La belle-soeur se console dans les bras d’un gentleman
Récit érotique écrit par Mojo74 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 4 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.8
- • L'ensemble des récits érotiques de Mojo74 ont reçu un total de 56 191 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-12-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 9 712 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
La belle-soeur se console dans les bras d’un gentleman
Cet été, j’étais au Summer Beer Lovers Festival à Liège. Il faisait beau et il y avait beaucoup de monde. J’étais assis à une table en train de déguster une bonne bière quand un couple me demande si les places en face de moi sont libres. Je sors de mes pensées et je vois un couple souriant. Je fais signe que les places sont effectivement inoccupées.
C'est un couple bavard et nous faisons vite fait connaissance. Lui est assez beau gosse et sympa. Elle est belle avec un sourire craquant. Ils se prénomment Virginie et Régis. Ils viennent de France. Je me présente à mon tour, et comme nous sommes à un festival de bières, nous parlons bière.
Virginie et Régis viennent d'avoir leur premier enfant il y a plusieurs mois et c'est leur première sortie en amoureux depuis longtemps. Je sens Virginie plutôt chaude à l'idée de passer une bonne nuit avec Régis sans bébé pour les distraire.
Comme il fait chaud, Virginie est en jupe courte et top décolleté moulant à fines bretelles avec soutien-gorge assorti. Je me régale discrètement de ses seins qui bougent sous mes yeux.
Au fur et à mesure des dégustations, Régis développe une préférence pour les bières fortes et pleines de goût. Virginie lui a déjà fait quelques remarques gentilles lui indiquant qu'il devrait ralentir un peu. Elle voit déjà sa nuit torride avec son homme tomber à l'eau à cause de l’alcool.
Avec un verre dans le nez, Régis est plutôt jovial et très amoureux de sa dulcinée Virginie. Et, il le lui montre bien : petits bisous dans le cou, la main sur sa cuisse et allusions à la nuit torride qu'il a planifiée pour elle. Virginie sourit un peu gênée. Elle trouve que c'est trop intime pour en parler avec tout le monde (en l'occurence devant moi).
Le sourire de Virginie me fait complètement craquer. Je souris bêtement en haussant les épaules. Régis me demande si je trouve sa femme belle. Je ne peux que confirmer et je m'imagine qu'il va me proposer un plan à trois. Mais, il n’en est rien. Il a trop bu et il passe à autre chose (déception discrète pour ma part).
Après la dernière bière (celle de trop), Régis et Virginie décident de retourner à leur hôtel. Mais, Régis tient à peine debout et Virginie ne se souvient plus très bien du chemin de l’hôtel. En bon samaritain, je propose de lui donner un coup de main que Virginie accepte volontiers.
Nous prenons Régis par dessous les épaules et nous mettons en route. Arrivé dans la chambre, Régis se déshabille à moitié, va dans la salle de bain pour uriner et revient tout nu pour se coucher. Et là, je contemple son pénis : un beau calibre XL voire XXL. Si jamais j'arrive à conclure avec Virginie, je ne vais jamais faire le poids avec mon modeste M.
A peine a-t-il touché l'oreiller que Régis ronfle déjà. Virginie est dépitée. Leur nuit en amoureux ne se fera pas. Comme je la sens bien chaude, je prends mon courage à deux mains (au pire ce sera une déception de plus). Je mets mes mains sur ses épaules et je lui propose de lui offrir cette nuit d'amour qu'elle attend depuis si longtemps. Si elle le veut, bien entendu. Elle hoche la tête avec un grand sourire.
Je la prends dans mes bras. Je sens son corps contre le mien. Nos bouches se rencontrent. J'enlève son petit top pendant qu'elle enlève mon t-shirt. Je sens le tissu de son beau soutien-gorge en satin contre ma peau. Je dégrafe son soutien-gorge qu'elle enlève pour dévoiler de superbes seins lourds avec de grands tétons bruns comme j’adore.
Pour ne pas réveiller Régis, nous mettons quelques couvertures au sol (aussi pour éviter les éventuelles brûlures de friction dues au tapis). Pendant que nous improvisons un petit nid d’amour, j'admire le mouvement de ses seins. Elle a des tétons assez longs qui bandent comme de petits sexes.
