L’ORGASME AU BOUT DE LA NUIT - Dévergondages 05
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-09-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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L’ORGASME AU BOUT DE LA NUIT - Dévergondages 05
L’ORGASME AU BOUT DE LA NUIT - Dévergondages 05
Lors d’un récent voyage, un Français nommé Michel B., est venu en voyage d’affaires dans le pays où je réside. Demeurant dans la région bordelaise, il m’a confié les fantasmes qu’il a de voir Odile, son épouse depuis plus de vingt ans, se dévergonder et accepter le libertinage, comme il l’a connu avec une maîtresse durant une dizaine d’années. Pour cela, il m’a demandé d’imaginer des récits pouvant l’amener à se pervertir.
« La vertu des femmes est à la merci des tentations des hommes ». (Thérèse Turdif)
Odile, est une jolie femme de quarante-huit ans, mariée à un homme de cinq ans son aîné et heureuse en famille. Elle est responsable des ressources humaines d’une société bordelaise. Depuis six mois, elle est courtisée par Edmond, un notaire retraité de soixante-quatre ans. Ils déjeunent presque tous les midis dans le même restaurant. Après avoir accepté une invitation à déjeuner en tête à tête chez Edmond, Odile s’est laissée quelque peu aller en acceptant les baisers de son hôte. Une douzaine de jours après, victime d’un chantage, elle accepte un rendez-vous avec Edmond pour éviter le déshonneur. Celui-ci commence à la circonvenir. Malgré elle, le plaisir que lui procure le sexagénaire attise ses sens exacerbés, se rendant à lui sans aucune retenue elle est forcée à lui faire une fellation. Enfin, masturbée habilement par Edmond elle éprouve plusieurs orgasmes. Puis celui l’entraine dans un magasin de mode et l’oblige à sortir sans ses dessous. Il la masturbe et l’affole en pleine rue.
Odile, qui vient de jouir intensément, se rajuste le mieux qu’elle le peut, Edmond ayant sorti ses seins de sa blouse et ayant retroussé sa jupe jusqu’à sa taille. Elle n’a qu’une crainte que des passants les aient vu et qu’une ronde de police vienne les interpeler. Que pourra-t-elle dire si sa famille apprend de quelle façon elle se conduit ? Elle en veut à Edmond de l’encanailler de la sorte. Elle, qui a une vie rangé depuis toujours, elle qui n’a jamais fait un seul écart de conduite. Elle ne fume pas, elle ne boit pas, sauf ce jour où le champagne et les bons vins lui ont fait faire mille sottises. Oh comme elle regrette d’avoir accepté ce déjeuner… Bien que… Elle n’aurait pas connu ce plaisir inouï qui a été une révélation. Malgré tout ce qu’elle pense en ce moment, ses seins et son ventre se rappellent à ses sens. Ses pensées ne peuvent empêcher son jus intime de s’écouler entre ses cuisses.
Edmond la prenant par le bras l’entraine sous les arcades, desquels, ils se sont peu éloignés. De l’autre côté de la place ils arrivent en vue d’une bâtisse du XVIe siècle où le fronton annonce l’enseigne d’un restaurant réputé « Les Abricotiers de la Garonne ». Une terrasse extérieure est ouverte sur la place du marché, à l’intérieur une grande salle avec une cheminée monumentale en pierres de calcaire, surmontée des armoiries régionales. Mais Edmond, qui a retenu une table, se dirige vers le jardin, où sous des tonnelles fleuries se trouvent des tables et des fauteuils en osier. Il fait prendre place à Odile face aux autres tables.
La patronne, Agnès, qui vient saluer Edmond, leur apporte les cartes et les menus. Après s’être tous les deux concertés, Odile choisi comme entrée, une salade de langoustines aux saveurs des Iles alors qu’Edmond porte sa préférence sur une gelée de lapereau au Cadillac et foie gras avec des condiments acidulés. Le plat principal pour Odile et pour Edmond sera un filet de daurade sur une fondue de poivrons rouges au chorizo. Enfin pour terminer, Odile se régalera d’un duo de chocolat aux framboises alors qu’Edmond se contentera de beignets de fleur d’acacia au miel. Edmond demande en outre un vin moelleux à dominante sauvignon, c’est un Côtes de Bordeaux Saint-Macaire du domaine de Château Majoureau, puis une bouteille d’eau pétillante.
