La belle inconnue du ski
Récit érotique écrit par DXD [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-06-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La belle inconnue du ski
En Février, j'allai avec mes amis en vacances d'hiver à la montagne. Au programme, du ski, de la randonnée en raquettes, des repas copieux dans les restaurants de la station de ski, et encore beaucoup de randonnées pour admirer le magnifique paysage. Au bout de quelques jours, je finis par me retrouver un peu tout seul, car mes amis ne pensaient qu'à aller sur les pistes de ski pour draguer les belles touristes, tandis que moi, largement rassasié question filles, je ne pensais qu'à profiter de la montagne et de ses merveilles. De plus j'étais franchement nul sur des skis, si bien que prudemment, je ne skiais que sur les pistes vertes (les plus faciles), là où mes amis s'aventuraient sur les pistes rouges, voire, parfois les noires, me laissant patiner maladroitement au milieu des autres débutants. Cette solitude relative ne me dérangeait pas du tout, car elle me permettait de profiter au mieux des merveilles montagnardes.
Si il y a bien une chose que j'ai apprise avec les filles, c'est que bien souvent, c'est lorsque on ne les cherche pas du tout qu'on les trouve, tandis que lorsqu'on leur court après, on finit souvent bredouilles. Ce séjour à la montagne en apporta la preuve : car alors que mes amis passaient leur temps à courir la skieuse sur les pistes ou en boîte de nuit, c'est moi qui n'en draguant aucune fit la rencontre la plus épicée du séjour.
Nous étions à la station depuis quatre jours, et au sommet de la pente, je m'apprêtais une énième fois à descendre la piste verte que j'avais choisie, lorsque soudain, une magnifique fille de mon âge, arriva au sommet de la pente, et sans hésiter, dévala la piste sans aucune difficulté, avec une maîtrise du ski évidente. Intrigué, et même, intéressé, je me hâtai de descendre à mon tour la piste, tâchant de na pas chuter. Lorsque j'arrivai en bas de la piste, la belle inconnu faisait la queue au téléski. Elle était vraiment magnifique, grande, fine, des cheveux d'un blond doré, et des yeux d'un bleu clair magnifique. Sa combinaison de ski moulait ses formes généreuses, notamment son imposante poitrine, et je me sentis fondre : c'était probablement l'une des filles les plus sexy que j'aie jamais rencontrées. En l'entendant parler avec ses amies, je compris qu'elle n'était pas française, mais étant mauvais en langues étrangères, je ne sus reconnaître la langue qu'elle utilisait. Était elle suédoise, finlandaise, norvégienne, ou danoise ? Je n'en savais rien, mais j'étais certain qu'elle venait d'Europe du Nord.
Ça ne m'arrangeait pas vraiment, car je ne savais parler que des langues d'Europe du Sud : espagnol portugais et italien (grâce à Francesca), mais ne parlais que très mal anglais, et ne parlais aucune autre langue. Je me demandais donc comment aborder cette magnifique créature, étant donné que je voyais mal comment lui parler. A défaut de discuter avec elle, je ne pouvais m'empêcher de l'observer, ne serait ce que pour apprécier sa beauté, ou son incroyable talent sur des skis. Je vis aussi bien vite que je n'étais pas évidemment le seul garçon à lorgner sur elle. Au cours de la demi-heure qu'elle passa sur la piste verte, elle fut abordée trois ou quatre fois, et c'est ainsi que je vis qu'elle ne parlait pas anglais, ce qui rendait très difficile toute tentative de séduction. Je commençais à désespérer qu'il se passe quoique ce soit entre elle et moi. Mais alors qu'elle se préparait à quitter la piste verte pour aller descendre des pistes plus difficiles et plus dignes de son talent, je vis qu'elle me jetait des coups d’œil appuyés et intéressés. Avant de partir, elle tapota même le coude d'une de ses amies en me désignant vaguement du doigt, et son amie me jeta un coup d’œil. Je n'étais pas sur de ce qu'il fallait en penser, mais j'avais l'espoir que tout cela voulait dire que j'avais tapé dans l'oeil de la belle blonde.
Décidé à ne pas lâcher l'affaire, je tâchai de la suivre sur la piste bleue, et pus y faire deux ou trois descentes sans trop tomber. Néanmoins la belle inconnue ne resta pas longtemps sur la piste bleue, et partit bientôt pour les rouges et noires ou je n'osais la suivre. Me casser la jambe ne m'aiderait pas à la séduire ! Dépité de ne pas avoir réussi à l'approcher, je rentrais au restaurant du midi, pour retrouver mes amis. Ils m'y rejoignirent, parlant avec animation, et le repas se passa dans les rires et les plaisanteries. Puis soudain, l'un de mes amis s'écria :
« Oh là là regardez moi cette bombe ! »
Je me retournai en même temps que le reste de mes amis, et je vis de qui il parlait : ma belle blonde venait d'entrer dans le restaurant avec ses amies. En me voyant elle m'adressa un sourire radieux qui eut le don d'emballer mon rythme cardiaque. Un murmure appréciateur parcourut mon groupe d'amis, et ils commencèrent à se disputer pour savoir à qui elle avait souri. Je ne participai pas à la querelle, mais sentais bien que c'était à moi qu'elle avait adressé ce beau sourire.
Revigoré par ce signe encourageant, je décidai de l'aborder dans l'après midi, coûte que coûte. J'osai même la suivre sur une piste rouge, dans l'espoir d'avoir l'occasion de lui parler. J'en eus l'occasion : en descendant la pente qui finissait en virage, je n’emmêlai les skis et chuta lourdement. Je grognai de douleur : je m'étais tordu la cheville. Alors que je tentais d'enlever mes skis pour examiner ma cheville, quelqu'un s'arrêta, et s'agenouillant vers moi, commença à m'aider. Je levai les yeux, et vis que c'était ma blonde. Elle me souriait doucement, et enlevai mon ski. Puis, elle me retira ma chaussure de ski, et se mit à me masser doucement la cheville. Je grognai de douleur pendant qu'elle m'examinait, mais priai pour qu'elle continue, tant j'aimais le contact de ses doigts blancs. Me désignant ma cheville, elle me fit signe que ça allait, puis elle m'aida à me relever. Me servant à nouveau l'un de ses éblouissants sourires, elle partit après que je l'ai remerciée par un signe de tête.
