L'Odyssée de La Belle Hélène : Clytia mise en vente –
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-05-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'Odyssée de La Belle Hélène : Clytia mise en vente –
L'Odyssée de La Belle Hélène : Clytia mise en vente –
Parfaitement apprêtée, Clytia attendit ensuite le moment d'être présentée. Elle avait été laissée seule dans une pièce sombre et exigüe, nue, assise sur un siège inconfortable. Elle avait été laissée dans l'ignorance de ce qui l'attendait précisément. Elle savait seulement qu'elle allait être vendue aux enchères à des clients fortunés du bordel désormais tenu par Thaïs sous l'Autorité de La Belle Hélène. Cela suffisait à l'esclave, sa Maîtresse tant Vénérée avait choisi pour elle, et cela seul comptait ! De toute façon, elle avait déjà été traitée comme une simple marchandise, dénudée, exhibée et mise en vente, telle un animal à la foire, objet des appétits et des désirs d'hommes riches, prêts à des folies pour acquérir le pouvoir, fut-il éphémère, d'user et abuser de son corps... Elle le savait, c'était là une partie de son destin, elle l'acceptait et souvent même elle l'appréciait, elle en jouissait d’être ainsi traitée... Mais surtout, il n'était rien qui puisse la combler plus que d'obéir à Hélène, quoi que Celle-ci exige ! Car être enfin, et de nouveau, à Ses pieds, avoir retrouvé sa Maîtresse, rien ne pouvait rendre l’esclave aussi heureuse.
Dans son cagibi aveugle, elle ne pouvait qu'imaginer ce qui se passait dans l'établissement. Plongée d'abord dans le noir et le silence, elle perçut peu à peu un brouhaha qui montait... Sans savoir précisément où se trouvait le lieu où elle attendait, elle imaginait que la salle principale n'était pas très loin, à en croire la rumeur et les accords de musique qui emplissaient peu à peu l'espace. Dénudée, on lui avait ordonné de rester assise, les cuisses écartées et on lui avait lié les mains dans le dos... Des heures écoulées peut-être depuis sa toilette et le rasage minutieux dont elle avait été l'objet, quand enfin, la porte s'ouvrit et elle baissa les yeux, gênés par la lumière pourtant diffuse qui émanait de l'extérieur de la pièce. C’était un géant ! Un haut homme de plus de 2 mètres à la couleur d’ébène vêtu d'un simple pagne, grand et très musclé, à la carrure d’haltérophile et portant le collier des esclaves. Il la détacha et la saisit par l'épaule pour la faire lever puis la pousser hors de la pièce. Il ne parlait pas, la regardait à peine, indifférent à un tel point qu'elle en fut presque vexée... Mais, l’esclave mâle n’était pas insensible à sa beauté et une onde de satisfaction parcourut cependant l'échine de Clytia lorsqu'il posa sa main épaisse sur sa croupe et lui pétrit lentement les fesses, glissant un doigt aussi épais qu'une branche d'arbre dans sa raie, sans toutefois pousser plus avant son investigation. Elle était nue, son corps parfaitement lisse, crâne compris. On avait maquillé son visage, ses aréoles et ses lèvres intimes... Elle sentit son mamelon durcir lorsque l'homme la retint d'avancer encore… Il devait être en érection car la bosse sous son pagne laissait deviner son excitation alors que rien d’autre en apparence laissait entrevoir qu’il était émoustillé par cette femelle. Sans la regarder, il souleva son cache-sexe et dévoila une énorme paire de couilles digne de celles d’un taureau avec une volumineuse verge droite et épaisse, au gland énorme et turgescent, violacé, qui se présentait dressé à elle. Elle avait envie de cette grosse queue exhibée, elle en mouillait rien qu’à l’idée