l'offrande!
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-09-2024 dans la catégorie Plus on est
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l'offrande!
Je ne vous cache pas vous lecteur que j’aime bien les frasques dans ma vie. Ma femme est beaucoup portée elle sur l’affection. Pour me satisfaire, elle se laisse diriger. Je suis du genre dominateur et elle soumise, prête à briser la routine.
Un jour je propose à ma femme une escapade du genre libertine. Je lui demande pour cela de faire garder les enfants par la baby-siester et de se rendre de ses propres moyens dans le bois où nous avions l’habitude d’exercé nos égarements sexuels.
J’ai ajouté que pour l’occasion elle devait être habillée en pute. Arrivé bien avant elle j’ai pu assister à sa venue.
Elle descend de la voiture et se sépare de son imperméable. Dessous Elle est vêtue d’un ravissant porte-jarretelles blancs, de bas couleurs chair légèrement satinés, et de petites bottines à lacets. Dans cette simple tenue la voilà qu’elle parcourt comme convenu les mètres de la voiture à l’arbre choisi en petite tenue. Au pied de l’arbre elle est tout de suite attiré par la couverture et du bout de papier punaisé sur le tronc, écrit de ma main et qui lui ordonne de se mettre à genoux et de se mettre un bandeau. C’est dans cette position qu’elle attend ma venue.
Je la détaille avec cynisme. Je lui serre la nuque entre mes doigts, amenant son visage tout près de ma queue à demie-bandée. La même qui quelques plus tôt dans l‘après-midi, avait branlé le trou du cul de sa mère. Elle se contente de déposer quelques baisers dessus. Je pose la main à plat sur le ventre et descend lentement jusqu’au renflement du pubis que je palpe à travers sa lingerie.
-J’ai envie de voir tes seins !
Je ne sais pourquoi mais ce jour là, elle a tendance de tiquer, chacun de mes propos. Sans doute à cause du bandeau qui obstrue sa vue !
-Alors, qu’est-ce que tu attends ? Sors-les !
-Quoi ? Là, maintenant ?
-C’est pour ça qu’on est là, non ?
Je lui demande de se dépêcher. Elle qui sa position et s’affole, s’empêtre dans les bretelles du soutien-gorge. Elle parvient malgré sa nervosité à dégager sa poitrine. Ses seins se soulèvent au rythme rapide de sa respiration. Bien que légèrement tombante, sa poitrine fait sa fierté. Sous le coup de l’excitation, ses aréoles se contractent autour du téton saillant.
Je tends la main et soupèse un sein, jugeant de sa fermeté. Elle frissonne. Je serre le bout grenu entre le pouce et l’index et pince, tirant un cri à ma femme.
-Caresse-les !
Elle remonte lentement les mains jusqu’à ses seins et se force à les palper passant le pouce sur les mamelons érigés.
-Ouais, comme ça ! Je te fais bander ?
-Tu veux voir, c’est ça ? Tu veux voir si c’est vrai que je bande pour tes nichons ?
Elle hoche la tête.
-Je ne t’ai pas entendue. Tu veux la voir, oui ou non ?
-Oui.
-Oui quoi ?
Elle déglutit, avant de lâcher.
-Oui. Je veux la voir.
-Retire le bandeau alors !
Ce qu’elle fait sans attendre.
-Tiens, elle te plaît ? T’en fais pas, tu pourras jouer avec tant que tu voudras. Mais d’abord, il faut me montrer ta chatte !
-Allez, montre-moi ce que tu as entre les cuisses !
Cette fois elle n’hésite pas longtemps. Les traits défaits, le souffle rauque, elle place des deux pouces entre sa peau et l’élastique de son sous-vêtement. Les yeux mi-clos, je me masturbe en l’observant.
-Allez !
Elle fait rouler son slip le long de ses jambes gainées. Sous mon ordre elle se positionne pour se trouver en face de moi. Elle se couche dos sur la couverture avec un soupir vaincu et maintient ses cuisses des deux mains, les écartant largement.
