séparé par les murs de tissu que forment nos vêtements. Mur de tissu que je m'enjoins à faire disparaître car tout malaxant les fesses de Saoussen je fais remonter du bout des doigts sa robe le long de ses jambes fines et musclées. Quand le vêtement est suffisamment remonté je pousse mon investigation en dessous de celui-ci et mes mains prennent possession de la douceur de sa peau. Elle pousse un léger cri de contentement en sentant mes paumes rencontrer ses cuisses et les étreindre longuement avant de commencer à se mouvoir tout leur long. L'une d'elle remonte vers sa culotte et se glisse en dessous pour palper ses fesses à même la peau et les flatter de sa poigne enhardie, tandis que l'autre descend jusque derrière son genoux, s'y attarde un peu avant de remonter contre la chair tendre de l'intérieur des cuisses. Saoussen commence à se contorsionner sous l'effet des caresses que je lui prodigue, elle me regarde et j'abaisse soudain mon visage pour emprisonner sa bouche dans le mienne et lui dévorer d'un baiser soudain. Elle reste d'abord interdite, comme stupéfaite de ce que je viens de faire. Que mes mains s'approprient son postérieur et qu'elles prennent possession de ses cuisses épanouies ne semble pas lui poser de problème, par contre elle a l'air interloquée par nos lèvres embrassées, par ma langue fouillant sa bouche à la rencontre de la sienne. Comme si le réel sacrilège n'était pas que je profite de son corps mais que je m'empare de ses baisers car ceux-ci seraient réservés à celui que son cœur aurait choisi et non pas à celui que son corps aurait conquis. Mais sa stupéfaction ne dure pas et je sens rapidement qu'elle répond avec entrain à mon invitation. Sa langue se mêlant à la mienne et sa salive se répandant dans ma bouche en même temps qu'une de ses mains se cale derrière ma nuque pour bloquer mon visage contre le siens. De son autre main elle visite les reliefs de mon torse et de mon ventre, que dans un sursaut d'orgueil je tends au maximum afin d'offrir à ses caresses des abdominaux fermes et saillants, il ne faudra pas qu'elle s'attarde trop sinon elle va se rendre compte que mon ventre va perdre de son maintien sur la durée. J'ôte ma bouche de la sienne tout en lui mordant la lèvre inférieure et en la tirant avant d'interrompre notre baiser.
- Heureusement que tu sais te tenir, reprends-je, parce que tu est tellement excitante que Nabil aurait du souci à se faire si tu n'avais pas une attitude irréprochable.
- Je sais, me répond-elle en plaquant sa main sur celle des miennes qui continue à lui triturer les fesses et en accompagnant mon mouvement, heureusement pour lui il est tombé sur une fille bien avec moi, il n'a pas de crainte à avoir.
De ma main qui palpe sa jambe je lui relève la cuisse et la positionne pour qu'elle entoure ma taille, puis je soulève légèrement son corps et, alors que sa seconde jambe rejoint la première, je positionne fermement mes mains sous chacune de ses fesses et la transporte jusqu'au mur du jardin à quelques mètres de là. Dans les films c'est un jeu d'enfant, dans la réalité, de nuit dans un jardin c'est tout de suite plus compliqué et je manque de peu de nous écraser tous les deux contre le sol lorsque je trébuche sur un arrosoir d'enfant en plastique vert pomme qui traîne entre deux mottes de terre. Je ravale un juron et Saoussen s'esclaffe un peu bruyamment avant de me dire d'une voix narquoise :
- Alors Kamal, ma3endekch qouwa oula wesh ? Za3ma radjel. Je pensais que tu étais plus fort que ça...
Les hommes sont basiques, même si l'on sait qu'il ne s'agit que d'ironie et d'une petite taquinerie provocante il nous est parfois difficile de résister à prouver notre valeur de mâle, surtout dans une situation aussi ouvertement érotique. Je me rétablis fermement sur mes jambes et accompli à grandes pas le reste du court trajet me séparant de la paroi. J'y plaque brutalement Saoussen en poussant un grognement rauque et néandertalien, je m'arrange toutefois pour ne pas lui éclater le crâne contre le béton, un peu de retenue reste nécessaire, on a évolué depuis l'époque de la guerre du feu et de la grotte de Lascaux. Je l'entends néanmoins expulser brusquement un peu d'air de ses poumons sous l'effet de la violence du choc. Je m'en inquiète un peu, interrompt les pressions alternées de mon sexe contre son pubis et m'apprête à lui demander si tout va bien quand elle lève sur moi un regard de pur désir exacerbé.
- Ce n'est pas en me brutalisant que tu auras quoi que ce soit tu sais, reprend-elle, tu ne me fais pas peur j'ai bien l'intention de me réserver pour Nabil.
