La belle et pulpeuse Alice.2.
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 335 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Passud ont reçu un total de 1 464 716 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 6 353 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
La belle et pulpeuse Alice.2.
Nous sommes lundi, je suis au travail.
Ma journée fut pleine du souvenir de mes ébats avec Alice, le samedi précédent.
J'ai du mal à le dire, mais j'ai une maitresse.
Je me sens chanceux, mais honteux aussi, juste un peu.
Après tout, Corinne a eu de nombreux amants, et paradoxalement, elle n'accepte pas que je la trompe avec une fille.
Elle sait que je n'arrive pas à le faire uniquement pour le sexe.
Elle n'a pas tort, puisque je fais l'amour avec Alice !
Je chasse mes derniers scrupules en repensant à Corinne qui baisait devant moi, avec un autre.
Cela restera mon jardin secret.
Et puis, c'est tellement agréable de séduire encore cette fille, qui m'a aimé, 8 ans plus tôt.
Elle voit en moi, l'amant idéal, je ne veux pas la décevoir.
Elle ne saura jamais que j'aime me faire prendre par des hommes, plus vieux que moi.
L'heure de fin de journée arrive, je constate avec soulagement que mon amant Mario, n'est pas rentré.
Tant mieux, j'en avais pas très envie.
Je sors de l'entreprise et sursaute en voyant le véhicule d'Alice.
Je monte avec elle, sous le regard de quelques autres ouvriers.
Elle m'embrasse aussitôt, révélant aux autres, que nous avons une relation.
Certains savent que ce n'est pas ma femme.
J'aurai de nombreuses remarques envieuses les jours suivants, de leur part.
Cela m'arrange un peu, je commençais à avoir peur que ma relation avec Mario se devine.
Alice est un parfait alibi !
Lors de notre baiser, je retrouve avec excitation le plaisir de la toucher encore et encore.
"Putain Alice, il y a que toi qui m'excite autant ! Tu me rends fou ! J'aime trop ton corps !".
"T'aimes pas que ça ! J'espère ?".
"Non, bien sûr ! Tu as bien muri, je trouve ! T'es plus l'adolescente que j'ai connu ! Mais il reste que je suis étonné d'aimer autant ton corps ! J'ai connu beaucoup d'autres filles ! Plus minces ! Toi, tu es plus pulpeuse, tu as plus de formes et je m'étonne d'adorer ça ! J'aime ta peau laiteuse, tes cheveux roux, tes yeux bleus, ta bouche épaisse. Et tes seins ! J'en suis dingue ! Comme tes fesses !".
"Hummm ! C'est une déclaration d'amour ?".
"Euh, je sais pas ! Je sais plus ! Tu me perturbes !".
"Bon, on va chez moi, tu vas me prouver tout ça !".
"Ok, mais je dois rentrer avant 18 h30 !".
"On a largement le temps de nous aimer alors !".
"Oui, mais j'espère que Corinne n'aura pas envie de moi en rentrant !".
"Ca, c'est ton problème ! Pas le mien ! Mais il ne lui restera pas grand chose ! Je vais tout te prendre !".
Je souris, rassuré par le fait que j'ai aimé Corinne, la veille.
Elle pose son sac en entrant chez elle, je lui demande d'utiliser sa douche pour m'enlever la saleté et la sueur du travail.
Je me prélasse longuement sous le jet, puis je la vois entrer complètement nue.
Elle se glisse dans la douche, je plonge automatiquement ma bouche sur ses gros seins fermes, en les malaxant avec passion.
Elle atteint rapidement un orgasme mammaire, que je réitère avec vice.
"Arhhhhhhhhh ! Pascal ! Prends-moi maintenant !".
Je la retourne et la possède en la cambrant devant moi, contre la paroi de douche.
Je m'accroche à ses nichons magnifiques, elle me crie son plaisir et son amour.
Il me faut plus de dix minutes pour l'emmener à l'orgasme vaginal.
Je quitte sa délicieuse chatte pour me sécher et elle m'entraine dans son salon, sur son canapé.