qu’elle pourrait la baiser d’un simple coup de reins ! Alors, au moment où Clytia voulut se baisser pour le sucer, l’esclave sans un mot rabattit son pagne, il la regarda enfin et sans un mot, il déplia ses lèvres… avec un sourire enfantin ! Il était assez insolite de voir cet impressionnant géant lui sourire aussi naïvement ! Puis toujours sans parler, il lui ordonna d’avancer d’un geste vif de la main… Ils avançaient lentement et venaient de traverser le long et étroit couloir et se tenaient maintenant devant un rideau cramoisi derrière lequel Clytia pouvait percevoir l'ampleur de l'animation dans le bordel devenu le plus couru de toute la Cité provisoire érigée aux alentours d'Olympie…
La musique cessa, les conversations baissèrent d'un ton, jusqu'à s'éteindre presque totalement. Juste un roulement de tambour ininterrompu continuait à se faire entendre... Une main féminine tira le rideau et son géant gardien poussa doucement l'esclave qui entra sur une scène faite de planches de bois, surplombant la salle... L'orchestre, composé de tambours à peau de chèvre et de primaires flûtes de bambou était sur le côté, la foule des clients en léger contrebas et tous les regards convergeaient maintenant vers Clytia. Elle s'avança jusqu'au centre de la scène, délimité par une série de torches formant un cercle de feu. Clytia avait parfaitement compris à quelle place elle devrait se tenir et d'un pas décidé, s'installa au centre des torches, les flammes faisant danser les ombres sur son corps nu et mettant en valeur une sensualité hors norme... Sans qu’Hélène ou Thaïs, qui se tenaient pour le moment sur un côté, eussent à lui en enjoindre l'ordre, elle se tint bien droite face à la foule murmurante, les clients délaissant les putains habituelles qui tentaient pourtant de les ramener à elles... Mais leurs mines boudeuses ou leurs poses lascives ne pouvaient rivaliser avec le corps si parfait de l'esclave qui se tenait maintenant sur la scène, totalement nue et dont ils savaient que certains auraient la chance de pouvoir user et abuser dès le soir même...
Clytia fit un signe bref aux musiciens, une mélopée commença à s'élever, lentement, et l'esclave commença à bouger, d'abord très lentement, ondulant telle un serpent, faisant saillir sa croupe, remontant ses seins lourds mais si fermes ! La musique emplissait peu à peu le silence et Clytia occupait l'espace, subjuguait les regards... Elle dansait, voluptueusement, avec lenteur et lascivité, exposant avec la plus totale impudeur tout son corps, sans rien cacher, au contraire, n'hésitant pas à user de ses mains pour rendre plus visibles ses parties les plus intimes. La musique gonflait, s'accélérait et la danse suivait, l'esclave s'abandonnait à une sorte de frénésie érotique, s'exhibant sans aucune retenue, son corps maintenant comme habité par une sorte de transe... Les clients demeuraient bouche bée devant ce spectacle, certains même se branlaient, ou saisissaient la main d'une putain assises sur leurs genoux pour qu'elle se charge de leur verge saillante. Quand soudain, un claquement sec suffit à interrompre la musique et à stopper Clytia qui se cabra l'espace d'un très court instant, puis se recroquevilla sur le sol, maintenant immobile. Le long fouet de cuir tressé venait de s'abattre avec violence sur son dos, y laissant une fine zébrure rougie. Le fouet siffla encore quatre fois dans l'air, s'abattant sèchement sur l'esclave qui ne bougeait plus, n'esquissait pas le moindre mouvement pour tenter d'échapper à cette sévère flagellation. Quelques coups seulement, mais de quelle puissance !