Sa vulve n’est pas très renflée et s’entrouvre naturellement sur des petites lèvres saillantes. D’un rose vif, presque rouge, collées l’une à l’autre, elles dépassent du mont de Vénus. Au-dessus, le clitoris pointu darde.
Je continu à tripoter mon pénis tout en examinant son entrecuisse, elle m’observe à travers ses cils.
-Ouvre-la ! Ouvre ta chatte avec tes doigts !
Elle se mord la lèvre.
-Dépêche, mets tes doigts dedans !
Je lui fais un clin d’œil salace.
-Tu sais que j’aime te voir te tripoter.
Elle descend sa main vers son sexe.
-Montre comme tu mouille ! Lui fais-je alors qu’elle a plongé deux doigts dans son antre.
Soumise, elle obéit, étirant l’orifice de son vagin en ovale, révélant les muqueuses luisantes.
Dans l’incapacité d’attendre plus longtemps malgré mes précédentes jouissances (avec belle-maman) je guide mon pénis entre les lèvres saillantes et m’enfonce en elle brutalement, faisant claquer mon ventre contre les fesses qu’elle me tend.
-Tiens, tu la voulais ? Eh bien, tu l’as !
Glissant sa main entre ses cuisses, elle palpe sa vulve. Elle finit par plaquer sa main sur son con, enserrant entre ses doigts ma verge qui coulisse dans son vagin tout en écrasant son clitoris.
Elle se laisse emporter par un orgasme si violent qu’elle crie, oubliant l’endroit où elle se trouve.
Une fois dans la voiture, nous nous sommes mit à nous rémunéré notre folle soirée.
-J’en es pris plein le cul ? Me fait-elle.
-Tu n’as pas aimé ?
-Tu plaisantes, vivement la prochaine fois.
-Tu veux remettre ça ?
-Finis les conneries ! Paye-moi plutôt le resto.
-Dans cette tenue ?
-J’ai ce qu’il me faut pour me changer dans ma voiture.
J’attends qu’elle est fini de ce changer pour filer une voiture derrière l’autre jusqu’au parking du restaurant. Après un dîner copieux et bien arrosé, nous quittons le resto, direction la maison.
Comme nous n’avons pas pu passer par la porte de devant à cause de la clé dans la serrure. Et pour ne pas réveiller toute la maison endormie je décide de passer par le jardin. Et de découvrir dans le salon, Ludivine en plein batifole avec Maxime, un jeune du quartier devant une vidéo dont ma femme et moi sont les héroïnes.
-Oh ! Fait Ludivine, surprise de notre présence, et se dissimulant les parties génitales avec ses mains. Alors que je ne sais que dire, voilà que ma femme s’approche de Maxime est l’embrasse sur la bouche, comme si c’est habituel entre eux. La salope prend bien soin de m’exhiber leurs langues qui se rejoignent entre leurs lèvres. Encouragé le salaud se laisse aller à la ploter. L’aide même à se foutre à poil. Tout ça m’excite au plus haut point et c’est avec une indécence que j’exhibe mon érection à qui veux la voir. Une fois toute nue, ma femme vient me rejoindre. Elle m’embrasse comme elle la fait plutôt dans les bois, le bout du gland puis remonte le long de mon corps en laissant sa langue glisser sur ma peau. Elle me reconquiert tout le corps de petits baisers.
Pendant ce temps Maxime chuchote à l’oreille Ludivine. Qui s’allonge sur le divan. J’aperçois la tête du jeune homme déjà entrain de s’occuper de son entrejambe. Ludivine me regarde, elle me sourit. Elle a la respiration qui s’accélère, elle ferme les yeux, sous les coups de langue et les doigts de son partenaire.
