La belle Sandra
Récit érotique écrit par MrPostal [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-09-2007 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La belle Sandra
La belle Sandra #1
Aujourd’hui…
Comme chaque jour, comme chaque matin, je me rendais dans mon établissement scolaire, de façon interminable et pénible, à étudier sur des sujets les plus inintéressant, les uns comme les autres, une vie totalement sans intérêt et banal, mais il arrive que parfois tout change, et devienne même effrayant, c’est ce qui nous fais devenir un homme tôt ou tard.
Je m’appelle Kévin, je suis étudiant dans une petite école, dans une ville pollué et sans aucune lumière, une ville nommée Rouen, remplis de jeunes tout aussi paumé que moi, mais, contrairement à ce que vous pourrez pensés, pendant bien des années je me suis toujours sentis sur le plan psychique et intellectuelle supérieurement au dessus des autres jeunes hommes de mon age, ce n’est pas un sentiment de supériorité, car…
Les autres sont réellement très cons…
Mes notes été correct, ni plus ni moins, un caractère discret en classe, je ne me fais pratiquement jamais remarquer par les professeurs.
Au niveau sentimental, je n’ai jamais été un fringuant séducteur de dame, les filles ne s’intéressaient pas à moi, et préférée les autres ‘mauvais élèves’ de la classe, ceux qui ce permettaient de les traiter comme de la viande, presque comme du bétail, moi, je rester dans mon coin, je ne cherchais pas vraiment à me faire beaucoup d’ami, je connaissais seulement une personne, un ami depuis toujours, Mathieu, le seul en qui j’ai vraiment confiance.
Pour me rendre à l’école il me fallait prendre le métro, 45 minutes à aller, 45 le retour, chaque matins, chaque soir, pour rentrer et retourner de chez moi (sans compté les 20 minutes de marche…), mais même dans des métros miteux et pourris par la rouille, il ce peut qu’un rayon de soleil passe et nous rendent heureux.
Elle était incroyablement belle et sexy, merveilleusement bien conservée pour son age (qui était de 47 ans), des yeux de biches, bleuté, des cheveux soyeux, une bouche pulpeuse et une poitrine ferme, ni trop volumineux, ni trop petit. Bien que magnifiquement belle, je sentais une certaine tristesse dans son regard, des cernes entourait aussi ses si beaux yeux bleue, ça me faisais de la peine de la voir comme cela ..
Elle ne devait pas avoir une vie très épanouie, d’après moi...
Je ne pouvais pas croire qu’une femme aussi exceptionnelle quelle puisse être aussi malheureuse.
Elle commencée et finissait sa journée exactement à la même heure que moi. Mais jamais elle ne me remarquait dans le métro, comme à chaque fois...
Pourtant bien des fois j'essayais, en vint, plusieurs petites sournoiserie pour qu'elle me remarque, mais sans effet, même si je n’y croyais pas vraiment.
Bien entendu elle été mariée, une des choses que j’ai remarquais, au moment où me vinrent l'idée stupide de faire semblant de tomber sur elle, suite aux "turbulences" du métro, pour qu'un simple regard ce croise...
Ou un début de conversation, pourquoi pas. Au moins un regard…
Juste au moment où je m'apprêtais à mettre en marche cette idée particulièrement stupide, mes yeux ce sont dirigés sur ses mains fines et douces, et en voyant la magnifique bague ornée de diamant, j'ai très vite compris qu'elle n'était pas marié à un pauvre type qui ne subvenez pas à ses besoins.
Bien que cette décevante nouvelle ma mis un coup sur le moral, je ne pouvais m'empêcher de m'asseoir tout les jours devant elle dans le métro. En la regardant de haut en bas, sans jamais m’arrêter.
En sortant un livre, je faisait honteusement semblant de feuilleté mon bouquin (il met même arriver de le lire à l’envers sans m’en rendre compte…), mais mon regard ce diriger toujours sur ses jambes si tendre, je sentis mon sexe monter en érection et je me mit à rougir instantanément dès qu’elle croisa ses jambes assis à sa place, je craquer à chaque fois...
Le fait d'être crispé, de rougir et de croiser moi aussi mes jambes, l’étonna et la fit sourire, puis elle me demanda soucieuse:
- Il y a quelque chose qui ne va pas ?
(Quelle belle voix avait-elle…)
- Non, non madame, je me sens un peu fiévreux, c'est tout !
- Je vois... C'est vrai que tu à l'air de ne pas aller bien, tu es tout rouge !
Soudain elle ce leva puis s'assois à coter de moi, j'ai l'impression de rêver ! Cette femme ce préoccuper de moi !
Elle mit sa main sur mon front, j'étais brûlant, facile à comprendre, vu à quel point j'étais surexcitais, puis elle s'exclama:
- Ah oui, mais tu as de la fièvre mon poussin ! Veux tu que je te donne un médicament pour soigner tout ça ? J’ai tout ce qu’il me faut dans mon sac.
J'étais obliger d'accepter, elle m'aurait donner un poison ou même n'importe quoi, je l'aurais avaler réfléchir !
- Voilà, à partir de maintenant, ça va aller mieux demain
- Merci… Beaucoup Madame...
- De rien… Dis moi comment t'appelle tu mon poussin ?
- Kévin, madame…
- Et bien Kévin, moi c'est Sandra, appelle moi par mon prénom maintenant, ce sera mieux.
- D'accord Mada... Euh Sandra...
- Voilà qui est parfait.
J'étais sur un petit nuage, je connaissais enfin sont prénom après tout ces mois passer à la contempler chaque jours de l'année, sans rien connaître d’elle.
- Ecoute, j'ai vu qu'il pleuvait des cordes dehors, veux tu que je te raccompagne chez toi avec ma voiture qui est devant chez moi ? Je sais le chemin que tu prends, nous prenons tout les jours le même trajet.
Au final… Elle m’avait remarqué en faite, chaque jour…
- Et bien euh...
- Tu as peur de moi Kévin ?
- Non, non, c'est juste que... Je ne veux pas vous ennuyez…
- Allons, allons, c'est de ma responsabilité, maintenant que je te connais, tu vas attraper une sacré pneumonie si tu fais le chemin jusqu'à chez toi à pied, en plus avec cette fièvre !
C'est sur… Que je rêve, j'aller voir l'endroit où elle habitait, mon érection monter en flèche tellement certaines petites idées coquine me vinrent à l’esprit !
Après plusieurs minutes et quelques stations plus tard…
Le métro s'arrêta, et le conducteur annonça "Gare Rue Verte", enfin à destination !
- Nous y voilà, attend que je sorte mon parapluie... Ah le voilà, viens te mettre prêt de moi, il ne faudrait pas que tu te mouille.
C'étais un moment magique, que dire de plus, j'étais à quelque centimètre d'elle, elle me posait toute un tas de questions sur ma vie, sur mes études, mes loisirs, puis soudain, LA phrase:
- Dit moi, elle doit être contente ta petite amie, tu es si trognon…
- Euh... Je n'ai pas de petite amie...
- Ah bon ! Tu es pourtant un garçon mignon comme tout, ça m'étonne !
Le fait qu'elle met posée cette question me troubla.
Puis ce fut la chute malencontreusement, je trébuche et tombe dans une flaque d'eau, tout le bas de mon jean été mouillé.
C’étais parfais ça ! Je ne vais pas entrer dans sa voiture comme ça maintenant, que vais-je faire ? J’ai commencé à me sentir honteux et surtout triste.
- Mon pauvre poussin ! Tu ne t'ai pas fais mal ?
- Non, non... Ca va...
- Mais tu es tout trempé ! Tu vas passer rapidement chez moi pour laisser sécher ton pantalon, je te prêterais un pantalon de mon mari, vous faites la même taille.
- Mais...
- Il n'est pas là avant la fin de la semaine ne tant fait pas, tu me le rendras un peu plus tard, ah mon dieu, moi et mes questions, regarde le résultat *rire*.
Elle ma invité chez elle ! Tellement de choses ce sont produite en une seule journée…
Bon peut être parce qu'elle ce sentait un peu coupable et qu’elle soit un petit peu obliger de m’héberger le temps de changer de pantalon, mais c'était un bon début tout ça !
Nous étions arrivé chez elle, je voyais déjà de l'extérieur que sont appartement été de grande classe. Nous prenions l'ascenseur, elle habitait au dernier étage, très luxueux, pendant la monté des étages, elle ne cessa me regarder avec des petits sourires moqueurs et coquins, j'avais tellement envie de la prendre dans mes brasn la tout de suite, elle été si mignonne, si …. C'était dur de me contrôler...
- Voilà, c'est chez moi ! Comment trouves tu ?
- C'est très beau, un magnifique appartement.
- Merci… Mon mari ce donne beaucoup de mal pour "compenser" en achetant des objets de valeurs, en faite c’est plutôt petit comme appartement.
(Compenser ? Pensais-je dans ma tête)
Enlève ton jean, je vais te chercher un pantalon
- Euh... D'accord.
J'essayer de retirer, difficilement, mon pantalon.
Comme je prenais mes jeans sérés (ne portant pas de ceinture…) en forçant pour le faire descendre, mon boxer laisser dépasser mon gland.
- Je t'ai trouvé un panta.... Ohh excuse moi ! Je me retourne le temps que tu te déshabilles et que tu mettes le pantalon. Mon dieu… Tu n'es plus du tout un enfant...
Cette phrase ma émoustiller, ma libérer, je me suis rapprocher d'elle encore en boxer, en érection, j'étais derrière elle, puis je l’ai pris dans mes bras en frottant mon sexe sur sa jambe, en gémissant.
- Non, tu ne peux pas...
- Sandra... Je n'en peux plus... Cela fait des mois que je te regarde dans le métro, à me masturber le soir en pensant à toi...
- Je ne savais pas que je te faisais autant d'effet mon poussin, mais ce n'est pas bien j'ai plus du double de ton age ! Je pourrais être ta mère !
- S'il te plait, je deviens dingue à force ! Tu m’excites terriblement... Je ne veux plus souffrir autant !
- ...
- Pitié Sandra.... Pitié...
Je pleurer en la serrant tendrement, mais fermement dans mes bras, je ne voulais pas la lâcher, je n'ai jamais autant pleurniché de ma vie !
- Allons Kévin, ne pleure pas mon bébé...
Elle ce retourna puis m'embrassa tendrement en me câlinant dans ses bras. Elle été douce et si gentille avec moi…
J'étais l'homme le plus heureux du monde.
- Je t'aime Sandra...
- Voyons mon poussin, ne dit pas ça, on ne ce connaît même pas
- Tu ne peux pas savoir tout ce que j'imaginais faire avec toi, je suis tomber fou amoureux de toi dès que je t'ai vu la première fois dans le métro…
- Ne tant fais pas mon bébé, je vais bien m'occuper de toi...
Elle sécha mes larmes, et continua à m’embrasser tendrement, elle glissa délicatement sa langue entre mes lèvres, nous nous sommes échangé un fougueux baisé pendant de très longue minutes, les plus belle de ma vie.
Elle commença à me baisser mon boxer, ce qui fit dégager mon sexe qui ne pouvait plus respirait depuis plus d’une heure.
- Oh comme c'est mignon, tu es vraiment excitait à ce que je vois ! Je n’en reviens pas que c’est moi qui t’ai mit dans cet état !
Elle le prit en main, et commença une lente et douce masturbation, en continuant à m'embrasser.
- Que… C’est bon Sandra…
- Tu aimes ?
- Oui… J’aime tant ça…
Elle s’y prenait avec tant de douceur, que je pouvais m’empêcher de gémir de plaisir dès les premiers mouvements de va-et-vient.
- S'il te plait Sandra, suce moi s'il te plait, j'en ai tellement envie...
- D’accord mon poussin…
Elle s'abaissa, et goba mon sexe brûlant dans sa magnifique, et tendre bouche, elle le sucer, le lécher, le caresser, en me susurrant des mots doux. Je gémissais beaucoup, puis n'en pouvant plus :
- Sandra, je… Je vais jouir !!!
