L'occasion fait le larron ...
Récit érotique écrit par Mirlaine [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-01-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'occasion fait le larron ...
Les circonstances sont parfois impromptues.
Je revenais d’un enterrement durant lequel j’avais fait la connaissance de la femme
d’un cousin de mon père. Cette personne avait environ 65 ans et moi 48 ans.
L’heure n’était pas aux réjouissances. L’un de mes cousins venait de décéder de façon tragique
et très peu de personnes assistaient à ses funérailles.
Il était gay, avait le virus HIV depuis de nombreuses années et était devenu alcoolique.
A la sortie de la messe, qui avait eu lieu à Paris nous n’étions qu’une vingtaine.
Bien peu pour des funérailles.
Nous discutions devant l’église, tout en essayant de faire connaissance car finalement
je ne connaissais pas grand monde hormis mon défunt cousin, son frère, et mes parents.
Une personne se présenta à moi comme étant la femme de l’un des cousins de mon père. Je l’avais déjà vue alors que j’étais enfant
mais les années passant elle m’était sortie de l’esprit.
Son mari était atteint d’une maladie incurable qui l’obligeait à se déplacer en chaise roulante et elle était la
seule personne qui pouvait lui redonner le moral.
Le hasard fait que nous avons un peu bavardé et que le courant etait très bien passé.
Je lui remémorais ma jeunesse passée durant les grandes vacances en Auvergne et lui avouait très
sincèrement que j’étais nostalgique de cette période.
A cette époque j’étais enfant et je me rendais tous les ans avec ma soeur et mes cousins chez ma grand
mère qui habitait une ferme dans le Cantal en pleine cambrousse. Dans un village éloigné de tout mais qui à mes yeux n’était autre
que le paradis pour le gamin que j’étais.
Quelques jours plus tot j’avais regardé sur google map le village de vacances de mon enfance et cela m’avait
fait chaud au coeur.
Je l’expliquai à Odette, cette femme que je ne connaissais que très peu, et lui dit que c’est dans cette région
que j’avais passé les plus belles années de mon enfance, à courir les prés, monter sur les tracteurs, accompagner les
vaches aux pâturages et jouer comme un enfant.
Je lui avouais que si j’en avais l’occasion j’y retournerai volontiers pour voir l’évolution de ce petit village
de mes rêves qui ne comportait rien d’extraordinaire mais pourtant avait fait mon plus grand bonheur lors de mes jeunes années.
Son mari étant très malade, je lui demandai s’il leur arrivait de se rendre en Auvergne pour passer
un peu de temps. Elle me confia que son époux n’était bien qu’en Auvergne et qu’ils passaient la moitié de
la saison dans ce département.
Elle me fit la bise au moins quatre fois et m’invita à venir passer quelques jours de vacances
chez elle et son mari pour profiter du grand air.
Elle semblait ravie et je ne savais que répondre.
Odette, était certes une femme mûre mais très sophistiquée et surtout très agréable.
Le temps passa puis début avril je reçus un coup de téléphone.
Elle m’appelait pour me demander si je comptais passer quelques jours dans le Cantal pour faire de la
randonnée et me reposer.
Je l’avais oubliée, je dois dire, mais son coup de fil me fit plaisir.
Comme j’étais en congé pour une année je me suis dit que ce serait l’occasion de me reposer un peu
et de pouvoir marcher en pleine nature.
Je lui répondis donc favorablement et lui indiquai que j’allais arriver la semaine suivante mais que je ne comptais
pas la déranger et que j’allais chercher une chambre d’hôte.
Mais elle insista et me demanda de venir chez elle et son mari car ils avaient de la place
et que cela leur faisait plaisir. Je ne pouvais pas refuser.
Huit jours plus tard, j’avais préparé mes chaussures de randonnée, quelques pulls et me voilà
parti pour un séjour de détente en Auvergne.
Je partais de Paris et la plupart de la route était composée d’autoroute.
Je fis deux haltes pour une petite pause puis arrivai frais et dispo sur les coups de
14H00.
