L'orage produit un froid et chaud .....
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-06-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'orage produit un froid et chaud .....
En camping naturiste pour deux semaines, Patrick et moi, Valérie, occupons nos matinées sportivement, lui, a faire une cinquantaine de kilomètres a vélo en campagne et moi un footing sur la plage immense du médoc.
Habillée légèrement, mais habillée tout de même, car je sors largement de la zone naturiste, pas besoin de soutient gorge sous mon top court ma poitrine menue, néanmoins bien ronde, me le permet et pas de culotte sous mon mini-short
J’ai dépassé les blockhaus, je viens donc de faire quatre kilomètres, quand le temps se couvre, la foudre gronde au large, Patrick m’avait pourtant affirmé que les orages prévus passeraient bien loin d’ici
Soudain un éclair aveuglant me stoppe, un roulement assourdissant et une goutte énorme tombe sur ma tête suivie de nombreuses autres, je fais demi tour, le temps d’arriver aux blockhaus je suis trempée, vite a l’abri, zut, je ne suis pas seule … un homme y a trouvé refuge et il est nu … entièrement nu, je fais un pas en arrière
- Venez ! Ne restez pas là un éclair peut vous foudroyer a chaque instant, je ne suis pas un satyre, je fais du footing moi aussi, mais a poil, j’adore ça
- C’est que … je dois téléphoner à mon mari … allo chéri ? ou es tu ?... dans une grange ? ha … moi ? dans un blockhaus, non, il y a quelqu’un... je t’envoie un texto …
Par discrétion, je tape quelques mots ou j’explique que je suis en compagnie d’un homme nu, que dois-je faire ? Il me répond d’attendre le temps qu’il faut pour que l’orage s’éloigne et que c’est la bonne occasion de satisfaire son fantasme et de revenir souillée d’un amant de passage ! Quel idiot de plaisanter avec ça ! Je ne lui réponds même pas !
En douce je détaille l’homme qui en fait autant pour moi… il est un peu enrobé certes, mais pas déplaisant a regarder du haut en bas …son membre, posé sur une belle paire de bourses, n’est pas long mais énorme , le bout du gland pointe son nez ,le reste du nœud est bien dessiné sous la peau fine, il doit être redoutablement efficace en action, son corps fume de partout et moi je commence à grelotter, la température a chuté rapidement et je suis en plein courant d’air, mon top glacé colle désagréablement a mes seins dont les pointes sont manifestement dressées
- Entrez vous dis-je ! Ne soyez pas têtue, considérez que nous somment deux survivants d’un naufrage, dans ce cas nous devons nous allier afin de survivre
Sa voix légèrement rauque et persuasive à raison de mes dernières hésitation je vais vers lui, ou il fait plus sombre et ou l’on sent moins le vent
- Ne restez pas habillée, sinon demain c’est la double bronchopneumonie assurée, nous avons le même badge du camping autour du cou, et vous êtes plus fascinante ainsi dessinée par vos vêtements collés que nue, déshabillez vous et venez contre moi, a deux nous allons nous réchauffer, en tout bien tout honneur, je suis marié et fidèle
- Moi aussi
- Hé bien alors ? qu’attendez-vous, accrochez vos vêtements a cette ferraille
- Bon, mais juste une minute, je reconnais que je suis frigorifiée
- Mettes vous de dos ou de face contre moi... de face serait mieux …..
- Oui…….
En attendant il m’a matée de la tête aux pieds lui aussi, timidement je m’approche de lui, c’est trop bizarre de se blottir nue sur un inconnu sans intentions spéciales
- Approchez encore, montez sur mes pieds vous serez isolée du froid, n’ayez pas peur, je vous enlace de mes bras pour tenir votre dos au chaud
Les bras le long du corps je me colle a cet inconnu, je reconnais que sa chaleur me fait du bien, j’ai les seins écrasés sur son poitrail, le nez au creux de son épaule… plus bas, juste au niveau de mon pubis, une protubérance brulante semble grossir, dire que je reste de bois serait faux , des contractions au ‘bon endroit’, bien connue des femmes me le prouve… je mouille
- Ne soyez pas si raide, laissez vous allez sur moi, laissez votre corps épouser la forme du mien
- Pour ce qui est de la raideur… quelque chose grossit entre nous ….
