L'Odyssée de la Belle Hélène (épisode 11) -
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-01-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'Odyssée de la Belle Hélène (épisode 11) -
L’Odyssée de La Belle Hélène : Hélène à Bassae (2/3) - Le Temple d'Apollon –
Tandis que deux bergers affolés répandaient dans toute la contrée la légende qui allait perdurer durant des siècles de la créature fabuleuse et dangereuse réfugiée dans une grotte proche de la cité de Philagia, Hélène et Clytia avaient repris le chemin du temple d'Apollon Epikourios, à plusieurs centaines de mètres d'un chemin escarpé et difficile. Il fallut plusieurs heures aux deux femmes et à leur jument rétive face aux dangers de l'ascension, pour gravir la distance qui les séparaient du magnifique édifice, construit il y a déjà longtemps par les habitants de la région pour remercier le Dieu solaire de les avoir sauvés d'une terrible épidémie de peste. Dans la solitude des montagnes arcadiennes, l'immense bâtiment était à la fois sublime et austère. Les habitants s'y rendaient plusieurs fois par an en procession, afin de rendre hommage au Dieu, mais la plupart du temps, les accès en étaient gardés par un groupe de prêtres mystérieux, désignés par le Dieu lui-même et dont on ignorait tout. Ils vivaient des offrandes du peuple qui fournissaient en abondance nourriture, ustensiles et esclaves femelles, destinées à entretenir le site et se consacrer au service des religieux. Certains soirs, le vent qui s'engouffrait entre les monts laissait entendre cris de plaisir ou gémissements plaintifs dont nul n'osait s'interroger sur leur origine, dès lors qu’Apollon Lui-même avait choisi ses serviteurs et protégeait la région…
C'était une étrange atmosphère que découvraient La Belle Hélène et son esclave Clytia, sur cette haute montagne, un vaste plateau où se dressait le Temple, environné de petits arbres secs. Clytia attacha la jument à l'un de ces arbres et les deux femmes prirent seules le chemin du Temple qui occupait tout l'espace, à une centaine de mètres, au bout d'une longue allée au sol damé et revêtue de terre glaise d’argile rouge. Elles avaient franchi moins de la moitié du parcours lorsque, de chaque côté de l'allée, apparurent comme par magie (Divine) des êtres géants mesurant environ 2,50 mètres et tous entièrement revêtus de lourdes armures d’un jaune or brillant, étincelant. Ils étaient totalement silencieux et avaient surgi comme de nulle part, même s’ils avaient donné l’impression visuelle qu’ils étaient sortis debout des profondeurs de la terre. Tous équipés d’un haut casque et d’une longue lance qu’ils tenaient plaquée verticalement contre leur corps, ils formaient une haie de gardes venant doubler celles des arbres latéraux tout au long du chemin, jusqu'à l'entrée du Temple. Hélène nullement impressionnée, compris qu’il s’agissait des Gardiens du Temple. Elle avançait fièrement, vêtue d'une longue tunique fluide qui descendait jusqu'au sol, mais formée de plusieurs voiles transparents qui laissaient deviner ses formes parfaites. A la mode spartiate, le côté gauche de son peplos était cependant ouvert de haut en bas et on pouvait admirer le galbe de ses jambes et de ses cuisses fuselées. De fines sandales chaussaient ses pieds et un fin voile couvrait sa chevelure d'or. Derrière Elle, Clytia était nue, comme à son habitude, mais portait au cou un splendide collier d'acier rehaussé de pierres précieuses. Un simple anneau retenait une courte chaîne qu’Hélène utilisait comme une laisse pour mener son esclave. Hélène marchait bien droite, son maintien royal affirmant sa position de Maîtresse, Reine, et épouse élue du Dieu Apollon. Avec son esclave toujours en laisse, Hélène parvint jusqu'au pied des marches du vaste escalier de marbre qui menait à l'entrée du temple. En haut de cet escalier monumental, un prêtre apparut alors écartant ses bras en croix afin de faire barrage aux deux femmes. Et d'une voix tonitruante, tout en étant solennelle :
- Stop, femmes ! Ce lieu sacré et consacré à Apollon ne saurait être souillé par la présence d'une créature servile ! Toi tu peux accéder (dit-il en désignant Hélène), mais celle que tu mènes telle une vile chienne ne saurait insulter de sa présence l'harmonie Divine de ce Temple Sacré. Abandonne ici l'esclave, toi Hélène de Sparte, de Troie, ou d'où que tu prétendes venir, car ton Divin Epoux t'attends ! Il y a bien longtemps qu’Il te surveille et ta venue ici, tient du seul fait de Sa Volonté… L'esclave demeure donc ici et nous allons nous charger d'elle…
Il demeurait immobile, sous sa sombre capuche et seuls ses yeux brillants se fixaient sur Hélène. Celle-ci lâcha la chaîne par laquelle elle menait Clytia
