L'un pour l'autre (2)
Récit érotique écrit par Lolito [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 7 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-03-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'un pour l'autre (2)
Poursuivons la découverte de qui je suis.
Ma jolie femme et moi allons avoir un enfant. J’étais entrain de lire un livre dans le canapé et elle est venu s’asseoir sur mes genoux. Nos deux corps formaient un angle droit. Elle me regardait avec les yeux brillants et elle m’a embrassé avec une grande douceur avec sa main sur ma joue. Elle me regarda longuement avec son plus beau sourire et elle prit ma main. Elle glissa nos deux mains sous son débardeur et les posa sur son ventre et continua à me regarder avec tout son amour. Pas un mot depuis le début. Elle vit mon visage comprendre la signification de son geste. Je l’ai mise à califourchon sur moi et l’ai prise dans mes bras avec une profonde tendresse. Je reste ma tête collée à sa poitrine pendant un bon quart d’heure avec mes bras l’emprisonnant contre moi. Pendant ce temps, elle pose sa tête sur la mienne et me caresse les cheveux. Je n’arrive pas à exprimer autrement ma joie et mon bonheur. Je sens au plus profond de moi l’importance de cette femme dans ma vie.
Après ce laps de temps, je relève ma tête et en regardant ma femme dans les yeux je lui fais comprendre qu’il faut qu’elle s’attache à moi. Je me lève avec mon koala d’amour et je la porte jusqu’à notre chambre lentement et sans la quitter des yeux. Nous n’avons pas besoin d’exprimer notre amour l’un envers l’autre car il est présent entre nos deux regards. Je pousse la porte de notre chambre délicatement avec son corps. La chambre est éclairée par les étoiles dans le ciel. Je l’allonge doucement contre notre lit, toujours en maintenant notre regard. Je suis allongé sur elle et entre ses jambes. Je pose ma main sur sa joue et je regarde ses yeux brillants plein d’amour pendant que mon pouce caresse sa joue. Je l’embrasse de tout mon amour. Nos mouvements sont très lents. Elle glisse ses mains sous mon t-shirt avec une telle lenteur et une telle douceur qu’elle sent ma respiration se saccader. Pendant ce même temps, je fais la même chose en descendant mes mains sur ses cuisses. C’est à elle, maintenant d’avoir la même respiration que moi. Je m’apprête à descendre doucement mais elle me retient fermement et me dit « Non ». Je comprends. Elle déboutonne mon pantalon et je l’aide à me l’enlever. On fait de même avec mon boxer. En me rallongeant contre elle, elle sent mon désir entre ses jambes et lâche un gros soupir. Je la sens onduler contre moi. Mon sexe caresse sa culotte et tente parfois de forcer le passage au grand plaisir de ma si jolie femme et de moi-même. On ne s’est toujours pas quitté des yeux comme si nous étions dans l’âme de l’autre. Elle tente d’enlever sa culotte et je l’aide pour faciliter la manœuvre. En reposant mon corps entièrement contre le sien et en retrouvant les mains de ma femme dans mon dos, je glisse mes mains sur ses délicieuses fesses. C’est à ce moment que nos deux respirations d’arrêtes. Le bout de mon sexe est posé sur celui de ma femme. On sent la panique de nos deux corps qui ne comprennent pas pourquoi le temps s’arrête. Elle bouge son bassin pour essayer de me faire rentrer en elle. Elle n’y arrive pas et dans son regard, je sens qu’elle me supplie. Je glisse le premier centimètre de mon sexe en elle et notre respiration se coupe instantanément. Chaque centimètre supplémentaire son corps se soulève légèrement sans jamais redescendre et elle fait une toute petite expiration qui se coupe nette à chaque fois que je m’arrête. Je suis presque entièrement en elle. Ses ongles commencent