La belle SOPHIE 7
Récit érotique écrit par SAM BOTTE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La belle SOPHIE 7
La découverte d’Éric
Vers cinq heures du matin, Sophie au bras de Pat, rentre exténuée, par le nombre des copulations, autant que par les orgasmes. Le bruit qu'ils font en rentrant réveille Éric qui vient voir qu'est-ce qui ce passe ? Il voit dans l'entrée, sa femme très fatiguée accompagnée de Pat ? - Comme vous avez accepté d'être mes soumis, j’ai posé mes conditions, qu’elle accepte. Il me faut, maintenant, obtenir ton aide. Sophie, ôte ta robe, pour montrer à Éric que tu as accepté.
Elle se met nue. Son collier montre sa soumission. Éric semble abasourdi, il en tremble.
- Ce soir, elle est devenue ma soumise de manière irréversible. Pour confirmer votre soumission à tous les deux. J’ai besoin que tu acceptes le même sort. Aussi, je veux que tu te mettes à poil immédiatement.
Éric reste figé un long moment, ensuite, il se lève et ôte son pyjama. Pat le regarde avec un air de désolation envers son anatomie d’éphèbe. Sophie ne s'étonne pas de ce geste de soumission, et cela augmente son estime pour Éric.
- Bien, pour sceller sa soumission, demain, je l’emmène chez une amie qui va lui percer les tétons et le clitoris, avant de la tatouer, comme toutes celles qui l’ont été. Bon, Éric tu t'occupes d'elle, tu la laves et tu la couches. Elle va se reposer et moi, je reviens en fin d'après midi. A tout à l'heure !
Pat sort de la maison. Éric ramasse la robe au pied de sa femme. Il lui prend la main et la conduit vers la salle de bain. Soudain, il s'arrête devant la porte de la chambre. Il la regarde avec provocation ? - Tu t’es fait baiser et enculer comme une salope ? Tu dégoulines de sperme, de mouille et de merde, tu es complètement rempli. Vaincue, abasourdie, impuissante à se contenir, parce qu'elle sait qu'il a raison. Elle ne répond rien et reste là, à le regarder comme s'il venait d'une autre planète.
Il la pousse dans la chambre. Elle tombe allongée sur le lit, dans une pose totalement impudique. Jambes écartées, chatte béante boursouflée et engluée, son trou du cul affleurant le bord du lit déborde encore d'un étrange mélange de souillure.
Excité devant le tableau, Éric ne contient plus. Il bande, alors il la baise comme une bête, il se lâche. - Putain, tu sens le stupre, tu es mouillée, trempée de sperme et de mouille. Ça me rappelle les vacances, donc je vais te prendre là comme ça !
Avant qu'elle ait pu esquisser le moindre geste, n'y proféré la moindre parole. Il l'encule directement. Oh ! Oui, Éric encule aussi sa salope de femme. Parce que son trou du cul visqueux, lui permet de la pénétrer sans problème.
- AAARRRFF ! GGNNNNN ! Doucement Éric ? Râle-t-elle.
Il se met à lui pistonner l'anus, sortant de temps en temps pour aller faire une incursion dans sa chatte, tellement dilatée d’ailleurs que sa queue nage dedans ? Il revient l’enculer avec hargne un peu frustrer de n'avoir pas assisté a cette monstrueuse copulation.
Il tape de plus en plus fort, alternativement dans ses deux puits. Sa queue glissant sans problème dans son cul et dans son vagin encore lubrifiés et remplis du sperme des autres.
Il la baise de plus en plus fort, s'imaginant le plaisir qu'a dû prendre Pat. En pensant aussi aux bites qui l'ont baisée et surtout enculée depuis les vacances, alors que lui ne l’avait jamais enculée.
Éric est lui-même surpris par la dureté de sa queue, tellement qu'il est excité par toutes ces pensées qui le hantent. Il la regarde fixement, se laissant prendre comme une pute. Il se demande, si elle prend autant de plaisir là, avec lui qu’avec toutes ces queues qui l'ont baisée et enculée ce soir.
Alors, sans fioritures, la tenant à sa merci et en contemplant sa chatte ravagée, il se met à accélérer ses mouvements. En bonne soumise, Sophie ferme les yeux, pour ne pas croiser le regard d’Éric.
Il décharge longuement dans son cul en exprimant son plaisir.
- Tiens, je te décharge dans le cul, tous comme les autres. Tu aimes Pat plus que moi à présent ? Tu ne me l’avais pas dit ? Que ? Que ? Putain que c’est bon !
Il se déverse en elle, rajoutant son sperme à celui des autres, sans se soucier de savoir si elle jouit. Il lui inonde les entrailles en la regardant. Elle a les yeux mi-clos, elle est en train de jouir en silence.
Éric le sent à ses petits coups de cul, qu’elle donne pour aller à la rencontre de sa queue.
Elle gémit seulement comme témoignage de sa jouissance et répond par ses coups de bassin à ses coups de piston.
La queue débandée, il se retire du boyau de sa femme. Elle pousse un râle de satisfaction. Éric va se laver la queue, quand il revient ? Sa Sophie est toujours allongée nue dos sur le lit avec les jambes pendantes le long du bord. Elle dort d'un sommeil profond. Il retourne dans la salle de bain et revient avec un gant de toilette et une serviette de bain et une cuvette d'eau chaude. Il lui lave doucement son entrejambe souillé. Lorsqu'il trouve qu'elle est asse propre, il lui glisse ses jambes sous le drap en la couchant latéralement dans le lit.
Vers dix-sept heures, Pat rentre dans la maison des soumis, avec un sac de voyage, à la main. Éric avec une Sophie reposée, l'attendaient nus, assis dans le salon. Sans un mot, Pat sort du sac un bâillon constitué d’une balle de mousse qu’on introduit dans la bouche et maintenue par un harnais. Il le fixe derrière la tête de Sophie. Ensuite, il sort une cravache ? - Sophie ? Tu vas t'allonger, le ventre sur la table de salon. Toi, Éric, tu vas lui attacher les poignets avec les menottes que voici.
Dociles, ils exécutent les ordres de Maître Pat.