Ensuite, elle s'installe à moitié nue sur le dos. J’enlève vite mon pantalon et je m'agenouille devant elle pour masser ses seins, caresser ses côtes, son ventre et enlever sa jupe dans le même mouvement. Elle m’aide en soulevant ses fesses. Un petit string reste le seul obstacle.
Avant que je n'aie le temps de lui enlever ce dernier rempart, je sens sa main sur mon sexe qui est déjà tout dur. Je caresse sa fente à travers le tissu de son string qui est déjà tout humide. Comme elle me masturbe bien, je me mets en position de 69. Mon sexe est immédiatement happé pour sa bouche. Pendant qu'elle me suce goulûment, j'écarte le tissu de son string pour avoir accès à son vagin.
Je sens une odeur enivrante de chatte en chaleur. Je passe un doigt dans sa fente humide et Virginie commence à se tortiller. Je passe ma langue entre ses lèvres et je sens son bassin qui vient se coller à ma bouche. Quand ma langue exploratrice a trouvé son clitoris, elle se tortille de plus belle.
Après un moment, Virginie lâche mon sexe et me demande de venir sur elle. Je me positionne à genoux entre ses cuisses et j'enlève enfin son string. Je viens sur elle et je l'embrasse, mon corps contre le sien. Mon pénis fait des va-et-vient lents à l'entrée de son vagin. Je ne sais pas comment elle a fait, mais en basculant son bassin, mon gland s'est retrouvé face à l’entrée de son vagin et s'est fait aspirer à l’intérieur. Donc, je me suis soudain retrouvé profondément en elle. Quelle sensation sublime ... chaude et humide.
Son fourreau est très tonique, comme si mon sexe était tenu par une main gantée de velours. Comme ça fait longtemps que je n'ai plus fait l'amour, je sens que je vais jouir rapidement. J'ose à peine bouger. Virginie le sens aussi et me dit que je peux me laisser aller. Quelle superbe femme ! Quelle sensibilité!
Je parviens encore à faire quelques va-et-vient. Puis je sens un orgasme phénoménal monter en moi. Je viens profondément en elle en tremblant d’extase. C'est un orgasme qui n'en finit pas et je sens les jets de sperme couler par à-coups.
Nous restons enlacés un moment. En fait jusqu'au moment où mon sexe se ramollit et sort de son vagin. Virginie n'est pas encore venue et je la sens un peu déçue (mais elle ne le dit pas). Comme j'adore le cunnilingus, je descends entre ses jambes et je commence à vraiment explorer tous les plis de son sexe et insiste sur son clitoris.
Elle a un superbe sexe, légèrement poilu (le fameux ticket de métro). Mon sperme s'est mélangé avec sa liqueur d’amour. Je déguste nos deux fluides et je fais le grand nettoyage de son sexe. J'y mets ma langue et mes doigts. Je crois que Virginie apprécie. Elle me susurre des mots doux et me caresse les cheveux. Elle plaque son bassin sur ma bouche et fait des mouvement de va-et-vient.
Je ne suis pas pressé. Je ne veux pas lui donner un orgasme dans la minute. Je prends mon temps pour lui faire un cunnilingus comme il faut et dont elle va se souvenir encore pendant longtemps (enfin je l’espère).
Pendant que je prends mon temps pour lui faire un merveilleux cunnilingus, je savoure les goûts et les odeurs de son vagin. Ma langue va dans tous les plis de son sexe, autour de son clitoris, entre ses lèvres … Je l'entends soupirer et gémir tout bas pour ne pas réveiller Régis.
Elle a ses mains sur ma tête pour que je reste bien entre ses jambes. Sa respiration s'accélère progressivement jusqu'au moment où elle commence à trembler quand elle jouit. Pendant que je lui faisait un cunnilingus, je me suis remis a bander. Quand l'orgasme a fini de traverser son corps comme un ouragan, je monte sur elle (en position de missionnaire) et mon pénis glisse sans effort dans son vagin. C'est une position géniale pour se regarder dans les yeux, sentir son souffle. Je la baise lentement et profondément.
Je ne peux pas m'empêcher de lui demander si mon M lui convient, surtout que Régis dispose d'un XXL. Elle m'avoue que son XXL lui fait parfois mal quand il ne fait pas attention. Et, aussi qu'elle aime bien être prise plus sauvagement, sentir les coups de reins contre ses fesses, ce qui n'est pas possible avec Régis.
