L'Ultimatum 1
Récit érotique écrit par Bichou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'Ultimatum 1
Voici une histoire un peu dure sans doute, mais plus destinée à chasser mes propres angoisses que représentative d’une réalité. Elle est totalement imaginaire et les personnages n’existent que dans mon imagination.
Je me suis toujours demandé quelle était notre liberté d’homme (ou de femme) marié(e), qu’en reste-t-il dès qu’une mise en couple survient. Je n’ai bien entendu pas la réponse. Le récit qui suit est une approche, bien modeste sans doute. Chacun y trouvera sans doute à redire. Faite donc moi savoir vos avis.
Je veux remercier Laeticia qui m’a beaucoup aidé, en particulier dans l’analyse psychologique du personnage féminin.
Bonne lecture.
****************
Je suis Carole, femme dite BCBG, magnifique dans la plénitude de ma quarantaine (44 pour être précise). Brunette aux yeux verts, les hommes me disent que mon corps dégage une sensualité débordante.
Je travaille dans une compagnie d’assurance en qualité de gestionnaire de sinistres.
Depuis plusieurs mois, Diego, un collègue trentenaire plutôt beau gosse, me fait une cour discrète mais néanmoins assidue à laquelle à laquelle je ne compte pas céder mais je laisse néanmoins faire car j’y vois un jeu réconfortant et cela m’amuse.
Je suis mariée à Julien, 45 ans, depuis 20 ans et lui suis fidèle. Nous n’avons pourtant pas une vie sexuelle débordante mais je m’entretiens de façon à rester une femme désirable.
Nous avons un fils de 19 ans dont je suis particulièrement fière. Etudiant à l’école polytechnique, il vient de valider son ticket pour la deuxième année de manière brillante.
Je ne lui connais pas de petite amie, ce n’est pas un coureur. Il est comme son père, réservé, discret. J’aimerais cependant qu’il ait une vie sociale plus intense et me dis qu’une copine lui ferait du bien.
Un samedi, rangeant le linge nettoyé et propre, j’entre dans la chambre de mon fils le croyant sorti. La porte de sa salle de bain est ouverte et je le surprends sous la douche. Rougissante, elle s’excuse auprès d’Amaury et sors précipitamment.
J’ai eu le temps de voir que la nature l’a bien doté. C’est devenu un homme et je suis troublée d’autant que je sens une humidité coupable au fond de ma culotte.
Il faut dire qu’avec mon mari, ce n’est pas souvent la fête, nous n’avons pas une vie sexuelle très développée. Je ne m’en formalisais pas mais, allez savoir pourquoi, le trouble ressenti réveille mes sensations cachées.
Depuis, je m’habille plus sexy, mettant mes formes féminines en valeur. J’apprécie le désir dans le regard des hommes que je croise en me rendant au bureau ou lorsque je fais du shopping.
Je tente de réveiller l’appétit sexuel de mon mari mais sans résultat probant, il est toujours aussi peu intéressé par le sexe. Cela me désole, et mes jouets commencent à ne plus me suffire. Je devrais peut être lui en parler, mais je n’ose pas.
Diego, ce trentenaire viril, accentue sa cour et se fait plus pressant. Fin renard, il a bien entendu remarqué le changement d’attitude et observé mes tenues plus sexy.
Je me montre de plus en plus réceptive à ces avances et je suis extrêmement troublée lorsque, très sûr de lui et très honnêtement, il me déclare être très attiré par moi et qu’il veut faire de moi sa maitresse.
Charmant, au physique d’acteur de cinéma, il me captive et je finis par accepter son invitation à prendre un verre à la sortie du bureau, profitant de l’absence de mon mari invité à une manifestation sportive sponsorisée par un de ses fournisseurs. Je téléphone à mon fils pour lui faire savoir que je rentrerai tard prétextant des dossiers urgents à clôturer.
- Je suis heureux que tu ais enfin accepter mon invitation me dit Diego, très sûr de lui. Tu es absolument magnifique.
- Tu es un agréable compagnon et je me suis dit qu’un moment de détente avec toi serait une belle fin de journée.
- Beaucoup de collègues seraient désireux d’être à ma place, tu n’as pas idée !