Tranquillement, Pat se dirige vers Sophie et après une petite claque sur son cul. Il lui donne un premier coup de cravache. Il retient la force de ses coups, les premiers la marquent à peine. D’ailleurs, elle ne grogne pas trop. Les suivants sont nettement plus forts et sa peau se zèbre de marque rouge foncé. Elle crie dans le bâillon qui les transforme en grognements. Éric parait partagé entre l’envie de voir les coups cesser et celle de la voir plus châtiée. Pat donne encore quelques coups moyens sur le dos de sa nouvelle soumise.
- Voilà, elle se souviendra de cette première. Éric, tu vas lui préparer le cul avec ta langue. J'ai une envie de sodomie.
Éric s’agenouille derrière sa femme et commence une préparation très appliquée. Sophie se remet assez vite des coups de cravache. Les caresses de son mari lui plaisent. Pat se déshabille et Éric parait fasciné par sa queue. Plus longue que la sienne et beaucoup plus grosse. Il écarte Éric et il met son gland sur la petite porte des reins de la Sophie. Elle attendait intérieurement que son maître amant de Pat la sodomise encore une fois.
Lentement, centimètres par centimètres, il pousse son gland qui passe la petite porte des reins de la Sophie. Ensuite, l’intégralité de sa queue disparaît dans le boyau. Une fois bien au fond, il la laisse se dilater. Ses mains ne restent pas inactives. Il caresse son dos, ses reins, ses fesses et ses cheveux. Peu à peu, il se met en mouvement, en accélérant très progressivement. Quand il sent qu'elle est réceptive, il demande à Éric de lui ôter son bâillon. Les râles de Sophie révèlent le plaisir qu’elle prend à se faire enculer.
- Éric ? Mets-lui ta bite dans la bouche ?
Il exécute son ordre et oblige sa femme à sucer sa queue. Pat accélère encore son va-et-vient et bientôt, elle a un orgasme violent.
- Détache-lui les poignets. Elle va me préparer ton trou de balle. Tu penses bien que je veux ton cul aussi !
Il retire sa queue de la bouche de sa femme et lui détache les mains. Puis, docilement, il offre son cul à sa femme et sans hésiter, elle entame une préparation méticuleuse. Pendant ce temps, Pat se fait sucer par Éric, qui semble adorer sa queue souillée par la rondelle de sa femme. Quand elle s’écarte, Pat vient se positionner et c’est elle qui met la queue de son maître au centre de l’entrée du rectum de son mari. Elle aide à l’introduction. Éric pousse un léger râle de douleur quand la queue de Pat passe l'entrée de son ventre.
Éric grogne qu'il est un peu gros.
- Assume ton statut de soumis, nous savons que tu aimes te faire enculer à présent.
Sur un geste de son maître, Sophie se glisse sous Éric et elle lui suce sa queue. Éric retrouve l'extase qu'il avait découvert dans les rochers. Lorsqu'il entend et sent Pat lui remplir les entrailles de sa jouissance. C'est dans un bonheur absolu qu'il jouit dans sa bouche de sa femme. Quelques instants plus tard, Pat retire sa queue demi molle du cul d'Éric .
- Venez nettoyer ma queue mes soumis ?
Ils s’exécutent consciencieusement et il ne remet pas longtemps à rebander.
- Maintenant, au tour d'Éric d'être cravaché. Installe-le comme toi ma chérie ?
Sophie entraîne son mari vers la table. Résigné, il s'y allonge à plat ventre. Elle lui attache les poignets et le bâillonne.
- Tiens, prend la cravache et punis-le d'avoir encore perdu au poker. Si tu ne frappes pas convenablement, tu seras de nouveau fouetté. Tu commences par le haut et tu descends jusque sous ses fesses. Si tu me donnes satisfaction, je te réserve une belle récompense ?
Bravement, avec un petit sourire sadique, elle prend la cravache et commence à donner les coups. Pat frappe dans ses mains pour donner le rythme. Elle frappe avec une force juste contenue. Éric grogne fort et ses fesses se couvrent de traces bien rouges.
Elle arrête son bras levé bien haut avec la cravache, elle semble fatiguée et soulagée.
- Est-ce que cela vous convient Maître Pat ?
- Très bien ma chérie. Ça me plaît. Ôte-lui son bâillon ?
Il sort un gode à ceinture du sac. En le voyant, les yeux de Sophie s'étonnent de voir ça.
- C'est toi qui vas l’enculer avec ça. Et pendant que tu lui ramones le fion, je ramone le-tiens !
- Oh ! Oui ! Maître Pat !
Elle se ceint du gode et soit par charité ou par vice. Elle vient mettre le gode devant les lèvres d'Éric qui ouvre la bouche et écarquille les yeux devant cet engin un peu plus gros que la bite de Pat. - Mouille le bien ? Tu auras moins mal. Éric, le suce comme une vraie bite en salivant bien. Ensuite, elle se place derrière son mari. Son anus s'agite de spasme en rejetant d'infimes filaments de sperme de Pat. Sans attendre, elle lui enfonce d'une seule poussée, le gode dans l'entrée de son ventre. Éric pousse des râles de douleur tout le temps de l’introduction de l'engin.
Pat vient saisir les fesses de Sophie et les pousse pour que le gode soit au fond dans le ventre de son mari. Ensuite, il lui écarte les fesses, et il la sodomise allègrement. Elle apprécie et le proclame. - OH ! Oui, vas-y ! Encule-moi comme je t'aime, défonce-moi comme je le défonce ?
Rapidement, ils calent leurs rythmes. Cela augmente le plaisir de Sophie et finalement, Éric se met au diapason. Il jouit en même temps qu'elle crie son orgasme. Pat redouble le ramonage du boyau de Sophie. Il arrive à lui donner un autre orgasme, quand il lui remplit les entrailles.
Après avoir bien joui tous les trois, ils vont prendre une douche. Comme, il est déjà tard et ils doivent penser à dormir pour être d'attaque au boulot le lendemain. - Je dois vous imposer une règle primordiale. Éric ? Tu ne dois plus jamais baiser ou enculer Sophie sans mon autorisation explicite. Tu peux le sucer et il peut te lécher autant que vous le voulez. Par contre, quand tu rentres, avec tes trous souillés de jouissance, il doit lécher et aspirer tout ce qui sort de tes trous. J’autorise aussi Sophie à t’enculer avec le gode ceinture. Avant cela, je ferai percer et tatouer Sophie par un ami. Éric, tu porteras le même collier que ta femme et plus tard, tu seras aussi percé aux tétons. Sur ce programme, Pat décide qu'il va se coucher dans le lit conjugal avec Sophie. Éric est installé au pied du lit et Sophie est très heureuse de partager sa couche avec maître Pat.