- Ha ! je ne fais pas de ‘lui’ ce que je veux ! ma verge est parfois désobéissante mais pas méchante !
- En tous cas elle est chaude …
- Vous pouvez vous y réchauffer vos mains glacées, y’a de la place pour les deux !
- C’est queeee….
Cette fois il fait plus que me réchauffer, ses bras m’écrasent littéralement sur lui, je me laisse aller, je décolle mon bas ventre, mes mains agrippent sa queue qui butte sur mon pubis, je la presse à en faire suinter sa mouille dans mes doigts, il pousse un long soupir
- Tes mains froides me fonts du bien, frictionne moi a ton aise
- En clair, vous voulez que je vous masturbe ?
- C’est ça ….décalotte moi le boudin
- Embrassez-moi …
Nos bouches avides se soudent, nos langues tourbillonnent dans nos salives mélangées, sa main vient fouiller entre mes cuisses à la recherche de mon clitoris, je ne fais plus le tour de sa queue raidie au maximum, elle rue d’impatience entre mes mains, ma vulve ouverte coule dans ses doigts, finit le froid, je suis chaude comme la braise
- J’ai envie de toi, je vais m’allonger sur le sable, tu va poser ton calice sur ma bouche
- Hoooo ouuuuuiiiiii, je vais pomper ton dard
Je m’allonge à l’envers de lui, il guide mon entrejambe à hauteur de ses lèvres, dans la poche de mon mini-short mon portable sonne … je ne décroche pas, il comprendra …
Son membre est fabuleusement agréable, mon palais est comblé par la grosseur et la consistance moelleuse de son bout
Son souffle chaud fait ouvrir ma chatte, il passe et repasse ses doigts sur mon anus mes lèvres et mon clito, je me tortille afin de lui faire comprendre que je veux sa langue, c’est enfin chose faite, il aspire mes entrailles, en prime ses doigt tournent autour de ma cible fripée avant que son pouce ne force le tunnel
Je suce bruyamment son braquemart, il me gougnotte la moule comme un gourmand mange sa soupe, mes glandes abreuvent ses amygdales, il arrose les miennes de son sperme chaud
- Ouuuuffff ! Il fait chaud !
- Tu veux repartir ? l’orage gronde encore !
- Pas avant que tu m’aie perforée la chatte avec ton paratonnerre
- Dans ce cas change simplement de position …
- Échangeons les parfums de nos bouches …HUUUUUUUMMMMMMMM !!!!
De nouveau soudés par un baiser torride, il guide sa queue vers ma fente dilatée, malgré la lubrification naturelle son gland mafflu à de la peine à trouver sa voie, je sautille afin de peser sur son érection, centimètres par centimètres il déploie ma gaine vaginale, jusqu’au moment ou enfilée d’un coup nos monts de vénus s’entrechoquent
- WOOOOUUUUaaaaaaaaaaaaaaaaaah ! Tu me déchire la matrice !
- Tu veux ma casser la queue ? prépare-toi à en prendre plein le con et le cul !
Je rebondis et tressaute sur son ventre, il est infatigable, jamais un homme ne m’a procuré autant de plaisir, après dix minutes et avoir éjaculé il trouve la force de me basculer afin de m’installer a genoux, en position soumise … sa bite loin d’être molle cherche mon cul, mon téléphone sonne a nouveau …
- Attend je le prends dans ta poche …tient, répond lui, il doit se faire du souci ….
La voix pâteuse je décroche …
- Allooooooo ? c’est toi chéri ?
- Bien sûr, ce n’est pas le pape ! l’orage est parti, ou es tu ? que fais-tu ?
- Je vais me faire enculer …HAAAAAAAAAAAA ! ça y est !!!!
- QUOI ! enculer ? qui est-ce ?
- Celui qui m’a réchauffée et baisée... comment tu t’appelle au fait ?
- Clément !
- C’est clément qui me ramone le fion, comme tu me l’as demandé je vais revenir souillée de partout ! bisous mon amour, a tout de suite ! hhhhooooooooooooouuuuuuuuuuiiiiiii c’est trop booooooooooonnnnnnnnnnnnnnn !