- Viens dans ma bouche mon bébé, fais toi plaisir...
J’ai pris sa tête entre mes mains et j’ai sérés jusqu’au fond de sa gorge. Cela ne la pas gêner, elle apprécier le fait qu’elle me donne autant de plaisir.
Un long jet de sperme sortit de mon sexe, Sandra s'empressa d'avaler toute ma semence, en ce léchant les babines, une scène particulièrement excitante...
- Voilà Kévin, ça ta fais du bien ?
- Oh oui Sandra, beaucoup de bien...
Je commencé déjà à rebandé dès que Sandra mit sa langue dans ma bouche.
- Dis donc tu reviens vite à la charge ! Plus vite que mon mari en tout cas.
- Tu es tellement belle et excitante...
- Tu es mignon tout plein... Hmm… Plus long et plus gros aussi….
- Je veux te faire l'amour...
- D'accord mon poussin, viens… Allons dans ma chambre
Je l’ai pris dans mes bras dans le lit conjugale en l'embrassant pendant de très longue minute, je descendait lentement, pour prendre ses deux magnifiques seins dans ma bouche, je la tétais avec tellement d'amour quelle s'exclama:
- Oh ! Oui c'est bon mon bébé continue de me lécher, j’aime énormément...
Au fur et à mesure je descendit de plus en plus bas, j'embrassais fougueusement sont nombril, ses hanches, puis jusqu'à arriver à son magnifique sexe, un véritable joyaux brillant, dégoulinant d'un liquide sucré, que je m'empressais de lapais, de lécher, et de sucer avec amour… Quelle merveille de la nature que d’avaler ce nectar...
- Oh, oh… Oui ! Continue ! C'est merveilleux mon poussin ! Continue ! Continue encore !
J'y mettais de l'amour et de la tendresse, j’aimé lui procurer tant de plaisir avec ma langue et ma bouche, de lui offrir autant d'amour de ma part.
- C'est si bon de te sentir Sandra...
- Continue, je sens que ça vient...
Après avoir mit toute mes forces (Je ne sentais plus ma langue à force) à lui donner du plaisir elle prit ma tête et me plaqua contre son sexe, en ce tordant comme un Arc. Elle soupira de plaisir en s’écroulant sur le lit et me dit:
- Merci… Mon bébé, tu viens de m'offrir un magnifique orgasme, que je n'avais pas eu depuis bien des années, pour te dire franchement mon mari n’à jamais pus.
Je la pris dans mes bras en la serrant très fort en me frottant contre elle, elle remarqua:
- Oh mais je l'ai oublier celui là ! Aller viens, prend moi mon ange... Tu la bien mérité maintenant.
Elle prit mon sexe et me montra la direction de son vagin, je n'en pouvais plus, je l’ai pris sauvagement, mais amoureusement en l'embrassant et en la câlinant de toute mes forces.
Je ne voulais arrêter ça pour rien au monde. C’était magnifique.
Après plusieurs minutes, je n'en pouvant plus de ces mouvements répéter, de plaisir insurmontable.
- Sandra, je n'en peux plus je viens !!!
- Oh oui ! Jouit en moi mon poussin ! Envoie moi tout !
- Ahhhhh....!
J'ai jouis dans son doux et fabuleux vagin. J’étais sur un petit nuage, dans un autre monde, jamais je n’ai été aussi heureux de ma vie.
Puis à cause de la fatigue, n'en pouvant plus, je me suis endormis dans ces bras.
- Repose toi mon petit chérie, tu en as besoin
- Je t’aime ma Sandra…
- Moi aussi mon bébé. Moi aussi…
Je dormis une bonne heure, puis pour me réveiller elle m'embrassa avec une telle tendresse que j'étais tout retourné sur le coup, que c’était bon ce faire réveiller de cette façon.
- Réveille toi mon bébé, il est 20h.
J’ai bondis hors du lit, ma mère va s'inquiéter ! Elle rentrer du boulot à 19h30.
- Ecoute, si tu veux tu peux dormir avec moi cette nuit, je risque de me sentir bien seul sans toi...
J'étais fou d'elle, j'ai faillis tomber dans les pommes, de bonheur tellement j'ai apprécié qu'elle me dise ça.
Je me suis collé contre elle en lui chuchotant :
- Bien sur que je resterais avec toi ma Sandra, mais peux tu s'il te plait me laisser passer un coup de fil ?
- Bien sur mon ange, le téléphone est la bas.
J’ai pris le téléphone pour appeler chez moi.
- Oui allô ?
- M'man ? C'est Ké....
- Kévin ! Je me suis inquiétée où tu étais passer ?
- Je suis chez Math il ma invité à dormir
- Ah d'accord ! Mais tu aurais pus me prévenir !
(Soudain, Sandra ce colla derrière moi et commença à me caresser les fesses et le sexe)
- Euhhh... Ca ne te dérange pas ?
(Sandra commença à me masturber)
- Non, non mais bon fais attention quand tu rentreras demain, il a plut beaucoup.
- Oh... Oui, oui ! M'man.
- Qu'est-ce qui t’arrives Kévin ?
(Sandra glissa un doigt, délicatement entre mes fesses)
- Rien, rien juste que j'ai un peu mal au crâne, Matt à des Aspégics, ne tant fait pas, j’ai tout ce qu’il faut.
- Ok, mais fais attention hein !
- Oui, oui, bisous
- Bisous et bonne nuit
À peine raccrocher Sandra me prit la bouche.
- Mmmhh... Kévin, ça te fais du bien ce que je te fais ?
- C'est gênant... Mais oui ça me fait du bien
- Je vais m'arrêter là on feras quelques fantaisies plus tard si tu veux bien, j'ai préparé à manger
Nous nous asseyons côte à côte, je dévore avec gourmandise le magnifique repas qu'elle m'a préparait, en lui complimentant sur sa beauté tout au long du repas, je pourrais faire ça toute la nuit durant avec elle. C’était la première fois que j'avale si vite un plat.
- Et ben, tu avais faim mon chou !
- Oh que oui, tu cuisines merveilleusement bien !
- Merci... Tu veux que l'on ce fasse un petit câlin dans le lit avant de commencé nos petites fantaisies...
- Mmmh oui Sandra...
On ce prit l'un l'autre dans les bras dans le lit en s'embrassant fougueusement et tendrement, de longue et douce caressent ce font, nous étions tout les deux parfaitement en symbiose.
Puis, elle commença à me caresser l'anus, à le tripoter.
- Sandra...
- Laisse moi faire, tu vas voir à quel point c'est bon...
- Oh oui... C'est si bon, c'est quelque chose de si bon... Masturbe moi lentement en même temps s'il te plait...
- Comme tu voudras mon bébé.
Elle prit mon sexe tendu dans sa main gauche et entama un va-et-vient.
- Je suis si heureux avec toi
- Moi aussi, tu aimes ça hein ?
- Oh que oui... Ca me fait tellement de bien...
- Très bien... Est-ce que tu pourrais me faire une petite faveur ?
- Tout ce que tu voudras
- Ca faisait tellement longtemps. Hum… Que l'on ne ma pas prise par derrière et ça me manque terriblement, ça fais si longtemps que l’on ne sait pas occuper de moi...
(Ça ma étonné, pas le faite qu'elle me le demander, mais le faite que ça faisait longtemps pour elle, qu’elle ne sait pas fais prendre depuis longtemps)
- Bien sur... Je ferais tout pour te combler ma Sandra….
- Et bien alors qu'est-ce qu'on attend mon Kévin ?
La belle Sandra #2
Après avoir passer un si bon début de soirée, j'ai prévenus ma mère que je dormais chez mon copain Mathieu (odieux mensonge, mais je n'aurais jamais voulus risquer de tout gâcher). Nous étions, Sandra et moi, seul tout les deux dans le lit conjugal, elle venait de me demander de lui procurer une sodomie, n'ayant jamais vu ni entendu ça dans ma vie, que ce soit dans des films pornographiques, ni même dans mes plus fous fantasmes, quoi que je me suis toujours demander ci s’étais possible de faire ça, un mystère que j’aller enfin éclaircir.
J’en ai seulement entendus parler grâce à mes camarades de classe qui s'amuse souvent à parler des "culs des filles" et qu'ils aimeraient bien les "prendre par derrière", même si je ne me suis jamais intéressé à leurs conneries de conversations, c'étais un des seul sujet où j'avais prêter attention.
Sandra me montrer ses magnifiques fesses rondes et douces, tout prêts de mon visage.
- S'il te plait mon bébé, j'en ai tellement envie, fais ça pour moi...
- D'accord Sandra... Mais je ne sais pas comment m’y prendre…
Je décalotter mon sexe, puis je m'approcher de sont anus, très excitait et impatient d’entrer en elle.
- Non, non mon poussin, il faut que tu me lubrifies l’anus, avant d'entrer en moi... Sinon tu vas me faire mal…
- Mais comment ? Je ne sais pas quoi faire…
- Laisse donc ton imagination faire place...
Je réfléchie une 10e de seconde, puis j’eus l’idée de me baisser, puis de commencé à lui lécher délicatement l'anus, l'embrasant, le suçant, et en essayant de faire rentrer ma langue à l'intérieur, pour que mon sexe puisse coulisser.
Je ne vais pas vous mentir, ça ne sentait pas très bon par là, mais je l'aimais tellement et je voulais tant lui procurer ce plaisir, que je m'en ficher totalement, elle était quand même une femme très propre.
J'enfonce très doucement mon index dans sont petit trou en léchant le contour de sont anus.
- Mmmh, tu as compris comment faire continue s'il te plait, je veux te sentir tout au fond de moi
Je bander comme un fou, je n'en pouvais plus, j'ai toujours été attiré par ses magnifiques fesses depuis que j'ai commencé à la mâter dans le métro.
Après avoir entrer deux de mes doigts, je mis ma langue à l'intérieur, comme ci que je l'embrasser à pleine bouche amoureusement comme nous l’avons fais précédemment dans le lit conjugal qu’elle impression splendide.
- S'il te plait, arrête de me titiller l'anus avec ta langue mon chérie, je vais devenir dingue, je veux te sentir gonfler en moi...
- Sandra....
Bien que tout petit, sont anus pouvait contenir mon sexe facilement, je commencer par entrer délicatement mon gland, qu'elle sensation exceptionnel, c'étais étroit mais incroyablement doux et chaux à l’intérieur.
Puis ce fut le sexe en entier dans ses jolies fesses. J'étais comme aspiré par sont jolie petit derrière, elle s'exclama:
- Mon bébé, tu es au fond de moi, c'est ci bon, accélère la cadence s'il te plait
J'étais comme sont esclave, dès qu’elle me demandé quelque chose, j'exécuter sont ordre sans restriction. J’entamai un long va-et-vient en gémissant de plaisir.
- C'est si bon Sandra, j'aime tant ça ! J’aime tant te prendre par derrière ! C’est magnifique !
- Tu l’aimes l'enculer ta Sandra, hein ? Fais toi plaisir amour, tu es si gonfler en moi...
- Je sens que je vais jouir....
- Ejacule au fond de moi mon bébé !
- Oh ouiiiii !!!
J'ai éjaculé dans sont anus, qu'elle sensation, j'étais dans les nuages, mais je ne voulais pas la quitter, pas maintenant en tout cas, nous étions unis tout les deux, nous avions fusionner nos corps.
- Sandra...
- Oui mon ange ?
- Laisse moi rester en toi pendant quelques minutes s'il te plait je me sens si bien
- Ok, profite s'en, mon petit chérie
Je suis rester pendant 35 minutes dans sont anus, j'aurais pus y rester pendant des jours entier tellement le plaisir été là. En ressortant de sont derrière un long fil de sperme accompagna mon sexe. Au bout de 20 mins dans sont anus, j'ai jouit une deuxième fois dans ses fesses j’ai été très vite excitait une fois encore, c'étais intensément émouvant.