C'est Thaïs qui maniait le long serpent de cuir finement tressé, Hélène lui ayant confié la mission de diriger cette soirée un peu spéciale. La Belle Hélène tenait à assister au spectacle en se détendant, voulant profiter de cette épreuve qu'Elle avait voulu infliger à Son esclave la plus chérie... Ainsi c'est la tenancière, ex-putain, qui s'avança vers l'esclave femelle blottie sur le sol. Elle fit claquer le fouet sur le sol, tout près de Clytia qui sursauta et sut immédiatement que le moment était venu de se lever. L'esclave se releva donc, sentant le poids du regard de Thaïs sur elle et imaginant seulement, mais avec tellement de désir, La Belle Hélène contemplant de son alcôve la façon dont elle allait s'appliquer à combler Ses attentes. Thaïs fit virevolter son fouet au-dessus de la tête de l’esclave au crâne rasé et le fit s'enrouler avec une diabolique habileté autour du cou de l'esclave, avec juste assez de souplesse pour que le cuir fin morde la chair sans la blesser. Se donnant un peu de mou, elle s'avança vers le bord de la scène, attirant Clytia à sa suite, le fouet lui faisant comme une laisse. La menant ainsi au bout de son épaisse lanière, elle fit évoluer l'esclave sur le devant de la scène, afin que tous puissent la contempler. Peu à peu, les langues commençaient à se délier et les commentaires accompagnaient cette "présentation" de l'esclave... Les putains, jalouses, susurraient des commentaires grivois et méchants à l'oreille des clients dont elles tentaient de capter l'attention. Mais si ceux-ci riaient parfois des réflexions, leur regard ne pouvait se détacher de cette nudité si parfaite qui leur était offerte. Afin de finir de captiver l'attention, Thaïs tira d'un coup sec sur le fouet, stoppant la marche de Clytia et la forçant à quitter l'estrade pour descendre entre les tables. Toujours tenue au bout du fouet, Clytia évoluait maintenant dans la salle, frôlant les tables et les clients, creusant ses reins se cambrant, laissant parfois une main s'égarer un bref instant sur sa peau lisse et parfumée...
On l'interpellait, on l'insultait aussi (des voix féminines en général) et une putain se permit même de lui cracher au visage... Avant même que le crachat fut venu s'écraser sur l'aile du nez de Clytia, deux eunuques puissants s'étaient saisis de la putain qui venait de cracher et l'entraînèrent à l’extérieur pour y être châtiée. L'homme qui l'accompagnait resta silencieux et immobile, tandis que les deux colosses traînaient la pornaï vers la sortie en la tenant sans pitié par les cheveux. Ainsi que cela avait été prévu, les deux eunuques arrachèrent sa courte tunique à la femme, et l'attachèrent nue à un poteau, devant l'entrée du bordel... Une pancarte était clouée à ce poteau, indiquant que la putain attachée-là était punie et mise gratuitement à la disposition de tous ! La putain sanglotait tandis que déjà s'approchaient la lie de la Cité provisoire, tous ceux qui n'avaient pas les moyens de se rendre de temps en temps au bordel et se réjouissaient de pouvoir ainsi jouir sans frais d'une telle offrande. Plusieurs se tenaient les couilles en la regardant lorsque le premier d'entre eux s'approcha, la saisit par les cheveux et la saisit aux hanches pour la soulever et l'adosser au poteau afin de la baiser avant de la laisser à d'autres…
A l'intérieur, Clytia poursuivait sa lascive déambulation, sous le contrôle du fouet de Thaïs. Raidissant soudain sa prise, Thaïs tira d'un coup sec, faisant trébucher Clytia qui tomba assise sur le sol. Comprenant ce que cela signifiait, l'esclave s'allongea sur le sol, ouvrit largement ses cuisses et commença à se peloter les seins, s'offrant ainsi en spectacle à tous les hommes qui se pressaient maintenant autour d'elle. Ce n'était plus une danse mais une obscène exhibition des plus sensuelles qu'elle offrait à ses potentiels futurs acheteurs d'un soir. Elle laissait ses doigts fins s'égarer dans sa chatte humide, se pinçant le téton de l'autre main. Elle se roulait sur le sol, se cambrant pour faire saillir son cul aux formes idéales... Offrant en se creusant les reins une vue sans obstacle sur sa fente et son cul qu'elle révélait plus encore en s'aidant de ses mains pour écarter ses deux belles fesses si fermes et galbées. Thaïs tirait maintenant sur le fouet, Clytia se soumettant au mouvement exigé, pour ramper à quatre pattes vers la scène, sans oublier d'onduler de la croupe... chienne docile, elle fendait ainsi la foule qui s'écartait avec réticence pour la laisser passer, les eunuques de chaque côté devant elle et lui faisant le passage. Des mains se tendit pour au moins l'effleurer, la toucher juste un instant. Lentement, Clytia remonta sur la scène, toujours dirigée par le fouet qui lui faisait une laisse serrée autour de son cou.