- Je vous la cède... usez-en comme bon vous semblera, mais je la veux intacte lorsque je reviendrai, dit-Elle en laissant l'esclave derrière Elle…
Le prêtre claqua alors des doigts comme pour appeler derrière lui en direction de l’intérieur du Temple, tandis qu'Hélène gravissait les premières marches de l’édifice. Plusieurs prêtres entièrement vêtus de sortes de ‘manteaux-toges’ sombres avec un soleil étincelant brodé sur l'épaule gauche sortirent alors subitement du Temple. Ils dévalèrent les escaliers et s'approchèrent de l'esclave et se saisirent de Clytia. Ils étaient plusieurs à l'entourer et à la peloter, à palper ses fesses, ses seins, son ventre, à passer la main sur son crâne rasé, à suivre la trace de la marque d'appartenance frappée au fer rouge dans sa chair... Ils palpaient son intimité... Puis promptement, elle fut affublée d'un lourd joug de bois sur les épaules où ses poignets furent fixés, ainsi que d'épaisses menottes d'acier aux chevilles reliées l'une à l'autre par une chaîne courte qui entravait sa marche. On fixa sans ménagement des pinces à ses tétons. L'acier cranté meurtrissait douloureusement la chair tendre des bouts de ses seins ainsi torturés. Les pinces étaient reliées par une fine chaîne qui pouvait servir aussi de laisse. Et c'est en tirant dessus que l'un des officiants entraîna l'esclave que la douleur provoquée par la tension de la chaîne força à avancer, malgré les poids et les chaînes qui entravaient sa marche. Elle ne pouvait suivre le pas du cortège et les pinces mordaient ses tétons dressés. Elle grimaçait pour le plus grand plaisir des prêtres qui l'entouraient et s'étaient munis de petites branches afin de la flageller tout au long de ce calvaire. Abandonnée de sa Maîtresse qu'elle vénérait tant, Clytia se laissait mener sans résistance, éperdue... Elle subissait cette humiliante et douloureuse épreuve comme absente, ressentant à peine la morsure des branches épineuses qui griffaient sa chair, des pinces qui imprimaient sur ses tétons durcis la marque du supplice. Elle savait que ce n'était là que le début et que sans doute, elle allait subir bien pire pendant que La Belle Hélène irait à l'intérieur du Temple ainsi que le Dieu Apollon l'y avait invitée en s'imposant à ses Songes. Elle était prêt à tout subir, mue par l'espoir qu'à l'issue de tout cela, Hélène reviendrait la prendre et lui permettrait de rester Son esclave tout au long de sa vie...
Le prêtre en chef barrait encore l'accès au temple :
- Défais-toi de tous les artifices, humaine ! Car c'est dans la pureté de ton corps que tu dois te présenter à ton Seigneur et Maître, Le Dieu Apollon Epikourios !, lança-t-il comme un défi en fixant Hélène.
La Belle ne s'en émut guère. Soutenant le regard lubrique de l'homme, elle se défit sans aucune pudeur lentement de tous ses vêtements, jusqu'à apparaître dans le plus simple appareil, dévoilant son sublime corps nu de la plus belle femme du monde. Elle se tenait avec fierté face au religieux, droite, les seins fièrement tendus, ne montrant aucune gêne au moment de se présenter à son Divin Epoux... Le prêtre, à contrecoeur lui céda le passage. Et d'une démarche lente, en ondulant imperceptiblement des hanches, dans la plus insolente et magnifique impudeur, Hélène entra dans le coeur du Temple... Elle se sentait comme écrasée par la majesté de ce Lieu exceptionnel. De chacune des trente colonnes impressionnantes par leur hauteur et épaisseur de circonférence, de chaque pierre semblait s'échapper toute la Divinité de Celui auquel le Temple avait été dédié. Elle se sentait minuscule dans un tel environnement fait de tout silence et de Puissance. Elle avait la nette impression d’être épiée, scrutée. Les deux immenses statues d’Apollon mesurant chacune plus de dix mètres de haut et qui trônait de chaque côté de l’entrée à l’intérieur même du Temple semblait la regarder fixement. Hélène s'avançait sur le sol fait d’immenses dalles de marbre pur lesquelles on pouvait se voir dedans tant qu’elles brillaient d’un éclat faisant refléter, tel un miroir, les hautes colonnes. Chaque pas lui faisant ressentir une forme d'angoisse... Au centre même de la bâtisse un autel de pierre était posé. Paradoxalement au décor, cet autel était simple et nu, comme elle en cet instant. Une force invisible, impalpable la poussait vers cette pierre froide, cette force qui l’a scrutait. Elle s'en approcha et vint s'allonger dessus. Se positionnant comme en offrande, couchée sur le dos, les bras le long de son corps nu, ses cuisses largement ouvertes... Pour la première fois, Hélène la Dominante se sentait dans une position fragile, faible, inférieure, et à ce moment-là, elle ne savait plus si elle était la Belle Hélène ou êta la soumise qu’elle fut ! (voir les douze Servitudes d’Hélène) ...