En à peine un mois d'épouse fidèle, avec une brillante carrière dans une grande société. Sophie est devenue une folle de sexe prête à se donner à n’importe quel mâle pour plaire à son maître. Plus il l'offre à des hommes vulgaires et repoussants plus, elle est excitée.
Elle s'est découvert un fort penchant à se soumettre entièrement. Elle accepte le joug de Pat son maître, qui est en train de transformer son apparence pour faire d'elle une pute, qu’il va exploiter pour lui rapporter beaucoup d’argent.
Il lui a d’abord appris à rester accessible. Elle doit perdre l’habitude de plus porter de sous-vêtement. Son sexe doit être accessible rapidement, sans obstacle en toutes circonstances. Ses seins aussi d’ailleurs, elle a droit juste à des redresse seins en dentelles. Voir ces deux seins blancs qui redressent fièrement enchâssés dans de tels écrins, laisse les hommes sans voie. Elle doit apprendre à mener normalement ses activités ainsi parées. Ce qui la trouble le plus, ce sont les frottements continus du tissu de ses vêtements sur ses tétons dégagés. Elle a rapidement appris à vivre avec ses érections permanentes, plus ou moins visibles pour ses interlocuteurs selon les tenues qu’elle porte. Sentir le vent lui caresser la vulve, l'émoi au point le plus haut.
Elle doit porter des vêtements en tissu fin, qui laisse deviner facilement la poitrine opulente qui s’offre dessous, ainsi que l'absence de culotte. Il lui a également apprise à s’asseoir ! Elle a beaucoup ri, lorsqu’il lui a déclaré, qu’elle doit apprendre à s’asseoir. Maître Pat lui a interdit d’être assise autrement que sur ses fesses nues. Quelles que soient les circonstances, au travail et en privé, elle doit impérativement relever sa jupe ou sa robe pour que son postérieur soit en contact direct avec le siège.
Lorsqu'elle s’assoit dans le vieux fauteuil de cuir de l’appartement de Pat. Elle comprend enfin toute la sensualité potentielle d’une telle attitude. Ce jour-là, le contact du cuir chaud sur sa peau nue l’a mise dans un état indescriptible ? Elle se révèle être une soumise docile. Il va passer rapidement à la deuxième phase de son éducation.
Aujourd’hui Pat va commencer la transformation physique de Sophie. Il va chercher dans la penderie une mini robe en stretch qui moule son corps comme une deuxième peau. Ses tétons tendent le tissu.
- Dépêche-toi Sophie ? J’ai pris rendez-vous chez le coiffeur.
Seul un oui maître sort de sa bouche
Actuellement, elle a des cheveux châtain clair qui tombent sur ses épaules. Elle est ressortie avec des cheveux blonds, courts et légèrement bouclés.
Ensuite, il l’a emmenée dans un salon d’esthétique où visiblement, il connait l’esthéticienne.
- Qu’est-ce que tu m’amènes Pat ?
Il sourit en regardant Sophie qui en frissonne.
- Une future gagneuse ? Tu ne devineras jamais, qu'elle aime cela et rien que d’en parler. Je suis sûr qu’elle est excitée.
Sans se gêner, l’esthéticienne avance une main sous la mini robe et fouille entre ses cuisses. Que Sophie écartée de complaisance.
- Mais ? C’est vrai ?
Elle l’attire vers elle, pour poser ses lèvres sur les siennes et forcer sa bouche, avec sa langue. Sophie lui rend son baiser plus par soumission, que par envie.
C’est la première fois qu'elle embrasse une femme depuis le collège.
- MMMMM ! J’aime son goût. Pat ? Que veux-tu que je fasse pour elle.
- Je veux que tu lui fasses une épilation définitive de son entre cuisses.
- Cela va prendre plusieurs séances, tu le sais.
- Oui ! Comme, elle connaît à présent ton adresse. Tu lui fixeras toi-même les rendez-vous.
- Pour la première séance. J’utilise la technique de la lumière pulsée. Tu seras tranquille pour deux ans environ.
Lorsqu'elle rentre chez elle. Elle en profite pour faire le point avec Éric. Leur vie a tellement changé en si peu de temps. Ils décident de continuer dans cette voie.
La semaine suivant son maître l’accompagne encore chez Lisa, l’esthéticienne pour sa deuxième séance. Lorsqu'elle doit se mettre à quatre pattes et écarter elle-même ses fesses pour que Lisa puisse travailler. Sophie sent ses trous s'ouvrir sans aucune toute pudeur.
Lisa s’aperçoit que ça excite la Sophie ? Alors, elle ne se gêne pas pour enfoncer un, voir deux doigts dans l'entrée de ses reins provoquant en elle des râles de plaisir. Lorsqu’elle termine son travail, elle ordonne à Sophie de rester dans cette posture.
Sophie est là, à attendre en frémissant d’impatience, de savoir ce qui va lui arriver ? Va-t-elle être sodomisée ? Parce que Lisa l'avait enculé avec ses doigts.
Sophie sent la table sur laquelle, elle est installée se baisser ? Ensuite, soudain quelque chose appuie sur son anus et le force ? C'est gros ? Sophie a peur d'avoir mal, d’être déchirée. Une main de maître pat posé sur sa nuque, lui fait comprendre qu'elle doit se détendre et d'accepter la pénétration. Donc, Sophie se cambre pour mieux s’offrir.
Lisa l’encule avec un gros gode ceinture, elle la sodomise sauvagement avec une ardeur insoupçonnée. Au bon d'un moment, Sophie ne peut s'empêcher de crier de plaisir, d’en réclamer encore.
Maître Pat que le spectacle excite, se plante devant sa soumise avec sa queue raide. Il l’enfonce dans la bouche ouverte de la Sophie, pour qu’elle la suce.
Sophie a un premier orgasme très fort. Elle le râle malgré sa bouche remplie.