Le reste de l'après midi, j'étais partagé entre l'agacement de m'être « blessé » aussi stupidement, et la joie d'avoir eu un tel contact avec la blonde. Après un bref repos, je décidai de laisser tomber le ski et fis une petite randonnée avant de rentrer au restaurant prendre mon dîner. Comme tous les soirs, mes amis ne me rejoignirent pas, préférant la boîte de nuit de la station. J'étais un peu déprimé en pensant que la blonde préférerait sans doute la boîte de nuit elle aussi. Alors que j'avais commencé mon dîner depuis peu, je vis passer à l'extérieur du restaurant un groupe de filles : parmi elle ma blonde. Elle fit un signe d'au revoir à ses amies, et pour mon plus grand bonheur, elle rentra dans le restaurant. J'étais loin d'être au bout de mon bonheur cependant, car après avoir balayé la salle du regard, la belle vint s'asseoir… à ma table, juste en face de moi. Elle me fit un grand sourire, que je me hâtai de lui rendre. Elle commanda son repas en montrant au serveur ce qu'elle voulait sur le menu, puis reporta son attention sur moi, m'observant avec intensité et intérêt. Le silence régnait entre nous, et je ne savais pas du tout comment dialoguer avec cette belle étrangère. Le serveur lui apporta ce qu'elle avait commandé, et elle me tendit l'une des deux bouteilles de bière qu'elle avait prises. Je la pris en lui souriant pour la remercier. Le repas dura un peu moins d'une demi-heure, et se passa dans un silence total, ça me mettait mal à l'aise, mais elle semblait parfaitement se contenter de ce silence. Au milieu du repas, elle sembla avoir chaud, et ouvrit sa combinaison, révélant un débardeur blanc et léger, qui laissait voir de larges pans de son magnifique corps. Je ressentis un mélange d'excitation et de frustration mêlées : c'était tellement rageant d'avoir cette magnifique créature sous les yeux, de la sentir intéressée, et de ne pas pouvoir lui parler ! Elle nota visiblement mes coups d'oeil de plus en plus fréquents à son décolleté, et me fit un petit sourire, plus coquin que les précédents…
Je finis mon repas avant elle, mais ne put me résoudre à partir de table : je voulais rester le plus longtemps possible en sa compagnie, même si j'étais incapable de lui parler. Lorsqu'elle eut à son tour fini son repas, elle se rhabilla, se leva, et je ressentis un brin de désespoir en la voyant s'éloigner. Cependant elle s'arrêta, se retourna et me fit signe de la rejoindre, un sourire aux lèvres. Je bondis presque de ma chaise, et en un rien de temps, je fus auprès d'elle. Elle eut un petit sourire devant mon empressement et me prit la main et sortit du restaurant, moi sur ses talons. Je me demandais ou elle voulait m'emmener et espérai que ce n'était pas en boîte… Mais elle m'emmenait à l'écart de la station, vers les chalets. Lorsqu'elle s'approcha d'un petit chalet, et commença à le déverrouiller avec sa clé, je compris qu'elle m'amenait chez elle. Elle ouvrit la porte, et se retourna, me faisant signe d'entrer. J'hésitai un bref instant : je n'arrivai pas à croire ce qui m'arrivait, c'était bien la première fois qu'une fille me ramenait chez elle sans que je lui dise quoique ce soit !
Le chalet était plus petit que celui que j'occupais avec mes amis, la belle devait y vivre seule. L'intérieur semblait confortable, il n'y avait que trois pièces, un salon/cuisine une chambre et une salle de bains. Un feu de cheminée ronflait dans le salon, chauffant agréablement la pièce. Sitôt à l'intérieur, la belle blonde retira sa combinaison, ne portant plus que son léger débardeur blanc, ainsi qu'un sous-pantalon fin qu'on porte souvent sous les combinaisons de ski. Elle était ultra sexy dans cette tenue le débardeur laissait apprécier son corps de rêve, notamment son imposante poitrine, mais aussi sa beau finement bronzée sous le soleil de la montagne. Le pantalon moulait son magnifique postérieur, je pus notamment le voir lorsqu'elle ouvrit son frigo et se pencha pour regarder ce qu'il y avait dedans, se penchant assez bas... En la regardant ainsi, je sentis une brusque poussée de chaleur m'envahir. Je réalisai alors que j'étais toujours en combinaison, et entrepris de la retirer. Mais je me rappelai alors soudain qu'en dessous je ne portais qu'un t-shirt et pas de pantalon. L'idée de me retrouver à moitié en sous vêtement avec une inconnue me mettait un brin mal à l'aise, d'autant qu'elle verrait sans doute la bosse qui se formait doucement dans mon caleçon... La blonde avait refermé le frigo, et tenait deux bouteilles à la main. Elle vint vers moi et me tendit une bouteille que je pris, puis me fit signe de retirer ma combi. Je tâchai de lui faire comprendre que je n'étais pas beaucoup vêtu en dessous, mais soudain, elle m'attrapa par la combinaison me plaqua contre le mur, et me l'ouvrit d'un coup sec, me la retirant à moitié. Elle ne parut évidemment pas choquée le moins du monde en découvrant que je ne portai qu'un caleçon en dessous. Elle me fit un sourire coquin, et lentement porta sa bouteille à sa bouche, plaçant sensuellement le goulot entre ses lèvres. Je me sentis brûler de désir comme rarement dans ma vie, et j'eus envie de la saisir, mais déjà la belle s'était éloignée de moi, continuant de vider sa bouteille à grands traits.
Comprenant que désormais, toute gêne était inutile, je retirai complètement ma combinaison, tandis que la belle mettait de la musique. Elle se mit à danser langoureusement, bougeant son magnifique corps au rythme de la musique, dansant sensuellement lorsque la musique était lente, plus rapidement lorsque la musique s'accélérait. De temps à autre, elle buvait une longue gorgée dans sa bouteille, et tout en l'admirant, je faisais pareille (je me sens obligé de vous rappeler que l'abus d'alcool est dangereux pour la santé). L'alcool aidant, et malgré mon désamour pour la danse, je ne tardai pas à la rejoindre, et à danser avec elle, m'émerveillant une fois de plus du tournant pris par cette soirée. Nous passâmes un bon moment à nous trémousser sur des rythmes variés. Lorsque la musique était un slow, nous dansions légèrement enlacés, lorsqu'elle était plus rapide, nous nous agitions et j'admirai son corps en mouvement. Je me dis que finalement, elle et moi n'avions pas besoin de mot : le langage du corps, des regards échangés, des petits souries coquins suffisait amplement. Elle comme moi savions très bien comment la nuit allait se poursuivre…
Vint un moment où elle se mit à danser devant moi, me tournant le dos, bougeant son magnifique postérieur à quelques centimètres de moi. Elle me prit carrément les mains, et les posa sur ses hanches, et nous dansâmes ainsi, presque collés l'un à l'autre. Ses fesses effleurèrent plusieurs fois mon sexe, que mon caleçon peinait de plus en plus à contenir. Je finis par la coller carrément contre moi, savourant ce contact de nos corps, si délicieux, et lui faisant sentir à quel point elle me faisait bander. Elle colla encore plus fort ses fesses contre mon sexe, me faisant vibrer de plaisir. Je ne voulus pas être en reste, alors je saisis à pleine mains ses seins et me mis à les masser à travers son débardeur. Elle poussa un gémissement, et se frotta encore plus fort contre moi. Puis d'un coup, elle se dégagea, et alla éteindre la musique.
Pendant un temps, je craignis d'être allé trop loin, et de me faire jeter dehors. Mais lorsqu'elle se retourna un sourire coquin aux lèvres, une flamme brûlant sans ses beaux yeux bleus, je compris que j'avais fait tout ce qu'il fallait au contraire. Nous restâmes un moment à nous regarder intensément, puis soudain, elle se précipita sur moi, et me sauta dessus. J'eus à peine le temps de l'attraper par les fesses pour la porter. Nous partageâmes notre premier et ô combien délicieux baiser, elle avait enroulé ses bras autour de mon cou, et ses jambes autour de mes hanches. Moi je la tenais par les fesses, et en profitais pour les masser à fond, tout en l'embrassant avec passion. Je finis par la jeter sur le canapé. Elle s'y étala de tout son long, un sourire ravi aux lèvres. Alors que je m'approchai pour la rejoindre, elle m'arrêta. Elle me retira mon caleçon en me regardant droit dans les yeux, puis lentement, approcha sa bouche de mon sexe et presque délicatement, elle me le goba. Elle se mit à faire des va-et-vient avec sa bouche, d'abord doucement, me regardant droit dans les yeux, guettant mes réactions à chacun de ses mouvements de lèvres ou de langue. Puis, elle se mit à accélérer progressivement guettant toujours mes réactions, se délectant de me voir grimacer de plaisir sous l'effet de sa pipe. Elle sortit sa langue, et me lécha consciencieusement le sexe, s'attardant sur le gland, et je dus retenir à grande peine un cri de plaisir. Lorsqu'elle me reprit le sexe en bouche, et se mit à accélérer brutalement le rythme de sa pipe, je ne pus me retenir : je poussai un grand cri de plaisir, et ma belle eut un gémissement de satisfaction en m'entendant crier. Elle accéléra encore le rythme, jusqu'à ce que je mette à chanceler sur mes genoux. Alors, la belle interrompit sa fellation, avant de me faire jouir. Je décidai qu'il était temps de lui rendre la pareille.