à se planter dans mon dos. Mes mains soutiennent son dos relevé. Je reste quelques secondes dans cette position. Je vois dans le regard de ma femme qu’elle sait ce que je vais faire et me supplie de l’achever. Je pose délicatement mon ventre sur le sien. Son bassin se repose sur le lit. Elle remet ses mains plus haut dans mon dos au niveau des épaules. Puis je m’allonge de tout mon corps sur elle glissant mon sexe le plus profondément possible en elle. Elle se met à hurler son plaisir en bougeant son bassin plaqué, contre le mien, dans tous les sens. Ses ongles sont plantés dans mes omoplates jusqu’au sang. Elle est complètement plaquée à moi. Je ne la contrôle plus. Son sexe se contracte autour du mien en de longue contraction. Ses mouvements de hanches m’arrachent un orgasme puis un deuxième. Je ne sais pas ce qui me prend mais mon bassin commence à se décoller du sien pour faire sortir mon sexe et le rentrer à nouveau au fond d’elle fortement. Sa main gauche attrape mes fesses comme si ma femme approuvait la situation. J’arrive à faire ce mouvement une dizaine de fois et je jouis en elle. Nous avons tout les deux un orgasme violent et synchronisé à l’autre. Nos corps se contractent en même temps serrés l’un contre l’autre pendant plusieurs minutes. Une fois nos esprits retrouvés, je me glisse dans son dos l’entourant de mon bras dont la main est posée sur son ventre. Elle glisse ses doigts entre les miens et nous nous endormons l’un contre l’autre. Vous ne pouvez pas imaginer à qu’elle point je la trouve belle.
Autour du 5ème mois de grossesse, ma chérie a commencé à avoir des comportements bizarres. Progressivement, je ne pouvais plus lui toucher les seins, ni le ventre, ni les cuisses, ni les fesses, ni les hanches. Elle s’habillait avec des vêtements très amples. Pour moi, elle devenait peut-être trop sensible à cause de la grossesse et les vêtements lui permettaient d’être plus à l’aise. Est arrivé un matin que je ne pouvais plus la prendre dans mes bras. A ce moment précis, j’ai compris qu’il y avait un problème. « Pourquoi je ne peux plus te toucher ? » « Je n’ai pas envie. » « Pourquoi ? Ça fait un mois que tu me manques et j’en peux plus. » Elle se met à fondre en larmes. « Mais qu’est ce qui t’arrives mon amour. Pourquoi tu n’arrives même plus à me parler ? ». Elle me hurle dessus « Va-t’en !!! Vas te trouver une belle nana dans la rue. ». Je m’emporte suite à la violence de son propos. « Non mais tu as craqué !!! Pourquoi j’irai chercher une autre nana alors que je veux être avec toi !!! TU M’EXPLIQUES !?! Tout ces derniers putains de jours où je m’inquiète pour toi ! Je me réveille en sursaut en pleine nuit pour vérifier que tu vas bien ! Je me sens complètement impuissant face à ta grossesse car j’ai l’impression de jamais en faire suffisamment pour toi quand je ne te vois pas heureuse ! Moi je veux cette enfant avec toi depuis le premier jour de ta grossesse ! C’EST TOI MA FEMME !!! LA SEULE QUE JE VEUX !!! J’ai une nana super canon à côté de moi dans le lit mais je n’ai même pas le droit de toucher !!! Le désir que j’éprouve pour ma femme j’en fais quoi ? Tu m’expliques ?!? EXPLIQUE MOI COMMENT JE PEUX TE FAIRE RESSENTIR CE PUTAIN D’AMOUR QUE J’EPROUVE POUR TOI TOUT LES JOURS !?! ». Je quitte le lit en pleurant et je vais m’effondrer dans le canapé de la salle, loin d’elle. Après avoir évacuer toutes les larmes de mon corps, je m’endors sur le canapé. Une heure plus tard, je sens une personne s’asseoir à côté de moi et glisser sa main dans mes cheveux avec douceur comme elle sait si bien le faire pour me réveiller. Elle me regarde et me dis « Je suis désolé ». « Non c’est moi chérie. Je me suis senti profondément blessé. ». « Je sais. Tu me l’as