Odile demande la permission à son mentor de se rendre aux toilettes. Pendant ce temps, Edmond a une longue conversation avec le serveur à qui il confie son Smartphone et un billet de cinq cents euros.
Le repas est d’une finesse remarquable, dans cette région où la gastronomie est portée au plus haut point dans l’art de la table. Avant les desserts, Edmond demande à Odile de retrousser sa jupe sur ses cuisses. Celle-ci le regarde avec inquiétude, se demandant jusqu’où ira sa lubricité. Quelques tables éloignées sont occupées et le garçon qui sert ne fait pas trop attention à eux. Se sentant dominée par l’homme qui depuis le matin a pris en main sa destinée, elle se plie à son souhait, relevant sa jupe à mi-cuisses. Edmond lui fait un signe qu’elle n’ose comprendre, alors il lui intime.
Plus haut ma chère, je veux voir la nudité de votre entrecuisses jusqu’au pubis.
Un voile de détresse passe dans les yeux d’Odile qui ne sait que faire. Encore une fois en public, mais sous la lumière des lanternes du jardin, son bienfaiteur pervers, lui demande d’exposer son intimité. Devant son regard glacial, elle se soumet à son désir, roulant sa jupe jusqu’en haut de son mont de Vénus. Elle regarde autour d’elle si personne ne la voit lorsque un ordre claque à ses oreilles.
Écartez vos jambes, entièrement, que la chatte soit bien dégagée.
Des larmes perlent aux yeux d’Odile qui ne sent pas le courage de désobéir, craignant qu’Edmond ne tienne pas sa promesse. Alors qu’elle voit le serveur qui est très proche et le regard de deux messieurs qui sont fixés dans sa direction, elle se résout à ouvrir le compas de ses cuisses, se conformant à la volonté vicieuse d’Edmond qui lui ordonne.
À présent ma chère, caressez-vous, jusqu’à ce que vous jouissiez. Ne faites pas semblant, je ne me laisserai pas abuser.
Elle qui a horreur de cette pratique, ne le faisant qu’à contrecœur, sur les souhaits répétés de son mari, et encore, le moins souvent possible, elle doit donc s’exécuter, n’ayant même pas l’envie de s’insurger devant cette demande incongrue. Elle porte donc les doigts de ses deux mains sur sa vulve et commence à se caresser lentement. Edmond aboie.
Plus vite, et frottez votre clitoris énergiquement. Je veux vous voir jouir de votre branlage.
Odile ferme les yeux et s’astique frénétiquement, tandis que le serveur qui s’est approché, prend des photos avec le Smartphone d’Edmond. C’est donc cela qu’il lui a demandé contre un pourboire de cinq cents euros. Lorsqu’Odile défaillante, étendue dans son fauteuil, se laisse aller à jouir bruyamment, gémissant et poussant des cris brefs, le serveur et les deux messieurs applaudissent, réveillant d’un coup Odile de son cauchemar. Elle se redresse, baisse sa jupe vivement et se sauve aux toilettes. Lorsqu’elle revient, honteuse et ne regardant personne sur son passage, Edmond à récupéré son appareil et après avoir réglé la note, il prend Odile par un bras en l’entraine vers leur hôtel. Elle pleure silencieusement tout au long du chemin. Une fois dans la chambre, elle ose cependant demander à Edmond une explication.
Pourquoi Edmond m’avez-vous obligé à me comporter comme une gourgandine. Vous voulez me salir, m’humilier, alors que je croyais que vous m’aimiez.
Ma chère, je veux seulement que vous soyez ma chose et que vous puissiez être une femme comblée, ayant fait fi des convenances imbéciles et de pouvoir jouir de tous vos atouts. Je sais… Pour l’instant cela vous est difficile. Mais jurez-moi que dans beaucoup de situations où je vous ai entrainé aujourd’hui, jurez-moi que vous n’avez pas eu du plaisir malgré votre honte, que vous n’avez pas joui à chaque fois, que vos tétons n’ont pas durcis et ne se sont pas dressés, que votre ventre n’a pas palpité, que la liqueur de votre vagin n’a pas coulée entre vos cuisses ?
Odile reste cois, le rouge est encore monté à son visage en entendant ces mots, trop crus pour elle. Elle ne peut que reconnaitre, que depuis le début de l’après-midi, elle n’a pas arrêté d’être dans une ambiance voluptueuse et lubrique, même si c’est à son corps défendant. Elle ne peut nier la jouissance qu’elle en a retiré, à chaque fois qu’Edmond lui a fait découvrir de nouvelles choses. Ce pourrait-il, que depuis qu’elle est femme, elle ait manqué quelque chose ?