Et elle fait descendre sa main entre nos deux corps imbriqués, s'empare de ma bite à travers le tissu de la gandoura et commence à y exercer une douce pression qui me prend totalement au dépourvu, elle est véritablement très investie dans son rôle de fausse ingénue et semble décidée à pousser ce petit jeu du « je dis une chose et je fais son contraire » jusqu'au bout. Sa caresse commence rapidement à se transformer en une lente masturbation de mon sexe bandé et je sens ses doigts qui se serrent et se desserrent sur ma queue au rythme des allers retours de son bras. Mes doigts se crispent sur son fessier et je colle à nouveau mon bas ventre au sien pour m'y frotter pesamment. Dans le même temps j'enfouis ma bouche dans le creux de son cou et commence à le flatter du bout de la langue. Je la sens tressaillir et vibrer à ce contact, la belle serait donc sensible de cette partie de son anatomie, très bien me dis-je en m'y engageant plus avant et en faisant succéder mes dents à ma langue. Je mords délicatement dans la tendre chair de sa gorge et je l'entends étouffer un petit cri de plaisir mêlé de surprise au moment où mes dents se referment sur elle. Mes mains, toujours en soutien de son fondement commencent, à en explorer les reliefs et un index plus aventureux que ses frères se déplace sous le tissu de la robe et se hasarde en direction de sa vulve, toujours protégée par la mince barrière qu'offre une culotte de coton. Du bout du doigt je peux alors me rendre compte que ladite culotte est littéralement inondée par la cyprine de Saoussen, je déplace alors l'ensemble de ma main au-dessus de son sexe et commence à le masser en opérant des cercles dessus avec la paume de ma main. On dirait que cet attouchement a l'effet escompté car, immédiatement je sens la main de Saoussen qui se resserre comme un étau autour de ma bite tendue à l'extrême. Pour excitante qu'elle soit cette situation devient très inconfortable car le poids de la femme abandonnée dans mes bras ne repose plus que sur une unique main qui la maintient par les fesses, l'autre étant occupée à lui donner du plaisir, et les mouvements que nous faisons compliquent encore la chose. Je tiens pour le moment mais je sais que viendra le moment où il faudra que l'on change de position. De ma bouche je glisse doucement du cou vers la poitrine érigée de Saoussen, je peux apercevoir à travers le tissu ses mamelons dressés par l'excitation, elle ne porte donc pas de soutien-gorge mais son orgueilleuse poitrine n'en a guère besoin pour défier Isaac Newton et ses lois. Sa robe est douce sous mes lèvres et je m'amuse à les promener sur toute la surface de ses seins, en prenant toutefois bien garde à ne pas toucher à ses tétons, je veux faire monter le plaisir avant de m'y attaquer. Depuis que mes mains et ma bouche ont commencé leur office sur son corps offert, Saoussen est de plus en plus expressive et si elle continue à prétendre m'être inaccessible, ses phrases sont de plus en plus souvent entrecoupées de gémissements et grognements en opposition avec ses paroles.
- Mmmmh... aaanh... Comme si une femme comme moi allait... ah... oui... allait se laisser toucher par le mari de son amie. Je ne suis pas ce genre de fille... mmmmmmh
- Quel genre de fille ? Lui demandé-je entre mouvements de bouche sur sa poitrine.
- Aannh... Le genre de fille qui fait ça... tu vois...
- Ah une Kahba tu veux dire, répliqué-je immédiatement avec l'ombre d'un sourire dans la voix
- Matahcheumch ? Me répond-elle du tac au tac. Comment tu parles ?
Sa voix semble véritablement offensée par le mot que je viens d'utiliser, comme si sa bonne morale avait été offensée. A croire que je n'ai pas une main sur son cul et l'autre occupée à caresser sa chatte trempée.
- Tu ne faisais pas autant de manière quand tu te touchais sur ton lit hier soir, dis-je alors. Je t'ai entendu parler de Kahba, de zob, de chikour, de nik. Et ça avait l'air de t'exciter à ce moment-là.
- Salaud, tu m'as espionnée... aaaah... mmmmh... hier soir pendant que j'étais dans ma chambre... oui... mmmmh
Tout en me parlant je sens la vitesse de sa main sur mon sexe qui s'accélère, ça a l'air de lui plaire de savoir que j'ai été témoin de ses émoi nocturnes de la veille. Je décide donc de jouer le jeu à fond.
- Ca m'a tellement fait bander de t'écouter te toucher en parlant comme ça que je me suis même branlé dans le couloir, derrière la porte, en imaginant tes mains entrer et sortir de ta chatte et pincer ton clitoris, avoue-je en accentuant la pression de ma main sur son entrejambe brûlante et en étant vulgaire à dessein.