Lisa s’est aussi mise à jouir. Sophie a compris par la suite qu’une partie du gode était en elle.
Son maître ne se vide pas dans la bouche de sa soumise. Il se retire et attrape Lisa, la courbe sur la table en avant. Il l'encule et se vide dans son cul.
Après ça, ils mettent plusieurs minutes à récupérer.
Comme l’heure de déjeuner arrive, Lisa leurs proposent de déjeuner avec elle dans l’arrière- boutique. Ils déjeunent, mais c'est tout les deux. Car, Sophie fait le service nue avec pour seule parure son collier de soumise.
Lorsqu'elle a fini le service, Sophie peut manger dans une gamelle posée au sol, à quatre pattes comme à une chienne.
La conversation a beaucoup tourné autour de la Sophie. Pat explique à Lisa qu’il la forme ainsi que son mari. Il essaie de faire tomber toutes les barrières psychologiques, qui peuvent les empêcher d’accepter tous les désirs les plus pervers, qu'il peut avoir.
Il avoue d'être très content de leurs aptitudes à la soumission.
Lorsqu'ils partent, Lisa l’ embrasse à nouveau, une fois de plus, leurs langues se mêlent. Cette fois-ci, Sophie y prend un certain plaisir.
En chemin, ils entrent dans une boutique de tatouages et de piercing.
Sophie a peur du côté indélébile de la chose.
- Salut Marc, je viens pour que tu perces les tétons de ma soumise, pour lui mettre deux petits anneaux et ?
- Retire ta robe. Elle se retrouve nue devant les deux hommes, elle ne cherche même plus à protéger sa nudité de leurs regards.
- Allonge-toi là.
Elle le voit préparer une seringue, lorsque son maître intervient.
- Non Marc ? Pas d’anesthésie pour elle ! Elle doit apprendre la souffrance ?
Un râle de peur et d’angoisse s’échappe de la gorge de Sophie.
Marc pince un téton, il l'étire, mais son sein suit aussi.
Il clame la remarque qu'elle a de belles grosses mamelles ta nouvelle soumise. Donc, il a d'autres soumises ?
Ensuite, il pose une sorte de pince à la base de son téton. Soudain, il presse perçant la chaire. Elle en crie de douleur, c'est une douleur intense violente.
Il met aussitôt une pommade pour aseptiser la plaie et met un anneau en plastique le temps que les chaires cicatrices.
Sophie doit supporter la même douleur sur son second téton. Cela est bien pire, car, elle angoisse en sachant ce qu'elle va endurer.
Ensuite, il pose deux pansements sur ses mamelons. Ils sont à retirer dès son retour chez elle.
- Voilà ! Tu reviens dans huit jours.
Pat ? Dans huit jours, si tu ne reviens pas avec elle. Est-ce que tu m’autorises à l'enculer ?
- Oui ! Bien sûr Marc. Plus tard, tu lui poseras aussi des annaux sur les lèvres de sa chatte et aussi à son clito. Et, je ne veux pas, qu’elle puisse les retirer, tous ses piercings bien sûr ?
Lorsqu'ils rentrent chez Sophie, maître Pat lui explique ses projets, la transformation de son corps.
- Bon ! Tu as changé de coiffure, tu vas être entièrement épilée et ce définitivement. Tu vas porter des anneaux, c'est le symbole de ta soumission. Éric subira à peu près la même transformation et les mêmes piercing.
Sophie soupire à la fois d’inquiétude, d’envie et aussi d’excitation.
Pour parfaire l'épilation, Sophie retourne régulièrement chez Lisa. A la fin de chaque séance, l'embrasse et lui fait l’amour avec son god ceinture. Elle est douce et attentionnée avec Sophie, s’inquiétant qu'elle y prenne son plaisir.
Sophie a bien du plaisir à se donner à l'amour saphique. Elle va même jusqu'à entourer la taille de Lisa avec ses jambes pour qu'elle la prenne bien. Elle aime sa douceur, sa manière de la prendre et sa manière de l’embrasser.
Lors de la dernière séance, Lisa lui avoue être amoureuse d'elle et qu’elle désire la revoir.
Sophie a été très surprise et troublée par cette déclaration.
Ensuite, elle est allée chez Marc pour qu’il lui pose ses anneaux. Les anneaux sont assez petits. Ils maintiennent ses tétons tendus. C’est le symbole de sa soumission à son maître.
Il l’a fait asseoir sur une chaise et il retire son short et son caleçon, qui vont rejoindre, au sol, la robe de Sophie.
- Suce-moi pour que je bande ?
Sophie se penche en avant pour le gober. Elle aime bien l'aspirée au fond de sa gorge. Avec une main, elle presse ses couilles pleines. Elle le suce tellement bien que sa bite qui grossit et devient dure. Elle salive beaucoup pour qu’elle puisse glisser sans mal dans son rectum.
Ensuite, il l'a fait mettre à quatre pattes sur la chaise. Son fessier et la hauteur de sa queue. Charitable, il lui graisse le trou de balle avec une crème aphrodisiaque. Elle fait son effet rapidement. Sophie sent son anus chauffer et s'ouvrir d'envie. Marc y enfonce sa queue raide d'un seul coup, jusqu'à la garde. Il attrape ses seins dans ses mains pour les serrer et il a commencé à donner des coups de reins.
Marc va-et-vient dans le boyau de Sophie. Ils râlent tous les deux de plaisir.
En beuglant, il lui arrose les entrailles de sa jouissance. Après un moment d'immobilité, il se retire du derrière de Sophie. Il fait le tour de la chaise et lui donne sa queue à nettoyer. Elle aspire sa queue, la suce pour bien la nettoyer.
Lorsqu'elle se rhabille, on voit nettement qu'elle est annelée. Le tissu de sa robe moule parfaitement ses seins bien dressés par le redresse sein.
Elle surprend le regard de désir, de certains hommes. Elle redresse son dos de fierté et d’excitation.
Lors d'un appel téléphonique, Pat les prévient que vendredi soir, il y aura deux invitées à la maison.
Vers cinq heures du matin, Sophie au bras de Pat, rentre exténuée, par le nombre des copulations, autant que par les orgasmes. Le bruit qu'ils font en rentrant réveille Éric qui vient voir qu'est-ce qui ce passe ? Il voit dans l'entrée, sa femme très fatiguée accompagnée de Pat ? - Comme vous avez accepté d'être mes soumis, j’ai posé mes conditions, qu’elle accepte. Il me faut, maintenant, obtenir ton aide. Sophie, ôte ta robe, pour montrer à Éric que tu as accepté.