Il y avait autour d'elle comme une écrasante présence qui envahissait tout... Allongée sur la pierre, elle ferma les yeux et tenta de faire le vide en elle, essaya de se concentrer tout en ressentant tout autour d'elle une Divine Présence si puissante qu'elle en était irréelle... Oui Divine sans aucun doute. Au-dessus de La Belle, une forte Luminosité en forme de sphère de la taille d’une orange commençait de naître. Réfugié dans un recoin du Temple, le prêtre qui l'avait accueillie observait la scène, fasciné... La sphère lumineuse d’un jaune pur, tel de l’or, grandissait, grossissait à vue d’œil, emplissait très vite tout le vaste espace du Temple Sacré, quand soudain, au cœur même de la Luminosité Divine, il y eut comme un éclair d'une puissance inouïe déchirant et traversant tout le Temple ! Dans un grand cri, le prêtre sentit ses yeux en feu fondre dans leurs orbites et, heurtant colonnes et parois, il prit la fuite en aveugle vers la sortie du Temple. La Lumière incandescente formait des volutes orange sur fond jaune et des éclairs tous plus puissants les uns que les autres. On aurait cru assister à un violent orage d’été mais sans pluie, sans tonnerre, juste des éclairs d’une rare intensité et qui se succédaient à un rythme infernale. Des formes multiples qui entouraient le corps d'Hélène offert sur la pierre froide se dessinaient. Les éclairs prenaient vie en se transformant en d’énormes phallus lumineux. C'était comme si plusieurs corps phalliques venaient à elle, l'entouraient, l'enveloppaient, l’a pénétraient. Hélène était comme paralysée, elle voyait ces Lumières Divines prendre forme une à unes, elle voyait ces gros sexes lumineux au gland énorme se durcir et se diriger vers ses orifices et d’autres qui se saisissaient de son corps pour la soulever...
Le corps de la Belle Hélène s'élevait lentement au-dessus de l'autel sur lequel elle s'était installée. Elle flottait à environ 1 bon mètre du sol et sentait qu'elle ne pouvait plus esquisser le moindre geste. Elle ne contrôlait plus ce corps qui était comme manipulé, écartelé par ces tentacules phalliques de Lumière qui jouaient de ses membres, emprisonnaient ses poignets, ses chevilles pour la mettre en croix, pendant que d'autres membres de lumière entraient en elle et investissaient son corps de toutes les façons possibles. Son sexe, son cul, sa bouche étaient offerts à ces membres irréels qui la pénétraient, la fouillaient, la possédaient, la besognaient. Elle était dépossédée de toute réalité, avec l'étrange et effrayante sensation d'être envahie par cette Lumière, que son corps et tout son être étaient totalement dispersés aux quatre coins du Temple et pourtant maintenus ensemble. Elle était à la fois décomposée et recomposée en même temps. Elle se cambrait un peu, mais c'était cette Divine Lumière qui pliait, tordait, écartelait son corps et le possédait totalement. Elle n'avait jamais ressenti une telle possession de son être, c'était comme si des milliers d'épines s'enfonçaient lentement dans sa chair et à l'intérieur d'elle. Mais elle n'aurait su dire si c'était une douleur extrême ou le plaisir absolu et Divin ! Elle n'avait plus de repères, plus de références, son corps n'était plus un, il était multiple... éclaté et rassemblé...
Elle ne respirait plus, des sensations inhumaines s'emparaient d'elle, son corps brûlait et gémissait. Elle était prise de convulsions mais immobilisée par ces traits de lumière qui se jouaient de son corps et de ses sensations. Chose incroyable, elle découvrait soudain comment la jouissance et la souffrance étaient identiques. Car si elle subissait d'incroyables décharges de cette multitude sensations d'épines qui étaient en elle et tout autour d'elle, elle criait aussi de puissants plaisirs jouissifs comme jamais de sa vie terrestre, elle n’avait hurlé autant sa jouissance ! Mais aussi prodigieux que cela puisse être, ses cris étaient muets, car aucun son ne sortait de cette bouche elle aussi envahie de Lumière. Tandis que ce si délicieux supplice se poursuivait, une Voix Divine résonna dans sa tête :
- Tu m'appartiens ! Présomptueuse femelle, tu as oublié que tu n'es rien sans Moi ! Moi ton Epoux et ton Dieu, Moi Apollon ! Je t'ai protégée, soutenue, soignée... Je t'ai observée, guidée... Tu n'es rien en dehors de Moi ! (les convulsions jouissives d’Hélène redoublaient) ce que tu subis maintenant n'est qu'un doux exemple de ce que Je pourrai te faire éternellement, délicieusement subir. Je peux t'imposer cela mais mille fois plus fort, je peux décomposer ton corps de femelle, le plier à Ma Volonté, faire de toi une vile épave... Ne crois surtout pas que ton extrême beauté fait de toi un être exceptionnel. Tu n'es qu'une petite humaine qui a su attirer l'attention des Dieux ! Tant que tu m'amuseras, tu suivras le fil de ta vie, mais avises toi de me décevoir et je t'infligerai un châtiment tel que la seule évocation de ton destin suffira à rendre muettes de frayeurs des générations et des générations d'humains !