Ses confidences m'excitent terriblement et je commence à la prendre plus rapidement et plus profondément. Elle m'invite même à y aller franchement. Elle me demande de la prendre à fond. J’y vais franco en missionnaire, à genoux entre ses jambes bien écartées. Ensuite, nous changeons de position. Elle vient sur moi et s'empale complètement sur mon sexe.
Je tiens ses fesses dodues pour accompagner ses mouvements. En même temps, ses seins ballottent devant mon visage. J’essaie de happer un téton pour le sucer. J’en attrape un et le pince un peu. Tout de suite, Virginie commence à ronronner de plaisir. Elle me dit que depuis sa grossesse elle est devenue très sensible des tétons et qu'elle adore qu'on les pince, même fort.
Alors, j'attrape ses seins pour les malaxer et pincer les bouts longs et durs. Elle augmente encore le rythme de sa chevauchée. Tout à coup, je sens un jet de liquide contre mon bas ventre et Virginie tremblante qui se fixe. Quel orgasme !
Je lui laisse reprendre son souffle. Elle est toute en sueur. Alors, je lui dis que je vais la prendre en levrette. Elle se met immédiatement à quatre pattes et je m'enfonce en elle sans ménagement. Son con baveux accueille tout mon sexe jusqu'aux couilles. Le bruit de mes coups de reins contre ses fesses est une belle musique si excitante. Je caresse ses fesses et la prends par les hanches.
Elle met la tête sur l’oreiller. Imaginez la position : à genoux avec le cul bien en l'air et mon pénis qui lui défonce son vagin. Comme elle a pris son pied deux fois, je la prends sauvagement en pensant uniquement à mon plaisir. Je vois ses fesses bouger sous mes coups, mon sexe qui va et vient dans son vagin. Pour moi, la levrette est la position la plus excitante.
Je sens sa gaine tonique qui me masse le sexe. Je ne vais plus pouvoir tenir bien longtemps. Quand je sens la sève monter, je donne un dernier coup pour que mon gland soit le plus loin possible dans son vagin et je lâche ma semence au plus profond d’elle. J'aurais adoré féconder Virginie. Malheureusement, elle prend à nouveau la pilule.
Après un premier round où j'avais été un éjaculateur précoce, le cunnilingus et le deuxième round où j'ai quand même assuré, nous prenons le temps de reprendre notre souffle et de papoter un peu. Je ne lui demande pas comment elle a trouvé ma performance. Comme elle a pris son pied deux fois, je suppose que ça l’a satisfaite. Je me connais et je sais bien que je ne suis pas un étalon. Pour moi, le sexe n'est pas une compétition. L'important, c’est de passer un bon moment ensemble et d’avoir du plaisir.
Pendant que nous papotons, Virginie me parle de son beau-frère (le mari de sa soeur). Elle avait remarqué que pendant qu'elle allaitait son fils, il la matait discrètement et ça l’excitait. Elle avoue aussi qu'un jour elle avait fait en sorte de lui donner une vue sous sa jupe courte, juste pour voir sa réaction. Elle fantasme sur un plan à quatre avec Régis, sa soeur et son beau-frère.
Quand j'entends plan à quatre, je vois logiquement deux hommes et deux femmes; donc la possibilité de prendre une femme en sandwich. Alors, je demande à Virginie si elle aime l’anal. Là, elle doit bien m’avouer qu'elle n’a encore jamais essayé. Avec le gros calibre de Régis, elle dit que ce serait bien trop douloureux. Mais, elle ajoute qu'elle voudrait bien essayer avec un plus petit.
Ce message passe de mes oreilles à mon cerveau qui le transmet sans plus attendre à mon sexe qui lui se réveille instantanément. Je tente ma chance et je lui propose d’essayer. Si elle le veut, cela va de soi. Elle hoche la tête, mais ajoute qu'elle n'a pas de lubrifiant.
Pas de lubrifiant, pas de … Mais oui. Je me souviens avoir vu un night shop en bas de la rue. Et, il y a certainement des préservatifs et avec un peu de chance aussi du lubrifiant. Ça vaut au moins la peine de tenter ma chance.