Odette et son mari habitaient dans un village reculé que mon GPS avait eu le plus grand mal à localiser.
Néanmoins j’étais enfin parvenu à la destination convenue.
Je sonnai à la porte et Odette m’ouvrit avec un large sourire enjoué.
Elle était pétillante et s’empressa de vouloir me débarrasser de mon sac de voyage.
Je lui fis la bise. Elle me demanda de la suivre et me montra ma chambre.
- Tu peux rester autant de temps que tu le souhaites. Tu ne déranges pas.
Et puis j’ai dû emmener Paul à l’hôpital car son état n’était pas bon donc ne t’étonnes pas de ne
pas le voir. Mais rassures toi il va bien quand même et garde le moral.
As tu mangé?
- Non lui avouai-je, mais ce n’est pas grave. Avec mes quelques kilos en trop je peux bien sauter un repas lui dis-je en riant.
J’installai mes affaires dans ma chambre. La maison était décorée avec goût et le parc qui l’entourait
était splendide. Nous étions loin de tout, en pleine nature. Et seul le son des cloches des vaches pouvait
nous rappeler que cet endroit était habité.
Odette m’attendait dans la cuisine. C’était une femme élégante de 63 ans. Plutôt bien faite pour son âge.
Elle avait préparé une omelette avec des champignons et du cantal. Ça sentait merveilleusement bon.
La table était dressée. Elle avait pris soin de déboucher une bouteille de vin de bourgogne et de remplir nos verres.
- Je ne te propose pas de prendre un apéritif Benoit. Après cette longue route ça risque de te couper
les jambes.
- il ne fallait pas. Tu es un ange.
Nous sommes passés à table et avons discuté de choses et d’autres.
L’ambiance était très détendue mais assez étrange pour ma part car je ne la connaissais
pratiquement pas bien qu’elle fasse partie de ma famille. C’était l’occasion de faire plus
ample connaissance.
Le repas étant terminé elle me demanda si je ne souhaitais pas aller faire une sieste.
Après m’être levé tôt ce n’était pas de refus.
Je m’allongeai sur le lit et m’endormis presque aussitôt. Il devait être 15H00.
Auparavant j’avais pris soin de me déshabiller et de mettre un collant en laine douce ainsi
qu’un gilet en cachemire pour ne pas prendre froid.
Je dormais profondément et vers 17H00 ma cousine ( nous l’appellerons ainsi) vint me réveiller.
Ayant eu chaud, je dormais sur sur les draps et avait repoussé la couette.
Odette s’approcha de moi et me donna plein de légers bisous pour me sortir des bras de Morphée.
J’ouvris un oeil, puis les deux et me rendis compte de sa présence.
J’avais si bien dormi et aussi rêvé que je ne pouvais masquer une belle érection sous mon collant.
Je m’en aperçus aussitôt et me saisis de me mains pour la cacher honteusement.
- Tu n’as pas à avoir peur, j’en ai vu d’autres, et la tienne me paraît bien appétissante.
Je ne savais plus ou me mettre.
Je m’habillai et me décidai à la suivre.
Odette aussi s’était changée. Elle portait un pull rose en angora et une jupe très fine qui remontait
au dessus de ses genoux. Ses jambes étaient gainées d’un collant ou de bas mais je ne pouvais pas
encore le deviner.
-Veux-tu que nous allions faire une promenade? me demanda-t-elle.
- Je suis un peu crevé par le voyage, je préfèrerai rester ici. Remettons la ballade à demain.
Je serai en pleine forme et cela nous fera le plus grand bien!
- Ok me dit-elle. Alors prenons une boisson chaude.
Elle se retira dans la cuisine et revint quelques minutes plus tard avec un thé bouillant.
Elle le déposa sur la table du salon et vint s’asseoir à mes côtés.
Cette femme était âgée, elle faisait partie de ma famille, mais Dieu qu’elle était belle et désirable!
Je pouvais apercevoir ses petits seins libres sous son pull rose et elle me faisait terriblement envie.
Je n’étais pourtant pas là pour ça.