- Ah oui ? dis-je troublée mais flattée.
- Et je peux te dire qu’Amélie, la juriste, est verte de jalousie de savoir que nous allons prendre un verre ensemble me dit-il avec un clin d’œil coquin.
Décidément, ce n’est pas l’humilité qui l’étouffe, mais j’apprécie ce discours et je sens que mon minou se lubrifie à une allure de TGV.
Un silence s’installe et Diego perçoit mon trouble. Sa main prend la mienne, il se penche sur moi et me dépose un baiser sur la bouche. Je suis figée.
Il m’embrasse à nouveau, sa langue cherchant à forcer le passage de mes dents. Je réponds, lui laisse le passage et notre baiser devient plus langoureux, de plus en plus torride.
Un flot de cyprine envahit ma culotte et mes seins se gonflent sous le désir.
Sans un mot, il se lève, me prend par la main et m’entraine vers un immeuble situé à quelques encablures.
- Où sommes-nous ? je lui demande- Nous arrivons chez moi me dit-il en composant un code sur le panneau de sécurité de l’entrée.
J’ai le cœur qui bat de plus en plus vite, j’ai un doute me rendant compte que je vais tromper mon mari. J’hésite et Diego ne force rien. Il me regarde de ses yeux de velours, m’entraine.
Je me décide et nous prenons l’ascenseur pour arriver au deuxième étage.
Une fois dans la place, il m’embrasse fougueusement et m’emmène vers la chambre. Il me déshabille avec délicatesse, me porte sur le lit. Je suis nue, les jambes écartées, offerte. Diego se couche entre mes cuisses, caresse ma toison fournie et commence à me lécher la vulve. C’est divin et la cyprine coule en abondance de mon sexe. Il joue, introduit la langue dans mon vagin et je ronronne de plaisir.
Il atteint le clitoris et commence à le sucer. Mon corps s’arque et je jouis dans un orgasme bruyant.
Se relevant, il se déshabille et me présente son braquemart bien tendu : il est gros, épais et je ne sais si je vais pouvoir le satisfaire. Je le prends en bouche et commence une fellation la plus érotique possible. Il grogne et apparemment aime.
- Je vais jouir me dit-il- Lâche tout lui dis-jeUn jet puissant me remplit la gorge, le liquide chaud et amer envahit mon gosier. Je lâche sa tige et, le regardant droit dans les yeux, j’avale tout.
Il me retourne sur le ventre sans ménagement. Son dard joue dans mon sillon et, d’un seul coup, sans prévenir, s’introduit dans ma chatte. Je crie de plaisir d’autant qu’il commence un va-et-vient fougueux. Il me pénètre de plus en plus fort, de plus en plus vite, me pilonne et j’éclate dans un orgasme puissant qui me laisse complètement désarticulée.
Il se retire et reste couché sur moi.
Après quelques minutes pour reprendre son souffle, il remonte à l’assaut. Cette fois, de ses doigts, il entre dans ma chatte, les enduit de ma cyprine et viens caresser et lubrifier mon petit trou.
- Sois doux lui dis-je. Je suis encore vierge de ce côté.
Et il l’a été. Il est entré en moi doucement, par petite poussée. Au départ, j’ai ressenti une douleur mais elle s’est vite estompée et une fois complètement remplie, je me retrouve au paradis des amants.
Il entre, sors, entre à nouveau et joue en moi pendant de longues minutes. Il accélère les mouvements et nous explosons dans un orgasme commun. Il s’épanche dans mes entrailles et je sens le liquide chaud me remplir.
Je suis épuisée mais heureuse. Je n’avais jamais fait l’amour avec une telle intensité et goûte cette plénitude qui me rend extatique.
*******
De retour à la maison, je file prendre une douche. Mes vêtements prennent directement la direction du panier à linge où je constate que mon slip de la veille est bizarrement taché.
Pas de doute, c’est bien du sperme
Ce ne peut provenir que d’Amaury. Je passe une robe de chambre et me dirige vers celle de mon fils.
J’entends une voix, Amaury a-t-il un visiteur ? Je m’aperçois qu’il est seul et finis par comprendre qu’il est en train de se masturber et s’encourage.
