L’orgie continue - Éloge de la candeur (épisode 05) - histoire érotique

L’orgie continue - Éloge de la candeur (épisode 05)

Résumé des chapitres précédents : Sandy, une jeune femme, mariée à un rustre est déniaisée par Paul qui a presque le double de son âge. Entrainée chez un couple de quadras, Jacques et Corinne, qui, avec Maud, leur soubrette de dix-huit ans, elle assiste à leur débauche débridée.

Pelotonnée contre Paul, Sandy refait surface lentement, ouvrant progressivement ses yeux pour s'apercevoir que Corinne est à genoux et que son mari est en train de la prendre en levrette sur le canapé qui leur fait face. Sous l'hôtesse, la jeune servante est allongée, sa jupe retroussée jusqu'à son nombril, sa patronne, sa tête enfouie dans son entrejambe, lui lèche sa vulve comme elle l'a fait à sa cliente dans la cabine d'essayage. Sandy déconcertée par ce qu'elle soupçonne voudrait se lever et se rhabiller, mais Paul l'en empêche, car il veut maintenant la baiser. Elle essaie bien de protester, mais son amant en un tour de main la dispose à genoux elle aussi sur le canapé, puis, présentant sa verge entre ses fesses, il s'introduit bien au fond de son vagin où il se meut avec vigueur, apportant des soupirs de plaisir sur les lèvres de sa compagne.

Les couples se regardent maintenant en train de copuler, cela ajoute certainement à leur excitation, car Sandy ne pense plus à rien, elle se laisse manipuler, jouissant de son vagin qui accueille si généreusement la verge bien raide de son amant. Soudain, la petite soubrette se dégage de sous sa patronne, puis elle vient se glisser sous le corps de Sandy. Celle-ci est effarée de l'effronterie de la gamine, mais Paul lui intime l'ordre de goûter à cette jeune vulve encore bavante. D'abord, elle veut se révolter, puis vaincue par l'homme qui la laboure sans ménagement, elle se décide mollement, appliquant ses lèvres sur le pertuis où frisottent quelques poils blonds. Se soumettant enfin, elle darde la pointe de sa langue vers le petit bourgeon décapuchonné qui vibre rapidement lorsqu'elle le lèche. Elle se surprend, à trouver délicieux de brouter ce sexe féminin qui dégage un parfum enivrant.

Elle se rend à peine compte que Paul s'est dégagé de son vagin, aussi, quand elle comprend qu'il a en fait échangé sa position avec celle de Jacques, il est trop tard. Celui-ci, a enfoncé sa longue et grosse queue dans sa vulve jusqu'à toucher son utérus, tout en la tenant fermement par les seins qu'il broie sous ses mains musclées, il la besogne avec ardeur pendant qu'elle contemple Paul qui chevauche la plantureuse Corinne, s'enfonçant entre ses fesses avec ce qu'elle présume une grande délectation. Un pincement de jalousie lui étreint la poitrine en voyant son amant faire l'amour à une autre, mais sa situation n'est pas meilleure, elle est baisée jusqu'au fond de sa matrice par un homme encore inconnu il y a à peine quelques heures, alors qu'elle-même dévore la vulve d'une gamine. Quelle dépravation pense-t-elle, elle se lamente silencieusement sur ce qu'elle est en train de devenir, mais soudain, un orgasme encore plus fort que le précédent la saisit, la faisant hurler sa joie, savourant l'énorme pine qui lui laboure ses entrailles.

Paul, a retourné Corinne sous lui tout en s'enfournant dans sa vulve béante, il enfouit sa tête dans la volumineuse poitrine qu'il mange avec avidité, mordant les seins un peu mous en suçant les gros tétons qui s'érigent comme de petites bites. Bientôt ne pouvant plus se retenir, il éjacule dans la femme épanouie et succulente qui l'étreint et l'embrasse avec fougue.