- Debout !, ordonna laconiquement Thaïs.
Et l'esclave se redressa, la tenancière la libérant enfin du fouet qui lui laissa quand même une trace rouge au cou ... Thaïs jeta le fouet vers une esclave qui attendait au fond de la scène et attira Clytia à elle. La tenant ainsi contre elle, vêtue d'une courte tunique qui épousait toutes les formes exquises de son corps charnu, elle revint tout au bord de la scène... Gardant une main refermée comme une serre sur la nuque de l'esclave, elle commença à caresser les seins de Clytia, son ventre, ses hanches, sa chatte...
- Voici donc venu le moment !, lança la tenancière, l'esclave que voici va vous être vendue, pour un moment de plaisirs comme toutes nos putains ici ! Mais cette esclave est bien plus qu’une simple putain pour satisfaire vos désirs les plus inavouables... Les plus ambitieux vont pouvoir montrer leur richesse en s'offrant un moment exceptionnel avec cette magnifique et unique esclave, pour lui faire tout ce qu'ils voudront ! Mais attention, seulement le temps de réaliser vos plus incroyables désirs, puis viendra le tour d'un autre ! Et c'est ici, sur cette scène, sous les yeux de tous, que vous pourrez user et abuser de cette chienne, pénétrer ses orifices, la posséder, la souiller, elle acceptera tout ! Et même plus, si vous en avez l'imagination... Et les moyens !, lança Thaïs.
Soulevant une formidable vague d'enthousiasme bruyant à ses mots, Thaïs regarda la Belle Hélène, qui d’un signe de tête, lui marqua sa pleine satisfaction... Les enchères pouvaient commencer. Hélène s'installa plus confortablement dans son siège moelleux, jambes largement écartées, Elle appuya sur la nuque de l'éphèbe qui était en train de La lécher entre ses cuisses... Elle avait envie de savourer ce qui allait suivre...
(A suivre…)
Parfaitement apprêtée, Clytia attendit ensuite le moment d'être présentée. Elle avait été laissée seule dans une pièce sombre et exigüe, nue, assise sur un siège inconfortable. Elle avait été laissée dans l'ignorance de ce qui l'attendait précisément. Elle savait seulement qu'elle allait être vendue aux enchères à des clients fortunés du bordel désormais tenu par Thaïs sous l'Autorité de La Belle Hélène. Cela suffisait à l'esclave, sa Maîtresse tant Vénérée avait choisi pour elle, et cela seul comptait ! De toute façon, elle avait déjà été traitée comme une simple marchandise, dénudée, exhibée et mise en vente, telle un animal à la foire, objet des appétits et des désirs d'hommes riches, prêts à des folies pour acquérir le pouvoir, fut-il éphémère, d'user et abuser de son corps... Elle le savait, c'était là une partie de son destin, elle l'acceptait et souvent même elle l'appréciait, elle en jouissait d’être ainsi traitée... Mais surtout, il n'était rien qui puisse la combler plus que d'obéir à Hélène, quoi que Celle-ci exige ! Car être enfin, et de nouveau, à Ses pieds, avoir retrouvé sa Maîtresse, rien ne pouvait rendre l’esclave aussi heureuse.