- Aaaah... ouii... tu n'es qu'un sale pervers... ça t'excite d'espionner une bint familia comme moi... oooohh... tu devrais... avoir... honte... 3ib a3lek !
- On dirait que ça te plaît pourtant, tu sembles de plus en plus réactive, souris-je en réponse
En effet, sous l'effet de notre dialogue la masturbation de Saoussen se fait de plus en plus empressée, ce qui n'est pas sans douleur de mon côté étant donné que mon membre qu'elle tient empoigné frotte vigoureusement contre le tissu ce qui me cause par moment de légères sensations de brûlure. Au bout de quelques nouvelles minutes sous ce traitement, et pendant lesquelles ma position devient de plus en plus inconfortable, je me décide à reposer Saoussen au sol. A peine a-t'elle posé les pieds à terre que mes mains remontent sous sa robe et viennent chacune prendre possession d'un de ses seins. Ils sont à la fois chauds, fermes et tendres sous ma peau et je sens la raideur de ses tétons sous mes doigts empressés. Ils les massent, les roulent, les triturent, les tirent et Saoussen, les yeux fermés et la bouche ouverte exhale bruyamment son plaisir en petits cris rauques continus.
- Aaah.. Aaa.. Ann... Ca te plairait hein... que... aïe... que je sois une Kahba hein Kamal. Est-ce que tu penses que j'en suis une ?
Ses gémissements sont parfois alternés de petits cris de douleurs quand je lui tire un peu plus fort sur les mamelons ou que je lui en griffe la peau, beaucoup plus sensible en cet endroit, à la pointe de mes ongles pourtant coupés courts. Et j'aime ça, ça m'excite à un point inimaginable, je ne pense pas avoir un attrait particulier pour le SM ni la douleur pendant le sexe mais la savoir à ma merci, appréciant la dureté, toute relative, de mon traitement, mouillant sa culotte de l'excitation que je lui procure, prête à se laisser aller comme la dernière des salopes entre les bras du mari de sa meilleure ami, tout cela me donne l'envie de la maltraiter de la faire souffrir pour lui rappeler qu'elle se comporte comme une chienne de bas étage malgré les apparences respectables qu'elle se donne. Pardon ? Vous trouvez que mon rôle n'est pas glorieux non plus, que je trahis mon épouse et mes engagements envers elle ? Que si c'est une chienne, je suis bien plus un canidé qu'elle ne l'est ? Sans commentaire, reprenons. Cette envie d'humiliation prend tellement le pas sur ma réflexion que, sans réfléchir, dès qu'elle pousse un gémissement un peu trop audible ma main droite quitte sa poitrine et vient sanctionner le bruit intempestif d'une légère mais ferme claque sur la joue.
- Oooooh, fait-elle entre plaisir et vexation, qu'est-ce que tu fais Kamal ?
- Je fais que je pense que tu es bien une kahba, réponds-je mes yeux dans les siens, et j'ai pas envie que la kahba dont je m'occupe réveille ma femme ou les voisins avec ses cris de chienne, alors maintenant bal3i foumouk.
Ma main redescend vers son entrejambe et s'insère sous sa culotte, prend possession de son sexe et en tâte la moiteur avant de s'attarder sur le clitoris et commencer à jouer avec du bout des doigts. Elle a un léger mouvement de recul au moment où le frêle rempart de tissu se voit dépassé mais sous l'effet de l'excitation elle se laisse faire et ferme les yeux derechef.
- Mmmm... c'est bon... je suis peut-être une kahba ce soir mais toi tu es le premier à me toucher ici... ah oui, continue ce que tu fais.
Sa révélation ne m'excite que plus encore, que ce soit vrai ou faux je n'en ai aucune idée, mais dans mon esprit l'image qui s'impose n'est pas celle de la salope qui fait semblant d'être une sainte mais de la sainte qui s'est laissée pervertir, et si la différence factuelle n'est pas énorme, l'impact qu'elle a sur mon excitation est monumentale. J'ai réussi à rendre la pente suffisamment savonneuse pour faire glisser la chaste Saoussen de son piédestal et l'entraîner dans une débauche qu'elle s'interdit en temps normal. Qu'elle se soit laissée glisser volontairement ne m'effleure pas le cerveau, l'idée de la domination et de la manipulation exerçant un bien plus grand attrait dans mon cerveau.
- Eh bien si tu en es une tu vas te comporter comme tel, déclaré-je en me détachant d'elle.