A ce moment Edmond l’enlace et l’embrasse délicatement, se montrant très tendre, la caressant avec une grande douceur, faisant souffler le chaud après le froid. Odile se raccroche à cet homme qui la domine, de sa supériorité intellectuelle mais aussi financière. Elle se sent prête à se soumettre à ses caprices, n’ayant même plus envie de s’opposer à sa volonté. La seule chose qu’il faut qu’elle protège, c’est sa vie familiale sans la sacrifier. Comment pourra-t-elle garder le secret et ne pas perdre aussi sa réputation sociale. Il va lui falloir certainement composer avec Edmond.
En attendant, elle va prendre une douche, car sa jouissance est bien présente dans son intimité et à l’intérieur de ses cuisses. Pendant ce temps, Edmond change les cartes mémoires de ses caméras. Il arrange aussi les spots de la chambre pour qu’ils soient dirigés vers le lit qui va recevoir leurs prochains ébats. Puis, il visionne rapidement les photos prises par le serveur du restaurant. Odile est très reconnaissable, sa jupe relevée jusqu’à son pubis, puis, les jambes écartées où l’on découvre son vagin entrouvert, pour enfin la découvrir pantelante à la fin de sa masturbation. Il manœuvre l’appareil et envoie les photos d’un clic à un mystérieux correspondant.
Lorsqu’il prend la place d’Odile pour prendre sa douche, celle-ci se doute qu’à présent, « elle va passer à la casserole ». Quelle vilaine expression pense-t-elle. Pourtant son pressentiment est bien fondé, car lorsqu’Edmond sort de la douche, il est nu comme un ver et s’approchant d’Odile, il lui retire le peignoir de bain dont elle s’était revêtue. Il la conduit vers le lit et il s’étend à ses côtés, prenant ses lèvres en l’embrassant amoureusement. Après tout ce qu’elle a subit, cette douceur la fait fondre, Elle se laisse embrasser et caresser, osant même flatter le sexe d’Edmond qui se raidit aussitôt entre ses doigts. Edmond lui glisse à l’oreille.
Tu veux bien prendre ma verge dans ta jolie bouche ma chérie ?
C’est la première fois qu’il la tutoie, elle acquiesce alors qu’Edmond lui demande de le chevaucher en lui tournant le dos. Elle se penche sur le vit dressé et le prend en bouche lorsqu’elle sent ses fesses écartelées par les mains d’Edmond et sa bouche s’appliquer sur sa vulve. La langue balaye son entrecuisse entre le clitoris, les grandes lèvres et sa raie culière, faisant des circonvolutions sur l’œillet en le léchant profondément. Elle ne trouve même pas cela inconvenant, s’appliquant à lécher et mordiller le gland qu’elle absorbe de temps en temps. Elle sait bien qu’elle pratique une position dite en 69. Dire qu’elle n’a jamais voulu accorder cette posture à son époux. Les sensations de la langue qui parcoure la totalité de son intimité lui procurent un plaisir savoureux. Elle se rend à peine compte qu’un doigt a perforé la rosette de son anus, s’enfonçant inexorablement dans le conduit anal. Elle jouit sans discontinuer de son clitoris, bouffé littéralement par la bouche d’Edmond, alors qu’il perfore son rectum avec son index, assouplissant les parois rectales. Odile ne peut s’empêcher de crier lorsqu’un orgasme fulgurant la saisit et elle s’écroule entre les jambes de l’homme qui l’a si bien fait jouir.
Edmond arrive à s’extraire de sous la femme évanouie, puis il la retourne et l’étend sur le dos. Il s’étend sur le corps qu’il trouve admirable. Il écarte les cuisses pleines de la belle mature, puis de sa main tenant sa bite, il caresse avec le gland le clitoris et les replis de la vulve. Odile reprend peu à peu ses esprits, se complaisant dans les caresses qu’elle ressent sur son clitoris et à l’entrée de son vagin. Edmond l’embrasse sur la bouche alors qu’Odile se pend à son cou de ses deux bras. Elle réalise soudain que c’est la verge d’Edmond qui caresse son pertuis. D’abord elle est affolée, ne sachant plus si elle redoute cette pénétration ou si elle en a envie. Elle réalise que l’acte qu’elle appréhende depuis deux jours est à deux doigts de se produire. La caresse du gland sur sa chair est incommensurablement bonne, aussi, elle se meut en même temps, levant son bassin au devant du gourdin qui bat entre ses cuisses, puis, effrontément, elle s’ouvre et vient s’empaler sur la pine de l’homme qui enfin se laisse choir sur la chair qui s’offre et s’enfonce, lentement, jusqu’au fond de la matrice offerte…
Edmond commence un va-et-vient, très lent et bien à fond au début pour poursuivre de plus en plus rapidement, alors qu’Odile, lançant ses jambes autour de la taille de l’homme, les noue ensemble avec ses pieds et vient se coller à son pubis, répondant coup pour coup à la bite qui pilonne son vagin.