Pour Sandy, rien n'est encore terminé, car Jacques la baise toujours avec autant d'ardeur. La soubrette qui se fait mignoter sa vulve s'est un peu dégagée pour pouvoir placer sa tête sous les cuisses de la femme qui la fait jouir si bien, elle s'agrippe avec ses mains à ses jambes, lapant avec ardeur son clitoris. La nouvelle dépravée hoquette de plaisir, elle mordille même le vagin de celle qui ajoute à son plaisir et à la lubricité qu'elle ressent dans tout son corps. La jeune Maud lèche par la même occasion le vit de son patron qui glisse dans le vagin au-dessus de sa bouche. Lorsque celui-ci, éjacule avec puissance son foutre dans la moule meurtrie de Sandy, le trop-plein vient se répandre dans la bouche de la gamine qui l'absorbe avec avidité.

Mais Sandy n'en a pas terminé avec la perversion qu'elle est en train de découvrir. Corinne vient se glisser à la place de sa servante, puis prenant les lèvres de Sandy, elle l'embrasse à pleine bouche tout en la caressant sur tout le corps. Les deux femmes se cajolent, Sandy pleurant sur son inconduite impardonnable, néanmoins, elle se sent bien dans les bras de la corpulente blonde qui lui sèche ses pleurs avec sa langue. Elles ondulent du plaisir partagé qu'elles se donnent quand tout-à-coup, elles entendent des cris féminins. C'est la petite soubrette qui hurle qu'elle ne veut pas être prise :

- Non ! Je vous en prie. Pas comme cela. Pas tous les deux. Pas vous Monsieur. Oh ! Non ! Je vous en supplie Aie ! Aie ! Ahhhhrrrrrrrrrrr.......

Corinne et Sandy se redressant, découvrent avec effarement ce qui fait crier la soubrette. Paul est sur le dos alors que la jeune fille le chevauche, la pine de l'homme étant complètement enfouie dans son vagin. Mais ce qui est incroyable, c'est de voir Jacques qui a écarté les fesses de Maud, essayant d'introduire son énorme membre dans l'œillet plissé du petit derrière. La gamine hurle encore alors que Jacques impitoyable transperce l'anus et engouffre sa queue dans la croupe juvénile. La petite hurle de plus belle, hoquetant sous la double intromission qui ravage ses chairs intimes. Des larmes abondantes ont jailli de ses yeux, mais les deux hommes n'en n’ont cure, ils ramonent en cadence le vagin et le cul de la belle. Celle-ci geint encore mais avec moins de forces. Pourtant, elle est bien lucide se laissant emportée par les deux queues qui pourfendent ses entrailles. Ses gémissements se transforment bientôt en halètements, car à la grande surprise de Sandy, horrifiée par cette monstruosité, la gamine encourage ses tortionnaires :

- Oh ! J'ai mal, mais continuez. Mon Dieu, comme ça fait mal. Oh, Non ! Oh ! Oui ! Oui ! Encore, encore. Non ne sortez pas, restez dans mon derrière Monsieur ! Oh ! C'est bon. Je vais mourir, mais c'est bon. Continuez. Continuez. Dans mes deux fentes, comme ça ! Oui ! Oui ! Oui ! Oui ! Comme ça ! Encore, encore............ Ah ! Ah ! Ahhhhrrrrrrrrrrr......

Les deux hommes s'agitent avec vigueur dans les deux cavités qu'ils ont envahies intégralement, la soubrette ondule avec eux, agitant son bassin à la rencontre des mandrins qui la pénètrent, et, c'est dans un feulement de frénésie que les trois corps s'écroulent, out pour le compte. Les deux femmes regardent la fin de ce spectacle d'une façon différente. Corinne avec envie, les yeux brillants de convoitise et d'excitation. Sandy avec effroi, étonnée et bouleversée par le final de cette chevauchée inhumaine, alors qu’incroyablement, la jeune fille en redemandait. Elle ne comprend plus, mais surtout, elle est inquiète, pressentant que son amant veuille bientôt lui faire subir un tel supplice. Elle ne se sent pas prête à ces jeux pervers. Pourtant, ce soir, elle a joui intensément, plus encore de ce que Paul lui a fait découvrir la nuit dernière et toute cette journée. Justement, son amant vient vers elle, puis la prenant tendrement dans ses bras, il la rassure :

- Ne crains rien ma Chérie, personne ne t'obligera à subir un pareil outrage. La petite est consentante, tu sais, elle participe à de nombreuses parties avec ses employeurs et d'autres amis, mais cette fois, elle avait peur de la verge de Jacques, habituellement, il ne la prend jamais lui-même dans son anus, car il est trop fortement membré. Mais crois-moi, ce n'est pas la première fois qu'elle reçoit deux pénis en même temps, d'ailleurs, tu as vu et entendu, elle y a vite pris goût.

