La belle époque...
Récit érotique écrit par Michele Labelle [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-11-2011 dans la catégorie Fétichisme
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Couleur du fond :
La belle époque...
A l’époque de cette histoire, j’avais 22 ans et ma copine de travail, Maryvonne, en avait 33. Nous étions tous deux célibataires, quoiqu’elle était divorcée.
A l’époque de cette histoire, je ne portais que des dessous féminins sous mes habits masculins et cela très régulièrement. Aussi, je mettais déjà du vernis aux ongles de mes pieds ; je n’étais pas encore Michèle mais en passe de le devenir sans même le savoir. Ainsi donc, au travail, je portais des sous vêtements féminin, soutien gorge, string et collants sous mon bleu de travail. Ainsi donc, un jour, par maladresse, ma veste trop entrouverte laisse apparaître mon soutien-gorge de dentelle noire à cette fille qui travaillait sur la machine que je venais de réparer. Maryvonne l’a très bien vu mais ne m’en a rien dit de suite, se contentant de me décrocher un très large sourire. Moi, j’étais quand même un peu gêné pour le coup, et ne sachant quoi faire... Je l’entendais déjà criant à travers l’atelier sa découverte. Voyant mon état, pour me rassurer, elle me dit alors qu’elle le trouve très joli et me demande si j’ai la petite culotte qui va avec... Pourquoi lui mentir? Donc, je lui dis que « oui » et depuis ce jour là, nous sommes très amies. Ainsi, à partir de ce jour, nos conversations ont changées car connaissant maintenant mes habitudes... et nous ne parlons que petite lingerie et vie féminine.
Occasionnellement, nous nous montrions à chacune nos soutifs lorsque la tranquillité de l’atelier nous le permettait. Puis, on a commencé à se caresser la poitrine pour « juger » de la qualité du tissu de nos sous-vêtements... Puis un matin, sa main est descendue et a caressé mon sexe à travers mon pantalon. Alors, naturellement, j’en ai fais de même à travers sa robe. Toujours à la faveur de notre horaire (5h/13h étant tranquille jusqu’à environ 7h), un jour, elle enleva sa petite culotte à sa machine et me la mit dans la poche pour rester le cul nu sous sa robe pour le reste de la matinée. Elle m’invita à aller en faire de même, mais dans les toilettes. Les caresses de cette journée n’en ont été que meilleures. Quelques jours après, suite à un dépannage sur sa machine, au cours de notre discussion, elle m’invite le samedi soir suivant à venir prendre un verre chez elle. Et c’est en toute amitié que je m’y rendis. Mais j’avais bien sur une idée derrière la tête seulement la suite de l’histoire vous montrera comme je me suis bien faite avoir. L’idée étant bien sur de la faire succomber à mes charmes et d’arriver à lui faire l’amour, chose qu’elle m’avait toujours refusé depuis ces sept mois que l’on se prête à nos petits jeux. Il faut dire qu’à l’époque, je n’avais pas encore d’attirance pour les hommes et mes relations avec les filles étaient très rares par rapport au choix de mes tenues que je ne voulais pas dévoiler. Ce soir-là, j’avais choisi une tenue légère et décontractée malgré la fraîcheur du soir mais je savais que je ne trainerai pas longtemps dehors. Aussi, je voulais marquer le coup de notre premier rendez-vous et après avoir enfilé une paire de bas noir, j’ajustais mon porte jarretelle à ma taille. Un string de la même couleur sous un pantalon de fine étoffe et une paire d’escarpins aux pieds pour pousser un peu plus loin ma féminité. Une légère chemise recouvrait le soutien gorge que j’avais mis sur ma poitrine. Epilée entièrement, bien sur, j’avais aussi mis du vernis à mes doigts de pieds. Mes oreilles sont percées depuis de très longues années et je porte des cheveux très longs que je n’avais donc pas attaché ce soir là. Ainsi prête, je me rends au domicile de Maryvonne pour y passer une très bonne soirée non sans mettre arrêter chez le fleuriste pour y acheter une rose.
Sitôt la porte refermée, elle me plaque sur le mur du couloir et m’embrasse fougueusement. Sa langue s’enfonce dans ma bouche et tournoie autour de ma langue avec une belle vivacité. Je sens son souffle chaud sur mon visage. Ses mains parcours déjà mon corps et se glisse entre mes jambes…
Pour la suite, il va falloir faire montre d’un peu de patience. Bisous à tous.