Tandis qu’Apollon parlait ainsi, le corps d'Hélène subissait les plus extrêmes outrages. Les Lumières Divines avaient investi chaque atome de son corps et se jouaient de ses sensations de la plus perverse et la plus lubrique des façons. Hélène n'avait aucun contrôle, elle n'était qu'une forme que l'on formait et déformait, investie, emplie, totalement possédée. Elle avait compris qu'il n'y avait aucune résistance possible, le Dieu courroucé lui faisait découvrir sa véritable situation, un jouet dont il usait, abusait, au gré de Sa Fantaisie, qu'il pouvait manipuler et qui lui imposait des sensations dont elle n'avait jamais soupçonné qu'on put les ressentir si puissantes à ce point. Par de brefs instants, Apollon relâchait légèrement Son Emprise pour que la femme puisse reprendre conscience de son corps, juste assez pour qu'elle éprouve ensuite une nouvelle plongée dans un abîme insondable lorsque les membres virils de Lumière reprenaient possession de chaque parcelle de son être. Il étirait ses membres, la pénétrait, l'investissait, l'éparpillait... Et Hélène s'abandonnait comme jamais elle n'avait pu, su, osé le faire. Elle n'était qu'un souffle de vie offert à son Divin Epoux qui lui imposait Sa Puissance.
- C'est bien petite femelle humaine... tu es en train d'apprendre ce que tu es... juste une humaine que j'ai choisie, façonnée et tu m'appartiens, ici et maintenant, demain et à jamais ! Je ferai de toi tout ce qu'il me plaira et même plus, jusqu'à l'inimaginable ! Je n'en ai pas fini avec toi ! … Et Le Dieu éclata d'un rire tonitruant qui fit trembler les colonnes par son intensité !...
Tandis que sa Maîtresse subissait cette incroyable épreuve, mélange de douleur et surtout d’intenses plaisirs orgasmiques, l'esclave Clytia était menée comme une bête... Les pinces mordaient cruellement ses tétons durcis, le poids du joug pesait sur ses épaules meurtries et sa marche était entravée par les fers fixés à ses chevilles. Mais elle avançait, aussi péniblement que ce fut, pliant sous les coups de branches épineuses que lui infligeaient sans pitié les pervers prêtres du Temple d'Apollon. Ils la menèrent loin du Temple, vers un escalier qui s'enfonçait dans le sol. On la poussa sans ménagement sur les marches glissantes sans cesser de la peloter de plusieurs mains vicieuses et baladeuses... La descente fut longue et pénible. Soudain, l'esclave sentit une lourde chaleur qui venait de plus bas encore. Enfin, après une nouvelle volée de marches, elle parvint à son but. Une salle immense, au centre de laquelle s'élevait un grand brasier. Et tout autour, d'incroyables machines de bois et d'acier, machines de ‘’tortures du plaisir’’ sur lesquelles des jeunes femmes nues étaient livrées aux pires tourments orgasmiques ! En effet elles criaient toutes de jouissances ininterrompues. Clytia comprit qu'elle retrouvait là, les vierges qui étaient chaque année offertes au Temple pour le Dieu. Ainsi, les pauvres jeunes femmes devenaient les jouets de ces prêtres pervers qui les avilissaient ainsi, les livrant à d'horribles machineries qui faisaient subir à leurs orifices et à leurs corps les pires outrages mais lesquels outrages, leurs procuraient apparemment de puissants orgasmes sans fin… Un prêtre se saisit du cou de l'esclave :
- Regarde-les ! ordonna-t-il. Ces femelles ont gagné l'immortalité en étant offertes au Dieu Apollon Epikourios. Chaque soupir, chaque gémissement, chaque plainte renforcent Sa Puissance. Elles sont condamnées à l'Eternelle Jouissance. Les machines que tu vois les maintiennent en état d'orgasme permanent et chaque convulsion de leur corps contribue à Sa Grandeur !
En effet, chaque femelle était intégrée, attachée dans une machine différente, où le bois et l'acier les emprisonnait et leur imposait des pénétrations diverses, par d'énormes objets en formes de verges raidies qui allaient et venaient entre leurs cuisses, dans leurs fondements... Les mécanismes perpétuels rendaient le rythme d'une terrible régularité qui imposait aux prisonnières de fulgurants orgasmes auxquels elles ne pouvaient résister et qui se succédaient sans pause. Les prêtres allaient d’une machine à l'autre, s'amusant parfois à promener leurs mains sur les corps nus et offerts... Face à cet incroyable spectacle, Clytia tremblait de stupeur, se demandant si son destin serait d'être ainsi livrée à ces machines... Elle fut poussée en avant...