Elle me servit une grande tasse de ce breuvage bien chaud et nous nous mimes à discuter
de mon enfance et de sa vie.
Mon enfance, en Auvergne avait été un pur moment de plaisir mais sa vie avait été très difficile.
Son mari, handicapé depuis plus de trente ans, était un immense poids pour elle même si son amour pour lui
n’avait pas faibli depuis ces longues années.
Nous buvions tranquillement. Ses yeux pétillaient. Malgré tous ses soucis cette femme respirait
la joie de vivre et l’amour. Elle était forte et avait un mental d’acier.
Son visage, légèrement ridé, laissait apparaitre une très jolie femme sensuelle et sexy.
Elle vint s’asseoir à mes côtés. Ma tasse était encore pleine. Elle posa une main sur ma jambe
et l’autre sur mes épaules.
Elle approcha délicatement ses lèvres des miennes et y déposa un doux baiser.
Nos langues se mêlèrent sans aucune gêne. Tout ceci semblait vraiment naturel.
Nous n’attendions que cela tous les deux.
Ma main s’introduisit sous son pull et caressa ses seins. Ils étaient fermes et je pouvais sentir ses
tétons durcir sous mes doigts.
Je la regardais droit dans les yeux et déboutonnais son pull si doux.
J’écartais les pans de son gilet et me mis à lécher très délicatement ses têtons durcis de plaisir.
Odette, n’était pas en reste et m’avait déboutonné mon pantalon. Elle le fit descendre à mes pieds et me l’ôta.
Je n’avais pas mis de slip mais juste conservé mon collant en laine. Elle déposa sa main sur mon sexe
qui bandait à moitié et entreprit de me caresser au travers de cette matière si douce.
Je ne pus que bander copieusement tant cette caresse me procurait un immense sentiment
de plaisir et de bien être.
Sa tête était à présent juste au dessus de mon sexe et sa langue me léchait les bourses
et la queue.
Elle me pria d’enlever mon collant. Mon sexe fit son apparition, bien tendu, fier comme Arpagon,
et prêt à être sucé et léché.
Elle me décalotta puis mis ses mains derrière son dos. Sa bouche s’empara de mon gland
et je pus enfin sentir sa langue me lécher avec une si grande tendresse que cela ne m’était jamais
arrivé.
Elle allait et venait sur ma queue et la prenait entièrement dans sa bouche. J’ai cru qu’elle allait s’étouffer mais
elle savait si bien s’y prendre qu’elle avalait mon dard jusqu’à la glotte.
A ce rythme, mon corps ne tenu pas longtemps et je déchargeai au plus profond de sa gorge.
Elle n’offrit aucun signe de dégoût.
Elle leva les yeux, ouvrit la bouche encore pleine de mon sperme chaud puis déglutit et avala toute ma semence.
Puis elle se pencha vers moi et me réclama un doux baiser.
Nos langues s’unirent à nouveau pour un splendide bisou épris de tendresse et d’affection.
Nous étions immobiles et ne savions que dire.
- Merci
Ce mot était sorti en même temps de nos deux bouches ! Nous étions heureux.
Pour la remercier j’avais tant envie de lui faire l’amour. Deux heures plus tôt je ne m’en serai pas
senti capable mais là j’étais en pleine forme et je sentais qu’il me fallait peu de chose pour que
je bande à nouveau.
Je la portai dans mes bras musclés et la déposai sur la table de la cuisine.
Dieu que cette femme était belle!
Je lui enlevai sa jupe. Elle portait de jolis bas couleur chair ainsi qu’un tanga énormément sexys.
Ma langue se posa sur sa chatte qui était déjà trempée et mouilla ce doux tissu.
Je pouvais deviner son abricot, gonflé de désir, sous son tanga devenu transparent tant il était humide.
Je lui ôtai son slip pour lui lécher la chatte. Elle mouillait fortement et avait un goût d’amide douce.
Son sexe était partiellement épilé et sa vulve aussi gluante qu’un escargot mais bien meilleure!
J’y introduisis un doigt puis deux et trois et continua à lui procurer de longues caresses buccales.