- Oui, je viens. Fais-moi jouir Carole, tu es la meilleure- Comme tu es bonne- J’aime ta chatte
Je suis surprise et exécute un demi-tour discrètement. Parle-t-il de moi ? Je rougis à l’idée qu’il se caressait en imaginant me faire l’amour. Je ne savais que penser et sentis ma vulve bien humide sans savoir si c’était un reste de mon début de soirée ou si cette réaction provenait de l’idée de baiser avec mon fils !
Une heure plus tard, je retourne voir Amaury, je veux avoir une petite discussion avec lui.
- Dis-moi, mon chéri, tout se passe bien ? Pas de sortie en vue ?
- Non, non tout est carré. J’ai trop de travail pour sortir.
- Tu n’as pas de petite amie ? Tu es pourtant bien foutu !
- Heu. Non. A vrai dire, les filles de mon âge ne m’intéresse que très peu. La vérité est que je préfère les femmes de 40 ans.
- Vraiment ? Tu as déjà eu une relation avec une femme ?
- Non. Je n’ai encore jamais couché avec une fille dit-il en rougissant.
- Ne t’en fais pas mon chéri. Cela viendra.
- En fait, j’aimerais bien rencontrer une femme comme toi, maman.
- Oh, Silence un peu gêné.
- Dis-moi. Est-ce que tu fouilles dans mes sous-vêtements ?
- Rougissant, Amaury admet.
- Tu te masturbes dans mes petites culottes ?
- Oui, avoue-t-il.
Je rougis devant cet aveu. Je prends Amaury dans mes bras et tout de suite me rend compte qu’il bande comme un âne.
- Ton père va rentrer. Je vais préparer un petit repas léger.
- D’accord maman. Je t’aime.
- Je t’aime aussi mon chéri.
Voilà maintenant 3 mois que Diego est mon amant. Nous nous retrouvons tous les midis chez lui pour baiser tout notre saoul, sauf le mardi lorsque mon mari retrouve ses copains pour une partie de cartes. Dans ce cas, nous nous retrouvons à la sortie du bureau pour passer quelques heures ensemble dans un 5 à 7 classique.
J’ai refusé toute partie de jambes en l’air ou fantaisies quelconques les jours où je suis indisposée, cela nous fera des vacances !
C’est un merveilleux amant, puissant et endurant et il n’arrête pas de me faire jouir.
Mâle dominant, il a exigé que je porte des dessous sexy, voire pas de dessous du tout et que je m’épile entièrement la chatte. Je sais que mon mari déteste les minous glabres, je vais donc devoir trouver une bonne raison pour satisfaire l’exigence de mon amant.
Je me sens dominée mais je ne peux plus m’empêcher de retrouver son corps ni les orgasmes qu’il me procure. Je deviens accro.
La vie continue : mon mari va toujours chez ses potes le mardi pour taper la carte sans s’apercevoir de son infortune. Il a un abonnement au PSG et un samedi sur deux il part au stade avec ses copains et ne reviens que tard dans la nuit après avoir soit fêter la victoire, soit noyer la défaite. C’est un homme doux et qui évite tout conflit dans notre famille. Il est attentionné pour tout ce qui nous concerne, mon fils et moi et prend en charge les problèmes du quotidien : la gestion de nos finances, les abonnements divers, l’organisation de nos vacances en concertation avec moi bien entendu, nos soirées avec les connaissances et les amis. Je ne peux rien lui reprocher si ce n’est peut-être qu’il est un peu trop « lisse ».
Nous continuons à faire l’amour épisodiquement, mon mari n’étant toujours pas très branché sexe. Nos relations me paraissent un peu fades au regard de ce que mon amant me procure même s’il me fait bien jouir. Je l’aime c’est certain, et cette situation me rend honteuse. Je suis un peu triste pour lui et je dois faire attention à ne pas montrer mon trouble.
J’ai retrouvé une amie de lycée, Océane, jolie blonde aux yeux bleus, que j’avais perdu de vue Nous convenons de déjeuner ensemble ce mardi.
- Alors, que deviens-tu ? Toujours aussi jolie ? Tu es toute bronzée !