(A suivre …)
Tandis que deux bergers affolés répandaient dans toute la contrée la légende qui allait perdurer durant des siècles de la créature fabuleuse et dangereuse réfugiée dans une grotte proche de la cité de Philagia, Hélène et Clytia avaient repris le chemin du temple d'Apollon Epikourios, à plusieurs centaines de mètres d'un chemin escarpé et difficile. Il fallut plusieurs heures aux deux femmes et à leur jument rétive face aux dangers de l'ascension, pour gravir la distance qui les séparaient du magnifique édifice, construit il y a déjà longtemps par les habitants de la région pour remercier le Dieu solaire de les avoir sauvés d'une terrible épidémie de peste. Dans la solitude des montagnes arcadiennes, l'immense bâtiment était à la fois sublime et austère. Les habitants s'y rendaient plusieurs fois par an en procession, afin de rendre hommage au Dieu, mais la plupart du temps, les accès en étaient gardés par un groupe de prêtres mystérieux, désignés par le Dieu lui-même et dont on ignorait tout. Ils vivaient des offrandes du peuple qui fournissaient en abondance nourriture, ustensiles et esclaves femelles, destinées à entretenir le site et se consacrer au service des religieux. Certains soirs, le vent qui s'engouffrait entre les monts laissait entendre cris de plaisir ou gémissements plaintifs dont nul n'osait s'interroger sur leur origine, dès lors qu’Apollon Lui-même avait choisi ses serviteurs et protégeait la région…
C'était une étrange atmosphère que découvraient La Belle Hélène et son esclave Clytia, sur cette haute montagne, un vaste plateau où se dressait le Temple, environné de petits arbres secs. Clytia attacha la jument à l'un de ces arbres et les deux femmes prirent seules le chemin du Temple qui occupait tout l'espace, à une centaine de mètres, au bout d'une longue allée au sol damé et revêtue de terre glaise d’argile rouge. Elles avaient franchi moins de la moitié du parcours lorsque, de chaque côté de l'allée, apparurent comme par magie (Divine) des êtres géants mesurant environ 2,50 mètres et tous entièrement revêtus de lourdes armures d’un jaune or brillant, étincelant. Ils étaient totalement silencieux et avaient surgi comme de nulle part, même s’ils avaient donné l’impression visuelle qu’ils étaient sortis debout des profondeurs de la terre. Tous équipés d’un haut casque et d’une longue lance qu’ils tenaient plaquée verticalement contre leur corps, ils formaient une haie de gardes venant doubler celles des arbres latéraux tout au long du chemin, jusqu'à l'entrée du Temple. Hélène nullement impressionnée, compris qu’il s’agissait des Gardiens du Temple. Elle avançait fièrement, vêtue d'une longue tunique fluide qui descendait jusqu'au sol, mais formée de plusieurs voiles transparents qui laissaient deviner ses formes parfaites. A la mode spartiate, le côté gauche de son peplos était cependant ouvert de haut en bas et on pouvait admirer le galbe de ses jambes et de ses cuisses fuselées. De fines sandales chaussaient ses pieds et un fin voile couvrait sa chevelure d'or. Derrière Elle, Clytia était nue, comme à son habitude, mais portait au cou un splendide collier d'acier rehaussé de pierres précieuses. Un simple anneau retenait une courte chaîne qu’Hélène utilisait comme une laisse pour mener son esclave. Hélène marchait bien droite, son maintien royal affirmant sa position de Maîtresse, Reine, et épouse élue du Dieu Apollon. Avec son esclave toujours en laisse, Hélène parvint jusqu'au pied des marches du vaste escalier de marbre qui menait à l'entrée du temple. En haut de cet escalier monumental, un prêtre apparut alors écartant ses bras en croix afin de faire barrage aux deux femmes. Et d'une voix tonitruante, tout en étant solennelle :
- Stop, femmes ! Ce lieu sacré et consacré à Apollon ne saurait être souillé par la présence d'une créature servile ! Toi tu peux accéder (dit-il en désignant Hélène), mais celle que tu mènes telle une vile chienne ne saurait insulter de sa présence l'harmonie Divine de ce Temple Sacré. Abandonne ici l'esclave, toi Hélène de Sparte, de Troie, ou d'où que tu prétendes venir, car ton Divin Epoux t'attends ! Il y a bien longtemps qu’Il te surveille et ta venue ici, tient du seul fait de Sa Volonté… L'esclave demeure donc ici et nous allons nous charger d'elle…
Il demeurait immobile, sous sa sombre capuche et seuls ses yeux brillants se fixaient sur Hélène. Celle-ci lâcha la chaîne par laquelle elle menait Clytia
- Je vous la cède... usez-en comme bon vous semblera, mais je la veux intacte lorsque je reviendrai, dit-Elle en laissant l'esclave derrière Elle…