Elle gémissait et désormais ses mains tenaient ma tête pour l’enfoncer encore plus profondément
sur son vagin.
Elle jouit rapidement tant son désir était intense.
- Merci mon chéri me dit- elle. Elle avait les larmes aux yeux tant son orgasme avait été soudain
et fort.
- C’est à toi maintenant, je ne vais pas te laisser ainsi. Prends moi s’il te plait. Elle me suppliait presque.
Mon gland se colla sur sa chatte puis je poussai d’un coup. Elle était assez serrée et c’était vraiment bon.
Je la limai avec vigueur mais ne voulais pas jouir maintenant.
Elle s’en rendit compte. Elle se mit à quatre pattes et me présenta son anus. Chacune de ses mains
écartai au maximum les globes de ses fesses pour me présenter son anus.
- Vas-y, encule moi mon chéri, je t’en supplie.
Je ne me fis pas prier et la pénétrai avec douceur. Son anus était bien ouvert et il était clair
que ce n’était pas la première fois qu’elle se faisait défoncer la rosette.
Elle me disait des mots crus, me traitait et se traitait de tous les noms d’oiseaux
et balançait son cul au rythme de mes assauts.
Elle serrait puis desserait son sphincter comme pour me faire patienter.
Puis je la pris par la taille, relevait son pull doux et lui enfonçai mon membre entre les reins
bien à fond. Elle se caressait le clitoris et me malaxait les couilles en même temps.
Je ne pus résister à cette caresse et jouit abondamment dans son cul pendant qu’elle
se tordait de plaisir.
Je m’affalais sur elle et nous sommes restés ainsi de longue minutes. Essouflés, honteux, fiers mais
aussi heureux.
La suite très bientôt.
Je revenais d’un enterrement durant lequel j’avais fait la connaissance de la femme
d’un cousin de mon père. Cette personne avait environ 65 ans et moi 48 ans.
L’heure n’était pas aux réjouissances. L’un de mes cousins venait de décéder de façon tragique
et très peu de personnes assistaient à ses funérailles.
Il était gay, avait le virus HIV depuis de nombreuses années et était devenu alcoolique.
A la sortie de la messe, qui avait eu lieu à Paris nous n’étions qu’une vingtaine.
Bien peu pour des funérailles.
Nous discutions devant l’église, tout en essayant de faire connaissance car finalement
je ne connaissais pas grand monde hormis mon défunt cousin, son frère, et mes parents.
Une personne se présenta à moi comme étant la femme de l’un des cousins de mon père. Je l’avais déjà vue alors que j’étais enfant
mais les années passant elle m’était sortie de l’esprit.
Son mari était atteint d’une maladie incurable qui l’obligeait à se déplacer en chaise roulante et elle était la
seule personne qui pouvait lui redonner le moral.
Le hasard fait que nous avons un peu bavardé et que le courant etait très bien passé.
Je lui remémorais ma jeunesse passée durant les grandes vacances en Auvergne et lui avouait très
sincèrement que j’étais nostalgique de cette période.
A cette époque j’étais enfant et je me rendais tous les ans avec ma soeur et mes cousins chez ma grand
mère qui habitait une ferme dans le Cantal en pleine cambrousse. Dans un village éloigné de tout mais qui à mes yeux n’était autre
que le paradis pour le gamin que j’étais.
Quelques jours plus tot j’avais regardé sur google map le village de vacances de mon enfance et cela m’avait
fait chaud au coeur.
Je l’expliquai à Odette, cette femme que je ne connaissais que très peu, et lui dit que c’est dans cette région
que j’avais passé les plus belles années de mon enfance, à courir les prés, monter sur les tracteurs, accompagner les
vaches aux pâturages et jouer comme un enfant.
Je lui avouais que si j’en avais l’occasion j’y retournerai volontiers pour voir l’évolution de ce petit village
de mes rêves qui ne comportait rien d’extraordinaire mais pourtant avait fait mon plus grand bonheur lors de mes jeunes années.