fait comprendre. Viens avec moi. ». Elle me prend la main et m’emmène dans la salle de bain. Elle se met devant le grand miroir et commence à se déshabiller. « Que fais-tu ? » « Attend mon homme ». Elle enlève la totalité de ses vêtements. Elle est nue devant le miroir et, surtout, devant moi. « Viens mon chéri. Mets-toi dans mon dos et donne-moi tes mains ». Je m’exécute. Elle prend mes mains et les poses sur ses joues. « Tu vois. J’ai un visage énorme et bouffie ». « Je ne vois pas ça. Je vois tes yeux. Les mêmes que le jour où l’on s’est rencontré. Ce petit nez auquel j’ai dû faire des millions de bisous esquimaux pour t’embêter et te redonner le sourire. Ses lèvres que j’ai toujours aimé voir sourire et que j’aime embrasser tous les jours. Ses petites pattes d’oies là, c’est quand je te fais sourire. Les petites faussettes ici, c’est quand tu m’as préparé une surprise ou une connerie. ». Un fois que j’ai terminé, elle reprend mes mains et les posent sur ses seins. « Tu vois, j’ai des seins difformes. ». Je les caresse et lui dit. « Moi je les trouve très beau tes seins et tu le sais puisqu’en dormant j’en avais souvent un dans la main. En plus, tu me prives de pouvoir en profiter en ce moment alors qu’ils sont plus gros et lourd que d’habitude. C’est un supplice que tu m’imposes. ». Elle rigole avec moi. Ça me fait du bien de la revoir sourire. Elle reprend mes mains et les pose sur son ventre. « Je suis énorme ». « Je ne sais pas si tu te rends compte de ce que tu dis. Sincèrement, je l’aime ton ventre car j’ai plus de surface à caresser et, comme il est plus rond, tu viens me chevaucher plus souvent qu’avant et j’adore ça. Mais au-delà de ça, c’est notre amour à tout les deux qu’il y a dans ton ventre. Tu ne peux pas imaginer la fierté que j’ai lorsque l’on marche l’un à côté de l’autre dans la rue. C’est une manière de dire que cette jolie femme à côté de moi à qui je tiens la main à un enfant de moi. Tu ne peux pas te rendre compte de cette fierté que je ressens ». Je la vois commencer à pleurer. Elle poursuit en faisant glisser mes mains sur ses hanches puis ses fesses et ses cuisses. Elle n’arrive plus à parler prise par ses émotions. « Ne pleure pas mon amour… Tes hanches moi je les aime. En plus, je les adore quand on fait l’amour et que je suis derrière toi. Tes fesses, elles n’ont pas tellement changé, je trouve. Elles sont un peu plus rondes mais j’aime toujours autant poser mes mains dessus. Tes cuisses… Tu sais que je les aime… Je suis tout le temps entrain de te les caresser le matin au réveil. Je comprends ce que tu peux ressentir mais tu ne peux pas m’imposer de te trouver moche alors que ce n’est pas du tout mon point de vue. Moi j’éprouve du désir pour ton corps et j’éprouve de l’amour pour toi. N’oublie pas que si tu es enceinte, c’est aussi de ma faute et j’en suis plutôt fier. Je n’irai pas voir ailleurs. Jamais. J’ai tout ce qu’il me faut à la maison. Refais moi confiance et laisse-moi profiter à nouveau de ton corps. ». Ma femme se retourne et s’effondre dans mes bras. Elle n’arrête pas de me dire à qu’elle point elle est désolée alors qu’elle ne le devrait pas. Ça me fait un bien fou de pouvoir l’avoir dans mes bras. Une fois calmé, on est allé dans la salle. Je me suis assis au bout du canapé et elle s’est allongée sur le canapé et a posé sa tête sur ma cuisse. J’ai glissé ma main gauche dans ses cheveux pour les caresser. Nous avons passé la journée à discuter de tout ce qu’elle ressentait sur tous les changements dans son corps et sa tête ? Je lui ai également exprimé mes peurs et mon stress. Nous nous sommes endormis dans notre lit, le soir, l’un contre l’autre, comme au premier jour et elle m’a pris la main et la posé sur son sein.