Je pris Sandra dans mes bras en lui susurrant des mots doux à l'oreille:
- Sandra je t'aime tant, jamais je ne veux te quitter, je veux toujours rester à tes cotés…
- Je t'aime aussi, mmh... Tu as trouver ça comment ? D'être dans mon cul ?
- C’était si doux, si agréable, je suis tombé amoureux de cet endroit.
- On le refera quand tu le voudras, je ne m'en lasse jamais.
Elle me lécha le lobe de l’oreille pendant que je caressais ses doux seins.
- Tu as l’air de beaucoup les aimer…
- Oui, comme je les aime ….
- Attend que je te fasse un petit cadeau.
Puis elle descendit jusqu’à ma taille et prit mon sexe entre ses deux seins.
C’est si bon de sentir mon sexe entre ses deux mamelles. Soudain je m’excitais totalement, je me frottais au milieu de ses deux globes sans m’arrêter.
- C’est si bon, c’est si bon !
- Ca te plait, je le savais.
- Je sens que ça monte…
- Laisse moi terminer.
Elle prit le relais, en me masturbant et en me prenant dans sa bouche, au bout de quelques minutes, je pris sa tête et je forçais jusqu’au fond de sa gorge en jouissant.
- Je viens !!!
Mon sexe évacua le peu qu’il me rester de foutre, que Sandra ne pouvait pas s’empêcher d’avaler d’un trait. Elle aimé ça, et moi aussi j’aimé la voir m’avaler complètement…
- Mmmh… Ton sperme chaud a toujours aussi bon goût.
- Je t’aime Sandra.
- Je t’aime aussi mon ange
Nous avons tout les deux fais couler des larmes de joie et de bonheur, tellement c'étais un des moments les plus beaux de notre vie. Et ce n’étais pas prêt de ce terminer.
Vacance d’été très chaude #1
Enfin les cours s'arrêtent ! Et je ne garde que le magnifique souvenir de ma belle et délicate Sandra, à mon grand regret, elle vient de déménager avec son crétin de mari, mais elle m'a promis que l'on passera une nuit ensemble l'année prochaine quand on se reverra. Je lui fais confiance.
Mathieu était mon meilleur ami, il m'a toujours sorti des mauvaises situations, comme les fois où nous faisions les cons en classe, ou dans des bars. Même quand il n'était pas là, il me sauvait la mise en fait, héhé...
Un jour où nous discutions de choses et d'autres, il me proposa de passer un mois en Bretagne avec sa famille. J'ai accepté sans hésiter sur le coup ! Enfin j'allais bronzer un peu ; ça faisait bien longtemps que je n'étais pas parti en vacances.
Il avait une famille plutôt riche, une grande maison, de belles voitures mais la chose qui m'a vraiment intéressé, c'était sa mère.
Une très belle brune, de 38ans , d'1m 77, des seins surdimensionnés, des fesses à tomber par terre, un regard sensuel. Une très belle plante au final, Elle s'appelait Sabrina. Autant vous dire tout de suite, que quand j'allais chez mon copain, ce n'était pas seulement pour m'amuser...
Elle bougeait ses fesses de gauche à droite à chaque fois qu'elle me voyait, elle aimait beaucoup m'allumer mais ça n'allait pas plus loin que ça.
Mariée depuis 8ans, elle n'avait apparemment pas beaucoup d'amour de la part de son mari. Il ne la regardait jamais, ne se préoccupait jamais de ce qu'elle portait. Moi, oui, et j'y ferai même attention tous les jours si j'étais avec une aussi belle femme !
La petite famille est venue me chercher à 8h du matin. Autant vous dire que j'étais encore dans le potage !
Après avoir embarqué dans la voiture, je me retrouvais avec Mathieu et sa mère. Le père avait une moto. Il ne voulait pas tenir compagnie à sa femme, ni à son fils apparemment. Mathieu pendant tout le voyage nous parlait de ses exploits; (de ses conneries oui!) en classe. Nous avions Sabrina et moi au moins une chose en commun, ça nous ennuyait terriblement ! Après 3h de ce supplice, il décida enfin de se taire et de faire une remarque censée :
- Maman, j'ai très envie d'aller pisser, tu peux t'arrêter deux minutes S'il te plait ?
- Ok....juste une seconde le temps de me garer.
(Un soupir de soulagement se fit entendre de la part de Sabrina)
La voiture s'arrêta prêt d'une clairière. Mathieu, pudique comme un puceau, partit à au moins 25 mètres pour uriner en paix. J'étais enfin seul avec Sabrina dans la voiture !
- Ahhh... Enfin, je n'en pouvais plus moi
- Mathieu ne s'arrête jamais de parler en voiture, à ce que je vois ! Répondis-je plus ému que je n'en avais l'air
- Oui... Mais au moins il prend son temps là; nous allons être tranquilles pendant une bonne dizaine de minutes.
(Tout seul avec elle pendant 10mn ! Quelle bonne nouvelle !)
- Alors, dis moi Kévin, comment s'est passée ton année scolaire ?
- Bof, pas très bonne.
- Mathieu m'a raconté que tu avais eu une relation avec une femme récemment ? Non ? Cela se passe bien ?
(Le salaud ! Je lui avais pourtant dit de n'en parler à personne !)
- heu...
- Tu veux bien m'en parler s'il te plait ? Je suis une petite curieuse, moi.
- Et bien, c'était une femme plus âgée que moi. Elle s’appelait Sandra. J'ai passé de supers moments avec elle... Mais elle a déménagé depuis...
- Mmh, je vois...Tu dois te sentir bien seul !
(Elle me fit un sacré petit sourire coquin, Je la trouvais vraiment très craquante avec ces petites mimiques). Mathieu revenait à la charge, il tombait vraiment à pic celui là !
- Allez, on y va, j'ai fini !
Après deux heures de discussion diverse et variée, avec notre héros préféré, qui vantait la taille de son sexe et de son endurance au jogging, nous arrivâmes devant une très belle petite villa. Il y avait peu de voisins dans les alentours.
- Nous voilà arrivés !
- Ah ça faisait longtemps que nous n'étions pas revenus !
- Bon Mathieu va aider Kévin à mettre ses affaires dans sa chambre, quand à moi, je vais attendre que ton père arrive
- D'accord maman
Matthieu me montra ma toute petite chambre à l'étage. Elle était sobre et il y avait un grand lit, qui faisait plus de la moitié de la pièce ainsi que deux étagères. Au moins l'avantage de cette chambre, ce qu'elle était juste à coté de celle de Sabrina ! Soudain, celle-ci entra dans ma chambre, sans toquer.
- C'est bon Kévin, tu as fini de t'installer ?
- Oui, oui j'ai presque terminé de ranger
- Tu veux que je t'aide ?
- Oui, je veux bien...
Pendant que je commençais à ranger mes jeans, et mes t-shirts, Sabrina s'occupait de mes boxers. Bizarrement, elle mettait un temps fou. C'est quant je me suis retourné pour voir ce qu'elle était en train de faire, que je l'ai vu tripoter et renifler mes slips avec gourmandise.
J'avais une forte érection dès que je l'ai vue s'approcher, c'était très excitant. Je me suis approché d’elle en lui parlant à l’oreille doucement, tout en lui humant le cou ? J’en ai profité pour lui glisser ma main gauche sur sa hanche.
- Sabrina ? Ca va ?
- Oh Kévin ! Excuse moi, j’étais perdue dans mes pensées
- Ce n’est pas grave... Pas du tout...
J’étais très surexcité. Je voulais surtout l’embrasser et la prendre dans mes bras, mais son mari était juste dans la pièce à coté et Mathieu, en face de la chambre, en train de ranger ses bouquins. Nous reprîmes le rangement, tranquillement, mais j’étais toujours aussi excité, pourquoi avait-elle fait ça ? Ce qu’elle pouvait me faire de bander !
Après le dîner, nous partîmes nous coucher, Mathieu et moi, les règles dans sa famille étaient très strictes, concernant le coucher et le lever de bonne heure.
Il n’était que 22h. Je n’étais pas du tout fatigué mais surtout excité comme une puce. Je décidais de me masturber dans ma chambre, en fermant les yeux, imaginant Sandra et Sabrina en train de me faire une fellation, toutes les deux, nues, quel bonheur ! Soudain la porte s’ouvrit, c’était Sabrina ! J’étais tétanisé, le sexe tendu, incapable de dire un mot. Elle me fixait, nu, le sexe à la main. Paniqué je m’exclamai :
- Sabrina ! Excuse moi, je ne voulais pas, je...
- Ne t’excuse pas. Je voulais juste m’excuser une nouvelle fois pour mon comportement de tout à l’heure, mais j’ai l’air de t’avoir fais de l’effet en faisant ça, à ce que je vois.
- Je...
- Ne dit rien, je sors, passe une bonne nuit Kévin et à demain.
Elle sortit comme ça, sans me regarder, je ne pouvais plus bouger, je n’ai même pas terminé de me masturber cette nuit là, j’étais sur le choc, je n’ai pas compris à la situation dans laquelle je me suis mit.
Le lendemain, je me suis réveiller le premier, j’ai voulus préparé le petit-déjeuner, pour me faire pardonner pour mon comportement auprès de Sabrina. Je suis sur qu’elle a dit tout à sont mari. Quelle catastrophe…
Au moment où toute la troupe descendit, ils m’ont tous regardé bizarrement, ils savaient... Le père prit la parole.
- Kévin, pourquoi nous as tu préparé le petit-déjeuner. Je ne comprends pas. Tu as fais une bêtise ?
(Le père me regarda avec étonnement)
- Bha euh... Je voulais vous remercier de m’avoir accueillis comme ça pour tout un mois et...
- C’est une très gentil attention mon garçon, ça nous fais tous plaisir que tu sois là, Mathieu nous parle de toi a chaque fois comme étant sont meilleur ami. Aller déjeunons maintenant.
Sabrina n’avait rien dit, j’étais sauvé. Après avoir finis de déjeuner, le père décida que nous allions tous à la plage.
Sabrina et moi n’échangions pas un seul regard, elle faisait tout pour m’éviter. Soudain le mari décida:
- Dis donc Mathieu, ça faisait longtemps que tu n’étais pas faire un tour en moto avec moi
- Ah Ouais ! Ca ma pas mal manquer !
- Et bien allons-y, Kévin, je te confis ma femme, fais bien attention à elle (rire).
Nous nous installions dans la voiture, je rougissais beaucoup, je tremblais, transpirais, mon dieu que c’étais gênant. Soudain.
- Kévin, je ne t’en veux pas pour ce que tu as fais hier soir, moi même ça m’arrive de me soulager, je fais juste attention que personne ne me surprend.
- Je ne voulais pas...
- Je suis désolée de t’avoir troublé, c’est juste que sentir l’odeur de tes boxers m’excitait beaucoup. J’adore sentir l’odeur des dessous d’un homme. Voilà pourquoi je me suis mise à les renifler
- ...
- Je sais que tu trouves ça bizarre, mais si tu le souhaites, je te donnerai une de mes petites culottes. Tu pourras ainsi te faire plaisir quand tu le voudras en pensant à moi et tu comprendras ce que je ressens...
(J’étais subjugué, je n’en revenais pas !)
- Tu pensais à moi en te masturbant hier soir ? Dis-le moi franchement.
- Euh... Oui...
- Je n’aurais pas du te mettre dans cet état, excuse-moi encore.
- Non, non ce n’est pas de votre faute, c’est juste que je vous trouve vraiment très....
- Très ?
- Excitante !
(Je rougissais encore plus)
- Oh, comme tu es gentil, mais je ne suis plus tout à fait une femme jeune...
- Je vous trouve plus sexy et plus attirante que n’importe quelle fille de mon age en tous cas...
- Merci ça me fait plaisir. Oh mais je vois que je te fais encore de l’effet...
