L’Odyssée d’Hélène – Un défi Olympien – - histoire érotique

L’Odyssée d’Hélène – Un défi Olympien –
Cette voix Divine venait de partout et de nulle part. Elle résonnait dans les oreilles de la Belle Hélène comme une bénédiction et emplissait tout L’Olympe de sa résonnance uniforme. En effet, se trouver dans un tel Lieu tel que l’Olympe, inimaginable pour un quelconque humain, c’était pour Elle un aboutissement suprême, un privilège unique lequel Elle avait du mal à réaliser, à évaluer son ampleur exceptionnelle… Les propos du Dieu Apollon étaient clairs et directifs :
- Petite humaine, sache que ta venue ici est exceptionnelle à l’instar de celle de ce petit mortel d’Endymion. C’est Moi Apollon, qui vous a fait venir ici tous les deux, parce que j’ai voulu relever un défi, j’ai voulu démontrer aux Divinités de l’Olympe avides de perversités que les petits humains savaient aussi donner du plaisir, qu’ils en étaient capables. Les Déesses et Dieux ici présents ne sont pas du tout convaincus de cela et pour leur démontrer que J’ai raison, tu vas devoir te surpasser afin de combler toutes leurs vicieuses exigences. Et tant que tu n’auras pas réussi à provoquer un orgasme chez au moins une Divinité ici présente et cela dans un temps limité que vous définissez comme une heure sur votre terre. Endymion va rester à sa taille humaine et sera utilisé par plusieurs d’Entre-Nous comme un petit objet de plaisir. Quant à toi, je vais t’affubler, le temps de cette orgie, une taille qui pour toi sera géante, afin que tu sois à nos égales proportions … Et saches nous combler de plaisirs, et surtout Me faire honneur, toi Mon Epouse mortelle … Car si tu réussis à démontrer que tu es capable de faire jouir une ou un d’entre nous, tu seras de nouveau renvoyée sur terre pour vivre ta destinée laquelle je t’ai choisi, sinon tu finiras pour l’éternité dans les bas-fonds morbides de l’Olympe, là où il vaut mieux ne pas être …
A ces mots, Hélène se sentit grandir à vue d’œil, pire qu’un champignon, Elle prit 12 mètres de hauteur en seulement quelques secondes. Durant son ultra-rapide croissance, Elle regarda Endymion qui devenait petit, petit, petit…. pour ne paraître, d’aspect, pas plus grand qu’un gros et long gode d’une vingtaine de centimètres…. ! Endymion levait la tête et regardait aussi effaré de voir sa Maîtresse devenir une géante de la taille des Dieux ! Il ne pouvait pas dire un seul mot, à moitié étouffé à lécher la Divine chatte de la Déesse et quand il essayait de parler, aucun son ne sortait de sa bouche … C’est avec une certaine émotion que La Belle Hélène, plus belle que jamais, se retrouva à la même hauteur que les Divinités, Elle se sentit ainsi leur égale, mais certainement pas pour bien longtemps car maintenant que son Epoux Divin l’avait informé de ce qu’on attendait de sa présence, elle savait qu’elle serait soumise aux moindres exigences perverses des Divinités … Dans la transformation de sa taille, n’ont pas changé ceux de ses vêtements et ils ont donc tout simplement craqués de toutes parts, très vite devenus trop petits, C’est ainsi, totalement dénudée, qu’Elle entend le fameux Dieu Eros l’interpeller …
- Voici donc celle que l’on dit être la plus belle femme du monde terrestre ? Ha…ha…ha… ! (Il dévisagea longuement de la tête aux pieds La Belle Hélène sous toutes les coutures) … Certes tu es très belle, mais crois-tu rivaliser envers la plus Belle créature de l’Univers, la Sublime et Unique Aphrodite, Déesse de la Beauté en train de s’occuper de mon Vit avec délice ! Elle est le symbole même de la Parfaite Beauté !…
A ces mots la Déesse Aphrodite se redressa pour se montrer totalement dénudée face au regard émerveillé d’Hélène. Le mot beauté est bien trop faible pour définir Aphrodite, il n’y aurait aucun mot dans le vocabulaire pour décrire son sublime corps impeccablement sinueux, aux formes parfaites, exquises. Rarement un visage féminin était aussi bien dessiné, d’une beauté plastique absolument magnifique, hors norme, difficile à décrire tant aucuns défauts n’apparaissaient, C’était une Merveille à l’état pur… La Déesse lui sourit montrant ainsi une dentition d’une blancheur parfaite.