Elle s'offre à moi en écartant ses cuisses, je me régale de la vue de son corps magnifique et sa vulve rousse, à peine velue, j'aime les faibles pilosités.
Elle se masturbe les seins, en me suppliant:
"Viens ! Fais moi jouir encore !".
Je plonge en elle comme je me nourrirai d'un plat enivrant,
Je me nourri d'elle avec mes mains, ma bouche et ma queue.
Chacune de mes errances buccales, manuelles et sexuelles est récompensée par des cris de jouissance.
Plus elle jouit, et plus, je me motive pour l'aimer encore et encore.
Nous nous lançons dans des ébats variés et insolites, dans de nombreuses positions scabreuses.
Je ne vois pas le temps passé, à lui donner du plaisir.
Elle me demande:
"Arhhhhhhhhhhhhh! Arrêtes, j'en peux plus, tu m'as tuée ! Mon amour ! Qu'est-ce qui t'arrives ? Tu jouis pas, toi ?".
"Je suis trop excité ! Ca m'arrive quand je suis fou de la fille ! Le désir bloque ma jouissance, cela devient cérébral !".
"C'est génial, mais je veux pas que tu partes sans jouir avec moi ! Laisses moi te donner du plaisir !"
"Ok, je vais me laisser faire, alors, je te donne carte blanche !".
"T'es sur ? Je suis plus celle que tu as connu, tu sais !".
"Vas-y ! Fais tout ce que tu veux ! Je te le promets, tu peux !".
"Hummmm, merci, mon amour !".
Elle plonge entre mes cuisses et couvre ma queue de sa bouche délicieuse.
Rapidement, je suis transporté par son talent buccal, elle me fait perdre la tête en me pompant goulument.
Elle me lèche amoureusement, des couilles au gland, sans discontinuer, puis se remet à pomper vicieusement.
Elle glisse mon sexe entre ses seins en salivant dessus, elle me masturbe longuement entre ses deux mamelons.
Je deviens fou d'excitation, c'est une première pour moi.
Ensuite, elle recouvre ma queue de sa gorge humide et pose une main à la base de mes deux grosses couilles.
Puis je réalise qu'elle insère deux doigts dans mon anus.
C'est encore une première pour moi, mais j'assume ma promesse, en la laissant faire.
Elle se défonce la gorge en cherchant ma prostate, qu'elle titille longuement.
Immanquablement, je sens le plaisir monter et j'explose dans sa gorge, en criant à mon tour, mon orgasme.
Elle avale longuement tout mon foutre chaud, puis relève sa tête en me disant:
"Hummm! Tu as l'air sensible à cet endroit ! J'ai adoré ! Ca t'as plu ?".
"Euh, c'était fort, mais on m'a jamais fait ça avant !".
"Ah bon, Corinne ne te le fait pas ? Moi, je le faisait souvent à mon ex amant !".
"Tu peux comprendre que c'est spécial, quand même !".
"Je vois pas pourquoi ! Tu devrais essayer les mecs d'ailleurs ! Tu as des dispositions pour ça, à mon avis !".
Je ne veux pas lui avouer que c'est déjà fait, et que j'adore ça, en effet !
Elle se blottit dans mes bras, heureuse de sa prestation buccale et manuelle.
On se taquine longuement avec humour et tendresse aussi, puis je suis pris d'une nouvelle érection lors d'un interminable baiser.
"Hummm, tu vas encore me prendre, je crois !".
"Tu veux ?".
"Oui, mais je veux changer ! Tu devines ce que je veux ?".
"Euh, ton anus !".
"Oui, mais je veux du sexe, cette fois ! Je veux que tu sois sauvage !".
Je la place face à moi, avec les cuisses ouvertes, puis je lui salive l'anus avec ma langue et la pénètre patiemment.
Dès que je suis bien enfoncé en elle, je me lance dans une défonce anale effrénée.
Je la soulève pour lui montrer, comment elle se prend ma queue, et joue avec son anus en sortant plusieurs fois d'affilée.
Elle me crie un premier orgasme anal.
Je la retourne en levrette et l'encule ensuite, en restant sur mes pieds derrière elle, pour aller plus profondément dans son cul.
