L4 L5

- Par l'auteur HDS Laetitia sapho -
Auteur femme.
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Récit libertin : L4 L5 Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-03-2017 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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(10.0 / 10)

Couleur du fond :
L4 L5
Depuis une chute à ski, il y a quelques années, j’ai de manière récurrente, mal au dos.
A l’époque, hormis une légère entorse à la cheville, j’avais passé plusieurs jours quasi immobilisée, deux vertèbres ayant morflées.
Depuis, je garde une certaine fragilité. Des douleurs dorsales me gênent, quand il fait humide, par exemple, ou lorsque je fais des efforts trop violents ou intensifs.

J’ai trouvé la parade : Sébastien ! Après avoir souffert au début, j’ai rencontré Sébastien, kinésithérapeute de son état, qui à chaque nouvelle alerte dorsale, prodigue autour de ma colonne quelques manipulations légères qui ont le don de calmer le mal.
En général, après le crac, autour de L4 L5, qu’il provoque, les douleurs s’envolent immédiatement. Je me sens aussitôt libérée, et j’ai l’impression de marcher sur un matelas de plume, alors que dix minutes avant, j’ai dû m’employer et je grimace pour m’allonger sur le ventre sur sa table.
Sébastien est une sorte de magicien, un sorcier, un guérisseur. C’est devenu au fil des maux, des cracs et des soulagements, un ami. Il vient de temps à autre avec son épouse diner à la maison.

Là, en ce début mars pluvieux, mes vieilles douleurs sont revenues. Faut dire que j’ai aussi rangé mon armoire au bureau, j’ai passé l’après-midi d’hier à vider les dossiers, les trier et les replacer, le tout en me tordant en quatre.
Résultat, depuis deux ou trois jours, je me traine. Dès le réveil et le lever, je souffre le martyr. De jour en jour, la douleur se fait plus forte. Les anti-douleurs et les anti- inflammatoires, c’est parfait, ça calme certes, mais temporairement et ça a tendance à déglinguer l’estomac.

La seule solution, Sébastien, mon magicien :
- Allo Sébastien ?
- Laeti ! Comment ça va ?
- Euh L4 L5, comme dab !
- Désolé, je ne vais rien pouvoir faire pour toi avant deux semaines, je suis à Roissy, on part en vacances, deux semaines aux Seychelles.
- Ah zut ! Je ne vais pas pouvoir attendre deux semaines. En tout cas, ça paye bien kiné comme taf ! Les Seychelles on ne se refuse rien ! Et deux semaines en plus ! Bon, moi je vais rester dans la grisaille à souffrir, pars !!
- Ecoute, je vais te conseiller une consœur. Elle est doué, pas autant que moi, bien sûr, mais elle pourra te soulager.
- D’accord, et où je la trouve ta copine ?
- Je t’envoie ses coordonnées par SMS avant de décoller. Dis-lui que tu viens de ma part.
- Ok, super, Seb, merci et bonnes vacances. Appelle-moi quand tu rentre - Ok, salut et courage. Tu vas voir, Romane va te faire du bien.

Cinq minutes après, je recevais le message avec l’adresse du cabinet de Romane et son téléphone. Je l’appelais, elle pouvait me recevoir l’après-midi même. Nous convenons d’un rendez- vous à 14 heures 30. Plus que quelques heures à souffrir.
14 heures, j’arrive en avance. Si elle peut me recevoir avant, c’est tant mieux.

C’est un cabinet de plusieurs kinés en fait. Une secrétaire m’ouvre et m’invite à patienter dans la salle d’attente. Je m’installe difficilement. La position assise n’est pas la meilleure et la plus confortable dans ma situation. Ils devraient mettre des lits plutôt que des chaises dans les salles d’attente des kinés !
Coincée entre une plante verte malade et la porte, je jette un œil sur quelques revues fatiguées et déchirées datant d’il y a deux ans.

C’est tout moi ça, arriver une demi–heure en avance et poireauter assise, alors que c’est une véritable torture cette position en ce moment. Je prends mon mal en patience, dans tous les sens du terme.

14 heures 45, en plus, elle est en retard, Romane ! Je me tords dans toutes les positions sur ma chaise. Je me suis même levée pour faire quelques pas dans la salle d’attente. Ça m’a un peu soulagée.

14 heures 50, enfin, elle arrive. C’est un petit bout de fille d’environ trente ans, une petite brunette aux cheveux courts et au regard noisette pétillant. Un petit sourire en coin agrément encore plus son joli visage rond.