C’est sûr, elle est folle, mais c’est tellement bon de faire l’amour. Elle a complètement oublié sa réserve et sa réputation, son mari et sa fille. Elle n’a qu’une envie, jouir et encore jouir. La chevauchée dure longtemps, jusqu’à ce que de brefs orgasmes la saisisse et qu’un autre, plus puissant la fasse hurler de bonheur, pendant qu’Edmond, à bout de force, éjecte son foutre dans la chatte qu’il a tellement convoitée. Les deux amants s’endorment, dans les bras l’un de l’autre, enchevêtrés et la verge toujours engagée dans le vagin…
À suivre…
Lors d’un récent voyage, un Français nommé Michel B., est venu en voyage d’affaires dans le pays où je réside. Demeurant dans la région bordelaise, il m’a confié les fantasmes qu’il a de voir Odile, son épouse depuis plus de vingt ans, se dévergonder et accepter le libertinage, comme il l’a connu avec une maîtresse durant une dizaine d’années. Pour cela, il m’a demandé d’imaginer des récits pouvant l’amener à se pervertir.
« La vertu des femmes est à la merci des tentations des hommes ». (Thérèse Turdif)
Odile, est une jolie femme de quarante-huit ans, mariée à un homme de cinq ans son aîné et heureuse en famille. Elle est responsable des ressources humaines d’une société bordelaise. Depuis six mois, elle est courtisée par Edmond, un notaire retraité de soixante-quatre ans. Ils déjeunent presque tous les midis dans le même restaurant. Après avoir accepté une invitation à déjeuner en tête à tête chez Edmond, Odile s’est laissée quelque peu aller en acceptant les baisers de son hôte. Une douzaine de jours après, victime d’un chantage, elle accepte un rendez-vous avec Edmond pour éviter le déshonneur. Celui-ci commence à la circonvenir. Malgré elle, le plaisir que lui procure le sexagénaire attise ses sens exacerbés, se rendant à lui sans aucune retenue elle est forcée à lui faire une fellation. Enfin, masturbée habilement par Edmond elle éprouve plusieurs orgasmes. Puis celui l’entraine dans un magasin de mode et l’oblige à sortir sans ses dessous. Il la masturbe et l’affole en pleine rue.
Odile, qui vient de jouir intensément, se rajuste le mieux qu’elle le peut, Edmond ayant sorti ses seins de sa blouse et ayant retroussé sa jupe jusqu’à sa taille. Elle n’a qu’une crainte que des passants les aient vu et qu’une ronde de police vienne les interpeler. Que pourra-t-elle dire si sa famille apprend de quelle façon elle se conduit ? Elle en veut à Edmond de l’encanailler de la sorte. Elle, qui a une vie rangé depuis toujours, elle qui n’a jamais fait un seul écart de conduite. Elle ne fume pas, elle ne boit pas, sauf ce jour où le champagne et les bons vins lui ont fait faire mille sottises. Oh comme elle regrette d’avoir accepté ce déjeuner… Bien que… Elle n’aurait pas connu ce plaisir inouï qui a été une révélation. Malgré tout ce qu’elle pense en ce moment, ses seins et son ventre se rappellent à ses sens. Ses pensées ne peuvent empêcher son jus intime de s’écouler entre ses cuisses.
Edmond la prenant par le bras l’entraine sous les arcades, desquels, ils se sont peu éloignés. De l’autre côté de la place ils arrivent en vue d’une bâtisse du XVIe siècle où le fronton annonce l’enseigne d’un restaurant réputé « Les Abricotiers de la Garonne ». Une terrasse extérieure est ouverte sur la place du marché, à l’intérieur une grande salle avec une cheminée monumentale en pierres de calcaire, surmontée des armoiries régionales. Mais Edmond, qui a retenu une table, se dirige vers le jardin, où sous des tonnelles fleuries se trouvent des tables et des fauteuils en osier. Il fait prendre place à Odile face aux autres tables.