J'en parle avec Virginie qui est enthousiaste à l’idée de pouvoir essayer la pénétration anale. Je m'habille et j'y vais aussi vite que possible. En espérant qu'elle ne change pas d'avis entre temps. J’arrive ou night shop et ils ont heureusement ce qu’il nous faut.
Je retourne vite à l’hôtel et je prie que Virginie n'ait pas changé d’avis. Je frappe à la porte de la chambre : pas de réponse. Merde, elle s'est peut-être endormie. Je frappe à nouveau et Virginie m'ouvre finalement la porte.
Elle a pris une douche pour avoir l’anus bien propre pour m’accueillir. Je lui montre le lubrifiant avec un grand sourire. Elle a encore la serviette autour d’elle. Je l'enlève et j'admire son corps. Je passe mes mains sur ses seins, lui caresse les hanches et les fesses. On se s'embrasse délicatement sur la bouche. Et, je me déshabille.
Après m’être vidé deux fois, je ne suis plus aussi réactif. Je n'ai hélas plus vingt ans. Je demande à Virginie de se mettre à quatre pattes et de me sucer. Pendant que mon sexe durcit dans sa bouche, je lui mets du lubrifiant sur son petit trou plissé. Je sens son anus se contracter au contact de mon doigt. Je me mets derrière elle et je fais glisser mon pénis dans son vagin.
Elle est encore bien mouillé et j'entre comme dans du beurre. Je la baise lentement en levrette, histoire de rester bien dur pendant que je lui prépare sa rondelle. Je mets une main sur ses fesses et avec le pouce je lui masse l’anus. Je pousse un peu et Virginie se contracte à nouveau.
Je lui demande de pousser un peu et mon pouce glisse en elle. Je fais des mouvements de va-et-vient pour bien mettre du lubrifiant partout. Quand son trou s'est habitué à mon pouce, je le remplace par mon index et mon majeur pour l’élargir encore un peu. C’est marrant de sentir mon sexe de l'autre côté de la paroi entre son vagin et son rectum.
Elle est quelque peu stressée. Mais, je lui ai promis d'arrêter si c'est trop désagréable. Elle soupire quand j'ai deux doigts en elle et son anus s'adapte bien à l’intromission. Quand mes deux doigt coulissent sans problème, je me lève un peu pour sortir mon pénis de son vagin; et pour présenter mon gland bien lubrifié devant sa rondelle.
Je lui demande de se décontracter et de pousser exactement comme pour un accouchement. En même temps, je pousse aussi et le bout de mon gland glisse dans son anus. J'entends un petit “aïe” et en bon gentleman je lui demande si ça va et si elle veut que je continue. Elle hoche la tête en signe d’approbation.
Je pousse encore un peu. Et là, mon gland est entré entièrement. Ouf, le plus dur est fait. Je marque une petite pause pour que son conduit s'habitue au nouveau visiteur. Après un petit moment, je pousse encore doucement et millimètre après millimètre, mon sexe glisse dans son anus. Virginie gémit de douleur, mais elle ne veut pas que j’arrête.
Quand je suis bien en elle, je commence un lent va-et-vient dans son cul. La sensation est inoubliable : je l’encule lentement. Malgré mes deux éjaculations précédentes, la sensation est trop forte et je sens que je ne vais pas tenir des heures. Elle est extrêmement serrée. Pour une première fois, ça ne doit pas durer trop longtemps, pauvre petit trou du cul vierge.
Je garde un va-et-vient lent pour faire durer mon plaisir et quand je n'en peux plus, je lui dis que je vais venir. Elle me répond : "oui, viens en moi”. Encore un petit coup et mon sexe se contracte pour expulser son sperme dans le cul de Virginie. Quand les spasmes de mon orgasme se sont atténués, je sors délicatement de son anus. Nous nous laissons tomber sur notre matelas de fortune pour se retrouver l’un contre l’autre en cuillère.
Je l’interroge sur la défloraison de son anus. Elle me répond qu’au début ça lui faisait très mal, mais comme elle a persévéré la douleur a fait place au plaisir. Bien qu’elle n'ait pas pris son pied par le cul, elle me remercie tout de même pour cette première fois.
Je lui demande si elle remettra ça avec Régis. Elle me répond qu'elle n'est pas encore prête pour l'accueillir dans son cul, mais qu'elle se laisserait bien tenter par un sandwich avec Régis dans son vagin et un calibre plus modeste dans son anus.