Le prêtre claqua alors des doigts comme pour appeler derrière lui en direction de l’intérieur du Temple, tandis qu'Hélène gravissait les premières marches de l’édifice. Plusieurs prêtres entièrement vêtus de sortes de ‘manteaux-toges’ sombres avec un soleil étincelant brodé sur l'épaule gauche sortirent alors subitement du Temple. Ils dévalèrent les escaliers et s'approchèrent de l'esclave et se saisirent de Clytia. Ils étaient plusieurs à l'entourer et à la peloter, à palper ses fesses, ses seins, son ventre, à passer la main sur son crâne rasé, à suivre la trace de la marque d'appartenance frappée au fer rouge dans sa chair... Ils palpaient son intimité... Puis promptement, elle fut affublée d'un lourd joug de bois sur les épaules où ses poignets furent fixés, ainsi que d'épaisses menottes d'acier aux chevilles reliées l'une à l'autre par une chaîne courte qui entravait sa marche. On fixa sans ménagement des pinces à ses tétons. L'acier cranté meurtrissait douloureusement la chair tendre des bouts de ses seins ainsi torturés. Les pinces étaient reliées par une fine chaîne qui pouvait servir aussi de laisse. Et c'est en tirant dessus que l'un des officiants entraîna l'esclave que la douleur provoquée par la tension de la chaîne força à avancer, malgré les poids et les chaînes qui entravaient sa marche. Elle ne pouvait suivre le pas du cortège et les pinces mordaient ses tétons dressés. Elle grimaçait pour le plus grand plaisir des prêtres qui l'entouraient et s'étaient munis de petites branches afin de la flageller tout au long de ce calvaire. Abandonnée de sa Maîtresse qu'elle vénérait tant, Clytia se laissait mener sans résistance, éperdue... Elle subissait cette humiliante et douloureuse épreuve comme absente, ressentant à peine la morsure des branches épineuses qui griffaient sa chair, des pinces qui imprimaient sur ses tétons durcis la marque du supplice. Elle savait que ce n'était là que le début et que sans doute, elle allait subir bien pire pendant que La Belle Hélène irait à l'intérieur du Temple ainsi que le Dieu Apollon l'y avait invitée en s'imposant à ses Songes. Elle était prêt à tout subir, mue par l'espoir qu'à l'issue de tout cela, Hélène reviendrait la prendre et lui permettrait de rester Son esclave tout au long de sa vie...
Le prêtre en chef barrait encore l'accès au temple :
- Défais-toi de tous les artifices, humaine ! Car c'est dans la pureté de ton corps que tu dois te présenter à ton Seigneur et Maître, Le Dieu Apollon Epikourios !, lança-t-il comme un défi en fixant Hélène.
La Belle ne s'en émut guère. Soutenant le regard lubrique de l'homme, elle se défit sans aucune pudeur lentement de tous ses vêtements, jusqu'à apparaître dans le plus simple appareil, dévoilant son sublime corps nu de la plus belle femme du monde. Elle se tenait avec fierté face au religieux, droite, les seins fièrement tendus, ne montrant aucune gêne au moment de se présenter à son Divin Epoux... Le prêtre, à contrecoeur lui céda le passage. Et d'une démarche lente, en ondulant imperceptiblement des hanches, dans la plus insolente et magnifique impudeur, Hélène entra dans le coeur du Temple... Elle se sentait comme écrasée par la majesté de ce Lieu exceptionnel. De chacune des trente colonnes impressionnantes par leur hauteur et épaisseur de circonférence, de chaque pierre semblait s'échapper toute la Divinité de Celui auquel le Temple avait été dédié. Elle se sentait minuscule dans un tel environnement fait de tout silence et de Puissance. Elle avait la nette impression d’être épiée, scrutée. Les deux immenses statues d’Apollon mesurant chacune plus de dix mètres de haut et qui trônait de chaque côté de l’entrée à l’intérieur même du Temple semblait la regarder fixement. Hélène s'avançait sur le sol fait d’immenses dalles de marbre pur lesquelles on pouvait se voir dedans tant qu’elles brillaient d’un éclat faisant refléter, tel un miroir, les hautes colonnes. Chaque pas lui faisant ressentir une forme d'angoisse... Au centre même de la bâtisse un autel de pierre était posé. Paradoxalement au décor, cet autel était simple et nu, comme elle en cet instant. Une force invisible, impalpable la poussait vers cette pierre froide, cette force qui l’a scrutait. Elle s'en approcha et vint s'allonger dessus. Se positionnant comme en offrande, couchée sur le dos, les bras le long de son corps nu, ses cuisses largement ouvertes... Pour la première fois, Hélène la Dominante se sentait dans une position fragile, faible, inférieure, et à ce moment-là, elle ne savait plus si elle était la Belle Hélène ou êta la soumise qu’elle fut ! (voir les douze Servitudes d’Hélène) ...