Le lendemain matin, je sens sa main dans mes cheveux. Elle est entièrement nue face à moi. Dès que j’ai ouvert les yeux elle est venue chercher ma langue pour jouer avec la sienne. Après ce long baiser, elle me glisse à l’oreille. « Hier, c’était la première fois après toutes ses années passées ensemble que tu as élevé la voix. C’était très sexy. » Elle replonge sa langue dans ma bouche. Elle a les mains très très baladeuses. J’ai l’impression de les avoir partout sur moi en même temps. J’en profite pour faire pareil. Elle m’embrasse puis me faisait des bisous dans le cou puis sur mon torse. Mon bas ventre suit à son tour. Elle m’enlève très vite mon boxer et prend directement mon sexe dans sa bouche. Elle est clairement en train de me rendre fou. Elle me suce doucement et laisse sa langue jouer sur mon sexe. J’ai une vue superbe sur son visage et ses seins. Je lui demande d’arrêter car j’en pouvais plus. « Allonge toi sur le lit ma belle ». Elle s’allonge sur le lit avec ses fesses sur le bord. Je lui fais des bisous sur les cuisses en lui caressant les seins en même temps. Puis je remonte en passant un coup de langue dans son intimité avant de la poser sur son clitoris. Ma langue passe doucement dessus puis rapidement puis fortement puis à nouveau doucement. Je la sens monter dans son plaisir. J’ajoute, ensuite, deux doigts dans son intimité en continuant à jouer avec son petit bouton magique. Elle commence à avoir de petits gémissements qu’elle ne retient pas. Je décide d’inverser les rôles entre mes doigts et ma langue. Et là, elle part dans son orgasme. Elle me coince la tête entre ses cuisses mais cela ne m’empêche pas de continuer. Elle me supplie d’arrêter à plusieurs reprises. Elle gémit à nouveau et me balance « Je veux ta queue en moi ». Je ne me fais pas prier. Je la mets à quatre pattes avec un coussin pour que ce soit plus confortable pour elle. Je glisse mon sexe dans le sien. J’agrippe ses hanches et la tire fortement contre mon bassin. Je vais parfois chercher ses seins avec mes mains en continuant le mouvement. Je sens qu’elle fatigue et que moi je suis proche de la fin. Je m’allonge sur le lit et elle comprend tout de suite que je veux qu’elle me chevauche. Elle prend mon sexe dans la main et se le glisse directement en entier. J’ai failli jouir instantanément. Elle ne bouge pas pendant quelques secondes pour me laisser redescendre un peu. Puis elle se transforme en tigresse. Elle prend mes mains et les fais presser fort ses seins. Mes coups de reins juste avant ne sont rien du tout face à ses coups de hanches violents et amples. Je sens mon sexe quasiment ressorti et être au fond d’elle la seconde d’après. Je me mets à jouir en elle mais elle ne s’arrête pas pour autant. Je vois que son orgasme est en train d’arriver. Elle est encore plus brutale ce qui me fais avoir de violents orgasmes sur l’orgasme que j’ai déjà en cours. Lorsque son orgasme arrive, elle se lâche dans une série de gémissement incroyable. Elle libère mes mains de ses seins. Elle s’effondre sur le lit en haletant. « Tu m’as tué ma chérie » Elle ne me répond pas, toujours entrain d’essayer de récupérer ses esprits. Après avoir récupéré mon souffle, je la prends dans mes bras. Elle glisse les doigts de ses mains entre les miens et me dit « Je t’aime. Je suis heureuse de retrouver mon homme. » « Moi aussi je suis heureux de retrouver ma femme. Je t’aime aussi ma belle ». Nous nous endormons l’un contre l’autre comme trois êtres pleins d’amour.