Ma femme s’installe autour de mes épaules, et plaque son intimité odorante et humide sur mon visage. Elle se tient au-dessus de moi et se caresse les seins. Comme elle l’a fait dans le bois. Elle sait combien j’aime lécher longuement les minous. Mieux que la baise chez moi, voir même qu’une pipe pour vous dire !
Elle ne tarde d’ailleurs pas, à lâcher une rasade de sa mixtion. Je m’attarde plus longuement sur son bouton bouffi. Elle passe ses mains dans mes cheveux. Je sens son corps s’arquer, puis lancer un soupir de soulagement. Elle me fuit tout doucement, pour se placer au-dessus de ma verge tendue vers elle, la prend par la main et la positionne entre ses lèvres trempées et souillée de ma précédente jouissance. Je vois ma queue disparaître lentement dans le ventre de ma femme. Comme dans le bois plus tôt, je ne sens bien, hormis que c’est chaud. Elle commence une danse endiablée, à son rythme, lent au début, puis un peu plus vif au fur et à mesure que le plaisir la prend.
Près de nous de nous les choses s’activent. Maxime baise Ludivine. Lui tenant les jambes bien hautes au-dessus de ses épaules. La baby-sitter a le visage tendu, les yeux fermés, elle est entièrement ailleurs. Elle a l’éclat d’une femme en train de prendre un plaisir très intense.
Je l’envie de prendre du plaisir, moi qui a du mal à me satisfaire à cet instant là. C’est alors que ma femme pivote son visage vers lui et lui sourit. Il se connecte et l’embrasse à pleine bouche. Comme j’aurais aimé y mettre ma langue aussi.
Là, je surprends ma femme, en train de murmurer quelque chose à l’oreille de Jérémie. Ils ne leurs faut pas plus pour se redresser, nous laissons choir.
Contre toute attente je vois ma femme s’approcher de Ludivine. Et surprise, de coller ses lèvres à celles de la jeune fille qui n’a fait aucun geste pour refuser ce baiser saphique. Je regarde avec délectation les deux corps, se frôler. Collant leurs seins. Les mains de ma femme se font de plus en plus entreprenantes. Je devine leurs langues en action. Je suis sous le charme de ses deux femmes, en train de se donner du plaisir.
C’est l’instant que choisis Maxime, sous l’enchantement aussi, de venir me rejoindre. Et sans préavis, il colle ses lèvres aux miennes, me caresse le corps quelques instants. Je ne suis pas contrarié d’être l’objet du désir sexuel du jeune homme. Encouragé par mon inaction, il se tourne au-dessus de moi pour présenter à mon visage ses jolies fesses imberbes et musclées.
Il passe pour cela ses mains sous les miennes et prends ma queue en bouche. Il colle ses fesses contre moi. Emporter par l’excitation, je me laisse aller à glisser ma langue entre ses deux demi-sphères.
Je ne suis pas à mon premier essai. Maxime s’applique pour son compte à me rendre la monnaie, en me léchant la queue. Il s’arrête à la seconde où je lui propose de passer à l’étape suivante. Il se couche pour ça, sur la table basse. Il s’offre tout entier. Au lieu d’entrer directement au plus profond de son corps, mes doigts commencent à jouer sur les bourses, puis sur le périnée, en se rapprochant de son anus. Ma queue plus raide qua jamais.
Bientôt, le bout de mon doigt s’introduit en lui, se met à jouer sans douceur à l’intérieur de l’étroite cavité, et Maxime s’immobilise pour éprouver tous les délices de cette intrusion, sans plus chercher à se déhancher sur mon doigt.
Brusquement, les stimulations insistantes de mes doigts impérieux sur la prostate sensible de Maxime font que son trou se dilate. Entrainé par un élan de possession incontrôlable, j’approche mon gland de l’ouverture des reins du jeune homme. Je m’enfonce délicieusement dans ses chairs.