Je fais monter ma gandoura jusqu'au niveau de mes hanches et la tenant d'une main pour qu'elle ne redescende pas j'utilise ma deuxième pour faire tomber mon caleçon à mes chevilles. Je me tiens alors face à Saoussen, debout, le sexe érigé qui pointe dans sa direction, laissant suinter une goutte perlée de liquide pré-séminal. Elle reste quelques secondes figée, le regard accroché à mon braquemart qui se balance doucement aux mouvements subtils de mon corps. Doucement je saisis sa main et la guide vers mon sexe. D'abord hésitante à le toucher elle ne fait que l'effleurer du bout des doigts et laisse ses ongles le caresser plusieurs fois, montant et descendant de la base au gland. Au bout d'une vingtaine de secondes elle s'enhardit et se décide à l'empoigner à pleine main pour en sentir la rigidité. Elle demeure encore un peu telle quelle, le poing immobile refermé sur ma bite que je sens palpiter au rythme des afflux de sang qui le gorgent.
- Il est gros, murmure-t-elle sans quitter sa main du regard.
Je me rengorge intérieurement, c'est toujours flatteur pour un homme de s'entendre dire qu'il est bien membré. Con, mais flatteur. De plus elle est sans doute dans l'erreur, si je n'ai pas à rougir de mes attributs génitaux je ne pense pas pour autant en être particulièrement mieux pourvu qu'un autre, et en tout cas je suis loin de ces mastodontes qu'on aperçoit dans les films. Néanmoins je n'ai jamais eu à m'en plaindre et ma queue et moi avons toujours pu compter l'un sur l'autre, et c'est bien là l'essentiel !
- Caresse le, lui dis-je en reposant sa main sur la mienne et en amorçant un mouvement de va et vient qu'elle reprend bien vite en totale autonomie.
Le mouvement de sa main glissant sur ma bite peu à peu lubrifiée par le liquide pré-séminal qu'elle emporte sur sa paume à chaque passage m'hypnotise quelque peu avant que je me remette à m'intéresser à son corps. Mes mains retrouvent rapidement la route de son sexe et je reprends mes caresses là où je les avait arrêtées. Nous nous retrouvons donc tous deux, en pleine nuit, dans la pénombre de mon jardin, à nous masturber mutuellement, moi à demi-vêtu d'une gandoura et elle toujours coiffée de son voile et drapée dans sa robe remontée au-dessus des fesses.
- Mmmmpfhh, tu fais ça bien Saoussen. Alors, ça te plaît de caresser ma grosse (allons-y de bon pied, puisqu'on y est autant en profiter) queue ?
- Ouiii, j'aime caresser ton zob et j'aime ce que tu me fais... continue Kamal, ça me fait tellement du bien. Zid ya Kamal, 3awoudha, ma tstopich.... Mmmm
- Putain quand je pense que tu faisais la sainte depuis tout ce temps alors qu'en fait tu es une crève la dalle, j'aurais dû en profiter plus tôt.
- Ma3lich, profite maintenaaaannt... aah.. Profiti, fais moi du bien, gémit-elle.
La cadence de sa main sur mon pénis accélère à mesure que mes caresses sur son bouton de plaisir se font plus rythmées. Du bout de l'index je titille à outrance son clitoris, le stimulant sans répit afin de faire monter son plaisir. De l'autre main je palpe ses fesses, les caresse, je fais glisser mes doigts négligemment le long de sa raie et me régale des frissons qui la parcourent à chaque fois que je frôle son anus. Etant donné que je viens de jouir avec Hanane je suis confiant en mes capacités d'endurance face au traitement auquel elle me soumet. Cependant plus le temps passe plus j'ai envie de sentir autre chose que ses doigts se poser sur ma bite. J'interromps donc mes caresses et pose doucement mes deux mains sur sa tête puis commence à appuyer dessus pour la forcer à se mettre à genoux devant moi. Elle se laisse faire et se retrouve bien vite à mi-hauteur, son visage faisant face à ma queue. Elle continue à me masturber au même rythme tout en inclinant légèrement sa tête, comme intriguée par le barreau qui se dresse à quelques centimètres de sa figure.
- Allez mange maintenant, lui intimé-je avec détermination, kouli zebi !
Doucement, presque avec timidité, tout en continuant à lustrer mon sexe de sa main, elle approche ses lèvres rouges de la bête et commence par délicatement déposer de furtifs baisers sur mon gland. Au bout de quelques-uns, comme en y prenant goût, je sens sa bouche qui s'attarde de plus en plus sur l'objet de ses désirs et sa langue commence à entrer en action, elle lèche à petit coups le bout de ma tige, un peu à la manière d'une chatte nettoyant son petit. Ses actions me font de l'effet et je commence à grogner sous le traitement qu'elle m'inflige. Je baisse les yeux vers elle et la vois reculer sa tête au même instant, un filet de bave mêlé de liquide séminal courant de sa bouche à mon gland brille sous la clarté de la lune. Elle lève les yeux vers moi et m'adresse un sourire de contentement avant de s'essuyer la bouche sur son poignet. La vision de Saoussen accroupie devant moi, souriant comme une salope heureuse de faire plaisir, les cheveux couverts d'un hijab supposé être marque, sinon garant, de chasteté, décuple mon excitation. J'ai envie de la prendre là, à même le sol, de la pénétrer et de lui donner la bite qu'elle semble réclamer depuis qu'elle est arrivée chez nous.