Je la plaquai contre le dossier du canapé, et je lui retirai son pantalon. Puis, m'agenouillant, je lui retirai son shorty, pour ensuite lui faire un délicieux cuni. Je fis tourbillonner ma langue sur son intimité, et lui embrassais férocement, me délectant de l'entendre gémir en retour. Elle serra ma tête avec ses cuisses, et se mit à me tenir par les cheveux, dirigeant le rythme du cuni. Je me débattis un peu, car je n'étais pas disposé à me laisser diriger de la sorte, mais elle me maintint ainsi, la tête coincée entre ses cuisses, en son pouvoir. Avec sa ma main sur ma tête, me tirant les cheveux, c'est elle qui décidait du rythme et de l'intensité du cuni, ainsi de quand je pouvais reprendre mon souffle. Je compris alors que j'avais affaire à une dominante et qu'il me faudrait agir en conséquence… Lorsqu'elle s'estima satisfaite, elle me libéra, et je décidai qu'il était temps pour elle d'être complètement nue. Je lui retirai son débardeur, puis son soutif, dévoilant enfin ses énormes seins que je pus admirer dans toute leur splendeur.
Je forçai la belle nordique à s'allonger sur le canapé, et insérai ma bite entre ses merveilleux seins. Je commençai alors l'une des plus merveilleuses branlettes espagnoles de ma vie. Je tenais ses deux seins entre mes mains, et faisais des va-et-viens dedans, gémissant de plaisir. Mon amante me regardait droit dans les yeux, frémissant à chacun de mes allers-retours. De temps à autre elle relevait un peu la tête, et léchait le haut de mon sexe qui ressortait d'entre ses seins, me faisant trembler littéralement.
Les préliminaires étaient tellement bons que je craignais de jouir avant d'avoir pu prendre la belle inconnue. Aussi, je décidai d'y mettre fin. Je retirai mon t-shirt, dévoilant mon torse, et la belle caressa mes muscles dans un geste appréciateur. Souriant, je la pénétrai d'un coup sec, lui arrachant un gémissement. Je voulus la prendre en missionnaire, mais elle enroula ses jambes autour de ma taille, et me fit tomber sur le sol de son chalet. Elle se retrouva donc au dessus de moi, et un sourire satisfait aux lèvres, c'est elle qui entreprit de faire des va-et-vient, me baisant sur un rythme élevé, ses énormes seins s'agitant sous mon nez. Avant d'être paralysé par le plaisir et de ne plus pouvoir rien faire, je la renversai, et la plaquai au sol. Je me mis à lui donner de gros coups de reins, ce qui lui arracha un cri de plaisir, mais elle aussi n'était pas disposée à se laisser faire. Je n'eus que le temps de lui donner deux ou trois coups de reins, et après, elle enroula sa jambe autour de ma taille, et tenta de me renverser. Elle n'y parvint qu'à moitié, je restai assis, et elle dut se contenter de me baiser en lotus plutôt qu'en andromaque. Assise sur moi, les jambes enroulées autour de ma taille, et les bras agrippant mon cou, elle se déhanchait magnifiquement, me faisant tourner la tête. Je la tenais par les hanches, et participais au mouvement, donnant moi aussi des coups de reins. En réaction, la belle se mit à accélérer la cadence de ses assauts, me regardant droit dans les yeux en signe de défi. Le plaisir était tel que je ne parvenais plus à donner des coups de reins. Je ne connaissais qu'une seule fille aussi douée dans cette position : Katherine. La comparaison avait de quoi faire réfléchir : si je ne me bougeais pas maintenant, j'allais être totalement dominé par cette bombe blonde. Je la saisis donc par les hanches, et la soulevant, l'étalai une nouvelle fois sur le canapé.
Je pris ses jambes, et les mis sur mes épaules. Puis, je me mis à la baiser sauvagement en enclume,la limant à un rythme très élevé, cognant le fond son intimité à chaque coup. Elle se mit à gémir très fort, et fier de moi, je me mis à accélérer comme un dément, la culbutant sauvagement, me délectant de voir ses énormes seins rebondir à chacun de mes coups de butoir. Tout en la baisant sauvagement, je l'embrassai fougueusement m'émerveillant devant la douceur de ses lèvres. Tirant sur ses jambes, qui étaient sur mes épaules, la belle nordique m'attira contre elle, jusqu'à m'écraser contre elle. Mon torse se pressait contre sa volumineuse poitrine, et ce contact me rendait fou. D'une claque dans les fesses m'incita à la baiser encore plus fort. Je m'exécutai aussitôt, et me mis à la baiser si fort, que le canapé en vacilla. Elle enroula alors ses jambes autour de ma taille, et je n'eus plus d'élans, et ne parvint plus à la baiser aussi fort. Je fis des mouvements circulaires avec mon bassin, lui labourant l'intimité, lui arrachant des gémissements encore plus forts.
Elle plia encore plus ses jambes et se recroquevillant totalement, elle mit ses pieds sur ma poitrine et me poussa d'un coup sec, m'envoyant m'étaler sur le sol. Pour lui apprendre les bonnes manières, je me relevai, la saisis, et la fis se mettre à quatre pattes sur le sol. Je la tins fermement par les hanches, et me mis à la pilonner violemment en levrette, me transformant en véritable marteau piqueur qui n'avait plus qu'un seul but : limer cette belle blonde encore et encore. Je lui claquais les fesses, lui tirais les cheveux, me penchait pour masser ses merveilleux seins. Elle gémissait à fond, et donnait des coups de rein elle aussi, dandinant ses merveilleuses fesses, histoire de participer. Elle me faisait frémir ainsi, mais je ne voulais pas qu'elle ait un minimum de contrôle sur ce qu'il se passait, aussi, je redoublais d'effort et tâchais d'aller plus vite et fort en elle, tout en essayant de diminuer la vitesse de ses assauts. Alors, elle se redressa et se mit à genoux. Elle m'attrapa par la nuque, et me colla le torse contre son dos, puis se mit à se déhancher comme une sauvage, son cul cognant mon bas ventre, me faisant fondre littéralement de plaisir. Elle accentua ses coups de rein, tout en me poussant de plus en plus. Au début, elle était à genoux penchée, moi collé à elle dans son dos, légèrement penché par dessus elle, mais elle me poussait progressivement vers l'arrière, et ainsi, elle finit par être à genoux bien droite devant moi. Elle me tenait par le bas du dos, et secouait son fessier magnifiquement, me donnant de superbes coups de reins, me faisant vibrer de plaisir. Elle avait beau être prise par derrière, c'était elle qui menait la danse. J'aurais voulu réagir, donner des coups de reins, mais le plaisir qu'elle m'infligeait me paralysait littéralement, si bien que je ne pouvais que lui embrasser la nuque et lui masser les seins, ce dont je ne me privais pas ! Cependant, elle continuait de me pousser en arrière tout en me baisant, et je compris qu'elle avait l'intention de m'allonger sur le dos et de me chevaucher. Décidé à ne pas me laisser faire, je résistai à sa poussée, et la saisissant par la nuque, je la forçai à se remettre à quatre pattes. Elle tenta de me résister, mais usant de ma force, je parvins à la contraindre. Je me remis à la pilonner comme jamais, culbutant à nouveau le fond de son intimité, me délectant de l'entendre gémir. Décidé à pousser le bouchon, je saisis à pleines mains ses longs cheveux dorés, et les tirait, la faisant gémir de plaisir. Elle s'allongea par terre, sur le ventre, et la suivant, je me penchai plus bas, tout en continuant de la mitrailler de coups de reins. Mais soudain, elle se retourna, et me renversa sur le dos, s'installant sur moi.