Elle se met nue. Son collier montre sa soumission. Éric semble abasourdi, il en tremble.
- Ce soir, elle est devenue ma soumise de manière irréversible. Pour confirmer votre soumission à tous les deux. J’ai besoin que tu acceptes le même sort. Aussi, je veux que tu te mettes à poil immédiatement.
Éric reste figé un long moment, ensuite, il se lève et ôte son pyjama. Pat le regarde avec un air de désolation envers son anatomie d’éphèbe. Sophie ne s'étonne pas de ce geste de soumission, et cela augmente son estime pour Éric.
- Bien, pour sceller sa soumission, demain, je l’emmène chez une amie qui va lui percer les tétons et le clitoris, avant de la tatouer, comme toutes celles qui l’ont été. Bon, Éric tu t'occupes d'elle, tu la laves et tu la couches. Elle va se reposer et moi, je reviens en fin d'après midi. A tout à l'heure !
Pat sort de la maison. Éric ramasse la robe au pied de sa femme. Il lui prend la main et la conduit vers la salle de bain. Soudain, il s'arrête devant la porte de la chambre. Il la regarde avec provocation ? - Tu t’es fait baiser et enculer comme une salope ? Tu dégoulines de sperme, de mouille et de merde, tu es complètement rempli. Vaincue, abasourdie, impuissante à se contenir, parce qu'elle sait qu'il a raison. Elle ne répond rien et reste là, à le regarder comme s'il venait d'une autre planète.
Il la pousse dans la chambre. Elle tombe allongée sur le lit, dans une pose totalement impudique. Jambes écartées, chatte béante boursouflée et engluée, son trou du cul affleurant le bord du lit déborde encore d'un étrange mélange de souillure.
Excité devant le tableau, Éric ne contient plus. Il bande, alors il la baise comme une bête, il se lâche. - Putain, tu sens le stupre, tu es mouillée, trempée de sperme et de mouille. Ça me rappelle les vacances, donc je vais te prendre là comme ça !
Avant qu'elle ait pu esquisser le moindre geste, n'y proféré la moindre parole. Il l'encule directement. Oh ! Oui, Éric encule aussi sa salope de femme. Parce que son trou du cul visqueux, lui permet de la pénétrer sans problème.
- AAARRRFF ! GGNNNNN ! Doucement Éric ? Râle-t-elle.
Il se met à lui pistonner l'anus, sortant de temps en temps pour aller faire une incursion dans sa chatte, tellement dilatée d’ailleurs que sa queue nage dedans ? Il revient l’enculer avec hargne un peu frustrer de n'avoir pas assisté a cette monstrueuse copulation.
Il tape de plus en plus fort, alternativement dans ses deux puits. Sa queue glissant sans problème dans son cul et dans son vagin encore lubrifiés et remplis du sperme des autres.
Il la baise de plus en plus fort, s'imaginant le plaisir qu'a dû prendre Pat. En pensant aussi aux bites qui l'ont baisée et surtout enculée depuis les vacances, alors que lui ne l’avait jamais enculée.
Éric est lui-même surpris par la dureté de sa queue, tellement qu'il est excité par toutes ces pensées qui le hantent. Il la regarde fixement, se laissant prendre comme une pute. Il se demande, si elle prend autant de plaisir là, avec lui qu’avec toutes ces queues qui l'ont baisée et enculée ce soir.
Alors, sans fioritures, la tenant à sa merci et en contemplant sa chatte ravagée, il se met à accélérer ses mouvements. En bonne soumise, Sophie ferme les yeux, pour ne pas croiser le regard d’Éric.
Il décharge longuement dans son cul en exprimant son plaisir.
- Tiens, je te décharge dans le cul, tous comme les autres. Tu aimes Pat plus que moi à présent ? Tu ne me l’avais pas dit ? Que ? Que ? Putain que c’est bon !
Il se déverse en elle, rajoutant son sperme à celui des autres, sans se soucier de savoir si elle jouit. Il lui inonde les entrailles en la regardant. Elle a les yeux mi-clos, elle est en train de jouir en silence.
Éric le sent à ses petits coups de cul, qu’elle donne pour aller à la rencontre de sa queue.
Elle gémit seulement comme témoignage de sa jouissance et répond par ses coups de bassin à ses coups de piston.
La queue débandée, il se retire du boyau de sa femme. Elle pousse un râle de satisfaction. Éric va se laver la queue, quand il revient ? Sa Sophie est toujours allongée nue dos sur le lit avec les jambes pendantes le long du bord. Elle dort d'un sommeil profond. Il retourne dans la salle de bain et revient avec un gant de toilette et une serviette de bain et une cuvette d'eau chaude. Il lui lave doucement son entrejambe souillé. Lorsqu'il trouve qu'elle est asse propre, il lui glisse ses jambes sous le drap en la couchant latéralement dans le lit.
Vers dix-sept heures, Pat rentre dans la maison des soumis, avec un sac de voyage, à la main. Éric avec une Sophie reposée, l'attendaient nus, assis dans le salon. Sans un mot, Pat sort du sac un bâillon constitué d’une balle de mousse qu’on introduit dans la bouche et maintenue par un harnais. Il le fixe derrière la tête de Sophie. Ensuite, il sort une cravache ? - Sophie ? Tu vas t'allonger, le ventre sur la table de salon. Toi, Éric, tu vas lui attacher les poignets avec les menottes que voici.
Dociles, ils exécutent les ordres de Maître Pat.
Tranquillement, Pat se dirige vers Sophie et après une petite claque sur son cul. Il lui donne un premier coup de cravache. Il retient la force de ses coups, les premiers la marquent à peine. D’ailleurs, elle ne grogne pas trop. Les suivants sont nettement plus forts et sa peau se zèbre de marque rouge foncé. Elle crie dans le bâillon qui les transforme en grognements. Éric parait partagé entre l’envie de voir les coups cesser et celle de la voir plus châtiée. Pat donne encore quelques coups moyens sur le dos de sa nouvelle soumise.