- Mademoiselle Marsac ? Désolée pour l’attente, c’est votre tour.

Elle a une jolie voix avec un très léger accent, plutôt de l’est de la France. Alsacienne Romane ?
En tout cas, elle est très mignonne. Même si mon dos ne me pousse pas aux galipettes, j’en ferais bien mon quatre heures de la petite Romane, et l’heure du gouter approche. Je suis là pour qu’elle me soulage le dos, mais je n’aurais rien contre le fait qu’elle me soulage autre chose.
Jolie silhouette en plus. Elle a un corps bien proportionné. Petite, mais bien proportionnée. Sa blouse blanche ouverte montre un chemisier gris perle, légèrement décolleté (peut être un bouton ouvert de trop), qui laisse deviner une belle poitrine. Une jupe noire découvre la moitié de ses cuisses et ses mollets, le tout mis en valeur par un voile noir. Pour finir, mon regard se porte sur de fines chevilles et de jolis petits pieds enfermés dans des chaussures noires à talons plats.

- Vous me suivez ? me dit-elle en me tournant les talons et en me lançant son petit sourire ravageur.

Et pour me ravager, il me ravage son sourire. J’en arrive même à oublier L4 et L5, qui se rappellent à mon souvenir lorsque je dois me lever de mon siège.
Pour la suivre, je vais la suivre. Rien que la pensée de ses mains sur mon corps, même si c’est purement médical me transporte. Ah ses mains, je n’ai pas parlé de ses mains ! Pour elle, c’est un outil de travail les mains. Mais elles sont magnifiques, fines, avec de longs doigts, aucun bijou, pas de vernis. Elle doit enlever toutes ses bagues en arrivant à son cabinet.
Je suis donc Romane, dans le couloir.
De dos, sa blouse blanche m’empêche de profiter pleinement de la vue sur son postérieur. J’apprécie toutefois, le déhanchement à chacun de ses pas. Je me focalise sur le bas de ses cuisses et sur ses mollets biens galbés. Elle semble voler dans la couloir.

Cette fille me fait baver, mais, bon, on n’est pas là pour ça. Thérapie avant tout ! Mais n’empêche que la vue de son petit cul m’a presque fait oublier la douleur. Psychologiquement, elle m’a a moitié guérie. Qu’elle finisse le travail avec ses mains !

- Asseyez-vous, me dit-elle en me désignant un fauteuil devant son bureau.

Elle s’installe de l’autre côté. Elle croise les jambes en s’asseyant. C’est furtif, mais j’ai le temps de mater sa jupe se relever sur ses cuisses, avant que le tout ne disparaisse sous le bureau.

Je lui tends mes papiers, compte rendus, radios, scanners etc. …
Elle consulte le tout.

- Bien, je vois. Enlevez le haut et allongez-vous sur la table, s’il vous plaît.

Bien sûr que ça me plais ! J’enlèverais bien tout même. Je me mettrais bien toute nue devant toi. C’est sans problème, du moment que tu fasses pareil. Voilà la teneur de mes pensées, alors que je déboutonnais mon chemisier.

- Vous pouvez garder le soutien-gorge et le bas. Allongez-vous sur le ventre.

Ah mince ! Je lui aurais bien montré mes seins à Romane. Mais je suis en train de m’exciter toute seule. Revenons à la raison, et tentons de nous allonger sur le ventre sans trop souffrir. Heureusement, un petit escabeau de deux marches devant la table aide bien à la manœuvre.
Me voilà sur le ventre allongée. Les mains de Romane se posent sur mon dos. Elle explore la peau autour de la colonne vertébrale de manière aérienne. Je ne peux réprimer un frisson. Voilà qui ne va pas arranger mon excitation. Je me force à penser à autre chose. A L4 et à L5 par exemple, plutôt qu’aux mains de Romane, aux seins de Romane, au cul de Romane, à la cha…. Oups, désolée ! Je me reconcentre. L4 L5, et c’est tout ! Et puis frissonner à chaque fois qu’elle me touche, je passe pourquoi moi ?
Ses pouces appuient légèrement sur mes vertèbres.

- Je vois. Ça doit être douloureux non ?
- Oui, ça fait mal, mais on s’habitue à la douleur, enfin, pas complètement.

CRAC … D’un geste sur, elle vient de me libérer. Comme avec Sébastien, la douleur s’envole instantanément, après une douleur aigue au moment de la manipulation. Le bien-être envahi mon dos.