(Je bandais comme un fou depuis qu’elle m’avait parlé de sa petite culotte)
- Je...
- Ne me dis rien, je suis plutôt flattée de faire de l’effet à un jeune homme comme toi. Tu n’as cas te soulager dans la voiture, ça ne me gêne pas.
(Elle me demanda de me branler à coté d’elle, dans sa voiture, où je rêvais ?!)
- Je vois que tu en as tellement envie, aller ne t’en fais pas, ça ne me dérange pas
- D’acc... D’accord...
Je sortis mon sexe dur de mon pantalon, puis j’entamais un long va-et-vient.
- Et bien ! Tu es vraiment bien bâti pour un jeune homme de ton age
- C’est vous Sabrina qui m’excitait comme ça...
- Ecoute je vais me garer. Ca m’évitera d’être déconcentrée par ton sexe, qui m’excite beaucoup, d’ailleurs...
(Elle se gara sur le coté de la route)
S’il te plait, donne moi ton boxer
- D’accord Sabrina...
(Elle me le prit sauvagement en le reniflant, tendrement)
- Mmmh, il sent si bon...
Elle se caressa en même temps qu’elle sentait mon boxer. Qu’elle elle était belle et si mignonne ! Je lui ai sauté dessus en l’embrassant fougueusement. Nous échangions nos langues dans un long baiser passionnel. Prudemment, j’ai commencé à approcher ma main de son entrejambe. Sabrina me chuchota :
- Ecoute, je suis une femme mariée. Je suis très heureuse comme ça. Je ne peux pas coucher avec toi, je tiens à mon mari…
- Mais il ne se préoccupe jamais de toi ! Moi oui, je le ferai !
- Oui je le sais bien, mais je l’aime ! Enfin... Ca ne nous empêchera pas de nous faire plaisir à tout les deux...
- Ohh Sabrina.
Je la pris dans mes bras, en l’embrassant. Soudain elle commença à caresser mon sexe. Elle s’y prenait tellement bien, tant de légèreté, de tendresse. Il n’y avait que Sandra, mon ex-petite amie, qui savait s’y prendre comme ça avec moi...
- Sabrina... Donne moi ta petite culotte, s’il te plait...
- Oui tiens la voilà.
- Tes dessous sentent si bon Sabrina, j’aimerais tant sentir ton intimité...
- Laisse-moi en finir avec toi avant.
Elle approcha sa langue de mon gland, avec délicatesse puis décalotta mon sexe, en le suçant énergiquement. Je pris ses magnifiques cheveux entre mes mains pour lui imposer mon rythme.
- C’est délicieux, tu me donnes beaucoup de plaisir avec ta bouche Sabrina, c’est si bon
- Laisse toi aller...
Sabrina était si tendre avec moi. Elle ne devait pas avoir sucé un homme depuis fort longtemps. Elle rougissait énormément.
- Je sens que...Ohhhhhh Je jouis !!!
Elle était presque aussi douée que Sandra, mais le fait de me faire sucer par la mère de mon copain m’excitait encore plus. J’ai éjaculé sur son visage. Elle aimait le sperme, tout comme Sandra, mais elle n’en avala qu’une partie, désirant sentir ma semence sur son visage.
- Mmmh, ça faisait longtemps qu’un homme ne s’étais pas vidé ainsi sur moi...
- Laisse-moi te sentir, s’il te plait...
- Désolé Kévin, nous sommes déjà très en retard, peut être plus tard dans la journée... Tu peux garder ma culotte en attendant...
Vacance d’été très Chaude 2#
Nous avions continué notre trajet, Sabrina et moi, jusqu’à la plage. Pendant le voyage, nous échangions tout les deux des regards et des gestes amoureux, je lui caressais la main délicatement. Dès qu’elle changeait de vitesses, ou à l’arrêt au feu rouge, je la caressais tendrement mais discrètement. C’était excitant et intense.
- S’il te plait, arrête Kévin, il ne faut pas
- Mais
- Je te l’ai dit plus tard, promets moi de ne pas faire de même à la plage
- D’accord. Je te le promets
- Merci Kévin
Quand nous arrivâmes à la plage, j’ai du installer les affaires de Sabrina, et de toute la petite famille. Je me suis assis à coté d’elle sur mon transat, à la contempler pendant des heures. Soudain Mathieu arriva à toute vitesse, il tombait bien celui là !
- Kévin, Kévin ! Viens par là, j’ai vu deux supers petites nanas de l’autre bout de la plage
- Désolé, je suis pas intéressé d’aller draguer des gamines
- Oh toi ! Sous prétexte que tu t’es tapé une vieille, tu crois être un tombeur maintenant !
- Pas si fort, merde !
Soudain Sabrina entra dans la conversation
- Allons Kévin, va t’amuser un peu avec ces demoiselles, voyons...
(Ah mais rien cas voir son sourire, je voyais bien qu’elle me taquinait)
- Je vais plutôt continuer de bronzer un peu
(Je me suis mis à bouder, en me couchant tout seul dans mon coin, sur le sol, à quelques mètres de Sabrina)
- Bon, avec ou sans toi je vais aller draguer ces minettes, à plus tard !
- Ouais, amuse toi bien !
Toujours dans mon coin, Sabrina ne cessait de se caresser les seins délicatement avec de la crème solaire, en gémissant toute seule.
- Mhumm...
- Sabrina ? Que t’arrive-t-il ?
- Je ne sais pas, j’ai une envie irrésistible de me caresser
- Je peux t’aider ?
- Il y a trop de monde autour de nous, désolée, Kévin
- Mais tu m’excites depuis tout à l’heure en me dévisageant et en me taquinant
- Désolé, non, c’est non !
Je faisais définitivement la tête à Sabrina puis soudain, il m’est venu l’idée de me tripoter aussi, en reniflant sa petite culotte. Elle avait gagné !
- Voyons Kévin, qu’est-ce que tu fais ?!
- Exactement comme toi, j’ai besoin de me soulager aussi
- Ne fais pas ça ici, tu vas te faire remarquer ! Ne fais pas l’enfant.
- Tu ne m’as même pas laissé te donner du plaisir, tout à l’heure ! Tu peux pas savoir à quel point j’en ai envie...
- Bon écoute, ce soir à 22h30 je viendrai te voir dans ta chambre et nous nous ferons tous les deux plaisir. Mais pendant ce temps, s’il te plait, ne fais rien qui risque de tout gâcher...
- D’accord Sabrina...
Nous nous sommes tout les deux reposés en bronzant. J’imaginais avec conviction tout ce que nous ferions le soir même...
Pendant le dîner, Mathieu nous a raconté le râteau qu’il s’est pris avec les deux minettes. C’était à mourir de rire, en l’écoutant, pour une fois qu’il arrivait à nous faire marrer !
Puis juste après le repas, le père à décidé d’aller voir ses copains, à quatre pâtés de maison de celle-ci. Sabrina lui demanda de ne pas rentrer trop tard, ce à quoi il répondit :
- Ne t’en fais pas ma chérie, je dormirai là bas. Jean-Marc à une chambre d’amis, ça fais longtemps que je ne l’ai pas vu et nous risquons de boire plus qu’il ne faut pour fêter nos retrouvailles.
- Mais...
- Allez, à demain Sabrina, passe une bonne nuit
Quel salaud ! Il est sorti de la maison en laissant seul devant la porte Sabrina, sans la regarder, ni même l’embrasser. Ma pauvre Sabrina ! Le visage décomposé de chagrin, elle nous a dit en sanglotant :
- B...Bon...Allez vous couchez, s’il vous plait. Je vais me préparer un café et je vais y aller aussi
- Ok Maman…
Mathieu est allé se brosser les dents. Quand à moi, je suis allé la prendre dans mes bras pendant plus d’une minute, il fallait que je réussisse à réconforter. Elle se sentait trop mal, et j’avoue que cela me faisait mal de la voir dans cet état là.
- Merci Kévin d’être là pour moi...Allez va te mettre au lit
- D’accord Sabrina...
Je suis monté, en patientant plus d’une heure, scrutant chaque petit bruit de pas dans les escaliers. Cette attente me pesait. Soudain, je l’entendis grimper les marches et aller en courant, dans sa chambre ; ce n’était pas normal.
Je suis sorti de la chambre et suis allé auprès de sa porte pour l’écouter. Elle était effondrée, pleurant à gros sanglots. Ma délicate Sabrina souffrait. Je suis entré dans la chambre, complètement affolé en la voyant en larmes.
- Sabrina ? Que se passe t’il ?!
- C’est...C’est mon mari...J’ai écouté son répondeur...Il avait un message qui venait d’arriver juste au moment où il partait. Il a une maîtresse ! Elle l’attendait !
- Quel enfoiré !
- Chut ! Ne dis rien, Kévin, s’il te plait, ne rajoute rien…
Elle fondit en larmes. Je l’ai prise dans mes bras en l’embrassant, avec tout l’amour que je pouvais lui donner.
- J’ai l’impression de mourir, je fais tout pour lui, et il me trompe, qu’est-ce que j’ai fais pour qu’il me fasse ? Je lui ai donné tout mon amour. Qu’est-ce que j’ai fais de mal, dit le moi, dit le moi !
- Chut...Je suis là maintenant ma Sabrina...Je suis là...
Elle était incroyablement mal et ses larmes ne cessaient de couler de ses yeux magnifiques. Je suis resté avec elle dans mes bras, jusqu’à ce qu’elle se calme.
- Kévin, merci....
- Laisse-moi m’occuper de toi.
Je me suis mis à l’embrasser en lui caressant les cuisses. Il fallait que j’assure, que je m’y mette vraiment. Je voulais tant qu’elle se sente mieux.
J’ai continué mes douces caresses, toutes les fibres de mon corps étaient en osmose avec elle. J’ai commencé à l’allonger sur le ventre, lui offrant un long et doux massage, puis lui ai massé la nuque et les omoplates avec les pouces, en de lents mouvements.
- Merci encore d’être là, tu es si parfait avec moi
- Repose toi Sabrina, laisse toi aller
Après plusieurs minutes de caresses intenses, elle s’est retournée et m’a sauté dessus. Nous étions tous les deux enlacés à échanger nos langues. Ma Sabrina était si douce et si mignonne.
- Que tu es belle Sabrina
- Déshabille toi et fais moi l’amour, Kévin ! J’en ai tellement envie !
Nous nous sommes mis tout les deux dans le lit, en nous mettant tout nus. Je me suis collé à elle en soupirant de désir. J’étais très excité, me rapprochant de son vagin.
- Attend, s’il te plait avant, promets moi de toujours être là dans les moments difficiles, je ne veux plus que l’on se quitte ! me dit-elle
- C’est juré Sabrina ! Je promets de rester toujours auprès de toi
- Oh mon petit chéri
Je me suis approché d’elle, puis je l’ai pénétrée délicatement. Nous gémissions tous les deux de plaisir. J’entamais un long va-et-vient, en lui caressant les seins, tout en l’embrassant à pleine bouche.
- Sabrina, c’est si bon
- Continue, continue !
- Je viens !
- Mmmh ! Donne moi tout !
J’ai joui en elle, gémissant de toute mes forces. Nous nous sommes serrés très fort juste. Après avoir fini, je voyais trouble, mais j’étais émerveillé. Comme s’était bon d’être avec elle, ma petite Sabrina d’amour. Elle s’est roulée en boule dans les draps en se frottant à moi.
- Merci pour ce si beau moment Kévin, jamais on ne m’a autant désirée, autant aimée, me chuchota-t-elle.
Nous avons passé une magnifique nuit ensemble. Elle m’a demandé de retourner ensuite dans ma chambre, juste après, pour éviter de nous faire prendre. Même si je ne voulais pas la quitter, il le fallait, pourtant ; je lui ai offert un dernier long baiser, puis lui ai souhaité une bonne nuit, lui jurant que nous resterions toujours ensemble.