- Voilà, elle se souviendra de cette première. Éric, tu vas lui préparer le cul avec ta langue. J'ai une envie de sodomie.
Éric s’agenouille derrière sa femme et commence une préparation très appliquée. Sophie se remet assez vite des coups de cravache. Les caresses de son mari lui plaisent. Pat se déshabille et Éric parait fasciné par sa queue. Plus longue que la sienne et beaucoup plus grosse. Il écarte Éric et il met son gland sur la petite porte des reins de la Sophie. Elle attendait intérieurement que son maître amant de Pat la sodomise encore une fois.
Lentement, centimètres par centimètres, il pousse son gland qui passe la petite porte des reins de la Sophie. Ensuite, l’intégralité de sa queue disparaît dans le boyau. Une fois bien au fond, il la laisse se dilater. Ses mains ne restent pas inactives. Il caresse son dos, ses reins, ses fesses et ses cheveux. Peu à peu, il se met en mouvement, en accélérant très progressivement. Quand il sent qu'elle est réceptive, il demande à Éric de lui ôter son bâillon. Les râles de Sophie révèlent le plaisir qu’elle prend à se faire enculer.
- Éric ? Mets-lui ta bite dans la bouche ?
Il exécute son ordre et oblige sa femme à sucer sa queue. Pat accélère encore son va-et-vient et bientôt, elle a un orgasme violent.
- Détache-lui les poignets. Elle va me préparer ton trou de balle. Tu penses bien que je veux ton cul aussi !
Il retire sa queue de la bouche de sa femme et lui détache les mains. Puis, docilement, il offre son cul à sa femme et sans hésiter, elle entame une préparation méticuleuse. Pendant ce temps, Pat se fait sucer par Éric, qui semble adorer sa queue souillée par la rondelle de sa femme. Quand elle s’écarte, Pat vient se positionner et c’est elle qui met la queue de son maître au centre de l’entrée du rectum de son mari. Elle aide à l’introduction. Éric pousse un léger râle de douleur quand la queue de Pat passe l'entrée de son ventre.
Éric grogne qu'il est un peu gros.
- Assume ton statut de soumis, nous savons que tu aimes te faire enculer à présent.
Sur un geste de son maître, Sophie se glisse sous Éric et elle lui suce sa queue. Éric retrouve l'extase qu'il avait découvert dans les rochers. Lorsqu'il entend et sent Pat lui remplir les entrailles de sa jouissance. C'est dans un bonheur absolu qu'il jouit dans sa bouche de sa femme. Quelques instants plus tard, Pat retire sa queue demi molle du cul d'Éric .
- Venez nettoyer ma queue mes soumis ?
Ils s’exécutent consciencieusement et il ne remet pas longtemps à rebander.
- Maintenant, au tour d'Éric d'être cravaché. Installe-le comme toi ma chérie ?
Sophie entraîne son mari vers la table. Résigné, il s'y allonge à plat ventre. Elle lui attache les poignets et le bâillonne.
- Tiens, prend la cravache et punis-le d'avoir encore perdu au poker. Si tu ne frappes pas convenablement, tu seras de nouveau fouetté. Tu commences par le haut et tu descends jusque sous ses fesses. Si tu me donnes satisfaction, je te réserve une belle récompense ?
Bravement, avec un petit sourire sadique, elle prend la cravache et commence à donner les coups. Pat frappe dans ses mains pour donner le rythme. Elle frappe avec une force juste contenue. Éric grogne fort et ses fesses se couvrent de traces bien rouges.
Elle arrête son bras levé bien haut avec la cravache, elle semble fatiguée et soulagée.
- Est-ce que cela vous convient Maître Pat ?
- Très bien ma chérie. Ça me plaît. Ôte-lui son bâillon ?
Il sort un gode à ceinture du sac. En le voyant, les yeux de Sophie s'étonnent de voir ça.
- C'est toi qui vas l’enculer avec ça. Et pendant que tu lui ramones le fion, je ramone le-tiens !
- Oh ! Oui ! Maître Pat !
Elle se ceint du gode et soit par charité ou par vice. Elle vient mettre le gode devant les lèvres d'Éric qui ouvre la bouche et écarquille les yeux devant cet engin un peu plus gros que la bite de Pat. - Mouille le bien ? Tu auras moins mal. Éric, le suce comme une vraie bite en salivant bien. Ensuite, elle se place derrière son mari. Son anus s'agite de spasme en rejetant d'infimes filaments de sperme de Pat. Sans attendre, elle lui enfonce d'une seule poussée, le gode dans l'entrée de son ventre. Éric pousse des râles de douleur tout le temps de l’introduction de l'engin.
Pat vient saisir les fesses de Sophie et les pousse pour que le gode soit au fond dans le ventre de son mari. Ensuite, il lui écarte les fesses, et il la sodomise allègrement. Elle apprécie et le proclame. - OH ! Oui, vas-y ! Encule-moi comme je t'aime, défonce-moi comme je le défonce ?
Rapidement, ils calent leurs rythmes. Cela augmente le plaisir de Sophie et finalement, Éric se met au diapason. Il jouit en même temps qu'elle crie son orgasme. Pat redouble le ramonage du boyau de Sophie. Il arrive à lui donner un autre orgasme, quand il lui remplit les entrailles.
Après avoir bien joui tous les trois, ils vont prendre une douche. Comme, il est déjà tard et ils doivent penser à dormir pour être d'attaque au boulot le lendemain. - Je dois vous imposer une règle primordiale. Éric ? Tu ne dois plus jamais baiser ou enculer Sophie sans mon autorisation explicite. Tu peux le sucer et il peut te lécher autant que vous le voulez. Par contre, quand tu rentres, avec tes trous souillés de jouissance, il doit lécher et aspirer tout ce qui sort de tes trous. J’autorise aussi Sophie à t’enculer avec le gode ceinture. Avant cela, je ferai percer et tatouer Sophie par un ami. Éric, tu porteras le même collier que ta femme et plus tard, tu seras aussi percé aux tétons. Sur ce programme, Pat décide qu'il va se coucher dans le lit conjugal avec Sophie. Éric est installé au pied du lit et Sophie est très heureuse de partager sa couche avec maître Pat.