- Et voilà !
- Ah oui en effet, ça soulage !

Romane, continue ses manipulations, cette fois sur et le bassin. Elle appuie ses paumes sur mes hanches.

- Je vous propose quelques massages délassants après cette manipulation un peu sauvage
Tiens ! Sébastien ne me propose jamais ça après ! Oui, cent fois oui, masse moi donc petite Romane, et je vais essayer de ne pas mouiller ma culotte.

Les mains de ma jolie kiné me massent les hanches, remontent vers la colonne. Elle appuie assez fortement, mais ça me soulage. Je laisse même échapper un soupir. Mon esprit navigue. Je me laisse aller à la quiétude et au bien-être, oubliant presque ma libido, pour savourer le massage.

- Je peux dégrafer votre soutien-gorge, ça sera plus facile ?
- Oui bien sûr !

Et voilà, mon excitation reprend le dessus quand ses doigts habiles font sauter l’agrafe et écartent les deux bretelles de mes épaules.
Les deux mains de Romane remontent sur mes omoplates, qu’elles massent allègrement, puis s’attaque aux épaules et au cou, en écartant mes cheveux.

- Vous êtes plein de nœuds, je vais soulager ça, me dit-elle en pinçant les clavicules.

Elle descend sur mes bras et contribue à faire descendre encore plus les bretelles de mon soutien-gorge. Je pousse soupir sur soupir.

- Je vais utiliser quelques huiles essentielles, ça vous détendra encore plus. Par contre, pour ne pas vous tacher, il vaut mieux enlever votre jupe, me dit-elle.

Sans me donner le temps de répondre, elle détache le bouton de ma jupe, baisse la fermeture éclair et entreprend de la faire glisser sur mes cuisses, mes mollets et me l’enlève complètement.

De toute façon, même si elle ne m’a demandé mon avis, la réponse était oui, enlève ma jupe !

Me voilà, toujours allongée sur le ventre, ne conservant que mon petit string noir et mes bas auto-fixants.

- Il vaut mieux les enlever aussi, me dit-elle en baissant mes bas sur mes chevilles.

Je garde mon calme difficilement. Je me laisse aller complétement entre les mains expertes de Romane. Cette fille peut faire de moi ce qu’elle veut. Elle me fait trop craquer. La situation est inespérée. Ce matin, je souffrais le martyr et me voilà quelques heures après en train de me faire déshabiller par ma kiné qui a une idée précise derrière la tête.

- Ça, on l’enlève aussi, dit-elle en agrippant le string et en le tirant vers le bas.

Me voilà complétement nue !

- Jolies fesses, me dit-elle en passant sa main dessus
Elle s’écarte de la table et reviens avec un flacon.

- Il ne faudrait pas que je me tache, ces huiles sont assez grasses. Une fois la peau pénétrée, le gras disparait, mais évitons les taches sur les vêtements.

Tout en me disant ça, Romane enlève sa blouse, déboutonne son chemisier, l’ôte, baisse sa jupe. Elle pli précautionneusement le tout avant de le poser sur le fauteuil. Elle enlève son soutien-gorge et libère deux seins joliment proportionnés. Deux belles auréoles foncées les agrémentent. Je vois à l’état de ses tétons, que la situation l’excite tout autant que moi. Enfin, elle baisse ses collants noirs et les enlèvent. Elle ne portait rien en dessous. Si j’osais, je prendrais ses collants et je les reniflerais. J’irais même jusqu’à passer ma langue là où il y a encore quelques secondes, son entre jambes à humidifié.

Je profite de la vue sur son pubis. Un petit triangle de poils bruns, finement taillés, l’agrémente joliment. Une invitation au cuni !

Cette fille est une splendeur. La chance que j’ai !

- Voilà, comme ça, pas de taches grasses sur les vêtements ! Vous permettez que je monte avec vous sur la table ? Je serai plus à l’aise pour vous masser.
- Faites !

Et la voilà qui monte sur la table, s’accroupie et s’agenouille sur mes fesses.

Je sens couler les huiles essentielles sur mon dos. Le froid envahi ma colonne. Mais ça se réchauffe rapidement sous l’effet des mains de Romane. Elle étale le tout sur mon dos.

- Attendez relevez-vous légèrement, me dit-elle avant d’empaumer mes deux seins, qu’elle masse en douceur.