- Ca te plaît ? Me demande-t-elle de la voix de celle n'est pas sure du résultat et souhaite être rassuré.
Je décide de me laisser aller, au point où elle en est de toute façon elle a déjà franchi le point de non retour, je n'ai plus qu'à tenter ma chance pour voir jusqu'où elle veut aller et à quelle point elle aime être dirigée dans une relation sexuelle.
- Je ne t'ai pas demandé de me faire des bisous sur le gland, je veux que tu me suces la bite bien profondément, lui asséné-je en réponse.
Et joignant le geste à la parole je m'empare de sa tête entre mes deux mains et la dirige irrépressiblement vers l'endroit de toutes nos attentions. Son voile sous mes doigts je n'ai pas l'impression de forcer outre mesure pour qu'elle consente à faire entrer en contact l'intérieur de sa bouche et mon sexe turgescent, bien au contraire. Elle ouvre les mâchoires et je le vois disparaître sous le satin de ses lèvres sensuelles. Je sens ses mains se poser sur mes fesses afin de lui garantir un équilibre sans lequel elle eut vite fait de basculer d'un côté ou de l'autre au regard de sa position inconfortable. Sans lui laisser le temps de s'habituer à la sensation de mon sexe contre ses papilles je commence à effectuer de petits mouvements de bassin qui font le font coulisser d'avant en arrière. Bien mal m'en prend car au bout de deux ou trois allers-retours je sens distinctement le frottement de ses dents contre la muqueuse de mon gland, je me retire alors d'un coup de sa bouche. Elle me regarde d'un air étonné.
- Alors c'était vrai, c'est vraiment la première fois que tu suces Saoussen ? Lui demandé-je sans réellement attendre de réponse tant cela paraissait évident. Ne t'inquiète pas je vais t'apprendre à faire ça bien, tu vas devenir une superbe suceuse. Fais attention à ne pas me mordre quand tu me suces ok ?
Les dents qui rayent le casque, c'est la marque immédiate d'une novice en la matière. On dirait bien qu'effectivement la petite Saoussen avait toujours eu un comportement irréprochable jusqu'à présent, ou du moins qu'elle n'avait jamais tenté la fellation avant ce jour. Intérieurement je jubile, ce n'est donc pas une femme qui se donne une apparence prude pour des conventions sociales et qui en réalité a déjà goûté plus d'une fois au plaisir de la chair, mais bien une authentique ingénue qui avait tenu bon uniquement à coup d'imagination et de fantasmes jusqu'ici et qui finalement craque et se laisse aller à la luxure. En même temps tenir jusqu'à ses 30 ans en totale abstinence physique cela doit être dur à endurer et peser psychologiquement, pas étonnant qu'au bout d'un moment elle arrive à un point de rupture. Et heureusement ce point de rupture c'est moi. Grâce à mes petits jeux avec elle j'ai dû la mettre dans des conditions d'excitation suffisamment forte pour briser ses dernières digues laisser la crue tout emporter sur son passage.
- Oui Kamal, me répond-elle avant de se remettre à pomper goulûment sur mon membre.
Ce « oui Kamal » est douce musique à mes oreilles, il marque le fait qu'elle est disposée à continuer, disposée à s'améliorer, en bref disposée à apprendre comment devenir meilleure à ce petit jeu. Et comme le disais Shurik'n la perfection n'est approchable que par la répétition. Il faudra donc répéter, répéter et répéter pour que la formation soit efficace. Et l'élève à l'air plutôt douée, en tout cas elle s'applique à ne plus me créer la moindre douleur lors par notre contact bucco-génital. C'est plutôt une douce chaleur qui se répand sur mon sexe tandis qu'elle suit les mouvements de tête que lui impriment mes mains toujours posées à même son voile. Au bout de quelques temps je sens sa langue commencer à se mouvoir contre ma bite, s'y coller puis s'en écarter alternativement. Elle commence à pousser des grognements indistincts et je vois la bave sourdre d'entre ses lèvres déformées, elle doit commencer à avoir du mal à avaler sa salive, néanmoins tant qu'elle tient qu'elle ne compte pas sur moi pour me retirer de son antre. Et effectivement, à peine deux ou trois instants plus tard elle doit ôter mon sexe de sa bouche pour respirer à profondes inspirations bruyantes.