Les vacances ne sont pas prêtes d’être finies.
MrPostal.
Aujourd’hui…
Comme chaque jour, comme chaque matin, je me rendais dans mon établissement scolaire, de façon interminable et pénible, à étudier sur des sujets les plus inintéressant, les uns comme les autres, une vie totalement sans intérêt et banal, mais il arrive que parfois tout change, et devienne même effrayant, c’est ce qui nous fais devenir un homme tôt ou tard.
Je m’appelle Kévin, je suis étudiant dans une petite école, dans une ville pollué et sans aucune lumière, une ville nommée Rouen, remplis de jeunes tout aussi paumé que moi, mais, contrairement à ce que vous pourrez pensés, pendant bien des années je me suis toujours sentis sur le plan psychique et intellectuelle supérieurement au dessus des autres jeunes hommes de mon age, ce n’est pas un sentiment de supériorité, car…
Les autres sont réellement très cons…
Mes notes été correct, ni plus ni moins, un caractère discret en classe, je ne me fais pratiquement jamais remarquer par les professeurs.
Au niveau sentimental, je n’ai jamais été un fringuant séducteur de dame, les filles ne s’intéressaient pas à moi, et préférée les autres ‘mauvais élèves’ de la classe, ceux qui ce permettaient de les traiter comme de la viande, presque comme du bétail, moi, je rester dans mon coin, je ne cherchais pas vraiment à me faire beaucoup d’ami, je connaissais seulement une personne, un ami depuis toujours, Mathieu, le seul en qui j’ai vraiment confiance.
Pour me rendre à l’école il me fallait prendre le métro, 45 minutes à aller, 45 le retour, chaque matins, chaque soir, pour rentrer et retourner de chez moi (sans compté les 20 minutes de marche…), mais même dans des métros miteux et pourris par la rouille, il ce peut qu’un rayon de soleil passe et nous rendent heureux.
Elle était incroyablement belle et sexy, merveilleusement bien conservée pour son age (qui était de 47 ans), des yeux de biches, bleuté, des cheveux soyeux, une bouche pulpeuse et une poitrine ferme, ni trop volumineux, ni trop petit. Bien que magnifiquement belle, je sentais une certaine tristesse dans son regard, des cernes entourait aussi ses si beaux yeux bleue, ça me faisais de la peine de la voir comme cela ..
Elle ne devait pas avoir une vie très épanouie, d’après moi...
Je ne pouvais pas croire qu’une femme aussi exceptionnelle quelle puisse être aussi malheureuse.
Elle commencée et finissait sa journée exactement à la même heure que moi. Mais jamais elle ne me remarquait dans le métro, comme à chaque fois...
Pourtant bien des fois j'essayais, en vint, plusieurs petites sournoiserie pour qu'elle me remarque, mais sans effet, même si je n’y croyais pas vraiment.
Bien entendu elle été mariée, une des choses que j’ai remarquais, au moment où me vinrent l'idée stupide de faire semblant de tomber sur elle, suite aux "turbulences" du métro, pour qu'un simple regard ce croise...
Ou un début de conversation, pourquoi pas. Au moins un regard…
Juste au moment où je m'apprêtais à mettre en marche cette idée particulièrement stupide, mes yeux ce sont dirigés sur ses mains fines et douces, et en voyant la magnifique bague ornée de diamant, j'ai très vite compris qu'elle n'était pas marié à un pauvre type qui ne subvenez pas à ses besoins.
Bien que cette décevante nouvelle ma mis un coup sur le moral, je ne pouvais m'empêcher de m'asseoir tout les jours devant elle dans le métro. En la regardant de haut en bas, sans jamais m’arrêter.
En sortant un livre, je faisait honteusement semblant de feuilleté mon bouquin (il met même arriver de le lire à l’envers sans m’en rendre compte…), mais mon regard ce diriger toujours sur ses jambes si tendre, je sentis mon sexe monter en érection et je me mit à rougir instantanément dès qu’elle croisa ses jambes assis à sa place, je craquer à chaque fois...
Le fait d'être crispé, de rougir et de croiser moi aussi mes jambes, l’étonna et la fit sourire, puis elle me demanda soucieuse:
- Il y a quelque chose qui ne va pas ?
(Quelle belle voix avait-elle…)
- Non, non madame, je me sens un peu fiévreux, c'est tout !
- Je vois... C'est vrai que tu à l'air de ne pas aller bien, tu es tout rouge !
Soudain elle ce leva puis s'assois à coter de moi, j'ai l'impression de rêver ! Cette femme ce préoccuper de moi !
Elle mit sa main sur mon front, j'étais brûlant, facile à comprendre, vu à quel point j'étais surexcitais, puis elle s'exclama:
- Ah oui, mais tu as de la fièvre mon poussin ! Veux tu que je te donne un médicament pour soigner tout ça ? J’ai tout ce qu’il me faut dans mon sac.
J'étais obliger d'accepter, elle m'aurait donner un poison ou même n'importe quoi, je l'aurais avaler réfléchir !
- Voilà, à partir de maintenant, ça va aller mieux demain
- Merci… Beaucoup Madame...
- De rien… Dis moi comment t'appelle tu mon poussin ?
- Kévin, madame…
- Et bien Kévin, moi c'est Sandra, appelle moi par mon prénom maintenant, ce sera mieux.
- D'accord Mada... Euh Sandra...
- Voilà qui est parfait.
J'étais sur un petit nuage, je connaissais enfin sont prénom après tout ces mois passer à la contempler chaque jours de l'année, sans rien connaître d’elle.
- Ecoute, j'ai vu qu'il pleuvait des cordes dehors, veux tu que je te raccompagne chez toi avec ma voiture qui est devant chez moi ? Je sais le chemin que tu prends, nous prenons tout les jours le même trajet.
Au final… Elle m’avait remarqué en faite, chaque jour…
- Et bien euh...
- Tu as peur de moi Kévin ?
- Non, non, c'est juste que... Je ne veux pas vous ennuyez…
- Allons, allons, c'est de ma responsabilité, maintenant que je te connais, tu vas attraper une sacré pneumonie si tu fais le chemin jusqu'à chez toi à pied, en plus avec cette fièvre !
C'est sur… Que je rêve, j'aller voir l'endroit où elle habitait, mon érection monter en flèche tellement certaines petites idées coquine me vinrent à l’esprit !
Après plusieurs minutes et quelques stations plus tard…
Le métro s'arrêta, et le conducteur annonça "Gare Rue Verte", enfin à destination !
- Nous y voilà, attend que je sorte mon parapluie... Ah le voilà, viens te mettre prêt de moi, il ne faudrait pas que tu te mouille.
C'étais un moment magique, que dire de plus, j'étais à quelque centimètre d'elle, elle me posait toute un tas de questions sur ma vie, sur mes études, mes loisirs, puis soudain, LA phrase:
- Dit moi, elle doit être contente ta petite amie, tu es si trognon…
- Euh... Je n'ai pas de petite amie...
- Ah bon ! Tu es pourtant un garçon mignon comme tout, ça m'étonne !
Le fait qu'elle met posée cette question me troubla.
Puis ce fut la chute malencontreusement, je trébuche et tombe dans une flaque d'eau, tout le bas de mon jean été mouillé.
C’étais parfais ça ! Je ne vais pas entrer dans sa voiture comme ça maintenant, que vais-je faire ? J’ai commencé à me sentir honteux et surtout triste.
- Mon pauvre poussin ! Tu ne t'ai pas fais mal ?
- Non, non... Ca va...
- Mais tu es tout trempé ! Tu vas passer rapidement chez moi pour laisser sécher ton pantalon, je te prêterais un pantalon de mon mari, vous faites la même taille.
- Mais...
- Il n'est pas là avant la fin de la semaine ne tant fait pas, tu me le rendras un peu plus tard, ah mon dieu, moi et mes questions, regarde le résultat *rire*.
Elle ma invité chez elle ! Tellement de choses ce sont produite en une seule journée…
Bon peut être parce qu'elle ce sentait un peu coupable et qu’elle soit un petit peu obliger de m’héberger le temps de changer de pantalon, mais c'était un bon début tout ça !
Nous étions arrivé chez elle, je voyais déjà de l'extérieur que sont appartement été de grande classe. Nous prenions l'ascenseur, elle habitait au dernier étage, très luxueux, pendant la monté des étages, elle ne cessa me regarder avec des petits sourires moqueurs et coquins, j'avais tellement envie de la prendre dans mes brasn la tout de suite, elle été si mignonne, si …. C'était dur de me contrôler...
- Voilà, c'est chez moi ! Comment trouves tu ?
- C'est très beau, un magnifique appartement.
- Merci… Mon mari ce donne beaucoup de mal pour "compenser" en achetant des objets de valeurs, en faite c’est plutôt petit comme appartement.
(Compenser ? Pensais-je dans ma tête)
Enlève ton jean, je vais te chercher un pantalon
- Euh... D'accord.
J'essayer de retirer, difficilement, mon pantalon.
Comme je prenais mes jeans sérés (ne portant pas de ceinture…) en forçant pour le faire descendre, mon boxer laisser dépasser mon gland.
- Je t'ai trouvé un panta.... Ohh excuse moi ! Je me retourne le temps que tu te déshabilles et que tu mettes le pantalon. Mon dieu… Tu n'es plus du tout un enfant...
Cette phrase ma émoustiller, ma libérer, je me suis rapprocher d'elle encore en boxer, en érection, j'étais derrière elle, puis je l’ai pris dans mes bras en frottant mon sexe sur sa jambe, en gémissant.
- Non, tu ne peux pas...
- Sandra... Je n'en peux plus... Cela fait des mois que je te regarde dans le métro, à me masturber le soir en pensant à toi...
- Je ne savais pas que je te faisais autant d'effet mon poussin, mais ce n'est pas bien j'ai plus du double de ton age ! Je pourrais être ta mère !
- S'il te plait, je deviens dingue à force ! Tu m’excites terriblement... Je ne veux plus souffrir autant !
- ...
- Pitié Sandra.... Pitié...
Je pleurer en la serrant tendrement, mais fermement dans mes bras, je ne voulais pas la lâcher, je n'ai jamais autant pleurniché de ma vie !
- Allons Kévin, ne pleure pas mon bébé...
Elle ce retourna puis m'embrassa tendrement en me câlinant dans ses bras. Elle été douce et si gentille avec moi…
J'étais l'homme le plus heureux du monde.
- Je t'aime Sandra...
- Voyons mon poussin, ne dit pas ça, on ne ce connaît même pas
- Tu ne peux pas savoir tout ce que j'imaginais faire avec toi, je suis tomber fou amoureux de toi dès que je t'ai vu la première fois dans le métro…
- Ne tant fais pas mon bébé, je vais bien m'occuper de toi...
Elle sécha mes larmes, et continua à m’embrasser tendrement, elle glissa délicatement sa langue entre mes lèvres, nous nous sommes échangé un fougueux baisé pendant de très longue minutes, les plus belle de ma vie.
Elle commença à me baisser mon boxer, ce qui fit dégager mon sexe qui ne pouvait plus respirait depuis plus d’une heure.
- Oh comme c'est mignon, tu es vraiment excitait à ce que je vois ! Je n’en reviens pas que c’est moi qui t’ai mit dans cet état !
Elle le prit en main, et commença une lente et douce masturbation, en continuant à m'embrasser.
- Que… C’est bon Sandra…
- Tu aimes ?
- Oui… J’aime tant ça…
Elle s’y prenait avec tant de douceur, que je pouvais m’empêcher de gémir de plaisir dès les premiers mouvements de va-et-vient.
- S'il te plait Sandra, suce moi s'il te plait, j'en ai tellement envie...
- D’accord mon poussin…
Elle s'abaissa, et goba mon sexe brûlant dans sa magnifique, et tendre bouche, elle le sucer, le lécher, le caresser, en me susurrant des mots doux. Je gémissais beaucoup, puis n'en pouvant plus :
- Sandra, je… Je vais jouir !!!