A califourchon sur moi, elle s'empala sur mon sexe. Allongé de dos sur le sol, je compris que j'allais vivre un grand moment. Et je ne fus pas déçu. La belle se mit à faire des va-et-vient terribles sur mon sexe, bougeant d'avant en arrière à un rythme très élevé, me baisant sauvagement sans répit. Ses énormes seins se secouaient au rythme de ses assauts, m'hypnotisant à moitié. Je tâchai de participer, en tenant ses hanches et l'aidant dans ses mouvements, mais elle allait à un tel rythme que je n'avais pas grand-chose à faire. De temps à autres, elle arrêtait d'aller d'avant en arrière pour sauter sur mon sexe comme une dans un rodéo. Son visage rougi par l'effort était décomposé par le plaisir, et elle gémissait à pleine voix. Elle me regardait droit dans les yeux, comme pour me défier, à moins que ce ne soit pour pour m'observer exprimer le plaisir qu'elle me procurait. Il faut dire, que mes gémissements ne tardèrent pas à se joindre aux siens, de même que mes grimaces de plaisir. Lorsqu'elle accéléra encore le rythme de sa chevauchée, je poussai un cri, et incapable de bouger, je lâchai ses hanches, la laissant seule diriger les opérations. Alors, elle se retourna, et me tourna le dos. Elle se remit à se déhancher, secouant son postérieur devant moi, vision qui me rendit fou. Curieusement, voir ce magnifique postérieur se secouer devant moi ne me donna qu'une envie : reprendre le dessus, et baiser sauvagement sa propriétaire.
Dans un sursaut, je me redressai et la saisissant par les hanches, je la renversai. Je l'allongeai sur le côté, et vins me mettre derrière elle, me collant à son corps de déesse scandinave. Je pris ses seins à pleines mains (j'avais beau avoir de grandes mains, je ne parvenais pas à les tenir en entiers), et me mis à la limer très fort. Elle se mit à gémir, tandis que je lui embrassai la nuque, tout en frémissant de plaisir au rythme de mes propres assauts. Je sentais l'orgasme proche, et je pensais pouvoir finir ainsi, mais j'avais affaire à une vraie tigresse, elle désirait finir elle même. Elle enroula une jambe autour de ma taille, et me força à m'allonger sur le dos. Elle s'installa sur moi, et s'empala à nouveau sur mon sexe, en poussant un petit gémissement.
Je me redressai, et me mis à dévorer ses seins avec passion et avidité, et elle me tint la tête dans sa poitrine, gémissant doucement. Puis, me tenant par les épaules, elle m'étala contre le sol, et se remit à me chevaucher, comme si elle n'avait jamais été interrompue. Elle se mit à gémir doucement, tandis que je lui massais les seins me demandant si ils n'étaient pas les plus beaux que je n'avais jamais vus. Elle me fit un léger sourire, comme si elle lisait dans mes pensées, et savait ce que je me demandais, et accéléra légèrement le tempo de ses assauts, son sourire disparaissant tant le plaisir qu'elle avait à se secouer sur mon sexe était grand. Décidé à la provoquer, je lui claquai les fesses, et elle poussa un petit cri de plaisir, avant de répliquer par une gifle qui me fit frissonner d'excitation. Elle accéléra encore le rythme de ses va-et-vient, devenant plus sauvage de seconde en seconde, me donnant des coups de reins plus forts et secs, me griffant le torse, et me giflant de temps en temps. Elle respirait de plus en plus fort, et ses gémissements étaient de plus en plus aigus, et je la sentais trembler de plus en plus fort à chacun de ses allers-retours. Le plaisir qu'elle m'infligeait était tout simplement énorme, je vivais l'une des meilleures chevauchées de ma vie. La baise devenait très intense, je vis que la belle blonde semblait perdre ses esprits, et devenir une bête sauvage affamée de sexe. Elle se déhanchait, me culbutait, bondissait sur mon sexe aussi vite et fort qu'elle pouvait, criant à chaque fois. En proie à un immense plaisir, elle mit ses mains derrière sa tête, et se mit à soulever son corps vers le haut, ondulant du bassin magnifiquement. Fasciné, j'observai son corps d'asgardienne tendu par l'effort qu'elle faisait pour me baiser dans cette position. Elle resta ainsi quelques minutes avant de se pencher à nouveau sur moi, remettant ses mains sur mon torse qu'elle palpait et griffait. Elle reprit ses va-et-vient mais plus rapidement que jamais, et en la regardant dans les yeux, je compris que c'était l'assaut final… L'orgasme était imminent pour elle, et moi même, je n'en n'avais plus pour très longtemps. Le plaisir montait comme une vague irrépressible, et j'avais de plus en plus de mal à le contenir. La belle me culbutait avec tant de vigueur, qu'elle me faisait glisser sur le sol, et je m'agrippai à ses hanches, comme de peur qu'elle m'expédie au loin. Je voulus en profiter pour l'aider un peu à nous faire atteindre l'orgasme, mais aussitôt, elle me saisit les poignets, et me les tins plaqués contre le torse. Le message était clair, c'était elle la patronne et elle seule. Elle contracta son vagin, enserrant mon sexe délicieusement, et se mit à sauter dessus ainsi, déclenchant en nous deux un véritable tsunami de plaisir. Je fus tout simplement incapable de me contenir, et explosai dans un délicieux orgasme en même temps qu'elle.
Littéralement épuisés, nous nous effondrâmes sur le sol, haletants, transpirants, sonnés, mais tellement comblés. Elle vint se pelotonner contre moi, et m'embrassa le cou. Je lui fis une bise en réponse, et ne tardai pas à sombrer dans le sommeil, tant j'étais épuisé, et tant la moquette de son chalet était confortable, surtout avec ce feu de cheminée à côté. Lorsque je me réveillai le lendemain matin, la belle avait disparu, et j'aurais cru avoir rêvé, si je ne m'étais pas réveillé nu dans un chalet inconnu. Je me rhabillai, et quittai le chalet, non sans me demander si je reverrais un jour ma belle inconnue, qui, à n'en pas douter, m'avait offert l'une des meilleures nuits de ma vie.
Voilà, cette histoire est terminée, j'espère que vous l'avez appréciée, si c'est le cas n'hésitez pas à laisser un commentaire pour le dire, ça me fait toujours plaisir ! Je vous encourage aussi à donner votre avis sur les personnages, l'action, ou le scénario, ça m'est toujours utile ! Si cette histoire vous a rappelé une anecdote personnelle et que vous avez envie de la partager avec les autres, je vous en prie, n'hésitez pas ! Par ailleurs, si vous avez des questions à me poser, envie de me parler d'une histoire ou d'un personnage ou tout simplement du temps qu'il fait, mon adresse mail est là pour ça !
Si tout se passe bien, on se retrouve très vite pour la prochaine histoire qui sera « Léa 3 ». Cela fait un moment que je n'ai pas fait de vote, alors à la fin du prochain récit, vous aurez un vote à faire, que l'on n'oublie pas que c'est une démocratie ici :)
Si il y a bien une chose que j'ai apprise avec les filles, c'est que bien souvent, c'est lorsque on ne les cherche pas du tout qu'on les trouve, tandis que lorsqu'on leur court après, on finit souvent bredouilles. Ce séjour à la montagne en apporta la preuve : car alors que mes amis passaient leur temps à courir la skieuse sur les pistes ou en boîte de nuit, c'est moi qui n'en draguant aucune fit la rencontre la plus épicée du séjour.