- Alors je fais ça bien finalement, me demande-t-elle narquoise avec l'air de la bonne élève qui a bien fait ses devoirs, tu penses que je ferais une bonne suceuse pour Nabil quand on sera mariés ?
Elle n'a pas pu ignorer mes gémissements quand sa bouche allait et venait sur mon sexe et elle se doute que j'ai apprécié le traitement, aussi ne se prive-t-elle pas d'en jouer. Tout en parlant elle se met, une fois qu'elle a repris son souffle, à câliner ma queue de ses deux mains, à jouer avec mes testicules pleins et à l'embrasser en divers endroit. Avant que je ne puisse m'étonner de sa dextérité à traiter ma bite avec les égards qui lui reviennent elle me devance en m'annonçant avec un sourire coquin :
- Tu sais je n'ai pas de pratique mais j'ai vu beaucoup de théorie, et dans tous les films que je regarde j'envie la femme qui joue avec le sexe de l'homme et fais monter son plaisir lentement. Maintenant que c'est mon tout je compte bien en profiter.
Et ni une ni deux elle reprend ma verge en bouche et se met à effectuer dessus un mouvement de succion qui me prend au dépourvu. Je vois ses deux joues se creuser alors qu'elle s'en sert pour comprimer ma bite en les resserrant autour d'elle. Ce coup là je ne l'avais pas vu venir, et je ne le connaissais d'ailleurs pas, on dirait qu'elle n'a pas exagéré quand elle parlait de l'intérêt qu'elle porte aux pipes dans les films, elle en a tiré un enseignement que j'apprécie à juste titre. La pression des parois de sa bouche contre mon sexe me fait connaître des plaisirs insoupçonnés, elle n'est peut-être pas expérimentée mais son ardeur et sa bonne volonté remplacent avantageusement son manque de pratique. De plus elle prend bien garde à ne plus laisser traîner ses dents sur ma chair et je me délecte de son traitement. Je sens ma queue pulser au fond de sa bouche tant son travail et la situation m'excitent. De son côté ce ne sont que grognements de satisfaction et respirations goulues par moment, quand elle se recule pour se réapprovisionner en air avant d'avaler à nouveau mon membre. Des bruits tellement primaux sortant des lèvres de cette si prude pharmacienne sont pour moi une réelle satisfaction, l'instinct animal semble avoir pris le pas sur son strict canevas de règles comportementales et de bienséance. Cependant au bout de quelques minutes je sens son enthousiasme à savourer mon sexe diminuer. Elle le retire de sa bouche et me dit d'un air plaintif :
- Kamal, j'ai affreusement mal aux genoux installée comme je le suis, on peut se mettre ailleurs s'il te plaît ?
La première pensée qui me vient est de lui répondre « Suce et ferme là ! », mais je me reprends rapidement, je ne suis pas dans un film X et c'est sa première expérience sexuelle, il serait donc à la fois inutile, méchant et contre-productif de la brusquer en lui parlant comme si elle était une adepte de domination et une habituée des jeux sexuels. Je la regarde à nouveau et je la trouve magnifique, à genoux devant moi, sa robe remontée sur les hanches recouvrant ses fines jambes dénudées qui se retrouvent au contact même des pavés inconfortable qui constituent le sol près du mur. Sous l'effet de mes mains son hijab s'est quelque peu défait et des mèches de cheveux bruns légèrement bouclés agrémentent à présent la peau bronzée de son front et de ses joues. J'essuie de ma main le léger filet de bave qui coule de l'encoignure de sa bouche, preuve de son avidité à se repaître de mes attributs masculins, et j'avise l'herbe du jardin qui nous environne.
- Viens par ici, lui dis-je en l'empoignant par le bras et l'entraînant à ma suite dans cette direction, et continue à me faire du bien.