Elle relâche mes seins, me fait m’allonger à nouveau sur la table. Elle se penche sur moi et commence à frotter sa poitrine sur mon dos, son pubis sur mes fesses. Nous voilà au body-body. Cette fille est pleine de surprise. Et de très bonnes surprises en plus.

- Ouiii, ça c’est délassant !
- Je savais que vous alliez apprécier
Tout en continuant à se frotter sur moi, elle approche son visage de mon cou. Sa langue court dans mon cou, sur le lobe de mon oreille. Un petit massage lingual ? Pourquoi pas !
Je tourne légèrement la tête, sa langue s’approche de ma bouche. Je sors la mienne, elles se rencontrent, se découvrent mutuellement. Ces présentations faites, nos lèvres se scellent et sa langue farfouille ma bouche. Elle n’a jamais arrêté de frotter son corps contre le mien.
Nos bouches se séparent (à regret).

- Passons au bas maintenant, me dit-elle en se relevant.

Elle fait couler de l’huile sur ses paumes et entreprend de me masser les fesses, descend sur les cuisses. Insiste bien sur l’intérieur.

- C’est la deuxième fois que je vous le dis, mais vous avez un très joli cul Laetitia !
- Je vous retourne le compliment Romane, le vôtre est magnifique aussi.

Elle est arrivée aux mollets puis agrippe mon pied.

- Savez-vous qu’en médecine chinoise, chaque partie du corps est reliée par un réseau assez complexe une autre partie. Le deltoïde aux maxillaires par exemple. Pour les cervicales, c’est les pieds. La plante des pieds c’est autour de la colonne, chaque orteil correspond à une cervicale.

En me disant ça, elle me masse le dessous du pied, puis passe la langue sur mes orteils, avant de prendre mon gros orteil dans sa bouche et de le sucer.

- Vous sentez le bien que ça fait à vos cervicales ?
- Ouiiii ouii, je sens bien.

Ce n’est pas vraiment aux cervicales que je pense !

- Donc, les pieds pour les cervicales. Mais vous Laetitia, c’est L4 L5 qui vous font souffrir, et pour elles, il y a un point relié, me dit-elle en m’enfonçant un doigt dans les fesses.

D’abord surprise par la pénétration subite, je me laisse aller et me détend. Son doigt est entré tout seul, aidé en cela par les huiles.

- Ooooh !
- Vous sentez bien le bien que ça fait aux lombaires ? me dit-elle en remuant son doigt dans mes fesses. Voilà mon conseil, L4 L5 vous font souffrir, un doigt dans le cul et ça soulage ! Et si j’en mets un deuxième, ça fait encore plus de bien ? non ?
- Oh oui - C’est uniquement thérapeutique bien entendu - Ouiiii, seulement thérapeutique - C’est de la médecine chinoise, rien de plus !
- Ouiii - Qui l’eut cru ? deux doigts dans le fondement et on est repartit pour un tour !
- Et trois doigts ?
- Toujours respecter la posologie, en principe c’est deux, mais on peut essayer trois !
- Oooohhh, c’est bon trois ! Remuez les s’il vous plaît, je sens bien l’effet sur L4 L5. Vous me jurez que c’est thérapeutique seulement ?
- C’est uniquement médical, n’y voyez pas là un esprit mal placé.
- Je trouve même que c’est plutôt bien placé. Allez y manipulez moi !
- Assez batifolé, passons aux choses sérieuses. Retournez-vous sur le dos !

Alors qu’il y a encore quelques minutes, j’étais complétement coincée, pouvant à peine changer de position, me voilà qui me retourne allègrement sur la table. J’écarte les cuisses sans problème.

- Je vois que ça va beaucoup mieux, me dit-elle en penchant son visage sur mon entre-jambes.

Elle dépose un baiser sur mon pubis, puis passe sa langue sur l’intérieur de mes cuisses, puis enfin sur mon sexe humidifié par l’envie. Ma petite kiné est très douée pour le cunnilingus, autant que pour les massages divers.

- Ne jamais oublier L4 L5, me dit-elle en m’enfonçant à nouveau les doigts dans les fesses
Elle me suce le clitoris, le mordille, lèche mes lèvres, place sa langue dans le vagin. Je vais jouir tout de suite, si elle ne se calme pas.

- Le sexe, c’est relié à quoi en médecine chinoise ?
- Au cerveau, rien qu’au cerveau - Venez sur moi, j’ai envie de vous lécher aussi - Avec plaisir !

Elle m’enjambe et place son sexe au-dessus de mon visage, avant de se pencher à nouveau sur moi. Nous voilà en 69 toutes les deux, tête-bêche.