Nous parlons encore un peu et j'en profite pour caresser son joli corps partout pendant la conversation. Elle est vraiment superbe ! Cette baise restera un de mes meilleurs souvenirs.
C'est un couple bavard et nous faisons vite fait connaissance. Lui est assez beau gosse et sympa. Elle est belle avec un sourire craquant. Ils se prénomment Virginie et Régis. Ils viennent de France. Je me présente à mon tour, et comme nous sommes à un festival de bières, nous parlons bière.
Virginie et Régis viennent d'avoir leur premier enfant il y a plusieurs mois et c'est leur première sortie en amoureux depuis longtemps. Je sens Virginie plutôt chaude à l'idée de passer une bonne nuit avec Régis sans bébé pour les distraire.
Comme il fait chaud, Virginie est en jupe courte et top décolleté moulant à fines bretelles avec soutien-gorge assorti. Je me régale discrètement de ses seins qui bougent sous mes yeux.
Au fur et à mesure des dégustations, Régis développe une préférence pour les bières fortes et pleines de goût. Virginie lui a déjà fait quelques remarques gentilles lui indiquant qu'il devrait ralentir un peu. Elle voit déjà sa nuit torride avec son homme tomber à l'eau à cause de l’alcool.
Avec un verre dans le nez, Régis est plutôt jovial et très amoureux de sa dulcinée Virginie. Et, il le lui montre bien : petits bisous dans le cou, la main sur sa cuisse et allusions à la nuit torride qu'il a planifiée pour elle. Virginie sourit un peu gênée. Elle trouve que c'est trop intime pour en parler avec tout le monde (en l'occurence devant moi).
Le sourire de Virginie me fait complètement craquer. Je souris bêtement en haussant les épaules. Régis me demande si je trouve sa femme belle. Je ne peux que confirmer et je m'imagine qu'il va me proposer un plan à trois. Mais, il n’en est rien. Il a trop bu et il passe à autre chose (déception discrète pour ma part).
Après la dernière bière (celle de trop), Régis et Virginie décident de retourner à leur hôtel. Mais, Régis tient à peine debout et Virginie ne se souvient plus très bien du chemin de l’hôtel. En bon samaritain, je propose de lui donner un coup de main que Virginie accepte volontiers.
Nous prenons Régis par dessous les épaules et nous mettons en route. Arrivé dans la chambre, Régis se déshabille à moitié, va dans la salle de bain pour uriner et revient tout nu pour se coucher. Et là, je contemple son pénis : un beau calibre XL voire XXL. Si jamais j'arrive à conclure avec Virginie, je ne vais jamais faire le poids avec mon modeste M.
A peine a-t-il touché l'oreiller que Régis ronfle déjà. Virginie est dépitée. Leur nuit en amoureux ne se fera pas. Comme je la sens bien chaude, je prends mon courage à deux mains (au pire ce sera une déception de plus). Je mets mes mains sur ses épaules et je lui propose de lui offrir cette nuit d'amour qu'elle attend depuis si longtemps. Si elle le veut, bien entendu. Elle hoche la tête avec un grand sourire.
Je la prends dans mes bras. Je sens son corps contre le mien. Nos bouches se rencontrent. J'enlève son petit top pendant qu'elle enlève mon t-shirt. Je sens le tissu de son beau soutien-gorge en satin contre ma peau. Je dégrafe son soutien-gorge qu'elle enlève pour dévoiler de superbes seins lourds avec de grands tétons bruns comme j’adore.
Pour ne pas réveiller Régis, nous mettons quelques couvertures au sol (aussi pour éviter les éventuelles brûlures de friction dues au tapis). Pendant que nous improvisons un petit nid d’amour, j'admire le mouvement de ses seins. Elle a des tétons assez longs qui bandent comme de petits sexes.
Ensuite, elle s'installe à moitié nue sur le dos. J’enlève vite mon pantalon et je m'agenouille devant elle pour masser ses seins, caresser ses côtes, son ventre et enlever sa jupe dans le même mouvement. Elle m’aide en soulevant ses fesses. Un petit string reste le seul obstacle.