Habillée légèrement, mais habillée tout de même, car je sors largement de la zone naturiste, pas besoin de soutient gorge sous mon top court ma poitrine menue, néanmoins bien ronde, me le permet et pas de culotte sous mon mini-short
J’ai dépassé les blockhaus, je viens donc de faire quatre kilomètres, quand le temps se couvre, la foudre gronde au large, Patrick m’avait pourtant affirmé que les orages prévus passeraient bien loin d’ici
Soudain un éclair aveuglant me stoppe, un roulement assourdissant et une goutte énorme tombe sur ma tête suivie de nombreuses autres, je fais demi tour, le temps d’arriver aux blockhaus je suis trempée, vite a l’abri, zut, je ne suis pas seule … un homme y a trouvé refuge et il est nu … entièrement nu, je fais un pas en arrière
- Venez ! Ne restez pas là un éclair peut vous foudroyer a chaque instant, je ne suis pas un satyre, je fais du footing moi aussi, mais a poil, j’adore ça
- C’est que … je dois téléphoner à mon mari … allo chéri ? ou es tu ?... dans une grange ? ha … moi ? dans un blockhaus, non, il y a quelqu’un... je t’envoie un texto …
Par discrétion, je tape quelques mots ou j’explique que je suis en compagnie d’un homme nu, que dois-je faire ? Il me répond d’attendre le temps qu’il faut pour que l’orage s’éloigne et que c’est la bonne occasion de satisfaire son fantasme et de revenir souillée d’un amant de passage ! Quel idiot de plaisanter avec ça ! Je ne lui réponds même pas !
En douce je détaille l’homme qui en fait autant pour moi… il est un peu enrobé certes, mais pas déplaisant a regarder du haut en bas …son membre, posé sur une belle paire de bourses, n’est pas long mais énorme , le bout du gland pointe son nez ,le reste du nœud est bien dessiné sous la peau fine, il doit être redoutablement efficace en action, son corps fume de partout et moi je commence à grelotter, la température a chuté rapidement et je suis en plein courant d’air, mon top glacé colle désagréablement a mes seins dont les pointes sont manifestement dressées
- Entrez vous dis-je ! Ne soyez pas têtue, considérez que nous somment deux survivants d’un naufrage, dans ce cas nous devons nous allier afin de survivre
Sa voix légèrement rauque et persuasive à raison de mes dernières hésitation je vais vers lui, ou il fait plus sombre et ou l’on sent moins le vent
- Ne restez pas habillée, sinon demain c’est la double bronchopneumonie assurée, nous avons le même badge du camping autour du cou, et vous êtes plus fascinante ainsi dessinée par vos vêtements collés que nue, déshabillez vous et venez contre moi, a deux nous allons nous réchauffer, en tout bien tout honneur, je suis marié et fidèle
- Moi aussi
- Hé bien alors ? qu’attendez-vous, accrochez vos vêtements a cette ferraille
- Bon, mais juste une minute, je reconnais que je suis frigorifiée
- Mettes vous de dos ou de face contre moi... de face serait mieux …..
- Oui…….
En attendant il m’a matée de la tête aux pieds lui aussi, timidement je m’approche de lui, c’est trop bizarre de se blottir nue sur un inconnu sans intentions spéciales
- Approchez encore, montez sur mes pieds vous serez isolée du froid, n’ayez pas peur, je vous enlace de mes bras pour tenir votre dos au chaud
Les bras le long du corps je me colle a cet inconnu, je reconnais que sa chaleur me fait du bien, j’ai les seins écrasés sur son poitrail, le nez au creux de son épaule… plus bas, juste au niveau de mon pubis, une protubérance brulante semble grossir, dire que je reste de bois serait faux , des contractions au ‘bon endroit’, bien connue des femmes me le prouve… je mouille
- Ne soyez pas si raide, laissez vous allez sur moi, laissez votre corps épouser la forme du mien
- Pour ce qui est de la raideur… quelque chose grossit entre nous ….
- Ha ! je ne fais pas de ‘lui’ ce que je veux ! ma verge est parfois désobéissante mais pas méchante !