Je pulse en lui avec fièvre, assailli de mille douces sensations. La soumission totale de Maxime qui tressaille sous moi, m’excite davantage. Je commence à savourer de langoureux aller et retour, lentes et précises, et les grands gémissements qui s’échappent de la gorge du jeune homme. Peu à peu je me mets à appliquer de profonds coups de reins, et les cris de mon partenaire résonnent dans la pièce, alors que mes assauts deviennent brutaux.
A quelques centimètres d’où nous sommes, ma femme et sa partenaire d’un soir, ne se dissocie plus. Ludivine découvre les plaisirs lesbiens et semble y prendre un plaisir certain. Elles s’embrassent, se caressent, leurs langues se cherchent, leurs mains se trouvent. Chacune masturbe l’autre, la lèche, la pénètre d’un ou deux doigts. Elles se font jouir mutuellement avec leurs mains expertes.
De mon côté je m’active avec une furie démoniaque. Mon cœur bat, d’une chamade incontrôlable, proche du délire. Et comme tout à une fin, je crache mon plaisir. Je suis proche de l’évanouissement, tant l’extase est au rendez-vous.
Je me retire lentement, et roule sur le sol, anéanti. Nous restons allongés l’un dans l’autre encore quelques minutes. Je ne sais pas si il a jouit lui aussi, mais il semble apaisé et détendu comme si c’était le cas.
Ma femme et la baby-sitter sont dans les bras l’une de l’autre, épuisées et câlines comme deux amantes. Nous les rejoignons et restons ainsi une bonne heure collés tous les quatre à nous couvrir de douces et tendres caresses.
Ma femme m’amène Ludivine sur un plateau pour que je la suce. Elle me fait pour ça m’allonger sur le sol. Fait se placer la jeune fille au-dessus de mon visage, avec les jambes écartées. Je fixe le sexe.
Ludivine plie les genoux, son bassin s’abaisse, sa vulve se rapproche des yeux, de ma bouche. Elle garde sa position, assise en l’air en somme, et sans soutien. Elle a beaucoup de mal à tenir.
Ensuite elle monte et descend, avant de s’asseoir directement de mon visage. La vulve de Ludivine s’écrase sur ma bouche, je donne des coups de langue précis et insiste sur le clitoris. Je lèche les chairs, l’intérieur du vagin. J’aime le sexe féminin d’une façon presque religieuse. Ludivine se met à crier d’excitation et de jouissance, en s’agitant d’avant en arrière sur ma figure.
Je sens quand s’attaque à ma verge. Je courbe la tête pour apercevoir quelque chose. Mais impossible pour moi, Ludivine me tient fortement prisonnier entre ses cuisses. D’ailleurs, je ne cherche pas à me libérer, non plus. J’hésite à savoir si c’est ma femme ou Maxime ?
D’un geste expert, je sens qu’on empoigne fermement ma queue, et commence à la branler doucement d’une main, tout en me massant adroitement, minutieusement, les testicules de l’autre, d’une façon très alléchant.
On me caresse la verge, va de mon gland à mes bourses en titillant l’entrée de mon anus. Puis avec délectation, on se met à me lécher la verge sur toute sa longueur, en s’attardant sur mon gland, qu’on prend d’abord du bout des lèvres. Qu’on lèche les quelques gouttelettes qui se sont formées à son extrémité.
On poursuit ensuite mon agréable traitement en couvrant toute mon sexe de baisers plus ou moins appuyés tout en palpant fermement, des mains excitées, mes couilles. Après m’avoir complètement mouillé de salive par de grands coups de langue gourmande ma verge, on se décide à me la prendre dans la bouche, que je nommerais sensuelle. L’ayant avalé goulûment, on fait tourner une langue autour de mon gland, et effectue de profonds mouvements de va-et-vient. J’ai bien du mal à me retenir de jouir, tant on me fait du bien. Je ne reconnais pas là, le sceau de ma femme. Malgré qu’elle suce bien, elle est loin de me donner autant de plaisir. Seul un homme peut réaliser une telle prouesse !