Avant que je n'aie le temps de lui enlever ce dernier rempart, je sens sa main sur mon sexe qui est déjà tout dur. Je caresse sa fente à travers le tissu de son string qui est déjà tout humide. Comme elle me masturbe bien, je me mets en position de 69. Mon sexe est immédiatement happé pour sa bouche. Pendant qu'elle me suce goulûment, j'écarte le tissu de son string pour avoir accès à son vagin.
Je sens une odeur enivrante de chatte en chaleur. Je passe un doigt dans sa fente humide et Virginie commence à se tortiller. Je passe ma langue entre ses lèvres et je sens son bassin qui vient se coller à ma bouche. Quand ma langue exploratrice a trouvé son clitoris, elle se tortille de plus belle.
Après un moment, Virginie lâche mon sexe et me demande de venir sur elle. Je me positionne à genoux entre ses cuisses et j'enlève enfin son string. Je viens sur elle et je l'embrasse, mon corps contre le sien. Mon pénis fait des va-et-vient lents à l'entrée de son vagin. Je ne sais pas comment elle a fait, mais en basculant son bassin, mon gland s'est retrouvé face à l’entrée de son vagin et s'est fait aspirer à l’intérieur. Donc, je me suis soudain retrouvé profondément en elle. Quelle sensation sublime ... chaude et humide.
Son fourreau est très tonique, comme si mon sexe était tenu par une main gantée de velours. Comme ça fait longtemps que je n'ai plus fait l'amour, je sens que je vais jouir rapidement. J'ose à peine bouger. Virginie le sens aussi et me dit que je peux me laisser aller. Quelle superbe femme ! Quelle sensibilité!
Je parviens encore à faire quelques va-et-vient. Puis je sens un orgasme phénoménal monter en moi. Je viens profondément en elle en tremblant d’extase. C'est un orgasme qui n'en finit pas et je sens les jets de sperme couler par à-coups.
Nous restons enlacés un moment. En fait jusqu'au moment où mon sexe se ramollit et sort de son vagin. Virginie n'est pas encore venue et je la sens un peu déçue (mais elle ne le dit pas). Comme j'adore le cunnilingus, je descends entre ses jambes et je commence à vraiment explorer tous les plis de son sexe et insiste sur son clitoris.
Elle a un superbe sexe, légèrement poilu (le fameux ticket de métro). Mon sperme s'est mélangé avec sa liqueur d’amour. Je déguste nos deux fluides et je fais le grand nettoyage de son sexe. J'y mets ma langue et mes doigts. Je crois que Virginie apprécie. Elle me susurre des mots doux et me caresse les cheveux. Elle plaque son bassin sur ma bouche et fait des mouvement de va-et-vient.
Je ne suis pas pressé. Je ne veux pas lui donner un orgasme dans la minute. Je prends mon temps pour lui faire un cunnilingus comme il faut et dont elle va se souvenir encore pendant longtemps (enfin je l’espère).
Pendant que je prends mon temps pour lui faire un merveilleux cunnilingus, je savoure les goûts et les odeurs de son vagin. Ma langue va dans tous les plis de son sexe, autour de son clitoris, entre ses lèvres … Je l'entends soupirer et gémir tout bas pour ne pas réveiller Régis.
Elle a ses mains sur ma tête pour que je reste bien entre ses jambes. Sa respiration s'accélère progressivement jusqu'au moment où elle commence à trembler quand elle jouit. Pendant que je lui faisait un cunnilingus, je me suis remis a bander. Quand l'orgasme a fini de traverser son corps comme un ouragan, je monte sur elle (en position de missionnaire) et mon pénis glisse sans effort dans son vagin. C'est une position géniale pour se regarder dans les yeux, sentir son souffle. Je la baise lentement et profondément.
Je ne peux pas m'empêcher de lui demander si mon M lui convient, surtout que Régis dispose d'un XXL. Elle m'avoue que son XXL lui fait parfois mal quand il ne fait pas attention. Et, aussi qu'elle aime bien être prise plus sauvagement, sentir les coups de reins contre ses fesses, ce qui n'est pas possible avec Régis.
Ses confidences m'excitent terriblement et je commence à la prendre plus rapidement et plus profondément. Elle m'invite même à y aller franchement. Elle me demande de la prendre à fond. J’y vais franco en missionnaire, à genoux entre ses jambes bien écartées. Ensuite, nous changeons de position. Elle vient sur moi et s'empale complètement sur mon sexe.