- Oh ! Mon chéri, je ne sais plus où j'en suis, tu m'as fait prendre par un inconnu, et, et... Oh ! Mon Dieu ! Que j'aie honte, mais j'ai aimé, tu sais, et puis la petite que j'ai dû lécher et qui m'a sucé mon bouton. Je n'ose croire d'y avoir pris tant de plaisir c'est trop... Que vais-je devenir ? Je ne vais plus oser retrouver mon mari.

- Mais si tout va s'arranger, tu vas voir. Le principal, c'est que tu jouisses incontestablement. Ne dis pas que tu trouves cela négatif. Ta transformation est peut-être un peu rapide, mais je n'ai pas beaucoup le temps. Après-demain, nous prendrons la route pour Paris, et, en principe le soir, tu seras chez toi. Allons sois tranquille, je ne t'abandonnerai pas. Tu seras toujours la bienvenue si tu as besoin de conseils.

À ce moment, Jacques et Corinne, toujours nus, reviennent dans la pièce après s'être faits un brin de toilette. Ils invitent leurs invités à en faire autant, Corinne emmène donc Sandy se refaire une beauté. Celle-ci a du mal à se déplacer dans cette tenue indécente, aussi nue que son hôtesse, mais une fois dans la salle de bains, elle se sent plus à l'aise. La soubrette est apparue, dans le plus simple appareil elle aussi, elle porte des serviettes et des flacons de parfum. Corinne propose à Sandy de prendre un bain, celle-ci ne se fait pas prier surtout que l'eau bleue fume légèrement dans la baignoire, aussitôt, elle enjambe avec plaisir le rebord, plongeant avec délices dans l'eau bouillonnante agitée par un Jacousi.

À son grand étonnement, les deux femmes la rejoignent, il est vrai que la baignoire est immense, une vraie petite piscine. Bientôt, elle est savonnée par ses deux compagnes qui la frottent avec des grosses éponges naturelles. Mais les mains se font baladeuses, ses chairs intimes sont aussi massées et pincées par les doigts experts des deux complices qui tout en la nettoyant la masturbent habilement, tout en lui picorant ses joues de petits baisers. Sandy chavire sous les attouchements et les caresses maintenant bien précises des deux femmes, elle se laisse embrasser sans protester par la jeune soubrette qui agite sa langue dans sa bouche qui s'est entrouverte. Corinne lui mange littéralement ses seins alors que les deux femmes ont plongé leurs quatre mains enfouies dans son entrecuisse.

Elle vient d'avoir deux orgasmes successifs lorsque l'opulente Corinne se redresse et vient offrir son bas-ventre à ses lèvres, Sandy, affolée par tout ce qu'elle ressent depuis un bon moment ne refuse pas de happer le clitoris turgescent qui se dresse devant sa bouche. Elle le suce avec avidité, crispant ses doigts dans les fesses charnues de la blonde, fouillant avec sa langue le vagin qui mouille déjà abondamment. Elle joui, elle aussi, car la gamine lui perfore sa vulve de ses cinq doigts réunis, sentant bientôt les ongles racler ses chairs enflammées, lui tirant des grognements de plaisir. Surexcitée, elle ne peut s'empêcher de mordre à pleines dents les lèvres vaginales de la femme qu'elle suce déjà et broute avec ardeur.