Je m'allonge doucement dans l'herbe, le visage tourné vers la voûte céleste, et l'invite à m'y rejoindre. Je sens sous mes jambes l'âpreté des brins d'herbe desséchés et jaunis par le soleil de plomb de cet période estivale, ils me grattent légèrement mais c'est probablement sans commune mesure avec la rudesse des pavés que les tibias de Saoussen ont eu à supporter de longues minutes durant. La susnommée vient se placer au-dessus de moi, puis se mettant à quatre pattes recommence sa douce succion sur mon pénis toujours tendu. De ses mains elle caresse à présent mes cuisses et remonte par moment sur mes testicules qu'elle malaxe avec douceur. Elle ne s'est pas installée telle que je m'y attendais, c'est-à-dire la tête tournée vers la mienne et le corps au-dessus de mes jambes, mais bien au contraire elle s'est mise tête bêche avec moi et pendant qu'elle me prodigue cette fellation elle offre à mon regard avide et à mes mains intrusives ses splendides fesses encore ornées de sa culotte à moitié descendue. Etant donné qu'il n'y a aucune raison que je sois le seul à prendre du plaisir dans cette relation je m'empresse de lui faire glisser son sous-vêtement le long des cuisses, des mollets puis des chevilles et de le déposer à proximité de nous. Je peux alors admirer à la fois son fessier bombé et généreux et sa vulve légèrement poilue partiellement ouverte du fait de sa position. A la manière qu'elle a de faire bouger son derrière au moment où je la débarrasse de sa culotte j'ai l'impression de réellement voir une chienne exprimer son contentement. Ces petits mouvements pendulaires, la sensation de ses lèvres sur mon gland, la douceur de l'air nocturne, tout cela contribue à me faire entrer dans un état de quasi-transe, je garde les yeux fixés sur son sexe dénudé et offert, dégoulinant de cyprine sous l'effet de l'excitation et de mes attouchements précédents, qui se balance sans interruption. Mécaniquement mes mains remontent vers son bas ventre et tandis que l'une se met à la recherche de son clitoris pour l'agacer, l'autre tombe violemment sur sa fesse droite offerte, le claquement produit se fait entendre bruyamment et me sors de ma torpeur. Sous l'effet de la surprise et de la douleur Saoussen s'est arrêtée et a gémi mon nom :
- Kaaaamal.... Mmmmmmmh
La trace de mes doigts s'est imprimée en rouge sur sa peau brune, et elle a eu l'air d'apprécier le traitement, mais il faut que je prenne garde à ne pas faire trop de bruit, je ne tiens pas à réveiller Hanane ni à ce que les voisins entendent nos ébats. Je continue donc à faire tourner mon majeur contre son clitoris tandis que ma deuxième main entreprend un massage de ses lèvres extérieures. Elle grogne de plus en plus, ne lâchant pas pour autant ma queue dont la sensibilité qui augmente est un signe avant-coureur que je me rapproche de l'explosion. Elle n'hésite pas à joindre à sa bouche sa main sur mon vit et à me masturber à cadence soutenue, pour une débutante je trouve qu'elle envoie du lourd, nominée en catégorie espoir la Saoussen.
Cette peau dorée et appétissante se mouvant sensuellement à quelques centimètres de mon visage je ne peux résister à la tentation d'y porter la bouche. M'appuyant à demi sur mes coudes j'approche mes lèvres de l'arrière de son genou gauche et je les fais lentement glisser de plus en plus haut vers la jonction de ses jambes. Arrivé à l'endroit situé à l'intérieur des cuisses, à la limite du sexe, là où la peau est si douce, je n'hésite plus et y plante copieusement mes dents. Je sens Saoussen vibrer de plaisir sous mon assaut, la sensibilité de cet endroit n'est plus à prouver et je passe de longs instants à le lécher, le happer le mordiller tout en me délectant du goût de sa sueur et des tremblements de son plaisir. Puis, me rallongeant totalement j'attire à mon visage son corps et me retrouve la bouche pleine de ses sécrétions intimes, le nez écrasé par ses fesses et la langue fouillant sa chatte brûlante. Je me régale du nectar qui coule en abondance de sa chatte, son goût est à la fois âcre et musqué et m'enivre plus que n'importe que alcool n'eut pu le faire. A pleine bouche je dévore sa fleur intime, ma langue sautant et virevoltant sur ses chairs, mes lèvres aspirant les siennes, les pinçant puis les relâchant pour les recapturer à nouveau par la suite, le bruit spongieux et obscène de ma bouche aspirant goulûment sa mouille et m'en délectant. J'en veux davantage, je presse encore plus fort ma face contre son entrejambe et ma langue passe le barrage de ses lèvres pour l'insinuer à l'intérieur de son vagin, elle s'y enfonce comme un explorateur découvre une caverne aux merveilles. Elle est le Sneffels, mystérieuse et inviolée et je suis Lidenbrock, aventurier audacieux qui m'enfonce en ses entrailles. Tout le bas de mon visage est maculé par sa mouille odorante, ma barbe est poisseuse de sa chaude cyprine et j'adore cette sensation. Je me régale, je me goinfre, je me bâfre de son sexe et je prends plaisir à ses réactions. A chaque coup de langue, chaque mordillement, Saoussen se trémousse au-dessus de moi, bouge de plus en plus ses fesses comme si elle voulait accompagner de ses hanches les mouvements de ma langue. J'entends ses grognements se faire de plus en plus forts à mesure que ma langue se fait insistante à l'intérieure d'elle-même. Elle tente parfois de parler mais ma bite dans sa bouche lui fait le même effet qu'un bâillon, cependant ses onomatopées déconstruites ne laissent aucun doute sur le plaisir que suscitent en elle mes caresse buccales.