- Approche terrienne, vient prendre ma place et suce le Divin Eros et sache lui apporter du plaisir… Montre-Moi qu’une humaine en est capable… Mais comme je doute fort qu’une humaine puisse arriver à cela …. Parce que, vous les humains, vous manquez beaucoup trop d’imagination… Ha ! ha ! ha ! … Ah oui, j’ai oublié de te préciser… Notre Divin Eros éjacule uniquement s’il ressent 2 plaisirs jouissifs à la fois et donc tu dois trouver une excitation supplémentaire à celle produite sur son Divin phallus… Ha ! ha ! ha ! … Tu as le temps de ce rapide sablier que je vais de suite renverser (NDLA : équivalent à 15 minutes de sable écoulé) pour le faire jouir … Après cela, si tu n’y es pas arrivée, j’aurai prouvé à ton Divin Epoux Apollon qu’une humaine est belle et bien incapable de donner du plaisir à un Dieu de l’Olympe… Ha ! ha ! ha ! … Et ainsi l’heure convenue, dans le défi avec Apollon, sera déjà bien entamée sans succès pour toi ! Ha ! ha ! ha ! …
A ces mots, la très belle Déesse renversa le sablier suspendu dans le vide comme par magie divine et le sable commença à s’écouler… Hélène comprit très vite qu’elle n’aurait juste quelques minutes, qu’elle évalua à une bonne quinzaine environ, alors elle s’activa du mieux qu’elle put pour faire jouir le Divin sexe du Dieu Eros. Cette verge Divine était énorme et sans perdre de temps, Hélène l’attrapa et peina à le prendre en bouche, verge trop grosse et même si Hélène s’appliquait du mieux qu’elle put, elle réalisa très rapidement que sa fellation ne suffirait pas à faire éjaculer Eros qui la narguait de son sourire hautain et de sa puissante et virile érection. Alors, au bout de 3 à 4 minutes, elle s’assit à califourchon sur la bite du Dieu et fit de très nombreux vas-et-viens mais rien ne laissait apparaitre chez un Eros impassible, qu’il allait jouir même pas un gémissement de plaisir, rien ! Il se moquait de voir l’humaine lui faire l’amour et s’activer au-dessus de son phallus raide comme une tige de métal sans qu’il éprouve la moindre envie d’éjaculer… Et le temps tournait à la défaveur de la Belle Hélène … Il ne devait rester environ que 5 à 6 minutes pour arriver à ses fins…
Alors Hélène tenta le tout pour le tout grâce à une idée qui lui traversa soudainement l’esprit. En réalité, cette idée subite ne vint pas d’elle. Cette idée qui résonnait dans sa tête par une voix Divine, venait du Dieu Apollon qui ne voulant pas perdre la face, lui transmit par une sorte de télépathie
- Eros a un seul point faible, que tu es loin de deviner, c’est son petit secret intime à lui, il est très sensible de l’anus … Trouve vite de quoi t’occuper de son fondement… Regarde autour de toi….

Hélène comprit très vite et d’un bon, elle sortit de sa position en califourchon, recula, regarda très rapidement de tous côtés, quand elle aperçut son esclave Endymion qui, de sa petite taille humaine n’était pas plus gros qu’un gode. La Déesse l’avait détaché de l’intérieur de sa cuisse et l’avait déposé sur le sol composé de moelleux nuages. Comme par magie, l’esclave humain ne s’enfonçait pas dans ceux-ci alors que la Divinité l’écrasait, dans un geste de pure Domination, de son pied immobile. Les mots d’Apollon prirent alors tout leur sens et la Belle Hélène comprit ce qu’il fallait rapidement faire … Elle bondit aux pieds de la Déesse si vite que Celle-ci, surprise, n’eut pas le temps d’empêcher Hèlène d’empoigner Endymion. Sans perdre une seconde plus, Hélène revint entre les jambes du Dieu Eros qui avachi rigolait avec ironie. Parfait ! Cette position avachie était idéale pour la belle Hélène qui sans attendre et par surprise enfonça d’un coup Endymion en guise de gode, dans le cul du Dieu. Elle activa avec énergie de sa main, à faire aller et venir le gode humain tout en masturbant et suçant le phallus Divin. La réaction et la surprise d’Eros ne se fit pas attendre, en effet il se mit de suite à gémir sous les yeux tous ronds et horrifiés d’Aphrodite. Pour l’esclave Endymion qui, utilisé en gode, manqua de s’étouffer quand tout son corps était enfoncé profondément dans l’anus du Dieu, il se tint droit et raide pour faciliter le mouvement d’aller et de retour, ce qui lui permettait de reprendre son souffle à chaque retrait rapide avant de s’enfoncer de nouveau dans le cul Divin.