A l’époque de cette histoire, je ne portais que des dessous féminins sous mes habits masculins et cela très régulièrement. Aussi, je mettais déjà du vernis aux ongles de mes pieds ; je n’étais pas encore Michèle mais en passe de le devenir sans même le savoir. Ainsi donc, au travail, je portais des sous vêtements féminin, soutien gorge, string et collants sous mon bleu de travail. Ainsi donc, un jour, par maladresse, ma veste trop entrouverte laisse apparaître mon soutien-gorge de dentelle noire à cette fille qui travaillait sur la machine que je venais de réparer. Maryvonne l’a très bien vu mais ne m’en a rien dit de suite, se contentant de me décrocher un très large sourire. Moi, j’étais quand même un peu gêné pour le coup, et ne sachant quoi faire... Je l’entendais déjà criant à travers l’atelier sa découverte. Voyant mon état, pour me rassurer, elle me dit alors qu’elle le trouve très joli et me demande si j’ai la petite culotte qui va avec... Pourquoi lui mentir? Donc, je lui dis que « oui » et depuis ce jour là, nous sommes très amies. Ainsi, à partir de ce jour, nos conversations ont changées car connaissant maintenant mes habitudes... et nous ne parlons que petite lingerie et vie féminine.
Occasionnellement, nous nous montrions à chacune nos soutifs lorsque la tranquillité de l’atelier nous le permettait. Puis, on a commencé à se caresser la poitrine pour « juger » de la qualité du tissu de nos sous-vêtements... Puis un matin, sa main est descendue et a caressé mon sexe à travers mon pantalon. Alors, naturellement, j’en ai fais de même à travers sa robe. Toujours à la faveur de notre horaire (5h/13h étant tranquille jusqu’à environ 7h), un jour, elle enleva sa petite culotte à sa machine et me la mit dans la poche pour rester le cul nu sous sa robe pour le reste de la matinée. Elle m’invita à aller en faire de même, mais dans les toilettes. Les caresses de cette journée n’en ont été que meilleures. Quelques jours après, suite à un dépannage sur sa machine, au cours de notre discussion, elle m’invite le samedi soir suivant à venir prendre un verre chez elle. Et c’est en toute amitié que je m’y rendis. Mais j’avais bien sur une idée derrière la tête seulement la suite de l’histoire vous montrera comme je me suis bien faite avoir. L’idée étant bien sur de la faire succomber à mes charmes et d’arriver à lui faire l’amour, chose qu’elle m’avait toujours refusé depuis ces sept mois que l’on se prête à nos petits jeux. Il faut dire qu’à l’époque, je n’avais pas encore d’attirance pour les hommes et mes relations avec les filles étaient très rares par rapport au choix de mes tenues que je ne voulais pas dévoiler. Ce soir-là, j’avais choisi une tenue légère et décontractée malgré la fraîcheur du soir mais je savais que je ne trainerai pas longtemps dehors. Aussi, je voulais marquer le coup de notre premier rendez-vous et après avoir enfilé une paire de bas noir, j’ajustais mon porte jarretelle à ma taille. Un string de la même couleur sous un pantalon de fine étoffe et une paire d’escarpins aux pieds pour pousser un peu plus loin ma féminité. Une légère chemise recouvrait le soutien gorge que j’avais mis sur ma poitrine. Epilée entièrement, bien sur, j’avais aussi mis du vernis à mes doigts de pieds. Mes oreilles sont percées depuis de très longues années et je porte des cheveux très longs que je n’avais donc pas attaché ce soir là. Ainsi prête, je me rends au domicile de Maryvonne pour y passer une très bonne soirée non sans mettre arrêter chez le fleuriste pour y acheter une rose.
Sitôt la porte refermée, elle me plaque sur le mur du couloir et m’embrasse fougueusement. Sa langue s’enfonce dans ma bouche et tournoie autour de ma langue avec une belle vivacité. Je sens son souffle chaud sur mon visage. Ses mains parcours déjà mon corps et se glisse entre mes jambes…
Pour la suite, il va falloir faire montre d’un peu de patience. Bisous à tous.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'aurai bien aimé etre avec vous
Vite la suite !
Miam. La suite!
Oh non vite la suite