Je tiens ses fesses dodues pour accompagner ses mouvements. En même temps, ses seins ballottent devant mon visage. J’essaie de happer un téton pour le sucer. J’en attrape un et le pince un peu. Tout de suite, Virginie commence à ronronner de plaisir. Elle me dit que depuis sa grossesse elle est devenue très sensible des tétons et qu'elle adore qu'on les pince, même fort.
Alors, j'attrape ses seins pour les malaxer et pincer les bouts longs et durs. Elle augmente encore le rythme de sa chevauchée. Tout à coup, je sens un jet de liquide contre mon bas ventre et Virginie tremblante qui se fixe. Quel orgasme !
Je lui laisse reprendre son souffle. Elle est toute en sueur. Alors, je lui dis que je vais la prendre en levrette. Elle se met immédiatement à quatre pattes et je m'enfonce en elle sans ménagement. Son con baveux accueille tout mon sexe jusqu'aux couilles. Le bruit de mes coups de reins contre ses fesses est une belle musique si excitante. Je caresse ses fesses et la prends par les hanches.
Elle met la tête sur l’oreiller. Imaginez la position : à genoux avec le cul bien en l'air et mon pénis qui lui défonce son vagin. Comme elle a pris son pied deux fois, je la prends sauvagement en pensant uniquement à mon plaisir. Je vois ses fesses bouger sous mes coups, mon sexe qui va et vient dans son vagin. Pour moi, la levrette est la position la plus excitante.
Je sens sa gaine tonique qui me masse le sexe. Je ne vais plus pouvoir tenir bien longtemps. Quand je sens la sève monter, je donne un dernier coup pour que mon gland soit le plus loin possible dans son vagin et je lâche ma semence au plus profond d’elle. J'aurais adoré féconder Virginie. Malheureusement, elle prend à nouveau la pilule.
Après un premier round où j'avais été un éjaculateur précoce, le cunnilingus et le deuxième round où j'ai quand même assuré, nous prenons le temps de reprendre notre souffle et de papoter un peu. Je ne lui demande pas comment elle a trouvé ma performance. Comme elle a pris son pied deux fois, je suppose que ça l’a satisfaite. Je me connais et je sais bien que je ne suis pas un étalon. Pour moi, le sexe n'est pas une compétition. L'important, c’est de passer un bon moment ensemble et d’avoir du plaisir.
Pendant que nous papotons, Virginie me parle de son beau-frère (le mari de sa soeur). Elle avait remarqué que pendant qu'elle allaitait son fils, il la matait discrètement et ça l’excitait. Elle avoue aussi qu'un jour elle avait fait en sorte de lui donner une vue sous sa jupe courte, juste pour voir sa réaction. Elle fantasme sur un plan à quatre avec Régis, sa soeur et son beau-frère.
Quand j'entends plan à quatre, je vois logiquement deux hommes et deux femmes; donc la possibilité de prendre une femme en sandwich. Alors, je demande à Virginie si elle aime l’anal. Là, elle doit bien m’avouer qu'elle n’a encore jamais essayé. Avec le gros calibre de Régis, elle dit que ce serait bien trop douloureux. Mais, elle ajoute qu'elle voudrait bien essayer avec un plus petit.
Ce message passe de mes oreilles à mon cerveau qui le transmet sans plus attendre à mon sexe qui lui se réveille instantanément. Je tente ma chance et je lui propose d’essayer. Si elle le veut, cela va de soi. Elle hoche la tête, mais ajoute qu'elle n'a pas de lubrifiant.
Pas de lubrifiant, pas de … Mais oui. Je me souviens avoir vu un night shop en bas de la rue. Et, il y a certainement des préservatifs et avec un peu de chance aussi du lubrifiant. Ça vaut au moins la peine de tenter ma chance.
J'en parle avec Virginie qui est enthousiaste à l’idée de pouvoir essayer la pénétration anale. Je m'habille et j'y vais aussi vite que possible. En espérant qu'elle ne change pas d'avis entre temps. J’arrive ou night shop et ils ont heureusement ce qu’il nous faut.