Je vous souhaite de pouvoir être vous même dans vos couples et, même si je vous envie, je ne perds pas espoir.
Ma jolie femme et moi allons avoir un enfant. J’étais entrain de lire un livre dans le canapé et elle est venu s’asseoir sur mes genoux. Nos deux corps formaient un angle droit. Elle me regardait avec les yeux brillants et elle m’a embrassé avec une grande douceur avec sa main sur ma joue. Elle me regarda longuement avec son plus beau sourire et elle prit ma main. Elle glissa nos deux mains sous son débardeur et les posa sur son ventre et continua à me regarder avec tout son amour. Pas un mot depuis le début. Elle vit mon visage comprendre la signification de son geste. Je l’ai mise à califourchon sur moi et l’ai prise dans mes bras avec une profonde tendresse. Je reste ma tête collée à sa poitrine pendant un bon quart d’heure avec mes bras l’emprisonnant contre moi. Pendant ce temps, elle pose sa tête sur la mienne et me caresse les cheveux. Je n’arrive pas à exprimer autrement ma joie et mon bonheur. Je sens au plus profond de moi l’importance de cette femme dans ma vie.
Après ce laps de temps, je relève ma tête et en regardant ma femme dans les yeux je lui fais comprendre qu’il faut qu’elle s’attache à moi. Je me lève avec mon koala d’amour et je la porte jusqu’à notre chambre lentement et sans la quitter des yeux. Nous n’avons pas besoin d’exprimer notre amour l’un envers l’autre car il est présent entre nos deux regards. Je pousse la porte de notre chambre délicatement avec son corps. La chambre est éclairée par les étoiles dans le ciel. Je l’allonge doucement contre notre lit, toujours en maintenant notre regard. Je suis allongé sur elle et entre ses jambes. Je pose ma main sur sa joue et je regarde ses yeux brillants plein d’amour pendant que mon pouce caresse sa joue. Je l’embrasse de tout mon amour. Nos mouvements sont très lents. Elle glisse ses mains sous mon t-shirt avec une telle lenteur et une telle douceur qu’elle sent ma respiration se saccader. Pendant ce même temps, je fais la même chose en descendant mes mains sur ses cuisses. C’est à elle, maintenant d’avoir la même respiration que moi. Je m’apprête à descendre doucement mais elle me retient fermement et me dit « Non ». Je comprends. Elle déboutonne mon pantalon et je l’aide à me l’enlever. On fait de même avec mon boxer. En me rallongeant contre elle, elle sent mon désir entre ses jambes et lâche un gros soupir. Je la sens onduler contre moi. Mon sexe caresse sa culotte et tente parfois de forcer le passage au grand plaisir de ma si jolie femme et de moi-même. On ne s’est toujours pas quitté des yeux comme si nous étions dans l’âme de l’autre. Elle tente d’enlever sa culotte et je l’aide pour faciliter la manœuvre. En reposant mon corps entièrement contre le sien et en retrouvant les mains de ma femme dans mon dos, je glisse mes mains sur ses délicieuses fesses. C’est à ce moment que nos deux respirations d’arrêtes. Le bout de mon sexe est posé sur celui de ma femme. On sent la panique de nos deux corps qui ne comprennent pas pourquoi le temps s’arrête. Elle bouge son bassin pour essayer de me faire rentrer en elle. Elle n’y arrive pas et dans son regard, je sens qu’elle me supplie. Je glisse le premier centimètre de mon sexe en elle et notre respiration se coupe instantanément. Chaque centimètre supplémentaire son corps se soulève légèrement sans jamais redescendre et elle fait une toute petite expiration qui se coupe nette à chaque fois que je m’arrête. Je suis presque entièrement en elle. Ses ongles commencent à se planter dans mon dos. Mes mains soutiennent son dos relevé. Je reste quelques secondes dans cette position. Je