- Je reviens de Martinique où j’avais suivi mon mari. Nous avons divorcé et me voilà de retour. Sa jalousie a eu raison de notre couple.
- Raconte-moi : tu es restée la coqueluche de ces messieurs ?
- Oui, trop de soupirants me tournaient autour, ce qui n’a pas plu à mon ex.
- Tu as pris un amant ?
- Oui, et même plusieurs, du coup mon couple n’a pas résisté, d’autant que j’avais appris qu’il n’était pas en reste ! Mais et toi ?
- Je suis mariée et j’ai un fils de 19 ans. Confidence pour confidence, j’ai aussi pris un amant et, je dois dire qu’au lit il est absolument fabuleux. D’ailleurs, le voilà justement.
Diego arrive et viens nous saluer. Je lui présente Océane et ses yeux commencent à papillonner. Je vois bien que la beauté de mon amie ne le laisse pas indifférent et j’en ressens une petite pointe de jalousie.
- Vous ne pouviez qu’avoir de tels yeux avec un nom comme le vôtre dit-il, flatteur.
- C’est gentil, répond Océane, directement sous le charme.
- Attention, lui dis-je, c’est un beau parleur !
L’heure avançant, il est temps de regagner le bureau, le travail m’attend.
En fin de journée, je retrouve Diego et nous nous rendons chez lui.
Après l’amour, je me retrouve nue sur le lit, bas résille et porte-jarretelles, la chatte bien rasée comme exigé par Monsieur. Il me caresse le sein et je lui tiens le sexe langoureusement.
- Tu sais, me dit-il, j’ai fait l’amour à Amélie. Et je peux te dire qu’elle a crié de jouissance ! Tu aurais dû l’entendre !
Je me fige.
- Tu as l’intention de te taper les 150 femmes qui travaillent dans la compagnie lui dis-je un peu acerbe ? Déjà que tu n’hésites pas à faire du plat à mon amie en ma présence !
- Ne le prends pas sur ce ton. Tu me connais : pas d’attache et libre comme l’air !
- Tu as raison, soyons libres comme l’air. Sur ce, je rentre chez moi m’occuper de mon mari et de mon fils.
Je me lève, m’habille et sans un mot, je m’en vais.
Je me suis toujours demandé quelle était notre liberté d’homme (ou de femme) marié(e), qu’en reste-t-il dès qu’une mise en couple survient. Je n’ai bien entendu pas la réponse. Le récit qui suit est une approche, bien modeste sans doute. Chacun y trouvera sans doute à redire. Faite donc moi savoir vos avis.
Je veux remercier Laeticia qui m’a beaucoup aidé, en particulier dans l’analyse psychologique du personnage féminin.
Bonne lecture.
****************
Je suis Carole, femme dite BCBG, magnifique dans la plénitude de ma quarantaine (44 pour être précise). Brunette aux yeux verts, les hommes me disent que mon corps dégage une sensualité débordante.
Je travaille dans une compagnie d’assurance en qualité de gestionnaire de sinistres.
Depuis plusieurs mois, Diego, un collègue trentenaire plutôt beau gosse, me fait une cour discrète mais néanmoins assidue à laquelle à laquelle je ne compte pas céder mais je laisse néanmoins faire car j’y vois un jeu réconfortant et cela m’amuse.
Je suis mariée à Julien, 45 ans, depuis 20 ans et lui suis fidèle. Nous n’avons pourtant pas une vie sexuelle débordante mais je m’entretiens de façon à rester une femme désirable.
Nous avons un fils de 19 ans dont je suis particulièrement fière. Etudiant à l’école polytechnique, il vient de valider son ticket pour la deuxième année de manière brillante.
Je ne lui connais pas de petite amie, ce n’est pas un coureur. Il est comme son père, réservé, discret. J’aimerais cependant qu’il ait une vie sociale plus intense et me dis qu’une copine lui ferait du bien.
Un samedi, rangeant le linge nettoyé et propre, j’entre dans la chambre de mon fils le croyant sorti. La porte de sa salle de bain est ouverte et je le surprends sous la douche. Rougissante, elle s’excuse auprès d’Amaury et sors précipitamment.