Son mari étant très malade, je lui demandai s’il leur arrivait de se rendre en Auvergne pour passer
un peu de temps. Elle me confia que son époux n’était bien qu’en Auvergne et qu’ils passaient la moitié de
la saison dans ce département.
Elle me fit la bise au moins quatre fois et m’invita à venir passer quelques jours de vacances
chez elle et son mari pour profiter du grand air.
Elle semblait ravie et je ne savais que répondre.
Odette, était certes une femme mûre mais très sophistiquée et surtout très agréable.
Le temps passa puis début avril je reçus un coup de téléphone.
Elle m’appelait pour me demander si je comptais passer quelques jours dans le Cantal pour faire de la
randonnée et me reposer.
Je l’avais oubliée, je dois dire, mais son coup de fil me fit plaisir.
Comme j’étais en congé pour une année je me suis dit que ce serait l’occasion de me reposer un peu
et de pouvoir marcher en pleine nature.
Je lui répondis donc favorablement et lui indiquai que j’allais arriver la semaine suivante mais que je ne comptais
pas la déranger et que j’allais chercher une chambre d’hôte.
Mais elle insista et me demanda de venir chez elle et son mari car ils avaient de la place
et que cela leur faisait plaisir. Je ne pouvais pas refuser.
Huit jours plus tard, j’avais préparé mes chaussures de randonnée, quelques pulls et me voilà
parti pour un séjour de détente en Auvergne.
Je partais de Paris et la plupart de la route était composée d’autoroute.
Je fis deux haltes pour une petite pause puis arrivai frais et dispo sur les coups de
14H00.
Odette et son mari habitaient dans un village reculé que mon GPS avait eu le plus grand mal à localiser.
Néanmoins j’étais enfin parvenu à la destination convenue.
Je sonnai à la porte et Odette m’ouvrit avec un large sourire enjoué.
Elle était pétillante et s’empressa de vouloir me débarrasser de mon sac de voyage.
Je lui fis la bise. Elle me demanda de la suivre et me montra ma chambre.
- Tu peux rester autant de temps que tu le souhaites. Tu ne déranges pas.
Et puis j’ai dû emmener Paul à l’hôpital car son état n’était pas bon donc ne t’étonnes pas de ne
pas le voir. Mais rassures toi il va bien quand même et garde le moral.
As tu mangé?
- Non lui avouai-je, mais ce n’est pas grave. Avec mes quelques kilos en trop je peux bien sauter un repas lui dis-je en riant.
J’installai mes affaires dans ma chambre. La maison était décorée avec goût et le parc qui l’entourait
était splendide. Nous étions loin de tout, en pleine nature. Et seul le son des cloches des vaches pouvait
nous rappeler que cet endroit était habité.
Odette m’attendait dans la cuisine. C’était une femme élégante de 63 ans. Plutôt bien faite pour son âge.
Elle avait préparé une omelette avec des champignons et du cantal. Ça sentait merveilleusement bon.
La table était dressée. Elle avait pris soin de déboucher une bouteille de vin de bourgogne et de remplir nos verres.
- Je ne te propose pas de prendre un apéritif Benoit. Après cette longue route ça risque de te couper
les jambes.
- il ne fallait pas. Tu es un ange.
Nous sommes passés à table et avons discuté de choses et d’autres.
L’ambiance était très détendue mais assez étrange pour ma part car je ne la connaissais
pratiquement pas bien qu’elle fasse partie de ma famille. C’était l’occasion de faire plus
ample connaissance.
Le repas étant terminé elle me demanda si je ne souhaitais pas aller faire une sieste.
Après m’être levé tôt ce n’était pas de refus.
Je m’allongeai sur le lit et m’endormis presque aussitôt. Il devait être 15H00.
Auparavant j’avais pris soin de me déshabiller et de mettre un collant en laine douce ainsi
qu’un gilet en cachemire pour ne pas prendre froid.
Je dormais profondément et vers 17H00 ma cousine ( nous l’appellerons ainsi) vint me réveiller.
Ayant eu chaud, je dormais sur sur les draps et avait repoussé la couette.