vois dans le regard de ma femme qu’elle sait ce que je vais faire et me supplie de l’achever. Je pose délicatement mon ventre sur le sien. Son bassin se repose sur le lit. Elle remet ses mains plus haut dans mon dos au niveau des épaules. Puis je m’allonge de tout mon corps sur elle glissant mon sexe le plus profondément possible en elle. Elle se met à hurler son plaisir en bougeant son bassin plaqué, contre le mien, dans tous les sens. Ses ongles sont plantés dans mes omoplates jusqu’au sang. Elle est complètement plaquée à moi. Je ne la contrôle plus. Son sexe se contracte autour du mien en de longue contraction. Ses mouvements de hanches m’arrachent un orgasme puis un deuxième. Je ne sais pas ce qui me prend mais mon bassin commence à se décoller du sien pour faire sortir mon sexe et le rentrer à nouveau au fond d’elle fortement. Sa main gauche attrape mes fesses comme si ma femme approuvait la situation. J’arrive à faire ce mouvement une dizaine de fois et je jouis en elle. Nous avons tout les deux un orgasme violent et synchronisé à l’autre. Nos corps se contractent en même temps serrés l’un contre l’autre pendant plusieurs minutes. Une fois nos esprits retrouvés, je me glisse dans son dos l’entourant de mon bras dont la main est posée sur son ventre. Elle glisse ses doigts entre les miens et nous nous endormons l’un contre l’autre. Vous ne pouvez pas imaginer à qu’elle point je la trouve belle.
Autour du 5ème mois de grossesse, ma chérie a commencé à avoir des comportements bizarres. Progressivement, je ne pouvais plus lui toucher les seins, ni le ventre, ni les cuisses, ni les fesses, ni les hanches. Elle s’habillait avec des vêtements très amples. Pour moi, elle devenait peut-être trop sensible à cause de la grossesse et les vêtements lui permettaient d’être plus à l’aise. Est arrivé un matin que je ne pouvais plus la prendre dans mes bras. A ce moment précis, j’ai compris qu’il y avait un problème. « Pourquoi je ne peux plus te toucher ? » « Je n’ai pas envie. » « Pourquoi ? Ça fait un mois que tu me manques et j’en peux plus. » Elle se met à fondre en larmes. « Mais qu’est ce qui t’arrives mon amour. Pourquoi tu n’arrives même plus à me parler ? ». Elle me hurle dessus « Va-t’en !!! Vas te trouver une belle nana dans la rue. ». Je m’emporte suite à la violence de son propos. « Non mais tu as craqué !!! Pourquoi j’irai chercher une autre nana alors que je veux être avec toi !!! TU M’EXPLIQUES !?! Tout ces derniers putains de jours où je m’inquiète pour toi ! Je me réveille en sursaut en pleine nuit pour vérifier que tu vas bien ! Je me sens complètement impuissant face à ta grossesse car j’ai l’impression de jamais en faire suffisamment pour toi quand je ne te vois pas heureuse ! Moi je veux cette enfant avec toi depuis le premier jour de ta grossesse ! C’EST TOI MA FEMME !!! LA SEULE QUE JE VEUX !!! J’ai une nana super canon à côté de moi dans le lit mais je n’ai même pas le droit de toucher !!! Le désir que j’éprouve pour ma femme j’en fais quoi ? Tu m’expliques ?!? EXPLIQUE MOI COMMENT JE PEUX TE FAIRE RESSENTIR CE PUTAIN D’AMOUR QUE J’EPROUVE POUR TOI TOUT LES JOURS !?! ». Je quitte le lit en pleurant et je vais m’effondrer dans le canapé de la salle, loin d’elle. Après avoir évacuer toutes les larmes de mon corps, je m’endors sur le canapé. Une heure plus tard, je sens une personne s’asseoir à côté de moi et glisser sa main dans mes cheveux avec douceur comme elle sait si bien le faire pour me réveiller. Elle me regarde et me dis « Je suis désolé ». « Non c’est moi chérie. Je me suis senti profondément blessé. ». « Je sais. Tu me l’as fait comprendre. Viens avec moi. ». Elle me prend la main