Il y avait autour d'elle comme une écrasante présence qui envahissait tout... Allongée sur la pierre, elle ferma les yeux et tenta de faire le vide en elle, essaya de se concentrer tout en ressentant tout autour d'elle une Divine Présence si puissante qu'elle en était irréelle... Oui Divine sans aucun doute. Au-dessus de La Belle, une forte Luminosité en forme de sphère de la taille d’une orange commençait de naître. Réfugié dans un recoin du Temple, le prêtre qui l'avait accueillie observait la scène, fasciné... La sphère lumineuse d’un jaune pur, tel de l’or, grandissait, grossissait à vue d’œil, emplissait très vite tout le vaste espace du Temple Sacré, quand soudain, au cœur même de la Luminosité Divine, il y eut comme un éclair d'une puissance inouïe déchirant et traversant tout le Temple ! Dans un grand cri, le prêtre sentit ses yeux en feu fondre dans leurs orbites et, heurtant colonnes et parois, il prit la fuite en aveugle vers la sortie du Temple. La Lumière incandescente formait des volutes orange sur fond jaune et des éclairs tous plus puissants les uns que les autres. On aurait cru assister à un violent orage d’été mais sans pluie, sans tonnerre, juste des éclairs d’une rare intensité et qui se succédaient à un rythme infernale. Des formes multiples qui entouraient le corps d'Hélène offert sur la pierre froide se dessinaient. Les éclairs prenaient vie en se transformant en d’énormes phallus lumineux. C'était comme si plusieurs corps phalliques venaient à elle, l'entouraient, l'enveloppaient, l’a pénétraient. Hélène était comme paralysée, elle voyait ces Lumières Divines prendre forme une à unes, elle voyait ces gros sexes lumineux au gland énorme se durcir et se diriger vers ses orifices et d’autres qui se saisissaient de son corps pour la soulever...
Le corps de la Belle Hélène s'élevait lentement au-dessus de l'autel sur lequel elle s'était installée. Elle flottait à environ 1 bon mètre du sol et sentait qu'elle ne pouvait plus esquisser le moindre geste. Elle ne contrôlait plus ce corps qui était comme manipulé, écartelé par ces tentacules phalliques de Lumière qui jouaient de ses membres, emprisonnaient ses poignets, ses chevilles pour la mettre en croix, pendant que d'autres membres de lumière entraient en elle et investissaient son corps de toutes les façons possibles. Son sexe, son cul, sa bouche étaient offerts à ces membres irréels qui la pénétraient, la fouillaient, la possédaient, la besognaient. Elle était dépossédée de toute réalité, avec l'étrange et effrayante sensation d'être envahie par cette Lumière, que son corps et tout son être étaient totalement dispersés aux quatre coins du Temple et pourtant maintenus ensemble. Elle était à la fois décomposée et recomposée en même temps. Elle se cambrait un peu, mais c'était cette Divine Lumière qui pliait, tordait, écartelait son corps et le possédait totalement. Elle n'avait jamais ressenti une telle possession de son être, c'était comme si des milliers d'épines s'enfonçaient lentement dans sa chair et à l'intérieur d'elle. Mais elle n'aurait su dire si c'était une douleur extrême ou le plaisir absolu et Divin ! Elle n'avait plus de repères, plus de références, son corps n'était plus un, il était multiple... éclaté et rassemblé...
Elle ne respirait plus, des sensations inhumaines s'emparaient d'elle, son corps brûlait et gémissait. Elle était prise de convulsions mais immobilisée par ces traits de lumière qui se jouaient de son corps et de ses sensations. Chose incroyable, elle découvrait soudain comment la jouissance et la souffrance étaient identiques. Car si elle subissait d'incroyables décharges de cette multitude sensations d'épines qui étaient en elle et tout autour d'elle, elle criait aussi de puissants plaisirs jouissifs comme jamais de sa vie terrestre, elle n’avait hurlé autant sa jouissance ! Mais aussi prodigieux que cela puisse être, ses cris étaient muets, car aucun son ne sortait de cette bouche elle aussi envahie de Lumière. Tandis que ce si délicieux supplice se poursuivait, une Voix Divine résonna dans sa tête :
- Tu m'appartiens ! Présomptueuse femelle, tu as oublié que tu n'es rien sans Moi ! Moi ton Epoux et ton Dieu, Moi Apollon ! Je t'ai protégée, soutenue, soignée... Je t'ai observée, guidée... Tu n'es rien en dehors de Moi ! (les convulsions jouissives d’Hélène redoublaient) ce que tu subis maintenant n'est qu'un doux exemple de ce que Je pourrai te faire éternellement, délicieusement subir. Je peux t'imposer cela mais mille fois plus fort, je peux décomposer ton corps de femelle, le plier à Ma Volonté, faire de toi une vile épave... Ne crois surtout pas que ton extrême beauté fait de toi un être exceptionnel. Tu n'es qu'une petite humaine qui a su attirer l'attention des Dieux ! Tant que tu m'amuseras, tu suivras le fil de ta vie, mais avises toi de me décevoir et je t'infligerai un châtiment tel que la seule évocation de ton destin suffira à rendre muettes de frayeurs des générations et des générations d'humains !