Je retourne vite à l’hôtel et je prie que Virginie n'ait pas changé d’avis. Je frappe à la porte de la chambre : pas de réponse. Merde, elle s'est peut-être endormie. Je frappe à nouveau et Virginie m'ouvre finalement la porte.
Elle a pris une douche pour avoir l’anus bien propre pour m’accueillir. Je lui montre le lubrifiant avec un grand sourire. Elle a encore la serviette autour d’elle. Je l'enlève et j'admire son corps. Je passe mes mains sur ses seins, lui caresse les hanches et les fesses. On se s'embrasse délicatement sur la bouche. Et, je me déshabille.
Après m’être vidé deux fois, je ne suis plus aussi réactif. Je n'ai hélas plus vingt ans. Je demande à Virginie de se mettre à quatre pattes et de me sucer. Pendant que mon sexe durcit dans sa bouche, je lui mets du lubrifiant sur son petit trou plissé. Je sens son anus se contracter au contact de mon doigt. Je me mets derrière elle et je fais glisser mon pénis dans son vagin.
Elle est encore bien mouillé et j'entre comme dans du beurre. Je la baise lentement en levrette, histoire de rester bien dur pendant que je lui prépare sa rondelle. Je mets une main sur ses fesses et avec le pouce je lui masse l’anus. Je pousse un peu et Virginie se contracte à nouveau.
Je lui demande de pousser un peu et mon pouce glisse en elle. Je fais des mouvements de va-et-vient pour bien mettre du lubrifiant partout. Quand son trou s'est habitué à mon pouce, je le remplace par mon index et mon majeur pour l’élargir encore un peu. C’est marrant de sentir mon sexe de l'autre côté de la paroi entre son vagin et son rectum.
Elle est quelque peu stressée. Mais, je lui ai promis d'arrêter si c'est trop désagréable. Elle soupire quand j'ai deux doigts en elle et son anus s'adapte bien à l’intromission. Quand mes deux doigt coulissent sans problème, je me lève un peu pour sortir mon pénis de son vagin; et pour présenter mon gland bien lubrifié devant sa rondelle.
Je lui demande de se décontracter et de pousser exactement comme pour un accouchement. En même temps, je pousse aussi et le bout de mon gland glisse dans son anus. J'entends un petit “aïe” et en bon gentleman je lui demande si ça va et si elle veut que je continue. Elle hoche la tête en signe d’approbation.
Je pousse encore un peu. Et là, mon gland est entré entièrement. Ouf, le plus dur est fait. Je marque une petite pause pour que son conduit s'habitue au nouveau visiteur. Après un petit moment, je pousse encore doucement et millimètre après millimètre, mon sexe glisse dans son anus. Virginie gémit de douleur, mais elle ne veut pas que j’arrête.
Quand je suis bien en elle, je commence un lent va-et-vient dans son cul. La sensation est inoubliable : je l’encule lentement. Malgré mes deux éjaculations précédentes, la sensation est trop forte et je sens que je ne vais pas tenir des heures. Elle est extrêmement serrée. Pour une première fois, ça ne doit pas durer trop longtemps, pauvre petit trou du cul vierge.
Je garde un va-et-vient lent pour faire durer mon plaisir et quand je n'en peux plus, je lui dis que je vais venir. Elle me répond : "oui, viens en moi”. Encore un petit coup et mon sexe se contracte pour expulser son sperme dans le cul de Virginie. Quand les spasmes de mon orgasme se sont atténués, je sors délicatement de son anus. Nous nous laissons tomber sur notre matelas de fortune pour se retrouver l’un contre l’autre en cuillère.
Je l’interroge sur la défloraison de son anus. Elle me répond qu’au début ça lui faisait très mal, mais comme elle a persévéré la douleur a fait place au plaisir. Bien qu’elle n'ait pas pris son pied par le cul, elle me remercie tout de même pour cette première fois.
Je lui demande si elle remettra ça avec Régis. Elle me répond qu'elle n'est pas encore prête pour l'accueillir dans son cul, mais qu'elle se laisserait bien tenter par un sandwich avec Régis dans son vagin et un calibre plus modeste dans son anus.
Nous parlons encore un peu et j'en profite pour caresser son joli corps partout pendant la conversation. Elle est vraiment superbe ! Cette baise restera un de mes meilleurs souvenirs.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Mojo74
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...