Elle gueule puissamment: et se lâche enfin:
"Oui, c'est bon, encore ! Encules-moi, mon amour ! Défonces moi le cul ! Arhhhhhhhhhhhh !".
Je lui claque une fesse et attend sa réaction.
"Arhhhhhh ! Oui, encore !".
Je lui trouve de nombreux points communs avec Corinne, et je lui casse le cul de la même façon.
Elle entre dans un long râle d'orgasme anal, qui me fait penser qu'elle atteint le vrai plaisir anal.
Elle se met à éjecter sa cyprine sur le lit, je m'active de plus belle et explose dans un plaisir immense dans son cul.
Elle s'écroule sous moi, je la suis sans quitter son anus.
On est tous les deux essoufflés et en sueur.
"Ohhhhhhhh ! Mon amour ! C'était trop bon, j'ai adoré ! Tu m'a bien enculée, euh, pardon, Mais pourquoi j'ai coulé comme ça ?".
"C'est ta première fois ?".
"Oui !".
"C'est de la cyprine ! Ca arrive à beaucoup de femmes, c'est un signe de grand plaisir, je te remercie de m'offrir ça !".
"C'était trop fort, j'ai jamais joui aussi fort en me faisant.."
"Ca va, tu peux le dire ! Enculée ! Moi aussi, j'ai adoré ! J'aime aussi le sexe, tu sais ! Par contre, là, tu m'as tout pris, je suis mort !".
"Super ! Je te ramènes ! Je repasse dès que j'ai envie de toi ! Mon mari rentre dans deux semaines, pour trois mois, je veux en profiter !".
Le soir, j'ai eu besoin de me coller contre ma belle Corinne, pour cacher ma honte, d'aimer faire l'amour avec une autre, qu'elle.
Mais étrangement, mes sentiments pour elle, se sont réveillés, j'ai donc usé de ma relation avec Alice, pour sauver mon couple.
Ma journée fut pleine du souvenir de mes ébats avec Alice, le samedi précédent.
J'ai du mal à le dire, mais j'ai une maitresse.
Je me sens chanceux, mais honteux aussi, juste un peu.
Après tout, Corinne a eu de nombreux amants, et paradoxalement, elle n'accepte pas que je la trompe avec une fille.
Elle sait que je n'arrive pas à le faire uniquement pour le sexe.
Elle n'a pas tort, puisque je fais l'amour avec Alice !
Je chasse mes derniers scrupules en repensant à Corinne qui baisait devant moi, avec un autre.
Cela restera mon jardin secret.
Et puis, c'est tellement agréable de séduire encore cette fille, qui m'a aimé, 8 ans plus tôt.
Elle voit en moi, l'amant idéal, je ne veux pas la décevoir.
Elle ne saura jamais que j'aime me faire prendre par des hommes, plus vieux que moi.
L'heure de fin de journée arrive, je constate avec soulagement que mon amant Mario, n'est pas rentré.
Tant mieux, j'en avais pas très envie.
Je sors de l'entreprise et sursaute en voyant le véhicule d'Alice.
Je monte avec elle, sous le regard de quelques autres ouvriers.
Elle m'embrasse aussitôt, révélant aux autres, que nous avons une relation.
Certains savent que ce n'est pas ma femme.
J'aurai de nombreuses remarques envieuses les jours suivants, de leur part.
Cela m'arrange un peu, je commençais à avoir peur que ma relation avec Mario se devine.
Alice est un parfait alibi !
Lors de notre baiser, je retrouve avec excitation le plaisir de la toucher encore et encore.
"Putain Alice, il y a que toi qui m'excite autant ! Tu me rends fou ! J'aime trop ton corps !".
"T'aimes pas que ça ! J'espère ?".
"Non, bien sûr ! Tu as bien muri, je trouve ! T'es plus l'adolescente que j'ai connu ! Mais il reste que je suis étonné d'aimer autant ton corps ! J'ai connu beaucoup d'autres filles ! Plus minces ! Toi, tu es plus pulpeuse, tu as plus de formes et je m'étonne d'adorer ça ! J'aime ta peau laiteuse, tes cheveux roux, tes yeux bleus, ta bouche épaisse. Et tes seins ! J'en suis dingue ! Comme tes fesses !".