Les trois femmes, aiguillonnées par ce qu'elles vivent, sortent du bain en se séchant rapidement, elles se vautrent ensuite sur l'épaisse moquette, étroitement enchevêtrées les unes dans les autres, se caressant, s'embrassant, se léchant, se suçant, se triturant leurs seins et leurs cuisses et enfouissant leurs doigts dans leurs chairs vaginales, allant même à introduire leurs doigts dans l'œillet resserré de leur anus. Pour la seconde fois, Sandy est pénétrée au plus profond de son rectum, étonnamment, elle ne trouve pas cela désagréable, surtout que son vagin, son clitoris, ses seins et sa bouche sont déjà sollicités avec vigueur, aussi elle ondule du plaisir qu'elle reçoit et de celui qu'elle donne en échange à ses partenaires, se livrant sans retenue aux joies du saphisme,

Tout-à-coup la porte s'ouvre et les deux hommes s'esclaffent en voyant les trois femmes qui se font plaisir entre elles. Alors que Sandy est étendue sous Corinne, lui dévorant sa coquille baveuse de mouille, Jacques lui intime d'écarter les grosses fesses de son épouse, pour sans coup férir, percer l'œillet matrimonial qui se dilate sous le monstrueux pénis qui se fraye un passage jusqu'au fond des entrailles et reste fiché durant un moment, immobile. Sandy qui voit le vit de l'homme à quelques centimètres de ses yeux, constate avec surprise que l'anus de sa compagne s'est ouvert facilement sous la formidable poussée de l'engin qui est planté dans son fondement. Elle remarque que l'œillet s'est déplissé tandis que la gaine rectale comprime étroitement le membre. Celui-ci ne tarde pas à coulisser dans le cul qui s'ouvre de plus en plus, laissant entrevoir lorsque Jacques retire son dard gluant, un cratère insondable qui palpite spasmodiquement. Sandy, qui lèche toujours le vagin de Corinne, donne parfois des coups de langue sur le membre de l'homme.

À son étonnement, elle s'aperçoit qu'elle en retire une certaine délectation, fascinée par l'obscénité de l'acte auquel elle assiste avec une intense concupiscence. Mais son regard est, d'un seul coup, attiré par Paul, qui s'étant posté à côté d'elle encule avec une grande jubilation Maud. Celle-ci s'est couchée sur le dos, relevant ses jambes pour être atteinte plus facilement. Le membre plus modeste que celui de Jacques, pistonne tout de même avec vigueur le petit derrière de la gamine qui pousse de petits cris de contentement. Sandy s'est résignée à subir ce dernier outrage, car elle ne doute pas que bientôt, ce sera son tour. Elle appréhende lorsque les deux hommes vont forcer à tour de rôle sa pastille inviolée. Elle soupire à la pensée qu'il y a seulement deux jours, elle n'avait aucune idée de ce que la sensualité pouvait représenter pour elle. En son for intérieur, elle espère que les débordements auxquels elle se livre maintenant avec volupté ne lui compliqueront et ne changeront pas trop sa vie, si morne et si tranquille jusqu'à présent.

Les deux couples gémissent et halètent, hurlant bientôt la volupté qu'ils retirent de leurs ébats enivrants. Presque ensemble, les deux hommes éjaculent dans les croupes de leur partenaire. Le débordement du foutre épais et gluant de Jacques s'infiltre entre les fesses de sa moitié, s'égouttant jusqu'aux lèvres de Sandy qui s'oblige à ne pas détourner la tête, recevant sur sa langue cette substance, un peu salée qu'elle déguste avec une certaine exaltation, ayant fait fi de sa pudibonderie naturelle.

À la grande surprise de Sandy, elle ne se retrouve pas violée dans son anus comme elle l'avait pensé si fortement peu avant. En fait, leurs hôtes, exténués par les débordements auxquels ils se sont tous livrés pendant plusieurs heures, car maintenant, il est presque cinq heures du matin, proposent à Paul et à Sandy de dormir dans une chambre qu'ils mettent bien volontiers à leur disposition. Ceux-ci acceptent sans hésitation, car Paul ne se ressent pas de conduire à cette heure pour rentrer à l'hôtel. Aussitôt couchés, ils s'endorment, terrassés par la fatigue accumulée depuis les deux nuits qu'ils viennent de passer.