Nous étions à la station depuis quatre jours, et au sommet de la pente, je m'apprêtais une énième fois à descendre la piste verte que j'avais choisie, lorsque soudain, une magnifique fille de mon âge, arriva au sommet de la pente, et sans hésiter, dévala la piste sans aucune difficulté, avec une maîtrise du ski évidente. Intrigué, et même, intéressé, je me hâtai de descendre à mon tour la piste, tâchant de na pas chuter. Lorsque j'arrivai en bas de la piste, la belle inconnu faisait la queue au téléski. Elle était vraiment magnifique, grande, fine, des cheveux d'un blond doré, et des yeux d'un bleu clair magnifique. Sa combinaison de ski moulait ses formes généreuses, notamment son imposante poitrine, et je me sentis fondre : c'était probablement l'une des filles les plus sexy que j'aie jamais rencontrées. En l'entendant parler avec ses amies, je compris qu'elle n'était pas française, mais étant mauvais en langues étrangères, je ne sus reconnaître la langue qu'elle utilisait. Était elle suédoise, finlandaise, norvégienne, ou danoise ? Je n'en savais rien, mais j'étais certain qu'elle venait d'Europe du Nord.
Ça ne m'arrangeait pas vraiment, car je ne savais parler que des langues d'Europe du Sud : espagnol portugais et italien (grâce à Francesca), mais ne parlais que très mal anglais, et ne parlais aucune autre langue. Je me demandais donc comment aborder cette magnifique créature, étant donné que je voyais mal comment lui parler. A défaut de discuter avec elle, je ne pouvais m'empêcher de l'observer, ne serait ce que pour apprécier sa beauté, ou son incroyable talent sur des skis. Je vis aussi bien vite que je n'étais pas évidemment le seul garçon à lorgner sur elle. Au cours de la demi-heure qu'elle passa sur la piste verte, elle fut abordée trois ou quatre fois, et c'est ainsi que je vis qu'elle ne parlait pas anglais, ce qui rendait très difficile toute tentative de séduction. Je commençais à désespérer qu'il se passe quoique ce soit entre elle et moi. Mais alors qu'elle se préparait à quitter la piste verte pour aller descendre des pistes plus difficiles et plus dignes de son talent, je vis qu'elle me jetait des coups d’œil appuyés et intéressés. Avant de partir, elle tapota même le coude d'une de ses amies en me désignant vaguement du doigt, et son amie me jeta un coup d’œil. Je n'étais pas sur de ce qu'il fallait en penser, mais j'avais l'espoir que tout cela voulait dire que j'avais tapé dans l'oeil de la belle blonde.
Décidé à ne pas lâcher l'affaire, je tâchai de la suivre sur la piste bleue, et pus y faire deux ou trois descentes sans trop tomber. Néanmoins la belle inconnue ne resta pas longtemps sur la piste bleue, et partit bientôt pour les rouges et noires ou je n'osais la suivre. Me casser la jambe ne m'aiderait pas à la séduire ! Dépité de ne pas avoir réussi à l'approcher, je rentrais au restaurant du midi, pour retrouver mes amis. Ils m'y rejoignirent, parlant avec animation, et le repas se passa dans les rires et les plaisanteries. Puis soudain, l'un de mes amis s'écria :
« Oh là là regardez moi cette bombe ! »
Je me retournai en même temps que le reste de mes amis, et je vis de qui il parlait : ma belle blonde venait d'entrer dans le restaurant avec ses amies. En me voyant elle m'adressa un sourire radieux qui eut le don d'emballer mon rythme cardiaque. Un murmure appréciateur parcourut mon groupe d'amis, et ils commencèrent à se disputer pour savoir à qui elle avait souri. Je ne participai pas à la querelle, mais sentais bien que c'était à moi qu'elle avait adressé ce beau sourire.
Revigoré par ce signe encourageant, je décidai de l'aborder dans l'après midi, coûte que coûte. J'osai même la suivre sur une piste rouge, dans l'espoir d'avoir l'occasion de lui parler. J'en eus l'occasion : en descendant la pente qui finissait en virage, je n’emmêlai les skis et chuta lourdement. Je grognai de douleur : je m'étais tordu la cheville. Alors que je tentais d'enlever mes skis pour examiner ma cheville, quelqu'un s'arrêta, et s'agenouillant vers moi, commença à m'aider. Je levai les yeux, et vis que c'était ma blonde. Elle me souriait doucement, et enlevai mon ski. Puis, elle me retira ma chaussure de ski, et se mit à me masser doucement la cheville. Je grognai de douleur pendant qu'elle m'examinait, mais priai pour qu'elle continue, tant j'aimais le contact de ses doigts blancs. Me désignant ma cheville, elle me fit signe que ça allait, puis elle m'aida à me relever. Me servant à nouveau l'un de ses éblouissants sourires, elle partit après que je l'ai remerciée par un signe de tête.
Le reste de l'après midi, j'étais partagé entre l'agacement de m'être « blessé » aussi stupidement, et la joie d'avoir eu un tel contact avec la blonde. Après un bref repos, je décidai de laisser tomber le ski et fis une petite randonnée avant de rentrer au restaurant prendre mon dîner. Comme tous les soirs, mes amis ne me rejoignirent pas, préférant la boîte de nuit de la station. J'étais un peu déprimé en pensant que la blonde préférerait sans doute la boîte de nuit elle aussi. Alors que j'avais commencé mon dîner depuis peu, je vis passer à l'extérieur du restaurant un groupe de filles : parmi elle ma blonde. Elle fit un signe d'au revoir à ses amies, et pour mon plus grand bonheur, elle rentra dans le restaurant. J'étais loin d'être au bout de mon bonheur cependant, car après avoir balayé la salle du regard, la belle vint s'asseoir… à ma table, juste en face de moi. Elle me fit un grand sourire, que je me hâtai de lui rendre. Elle commanda son repas en montrant au serveur ce qu'elle voulait sur le menu, puis reporta son attention sur moi, m'observant avec intensité et intérêt. Le silence régnait entre nous, et je ne savais pas du tout comment dialoguer avec cette belle étrangère. Le serveur lui apporta ce qu'elle avait commandé, et elle me tendit l'une des deux bouteilles de bière qu'elle avait prises. Je la pris en lui souriant pour la remercier. Le repas dura un peu moins d'une demi-heure, et se passa dans un silence total, ça me mettait mal à l'aise, mais elle semblait parfaitement se contenter de ce silence. Au milieu du repas, elle sembla avoir chaud, et ouvrit sa combinaison, révélant un débardeur blanc et léger, qui laissait voir de larges pans de son magnifique corps. Je ressentis un mélange d'excitation et de frustration mêlées : c'était tellement rageant d'avoir cette magnifique créature sous les yeux, de la sentir intéressée, et de ne pas pouvoir lui parler ! Elle nota visiblement mes coups d'oeil de plus en plus fréquents à son décolleté, et me fit un petit sourire, plus coquin que les précédents…
Je finis mon repas avant elle, mais ne put me résoudre à partir de table : je voulais rester le plus longtemps possible en sa compagnie, même si j'étais incapable de lui parler. Lorsqu'elle eut à son tour fini son repas, elle se rhabilla, se leva, et je ressentis un brin de désespoir en la voyant s'éloigner. Cependant elle s'arrêta, se retourna et me fit signe de la rejoindre, un sourire aux lèvres. Je bondis presque de ma chaise, et en un rien de temps, je fus auprès d'elle. Elle eut un petit sourire devant mon empressement et me prit la main et sortit du restaurant, moi sur ses talons. Je me demandais ou elle voulait m'emmener et espérai que ce n'était pas en boîte… Mais elle m'emmenait à l'écart de la station, vers les chalets. Lorsqu'elle s'approcha d'un petit chalet, et commença à le déverrouiller avec sa clé, je compris qu'elle m'amenait chez elle. Elle ouvrit la porte, et se retourna, me faisant signe d'entrer. J'hésitai un bref instant : je n'arrivai pas à croire ce qui m'arrivait, c'était bien la première fois qu'une fille me ramenait chez elle sans que je lui dise quoique ce soit !