Tandis qu’Apollon parlait ainsi, le corps d'Hélène subissait les plus extrêmes outrages. Les Lumières Divines avaient investi chaque atome de son corps et se jouaient de ses sensations de la plus perverse et la plus lubrique des façons. Hélène n'avait aucun contrôle, elle n'était qu'une forme que l'on formait et déformait, investie, emplie, totalement possédée. Elle avait compris qu'il n'y avait aucune résistance possible, le Dieu courroucé lui faisait découvrir sa véritable situation, un jouet dont il usait, abusait, au gré de Sa Fantaisie, qu'il pouvait manipuler et qui lui imposait des sensations dont elle n'avait jamais soupçonné qu'on put les ressentir si puissantes à ce point. Par de brefs instants, Apollon relâchait légèrement Son Emprise pour que la femme puisse reprendre conscience de son corps, juste assez pour qu'elle éprouve ensuite une nouvelle plongée dans un abîme insondable lorsque les membres virils de Lumière reprenaient possession de chaque parcelle de son être. Il étirait ses membres, la pénétrait, l'investissait, l'éparpillait... Et Hélène s'abandonnait comme jamais elle n'avait pu, su, osé le faire. Elle n'était qu'un souffle de vie offert à son Divin Epoux qui lui imposait Sa Puissance.
- C'est bien petite femelle humaine... tu es en train d'apprendre ce que tu es... juste une humaine que j'ai choisie, façonnée et tu m'appartiens, ici et maintenant, demain et à jamais ! Je ferai de toi tout ce qu'il me plaira et même plus, jusqu'à l'inimaginable ! Je n'en ai pas fini avec toi ! … Et Le Dieu éclata d'un rire tonitruant qui fit trembler les colonnes par son intensité !...
Tandis que sa Maîtresse subissait cette incroyable épreuve, mélange de douleur et surtout d’intenses plaisirs orgasmiques, l'esclave Clytia était menée comme une bête... Les pinces mordaient cruellement ses tétons durcis, le poids du joug pesait sur ses épaules meurtries et sa marche était entravée par les fers fixés à ses chevilles. Mais elle avançait, aussi péniblement que ce fut, pliant sous les coups de branches épineuses que lui infligeaient sans pitié les pervers prêtres du Temple d'Apollon. Ils la menèrent loin du Temple, vers un escalier qui s'enfonçait dans le sol. On la poussa sans ménagement sur les marches glissantes sans cesser de la peloter de plusieurs mains vicieuses et baladeuses... La descente fut longue et pénible. Soudain, l'esclave sentit une lourde chaleur qui venait de plus bas encore. Enfin, après une nouvelle volée de marches, elle parvint à son but. Une salle immense, au centre de laquelle s'élevait un grand brasier. Et tout autour, d'incroyables machines de bois et d'acier, machines de ‘’tortures du plaisir’’ sur lesquelles des jeunes femmes nues étaient livrées aux pires tourments orgasmiques ! En effet elles criaient toutes de jouissances ininterrompues. Clytia comprit qu'elle retrouvait là, les vierges qui étaient chaque année offertes au Temple pour le Dieu. Ainsi, les pauvres jeunes femmes devenaient les jouets de ces prêtres pervers qui les avilissaient ainsi, les livrant à d'horribles machineries qui faisaient subir à leurs orifices et à leurs corps les pires outrages mais lesquels outrages, leurs procuraient apparemment de puissants orgasmes sans fin… Un prêtre se saisit du cou de l'esclave :
- Regarde-les ! ordonna-t-il. Ces femelles ont gagné l'immortalité en étant offertes au Dieu Apollon Epikourios. Chaque soupir, chaque gémissement, chaque plainte renforcent Sa Puissance. Elles sont condamnées à l'Eternelle Jouissance. Les machines que tu vois les maintiennent en état d'orgasme permanent et chaque convulsion de leur corps contribue à Sa Grandeur !
En effet, chaque femelle était intégrée, attachée dans une machine différente, où le bois et l'acier les emprisonnait et leur imposait des pénétrations diverses, par d'énormes objets en formes de verges raidies qui allaient et venaient entre leurs cuisses, dans leurs fondements... Les mécanismes perpétuels rendaient le rythme d'une terrible régularité qui imposait aux prisonnières de fulgurants orgasmes auxquels elles ne pouvaient résister et qui se succédaient sans pause. Les prêtres allaient d’une machine à l'autre, s'amusant parfois à promener leurs mains sur les corps nus et offerts... Face à cet incroyable spectacle, Clytia tremblait de stupeur, se demandant si son destin serait d'être ainsi livrée à ces machines... Elle fut poussée en avant...
(A suivre …)
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