Pour le remercier de tant d’attention, de sa part, je lui offrit d’abord mon offrande, et ensuite fit jouir sa copine avec ma bouche, avec mes lèvres, avec ma langue, avec mes dents…
Un jour je propose à ma femme une escapade du genre libertine. Je lui demande pour cela de faire garder les enfants par la baby-siester et de se rendre de ses propres moyens dans le bois où nous avions l’habitude d’exercé nos égarements sexuels.
J’ai ajouté que pour l’occasion elle devait être habillée en pute. Arrivé bien avant elle j’ai pu assister à sa venue.
Elle descend de la voiture et se sépare de son imperméable. Dessous Elle est vêtue d’un ravissant porte-jarretelles blancs, de bas couleurs chair légèrement satinés, et de petites bottines à lacets. Dans cette simple tenue la voilà qu’elle parcourt comme convenu les mètres de la voiture à l’arbre choisi en petite tenue. Au pied de l’arbre elle est tout de suite attiré par la couverture et du bout de papier punaisé sur le tronc, écrit de ma main et qui lui ordonne de se mettre à genoux et de se mettre un bandeau. C’est dans cette position qu’elle attend ma venue.
Je la détaille avec cynisme. Je lui serre la nuque entre mes doigts, amenant son visage tout près de ma queue à demie-bandée. La même qui quelques plus tôt dans l‘après-midi, avait branlé le trou du cul de sa mère. Elle se contente de déposer quelques baisers dessus. Je pose la main à plat sur le ventre et descend lentement jusqu’au renflement du pubis que je palpe à travers sa lingerie.
-J’ai envie de voir tes seins !
Je ne sais pourquoi mais ce jour là, elle a tendance de tiquer, chacun de mes propos. Sans doute à cause du bandeau qui obstrue sa vue !
-Alors, qu’est-ce que tu attends ? Sors-les !
-Quoi ? Là, maintenant ?
-C’est pour ça qu’on est là, non ?
Je lui demande de se dépêcher. Elle qui sa position et s’affole, s’empêtre dans les bretelles du soutien-gorge. Elle parvient malgré sa nervosité à dégager sa poitrine. Ses seins se soulèvent au rythme rapide de sa respiration. Bien que légèrement tombante, sa poitrine fait sa fierté. Sous le coup de l’excitation, ses aréoles se contractent autour du téton saillant.
Je tends la main et soupèse un sein, jugeant de sa fermeté. Elle frissonne. Je serre le bout grenu entre le pouce et l’index et pince, tirant un cri à ma femme.
-Caresse-les !
Elle remonte lentement les mains jusqu’à ses seins et se force à les palper passant le pouce sur les mamelons érigés.
-Ouais, comme ça ! Je te fais bander ?
-Tu veux voir, c’est ça ? Tu veux voir si c’est vrai que je bande pour tes nichons ?
Elle hoche la tête.
-Je ne t’ai pas entendue. Tu veux la voir, oui ou non ?
-Oui.
-Oui quoi ?
Elle déglutit, avant de lâcher.
-Oui. Je veux la voir.
-Retire le bandeau alors !
Ce qu’elle fait sans attendre.
-Tiens, elle te plaît ? T’en fais pas, tu pourras jouer avec tant que tu voudras. Mais d’abord, il faut me montrer ta chatte !
-Allez, montre-moi ce que tu as entre les cuisses !
Cette fois elle n’hésite pas longtemps. Les traits défaits, le souffle rauque, elle place des deux pouces entre sa peau et l’élastique de son sous-vêtement. Les yeux mi-clos, je me masturbe en l’observant.
-Allez !
Elle fait rouler son slip le long de ses jambes gainées. Sous mon ordre elle se positionne pour se trouver en face de moi. Elle se couche dos sur la couverture avec un soupir vaincu et maintient ses cuisses des deux mains, les écartant largement.