Le chalet était plus petit que celui que j'occupais avec mes amis, la belle devait y vivre seule. L'intérieur semblait confortable, il n'y avait que trois pièces, un salon/cuisine une chambre et une salle de bains. Un feu de cheminée ronflait dans le salon, chauffant agréablement la pièce. Sitôt à l'intérieur, la belle blonde retira sa combinaison, ne portant plus que son léger débardeur blanc, ainsi qu'un sous-pantalon fin qu'on porte souvent sous les combinaisons de ski. Elle était ultra sexy dans cette tenue le débardeur laissait apprécier son corps de rêve, notamment son imposante poitrine, mais aussi sa beau finement bronzée sous le soleil de la montagne. Le pantalon moulait son magnifique postérieur, je pus notamment le voir lorsqu'elle ouvrit son frigo et se pencha pour regarder ce qu'il y avait dedans, se penchant assez bas... En la regardant ainsi, je sentis une brusque poussée de chaleur m'envahir. Je réalisai alors que j'étais toujours en combinaison, et entrepris de la retirer. Mais je me rappelai alors soudain qu'en dessous je ne portais qu'un t-shirt et pas de pantalon. L'idée de me retrouver à moitié en sous vêtement avec une inconnue me mettait un brin mal à l'aise, d'autant qu'elle verrait sans doute la bosse qui se formait doucement dans mon caleçon... La blonde avait refermé le frigo, et tenait deux bouteilles à la main. Elle vint vers moi et me tendit une bouteille que je pris, puis me fit signe de retirer ma combi. Je tâchai de lui faire comprendre que je n'étais pas beaucoup vêtu en dessous, mais soudain, elle m'attrapa par la combinaison me plaqua contre le mur, et me l'ouvrit d'un coup sec, me la retirant à moitié. Elle ne parut évidemment pas choquée le moins du monde en découvrant que je ne portai qu'un caleçon en dessous. Elle me fit un sourire coquin, et lentement porta sa bouteille à sa bouche, plaçant sensuellement le goulot entre ses lèvres. Je me sentis brûler de désir comme rarement dans ma vie, et j'eus envie de la saisir, mais déjà la belle s'était éloignée de moi, continuant de vider sa bouteille à grands traits.
Comprenant que désormais, toute gêne était inutile, je retirai complètement ma combinaison, tandis que la belle mettait de la musique. Elle se mit à danser langoureusement, bougeant son magnifique corps au rythme de la musique, dansant sensuellement lorsque la musique était lente, plus rapidement lorsque la musique s'accélérait. De temps à autre, elle buvait une longue gorgée dans sa bouteille, et tout en l'admirant, je faisais pareille (je me sens obligé de vous rappeler que l'abus d'alcool est dangereux pour la santé). L'alcool aidant, et malgré mon désamour pour la danse, je ne tardai pas à la rejoindre, et à danser avec elle, m'émerveillant une fois de plus du tournant pris par cette soirée. Nous passâmes un bon moment à nous trémousser sur des rythmes variés. Lorsque la musique était un slow, nous dansions légèrement enlacés, lorsqu'elle était plus rapide, nous nous agitions et j'admirai son corps en mouvement. Je me dis que finalement, elle et moi n'avions pas besoin de mot : le langage du corps, des regards échangés, des petits souries coquins suffisait amplement. Elle comme moi savions très bien comment la nuit allait se poursuivre…
Vint un moment où elle se mit à danser devant moi, me tournant le dos, bougeant son magnifique postérieur à quelques centimètres de moi. Elle me prit carrément les mains, et les posa sur ses hanches, et nous dansâmes ainsi, presque collés l'un à l'autre. Ses fesses effleurèrent plusieurs fois mon sexe, que mon caleçon peinait de plus en plus à contenir. Je finis par la coller carrément contre moi, savourant ce contact de nos corps, si délicieux, et lui faisant sentir à quel point elle me faisait bander. Elle colla encore plus fort ses fesses contre mon sexe, me faisant vibrer de plaisir. Je ne voulus pas être en reste, alors je saisis à pleine mains ses seins et me mis à les masser à travers son débardeur. Elle poussa un gémissement, et se frotta encore plus fort contre moi. Puis d'un coup, elle se dégagea, et alla éteindre la musique.
Pendant un temps, je craignis d'être allé trop loin, et de me faire jeter dehors. Mais lorsqu'elle se retourna un sourire coquin aux lèvres, une flamme brûlant sans ses beaux yeux bleus, je compris que j'avais fait tout ce qu'il fallait au contraire. Nous restâmes un moment à nous regarder intensément, puis soudain, elle se précipita sur moi, et me sauta dessus. J'eus à peine le temps de l'attraper par les fesses pour la porter. Nous partageâmes notre premier et ô combien délicieux baiser, elle avait enroulé ses bras autour de mon cou, et ses jambes autour de mes hanches. Moi je la tenais par les fesses, et en profitais pour les masser à fond, tout en l'embrassant avec passion. Je finis par la jeter sur le canapé. Elle s'y étala de tout son long, un sourire ravi aux lèvres. Alors que je m'approchai pour la rejoindre, elle m'arrêta. Elle me retira mon caleçon en me regardant droit dans les yeux, puis lentement, approcha sa bouche de mon sexe et presque délicatement, elle me le goba. Elle se mit à faire des va-et-vient avec sa bouche, d'abord doucement, me regardant droit dans les yeux, guettant mes réactions à chacun de ses mouvements de lèvres ou de langue. Puis, elle se mit à accélérer progressivement guettant toujours mes réactions, se délectant de me voir grimacer de plaisir sous l'effet de sa pipe. Elle sortit sa langue, et me lécha consciencieusement le sexe, s'attardant sur le gland, et je dus retenir à grande peine un cri de plaisir. Lorsqu'elle me reprit le sexe en bouche, et se mit à accélérer brutalement le rythme de sa pipe, je ne pus me retenir : je poussai un grand cri de plaisir, et ma belle eut un gémissement de satisfaction en m'entendant crier. Elle accéléra encore le rythme, jusqu'à ce que je mette à chanceler sur mes genoux. Alors, la belle interrompit sa fellation, avant de me faire jouir. Je décidai qu'il était temps de lui rendre la pareille.
Je la plaquai contre le dossier du canapé, et je lui retirai son pantalon. Puis, m'agenouillant, je lui retirai son shorty, pour ensuite lui faire un délicieux cuni. Je fis tourbillonner ma langue sur son intimité, et lui embrassais férocement, me délectant de l'entendre gémir en retour. Elle serra ma tête avec ses cuisses, et se mit à me tenir par les cheveux, dirigeant le rythme du cuni. Je me débattis un peu, car je n'étais pas disposé à me laisser diriger de la sorte, mais elle me maintint ainsi, la tête coincée entre ses cuisses, en son pouvoir. Avec sa ma main sur ma tête, me tirant les cheveux, c'est elle qui décidait du rythme et de l'intensité du cuni, ainsi de quand je pouvais reprendre mon souffle. Je compris alors que j'avais affaire à une dominante et qu'il me faudrait agir en conséquence… Lorsqu'elle s'estima satisfaite, elle me libéra, et je décidai qu'il était temps pour elle d'être complètement nue. Je lui retirai son débardeur, puis son soutif, dévoilant enfin ses énormes seins que je pus admirer dans toute leur splendeur.