- Viens dans ma bouche mon bébé, fais toi plaisir...
J’ai pris sa tête entre mes mains et j’ai sérés jusqu’au fond de sa gorge. Cela ne la pas gêner, elle apprécier le fait qu’elle me donne autant de plaisir.
Un long jet de sperme sortit de mon sexe, Sandra s'empressa d'avaler toute ma semence, en ce léchant les babines, une scène particulièrement excitante...
- Voilà Kévin, ça ta fais du bien ?
- Oh oui Sandra, beaucoup de bien...
Je commencé déjà à rebandé dès que Sandra mit sa langue dans ma bouche.
- Dis donc tu reviens vite à la charge ! Plus vite que mon mari en tout cas.
- Tu es tellement belle et excitante...
- Tu es mignon tout plein... Hmm… Plus long et plus gros aussi….
- Je veux te faire l'amour...
- D'accord mon poussin, viens… Allons dans ma chambre
Je l’ai pris dans mes bras dans le lit conjugale en l'embrassant pendant de très longue minute, je descendait lentement, pour prendre ses deux magnifiques seins dans ma bouche, je la tétais avec tellement d'amour quelle s'exclama:
- Oh ! Oui c'est bon mon bébé continue de me lécher, j’aime énormément...
Au fur et à mesure je descendit de plus en plus bas, j'embrassais fougueusement sont nombril, ses hanches, puis jusqu'à arriver à son magnifique sexe, un véritable joyaux brillant, dégoulinant d'un liquide sucré, que je m'empressais de lapais, de lécher, et de sucer avec amour… Quelle merveille de la nature que d’avaler ce nectar...
- Oh, oh… Oui ! Continue ! C'est merveilleux mon poussin ! Continue ! Continue encore !
J'y mettais de l'amour et de la tendresse, j’aimé lui procurer tant de plaisir avec ma langue et ma bouche, de lui offrir autant d'amour de ma part.
- C'est si bon de te sentir Sandra...
- Continue, je sens que ça vient...
Après avoir mit toute mes forces (Je ne sentais plus ma langue à force) à lui donner du plaisir elle prit ma tête et me plaqua contre son sexe, en ce tordant comme un Arc. Elle soupira de plaisir en s’écroulant sur le lit et me dit:
- Merci… Mon bébé, tu viens de m'offrir un magnifique orgasme, que je n'avais pas eu depuis bien des années, pour te dire franchement mon mari n’à jamais pus.
Je la pris dans mes bras en la serrant très fort en me frottant contre elle, elle remarqua:
- Oh mais je l'ai oublier celui là ! Aller viens, prend moi mon ange... Tu la bien mérité maintenant.
Elle prit mon sexe et me montra la direction de son vagin, je n'en pouvais plus, je l’ai pris sauvagement, mais amoureusement en l'embrassant et en la câlinant de toute mes forces.
Je ne voulais arrêter ça pour rien au monde. C’était magnifique.
Après plusieurs minutes, je n'en pouvant plus de ces mouvements répéter, de plaisir insurmontable.
- Sandra, je n'en peux plus je viens !!!
- Oh oui ! Jouit en moi mon poussin ! Envoie moi tout !
- Ahhhhh....!
J'ai jouis dans son doux et fabuleux vagin. J’étais sur un petit nuage, dans un autre monde, jamais je n’ai été aussi heureux de ma vie.
Puis à cause de la fatigue, n'en pouvant plus, je me suis endormis dans ces bras.
- Repose toi mon petit chérie, tu en as besoin
- Je t’aime ma Sandra…
- Moi aussi mon bébé. Moi aussi…
Je dormis une bonne heure, puis pour me réveiller elle m'embrassa avec une telle tendresse que j'étais tout retourné sur le coup, que c’était bon ce faire réveiller de cette façon.
- Réveille toi mon bébé, il est 20h.
J’ai bondis hors du lit, ma mère va s'inquiéter ! Elle rentrer du boulot à 19h30.
- Ecoute, si tu veux tu peux dormir avec moi cette nuit, je risque de me sentir bien seul sans toi...
J'étais fou d'elle, j'ai faillis tomber dans les pommes, de bonheur tellement j'ai apprécié qu'elle me dise ça.
Je me suis collé contre elle en lui chuchotant :
- Bien sur que je resterais avec toi ma Sandra, mais peux tu s'il te plait me laisser passer un coup de fil ?
- Bien sur mon ange, le téléphone est la bas.
J’ai pris le téléphone pour appeler chez moi.
- Oui allô ?
- M'man ? C'est Ké....
- Kévin ! Je me suis inquiétée où tu étais passer ?
- Je suis chez Math il ma invité à dormir
- Ah d'accord ! Mais tu aurais pus me prévenir !
(Soudain, Sandra ce colla derrière moi et commença à me caresser les fesses et le sexe)
- Euhhh... Ca ne te dérange pas ?
(Sandra commença à me masturber)
- Non, non mais bon fais attention quand tu rentreras demain, il a plut beaucoup.
- Oh... Oui, oui ! M'man.
- Qu'est-ce qui t’arrives Kévin ?
(Sandra glissa un doigt, délicatement entre mes fesses)
- Rien, rien juste que j'ai un peu mal au crâne, Matt à des Aspégics, ne tant fait pas, j’ai tout ce qu’il faut.
- Ok, mais fais attention hein !
- Oui, oui, bisous
- Bisous et bonne nuit
À peine raccrocher Sandra me prit la bouche.
- Mmmhh... Kévin, ça te fais du bien ce que je te fais ?
- C'est gênant... Mais oui ça me fait du bien
- Je vais m'arrêter là on feras quelques fantaisies plus tard si tu veux bien, j'ai préparé à manger
Nous nous asseyons côte à côte, je dévore avec gourmandise le magnifique repas qu'elle m'a préparait, en lui complimentant sur sa beauté tout au long du repas, je pourrais faire ça toute la nuit durant avec elle. C’était la première fois que j'avale si vite un plat.
- Et ben, tu avais faim mon chou !
- Oh que oui, tu cuisines merveilleusement bien !
- Merci... Tu veux que l'on ce fasse un petit câlin dans le lit avant de commencé nos petites fantaisies...
- Mmmh oui Sandra...
On ce prit l'un l'autre dans les bras dans le lit en s'embrassant fougueusement et tendrement, de longue et douce caressent ce font, nous étions tout les deux parfaitement en symbiose.
Puis, elle commença à me caresser l'anus, à le tripoter.
- Sandra...
- Laisse moi faire, tu vas voir à quel point c'est bon...
- Oh oui... C'est si bon, c'est quelque chose de si bon... Masturbe moi lentement en même temps s'il te plait...
- Comme tu voudras mon bébé.
Elle prit mon sexe tendu dans sa main gauche et entama un va-et-vient.
- Je suis si heureux avec toi
- Moi aussi, tu aimes ça hein ?
- Oh que oui... Ca me fait tellement de bien...
- Très bien... Est-ce que tu pourrais me faire une petite faveur ?
- Tout ce que tu voudras
- Ca faisait tellement longtemps. Hum… Que l'on ne ma pas prise par derrière et ça me manque terriblement, ça fais si longtemps que l’on ne sait pas occuper de moi...
(Ça ma étonné, pas le faite qu'elle me le demander, mais le faite que ça faisait longtemps pour elle, qu’elle ne sait pas fais prendre depuis longtemps)
- Bien sur... Je ferais tout pour te combler ma Sandra….
- Et bien alors qu'est-ce qu'on attend mon Kévin ?
La belle Sandra #2
Après avoir passer un si bon début de soirée, j'ai prévenus ma mère que je dormais chez mon copain Mathieu (odieux mensonge, mais je n'aurais jamais voulus risquer de tout gâcher). Nous étions, Sandra et moi, seul tout les deux dans le lit conjugal, elle venait de me demander de lui procurer une sodomie, n'ayant jamais vu ni entendu ça dans ma vie, que ce soit dans des films pornographiques, ni même dans mes plus fous fantasmes, quoi que je me suis toujours demander ci s’étais possible de faire ça, un mystère que j’aller enfin éclaircir.
J’en ai seulement entendus parler grâce à mes camarades de classe qui s'amuse souvent à parler des "culs des filles" et qu'ils aimeraient bien les "prendre par derrière", même si je ne me suis jamais intéressé à leurs conneries de conversations, c'étais un des seul sujet où j'avais prêter attention.
Sandra me montrer ses magnifiques fesses rondes et douces, tout prêts de mon visage.
- S'il te plait mon bébé, j'en ai tellement envie, fais ça pour moi...
- D'accord Sandra... Mais je ne sais pas comment m’y prendre…
Je décalotter mon sexe, puis je m'approcher de sont anus, très excitait et impatient d’entrer en elle.
- Non, non mon poussin, il faut que tu me lubrifies l’anus, avant d'entrer en moi... Sinon tu vas me faire mal…
- Mais comment ? Je ne sais pas quoi faire…
- Laisse donc ton imagination faire place...
Je réfléchie une 10e de seconde, puis j’eus l’idée de me baisser, puis de commencé à lui lécher délicatement l'anus, l'embrasant, le suçant, et en essayant de faire rentrer ma langue à l'intérieur, pour que mon sexe puisse coulisser.
Je ne vais pas vous mentir, ça ne sentait pas très bon par là, mais je l'aimais tellement et je voulais tant lui procurer ce plaisir, que je m'en ficher totalement, elle était quand même une femme très propre.
J'enfonce très doucement mon index dans sont petit trou en léchant le contour de sont anus.
- Mmmh, tu as compris comment faire continue s'il te plait, je veux te sentir tout au fond de moi
Je bander comme un fou, je n'en pouvais plus, j'ai toujours été attiré par ses magnifiques fesses depuis que j'ai commencé à la mâter dans le métro.
Après avoir entrer deux de mes doigts, je mis ma langue à l'intérieur, comme ci que je l'embrasser à pleine bouche amoureusement comme nous l’avons fais précédemment dans le lit conjugal qu’elle impression splendide.
- S'il te plait, arrête de me titiller l'anus avec ta langue mon chérie, je vais devenir dingue, je veux te sentir gonfler en moi...
- Sandra....
Bien que tout petit, sont anus pouvait contenir mon sexe facilement, je commencer par entrer délicatement mon gland, qu'elle sensation exceptionnel, c'étais étroit mais incroyablement doux et chaux à l’intérieur.
Puis ce fut le sexe en entier dans ses jolies fesses. J'étais comme aspiré par sont jolie petit derrière, elle s'exclama:
- Mon bébé, tu es au fond de moi, c'est ci bon, accélère la cadence s'il te plait
J'étais comme sont esclave, dès qu’elle me demandé quelque chose, j'exécuter sont ordre sans restriction. J’entamai un long va-et-vient en gémissant de plaisir.
- C'est si bon Sandra, j'aime tant ça ! J’aime tant te prendre par derrière ! C’est magnifique !
- Tu l’aimes l'enculer ta Sandra, hein ? Fais toi plaisir amour, tu es si gonfler en moi...
- Je sens que je vais jouir....
- Ejacule au fond de moi mon bébé !
- Oh ouiiiii !!!
J'ai éjaculé dans sont anus, qu'elle sensation, j'étais dans les nuages, mais je ne voulais pas la quitter, pas maintenant en tout cas, nous étions unis tout les deux, nous avions fusionner nos corps.
- Sandra...
- Oui mon ange ?
- Laisse moi rester en toi pendant quelques minutes s'il te plait je me sens si bien
- Ok, profite s'en, mon petit chérie
Je suis rester pendant 35 minutes dans sont anus, j'aurais pus y rester pendant des jours entier tellement le plaisir été là. En ressortant de sont derrière un long fil de sperme accompagna mon sexe. Au bout de 20 mins dans sont anus, j'ai jouit une deuxième fois dans ses fesses j’ai été très vite excitait une fois encore, c'étais intensément émouvant.