et m’emmène dans la salle de bain. Elle se met devant le grand miroir et commence à se déshabiller. « Que fais-tu ? » « Attend mon homme ». Elle enlève la totalité de ses vêtements. Elle est nue devant le miroir et, surtout, devant moi. « Viens mon chéri. Mets-toi dans mon dos et donne-moi tes mains ». Je m’exécute. Elle prend mes mains et les poses sur ses joues. « Tu vois. J’ai un visage énorme et bouffie ». « Je ne vois pas ça. Je vois tes yeux. Les mêmes que le jour où l’on s’est rencontré. Ce petit nez auquel j’ai dû faire des millions de bisous esquimaux pour t’embêter et te redonner le sourire. Ses lèvres que j’ai toujours aimé voir sourire et que j’aime embrasser tous les jours. Ses petites pattes d’oies là, c’est quand je te fais sourire. Les petites faussettes ici, c’est quand tu m’as préparé une surprise ou une connerie. ». Un fois que j’ai terminé, elle reprend mes mains et les posent sur ses seins. « Tu vois, j’ai des seins difformes. ». Je les caresse et lui dit. « Moi je les trouve très beau tes seins et tu le sais puisqu’en dormant j’en avais souvent un dans la main. En plus, tu me prives de pouvoir en profiter en ce moment alors qu’ils sont plus gros et lourd que d’habitude. C’est un supplice que tu m’imposes. ». Elle rigole avec moi. Ça me fait du bien de la revoir sourire. Elle reprend mes mains et les pose sur son ventre. « Je suis énorme ». « Je ne sais pas si tu te rends compte de ce que tu dis. Sincèrement, je l’aime ton ventre car j’ai plus de surface à caresser et, comme il est plus rond, tu viens me chevaucher plus souvent qu’avant et j’adore ça. Mais au-delà de ça, c’est notre amour à tout les deux qu’il y a dans ton ventre. Tu ne peux pas imaginer la fierté que j’ai lorsque l’on marche l’un à côté de l’autre dans la rue. C’est une manière de dire que cette jolie femme à côté de moi à qui je tiens la main à un enfant de moi. Tu ne peux pas te rendre compte de cette fierté que je ressens ». Je la vois commencer à pleurer. Elle poursuit en faisant glisser mes mains sur ses hanches puis ses fesses et ses cuisses. Elle n’arrive plus à parler prise par ses émotions. « Ne pleure pas mon amour… Tes hanches moi je les aime. En plus, je les adore quand on fait l’amour et que je suis derrière toi. Tes fesses, elles n’ont pas tellement changé, je trouve. Elles sont un peu plus rondes mais j’aime toujours autant poser mes mains dessus. Tes cuisses… Tu sais que je les aime… Je suis tout le temps entrain de te les caresser le matin au réveil. Je comprends ce que tu peux ressentir mais tu ne peux pas m’imposer de te trouver moche alors que ce n’est pas du tout mon point de vue. Moi j’éprouve du désir pour ton corps et j’éprouve de l’amour pour toi. N’oublie pas que si tu es enceinte, c’est aussi de ma faute et j’en suis plutôt fier. Je n’irai pas voir ailleurs. Jamais. J’ai tout ce qu’il me faut à la maison. Refais moi confiance et laisse-moi profiter à nouveau de ton corps. ». Ma femme se retourne et s’effondre dans mes bras. Elle n’arrête pas de me dire à qu’elle point elle est désolée alors qu’elle ne le devrait pas. Ça me fait un bien fou de pouvoir l’avoir dans mes bras. Une fois calmé, on est allé dans la salle. Je me suis assis au bout du canapé et elle s’est allongée sur le canapé et a posé sa tête sur ma cuisse. J’ai glissé ma main gauche dans ses cheveux pour les caresser. Nous avons passé la journée à discuter de tout ce qu’elle ressentait sur tous les changements dans son corps et sa tête ? Je lui ai également exprimé mes peurs et mon stress. Nous nous sommes endormis dans notre lit, le soir, l’un contre l’autre, comme au premier jour et elle m’a pris la main et la posé sur son sein.