La patronne, Agnès, qui vient saluer Edmond, leur apporte les cartes et les menus. Après s’être tous les deux concertés, Odile choisi comme entrée, une salade de langoustines aux saveurs des Iles alors qu’Edmond porte sa préférence sur une gelée de lapereau au Cadillac et foie gras avec des condiments acidulés. Le plat principal pour Odile et pour Edmond sera un filet de daurade sur une fondue de poivrons rouges au chorizo. Enfin pour terminer, Odile se régalera d’un duo de chocolat aux framboises alors qu’Edmond se contentera de beignets de fleur d’acacia au miel. Edmond demande en outre un vin moelleux à dominante sauvignon, c’est un Côtes de Bordeaux Saint-Macaire du domaine de Château Majoureau, puis une bouteille d’eau pétillante.
Odile demande la permission à son mentor de se rendre aux toilettes. Pendant ce temps, Edmond a une longue conversation avec le serveur à qui il confie son Smartphone et un billet de cinq cents euros.
Le repas est d’une finesse remarquable, dans cette région où la gastronomie est portée au plus haut point dans l’art de la table. Avant les desserts, Edmond demande à Odile de retrousser sa jupe sur ses cuisses. Celle-ci le regarde avec inquiétude, se demandant jusqu’où ira sa lubricité. Quelques tables éloignées sont occupées et le garçon qui sert ne fait pas trop attention à eux. Se sentant dominée par l’homme qui depuis le matin a pris en main sa destinée, elle se plie à son souhait, relevant sa jupe à mi-cuisses. Edmond lui fait un signe qu’elle n’ose comprendre, alors il lui intime.
Plus haut ma chère, je veux voir la nudité de votre entrecuisses jusqu’au pubis.
Un voile de détresse passe dans les yeux d’Odile qui ne sait que faire. Encore une fois en public, mais sous la lumière des lanternes du jardin, son bienfaiteur pervers, lui demande d’exposer son intimité. Devant son regard glacial, elle se soumet à son désir, roulant sa jupe jusqu’en haut de son mont de Vénus. Elle regarde autour d’elle si personne ne la voit lorsque un ordre claque à ses oreilles.
Écartez vos jambes, entièrement, que la chatte soit bien dégagée.
Des larmes perlent aux yeux d’Odile qui ne sent pas le courage de désobéir, craignant qu’Edmond ne tienne pas sa promesse. Alors qu’elle voit le serveur qui est très proche et le regard de deux messieurs qui sont fixés dans sa direction, elle se résout à ouvrir le compas de ses cuisses, se conformant à la volonté vicieuse d’Edmond qui lui ordonne.
À présent ma chère, caressez-vous, jusqu’à ce que vous jouissiez. Ne faites pas semblant, je ne me laisserai pas abuser.
Elle qui a horreur de cette pratique, ne le faisant qu’à contrecœur, sur les souhaits répétés de son mari, et encore, le moins souvent possible, elle doit donc s’exécuter, n’ayant même pas l’envie de s’insurger devant cette demande incongrue. Elle porte donc les doigts de ses deux mains sur sa vulve et commence à se caresser lentement. Edmond aboie.
Plus vite, et frottez votre clitoris énergiquement. Je veux vous voir jouir de votre branlage.
Odile ferme les yeux et s’astique frénétiquement, tandis que le serveur qui s’est approché, prend des photos avec le Smartphone d’Edmond. C’est donc cela qu’il lui a demandé contre un pourboire de cinq cents euros. Lorsqu’Odile défaillante, étendue dans son fauteuil, se laisse aller à jouir bruyamment, gémissant et poussant des cris brefs, le serveur et les deux messieurs applaudissent, réveillant d’un coup Odile de son cauchemar. Elle se redresse, baisse sa jupe vivement et se sauve aux toilettes. Lorsqu’elle revient, honteuse et ne regardant personne sur son passage, Edmond à récupéré son appareil et après avoir réglé la note, il prend Odile par un bras en l’entraine vers leur hôtel. Elle pleure silencieusement tout au long du chemin. Une fois dans la chambre, elle ose cependant demander à Edmond une explication.