En à peine un mois d'épouse fidèle, avec une brillante carrière dans une grande société. Sophie est devenue une folle de sexe prête à se donner à n’importe quel mâle pour plaire à son maître. Plus il l'offre à des hommes vulgaires et repoussants plus, elle est excitée.
Elle s'est découvert un fort penchant à se soumettre entièrement. Elle accepte le joug de Pat son maître, qui est en train de transformer son apparence pour faire d'elle une pute, qu’il va exploiter pour lui rapporter beaucoup d’argent.
Il lui a d’abord appris à rester accessible. Elle doit perdre l’habitude de plus porter de sous-vêtement. Son sexe doit être accessible rapidement, sans obstacle en toutes circonstances. Ses seins aussi d’ailleurs, elle a droit juste à des redresse seins en dentelles. Voir ces deux seins blancs qui redressent fièrement enchâssés dans de tels écrins, laisse les hommes sans voie. Elle doit apprendre à mener normalement ses activités ainsi parées. Ce qui la trouble le plus, ce sont les frottements continus du tissu de ses vêtements sur ses tétons dégagés. Elle a rapidement appris à vivre avec ses érections permanentes, plus ou moins visibles pour ses interlocuteurs selon les tenues qu’elle porte. Sentir le vent lui caresser la vulve, l'émoi au point le plus haut.
Elle doit porter des vêtements en tissu fin, qui laisse deviner facilement la poitrine opulente qui s’offre dessous, ainsi que l'absence de culotte. Il lui a également apprise à s’asseoir ! Elle a beaucoup ri, lorsqu’il lui a déclaré, qu’elle doit apprendre à s’asseoir. Maître Pat lui a interdit d’être assise autrement que sur ses fesses nues. Quelles que soient les circonstances, au travail et en privé, elle doit impérativement relever sa jupe ou sa robe pour que son postérieur soit en contact direct avec le siège.
Lorsqu'elle s’assoit dans le vieux fauteuil de cuir de l’appartement de Pat. Elle comprend enfin toute la sensualité potentielle d’une telle attitude. Ce jour-là, le contact du cuir chaud sur sa peau nue l’a mise dans un état indescriptible ? Elle se révèle être une soumise docile. Il va passer rapidement à la deuxième phase de son éducation.
Aujourd’hui Pat va commencer la transformation physique de Sophie. Il va chercher dans la penderie une mini robe en stretch qui moule son corps comme une deuxième peau. Ses tétons tendent le tissu.
- Dépêche-toi Sophie ? J’ai pris rendez-vous chez le coiffeur.
Seul un oui maître sort de sa bouche
Actuellement, elle a des cheveux châtain clair qui tombent sur ses épaules. Elle est ressortie avec des cheveux blonds, courts et légèrement bouclés.
Ensuite, il l’a emmenée dans un salon d’esthétique où visiblement, il connait l’esthéticienne.
- Qu’est-ce que tu m’amènes Pat ?
Il sourit en regardant Sophie qui en frissonne.
- Une future gagneuse ? Tu ne devineras jamais, qu'elle aime cela et rien que d’en parler. Je suis sûr qu’elle est excitée.
Sans se gêner, l’esthéticienne avance une main sous la mini robe et fouille entre ses cuisses. Que Sophie écartée de complaisance.
- Mais ? C’est vrai ?
Elle l’attire vers elle, pour poser ses lèvres sur les siennes et forcer sa bouche, avec sa langue. Sophie lui rend son baiser plus par soumission, que par envie.
C’est la première fois qu'elle embrasse une femme depuis le collège.
- MMMMM ! J’aime son goût. Pat ? Que veux-tu que je fasse pour elle.
- Je veux que tu lui fasses une épilation définitive de son entre cuisses.
- Cela va prendre plusieurs séances, tu le sais.
- Oui ! Comme, elle connaît à présent ton adresse. Tu lui fixeras toi-même les rendez-vous.
- Pour la première séance. J’utilise la technique de la lumière pulsée. Tu seras tranquille pour deux ans environ.
Lorsqu'elle rentre chez elle. Elle en profite pour faire le point avec Éric. Leur vie a tellement changé en si peu de temps. Ils décident de continuer dans cette voie.
La semaine suivant son maître l’accompagne encore chez Lisa, l’esthéticienne pour sa deuxième séance. Lorsqu'elle doit se mettre à quatre pattes et écarter elle-même ses fesses pour que Lisa puisse travailler. Sophie sent ses trous s'ouvrir sans aucune toute pudeur.
Lisa s’aperçoit que ça excite la Sophie ? Alors, elle ne se gêne pas pour enfoncer un, voir deux doigts dans l'entrée de ses reins provoquant en elle des râles de plaisir. Lorsqu’elle termine son travail, elle ordonne à Sophie de rester dans cette posture.
Sophie est là, à attendre en frémissant d’impatience, de savoir ce qui va lui arriver ? Va-t-elle être sodomisée ? Parce que Lisa l'avait enculé avec ses doigts.
Sophie sent la table sur laquelle, elle est installée se baisser ? Ensuite, soudain quelque chose appuie sur son anus et le force ? C'est gros ? Sophie a peur d'avoir mal, d’être déchirée. Une main de maître pat posé sur sa nuque, lui fait comprendre qu'elle doit se détendre et d'accepter la pénétration. Donc, Sophie se cambre pour mieux s’offrir.
Lisa l’encule avec un gros gode ceinture, elle la sodomise sauvagement avec une ardeur insoupçonnée. Au bon d'un moment, Sophie ne peut s'empêcher de crier de plaisir, d’en réclamer encore.
Maître Pat que le spectacle excite, se plante devant sa soumise avec sa queue raide. Il l’enfonce dans la bouche ouverte de la Sophie, pour qu’elle la suce.
Sophie a un premier orgasme très fort. Elle le râle malgré sa bouche remplie.
Lisa s’est aussi mise à jouir. Sophie a compris par la suite qu’une partie du gode était en elle.
Son maître ne se vide pas dans la bouche de sa soumise. Il se retire et attrape Lisa, la courbe sur la table en avant. Il l'encule et se vide dans son cul.
Après ça, ils mettent plusieurs minutes à récupérer.
Comme l’heure de déjeuner arrive, Lisa leurs proposent de déjeuner avec elle dans l’arrière- boutique. Ils déjeunent, mais c'est tout les deux. Car, Sophie fait le service nue avec pour seule parure son collier de soumise.