Le lendemain matin, je sens sa main dans mes cheveux. Elle est entièrement nue face à moi. Dès que j’ai ouvert les yeux elle est venue chercher ma langue pour jouer avec la sienne. Après ce long baiser, elle me glisse à l’oreille. « Hier, c’était la première fois après toutes ses années passées ensemble que tu as élevé la voix. C’était très sexy. » Elle replonge sa langue dans ma bouche. Elle a les mains très très baladeuses. J’ai l’impression de les avoir partout sur moi en même temps. J’en profite pour faire pareil. Elle m’embrasse puis me faisait des bisous dans le cou puis sur mon torse. Mon bas ventre suit à son tour. Elle m’enlève très vite mon boxer et prend directement mon sexe dans sa bouche. Elle est clairement en train de me rendre fou. Elle me suce doucement et laisse sa langue jouer sur mon sexe. J’ai une vue superbe sur son visage et ses seins. Je lui demande d’arrêter car j’en pouvais plus. « Allonge toi sur le lit ma belle ». Elle s’allonge sur le lit avec ses fesses sur le bord. Je lui fais des bisous sur les cuisses en lui caressant les seins en même temps. Puis je remonte en passant un coup de langue dans son intimité avant de la poser sur son clitoris. Ma langue passe doucement dessus puis rapidement puis fortement puis à nouveau doucement. Je la sens monter dans son plaisir. J’ajoute, ensuite, deux doigts dans son intimité en continuant à jouer avec son petit bouton magique. Elle commence à avoir de petits gémissements qu’elle ne retient pas. Je décide d’inverser les rôles entre mes doigts et ma langue. Et là, elle part dans son orgasme. Elle me coince la tête entre ses cuisses mais cela ne m’empêche pas de continuer. Elle me supplie d’arrêter à plusieurs reprises. Elle gémit à nouveau et me balance « Je veux ta queue en moi ». Je ne me fais pas prier. Je la mets à quatre pattes avec un coussin pour que ce soit plus confortable pour elle. Je glisse mon sexe dans le sien. J’agrippe ses hanches et la tire fortement contre mon bassin. Je vais parfois chercher ses seins avec mes mains en continuant le mouvement. Je sens qu’elle fatigue et que moi je suis proche de la fin. Je m’allonge sur le lit et elle comprend tout de suite que je veux qu’elle me chevauche. Elle prend mon sexe dans la main et se le glisse directement en entier. J’ai failli jouir instantanément. Elle ne bouge pas pendant quelques secondes pour me laisser redescendre un peu. Puis elle se transforme en tigresse. Elle prend mes mains et les fais presser fort ses seins. Mes coups de reins juste avant ne sont rien du tout face à ses coups de hanches violents et amples. Je sens mon sexe quasiment ressorti et être au fond d’elle la seconde d’après. Je me mets à jouir en elle mais elle ne s’arrête pas pour autant. Je vois que son orgasme est en train d’arriver. Elle est encore plus brutale ce qui me fais avoir de violents orgasmes sur l’orgasme que j’ai déjà en cours. Lorsque son orgasme arrive, elle se lâche dans une série de gémissement incroyable. Elle libère mes mains de ses seins. Elle s’effondre sur le lit en haletant. « Tu m’as tué ma chérie » Elle ne me répond pas, toujours entrain d’essayer de récupérer ses esprits. Après avoir récupéré mon souffle, je la prends dans mes bras. Elle glisse les doigts de ses mains entre les miens et me dit « Je t’aime. Je suis heureuse de retrouver mon homme. » « Moi aussi je suis heureux de retrouver ma femme. Je t’aime aussi ma belle ». Nous nous endormons l’un contre l’autre comme trois êtres pleins d’amour.
Je vous souhaite de pouvoir être vous même dans vos couples et, même si je vous envie, je ne perds pas espoir.
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