- En tous cas elle est chaude …
- Vous pouvez vous y réchauffer vos mains glacées, y’a de la place pour les deux !
- C’est queeee….
Cette fois il fait plus que me réchauffer, ses bras m’écrasent littéralement sur lui, je me laisse aller, je décolle mon bas ventre, mes mains agrippent sa queue qui butte sur mon pubis, je la presse à en faire suinter sa mouille dans mes doigts, il pousse un long soupir
- Tes mains froides me fonts du bien, frictionne moi a ton aise
- En clair, vous voulez que je vous masturbe ?
- C’est ça ….décalotte moi le boudin
- Embrassez-moi …
Nos bouches avides se soudent, nos langues tourbillonnent dans nos salives mélangées, sa main vient fouiller entre mes cuisses à la recherche de mon clitoris, je ne fais plus le tour de sa queue raidie au maximum, elle rue d’impatience entre mes mains, ma vulve ouverte coule dans ses doigts, finit le froid, je suis chaude comme la braise
- J’ai envie de toi, je vais m’allonger sur le sable, tu va poser ton calice sur ma bouche
- Hoooo ouuuuuiiiiii, je vais pomper ton dard
Je m’allonge à l’envers de lui, il guide mon entrejambe à hauteur de ses lèvres, dans la poche de mon mini-short mon portable sonne … je ne décroche pas, il comprendra …
Son membre est fabuleusement agréable, mon palais est comblé par la grosseur et la consistance moelleuse de son bout
Son souffle chaud fait ouvrir ma chatte, il passe et repasse ses doigts sur mon anus mes lèvres et mon clito, je me tortille afin de lui faire comprendre que je veux sa langue, c’est enfin chose faite, il aspire mes entrailles, en prime ses doigt tournent autour de ma cible fripée avant que son pouce ne force le tunnel
Je suce bruyamment son braquemart, il me gougnotte la moule comme un gourmand mange sa soupe, mes glandes abreuvent ses amygdales, il arrose les miennes de son sperme chaud
- Ouuuuffff ! Il fait chaud !
- Tu veux repartir ? l’orage gronde encore !
- Pas avant que tu m’aie perforée la chatte avec ton paratonnerre
- Dans ce cas change simplement de position …
- Échangeons les parfums de nos bouches …HUUUUUUUMMMMMMMM !!!!
De nouveau soudés par un baiser torride, il guide sa queue vers ma fente dilatée, malgré la lubrification naturelle son gland mafflu à de la peine à trouver sa voie, je sautille afin de peser sur son érection, centimètres par centimètres il déploie ma gaine vaginale, jusqu’au moment ou enfilée d’un coup nos monts de vénus s’entrechoquent
- WOOOOUUUUaaaaaaaaaaaaaaaaaah ! Tu me déchire la matrice !
- Tu veux ma casser la queue ? prépare-toi à en prendre plein le con et le cul !
Je rebondis et tressaute sur son ventre, il est infatigable, jamais un homme ne m’a procuré autant de plaisir, après dix minutes et avoir éjaculé il trouve la force de me basculer afin de m’installer a genoux, en position soumise … sa bite loin d’être molle cherche mon cul, mon téléphone sonne a nouveau …
- Attend je le prends dans ta poche …tient, répond lui, il doit se faire du souci ….
La voix pâteuse je décroche …
- Allooooooo ? c’est toi chéri ?
- Bien sûr, ce n’est pas le pape ! l’orage est parti, ou es tu ? que fais-tu ?
- Je vais me faire enculer …HAAAAAAAAAAAA ! ça y est !!!!
- QUOI ! enculer ? qui est-ce ?
- Celui qui m’a réchauffée et baisée... comment tu t’appelle au fait ?
- Clément !
- C’est clément qui me ramone le fion, comme tu me l’as demandé je vais revenir souillée de partout ! bisous mon amour, a tout de suite ! hhhhooooooooooooouuuuuuuuuuiiiiiii c’est trop booooooooooonnnnnnnnnnnnnnn !
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Toujours un plaisir de lire vos histoires Georges. J'ai encore la chatte en feu. Une suite ?