Lorsqu'elle a fini le service, Sophie peut manger dans une gamelle posée au sol, à quatre pattes comme à une chienne.
La conversation a beaucoup tourné autour de la Sophie. Pat explique à Lisa qu’il la forme ainsi que son mari. Il essaie de faire tomber toutes les barrières psychologiques, qui peuvent les empêcher d’accepter tous les désirs les plus pervers, qu'il peut avoir.
Il avoue d'être très content de leurs aptitudes à la soumission.
Lorsqu'ils partent, Lisa l’ embrasse à nouveau, une fois de plus, leurs langues se mêlent. Cette fois-ci, Sophie y prend un certain plaisir.
En chemin, ils entrent dans une boutique de tatouages et de piercing.
Sophie a peur du côté indélébile de la chose.
- Salut Marc, je viens pour que tu perces les tétons de ma soumise, pour lui mettre deux petits anneaux et ?
- Retire ta robe. Elle se retrouve nue devant les deux hommes, elle ne cherche même plus à protéger sa nudité de leurs regards.
- Allonge-toi là.
Elle le voit préparer une seringue, lorsque son maître intervient.
- Non Marc ? Pas d’anesthésie pour elle ! Elle doit apprendre la souffrance ?
Un râle de peur et d’angoisse s’échappe de la gorge de Sophie.
Marc pince un téton, il l'étire, mais son sein suit aussi.
Il clame la remarque qu'elle a de belles grosses mamelles ta nouvelle soumise. Donc, il a d'autres soumises ?
Ensuite, il pose une sorte de pince à la base de son téton. Soudain, il presse perçant la chaire. Elle en crie de douleur, c'est une douleur intense violente.
Il met aussitôt une pommade pour aseptiser la plaie et met un anneau en plastique le temps que les chaires cicatrices.
Sophie doit supporter la même douleur sur son second téton. Cela est bien pire, car, elle angoisse en sachant ce qu'elle va endurer.
Ensuite, il pose deux pansements sur ses mamelons. Ils sont à retirer dès son retour chez elle.
- Voilà ! Tu reviens dans huit jours.
Pat ? Dans huit jours, si tu ne reviens pas avec elle. Est-ce que tu m’autorises à l'enculer ?
- Oui ! Bien sûr Marc. Plus tard, tu lui poseras aussi des annaux sur les lèvres de sa chatte et aussi à son clito. Et, je ne veux pas, qu’elle puisse les retirer, tous ses piercings bien sûr ?
Lorsqu'ils rentrent chez Sophie, maître Pat lui explique ses projets, la transformation de son corps.
- Bon ! Tu as changé de coiffure, tu vas être entièrement épilée et ce définitivement. Tu vas porter des anneaux, c'est le symbole de ta soumission. Éric subira à peu près la même transformation et les mêmes piercing.
Sophie soupire à la fois d’inquiétude, d’envie et aussi d’excitation.
Pour parfaire l'épilation, Sophie retourne régulièrement chez Lisa. A la fin de chaque séance, l'embrasse et lui fait l’amour avec son god ceinture. Elle est douce et attentionnée avec Sophie, s’inquiétant qu'elle y prenne son plaisir.
Sophie a bien du plaisir à se donner à l'amour saphique. Elle va même jusqu'à entourer la taille de Lisa avec ses jambes pour qu'elle la prenne bien. Elle aime sa douceur, sa manière de la prendre et sa manière de l’embrasser.
Lors de la dernière séance, Lisa lui avoue être amoureuse d'elle et qu’elle désire la revoir.
Sophie a été très surprise et troublée par cette déclaration.
Ensuite, elle est allée chez Marc pour qu’il lui pose ses anneaux. Les anneaux sont assez petits. Ils maintiennent ses tétons tendus. C’est le symbole de sa soumission à son maître.
Il l’a fait asseoir sur une chaise et il retire son short et son caleçon, qui vont rejoindre, au sol, la robe de Sophie.
- Suce-moi pour que je bande ?
Sophie se penche en avant pour le gober. Elle aime bien l'aspirée au fond de sa gorge. Avec une main, elle presse ses couilles pleines. Elle le suce tellement bien que sa bite qui grossit et devient dure. Elle salive beaucoup pour qu’elle puisse glisser sans mal dans son rectum.
Ensuite, il l'a fait mettre à quatre pattes sur la chaise. Son fessier et la hauteur de sa queue. Charitable, il lui graisse le trou de balle avec une crème aphrodisiaque. Elle fait son effet rapidement. Sophie sent son anus chauffer et s'ouvrir d'envie. Marc y enfonce sa queue raide d'un seul coup, jusqu'à la garde. Il attrape ses seins dans ses mains pour les serrer et il a commencé à donner des coups de reins.
Marc va-et-vient dans le boyau de Sophie. Ils râlent tous les deux de plaisir.
En beuglant, il lui arrose les entrailles de sa jouissance. Après un moment d'immobilité, il se retire du derrière de Sophie. Il fait le tour de la chaise et lui donne sa queue à nettoyer. Elle aspire sa queue, la suce pour bien la nettoyer.
Lorsqu'elle se rhabille, on voit nettement qu'elle est annelée. Le tissu de sa robe moule parfaitement ses seins bien dressés par le redresse sein.
Elle surprend le regard de désir, de certains hommes. Elle redresse son dos de fierté et d’excitation.
Lors d'un appel téléphonique, Pat les prévient que vendredi soir, il y aura deux invitées à la maison.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Oui
Et pourtant on peut suivre ce parcours de soumission sans pour autant tomber dans le proxénétisme.
Tout comme l exhibition dans le cadre professionnel est inadapté, sauf à vouloir se faire licencier...
N
Et pourtant on peut suivre ce parcours de soumission sans pour autant tomber dans le proxénétisme.
Tout comme l exhibition dans le cadre professionnel est inadapté, sauf à vouloir se faire licencier...
N
On a vraiment quitté le libertinage et le candaulisme pour passer au proxénète maintenant un prédateur esclavagiste qui marque les humains comme du bétail pour en tirer des revenus cela devient vraiment une histoire voir un fantasme hors du commun et irrespectueux de la personne