Les deux plaisirs jumelés sur le phallus et dans le cul perçus par le Dieu ne tardèrent pas à lui faire monter un plaisir inouï et la Divinité de l’Amour Eros ne put retenir des puissants râles de jouissance quand son sperme Divin s’échappa en de puissantes saccades abondantes sur le visage de la Belle Hélène qui continuait malgré tout à activer le gode-humain dans une cadence profonde et rapide, accentuant le mouvement de pénétration anale… Ouf ! Il était temps ! Le dernier grain de sable du sablier tomba à ce moment-là… Hélène était amplement souillée de sperme épais Divin comme si elle avait reçu un pot de peinture sur la tête qui s’écoulerait sur tout son corps de la tête aux pieds. Elle retira Endymion de l’anus du Dieu et le tenait fermement en main. L’esclave mâle était souillé aussi mais de sécrétions anales et Divines. Quant à Eros, il peinait à retrouver son souffle. Puis ce fut un silence total. Toutes les Divinités présentes devinrent muettes par la situation et restèrent pétrifiées comme saisies de stupeur. Elles se regardèrent entre elles, interrogatives, étonnées et presque choquées. L’impensable venait de se produire, une mortelle avait réussi à donner du plaisir à une Divinité et, de plus est, pas à n’importe laquelle, à Eros lui-même, le Dieu de l’Amour ! Une Seule Divinité jubilait, c’était Apollon ! C’est Lui qui brisa ce silence dans un fracassant rire de satisfaction qui aurait fait trembler les murs d’un temple tant ce rire était puissant et conquérant. Apollon qui, jusqu’à présent, était resté invisible apparu dans un halo de lumière jaune au milieu des autres Divinités. Il était victorieux, debout la tête haute, fier et puissant. Hélène d’un bond se jeta à Ses Divins pieds et se mit en levrette pour se prosterner devant son Divin Epoux… Ainsi Hélène honorait son Dieu et se sentit aussi protégée par Celui qui l’avait fait venir à L’Olympe. Apollon narguant le Dieu Eros s’adressa d’abord à lui :
- Mon Cher Eros, comme tu vois, il ne faut jamais parier avec Moi. Je t’avais affirmé que les petits humains pouvaient donner du plaisir et comme personne ne m’a cru, ici, j’ai donc relevé ton pari, lequel était réalisable, possible et ainsi j’arriverai à te démontrer que les mortels en étaient capables … J’étais certain que cette plus belle femme du monde terrestre y arriverait. Je le savais car elle m’a déjà donné du plaisir (NDLA : Voir les épisodes de l’Odyssée : Hélène à Bassae - Le Temple d'Apollon –)…
Apollon se tut et savoura sa victoire avec une attitude glorieuse sur Eros et sur toutes les Divinités présentes qui firent profil bas. Apollon était respecter autant que Zeus lui-même et personne ne voulait se le mettre à dos et donc elles se devaient d’accepter qu’elles avaient perdu la face. Apollon se tourna vers Hélène et celle-ci était toujours immobile prosternée aux pieds de son Divin Epoux.

- Hélène, tu as réussi à me faire honneur, à ne pas me ridiculiser, ici devant mes paires et donc je n’ai qu’une parole, je te renvoie avec ton esclave Endymion sur la terre afin que tu vives ta destiné. Je garderai toujours un œil sur toi, sache-le. Je ne serai jamais très loin dans les aventures que tu vas encore vivre… Va et n’oublie jamais qui tu es et pour qui tu es …
A ces mots, Hélène se sentit diminuer de taille pour reprendre sa taille normale humaine et se retrouva aussi petite que son esclave et donc à la hauteur d’Endymion. Elle le regarda lui sourit quand un puissant vertige les saisirent tous les deux. Tout tourna autour d’eux pour ne laisser apparaitre que des nuages à perte de vue, puis un ciel bleu uniforme avant qu’ils ne s’évanouissent pour se réveiller quasi instantanément sur la terre et par les cahots dans la chaise à porteur qui avançait doucement en direction du retour du marché comme si rien ne s’était passé, à une seule différence près : Aux pieds de la Belle Hélène qui, comme par magie avait retrouvé ses vêtements, il y avait une présence somnolente, c’était son esclave Endymion qui encore à moitié endormi ne savait pas trop où il se trouvait …
(A suivre …)