Odette s’approcha de moi et me donna plein de légers bisous pour me sortir des bras de Morphée.
J’ouvris un oeil, puis les deux et me rendis compte de sa présence.
J’avais si bien dormi et aussi rêvé que je ne pouvais masquer une belle érection sous mon collant.
Je m’en aperçus aussitôt et me saisis de me mains pour la cacher honteusement.
- Tu n’as pas à avoir peur, j’en ai vu d’autres, et la tienne me paraît bien appétissante.
Je ne savais plus ou me mettre.
Je m’habillai et me décidai à la suivre.
Odette aussi s’était changée. Elle portait un pull rose en angora et une jupe très fine qui remontait
au dessus de ses genoux. Ses jambes étaient gainées d’un collant ou de bas mais je ne pouvais pas
encore le deviner.
-Veux-tu que nous allions faire une promenade? me demanda-t-elle.
- Je suis un peu crevé par le voyage, je préfèrerai rester ici. Remettons la ballade à demain.
Je serai en pleine forme et cela nous fera le plus grand bien!
- Ok me dit-elle. Alors prenons une boisson chaude.
Elle se retira dans la cuisine et revint quelques minutes plus tard avec un thé bouillant.
Elle le déposa sur la table du salon et vint s’asseoir à mes côtés.
Cette femme était âgée, elle faisait partie de ma famille, mais Dieu qu’elle était belle et désirable!
Je pouvais apercevoir ses petits seins libres sous son pull rose et elle me faisait terriblement envie.
Je n’étais pourtant pas là pour ça.
Elle me servit une grande tasse de ce breuvage bien chaud et nous nous mimes à discuter
de mon enfance et de sa vie.
Mon enfance, en Auvergne avait été un pur moment de plaisir mais sa vie avait été très difficile.
Son mari, handicapé depuis plus de trente ans, était un immense poids pour elle même si son amour pour lui
n’avait pas faibli depuis ces longues années.
Nous buvions tranquillement. Ses yeux pétillaient. Malgré tous ses soucis cette femme respirait
la joie de vivre et l’amour. Elle était forte et avait un mental d’acier.
Son visage, légèrement ridé, laissait apparaitre une très jolie femme sensuelle et sexy.
Elle vint s’asseoir à mes côtés. Ma tasse était encore pleine. Elle posa une main sur ma jambe
et l’autre sur mes épaules.
Elle approcha délicatement ses lèvres des miennes et y déposa un doux baiser.
Nos langues se mêlèrent sans aucune gêne. Tout ceci semblait vraiment naturel.
Nous n’attendions que cela tous les deux.
Ma main s’introduisit sous son pull et caressa ses seins. Ils étaient fermes et je pouvais sentir ses
tétons durcir sous mes doigts.
Je la regardais droit dans les yeux et déboutonnais son pull si doux.
J’écartais les pans de son gilet et me mis à lécher très délicatement ses têtons durcis de plaisir.
Odette, n’était pas en reste et m’avait déboutonné mon pantalon. Elle le fit descendre à mes pieds et me l’ôta.
Je n’avais pas mis de slip mais juste conservé mon collant en laine. Elle déposa sa main sur mon sexe
qui bandait à moitié et entreprit de me caresser au travers de cette matière si douce.
Je ne pus que bander copieusement tant cette caresse me procurait un immense sentiment
de plaisir et de bien être.
Sa tête était à présent juste au dessus de mon sexe et sa langue me léchait les bourses
et la queue.
Elle me pria d’enlever mon collant. Mon sexe fit son apparition, bien tendu, fier comme Arpagon,
et prêt à être sucé et léché.
Elle me décalotta puis mis ses mains derrière son dos. Sa bouche s’empara de mon gland
et je pus enfin sentir sa langue me lécher avec une si grande tendresse que cela ne m’était jamais
arrivé.
Elle allait et venait sur ma queue et la prenait entièrement dans sa bouche. J’ai cru qu’elle allait s’étouffer mais
elle savait si bien s’y prendre qu’elle avalait mon dard jusqu’à la glotte.