Sa vulve n’est pas très renflée et s’entrouvre naturellement sur des petites lèvres saillantes. D’un rose vif, presque rouge, collées l’une à l’autre, elles dépassent du mont de Vénus. Au-dessus, le clitoris pointu darde.
Je continu à tripoter mon pénis tout en examinant son entrecuisse, elle m’observe à travers ses cils.
-Ouvre-la ! Ouvre ta chatte avec tes doigts !
Elle se mord la lèvre.
-Dépêche, mets tes doigts dedans !
Je lui fais un clin d’œil salace.
-Tu sais que j’aime te voir te tripoter.
Elle descend sa main vers son sexe.
-Montre comme tu mouille ! Lui fais-je alors qu’elle a plongé deux doigts dans son antre.
Soumise, elle obéit, étirant l’orifice de son vagin en ovale, révélant les muqueuses luisantes.
Dans l’incapacité d’attendre plus longtemps malgré mes précédentes jouissances (avec belle-maman) je guide mon pénis entre les lèvres saillantes et m’enfonce en elle brutalement, faisant claquer mon ventre contre les fesses qu’elle me tend.
-Tiens, tu la voulais ? Eh bien, tu l’as !
Glissant sa main entre ses cuisses, elle palpe sa vulve. Elle finit par plaquer sa main sur son con, enserrant entre ses doigts ma verge qui coulisse dans son vagin tout en écrasant son clitoris.
Elle se laisse emporter par un orgasme si violent qu’elle crie, oubliant l’endroit où elle se trouve.
Une fois dans la voiture, nous nous sommes mit à nous rémunéré notre folle soirée.
-J’en es pris plein le cul ? Me fait-elle.
-Tu n’as pas aimé ?
-Tu plaisantes, vivement la prochaine fois.
-Tu veux remettre ça ?
-Finis les conneries ! Paye-moi plutôt le resto.
-Dans cette tenue ?
-J’ai ce qu’il me faut pour me changer dans ma voiture.
J’attends qu’elle est fini de ce changer pour filer une voiture derrière l’autre jusqu’au parking du restaurant. Après un dîner copieux et bien arrosé, nous quittons le resto, direction la maison.
Comme nous n’avons pas pu passer par la porte de devant à cause de la clé dans la serrure. Et pour ne pas réveiller toute la maison endormie je décide de passer par le jardin. Et de découvrir dans le salon, Ludivine en plein batifole avec Maxime, un jeune du quartier devant une vidéo dont ma femme et moi sont les héroïnes.
-Oh ! Fait Ludivine, surprise de notre présence, et se dissimulant les parties génitales avec ses mains. Alors que je ne sais que dire, voilà que ma femme s’approche de Maxime est l’embrasse sur la bouche, comme si c’est habituel entre eux. La salope prend bien soin de m’exhiber leurs langues qui se rejoignent entre leurs lèvres. Encouragé le salaud se laisse aller à la ploter. L’aide même à se foutre à poil. Tout ça m’excite au plus haut point et c’est avec une indécence que j’exhibe mon érection à qui veux la voir. Une fois toute nue, ma femme vient me rejoindre. Elle m’embrasse comme elle la fait plutôt dans les bois, le bout du gland puis remonte le long de mon corps en laissant sa langue glisser sur ma peau. Elle me reconquiert tout le corps de petits baisers.
Pendant ce temps Maxime chuchote à l’oreille Ludivine. Qui s’allonge sur le divan. J’aperçois la tête du jeune homme déjà entrain de s’occuper de son entrejambe. Ludivine me regarde, elle me sourit. Elle a la respiration qui s’accélère, elle ferme les yeux, sous les coups de langue et les doigts de son partenaire.
Ma femme s’installe autour de mes épaules, et plaque son intimité odorante et humide sur mon visage. Elle se tient au-dessus de moi et se caresse les seins. Comme elle l’a fait dans le bois. Elle sait combien j’aime lécher longuement les minous. Mieux que la baise chez moi, voir même qu’une pipe pour vous dire !