Dans son cagibi aveugle, elle ne pouvait qu'imaginer ce qui se passait dans l'établissement. Plongée d'abord dans le noir et le silence, elle perçut peu à peu un brouhaha qui montait... Sans savoir précisément où se trouvait le lieu où elle attendait, elle imaginait que la salle principale n'était pas très loin, à en croire la rumeur et les accords de musique qui emplissaient peu à peu l'espace. Dénudée, on lui avait ordonné de rester assise, les cuisses écartées et on lui avait lié les mains dans le dos... Des heures écoulées peut-être depuis sa toilette et le rasage minutieux dont elle avait été l'objet, quand enfin, la porte s'ouvrit et elle baissa les yeux, gênés par la lumière pourtant diffuse qui émanait de l'extérieur de la pièce. C’était un géant ! Un haut homme de plus de 2 mètres à la couleur d’ébène vêtu d'un simple pagne, grand et très musclé, à la carrure d’haltérophile et portant le collier des esclaves. Il la détacha et la saisit par l'épaule pour la faire lever puis la pousser hors de la pièce. Il ne parlait pas, la regardait à peine, indifférent à un tel point qu'elle en fut presque vexée... Mais, l’esclave mâle n’était pas insensible à sa beauté et une onde de satisfaction parcourut cependant l'échine de Clytia lorsqu'il posa sa main épaisse sur sa croupe et lui pétrit lentement les fesses, glissant un doigt aussi épais qu'une branche d'arbre dans sa raie, sans toutefois pousser plus avant son investigation. Elle était nue, son corps parfaitement lisse, crâne compris. On avait maquillé son visage, ses aréoles et ses lèvres intimes... Elle sentit son mamelon durcir lorsque l'homme la retint d'avancer encore… Il devait être en érection car la bosse sous son pagne laissait deviner son excitation alors que rien d’autre en apparence laissait entrevoir qu’il était émoustillé par cette femelle. Sans la regarder, il souleva son cache-sexe et dévoila une énorme paire de couilles digne de celles d’un taureau avec une volumineuse verge droite et épaisse, au gland énorme et turgescent, violacé, qui se présentait dressé à elle. Elle avait envie de cette grosse queue exhibée, elle en mouillait rien qu’à l’idée qu’elle pourrait la baiser d’un simple coup de reins ! Alors, au moment où Clytia voulut se baisser pour le sucer, l’esclave sans un mot rabattit son pagne, il la regarda enfin et sans un mot, il déplia ses lèvres… avec un sourire enfantin ! Il était assez insolite de voir cet impressionnant géant lui sourire aussi naïvement ! Puis toujours sans parler, il lui ordonna d’avancer d’un geste vif de la main… Ils avançaient lentement et venaient de traverser le long et étroit couloir et se tenaient maintenant devant un rideau cramoisi derrière lequel Clytia pouvait percevoir l'ampleur de l'animation dans le bordel devenu le plus couru de toute la Cité provisoire érigée aux alentours d'Olympie…
La musique cessa, les conversations baissèrent d'un ton, jusqu'à s'éteindre presque totalement. Juste un roulement de tambour ininterrompu continuait à se faire entendre... Une main féminine tira le rideau et son géant gardien poussa doucement l'esclave qui entra sur une scène faite de planches de bois, surplombant la salle... L'orchestre, composé de tambours à peau de chèvre et de primaires flûtes de bambou était sur le côté, la foule des clients en léger contrebas et tous les regards convergeaient maintenant vers Clytia. Elle s'avança jusqu'au centre de la scène, délimité par une série de torches formant un cercle de feu. Clytia avait parfaitement compris à quelle place elle devrait se tenir et d'un pas décidé, s'installa au centre des torches, les flammes faisant danser les ombres sur son corps nu et mettant en valeur une sensualité hors norme... Sans qu’Hélène ou Thaïs, qui se tenaient pour le moment sur un côté, eussent à lui en enjoindre l'ordre, elle se tint bien droite face à la foule murmurante, les clients délaissant les putains habituelles qui tentaient pourtant de les ramener à elles... Mais leurs mines boudeuses ou leurs poses lascives ne pouvaient rivaliser avec le corps si parfait de l'esclave qui se tenait maintenant sur la scène, totalement nue et dont ils savaient que certains auraient la chance de pouvoir user et abuser dès le soir même...