"Hummm ! C'est une déclaration d'amour ?".
"Euh, je sais pas ! Je sais plus ! Tu me perturbes !".
"Bon, on va chez moi, tu vas me prouver tout ça !".
"Ok, mais je dois rentrer avant 18 h30 !".
"On a largement le temps de nous aimer alors !".
"Oui, mais j'espère que Corinne n'aura pas envie de moi en rentrant !".
"Ca, c'est ton problème ! Pas le mien ! Mais il ne lui restera pas grand chose ! Je vais tout te prendre !".
Je souris, rassuré par le fait que j'ai aimé Corinne, la veille.
Elle pose son sac en entrant chez elle, je lui demande d'utiliser sa douche pour m'enlever la saleté et la sueur du travail.
Je me prélasse longuement sous le jet, puis je la vois entrer complètement nue.
Elle se glisse dans la douche, je plonge automatiquement ma bouche sur ses gros seins fermes, en les malaxant avec passion.
Elle atteint rapidement un orgasme mammaire, que je réitère avec vice.
"Arhhhhhhhhh ! Pascal ! Prends-moi maintenant !".
Je la retourne et la possède en la cambrant devant moi, contre la paroi de douche.
Je m'accroche à ses nichons magnifiques, elle me crie son plaisir et son amour.
Il me faut plus de dix minutes pour l'emmener à l'orgasme vaginal.
Je quitte sa délicieuse chatte pour me sécher et elle m'entraine dans son salon, sur son canapé.
Elle s'offre à moi en écartant ses cuisses, je me régale de la vue de son corps magnifique et sa vulve rousse, à peine velue, j'aime les faibles pilosités.
Elle se masturbe les seins, en me suppliant:
"Viens ! Fais moi jouir encore !".
Je plonge en elle comme je me nourrirai d'un plat enivrant,
Je me nourri d'elle avec mes mains, ma bouche et ma queue.
Chacune de mes errances buccales, manuelles et sexuelles est récompensée par des cris de jouissance.
Plus elle jouit, et plus, je me motive pour l'aimer encore et encore.
Nous nous lançons dans des ébats variés et insolites, dans de nombreuses positions scabreuses.
Je ne vois pas le temps passé, à lui donner du plaisir.
Elle me demande:
"Arhhhhhhhhhhhhh! Arrêtes, j'en peux plus, tu m'as tuée ! Mon amour ! Qu'est-ce qui t'arrives ? Tu jouis pas, toi ?".
"Je suis trop excité ! Ca m'arrive quand je suis fou de la fille ! Le désir bloque ma jouissance, cela devient cérébral !".
"C'est génial, mais je veux pas que tu partes sans jouir avec moi ! Laisses moi te donner du plaisir !"
"Ok, je vais me laisser faire, alors, je te donne carte blanche !".
"T'es sur ? Je suis plus celle que tu as connu, tu sais !".
"Vas-y ! Fais tout ce que tu veux ! Je te le promets, tu peux !".
"Hummmm, merci, mon amour !".
Elle plonge entre mes cuisses et couvre ma queue de sa bouche délicieuse.
Rapidement, je suis transporté par son talent buccal, elle me fait perdre la tête en me pompant goulument.
Elle me lèche amoureusement, des couilles au gland, sans discontinuer, puis se remet à pomper vicieusement.
Elle glisse mon sexe entre ses seins en salivant dessus, elle me masturbe longuement entre ses deux mamelons.
Je deviens fou d'excitation, c'est une première pour moi.
Ensuite, elle recouvre ma queue de sa gorge humide et pose une main à la base de mes deux grosses couilles.
Puis je réalise qu'elle insère deux doigts dans mon anus.
C'est encore une première pour moi, mais j'assume ma promesse, en la laissant faire.
Elle se défonce la gorge en cherchant ma prostate, qu'elle titille longuement.
Immanquablement, je sens le plaisir monter et j'explose dans sa gorge, en criant à mon tour, mon orgasme.