Je pris Sandra dans mes bras en lui susurrant des mots doux à l'oreille:
- Sandra je t'aime tant, jamais je ne veux te quitter, je veux toujours rester à tes cotés…
- Je t'aime aussi, mmh... Tu as trouver ça comment ? D'être dans mon cul ?
- C’était si doux, si agréable, je suis tombé amoureux de cet endroit.
- On le refera quand tu le voudras, je ne m'en lasse jamais.
Elle me lécha le lobe de l’oreille pendant que je caressais ses doux seins.
- Tu as l’air de beaucoup les aimer…
- Oui, comme je les aime ….
- Attend que je te fasse un petit cadeau.
Puis elle descendit jusqu’à ma taille et prit mon sexe entre ses deux seins.
C’est si bon de sentir mon sexe entre ses deux mamelles. Soudain je m’excitais totalement, je me frottais au milieu de ses deux globes sans m’arrêter.
- C’est si bon, c’est si bon !
- Ca te plait, je le savais.
- Je sens que ça monte…
- Laisse moi terminer.
Elle prit le relais, en me masturbant et en me prenant dans sa bouche, au bout de quelques minutes, je pris sa tête et je forçais jusqu’au fond de sa gorge en jouissant.
- Je viens !!!
Mon sexe évacua le peu qu’il me rester de foutre, que Sandra ne pouvait pas s’empêcher d’avaler d’un trait. Elle aimé ça, et moi aussi j’aimé la voir m’avaler complètement…
- Mmmh… Ton sperme chaud a toujours aussi bon goût.
- Je t’aime Sandra.
- Je t’aime aussi mon ange
Nous avons tout les deux fais couler des larmes de joie et de bonheur, tellement c'étais un des moments les plus beaux de notre vie. Et ce n’étais pas prêt de ce terminer.
Vacance d’été très chaude #1
Enfin les cours s'arrêtent ! Et je ne garde que le magnifique souvenir de ma belle et délicate Sandra, à mon grand regret, elle vient de déménager avec son crétin de mari, mais elle m'a promis que l'on passera une nuit ensemble l'année prochaine quand on se reverra. Je lui fais confiance.
Mathieu était mon meilleur ami, il m'a toujours sorti des mauvaises situations, comme les fois où nous faisions les cons en classe, ou dans des bars. Même quand il n'était pas là, il me sauvait la mise en fait, héhé...
Un jour où nous discutions de choses et d'autres, il me proposa de passer un mois en Bretagne avec sa famille. J'ai accepté sans hésiter sur le coup ! Enfin j'allais bronzer un peu ; ça faisait bien longtemps que je n'étais pas parti en vacances.
Il avait une famille plutôt riche, une grande maison, de belles voitures mais la chose qui m'a vraiment intéressé, c'était sa mère.
Une très belle brune, de 38ans , d'1m 77, des seins surdimensionnés, des fesses à tomber par terre, un regard sensuel. Une très belle plante au final, Elle s'appelait Sabrina. Autant vous dire tout de suite, que quand j'allais chez mon copain, ce n'était pas seulement pour m'amuser...
Elle bougeait ses fesses de gauche à droite à chaque fois qu'elle me voyait, elle aimait beaucoup m'allumer mais ça n'allait pas plus loin que ça.
Mariée depuis 8ans, elle n'avait apparemment pas beaucoup d'amour de la part de son mari. Il ne la regardait jamais, ne se préoccupait jamais de ce qu'elle portait. Moi, oui, et j'y ferai même attention tous les jours si j'étais avec une aussi belle femme !
La petite famille est venue me chercher à 8h du matin. Autant vous dire que j'étais encore dans le potage !
Après avoir embarqué dans la voiture, je me retrouvais avec Mathieu et sa mère. Le père avait une moto. Il ne voulait pas tenir compagnie à sa femme, ni à son fils apparemment. Mathieu pendant tout le voyage nous parlait de ses exploits; (de ses conneries oui!) en classe. Nous avions Sabrina et moi au moins une chose en commun, ça nous ennuyait terriblement ! Après 3h de ce supplice, il décida enfin de se taire et de faire une remarque censée :
- Maman, j'ai très envie d'aller pisser, tu peux t'arrêter deux minutes S'il te plait ?
- Ok....juste une seconde le temps de me garer.
(Un soupir de soulagement se fit entendre de la part de Sabrina)
La voiture s'arrêta prêt d'une clairière. Mathieu, pudique comme un puceau, partit à au moins 25 mètres pour uriner en paix. J'étais enfin seul avec Sabrina dans la voiture !
- Ahhh... Enfin, je n'en pouvais plus moi
- Mathieu ne s'arrête jamais de parler en voiture, à ce que je vois ! Répondis-je plus ému que je n'en avais l'air
- Oui... Mais au moins il prend son temps là; nous allons être tranquilles pendant une bonne dizaine de minutes.
(Tout seul avec elle pendant 10mn ! Quelle bonne nouvelle !)
- Alors, dis moi Kévin, comment s'est passée ton année scolaire ?
- Bof, pas très bonne.
- Mathieu m'a raconté que tu avais eu une relation avec une femme récemment ? Non ? Cela se passe bien ?
(Le salaud ! Je lui avais pourtant dit de n'en parler à personne !)
- heu...
- Tu veux bien m'en parler s'il te plait ? Je suis une petite curieuse, moi.
- Et bien, c'était une femme plus âgée que moi. Elle s’appelait Sandra. J'ai passé de supers moments avec elle... Mais elle a déménagé depuis...
- Mmh, je vois...Tu dois te sentir bien seul !
(Elle me fit un sacré petit sourire coquin, Je la trouvais vraiment très craquante avec ces petites mimiques). Mathieu revenait à la charge, il tombait vraiment à pic celui là !
- Allez, on y va, j'ai fini !
Après deux heures de discussion diverse et variée, avec notre héros préféré, qui vantait la taille de son sexe et de son endurance au jogging, nous arrivâmes devant une très belle petite villa. Il y avait peu de voisins dans les alentours.
- Nous voilà arrivés !
- Ah ça faisait longtemps que nous n'étions pas revenus !
- Bon Mathieu va aider Kévin à mettre ses affaires dans sa chambre, quand à moi, je vais attendre que ton père arrive
- D'accord maman
Matthieu me montra ma toute petite chambre à l'étage. Elle était sobre et il y avait un grand lit, qui faisait plus de la moitié de la pièce ainsi que deux étagères. Au moins l'avantage de cette chambre, ce qu'elle était juste à coté de celle de Sabrina ! Soudain, celle-ci entra dans ma chambre, sans toquer.
- C'est bon Kévin, tu as fini de t'installer ?
- Oui, oui j'ai presque terminé de ranger
- Tu veux que je t'aide ?
- Oui, je veux bien...
Pendant que je commençais à ranger mes jeans, et mes t-shirts, Sabrina s'occupait de mes boxers. Bizarrement, elle mettait un temps fou. C'est quant je me suis retourné pour voir ce qu'elle était en train de faire, que je l'ai vu tripoter et renifler mes slips avec gourmandise.
J'avais une forte érection dès que je l'ai vue s'approcher, c'était très excitant. Je me suis approché d’elle en lui parlant à l’oreille doucement, tout en lui humant le cou ? J’en ai profité pour lui glisser ma main gauche sur sa hanche.
- Sabrina ? Ca va ?
- Oh Kévin ! Excuse moi, j’étais perdue dans mes pensées
- Ce n’est pas grave... Pas du tout...
J’étais très surexcité. Je voulais surtout l’embrasser et la prendre dans mes bras, mais son mari était juste dans la pièce à coté et Mathieu, en face de la chambre, en train de ranger ses bouquins. Nous reprîmes le rangement, tranquillement, mais j’étais toujours aussi excité, pourquoi avait-elle fait ça ? Ce qu’elle pouvait me faire de bander !
Après le dîner, nous partîmes nous coucher, Mathieu et moi, les règles dans sa famille étaient très strictes, concernant le coucher et le lever de bonne heure.
Il n’était que 22h. Je n’étais pas du tout fatigué mais surtout excité comme une puce. Je décidais de me masturber dans ma chambre, en fermant les yeux, imaginant Sandra et Sabrina en train de me faire une fellation, toutes les deux, nues, quel bonheur ! Soudain la porte s’ouvrit, c’était Sabrina ! J’étais tétanisé, le sexe tendu, incapable de dire un mot. Elle me fixait, nu, le sexe à la main. Paniqué je m’exclamai :
- Sabrina ! Excuse moi, je ne voulais pas, je...
- Ne t’excuse pas. Je voulais juste m’excuser une nouvelle fois pour mon comportement de tout à l’heure, mais j’ai l’air de t’avoir fais de l’effet en faisant ça, à ce que je vois.
- Je...
- Ne dit rien, je sors, passe une bonne nuit Kévin et à demain.
Elle sortit comme ça, sans me regarder, je ne pouvais plus bouger, je n’ai même pas terminé de me masturber cette nuit là, j’étais sur le choc, je n’ai pas compris à la situation dans laquelle je me suis mit.
Le lendemain, je me suis réveiller le premier, j’ai voulus préparé le petit-déjeuner, pour me faire pardonner pour mon comportement auprès de Sabrina. Je suis sur qu’elle a dit tout à sont mari. Quelle catastrophe…
Au moment où toute la troupe descendit, ils m’ont tous regardé bizarrement, ils savaient... Le père prit la parole.
- Kévin, pourquoi nous as tu préparé le petit-déjeuner. Je ne comprends pas. Tu as fais une bêtise ?
(Le père me regarda avec étonnement)
- Bha euh... Je voulais vous remercier de m’avoir accueillis comme ça pour tout un mois et...
- C’est une très gentil attention mon garçon, ça nous fais tous plaisir que tu sois là, Mathieu nous parle de toi a chaque fois comme étant sont meilleur ami. Aller déjeunons maintenant.
Sabrina n’avait rien dit, j’étais sauvé. Après avoir finis de déjeuner, le père décida que nous allions tous à la plage.
Sabrina et moi n’échangions pas un seul regard, elle faisait tout pour m’éviter. Soudain le mari décida:
- Dis donc Mathieu, ça faisait longtemps que tu n’étais pas faire un tour en moto avec moi
- Ah Ouais ! Ca ma pas mal manquer !
- Et bien allons-y, Kévin, je te confis ma femme, fais bien attention à elle (rire).
Nous nous installions dans la voiture, je rougissais beaucoup, je tremblais, transpirais, mon dieu que c’étais gênant. Soudain.
- Kévin, je ne t’en veux pas pour ce que tu as fais hier soir, moi même ça m’arrive de me soulager, je fais juste attention que personne ne me surprend.
- Je ne voulais pas...
- Je suis désolée de t’avoir troublé, c’est juste que sentir l’odeur de tes boxers m’excitait beaucoup. J’adore sentir l’odeur des dessous d’un homme. Voilà pourquoi je me suis mise à les renifler
- ...
- Je sais que tu trouves ça bizarre, mais si tu le souhaites, je te donnerai une de mes petites culottes. Tu pourras ainsi te faire plaisir quand tu le voudras en pensant à moi et tu comprendras ce que je ressens...
(J’étais subjugué, je n’en revenais pas !)
- Tu pensais à moi en te masturbant hier soir ? Dis-le moi franchement.
- Euh... Oui...
- Je n’aurais pas du te mettre dans cet état, excuse-moi encore.
- Non, non ce n’est pas de votre faute, c’est juste que je vous trouve vraiment très....
- Très ?
- Excitante !
(Je rougissais encore plus)
- Oh, comme tu es gentil, mais je ne suis plus tout à fait une femme jeune...
- Je vous trouve plus sexy et plus attirante que n’importe quelle fille de mon age en tous cas...
- Merci ça me fait plaisir. Oh mais je vois que je te fais encore de l’effet...