Pourquoi Edmond m’avez-vous obligé à me comporter comme une gourgandine. Vous voulez me salir, m’humilier, alors que je croyais que vous m’aimiez.
Ma chère, je veux seulement que vous soyez ma chose et que vous puissiez être une femme comblée, ayant fait fi des convenances imbéciles et de pouvoir jouir de tous vos atouts. Je sais… Pour l’instant cela vous est difficile. Mais jurez-moi que dans beaucoup de situations où je vous ai entrainé aujourd’hui, jurez-moi que vous n’avez pas eu du plaisir malgré votre honte, que vous n’avez pas joui à chaque fois, que vos tétons n’ont pas durcis et ne se sont pas dressés, que votre ventre n’a pas palpité, que la liqueur de votre vagin n’a pas coulée entre vos cuisses ?
Odile reste cois, le rouge est encore monté à son visage en entendant ces mots, trop crus pour elle. Elle ne peut que reconnaitre, que depuis le début de l’après-midi, elle n’a pas arrêté d’être dans une ambiance voluptueuse et lubrique, même si c’est à son corps défendant. Elle ne peut nier la jouissance qu’elle en a retiré, à chaque fois qu’Edmond lui a fait découvrir de nouvelles choses. Ce pourrait-il, que depuis qu’elle est femme, elle ait manqué quelque chose ?
A ce moment Edmond l’enlace et l’embrasse délicatement, se montrant très tendre, la caressant avec une grande douceur, faisant souffler le chaud après le froid. Odile se raccroche à cet homme qui la domine, de sa supériorité intellectuelle mais aussi financière. Elle se sent prête à se soumettre à ses caprices, n’ayant même plus envie de s’opposer à sa volonté. La seule chose qu’il faut qu’elle protège, c’est sa vie familiale sans la sacrifier. Comment pourra-t-elle garder le secret et ne pas perdre aussi sa réputation sociale. Il va lui falloir certainement composer avec Edmond.
En attendant, elle va prendre une douche, car sa jouissance est bien présente dans son intimité et à l’intérieur de ses cuisses. Pendant ce temps, Edmond change les cartes mémoires de ses caméras. Il arrange aussi les spots de la chambre pour qu’ils soient dirigés vers le lit qui va recevoir leurs prochains ébats. Puis, il visionne rapidement les photos prises par le serveur du restaurant. Odile est très reconnaissable, sa jupe relevée jusqu’à son pubis, puis, les jambes écartées où l’on découvre son vagin entrouvert, pour enfin la découvrir pantelante à la fin de sa masturbation. Il manœuvre l’appareil et envoie les photos d’un clic à un mystérieux correspondant.
Lorsqu’il prend la place d’Odile pour prendre sa douche, celle-ci se doute qu’à présent, « elle va passer à la casserole ». Quelle vilaine expression pense-t-elle. Pourtant son pressentiment est bien fondé, car lorsqu’Edmond sort de la douche, il est nu comme un ver et s’approchant d’Odile, il lui retire le peignoir de bain dont elle s’était revêtue. Il la conduit vers le lit et il s’étend à ses côtés, prenant ses lèvres en l’embrassant amoureusement. Après tout ce qu’elle a subit, cette douceur la fait fondre, Elle se laisse embrasser et caresser, osant même flatter le sexe d’Edmond qui se raidit aussitôt entre ses doigts. Edmond lui glisse à l’oreille.
Tu veux bien prendre ma verge dans ta jolie bouche ma chérie ?
C’est la première fois qu’il la tutoie, elle acquiesce alors qu’Edmond lui demande de le chevaucher en lui tournant le dos. Elle se penche sur le vit dressé et le prend en bouche lorsqu’elle sent ses fesses écartelées par les mains d’Edmond et sa bouche s’appliquer sur sa vulve. La langue balaye son entrecuisse entre le clitoris, les grandes lèvres et sa raie culière, faisant des circonvolutions sur l’œillet en le léchant profondément. Elle ne trouve même pas cela inconvenant, s’appliquant à lécher et mordiller le gland qu’elle absorbe de temps en temps. Elle sait bien qu’elle pratique une position dite en 69. Dire qu’elle n’a jamais voulu accorder cette posture à son époux. Les sensations de la langue qui parcoure la totalité de son intimité lui procurent un plaisir savoureux. Elle se rend à peine compte qu’un doigt a perforé la rosette de son anus, s’enfonçant inexorablement dans le conduit anal. Elle jouit sans discontinuer de son clitoris, bouffé littéralement par la bouche d’Edmond, alors qu’il perfore son rectum avec son index, assouplissant les parois rectales. Odile ne peut s’empêcher de crier lorsqu’un orgasme fulgurant la saisit et elle s’écroule entre les jambes de l’homme qui l’a si bien fait jouir.