Elle ne tarde d’ailleurs pas, à lâcher une rasade de sa mixtion. Je m’attarde plus longuement sur son bouton bouffi. Elle passe ses mains dans mes cheveux. Je sens son corps s’arquer, puis lancer un soupir de soulagement. Elle me fuit tout doucement, pour se placer au-dessus de ma verge tendue vers elle, la prend par la main et la positionne entre ses lèvres trempées et souillée de ma précédente jouissance. Je vois ma queue disparaître lentement dans le ventre de ma femme. Comme dans le bois plus tôt, je ne sens bien, hormis que c’est chaud. Elle commence une danse endiablée, à son rythme, lent au début, puis un peu plus vif au fur et à mesure que le plaisir la prend.
Près de nous de nous les choses s’activent. Maxime baise Ludivine. Lui tenant les jambes bien hautes au-dessus de ses épaules. La baby-sitter a le visage tendu, les yeux fermés, elle est entièrement ailleurs. Elle a l’éclat d’une femme en train de prendre un plaisir très intense.
Je l’envie de prendre du plaisir, moi qui a du mal à me satisfaire à cet instant là. C’est alors que ma femme pivote son visage vers lui et lui sourit. Il se connecte et l’embrasse à pleine bouche. Comme j’aurais aimé y mettre ma langue aussi.
Là, je surprends ma femme, en train de murmurer quelque chose à l’oreille de Jérémie. Ils ne leurs faut pas plus pour se redresser, nous laissons choir.
Contre toute attente je vois ma femme s’approcher de Ludivine. Et surprise, de coller ses lèvres à celles de la jeune fille qui n’a fait aucun geste pour refuser ce baiser saphique. Je regarde avec délectation les deux corps, se frôler. Collant leurs seins. Les mains de ma femme se font de plus en plus entreprenantes. Je devine leurs langues en action. Je suis sous le charme de ses deux femmes, en train de se donner du plaisir.
C’est l’instant que choisis Maxime, sous l’enchantement aussi, de venir me rejoindre. Et sans préavis, il colle ses lèvres aux miennes, me caresse le corps quelques instants. Je ne suis pas contrarié d’être l’objet du désir sexuel du jeune homme. Encouragé par mon inaction, il se tourne au-dessus de moi pour présenter à mon visage ses jolies fesses imberbes et musclées.
Il passe pour cela ses mains sous les miennes et prends ma queue en bouche. Il colle ses fesses contre moi. Emporter par l’excitation, je me laisse aller à glisser ma langue entre ses deux demi-sphères.
Je ne suis pas à mon premier essai. Maxime s’applique pour son compte à me rendre la monnaie, en me léchant la queue. Il s’arrête à la seconde où je lui propose de passer à l’étape suivante. Il se couche pour ça, sur la table basse. Il s’offre tout entier. Au lieu d’entrer directement au plus profond de son corps, mes doigts commencent à jouer sur les bourses, puis sur le périnée, en se rapprochant de son anus. Ma queue plus raide qua jamais.
Bientôt, le bout de mon doigt s’introduit en lui, se met à jouer sans douceur à l’intérieur de l’étroite cavité, et Maxime s’immobilise pour éprouver tous les délices de cette intrusion, sans plus chercher à se déhancher sur mon doigt.
Brusquement, les stimulations insistantes de mes doigts impérieux sur la prostate sensible de Maxime font que son trou se dilate. Entrainé par un élan de possession incontrôlable, j’approche mon gland de l’ouverture des reins du jeune homme. Je m’enfonce délicieusement dans ses chairs.
Je pulse en lui avec fièvre, assailli de mille douces sensations. La soumission totale de Maxime qui tressaille sous moi, m’excite davantage. Je commence à savourer de langoureux aller et retour, lentes et précises, et les grands gémissements qui s’échappent de la gorge du jeune homme. Peu à peu je me mets à appliquer de profonds coups de reins, et les cris de mon partenaire résonnent dans la pièce, alors que mes assauts deviennent brutaux.