Elle avale longuement tout mon foutre chaud, puis relève sa tête en me disant:
"Hummm! Tu as l'air sensible à cet endroit ! J'ai adoré ! Ca t'as plu ?".
"Euh, c'était fort, mais on m'a jamais fait ça avant !".
"Ah bon, Corinne ne te le fait pas ? Moi, je le faisait souvent à mon ex amant !".
"Tu peux comprendre que c'est spécial, quand même !".
"Je vois pas pourquoi ! Tu devrais essayer les mecs d'ailleurs ! Tu as des dispositions pour ça, à mon avis !".
Je ne veux pas lui avouer que c'est déjà fait, et que j'adore ça, en effet !
Elle se blottit dans mes bras, heureuse de sa prestation buccale et manuelle.
On se taquine longuement avec humour et tendresse aussi, puis je suis pris d'une nouvelle érection lors d'un interminable baiser.
"Hummm, tu vas encore me prendre, je crois !".
"Tu veux ?".
"Oui, mais je veux changer ! Tu devines ce que je veux ?".
"Euh, ton anus !".
"Oui, mais je veux du sexe, cette fois ! Je veux que tu sois sauvage !".
Je la place face à moi, avec les cuisses ouvertes, puis je lui salive l'anus avec ma langue et la pénètre patiemment.
Dès que je suis bien enfoncé en elle, je me lance dans une défonce anale effrénée.
Je la soulève pour lui montrer, comment elle se prend ma queue, et joue avec son anus en sortant plusieurs fois d'affilée.
Elle me crie un premier orgasme anal.
Je la retourne en levrette et l'encule ensuite, en restant sur mes pieds derrière elle, pour aller plus profondément dans son cul.
Elle gueule puissamment: et se lâche enfin:
"Oui, c'est bon, encore ! Encules-moi, mon amour ! Défonces moi le cul ! Arhhhhhhhhhhhh !".
Je lui claque une fesse et attend sa réaction.
"Arhhhhhh ! Oui, encore !".
Je lui trouve de nombreux points communs avec Corinne, et je lui casse le cul de la même façon.
Elle entre dans un long râle d'orgasme anal, qui me fait penser qu'elle atteint le vrai plaisir anal.
Elle se met à éjecter sa cyprine sur le lit, je m'active de plus belle et explose dans un plaisir immense dans son cul.
Elle s'écroule sous moi, je la suis sans quitter son anus.
On est tous les deux essoufflés et en sueur.
"Ohhhhhhhh ! Mon amour ! C'était trop bon, j'ai adoré ! Tu m'a bien enculée, euh, pardon, Mais pourquoi j'ai coulé comme ça ?".
"C'est ta première fois ?".
"Oui !".
"C'est de la cyprine ! Ca arrive à beaucoup de femmes, c'est un signe de grand plaisir, je te remercie de m'offrir ça !".
"C'était trop fort, j'ai jamais joui aussi fort en me faisant.."
"Ca va, tu peux le dire ! Enculée ! Moi aussi, j'ai adoré ! J'aime aussi le sexe, tu sais ! Par contre, là, tu m'as tout pris, je suis mort !".
"Super ! Je te ramènes ! Je repasse dès que j'ai envie de toi ! Mon mari rentre dans deux semaines, pour trois mois, je veux en profiter !".
Le soir, j'ai eu besoin de me coller contre ma belle Corinne, pour cacher ma honte, d'aimer faire l'amour avec une autre, qu'elle.
Mais étrangement, mes sentiments pour elle, se sont réveillés, j'ai donc usé de ma relation avec Alice, pour sauver mon couple.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Passud
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour vos compliments, parfois, les erreurs sont dues à des fautes de frappe.
Un récit très naturel, sans chichis, direct, adulte. Et vivant. Que demander de plus ?
Une petite faute de conjugaison "Je me nourri*s* d'elle". C'est anecdotique.
J'adore vos histoires, le côté simple, vivant.
Une petite faute de conjugaison "Je me nourri*s* d'elle". C'est anecdotique.
J'adore vos histoires, le côté simple, vivant.