Je forçai la belle nordique à s'allonger sur le canapé, et insérai ma bite entre ses merveilleux seins. Je commençai alors l'une des plus merveilleuses branlettes espagnoles de ma vie. Je tenais ses deux seins entre mes mains, et faisais des va-et-viens dedans, gémissant de plaisir. Mon amante me regardait droit dans les yeux, frémissant à chacun de mes allers-retours. De temps à autre elle relevait un peu la tête, et léchait le haut de mon sexe qui ressortait d'entre ses seins, me faisant trembler littéralement.
Les préliminaires étaient tellement bons que je craignais de jouir avant d'avoir pu prendre la belle inconnue. Aussi, je décidai d'y mettre fin. Je retirai mon t-shirt, dévoilant mon torse, et la belle caressa mes muscles dans un geste appréciateur. Souriant, je la pénétrai d'un coup sec, lui arrachant un gémissement. Je voulus la prendre en missionnaire, mais elle enroula ses jambes autour de ma taille, et me fit tomber sur le sol de son chalet. Elle se retrouva donc au dessus de moi, et un sourire satisfait aux lèvres, c'est elle qui entreprit de faire des va-et-vient, me baisant sur un rythme élevé, ses énormes seins s'agitant sous mon nez. Avant d'être paralysé par le plaisir et de ne plus pouvoir rien faire, je la renversai, et la plaquai au sol. Je me mis à lui donner de gros coups de reins, ce qui lui arracha un cri de plaisir, mais elle aussi n'était pas disposée à se laisser faire. Je n'eus que le temps de lui donner deux ou trois coups de reins, et après, elle enroula sa jambe autour de ma taille, et tenta de me renverser. Elle n'y parvint qu'à moitié, je restai assis, et elle dut se contenter de me baiser en lotus plutôt qu'en andromaque. Assise sur moi, les jambes enroulées autour de ma taille, et les bras agrippant mon cou, elle se déhanchait magnifiquement, me faisant tourner la tête. Je la tenais par les hanches, et participais au mouvement, donnant moi aussi des coups de reins. En réaction, la belle se mit à accélérer la cadence de ses assauts, me regardant droit dans les yeux en signe de défi. Le plaisir était tel que je ne parvenais plus à donner des coups de reins. Je ne connaissais qu'une seule fille aussi douée dans cette position : Katherine. La comparaison avait de quoi faire réfléchir : si je ne me bougeais pas maintenant, j'allais être totalement dominé par cette bombe blonde. Je la saisis donc par les hanches, et la soulevant, l'étalai une nouvelle fois sur le canapé.
Je pris ses jambes, et les mis sur mes épaules. Puis, je me mis à la baiser sauvagement en enclume,la limant à un rythme très élevé, cognant le fond son intimité à chaque coup. Elle se mit à gémir très fort, et fier de moi, je me mis à accélérer comme un dément, la culbutant sauvagement, me délectant de voir ses énormes seins rebondir à chacun de mes coups de butoir. Tout en la baisant sauvagement, je l'embrassai fougueusement m'émerveillant devant la douceur de ses lèvres. Tirant sur ses jambes, qui étaient sur mes épaules, la belle nordique m'attira contre elle, jusqu'à m'écraser contre elle. Mon torse se pressait contre sa volumineuse poitrine, et ce contact me rendait fou. D'une claque dans les fesses m'incita à la baiser encore plus fort. Je m'exécutai aussitôt, et me mis à la baiser si fort, que le canapé en vacilla. Elle enroula alors ses jambes autour de ma taille, et je n'eus plus d'élans, et ne parvint plus à la baiser aussi fort. Je fis des mouvements circulaires avec mon bassin, lui labourant l'intimité, lui arrachant des gémissements encore plus forts.
Elle plia encore plus ses jambes et se recroquevillant totalement, elle mit ses pieds sur ma poitrine et me poussa d'un coup sec, m'envoyant m'étaler sur le sol. Pour lui apprendre les bonnes manières, je me relevai, la saisis, et la fis se mettre à quatre pattes sur le sol. Je la tins fermement par les hanches, et me mis à la pilonner violemment en levrette, me transformant en véritable marteau piqueur qui n'avait plus qu'un seul but : limer cette belle blonde encore et encore. Je lui claquais les fesses, lui tirais les cheveux, me penchait pour masser ses merveilleux seins. Elle gémissait à fond, et donnait des coups de rein elle aussi, dandinant ses merveilleuses fesses, histoire de participer. Elle me faisait frémir ainsi, mais je ne voulais pas qu'elle ait un minimum de contrôle sur ce qu'il se passait, aussi, je redoublais d'effort et tâchais d'aller plus vite et fort en elle, tout en essayant de diminuer la vitesse de ses assauts. Alors, elle se redressa et se mit à genoux. Elle m'attrapa par la nuque, et me colla le torse contre son dos, puis se mit à se déhancher comme une sauvage, son cul cognant mon bas ventre, me faisant fondre littéralement de plaisir. Elle accentua ses coups de rein, tout en me poussant de plus en plus. Au début, elle était à genoux penchée, moi collé à elle dans son dos, légèrement penché par dessus elle, mais elle me poussait progressivement vers l'arrière, et ainsi, elle finit par être à genoux bien droite devant moi. Elle me tenait par le bas du dos, et secouait son fessier magnifiquement, me donnant de superbes coups de reins, me faisant vibrer de plaisir. Elle avait beau être prise par derrière, c'était elle qui menait la danse. J'aurais voulu réagir, donner des coups de reins, mais le plaisir qu'elle m'infligeait me paralysait littéralement, si bien que je ne pouvais que lui embrasser la nuque et lui masser les seins, ce dont je ne me privais pas ! Cependant, elle continuait de me pousser en arrière tout en me baisant, et je compris qu'elle avait l'intention de m'allonger sur le dos et de me chevaucher. Décidé à ne pas me laisser faire, je résistai à sa poussée, et la saisissant par la nuque, je la forçai à se remettre à quatre pattes. Elle tenta de me résister, mais usant de ma force, je parvins à la contraindre. Je me remis à la pilonner comme jamais, culbutant à nouveau le fond de son intimité, me délectant de l'entendre gémir. Décidé à pousser le bouchon, je saisis à pleines mains ses longs cheveux dorés, et les tirait, la faisant gémir de plaisir. Elle s'allongea par terre, sur le ventre, et la suivant, je me penchai plus bas, tout en continuant de la mitrailler de coups de reins. Mais soudain, elle se retourna, et me renversa sur le dos, s'installant sur moi.
A califourchon sur moi, elle s'empala sur mon sexe. Allongé de dos sur le sol, je compris que j'allais vivre un grand moment. Et je ne fus pas déçu. La belle se mit à faire des va-et-vient terribles sur mon sexe, bougeant d'avant en arrière à un rythme très élevé, me baisant sauvagement sans répit. Ses énormes seins se secouaient au rythme de ses assauts, m'hypnotisant à moitié. Je tâchai de participer, en tenant ses hanches et l'aidant dans ses mouvements, mais elle allait à un tel rythme que je n'avais pas grand-chose à faire. De temps à autres, elle arrêtait d'aller d'avant en arrière pour sauter sur mon sexe comme une dans un rodéo. Son visage rougi par l'effort était décomposé par le plaisir, et elle gémissait à pleine voix. Elle me regardait droit dans les yeux, comme pour me défier, à moins que ce ne soit pour pour m'observer exprimer le plaisir qu'elle me procurait. Il faut dire, que mes gémissements ne tardèrent pas à se joindre aux siens, de même que mes grimaces de plaisir. Lorsqu'elle accéléra encore le rythme de sa chevauchée, je poussai un cri, et incapable de bouger, je lâchai ses hanches, la laissant seule diriger les opérations. Alors, elle se retourna, et me tourna le dos. Elle se remit à se déhancher, secouant son postérieur devant moi, vision qui me rendit fou. Curieusement, voir ce magnifique postérieur se secouer devant moi ne me donna qu'une envie : reprendre le dessus, et baiser sauvagement sa propriétaire.