J’ai eu le temps de voir que la nature l’a bien doté. C’est devenu un homme et je suis troublée d’autant que je sens une humidité coupable au fond de ma culotte.
Il faut dire qu’avec mon mari, ce n’est pas souvent la fête, nous n’avons pas une vie sexuelle très développée. Je ne m’en formalisais pas mais, allez savoir pourquoi, le trouble ressenti réveille mes sensations cachées.
Depuis, je m’habille plus sexy, mettant mes formes féminines en valeur. J’apprécie le désir dans le regard des hommes que je croise en me rendant au bureau ou lorsque je fais du shopping.
Je tente de réveiller l’appétit sexuel de mon mari mais sans résultat probant, il est toujours aussi peu intéressé par le sexe. Cela me désole, et mes jouets commencent à ne plus me suffire. Je devrais peut être lui en parler, mais je n’ose pas.
Diego, ce trentenaire viril, accentue sa cour et se fait plus pressant. Fin renard, il a bien entendu remarqué le changement d’attitude et observé mes tenues plus sexy.
Je me montre de plus en plus réceptive à ces avances et je suis extrêmement troublée lorsque, très sûr de lui et très honnêtement, il me déclare être très attiré par moi et qu’il veut faire de moi sa maitresse.
Charmant, au physique d’acteur de cinéma, il me captive et je finis par accepter son invitation à prendre un verre à la sortie du bureau, profitant de l’absence de mon mari invité à une manifestation sportive sponsorisée par un de ses fournisseurs. Je téléphone à mon fils pour lui faire savoir que je rentrerai tard prétextant des dossiers urgents à clôturer.
- Je suis heureux que tu ais enfin accepter mon invitation me dit Diego, très sûr de lui. Tu es absolument magnifique.
- Tu es un agréable compagnon et je me suis dit qu’un moment de détente avec toi serait une belle fin de journée.
- Beaucoup de collègues seraient désireux d’être à ma place, tu n’as pas idée !
- Ah oui ? dis-je troublée mais flattée.
- Et je peux te dire qu’Amélie, la juriste, est verte de jalousie de savoir que nous allons prendre un verre ensemble me dit-il avec un clin d’œil coquin.
Décidément, ce n’est pas l’humilité qui l’étouffe, mais j’apprécie ce discours et je sens que mon minou se lubrifie à une allure de TGV.
Un silence s’installe et Diego perçoit mon trouble. Sa main prend la mienne, il se penche sur moi et me dépose un baiser sur la bouche. Je suis figée.
Il m’embrasse à nouveau, sa langue cherchant à forcer le passage de mes dents. Je réponds, lui laisse le passage et notre baiser devient plus langoureux, de plus en plus torride.
Un flot de cyprine envahit ma culotte et mes seins se gonflent sous le désir.
Sans un mot, il se lève, me prend par la main et m’entraine vers un immeuble situé à quelques encablures.
- Où sommes-nous ? je lui demande- Nous arrivons chez moi me dit-il en composant un code sur le panneau de sécurité de l’entrée.
J’ai le cœur qui bat de plus en plus vite, j’ai un doute me rendant compte que je vais tromper mon mari. J’hésite et Diego ne force rien. Il me regarde de ses yeux de velours, m’entraine.
Je me décide et nous prenons l’ascenseur pour arriver au deuxième étage.
Une fois dans la place, il m’embrasse fougueusement et m’emmène vers la chambre. Il me déshabille avec délicatesse, me porte sur le lit. Je suis nue, les jambes écartées, offerte. Diego se couche entre mes cuisses, caresse ma toison fournie et commence à me lécher la vulve. C’est divin et la cyprine coule en abondance de mon sexe. Il joue, introduit la langue dans mon vagin et je ronronne de plaisir.
Il atteint le clitoris et commence à le sucer. Mon corps s’arque et je jouis dans un orgasme bruyant.
Se relevant, il se déshabille et me présente son braquemart bien tendu : il est gros, épais et je ne sais si je vais pouvoir le satisfaire. Je le prends en bouche et commence une fellation la plus érotique possible. Il grogne et apparemment aime.