Clytia fit un signe bref aux musiciens, une mélopée commença à s'élever, lentement, et l'esclave commença à bouger, d'abord très lentement, ondulant telle un serpent, faisant saillir sa croupe, remontant ses seins lourds mais si fermes ! La musique emplissait peu à peu le silence et Clytia occupait l'espace, subjuguait les regards... Elle dansait, voluptueusement, avec lenteur et lascivité, exposant avec la plus totale impudeur tout son corps, sans rien cacher, au contraire, n'hésitant pas à user de ses mains pour rendre plus visibles ses parties les plus intimes. La musique gonflait, s'accélérait et la danse suivait, l'esclave s'abandonnait à une sorte de frénésie érotique, s'exhibant sans aucune retenue, son corps maintenant comme habité par une sorte de transe... Les clients demeuraient bouche bée devant ce spectacle, certains même se branlaient, ou saisissaient la main d'une putain assises sur leurs genoux pour qu'elle se charge de leur verge saillante. Quand soudain, un claquement sec suffit à interrompre la musique et à stopper Clytia qui se cabra l'espace d'un très court instant, puis se recroquevilla sur le sol, maintenant immobile. Le long fouet de cuir tressé venait de s'abattre avec violence sur son dos, y laissant une fine zébrure rougie. Le fouet siffla encore quatre fois dans l'air, s'abattant sèchement sur l'esclave qui ne bougeait plus, n'esquissait pas le moindre mouvement pour tenter d'échapper à cette sévère flagellation. Quelques coups seulement, mais de quelle puissance !
C'est Thaïs qui maniait le long serpent de cuir finement tressé, Hélène lui ayant confié la mission de diriger cette soirée un peu spéciale. La Belle Hélène tenait à assister au spectacle en se détendant, voulant profiter de cette épreuve qu'Elle avait voulu infliger à Son esclave la plus chérie... Ainsi c'est la tenancière, ex-putain, qui s'avança vers l'esclave femelle blottie sur le sol. Elle fit claquer le fouet sur le sol, tout près de Clytia qui sursauta et sut immédiatement que le moment était venu de se lever. L'esclave se releva donc, sentant le poids du regard de Thaïs sur elle et imaginant seulement, mais avec tellement de désir, La Belle Hélène contemplant de son alcôve la façon dont elle allait s'appliquer à combler Ses attentes. Thaïs fit virevolter son fouet au-dessus de la tête de l’esclave au crâne rasé et le fit s'enrouler avec une diabolique habileté autour du cou de l'esclave, avec juste assez de souplesse pour que le cuir fin morde la chair sans la blesser. Se donnant un peu de mou, elle s'avança vers le bord de la scène, attirant Clytia à sa suite, le fouet lui faisant comme une laisse. La menant ainsi au bout de son épaisse lanière, elle fit évoluer l'esclave sur le devant de la scène, afin que tous puissent la contempler. Peu à peu, les langues commençaient à se délier et les commentaires accompagnaient cette "présentation" de l'esclave... Les putains, jalouses, susurraient des commentaires grivois et méchants à l'oreille des clients dont elles tentaient de capter l'attention. Mais si ceux-ci riaient parfois des réflexions, leur regard ne pouvait se détacher de cette nudité si parfaite qui leur était offerte. Afin de finir de captiver l'attention, Thaïs tira d'un coup sec sur le fouet, stoppant la marche de Clytia et la forçant à quitter l'estrade pour descendre entre les tables. Toujours tenue au bout du fouet, Clytia évoluait maintenant dans la salle, frôlant les tables et les clients, creusant ses reins se cambrant, laissant parfois une main s'égarer un bref instant sur sa peau lisse et parfumée...