A quelques centimètres d’où nous sommes, ma femme et sa partenaire d’un soir, ne se dissocie plus. Ludivine découvre les plaisirs lesbiens et semble y prendre un plaisir certain. Elles s’embrassent, se caressent, leurs langues se cherchent, leurs mains se trouvent. Chacune masturbe l’autre, la lèche, la pénètre d’un ou deux doigts. Elles se font jouir mutuellement avec leurs mains expertes.
De mon côté je m’active avec une furie démoniaque. Mon cœur bat, d’une chamade incontrôlable, proche du délire. Et comme tout à une fin, je crache mon plaisir. Je suis proche de l’évanouissement, tant l’extase est au rendez-vous.
Je me retire lentement, et roule sur le sol, anéanti. Nous restons allongés l’un dans l’autre encore quelques minutes. Je ne sais pas si il a jouit lui aussi, mais il semble apaisé et détendu comme si c’était le cas.
Ma femme et la baby-sitter sont dans les bras l’une de l’autre, épuisées et câlines comme deux amantes. Nous les rejoignons et restons ainsi une bonne heure collés tous les quatre à nous couvrir de douces et tendres caresses.
Ma femme m’amène Ludivine sur un plateau pour que je la suce. Elle me fait pour ça m’allonger sur le sol. Fait se placer la jeune fille au-dessus de mon visage, avec les jambes écartées. Je fixe le sexe.
Ludivine plie les genoux, son bassin s’abaisse, sa vulve se rapproche des yeux, de ma bouche. Elle garde sa position, assise en l’air en somme, et sans soutien. Elle a beaucoup de mal à tenir.
Ensuite elle monte et descend, avant de s’asseoir directement de mon visage. La vulve de Ludivine s’écrase sur ma bouche, je donne des coups de langue précis et insiste sur le clitoris. Je lèche les chairs, l’intérieur du vagin. J’aime le sexe féminin d’une façon presque religieuse. Ludivine se met à crier d’excitation et de jouissance, en s’agitant d’avant en arrière sur ma figure.
Je sens quand s’attaque à ma verge. Je courbe la tête pour apercevoir quelque chose. Mais impossible pour moi, Ludivine me tient fortement prisonnier entre ses cuisses. D’ailleurs, je ne cherche pas à me libérer, non plus. J’hésite à savoir si c’est ma femme ou Maxime ?
D’un geste expert, je sens qu’on empoigne fermement ma queue, et commence à la branler doucement d’une main, tout en me massant adroitement, minutieusement, les testicules de l’autre, d’une façon très alléchant.
On me caresse la verge, va de mon gland à mes bourses en titillant l’entrée de mon anus. Puis avec délectation, on se met à me lécher la verge sur toute sa longueur, en s’attardant sur mon gland, qu’on prend d’abord du bout des lèvres. Qu’on lèche les quelques gouttelettes qui se sont formées à son extrémité.
On poursuit ensuite mon agréable traitement en couvrant toute mon sexe de baisers plus ou moins appuyés tout en palpant fermement, des mains excitées, mes couilles. Après m’avoir complètement mouillé de salive par de grands coups de langue gourmande ma verge, on se décide à me la prendre dans la bouche, que je nommerais sensuelle. L’ayant avalé goulûment, on fait tourner une langue autour de mon gland, et effectue de profonds mouvements de va-et-vient. J’ai bien du mal à me retenir de jouir, tant on me fait du bien. Je ne reconnais pas là, le sceau de ma femme. Malgré qu’elle suce bien, elle est loin de me donner autant de plaisir. Seul un homme peut réaliser une telle prouesse !
Pour le remercier de tant d’attention, de sa part, je lui offrit d’abord mon offrande, et ensuite fit jouir sa copine avec ma bouche, avec mes lèvres, avec ma langue, avec mes dents…
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