(Je bandais comme un fou depuis qu’elle m’avait parlé de sa petite culotte)
- Je...
- Ne me dis rien, je suis plutôt flattée de faire de l’effet à un jeune homme comme toi. Tu n’as cas te soulager dans la voiture, ça ne me gêne pas.
(Elle me demanda de me branler à coté d’elle, dans sa voiture, où je rêvais ?!)
- Je vois que tu en as tellement envie, aller ne t’en fais pas, ça ne me dérange pas
- D’acc... D’accord...
Je sortis mon sexe dur de mon pantalon, puis j’entamais un long va-et-vient.
- Et bien ! Tu es vraiment bien bâti pour un jeune homme de ton age
- C’est vous Sabrina qui m’excitait comme ça...
- Ecoute je vais me garer. Ca m’évitera d’être déconcentrée par ton sexe, qui m’excite beaucoup, d’ailleurs...
(Elle se gara sur le coté de la route)
S’il te plait, donne moi ton boxer
- D’accord Sabrina...
(Elle me le prit sauvagement en le reniflant, tendrement)
- Mmmh, il sent si bon...
Elle se caressa en même temps qu’elle sentait mon boxer. Qu’elle elle était belle et si mignonne ! Je lui ai sauté dessus en l’embrassant fougueusement. Nous échangions nos langues dans un long baiser passionnel. Prudemment, j’ai commencé à approcher ma main de son entrejambe. Sabrina me chuchota :
- Ecoute, je suis une femme mariée. Je suis très heureuse comme ça. Je ne peux pas coucher avec toi, je tiens à mon mari…
- Mais il ne se préoccupe jamais de toi ! Moi oui, je le ferai !
- Oui je le sais bien, mais je l’aime ! Enfin... Ca ne nous empêchera pas de nous faire plaisir à tout les deux...
- Ohh Sabrina.
Je la pris dans mes bras, en l’embrassant. Soudain elle commença à caresser mon sexe. Elle s’y prenait tellement bien, tant de légèreté, de tendresse. Il n’y avait que Sandra, mon ex-petite amie, qui savait s’y prendre comme ça avec moi...
- Sabrina... Donne moi ta petite culotte, s’il te plait...
- Oui tiens la voilà.
- Tes dessous sentent si bon Sabrina, j’aimerais tant sentir ton intimité...
- Laisse-moi en finir avec toi avant.
Elle approcha sa langue de mon gland, avec délicatesse puis décalotta mon sexe, en le suçant énergiquement. Je pris ses magnifiques cheveux entre mes mains pour lui imposer mon rythme.
- C’est délicieux, tu me donnes beaucoup de plaisir avec ta bouche Sabrina, c’est si bon
- Laisse toi aller...
Sabrina était si tendre avec moi. Elle ne devait pas avoir sucé un homme depuis fort longtemps. Elle rougissait énormément.
- Je sens que...Ohhhhhh Je jouis !!!
Elle était presque aussi douée que Sandra, mais le fait de me faire sucer par la mère de mon copain m’excitait encore plus. J’ai éjaculé sur son visage. Elle aimait le sperme, tout comme Sandra, mais elle n’en avala qu’une partie, désirant sentir ma semence sur son visage.
- Mmmh, ça faisait longtemps qu’un homme ne s’étais pas vidé ainsi sur moi...
- Laisse-moi te sentir, s’il te plait...
- Désolé Kévin, nous sommes déjà très en retard, peut être plus tard dans la journée... Tu peux garder ma culotte en attendant...
Vacance d’été très Chaude 2#
Nous avions continué notre trajet, Sabrina et moi, jusqu’à la plage. Pendant le voyage, nous échangions tout les deux des regards et des gestes amoureux, je lui caressais la main délicatement. Dès qu’elle changeait de vitesses, ou à l’arrêt au feu rouge, je la caressais tendrement mais discrètement. C’était excitant et intense.
- S’il te plait, arrête Kévin, il ne faut pas
- Mais
- Je te l’ai dit plus tard, promets moi de ne pas faire de même à la plage
- D’accord. Je te le promets
- Merci Kévin
Quand nous arrivâmes à la plage, j’ai du installer les affaires de Sabrina, et de toute la petite famille. Je me suis assis à coté d’elle sur mon transat, à la contempler pendant des heures. Soudain Mathieu arriva à toute vitesse, il tombait bien celui là !
- Kévin, Kévin ! Viens par là, j’ai vu deux supers petites nanas de l’autre bout de la plage
- Désolé, je suis pas intéressé d’aller draguer des gamines
- Oh toi ! Sous prétexte que tu t’es tapé une vieille, tu crois être un tombeur maintenant !
- Pas si fort, merde !
Soudain Sabrina entra dans la conversation
- Allons Kévin, va t’amuser un peu avec ces demoiselles, voyons...
(Ah mais rien cas voir son sourire, je voyais bien qu’elle me taquinait)
- Je vais plutôt continuer de bronzer un peu
(Je me suis mis à bouder, en me couchant tout seul dans mon coin, sur le sol, à quelques mètres de Sabrina)
- Bon, avec ou sans toi je vais aller draguer ces minettes, à plus tard !
- Ouais, amuse toi bien !
Toujours dans mon coin, Sabrina ne cessait de se caresser les seins délicatement avec de la crème solaire, en gémissant toute seule.
- Mhumm...
- Sabrina ? Que t’arrive-t-il ?
- Je ne sais pas, j’ai une envie irrésistible de me caresser
- Je peux t’aider ?
- Il y a trop de monde autour de nous, désolée, Kévin
- Mais tu m’excites depuis tout à l’heure en me dévisageant et en me taquinant
- Désolé, non, c’est non !
Je faisais définitivement la tête à Sabrina puis soudain, il m’est venu l’idée de me tripoter aussi, en reniflant sa petite culotte. Elle avait gagné !
- Voyons Kévin, qu’est-ce que tu fais ?!
- Exactement comme toi, j’ai besoin de me soulager aussi
- Ne fais pas ça ici, tu vas te faire remarquer ! Ne fais pas l’enfant.
- Tu ne m’as même pas laissé te donner du plaisir, tout à l’heure ! Tu peux pas savoir à quel point j’en ai envie...
- Bon écoute, ce soir à 22h30 je viendrai te voir dans ta chambre et nous nous ferons tous les deux plaisir. Mais pendant ce temps, s’il te plait, ne fais rien qui risque de tout gâcher...
- D’accord Sabrina...
Nous nous sommes tout les deux reposés en bronzant. J’imaginais avec conviction tout ce que nous ferions le soir même...
Pendant le dîner, Mathieu nous a raconté le râteau qu’il s’est pris avec les deux minettes. C’était à mourir de rire, en l’écoutant, pour une fois qu’il arrivait à nous faire marrer !
Puis juste après le repas, le père à décidé d’aller voir ses copains, à quatre pâtés de maison de celle-ci. Sabrina lui demanda de ne pas rentrer trop tard, ce à quoi il répondit :
- Ne t’en fais pas ma chérie, je dormirai là bas. Jean-Marc à une chambre d’amis, ça fais longtemps que je ne l’ai pas vu et nous risquons de boire plus qu’il ne faut pour fêter nos retrouvailles.
- Mais...
- Allez, à demain Sabrina, passe une bonne nuit
Quel salaud ! Il est sorti de la maison en laissant seul devant la porte Sabrina, sans la regarder, ni même l’embrasser. Ma pauvre Sabrina ! Le visage décomposé de chagrin, elle nous a dit en sanglotant :
- B...Bon...Allez vous couchez, s’il vous plait. Je vais me préparer un café et je vais y aller aussi
- Ok Maman…
Mathieu est allé se brosser les dents. Quand à moi, je suis allé la prendre dans mes bras pendant plus d’une minute, il fallait que je réussisse à réconforter. Elle se sentait trop mal, et j’avoue que cela me faisait mal de la voir dans cet état là.
- Merci Kévin d’être là pour moi...Allez va te mettre au lit
- D’accord Sabrina...
Je suis monté, en patientant plus d’une heure, scrutant chaque petit bruit de pas dans les escaliers. Cette attente me pesait. Soudain, je l’entendis grimper les marches et aller en courant, dans sa chambre ; ce n’était pas normal.
Je suis sorti de la chambre et suis allé auprès de sa porte pour l’écouter. Elle était effondrée, pleurant à gros sanglots. Ma délicate Sabrina souffrait. Je suis entré dans la chambre, complètement affolé en la voyant en larmes.
- Sabrina ? Que se passe t’il ?!
- C’est...C’est mon mari...J’ai écouté son répondeur...Il avait un message qui venait d’arriver juste au moment où il partait. Il a une maîtresse ! Elle l’attendait !
- Quel enfoiré !
- Chut ! Ne dis rien, Kévin, s’il te plait, ne rajoute rien…
Elle fondit en larmes. Je l’ai prise dans mes bras en l’embrassant, avec tout l’amour que je pouvais lui donner.
- J’ai l’impression de mourir, je fais tout pour lui, et il me trompe, qu’est-ce que j’ai fais pour qu’il me fasse ? Je lui ai donné tout mon amour. Qu’est-ce que j’ai fais de mal, dit le moi, dit le moi !
- Chut...Je suis là maintenant ma Sabrina...Je suis là...
Elle était incroyablement mal et ses larmes ne cessaient de couler de ses yeux magnifiques. Je suis resté avec elle dans mes bras, jusqu’à ce qu’elle se calme.
- Kévin, merci....
- Laisse-moi m’occuper de toi.
Je me suis mis à l’embrasser en lui caressant les cuisses. Il fallait que j’assure, que je m’y mette vraiment. Je voulais tant qu’elle se sente mieux.
J’ai continué mes douces caresses, toutes les fibres de mon corps étaient en osmose avec elle. J’ai commencé à l’allonger sur le ventre, lui offrant un long et doux massage, puis lui ai massé la nuque et les omoplates avec les pouces, en de lents mouvements.
- Merci encore d’être là, tu es si parfait avec moi
- Repose toi Sabrina, laisse toi aller
Après plusieurs minutes de caresses intenses, elle s’est retournée et m’a sauté dessus. Nous étions tous les deux enlacés à échanger nos langues. Ma Sabrina était si douce et si mignonne.
- Que tu es belle Sabrina
- Déshabille toi et fais moi l’amour, Kévin ! J’en ai tellement envie !
Nous nous sommes mis tout les deux dans le lit, en nous mettant tout nus. Je me suis collé à elle en soupirant de désir. J’étais très excité, me rapprochant de son vagin.
- Attend, s’il te plait avant, promets moi de toujours être là dans les moments difficiles, je ne veux plus que l’on se quitte ! me dit-elle
- C’est juré Sabrina ! Je promets de rester toujours auprès de toi
- Oh mon petit chéri
Je me suis approché d’elle, puis je l’ai pénétrée délicatement. Nous gémissions tous les deux de plaisir. J’entamais un long va-et-vient, en lui caressant les seins, tout en l’embrassant à pleine bouche.
- Sabrina, c’est si bon
- Continue, continue !
- Je viens !
- Mmmh ! Donne moi tout !
J’ai joui en elle, gémissant de toute mes forces. Nous nous sommes serrés très fort juste. Après avoir fini, je voyais trouble, mais j’étais émerveillé. Comme s’était bon d’être avec elle, ma petite Sabrina d’amour. Elle s’est roulée en boule dans les draps en se frottant à moi.
- Merci pour ce si beau moment Kévin, jamais on ne m’a autant désirée, autant aimée, me chuchota-t-elle.
Nous avons passé une magnifique nuit ensemble. Elle m’a demandé de retourner ensuite dans ma chambre, juste après, pour éviter de nous faire prendre. Même si je ne voulais pas la quitter, il le fallait, pourtant ; je lui ai offert un dernier long baiser, puis lui ai souhaité une bonne nuit, lui jurant que nous resterions toujours ensemble.
Les vacances ne sont pas prêtes d’être finies.
MrPostal.
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