Je passe mon doigt sur son sexe. Elle est toute mouillée. Ma langue remplace mon doigt. Je lappe le résultat de son excitation. J’aime son goût et son odeur légèrement musquée. J’écarte des deux fesses, remonte la tête et tend la langue vers l’auréole ainsi découverte. Ma langue titille l’anus avant de le savourer complètement.

- Je vais aussi faire du bien à vos lombaires, lui dis-je en y mettant le doigt.

Je reprends ma caresse buccale sur son intimité, ma langue court sur son vagin. La cyprine de Romane me coule autour de la bouche.

Elle n’a pas arrêté de me lécher de son côté, poussant juste quelques grognements régulièrement. Une décharge de plaisir envahi mon ventre, mon bassin, je vais partir. Ça explose de partout, un joli feu d’artifice, je souffle, je gémis, je crie légèrement.

- Allez y libérer vous, le cabinet est bien insonorisé, on entend rien de l’extérieur !!

Je me lâche complétement et me laisse aller, puis me détend en reprenant mon souffle.

- Oh quel orgasme !!
- A mon tour, j’en peux plus là. Allez finissez en !! m’implore-t-elle en frottant son sexe sur ma bouche et mon nez.

Je reprends mon labeur. Elle mouille de plus en plus. Elle est tendue, au comble de l’excitation, électrisée. Enfin, elle part dans un râlement rauque
- Oooooh putain, qu’c’est bon, ohhh comment tu me mange la chatte !! Et ton doigt dans mon cul, vas yyyyyy !!!! Oh putain !!! Ohhhh, oui, ouiii, ouiii, ouiiii !!! OUIIIIII ! Oh putain quel pied ! tu me fais jouiiiirrrr. Oh, putain, je suis une vraie garce, mais toi t'es pas mieux petite cochonne ! OUIIIIIIII, ahhh putainnnn !

Pour un orgasme, c’est un orgasme. Pour se lâcher, elle s'est lâchée la petite Romane. Nous en restons empilées l’une sur l’autre à reprendre nos esprits et nos souffles, pendant au moins une minute. Elle agrippe toujours mes cuisses, moi ses fesses.

Enfin, elle se redresse, se retourne, viens s’allonger sur moi et m’embrasse à pleine bouche.

Elle se lève, remet sa blouse blanche et très professionnelle :
- Mademoiselle Marsac, je vous prie de m'excuser pour le langage imagé et le tutoiement sur la fin, j’ai parfois du mal à me contrôler quand je jouis. Je suis désolée.
- Il n’y a pas de mal ! C’est tout naturel, lui répondis-je en me relevant et en me rhabillant.

En tout cas, je vais beaucoup mieux, je peux me baisser pour enfiler mes bas et ma culotte.

- Par contre, une séance, ça risque de faire juste, il faudrait revenir me voir. Cinq séances me semblent appropriées à votre état. Je vous donne un rendez-vous pour vendredi ? 17 heures ça vous convient ?
- C’est parfait pour moi, lui dis-je, avant de prendre congés en lui roulant une dernière pelle et en lui malaxant les seins (elle est toujours nue sous sa blouse).
- La prochaine fois, pour gagner du temps, je ne porterai rien sous ma blouse. En attendant, je vais vous faire une prescription si la douleur revient.

Elle indique sur une ordonnance, d’une écriture régulière : « En cas de douleurs dorsales, un doigt dans les fesses trois fois par jour, avant chaque repas. Passez à deux, puis à trois doigts si les douleurs persistent. N’hésitez pas à demander conseil à votre kinésithérapeute ».

Je ne vais pas lâcher Sébastien, mais je reviendrais régulièrement voir Romane par ailleurs. Sa thérapie du doigt dans les fesses, je vais en devenir adepte, c’est sûr.

Finalement, je remercie L4 et L5 pour m’avoir permis cette belle rencontre.

Ça sera la pensée du jour.

Les avis des lecteurs

J'adore ce style débridé, Laetitia !
Merci pour cette aimable histoire.
Petit conseil, tout de même : travaille un peu les conjugaisons ! Elle s'accroupit... même une femme, ne s'accroupie pas ! Elle baisse mes bas, les enlève, pas les enlèvent ! Ces petits "à peu près" abîmentla beauté du texte qui mérite bien une relecture !



Texte coquin : L4 L5
Histoire sexe : Une rose rouge
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