Edmond arrive à s’extraire de sous la femme évanouie, puis il la retourne et l’étend sur le dos. Il s’étend sur le corps qu’il trouve admirable. Il écarte les cuisses pleines de la belle mature, puis de sa main tenant sa bite, il caresse avec le gland le clitoris et les replis de la vulve. Odile reprend peu à peu ses esprits, se complaisant dans les caresses qu’elle ressent sur son clitoris et à l’entrée de son vagin. Edmond l’embrasse sur la bouche alors qu’Odile se pend à son cou de ses deux bras. Elle réalise soudain que c’est la verge d’Edmond qui caresse son pertuis. D’abord elle est affolée, ne sachant plus si elle redoute cette pénétration ou si elle en a envie. Elle réalise que l’acte qu’elle appréhende depuis deux jours est à deux doigts de se produire. La caresse du gland sur sa chair est incommensurablement bonne, aussi, elle se meut en même temps, levant son bassin au devant du gourdin qui bat entre ses cuisses, puis, effrontément, elle s’ouvre et vient s’empaler sur la pine de l’homme qui enfin se laisse choir sur la chair qui s’offre et s’enfonce, lentement, jusqu’au fond de la matrice offerte…
Edmond commence un va-et-vient, très lent et bien à fond au début pour poursuivre de plus en plus rapidement, alors qu’Odile, lançant ses jambes autour de la taille de l’homme, les noue ensemble avec ses pieds et vient se coller à son pubis, répondant coup pour coup à la bite qui pilonne son vagin.
C’est sûr, elle est folle, mais c’est tellement bon de faire l’amour. Elle a complètement oublié sa réserve et sa réputation, son mari et sa fille. Elle n’a qu’une envie, jouir et encore jouir. La chevauchée dure longtemps, jusqu’à ce que de brefs orgasmes la saisisse et qu’un autre, plus puissant la fasse hurler de bonheur, pendant qu’Edmond, à bout de force, éjecte son foutre dans la chatte qu’il a tellement convoitée. Les deux amants s’endorment, dans les bras l’un de l’autre, enchevêtrés et la verge toujours engagée dans le vagin…
À suivre…
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Excellent! La jeune Odile se laisse apprivoiser doucement par Edmond jusqu'à en oublier toute dignité. J'adore! Très bien écrit. J'en ai compris le sens de l'expression "va te faire foutre", ce qui se dit d'une étrange manière mais est cependant vrai.
Odile, chère Odile, étais-tu inconsciemment une dominée toute ta vie?
Edmond... Pourquoi t'acharnes-tu sur une femme mariée?
Je lirai la suite quand j'aurai quelques minutes. Chapeau!
Odile, chère Odile, étais-tu inconsciemment une dominée toute ta vie?
Edmond... Pourquoi t'acharnes-tu sur une femme mariée?
Je lirai la suite quand j'aurai quelques minutes. Chapeau!
Impatient de lire la suite
Merci Vieulou
Merci Vieulou
Vieulou, tu es bien coquin, cette pauvre Odile, est-ce bien raisonnable de l'assaisonner ainsi ? Et la suite va être pire, je le pressens ! Bravo !
Non, elle n'est pas amoureuse d'Edmond, mais de son mari Michel, et attentive à son entourage familial. Mais qu'elle devienne dépendante de ses sens, grâce ou à cause du vieux notaire, c'est bien possible. C'est cette dualité qui va être le plus difficile à accepter pour elle.
Il me serait plus facile de vous répondre par mail à toutes vos questions sur la belle Odile.
Il me serait plus facile de vous répondre par mail à toutes vos questions sur la belle Odile.
VieuLou, une merveille cette épisode,
Edmond apprivoise avec la plus grande dextérité cette femme mariée où rien dans sa vie lui laissait une telle mainmise sur sa personne par un homme.
Deviendrait elle amoureuse ou dépendante ?
Au plaisir de lire la suite
Edmond apprivoise avec la plus grande dextérité cette femme mariée où rien dans sa vie lui laissait une telle mainmise sur sa personne par un homme.
Deviendrait elle amoureuse ou dépendante ?
Au plaisir de lire la suite