On l'interpellait, on l'insultait aussi (des voix féminines en général) et une putain se permit même de lui cracher au visage... Avant même que le crachat fut venu s'écraser sur l'aile du nez de Clytia, deux eunuques puissants s'étaient saisis de la putain qui venait de cracher et l'entraînèrent à l’extérieur pour y être châtiée. L'homme qui l'accompagnait resta silencieux et immobile, tandis que les deux colosses traînaient la pornaï vers la sortie en la tenant sans pitié par les cheveux. Ainsi que cela avait été prévu, les deux eunuques arrachèrent sa courte tunique à la femme, et l'attachèrent nue à un poteau, devant l'entrée du bordel... Une pancarte était clouée à ce poteau, indiquant que la putain attachée-là était punie et mise gratuitement à la disposition de tous ! La putain sanglotait tandis que déjà s'approchaient la lie de la Cité provisoire, tous ceux qui n'avaient pas les moyens de se rendre de temps en temps au bordel et se réjouissaient de pouvoir ainsi jouir sans frais d'une telle offrande. Plusieurs se tenaient les couilles en la regardant lorsque le premier d'entre eux s'approcha, la saisit par les cheveux et la saisit aux hanches pour la soulever et l'adosser au poteau afin de la baiser avant de la laisser à d'autres…
A l'intérieur, Clytia poursuivait sa lascive déambulation, sous le contrôle du fouet de Thaïs. Raidissant soudain sa prise, Thaïs tira d'un coup sec, faisant trébucher Clytia qui tomba assise sur le sol. Comprenant ce que cela signifiait, l'esclave s'allongea sur le sol, ouvrit largement ses cuisses et commença à se peloter les seins, s'offrant ainsi en spectacle à tous les hommes qui se pressaient maintenant autour d'elle. Ce n'était plus une danse mais une obscène exhibition des plus sensuelles qu'elle offrait à ses potentiels futurs acheteurs d'un soir. Elle laissait ses doigts fins s'égarer dans sa chatte humide, se pinçant le téton de l'autre main. Elle se roulait sur le sol, se cambrant pour faire saillir son cul aux formes idéales... Offrant en se creusant les reins une vue sans obstacle sur sa fente et son cul qu'elle révélait plus encore en s'aidant de ses mains pour écarter ses deux belles fesses si fermes et galbées. Thaïs tirait maintenant sur le fouet, Clytia se soumettant au mouvement exigé, pour ramper à quatre pattes vers la scène, sans oublier d'onduler de la croupe... chienne docile, elle fendait ainsi la foule qui s'écartait avec réticence pour la laisser passer, les eunuques de chaque côté devant elle et lui faisant le passage. Des mains se tendit pour au moins l'effleurer, la toucher juste un instant. Lentement, Clytia remonta sur la scène, toujours dirigée par le fouet qui lui faisait une laisse serrée autour de son cou.
- Debout !, ordonna laconiquement Thaïs.
Et l'esclave se redressa, la tenancière la libérant enfin du fouet qui lui laissa quand même une trace rouge au cou ... Thaïs jeta le fouet vers une esclave qui attendait au fond de la scène et attira Clytia à elle. La tenant ainsi contre elle, vêtue d'une courte tunique qui épousait toutes les formes exquises de son corps charnu, elle revint tout au bord de la scène... Gardant une main refermée comme une serre sur la nuque de l'esclave, elle commença à caresser les seins de Clytia, son ventre, ses hanches, sa chatte...
- Voici donc venu le moment !, lança la tenancière, l'esclave que voici va vous être vendue, pour un moment de plaisirs comme toutes nos putains ici ! Mais cette esclave est bien plus qu’une simple putain pour satisfaire vos désirs les plus inavouables... Les plus ambitieux vont pouvoir montrer leur richesse en s'offrant un moment exceptionnel avec cette magnifique et unique esclave, pour lui faire tout ce qu'ils voudront ! Mais attention, seulement le temps de réaliser vos plus incroyables désirs, puis viendra le tour d'un autre ! Et c'est ici, sur cette scène, sous les yeux de tous, que vous pourrez user et abuser de cette chienne, pénétrer ses orifices, la posséder, la souiller, elle acceptera tout ! Et même plus, si vous en avez l'imagination... Et les moyens !, lança Thaïs.
Soulevant une formidable vague d'enthousiasme bruyant à ses mots, Thaïs regarda la Belle Hélène, qui d’un signe de tête, lui marqua sa pleine satisfaction... Les enchères pouvaient commencer. Hélène s'installa plus confortablement dans son siège moelleux, jambes largement écartées, Elle appuya sur la nuque de l'éphèbe qui était en train de La lécher entre ses cuisses... Elle avait envie de savourer ce qui allait suivre...
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