A ce rythme, mon corps ne tenu pas longtemps et je déchargeai au plus profond de sa gorge.
Elle n’offrit aucun signe de dégoût.
Elle leva les yeux, ouvrit la bouche encore pleine de mon sperme chaud puis déglutit et avala toute ma semence.
Puis elle se pencha vers moi et me réclama un doux baiser.
Nos langues s’unirent à nouveau pour un splendide bisou épris de tendresse et d’affection.
Nous étions immobiles et ne savions que dire.
- Merci
Ce mot était sorti en même temps de nos deux bouches ! Nous étions heureux.
Pour la remercier j’avais tant envie de lui faire l’amour. Deux heures plus tôt je ne m’en serai pas
senti capable mais là j’étais en pleine forme et je sentais qu’il me fallait peu de chose pour que
je bande à nouveau.
Je la portai dans mes bras musclés et la déposai sur la table de la cuisine.
Dieu que cette femme était belle!
Je lui enlevai sa jupe. Elle portait de jolis bas couleur chair ainsi qu’un tanga énormément sexys.
Ma langue se posa sur sa chatte qui était déjà trempée et mouilla ce doux tissu.
Je pouvais deviner son abricot, gonflé de désir, sous son tanga devenu transparent tant il était humide.
Je lui ôtai son slip pour lui lécher la chatte. Elle mouillait fortement et avait un goût d’amide douce.
Son sexe était partiellement épilé et sa vulve aussi gluante qu’un escargot mais bien meilleure!
J’y introduisis un doigt puis deux et trois et continua à lui procurer de longues caresses buccales.
Elle gémissait et désormais ses mains tenaient ma tête pour l’enfoncer encore plus profondément
sur son vagin.
Elle jouit rapidement tant son désir était intense.
- Merci mon chéri me dit- elle. Elle avait les larmes aux yeux tant son orgasme avait été soudain
et fort.
- C’est à toi maintenant, je ne vais pas te laisser ainsi. Prends moi s’il te plait. Elle me suppliait presque.
Mon gland se colla sur sa chatte puis je poussai d’un coup. Elle était assez serrée et c’était vraiment bon.
Je la limai avec vigueur mais ne voulais pas jouir maintenant.
Elle s’en rendit compte. Elle se mit à quatre pattes et me présenta son anus. Chacune de ses mains
écartai au maximum les globes de ses fesses pour me présenter son anus.
- Vas-y, encule moi mon chéri, je t’en supplie.
Je ne me fis pas prier et la pénétrai avec douceur. Son anus était bien ouvert et il était clair
que ce n’était pas la première fois qu’elle se faisait défoncer la rosette.
Elle me disait des mots crus, me traitait et se traitait de tous les noms d’oiseaux
et balançait son cul au rythme de mes assauts.
Elle serrait puis desserait son sphincter comme pour me faire patienter.
Puis je la pris par la taille, relevait son pull doux et lui enfonçai mon membre entre les reins
bien à fond. Elle se caressait le clitoris et me malaxait les couilles en même temps.
Je ne pus résister à cette caresse et jouit abondamment dans son cul pendant qu’elle
se tordait de plaisir.
Je m’affalais sur elle et nous sommes restés ainsi de longue minutes. Essouflés, honteux, fiers mais
aussi heureux.
La suite très bientôt.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Cela ne correspond pas à l’un de mes fantaemes mais je signale à l’auteur que balade dans le ses sens de promenade ne prend qu’un L
Et puis on dit fier comme Artaban ( Arpagon n’existe pas)
Les auteurs doivent comprendre que lés fautes parasitent l’histoire !
Kevin
Et puis on dit fier comme Artaban ( Arpagon n’existe pas)
Les auteurs doivent comprendre que lés fautes parasitent l’histoire !
Kevin
hummm terriblement sensuel ce récit
je ne sais s il est réel ou purement imaginaire mais on reverait d etre à ta place dans le 1er cas
vivement la suite
je ne sais s il est réel ou purement imaginaire mais on reverait d etre à ta place dans le 1er cas
vivement la suite