- Je vais jouir me dit-il- Lâche tout lui dis-jeUn jet puissant me remplit la gorge, le liquide chaud et amer envahit mon gosier. Je lâche sa tige et, le regardant droit dans les yeux, j’avale tout.
Il me retourne sur le ventre sans ménagement. Son dard joue dans mon sillon et, d’un seul coup, sans prévenir, s’introduit dans ma chatte. Je crie de plaisir d’autant qu’il commence un va-et-vient fougueux. Il me pénètre de plus en plus fort, de plus en plus vite, me pilonne et j’éclate dans un orgasme puissant qui me laisse complètement désarticulée.
Il se retire et reste couché sur moi.
Après quelques minutes pour reprendre son souffle, il remonte à l’assaut. Cette fois, de ses doigts, il entre dans ma chatte, les enduit de ma cyprine et viens caresser et lubrifier mon petit trou.
- Sois doux lui dis-je. Je suis encore vierge de ce côté.
Et il l’a été. Il est entré en moi doucement, par petite poussée. Au départ, j’ai ressenti une douleur mais elle s’est vite estompée et une fois complètement remplie, je me retrouve au paradis des amants.
Il entre, sors, entre à nouveau et joue en moi pendant de longues minutes. Il accélère les mouvements et nous explosons dans un orgasme commun. Il s’épanche dans mes entrailles et je sens le liquide chaud me remplir.
Je suis épuisée mais heureuse. Je n’avais jamais fait l’amour avec une telle intensité et goûte cette plénitude qui me rend extatique.
*******
De retour à la maison, je file prendre une douche. Mes vêtements prennent directement la direction du panier à linge où je constate que mon slip de la veille est bizarrement taché.
Pas de doute, c’est bien du sperme
Ce ne peut provenir que d’Amaury. Je passe une robe de chambre et me dirige vers celle de mon fils.
J’entends une voix, Amaury a-t-il un visiteur ? Je m’aperçois qu’il est seul et finis par comprendre qu’il est en train de se masturber et s’encourage.
- Oui, je viens. Fais-moi jouir Carole, tu es la meilleure- Comme tu es bonne- J’aime ta chatte
Je suis surprise et exécute un demi-tour discrètement. Parle-t-il de moi ? Je rougis à l’idée qu’il se caressait en imaginant me faire l’amour. Je ne savais que penser et sentis ma vulve bien humide sans savoir si c’était un reste de mon début de soirée ou si cette réaction provenait de l’idée de baiser avec mon fils !
Une heure plus tard, je retourne voir Amaury, je veux avoir une petite discussion avec lui.
- Dis-moi, mon chéri, tout se passe bien ? Pas de sortie en vue ?
- Non, non tout est carré. J’ai trop de travail pour sortir.
- Tu n’as pas de petite amie ? Tu es pourtant bien foutu !
- Heu. Non. A vrai dire, les filles de mon âge ne m’intéresse que très peu. La vérité est que je préfère les femmes de 40 ans.
- Vraiment ? Tu as déjà eu une relation avec une femme ?
- Non. Je n’ai encore jamais couché avec une fille dit-il en rougissant.
- Ne t’en fais pas mon chéri. Cela viendra.
- En fait, j’aimerais bien rencontrer une femme comme toi, maman.
- Oh, Silence un peu gêné.
- Dis-moi. Est-ce que tu fouilles dans mes sous-vêtements ?
- Rougissant, Amaury admet.
- Tu te masturbes dans mes petites culottes ?
- Oui, avoue-t-il.
Je rougis devant cet aveu. Je prends Amaury dans mes bras et tout de suite me rend compte qu’il bande comme un âne.
- Ton père va rentrer. Je vais préparer un petit repas léger.
- D’accord maman. Je t’aime.
- Je t’aime aussi mon chéri.
Voilà maintenant 3 mois que Diego est mon amant. Nous nous retrouvons tous les midis chez lui pour baiser tout notre saoul, sauf le mardi lorsque mon mari retrouve ses copains pour une partie de cartes. Dans ce cas, nous nous retrouvons à la sortie du bureau pour passer quelques heures ensemble dans un 5 à 7 classique.