Dans un sursaut, je me redressai et la saisissant par les hanches, je la renversai. Je l'allongeai sur le côté, et vins me mettre derrière elle, me collant à son corps de déesse scandinave. Je pris ses seins à pleines mains (j'avais beau avoir de grandes mains, je ne parvenais pas à les tenir en entiers), et me mis à la limer très fort. Elle se mit à gémir, tandis que je lui embrassai la nuque, tout en frémissant de plaisir au rythme de mes propres assauts. Je sentais l'orgasme proche, et je pensais pouvoir finir ainsi, mais j'avais affaire à une vraie tigresse, elle désirait finir elle même. Elle enroula une jambe autour de ma taille, et me força à m'allonger sur le dos. Elle s'installa sur moi, et s'empala à nouveau sur mon sexe, en poussant un petit gémissement.
Je me redressai, et me mis à dévorer ses seins avec passion et avidité, et elle me tint la tête dans sa poitrine, gémissant doucement. Puis, me tenant par les épaules, elle m'étala contre le sol, et se remit à me chevaucher, comme si elle n'avait jamais été interrompue. Elle se mit à gémir doucement, tandis que je lui massais les seins me demandant si ils n'étaient pas les plus beaux que je n'avais jamais vus. Elle me fit un léger sourire, comme si elle lisait dans mes pensées, et savait ce que je me demandais, et accéléra légèrement le tempo de ses assauts, son sourire disparaissant tant le plaisir qu'elle avait à se secouer sur mon sexe était grand. Décidé à la provoquer, je lui claquai les fesses, et elle poussa un petit cri de plaisir, avant de répliquer par une gifle qui me fit frissonner d'excitation. Elle accéléra encore le rythme de ses va-et-vient, devenant plus sauvage de seconde en seconde, me donnant des coups de reins plus forts et secs, me griffant le torse, et me giflant de temps en temps. Elle respirait de plus en plus fort, et ses gémissements étaient de plus en plus aigus, et je la sentais trembler de plus en plus fort à chacun de ses allers-retours. Le plaisir qu'elle m'infligeait était tout simplement énorme, je vivais l'une des meilleures chevauchées de ma vie. La baise devenait très intense, je vis que la belle blonde semblait perdre ses esprits, et devenir une bête sauvage affamée de sexe. Elle se déhanchait, me culbutait, bondissait sur mon sexe aussi vite et fort qu'elle pouvait, criant à chaque fois. En proie à un immense plaisir, elle mit ses mains derrière sa tête, et se mit à soulever son corps vers le haut, ondulant du bassin magnifiquement. Fasciné, j'observai son corps d'asgardienne tendu par l'effort qu'elle faisait pour me baiser dans cette position. Elle resta ainsi quelques minutes avant de se pencher à nouveau sur moi, remettant ses mains sur mon torse qu'elle palpait et griffait. Elle reprit ses va-et-vient mais plus rapidement que jamais, et en la regardant dans les yeux, je compris que c'était l'assaut final… L'orgasme était imminent pour elle, et moi même, je n'en n'avais plus pour très longtemps. Le plaisir montait comme une vague irrépressible, et j'avais de plus en plus de mal à le contenir. La belle me culbutait avec tant de vigueur, qu'elle me faisait glisser sur le sol, et je m'agrippai à ses hanches, comme de peur qu'elle m'expédie au loin. Je voulus en profiter pour l'aider un peu à nous faire atteindre l'orgasme, mais aussitôt, elle me saisit les poignets, et me les tins plaqués contre le torse. Le message était clair, c'était elle la patronne et elle seule. Elle contracta son vagin, enserrant mon sexe délicieusement, et se mit à sauter dessus ainsi, déclenchant en nous deux un véritable tsunami de plaisir. Je fus tout simplement incapable de me contenir, et explosai dans un délicieux orgasme en même temps qu'elle.
Littéralement épuisés, nous nous effondrâmes sur le sol, haletants, transpirants, sonnés, mais tellement comblés. Elle vint se pelotonner contre moi, et m'embrassa le cou. Je lui fis une bise en réponse, et ne tardai pas à sombrer dans le sommeil, tant j'étais épuisé, et tant la moquette de son chalet était confortable, surtout avec ce feu de cheminée à côté. Lorsque je me réveillai le lendemain matin, la belle avait disparu, et j'aurais cru avoir rêvé, si je ne m'étais pas réveillé nu dans un chalet inconnu. Je me rhabillai, et quittai le chalet, non sans me demander si je reverrais un jour ma belle inconnue, qui, à n'en pas douter, m'avait offert l'une des meilleures nuits de ma vie.
Voilà, cette histoire est terminée, j'espère que vous l'avez appréciée, si c'est le cas n'hésitez pas à laisser un commentaire pour le dire, ça me fait toujours plaisir ! Je vous encourage aussi à donner votre avis sur les personnages, l'action, ou le scénario, ça m'est toujours utile ! Si cette histoire vous a rappelé une anecdote personnelle et que vous avez envie de la partager avec les autres, je vous en prie, n'hésitez pas ! Par ailleurs, si vous avez des questions à me poser, envie de me parler d'une histoire ou d'un personnage ou tout simplement du temps qu'il fait, mon adresse mail est là pour ça !
Si tout se passe bien, on se retrouve très vite pour la prochaine histoire qui sera « Léa 3 ». Cela fait un moment que je n'ai pas fait de vote, alors à la fin du prochain récit, vous aurez un vote à faire, que l'on n'oublie pas que c'est une démocratie ici :)
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci à tous pour ces commentaires très sympa.
Hâakon et Chris : en fait cette histoire était censée être courte au début, mais je n'ai pas réussi à la réduire, mais voilà pourquoi elle ne comporte qu'un seul acte Hâakon.
Et pour répondre à la question, oui bien sur que l'on reverra Laura et Noémie, je compte écrire des histoires sur elles dans environ 4 récits.
Hâakon et Chris : en fait cette histoire était censée être courte au début, mais je n'ai pas réussi à la réduire, mais voilà pourquoi elle ne comporte qu'un seul acte Hâakon.
Et pour répondre à la question, oui bien sur que l'on reverra Laura et Noémie, je compte écrire des histoires sur elles dans environ 4 récits.
Salut DXD, j'ai apprécié ton texte qui aurait eu 4 cœurs mais que comme je te l'ai dit est un peu long à lire et j'ai failli décrocher mais bien sur c'est ton choix et je le respecte.
Tu as vu le premium saqueur à encore eu la gentillesse de me mettre un seul cœur pour mon texte Chantier chapitre 45 sans commentaire mais il faut passer outre si l’anonymat est sa marque de fabrique, pour vivre heureux vivons caché si c'est comme cela qu'il fonctionne.
Tu as vu le premium saqueur à encore eu la gentillesse de me mettre un seul cœur pour mon texte Chantier chapitre 45 sans commentaire mais il faut passer outre si l’anonymat est sa marque de fabrique, pour vivre heureux vivons caché si c'est comme cela qu'il fonctionne.
Histoire tres exitante
Superbe!
Excellent de bout en bout. Néanmoins j'aurais plus apprécié une évolution plus marqué comme avec tes autres histoires, j'ai l'impression d'un seul acte (au sens littéraire) alors que d'autres récits structurés différemment offrait un mailleur plaisir de lecture, ensuite c'est une impression. Pour changer de sujet est ce qu'on reverra Laura et Noémie ?