- Mnnngh... aaahh.... Kagnal... aaam... ziiiid... Aaaaannhhh.... Bniiiiinghhhhh.....
J'entends son souffle s'accélérer au même rythme que les mouvements de son corps, sous l'effet de l'effort la peau de ses jambes, que je tiens à pleines mains, s'est couverte de sueur et elle s'agite de plus en plus frénétiquement sur mon visage. Dans le même temps sa bouche montant et descendant sur mon sexe se fait plus pressante, le mouvement masturbatoire de sa main plus rapide et je sens monter en moi l'explosion imminente. Elle s'acharne sur ma bite, de la bouche et de la main depuis un bon quart d'heure et je sens que mon endurance ne va pas tarder à arriver à son terme. Mon gland se fait de plus en plus sensible, le rouge de sa langue chaude qui passe et repasse dessus ne va pas tarder à se trouver recouverte par la blancheur de mon sperme, alors je me décide à sortir ma langue et ma bouche de l'intérieur de sa chatte pour les déposer sur son clitoris. Sous le contact inattendu elle se cabre de plaisir et gémit encore plus fort, tant qu'elle ne crie pas ça me va. Du bout des dents je cale le petit bouton puis je fais aller et venir frénétiquement ma langue dessus, le frottement continu et cette sensation inconnue aboutissent à l'effet désiré, Saoussen halète de plus en plus fort et ses cuisses se resserrent autour de mes joues, au vu de la pression qu'elle exerce sur mon pauvre visage je n'ai aucun doute sur le fait qu'elle soit une sportive accomplie. Elle est comme prise de spasmes répétitifs et je n'entends plus émaner de sa bouche remplie par mon sexe un grognement indistinct et discontinu.
- Mmmngghgrraaaa....aaamammaaama​ma.... mmmmmmmhngh...
La jouissance nous prends en même temps, comme dans les films américains où les acteurs font l'amour tout habillés, perfect timing comme on dit là-bas. Tandis que les muscles de ses jambes et de ses fesses se tendent et se détendent par soubresaut au-dessus de mon corps, je sens ma semence monter de plus en plus rapidement avant d'être éjectée à grands jets dans sa bouche accueillante. J'ai déjà joui une fois dans la soirée et pourtant j'ai l'impression de lâcher autant de sperme que si je n'avais rien fait depuis 15 jours. Sa bouche se remplit peu à peu de ma sève et au bout du cinquième ou sixième jet je sens mon éjaculation se calmer et mon gland devenir de plus en plus sensible au contact de sa langue. De son côté elle s'est agitée dans tous les sens sous les caresses de ma langue avant de se raidir totalement et de se plaquer entièrement contre moi. Juste au moment où je finis de remplir sa bouche de ma liqueur je la sens se relâcher et se laisser aller mollement contre mon corps.
Nous restons immobiles ainsi durant quelques instants puis elle se glisse sur le côté et s'allonge dans l'herbe en position fœtale, sans mot dire et sans un regard pour moi. Me redressant à demi je pose la question fatidique pour tout homme orgueilleux qui vient de partager son intimité avec une femme.
- Ca va Saoussen, ça t'a plu ?
Elle ne me répond pas et reste prostrée sur le sol sans réaction. La situation commence un peu à m'inquiéter et je me relève tout de go, tout en réajustant ma gandoura autour de moi.
- Saoussen, lui demandé-je à nouveau, tu te sens bien ?
Dans ma tête c'est un feu d'artifice, d'un côté je me dis que je l'ai tellement fait jouir qu'elle n'arrive plus à bouger, donc grooooooosse satisfaction personnelle au niveau de l'égo et de la virilité, mais parallèlement je me dis que je l'ai tellement fait jouir qu'elle n'arrive plus à bouger et que je suis dans la merde, je ne peux pas la laisser comme ça trop longtemps. Heureusement pour sa santé et malheureusement pour mon estime de moi-même c'est à ce moment qu'elle roule sur le côté et s'assois en m'adressant un sourire orné de sperme dégoulinant de l'encoignure de ses lèvres. Elle me regarde quelques secondes puis je la vois clairement déglutir et avaler tout mon liquide dans sa bouche avant de s'adresser à moi d'une voix éraillée.
- Ca va bien Kamal, j'étais juste en train de savourer l'instant. C'était teeeellement booon, je ne connaissais pas ces sensation. Mais je suis très fatiguée là...
A ce moment la lumière du couloir s'allume dans la maison et Saoussen me regarde d'un air affolé.
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