J’ai refusé toute partie de jambes en l’air ou fantaisies quelconques les jours où je suis indisposée, cela nous fera des vacances !
C’est un merveilleux amant, puissant et endurant et il n’arrête pas de me faire jouir.
Mâle dominant, il a exigé que je porte des dessous sexy, voire pas de dessous du tout et que je m’épile entièrement la chatte. Je sais que mon mari déteste les minous glabres, je vais donc devoir trouver une bonne raison pour satisfaire l’exigence de mon amant.
Je me sens dominée mais je ne peux plus m’empêcher de retrouver son corps ni les orgasmes qu’il me procure. Je deviens accro.
La vie continue : mon mari va toujours chez ses potes le mardi pour taper la carte sans s’apercevoir de son infortune. Il a un abonnement au PSG et un samedi sur deux il part au stade avec ses copains et ne reviens que tard dans la nuit après avoir soit fêter la victoire, soit noyer la défaite. C’est un homme doux et qui évite tout conflit dans notre famille. Il est attentionné pour tout ce qui nous concerne, mon fils et moi et prend en charge les problèmes du quotidien : la gestion de nos finances, les abonnements divers, l’organisation de nos vacances en concertation avec moi bien entendu, nos soirées avec les connaissances et les amis. Je ne peux rien lui reprocher si ce n’est peut-être qu’il est un peu trop « lisse ».
Nous continuons à faire l’amour épisodiquement, mon mari n’étant toujours pas très branché sexe. Nos relations me paraissent un peu fades au regard de ce que mon amant me procure même s’il me fait bien jouir. Je l’aime c’est certain, et cette situation me rend honteuse. Je suis un peu triste pour lui et je dois faire attention à ne pas montrer mon trouble.
J’ai retrouvé une amie de lycée, Océane, jolie blonde aux yeux bleus, que j’avais perdu de vue Nous convenons de déjeuner ensemble ce mardi.
- Alors, que deviens-tu ? Toujours aussi jolie ? Tu es toute bronzée !
- Je reviens de Martinique où j’avais suivi mon mari. Nous avons divorcé et me voilà de retour. Sa jalousie a eu raison de notre couple.
- Raconte-moi : tu es restée la coqueluche de ces messieurs ?
- Oui, trop de soupirants me tournaient autour, ce qui n’a pas plu à mon ex.
- Tu as pris un amant ?
- Oui, et même plusieurs, du coup mon couple n’a pas résisté, d’autant que j’avais appris qu’il n’était pas en reste ! Mais et toi ?
- Je suis mariée et j’ai un fils de 19 ans. Confidence pour confidence, j’ai aussi pris un amant et, je dois dire qu’au lit il est absolument fabuleux. D’ailleurs, le voilà justement.
Diego arrive et viens nous saluer. Je lui présente Océane et ses yeux commencent à papillonner. Je vois bien que la beauté de mon amie ne le laisse pas indifférent et j’en ressens une petite pointe de jalousie.
- Vous ne pouviez qu’avoir de tels yeux avec un nom comme le vôtre dit-il, flatteur.
- C’est gentil, répond Océane, directement sous le charme.
- Attention, lui dis-je, c’est un beau parleur !
L’heure avançant, il est temps de regagner le bureau, le travail m’attend.
En fin de journée, je retrouve Diego et nous nous rendons chez lui.
Après l’amour, je me retrouve nue sur le lit, bas résille et porte-jarretelles, la chatte bien rasée comme exigé par Monsieur. Il me caresse le sein et je lui tiens le sexe langoureusement.
- Tu sais, me dit-il, j’ai fait l’amour à Amélie. Et je peux te dire qu’elle a crié de jouissance ! Tu aurais dû l’entendre !
Je me fige.
- Tu as l’intention de te taper les 150 femmes qui travaillent dans la compagnie lui dis-je un peu acerbe ? Déjà que tu n’hésites pas à faire du plat à mon amie en ma présence !
- Ne le prends pas sur ce ton. Tu me connais : pas d’attache et libre comme l’air !
- Tu as raison, soyons libres comme l’air. Sur ce, je rentre chez moi m’occuper de mon mari et de mon fils.
Je me lève, m’habille et sans un mot, je m’en vais.
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